Samuel présente
Tome
3
La manne spirituelle des derniers
marcheurs adventistes
en chemin
vers la Canaan céleste.
Arrivée,
le Mercredi 20 Mars 2030.
« Quel est donc le serviteur fidèle et
prudent, que son maître a établi sur ses gens, pour leur donner la nourriture
au temps convenable ?
Heureux ce serviteur, que son maître, à son
arrivée, trouvera faisant ainsi !
Je vous le dis en vérité, il
l'établira sur tous ses biens. »
Matthieu 24 : 45 à 47
Index
des thèmes traités en fin d’ouvrage
La
manne spirituelle des derniers marcheurs adventistes
Tome 3
Prolongation des révélations divines reçues depuis le 07/03/2020
Les nouveaux messages inspirés continuellement par Dieu
Messages de l’auteur
Selon qu’il est écrit dans Apo.2:26 : « A celui qui vaincra, et qui gardera jusqu'à la fin mes œuvres, je donnerai autorité sur les nations. », Jésus-Christ fait partager à son serviteur, son prophète, la connaissance de son jugement sur toutes choses, telles que les sujets, religieux, politiques et économiques. Car il fait accomplir ses projets en agissant dans tous ces domaines qui régissent l’humanité.
Parmi les œuvres de Jésus-Christ, se trouve l’inspiration constante de sa lumière, aussi importante pour la vie spirituelle de ses élus, que le fut la manne donnée chaque jour aux Hébreux rassemblés par Dieu au désert du Sinaï.
Ceux qui la cherchent trouveront dans les articles écrits dans cet ouvrage, la garantie d’une pensée divine authentique, qui m’engage en tant que témoin, et qui les responsabilise devant Dieu et son saint suprême jugement. Car le refus de sa lumière est cause d’une rupture de relation entre lui et sa créature.
L’inspiration révélée dans ces lignes n’est que l’accomplissement de la promesse faite par Jésus à ses serviteurs, dans Mat.28:18 à 20 où, pour soustraire ses interlocuteurs au doute, il est écrit : « Jésus, s'étant approché, leur parla ainsi: Tout pouvoir m'a été donné dans le ciel et sur la terre. Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit, et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu'à la fin du monde.»
Après avoir présenté dans « Explique moi Daniel et Apocalypse » l’étude détaillée, verset après verset, de ces prophéties divines, je présente dans cet ouvrage, selon l’inspiration divine du moment, des analyses de synthèse sur des thèmes traités dans ces prophéties, mais aussi sur l’actualité du moment. Ce regard englobant est riche et il favorise la maîtrise de la compréhension offerte par Dieu au nom de Jésus-Christ. Ces témoignages nouveaux ont pour lui autant de valeur que les premiers et pour ses élus, ils rendent clair et compréhensible ce qui était crypté et impénétrable.
J’ajoute que dans les temps difficiles que nous allons devoir traverser, la connaissance de ces articles fera toute la différence pour obtenir ou pas, du Christ, son indispensable aide et son soutien divin pour vaincre comme il a vaincu. Car ses élus sont invités à « garder ses œuvres jusqu’à la fin » du monde, dans « la patience et la persévérance » qui caractérisent les vrais « saints » de Dieu.
M1- Le réchauffement climatique
Ce sujet brûlant de notre actualité de ce début de l’année 2025, marqué par l’incendie aux USA de Los Angeles et avant lui, l’inondation de Valence en Espagne, va recevoir dans ce message une divine explication.
Il est écrit dans Luc 19:37 à 40 : « Et lorsque déjà il approchait de Jérusalem, vers la descente de la montagne des Oliviers, toute la multitude des disciples, saisie de joie, se mit à louer Dieu à haute voix pour tous les miracles qu'ils avaient vus. Quelques pharisiens, du milieu de la foule, dirent à Jésus : Maître, reprends tes disciples. Et il répondit : Je vous le dis, s'ils se taisent, les pierres crieront ! »
Les disciples de Jésus de ce moment étaient tous des Juifs israélites. Aussi, le premier sens que Jésus donne à ces « pierres » qui « crieront » désigne les païens qui allaient se convertir en bénéficiant de sa grâce, selon ces paroles dites par Jean le baptiseur, dans Matthieu 3:9 : « et ne prétendez pas dire en vous-mêmes : Nous avons Abraham pour père ! Car je vous déclare que de ces pierres-ci Dieu peut susciter des enfants à Abraham. »
Ce message était hautement spirituel, mais un sens littéral peut également lui être donné, et ceci par le témoignage écrit sur les murs des tombeaux des pharaons égyptiens et d’autres vestiges antiques porteurs de messages qui éclairent l’antiquité la plus lointaine.
Je viens d’apprendre par un document télévisé que des recherches scientifiques conduite dans le tombeau d’un des premiers pharaons de l’histoire de l’Egypte ont révélé l’expérience d’un grand drame qui a pris la forme d’une famine au point que « les femmes se sont mises à manger leurs enfants ». Le témoignage des hiéroglyphes égyptiens s’arrête là. On trouve dans la sainte Bible un cas similaire concernant une famine imposée à Israël, selon Lamentations 2:20 : « Vois, YaHWéH, regarde qui tu as ainsi traité ! Fallait-il que des femmes dévorassent le fruit de leurs entrailles, les petits enfants objets de leur tendresse? Que sacrificateurs et prophètes fussent massacrés dans le sanctuaire du Seigneur ?» Ce temps de Jérémie est comparable au notre, les deux étant marqués par le châtiment final de la sainte alliance tombée dans l’apostasie. Les sujets du pharaon ont mis son corps dans son tombeau en compagnie des corps momifiés de tous ses fidèles soldats morts au combat, pour sa cause. Or, une première analyse au carbone 14 de ces corps a permis de situer leur mort vers 4200 avant notre temps actuel soit, 4200 BP (Before : avant ; Present : maintenant). Une guerre civile avait opposé les Egyptiens entre eux : Thèbes, au Sud, contre Héracléopolis, au Nord dans le delta du Nil. D’autre part, des examens de « carottes » prélevées dans le sol de l’Afrique tropicale ont tous révélé, par la présence d’oxyde de fer, un temps de sécheresse exceptionnelle dû à une succession de 20 années sans pluie. Le document télévisé présente ces carottes de terre conservées aux USA dans un laboratoire. Et effectivement on remarque sur l’extrême base de ce long carottage, une zone où la terre rouge contient des oxydes de fer. Ces prélèvements ont été effectués au Kilimandjaro, au Niger, et les autres pays de la zone tropicale africaine mais aussi dans un lac égyptien nommé Moéris, le prélèvement a été fait dans la vase du fond de ce lac. Et le carottage révèle également la particularité de ces 20 ans de sécheresse absolue et meurtrière située vers 4200 BP. Le lac était bien supérieur et grandement étendue avant cette sécheresse exceptionnelle.
Ces découvertes expliquent donc l’état désertique actuel de cette zone qui a été avant 4200 BP, une terre herbeuse riche en faunes et en flores. Et ceci explique la présence dans ces déserts de grandes pierres sur les faces desquelles on trouve gravées des scènes de chasse et des animaux qui vivent dans l’actuelle savane africaine, telles les gazelles, admirablement reproduites.
Il a donc suffit de 20 ans pour Dieu, pour que cette savane riche et luxurieuse se transforme en un désert aride stérile mortel. Et pour obtenir ce résultat, il lui a suffit de refuser la pluie du ciel que dans la savane actuelle, les animaux attendent chaque fin d’été, moment où ils sont menacés de mort par la sécheresse des étangs et des cours d’eaux. Pour les scientifiques, ces constats s’arrêtent là et pour moi, c’est là que tout commence. Car ils n’attribuent pas au Dieu créateur cette sécheresse, contrairement à moi. Et déjà, cette année, 4200 BP, représente l’an 1800 après le péché d’Adam et Eve. Or, le déluge d’eaux du temps de Noé est rattaché à l’année 1655 que je préfère à l’année 1656 du calcul mathématique pour une raison spirituelle : le nombre 1655 totalise le nombre 17, symbolique du jugement de Dieu. Je situe la naissance d’Abraham vers 1948. Or entre le temps du déluge et la naissance d’Abraham, la Bible révèle l’expérience de Babel. C’est alors que la découverte de ce temps de 20 ans de grande sécheresse prend intérêt comme ayant pu justifier le grand rassemblement humain à Babel. Car la Bible ne présente pas la cause de ce rassemblement ordonné par le roi Nimrod. Avant Nimrod et ses contemporains, les Akkadiens vivaient dans cette partie de la terre dirigés par le grand Gilgamesh. Et leur disparition trouve une explication dans ces 20 années de sécheresse mortelle. Les populations de la zone tropicale ont été décimées sur toute la terre. Cette seconde punition divine après celle du déluge donne une bonne raison aux survivants de chercher dans le regroupement, la possibilité de réduire les causes de leurs affrontements meurtriers. Car, quand la sécheresse s’intensifie, les cœurs humains sèchent également, et ils s’affrontent à mort pour des disputes d’eaux devenues à ce point précieuses et vitales.
Le témoignage des tombeaux égyptiens présente un autre intérêt ; les momies des soldats sont de taille normale actuelle. Or, les huit personnes embarquées dans l’arche avaient la taille antédiluvienne des géants. Leurs enfants allaient naître en taille réduite actuelle rapidement et s’étendre sur la terre. Cependant, Dieu fait une exception pour la terre de Canaan, où les Hébreux vont retrouver des géants qui la peuplent. Dieu a voulu donner ce témoignage, afin que ses « fils fidèles » croient à leur existence. En effet, nous lisons dans Genèse 6:4 : «Les géants étaient sur la terre en ces temps-là, après que les fils de Dieu furent venus vers les filles des hommes, et qu'elles leur eurent donné des enfants : ce sont ces héros qui furent fameux dans l'antiquité. » Dieu explique ces choses à Moïse dont la taille est semblable à la notre. Moïse a appris l’existence des géants qui ont épouvanté les espions hébreux envoyés sur le sol de Canaan. Ce sont les « Anakims », les fils d’Anak. Et la nature, elle-même, partageait la norme géante de sa population. Les Hébreux portent à deux, une seule « grappe de raisin » selon Nombres 13:23 : « Ils arrivèrent jusqu'à la vallée d'Eschcol, où ils coupèrent une branche de vigne avec une grappe de raisin, qu'ils portèrent à deux au moyen d'une perche ; ils prirent aussi des grenades et des figues. » Ainsi, dans son explication, Dieu dit à Moïse que la taille géante était la taille normale de tous les antédiluviens car « l’antiquité » citée dans ce verset concerne le temps antédiluvien. Mais la version de Louis Segond supprime injustement les termes « et aussi » qui donnent tout son sens à ce verset qui dit réellement : « Les géants étaient sur la terre en ces temps-là, et aussi, après que les fils de Dieu furent venus vers les filles des hommes… » Ainsi, dans ce verset rectifié, Dieu dit à Moïse que l’apostasie obtenue par les alliances par mariage des deux lignées humaine de Caïn et de Seth n’ont pas eu d’incidence sur la taille géante des humains antédiluviens ; « les fils de Dieu » étant la lignée de Seth, et « les filles des hommes » désignant la lignée rebelle de Caïn. Et les noms des héros de ce temps antédiluvien ne nous sont pas révélés, ils ont disparus, noyés par les eaux du déluge. Seuls, Noé et sa famille avaient cette connaissance qu’ils n’ont pas fait partager aux postdiluviens. Elle était devenue inutile. Et les nouveaux héros furent les Akkadiens de Gilgamesh, puis Abraham le serviteur et prophète de Dieu. Les derniers géants de Canaan devaient être détruits par Dieu devant l’avancée de son peuple Israël. Et l’un des tous derniers du genre, nommé Goliath, était philistin et fut tué par la pierre lancée par la fronde du jeune David.
Géante, grande ou petite, la vie humaine ne dépend que du bon vouloir de Dieu qui donne vie ou mort selon sa justice et son jugement suprême.
La découverte de l’existence de ces 20 années de sécheresse absolue de la zone tropicale terrestre nous donne donc la cause de l’existence de son aspect désertique, aride et stérile. Il est évident qu’en 4200 BP (anglais : Before Present : avant maintenant), les hommes ne produisaient aucune pollution atmosphérique, et ils étaient soumis et dépendants des lois imposées par la nature. La cause du châtiment infligé était donc spirituelle et divine, car rapidement après le déluge, l’humanité nouvelle est redevenue rebelle et idolâtre. Ceci, à un tel niveau, que Dieu a encore été contraint de la frapper de mort localement et partiellement.
En agissant ainsi, Dieu a voulu laisser, par cet aspect de désert, le témoignage historique de son action punitive. Et ce témoignage nous permet de comprendre la cause du réchauffement climatique qui frappe la terre entière depuis quelques années en notre époque du temps de la fin. Que l’homme souille et pollue la création de Dieu n’est pas contestable et pas ignoré. Cependant, ces seules actions humaines sont incapables de provoquer un changement du climat universel. Des témoignages scientifiques confirment une intensification du rayonnement solaire, mais cette explication est écartée par les groupes « écologistes » qui préfèrent l’explication des pollutions humaines qu’ils combattent politiquement. Et ce choix est très compréhensible, car les humains incrédules sont incapables d’expliquer la cause de l’intensification du feu solaire. Ils se replient donc sur des causes provoquées par l’homme.
Là encore, c’est la foi au Dieu créateur qui fait toute la différence. Pour ses élus enseignés et instruits de sa connaissance, le voir réagir, n’a rien d’étonnant. Et pour ces élus, la chose est facilitée puisqu’ils constatent l’intensification du mal qui s’étend sur toute la terre, gagnant tous les esprits humains naturellement rebelles et contestataires. Nos rebelles contemporains vont disparaître en grand nombre, tués au cours de la « sixième trompette » ou Troisième Guerre Mondiale qui vient. Mais, selon Apocalypse 16:8-9, Dieu réserve aux rebelles survivants, par le « quatrième » de ses « sept derniers fléaux », une chaleur solaire extrême : « Le quatrième versa sa coupe sur le soleil. Et il lui fut donné de brûler les hommes par le feu ; et les hommes furent brûlés par une grande chaleur, et ils blasphémèrent le nom du Dieu qui a l'autorité sur ces fléaux, et ils ne se repentirent pas pour lui donner gloire. » La fin de ce verset impute au refus de « donner gloire » au Dieu créateur la cause de ce châtiment solaire. Elle éclaire donc en même temps, la cause du réchauffement climatique que nous constatons actuellement. C’est alors que nous trouvons dans Apocalypse 14:7 l’évocation de cette exigence divine rattachée aux deux dates 1843 et 1844 : « Il disait d'une voix forte : Craignez Dieu, et donnez-lui gloire, car l'heure de son jugement est venue ; et adorez celui qui a fait le ciel, et la terre, et la mer, et les sources d'eaux. » Ce verset exige le respect du quatrième des dix commandements qui concerne la pratique hebdomadaire du repos du septième jour sanctifié par Dieu dès la création du monde et de la dimension terrestre. Mais ce verset s’achève en citant « les sources d’eaux ». Dieu nous rappelle ainsi notre besoin vital de ces « sources d’eaux » qu’il fait tarir en premier en signe de sa malédiction. Et ces « sources d’eaux » sont littéralement et spirituellement vitales pour l’élu humain. Littéralement, parce que notre corps physique composé de 75 % d’eau ne peut pas survivre sans être réhydraté après trois jours, en moyenne généralisée ; et spirituellement, parce que la foi humaine nécessite d’être étanchée par la vérité biblique enseignée par Dieu dans sa sainte Bible uniquement. C’est elle qui sert de référence à tout ce qui reçoit le nom de « vérité ».
Les deux choses sont donc indissociables et nous enseignent que la disparition de l’eau est parallèle à la disparition de la vérité dans les esprits humains. Cependant, Dieu n’agit avec puissance et force sur cette privation d’eau que dans des moments choisis par lui pour adresser un message solennel, un avertissement salutaire, aux êtres humains rebelles et contestataires séduits et esclaves de leur liberté liberticide.
Dans cette liberté outrancière, les papes du catholicisme romain ont osé lutter contre la diffusion de la sainte Bible et se sont odieusement avec « arrogance » permis de modifier le texte de ses dix commandements écrits dans Exode 20. Ils ont religieusement légitimé l’abandon du vrai sabbat imposé par l’empereur Constantin en 321, et ont consacré au repos hebdomadaire à sa place, le premier jour dédié dans le paganisme romain au dieu solaire qu’ils nommaient « sol invictus » soit, le « soleil invaincu ». Tu peux ainsi mieux comprendre, pourquoi après la fin du temps de grâce, le « quatrième fléau » s’accomplit par la brûlure du soleil véritable créé par Dieu, qui cause ainsi de terribles souffrances à ses adorateurs païens et faussement chrétiens catholiques et protestants. Et le cas des protestants est encore plus indigne et plus coupable parce qu’ils ont accès, comme le clergé catholique actuel, à la sainte Bible et se réfèrent à elle pour justifier leur doctrine de foi. Dans la comparaison des deux cas, les membres adeptes du catholicisme romain apparaissent comme étant les victimes d’une ignorance biblique, ce qui n’est pas le cas des adeptes des religions protestantes que l’adventisme apostat a rejoint officiellement en 1995.
Sur la terre, les êtres humains sont conduits à apprécier fortement le soleil qui les éclaire, les réchauffe et fait pousser les graines et les plantes. L’appréciation est si forte, qu’exploitant la situation, le diable leur inspire l’idée de le diviniser. Et c’est facile, parce qu’ils pensent qu’ils lui doivent tout, la vie, la croissance et la douce chaleur. Une analyse poussée de la création terrestre montre que Dieu a prévu ce type de situation et qu’il l’a rendu illégitime dès que le péché de désobéissance a été accompli par Adam et Eve.
La création terrestre enseigne des leçons spirituelles cachées de haute importance. Regardons ce soleil que Dieu a créé après la terre, au 4ème jour. La terre présente donc une valeur supérieure à celle du soleil. C’est une immense boule de feu dans lequel se renouvellent sans cesse des millions d’explosions nucléaires. A une distance calculée et choisie par Dieu, la terre tourne autour de lui, bénéficiant de ses rayons lumineux et chauds. Sans saison ni cycle de saisons, le temps s’écoule régulièrement en alternant 12 heures de jour et 12 heures de nuit. Pour obtenir ce résultat, la terre tourne sur elle-même sur un axe Nord-Sud vertical à 90°. Sous cette condition, la rotation autour du soleil ne change rien, mais tout change à cause du péché commis par Eve et Adam. Dieu donne à l’axe de la terre une inclinaison de 23°. Mais ce qu’il nous faut relever, c’est que cet axe reste continuellement orienté vers la même direction, indépendamment du soleil autour duquel elle tourne, et tourne en même temps sur elle-même sur son axe polaire. Cette condition créée par Dieu est inexplicable humainement. Car, Dieu nous donne l’impression que sa main ou son esprit céleste maintient la terre dans son orientation vers lui, en la rendant indépendante du soleil. Celui-ci prend du coup l’aspect d’un instrument utilisé par Dieu et non celui d’une divinité indépendante. Grâce à ce principe d’inclinaison et de maintien de son orientation vers la même direction au cours de son tour du soleil, Dieu a créé le principe des quatre saisons : le printemps, l’été, l’automne et l’hiver. Quand l’hémisphère Sud est le plus proche du soleil, c’est l’été et au même moment l’hémisphère Nord est en hiver. Six mois plus tard, le processus est inversé. Les deux saisons intermédiaires du printemps et de l’automne présentent le même rapport envers le soleil. C’est donc Dieu qui a établi selon sa volonté la saison du commencement du cycle saisonnier et qui a choisi de l’appeler : Printemps soit, premier temps. Ainsi, c’est l’établissement du péché qui provoque le renouveau du temps de la grâce divine.
Le rôle de l’humanité commence seulement après le péché qui va permettre à Dieu de démontrer son amour pour ses créatures dans son incarnation en Jésus-Christ. A noter que le cycle saisonnier est perçu par tous les habitants de la terre, où qu’ils se trouvent mais de manières différentes selon leur position longitudinale. Dieu a voulu inscrire dans sa création l’offre universelle de son salut. En constatant le cycle saisonnier, les êtres humains ont tous la preuve de la première conséquence du péché originel.
C’est dans l’été de l’hémisphère Nord, que le lieu le plus proche du soleil est le tropique du Cancer qui passe par la Mauritanie, le Mali, l’Algérie, la Libye, l’Egypte et l’Arabie, là où l’islam est apparu. Ces pays sont frappés à 90° par le rayonnement solaire, et c’est cette zone du type savane que Dieu a changé en désert en 20 ans de sécheresse continue en 4200 BP. Dieu a choisi de faire naître l’islam dans cette latitude marquée par la mort végétale et animale. Malgré ses horribles péchés, la zone européenne n’a pas été marquée par ce signe symbolique du désert. Dieu a voulu marquer la différence entre les lieux où la foi chrétienne est représentée, même si elle y est mal représentée, et les lieux où elle est rejetée et combattue ouvertement.
Quand le soleil chauffe l’air terrestre et son sol, l’été approche préparant de terribles orages images de la colère divine. Avec le temps, les esprits humains s’échauffent au point de s’affronter, emportés par leur colère. Ceci, en sorte que le réchauffement climatique actuel ne fait qu’accompagner « l’irritation des nations » prophétisée dans Apocalypse 11:18 : « Les nations se sont irritées ; et ta colère est venue, et le temps est venu de juger les morts, de récompenser tes serviteurs les prophètes, les saints et ceux qui craignent ton nom, les petits et les grands, et de détruire ceux qui détruisent la terre. »
En nos jours actuels, nous pouvons de jour en jour, mieux comprendre la cause de cette « irritation des nations ». Les populations occidentales assistent, sans pouvoir les empêcher, à la venue au pouvoir de dirigeants « dictateurs » dans de grandes nations telles que la Russie, la Chine, l’Inde, et même, encore plus étonnant et inquiétant, aux USA, après le Brésil. L’ordre, la norme et les valeurs adoptés par les démocraties occidentales sont remis en cause par ces puissances terrestres nouvellement développées. Et je dois encore le rappeler, mais à elles deux, l’Inde et la Chine représentent 3 milliards d’êtres humains ; leurs avis et leurs désirs méritent donc d’être pris en compte et respectés, quels qu’ils soient.
Et oui, l’orage est une authentique expression de la colère divine, le signe de sa colère personnelle que l’homme peut ignorer à cause de son invisibilité. L’orage est produit par le contact entre de l’air très chaud et de l’air très froid. Deux contraires s’affrontent comme Dieu et le diable, le vrai et le faux, le bon et le mauvais. Et dans ce contact, des éclairs persistants semblent vouloir déchirer la voute céleste. S’ajoute à cela, le terrifiant grondement ou fracas du « tonnerre » selon que le lieu de contact de la foudre avec le sol terrestre est éloigné ou pas. Dans Apocalypse 10:3, Dieu compare sa voix aux « sept tonnerres », confirmant ainsi mon explication : « et il cria d'une voix forte, comme rugit un lion. Quand il cria, les sept tonnerres firent entendre leurs voix. » Note que l’homme est plus épouvanté par le fracas du tonnerre que par l’éclair de la foudre qui est le vrai danger. Celui que la foudre du ciel frappe n’entend pas le tonnerre, il est déjà mort. Le bruit du tonnerre n’est donc destiné qu’à rappeler aux êtres humains qui se détournent de lui, la toute puissance du Dieu créateur qui le crée et l’utilise. Mais les hommes s’éloignent toujours plus de la possibilité de comprendre le sens de ces choses dont ils connaissent le principe et son fonctionnement de manière scientifique.
Le réchauffement climatique que nous constatons en notre époque n’est donc pas dû essentiellement aux pollutions produites par les hommes mais par la toute puissance du Dieu créateur qui a déjà donné un exemple de ce que sa colère peut faire, il y a 4200 années dans la zone tropicale africaine et arabique, depuis islamisée, sur le tropique curieusement nommé « tropique du Cancer ». Pour désigner un lieu frappé par la mort, on ne peut, ni mieux faire ni mieux dire.
M2- Le peuplement de la terre
Cette étude porte notre attention sur le récit de la Genèse et sur le symbolisme prophétique des éléments créés cités.
Le lecteur normal de la Bible est loin d’imaginer la richesse de l’enseignement donné dans Genèse 1 et 2. Et ce qu’il faut relever, c’est l’ordre chronologique dans lequel les éléments de la vie terrestre sont présentés, car Dieu va utiliser pour sa dernière prophétie biblique, Apocalypse, ces éléments pour prophétiser l’ordre dans lequel les entités masquées prophétisées vont se présenter au cours du troisième tiers des 6000 ans d’histoire humaine terrestre.
La première idée à retenir, c’est que cette construction de la dimension terrestre démarre sur une page noire. Rien ne préexiste de tout ce que Dieu va créer. Cette dimension terrestre est illimitée comme son Créateur divin. Et de même qu’un peintre porte sur une toile sa première touche du pinceau, Dieu crée dans cette dimension illimitée, la terre. Elle n’a alors que l’apparence d’une énorme boule d’eau et Dieu lui donne pour nom « abîme » parce qu’elle ne contient encore aucune forme de vie. Ce nom « abîme » est repris et cité dans Apocalypse, chaque fois, pour désigner « l’absence de la vie » et le début d’un processus construit par Dieu. Dans cette révélation, « l’abîme » est rattaché au diable parce qu’il va faire son possible pour limiter, au maximum permis par Dieu, le nombre des élus sauvés par le sang du Christ. Il devient ainsi, dans Apocalypse 9:11, « le roi de l’abîme » qui tente de faire échouer le plan du salut préparé par Dieu en falsifiant les traductions de la sainte Bible écrite « en hébreu et en grec » : « Elles avaient sur elles comme roi l'ange de l'abîme, nommé en hébreu Abaddon, et en grec Apollyon. » Plus tôt, en 1793, « la bête qui monte de l’abîme » fait guillotiner des multitudes de gens royalistes et de prêtres catholiques après le roi et la reine de France ; Louis XVI et Marie-Antoinette. Cette « bête » instaure l’athéisme national qui rejette ainsi toute possibilité de salut éternel. Le Révolutionnaire athée naît, vit et meurt sans espérance de résurrection ; il se trompe et l’ignore, car il sera bien ressuscité, mais uniquement pour apprendre qu’il a rejeté la vie éternelle offerte par Dieu à ses élus et qu’il va devoir subir une « seconde mort » plus redoutable que la première.
Sous ce nom « abîme » cité dans Genèse et Apocalypse, Dieu prophétise dès le commencement qu’après 6000 ans de sélection de ses élus, la terre retrouvera son état « abîme » « informe et vide » du premier jour, pendant le temps du septième millénaire. Dans ce même temps, les élus seront dans le royaume des cieux, occupés à juger avec Jésus-Christ les méchants morts célestes et terrestres.
D’une manière encore très subtile, Dieu place ce premier jour sous le signe de la séparation des deux positions opposées que représentent à ce moment de la création sa conception de vie divine et celle que l’ange rebelle devenu Satan, le diable, défend et justifie. Les deux camps opposés sont symbolisés par la nuit et le jour, les ténèbres et la lumière. Dans cet ordre, parce que les ténèbres se présentent en premier dans cette création terrestre. Au fil de la révélation de la sainte Bible et déjà à la lumière de Genèse 2, il apparaît que Dieu fixe son choix sur le « septième jour » pour en faire le « sceau sanctifié » de sa propriété. Aussi, en opposition au « septième jour », le « premier jour » va représenter le jour du camp des « ténèbres », le jour du diable et des adorateurs qu’ils séduits.
Tout le destin de la terre est prophétisé par cette prédominance des « ténèbres » dans le récit de cette création divine. De cette manière, Dieu nous révèle que cette dimension va être livrée au diable, pour que sa méchanceté soit révélée par les œuvres qu’il va faire accomplir par les humains qui reproduisent sa rébellion. Le plus extraordinaire est que, dès ce « premier jour » marqué comme « séparation » du camp des ténèbres du camp de la lumière, Dieu prophétise la forme que prendra le combat final qui l’opposera au diable à l’heure de son glorieux retour au titre de Micaël pour les Hébreux, et Jésus-Christ pour les derniers vrais adventistes chrétiens. Dans l’ultime épreuve de foi, le « septième jour » de Dieu combattra spirituellement le choix du « premier jour » du diable qui sera alors vaincu et sera condamné à vivre isolé sur « l’abîme » soit, la terre désolée privée de toute vie terrestre.
Dans le deuxième jour, les mots clés sont « séparation » et les « eaux ». Le but que Dieu se fixe est de « séparer les eaux du bas des eaux du haut », et ce message traduit encore le désir de Dieu de « séparer » la vie céleste de la vie terrestre. La zone de séparation est appelée « ciel » et désigne l’atmosphère terrestre constituée de gaz comme l’eau (H2O) mais dans des proportions différentes et principalement de l’Oxygène. Avec la lumière du soleil, le jour, la vie céleste représentée par les étoiles du ciel disparaît à la vue humaine, l’atmosphère illuminé devenant opaque sépare réellement le monde étoilé du monde du sol terrestre. Cette fréquence du mot séparation révèle le besoin pour Dieu de trier, pour le purifier, en séparant son camp de celui du démon rebelle ; ce qui est la raison même de la création de cette dimension terrestre.
Au troisième jour, les mots clés sont « terre » et « mers ». Mais le procédé du rassemblement des eaux est aussi à relever. Car le rassemblement concrétise le moyen de séparer les camps humains ou angéliques célestes, ce qui va devenir le cas dans l’utilisation symbolique des mots « mers » et « terre » dans Apocalypse.
Dans cette prophétie, désignant le catholicisme papal romain et le pouvoir royal civil, « la bête qui monte de la mer » dans Apocalypse 13:1 « rassemble » sous sa domination ses adeptes catholiques qu’elle séduit et trompe. Et « les eaux » sont encore et toujours symboliques des masses humaines, car le projet terrestre de Dieu vise à séparer dans ces masses humaines, ses élus des déchus. Depuis le premier jour, les « eaux » cachent l’identité des vies humaines que la terre va porter à partir du sixième jour et jusqu’au retour de Jésus-Christ. Apocalypse 17:15 confirme ce symbolisme : « Et il me dit : Les eaux que tu as vues, sur lesquelles la prostituée est assise, ce sont des peuples, des foules, des nations, et des langues. » C’est en ordonnant le rassemblement sous son autorité, que le papisme catholique provoque la séparation des élus de Dieu et d’autres jugés par Dieu « hypocrites ». Et c’est donc en refusant le rassemblement proposé que les vrais élus de Jésus-Christ se démarquent et se séparent en sortant du camp séduit et trompé. Ils sortent donc de l’église catholique papale dite chrétienne de la même manière que la terre sèche est sortie de la mer dans le récit divin de Genèse 1:9-10 : « Dieu dit : Que les eaux qui sont au-dessous du ciel se rassemblent en un seul lieu, et que le sec paraisse. Et cela fut ainsi. Dieu appela le sec terre, et il appela l'amas des eaux mers. Dieu vit que cela était bon. » Comme le précise ce verset, « les eaux des mers » sont toutes reliées entre elles et forment bien un « amas d’eaux » qui représente symboliquement toutes les vies humaines dispersées sur la surface de la terre. A partir de l’année 1170, par l’œuvre accomplie par le Lyonnais Pierre Vaudès dit Pierre Valdo, Dieu lance son œuvre de Réforme dont le temps fort sera le XVIème siècle. La séparation obtenue est basée sur la reconnaissance du vrai témoignage de la sainte Bible. C’est par sa traduction correcte disponible en langue provençale (appelée aujourd’hui langue franco-provençale) que Pierre Valdo obtient la conversion des premiers protestants de l’ère chrétienne. La première entité symbolisée par « la terre », c’est lui, et son œuvre vaudoise. Au XVIème siècle, l’invention de l’imprimerie par presse favorise la production biblique et donne aux témoins de l’époque une réputation plus grande que celle de Pierre Valdo. Mais ces nouvelles traductions sortent des presses calvinistes de Genève et elles comportent d’importantes erreurs dont certaines ont été conservées jusqu’à notre époque. C’est à cause de ces déformations que la Bible « détruit » la vérité écrite originellement « en hébreu et en grec » dans Apocalypse 9:11. Ce mot « terre » symbolise idéalement la religion protestante engagée dans une Réforme qui n’a jamais été achevée. « La terre » peut être à l’image de Pierre Valdo productrice de très bons fruits ; mais elle peut aussi produire une piètre qualité de mauvais fruits ou autres récoltes que le protestantisme de Jean Calvin a semés autour de lui et après lui jusqu’aux USA.
Pour Dieu, la terre a vocation à produire des fruits, recevoir des semences, et produire avec abondance et qualité. C’est aussi ce qu’il attend de « la terre » protestante symbolique. Mais le bon fruit est rare et ceux qui dominent en nombre sont indignes et hypocrites. Ils honorent des « héros » qui ont pris des armes et tué des Catholiques armés ou pas ; alors que Jésus a interdit à ses apôtres de faire ces choses à l’heure de son arrestation par les gardes du Temple juif. De plus, à l’heure où Dieu exige la restauration de « son repos sanctifié du septième jour » soit, à partir de 1843 et 1844, ils méprisent le retour de Jésus annoncé prophétiquement pour ces deux dates et refusent d’abandonner la pratique du repos dominical romain quand l’exigence divine leur est présentée. Le nom de Jésus ne suffit pas pour être un authentique chrétien, car Dieu se présente en Jésus-Christ, en Fils parfaitement obéissant donné comme le modèle que ses élus doivent imiter en toute chose. En multitudes, des gens sont trompés par les fausses représentations chrétiennes et cette stratégie diabolique est à ce point importante que Dieu en fait le thème de sa prophétie dans Apocalypse 9, où on trouve de multiples comparaisons trompeuses suggérées par l’abondance du terme « comme ». Dans ce chapitre, Dieu ne fait que confirmer les propos tenus par Jésus qui nous dit dans Matthieu 7:15 : « Gardez-vous des faux prophètes. Ils viennent à vous en vêtement de brebis, mais au dedans ce sont des loups ravisseurs. » Ces « loups ravisseurs » sont ces gens religieux qui n’entrent pas aux cieux et combattent pour empêcher les autres d’y entrer, comme les pharisiens hypocrites de l’époque de son ministère terrestre. Dieu les rassemble sous l’étiquette nommée « rebelle »que Dieu dénonce particulièrement dans Ezéchiel 2 dans lequel, sur 10 versets, le mot « rebelle » est cité 6 fois.
Dans l’histoire du XVIème siècle, le mot « terre » tient un rôle important dans son sens littéral, puisque coïncident au même moment, le début officiel de la Réforme protestante, traditionnellement rattaché au témoignage du moine allemand Martin Luther, et la redécouverte du continent Nord-américain qui allait devenir la terre d’accueil des premiers protestants anglicans exilés depuis l’Europe. Littéralement et spirituellement soit, en symbole, le protestantisme est ainsi doublement rattaché au mot « terre ». Et en France, cet esprit rebelle protestant va se métamorphoser en athéisme libre-penseur en se révoltant contre son roi en 1789. Il le guillotinera avec ses alliés aristocrates en 1793 et 1794.
Revenant dans le récit de la Genèse, en ce troisième jour, Dieu fait ressortir le sec nommé terre des amas d’eaux appelés mers. Le rassemblement des eaux devait se faire en un même lieu et déjà les eaux symbolisant des vies humaines, cette description correspond à l’expérience de la tour de Babel où sur son ordre, Nimrod rassembla les habitants survivants de toute la terre. Et je rappelle que selon le message précédent, la zone tropicale du Cancer fut victime d’une sécheresse mortelle de 20 années entières, 4200 ans avant nous. Il est donc temps de réaliser que depuis le premier jour, les descriptions divines citées décrivent la terre frappée par le péché. Et ceci avec raison, puisque la terre est créée par Dieu avec tous les éléments de sa dimension, pour devenir le royaume du péché soit, le royaume du diable. Ainsi, tous les éléments cités sont en relation directe avec le thème du péché.
Nous avons l’habitude d’attribuer le nom « péché originel » à la désobéissance d’Adam et Eve, et cette interprétation qui n’est pas totalement fausse nous empêche de prendre en compte le vrai, le premier péché originel qui fut commis par le premier ange créé par Dieu, son premier vis-à-vis libre, qui est devenu Satan, le diable, dont la stratégie est celle du « dragon » ouvertement persécuteur ou celle de la ruse qui le fait « serpent » séducteur et trompeur.
Que veut donc nous dire Dieu à travers sa création terrestre ? Qu’il construit le futur domaine du diable, où il fera démonstration de ses œuvres, et Dieu y fera aussi sa démonstration de la parfaite obéissance, et par sa victoire sur le péché et la mort, en Jésus-Christ, il le retiendra prisonnier dans son domaine terrestre où pendant mille ans, seul et isolé, il attendra l’heure du jugement dernier pour son anéantissement par la seconde mort. Genèse 1 :11, le verset qui vient, va confirmer ce raisonnement : « Puis Dieu dit : Que la terre produise de la verdure, de l'herbe portant de la semence, des arbres fruitiers donnant du fruit selon leur espèce et ayant en eux leur semence sur la terre. Et cela fut ainsi. » Qui a besoin de ces choses ? L’homme que Dieu va former au sixième jour sur la terre et tous les animaux terrestres créés avant lui, dans ce même sixième jour. Cependant, avant le péché, la vie humaine ne dépend pas encore de sa nourriture. Adam et Eve mangent par plaisir et non par nécessité. La situation va changer après le péché, les aliments offerts par la terre travaillée par Adam à la sueur de son front, vont favoriser le prolongement de sa vie et sa nourriture devient une absolue nécessité. Le principe de la nutrition du corps humain pécheur nécessite cette production alimentaire terrestre que ce verset Genèse 1:11 décrit. Le souci du péché est encore dans la pensée de Dieu dans ses œuvres accomplies le 3ème jour.
Puis vient le quatrième jour. Genèse 1:14-15 : « Dieu dit : Qu'il y ait des luminaires dans l'étendue du ciel, pour séparer le jour d'avec la nuit ; que ce soient des signes pour marquer les époques, les jours et les années ; et qu'ils servent de luminaires dans l'étendue du ciel, pour éclairer la terre. Et cela fut ainsi. » Des êtres éternels ont-ils besoin de marquer ou calculer le temps ? Non, car l’éternité n’est qu’une longue continuité sans fin. C’est donc bien à l’intention de l’homme devenu mortel par le péché originel, que Dieu destine l’utilité de cette création de « luminaires placés dans l’étendue du ciel ». Ces luminaires vont être aussi très utiles pour Dieu qui va ainsi, pouvoir inscrire son projet salvateur dans un programme daté révélé en son temps. Il va ainsi pouvoir responsabiliser ses créatures humaines en instaurant ses fêtes prophétiques au cours de ses deux alliances, la première étant juive, et la seconde, chrétienne.
Très tôt, les marins ont appris à exploiter cette carte céleste pour identifier leur position terrestre. Mais, le verset 16 présente le soleil et la lune : « Dieu fit les deux grands luminaires, le plus grand luminaire pour présider au jour, et le plus petit luminaire pour présider à la nuit ; il fit aussi les étoiles. Dieu les plaça dans l'étendue du ciel, pour éclairer la terre, » J’ai déjà fait remarquer comment Dieu dit le soleil plus grand que la lune qui cependant prennent tous deux à l’œil humain une même taille. En analysant ce verset dans sa relation avec le péché, la précision donnée par Dieu prend encore plus d’intérêt. Seul Dieu peut nous apprendre que la terre fut créée avant le soleil et la lune. Et à cause de son symbolisme de Dieu lui-même, le soleil est réellement bien plus grand, mais plus éloigné de nous que la lune symbole du camp des ténèbres sataniques ; taille du soleil : 1 392 700 kilomètres de diamètre ; taille de la lune : 3 474 kilomètres de diamètre ; éloignement du soleil : environ 149 000 000 de kilomètres ; éloignement de la lune : en moyenne 384 400 kilomètres. Note que jusqu’à ce quatrième jour, la lumière qui produisait le jour venait de Dieu directement. Et, au 4ème jour, Dieu se retire et se rend invisible, en se faisant remplacer par la lumière du soleil, sa créature. Dans cette action, il prépare encore la situation du péché en laquelle l’homme ne pourra plus voir Dieu et vivre. Mais ce remplacement de Dieu par le soleil prophétise la tentative romaine de l’empereur Constantin et de ses successeurs lointains, les papes catholiques. Eux-aussi vont remplacer le jour du repos glorieux divin par le jour souillé des païens idolâtres adorateurs du soleil. Et dans les deux cas, l’initiative de se retirer ou de se faire remplacer vient de Dieu lui-même. J’ai réellement beaucoup apprécié cette inspiration qui conduit à renverser le raisonnement en redonnant à Dieu la gloire de créer et d’organiser les œuvres du camp du bien comme celles du camp du mal. Ainsi, dans les pires situations où les ténèbres dominent et cachent la lumière, Dieu garde le contrôle absolu sur la situation. En fait, les ténèbres lunaires n’existent que parce que Dieu se retire et cache sa lumière aux êtres humains qui n’en sont pas dignes. Genèse 1:18 : « pour présider au jour et à la nuit, et pour séparer la lumière d'avec les ténèbres. Dieu vit que cela était bon. » Le thème du péché est encore présent, puisque ces astres célestes ont mission de « séparer » le jour, de la nuit, la lumière, des ténèbres. Cette « séparation » prend l’aspect spirituel de la « sanctification » divine. Dieu « sanctifie son camp par sa vérité », sa lumière en Christ, son jour du repos, le septième. Le soleil et la lune « président » au jour et à la nuit mais ne règnent pas sur eux. Un président n’est pas un roi. Le choix de ce verbe « présider » réduit la gloire de l’élément créé par Dieu qui dit ainsi à ses élus : le soleil et la lune sont mes créatures, rien d’autre.
Dans la norme de la semaine de sept jours que Dieu va donner à l’humanité entière pour marquer le temps, les astres du ciel ne tiennent aucune place, aucun rôle. Ses jours ne portent que leur numéro d’ordre numérique : premier jour ; deuxième jour, troisième jour …, jusqu’au septième jour. Le départ du décompte des semaines est fixé par Dieu à partir de la première semaine de sa création que nous suivons dans cette étude. Etant créé le sixième jour, Adam va pouvoir prolonger le comptage des semaines dans la conformité au choix fixé par Dieu dans la logique de sa création terrestre. Et à travers le temps, tous les sept jours, en septième position, le sabbat va être l’unité du calcul du temps. Cependant, le diable va combattre cet ordre divin et tenter de le remplacer par le sien qui honore le dieu soleil auquel il fait rattacher le premier jour de la semaine divine. Il met ainsi en œuvre le rôle que Dieu a prophétisé au sujet du premier jour qui, en tant que jour des ténèbres, se sépare du camp de la lumière divine ; le dimanche du premier jour se sépare du sabbat du septième jour sanctifié.
La terre produit ses fruits et bénéficie des rayons du soleil qui les fait pousser et croître jusqu’au mûrissement complet. L’homme et les animaux terrestres disposeront ainsi d’une abondante nourriture, bonne et agréable, uniquement végétale. Dieu lui-même atteste que cette réalisation est « bonne ». Et il sera bon pour ses élus de retenir cette leçon jusqu’au retour glorieux du Christ, où leurs corps terrestres souffrants recevront la nature céleste incorruptible de l’éternité.
Vient maintenant le cinquième jour. Dieu crée « les animaux qui vivent dans les mers » et aussi, « les oiseaux qui volent dans le ciel sur la terre ». Il multiplie leurs espèces. Cette création animale dans les mers et le ciel vit en parallèle avec la vie sur la terre émergée. La création marine est indépendante et constitue un milieu de mort par opposition à la vie sur terre. En cause, la salinité de leurs eaux qui rend stérile la terre qu’elles recouvrent. Sous l’angle du péché, elle va devenir un milieu impitoyable dans lequel le poisson le plus gros dévore le plus petit que lui, d’un bout à l’autre de la chaîne de la vie présente. De plus dans ce milieu fermé, les déchets des cadavres et les déjections des animaux marins se répandent dans l’amas des eaux. Dans sa sagesse, Dieu a créé des espèces de mollusques et crustacés qui ont pour rôle de consommer ces déchets pour les recycler et les réduire. Ces choses font des mers le domaine de l’impureté la plus grande de la création terrestre. On peut ainsi comprendre pourquoi Dieu a donné à Israël une liste de choses impures qu’il ne doit pas consommer, et ses élus en Christ se reconnaissent dans cet Israël qu’il chérit particulièrement, pour son amour obéissant. Ainsi, Dieu regroupe en ce cinquième jour les espèces qui nagent sous l’eau et celles qui volent soit, deux caractéristiques qui ne sont pas naturellement données à l’être humain qui se distingue d’eux en ce qu’il marche sur la terre.
Les explications que je viens de donner font de la mer salée le symbole idéal de l’humanité qui reste animale parce qu’elle n’est pas en relation avec son Dieu créateur. Cette humanité consomme des aliments jugés impurs par Dieu et il la tient pour impure. Ce jugement concerne la religion catholique et la religion protestante qui se rendent coupables de ces choses. Mais « la mer » ne symbolise que le catholicisme papal romain. Parce qu’ils se déplacent dans l’air en volant, les « oiseaux impurs » symbolisent les mauvais anges comme le suggère ce verset d’Apocalypse 18:2 : « Il cria d'une voix forte, disant : Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande ! Elle est devenue une habitation de démons, un repaire de tout esprit impur, un repaire de tout oiseau impur et odieux, » Je précise que les anges sont des esprits célestes qui se déplacent dans notre dimension terrestre sans besoin d’ailes. Les ailes ne sont dans la Bible que le symbole de cette capacité des anges et de l’esprit de Dieu de se déplacer sans être soumis aux lois physiques de notre dimension terrestre.
Voici enfin le sixième jour, en lequel Dieu crée la vie animale terrestre. Elle est aussi créée en de multiples espèces que Dieu a classées ensuite comme pures ou impures dans Lévitique 11. Cette classification a pour but de prescrire pour ses élus, parmi les animaux terrestres, ceux qu’ils peuvent manger et ceux qu’ils ne doivent pas manger ; ceci pour des raisons sanitaires que Dieu, leur créateur, est le premier à connaître. Car comme pour la mer, certains animaux terrestres sont des nettoyeurs de déchets et leurs chairs corrompues sont dangereuses pour la santé de l’homme ; le porc est de ce type, un nettoyeur dont la consommation est interdite par Dieu, mais seulement à ses élus qui lui obéissent. Dans Lévitique 11:3 et 4, Dieu indique les critères qui distinguent les animaux purs des animaux impurs : « Vous mangerez de tout animal qui a la corne fendue, le pied fourchu, et qui rumine. » ; « Mais vous ne mangerez pas de ceux qui ruminent seulement, ou qui ont la corne fendue seulement. Ainsi, vous ne mangerez pas le chameau, qui rumine, mais qui n'a pas la corne fendue : vous le regarderez comme impur. » Et Dieu cite encore d’autres espèces dans les versets qui suivent. Ces précisions ne concernent que le temps du péché pendant lequel, Dieu autorise, après le déluge, l’homme à manger la viande qu’il classe pure, pour raccourcir le temps de sa vie ; avec un résultat très efficace. Depuis 1843, la sanctification totale exigée par Dieu de la part de ses élus s’accompagne de l’abandon volontaire de la nourriture carnée animale, l’Esprit préconise le retour au végétalisme, et au minimum, au végétarisme, car ce qui est mort n’est pas l’alimentation de ceux qui veulent vivre éternellement au ciel et sur la « nouvelle terre », car là, il n’y aura plus de mort. La mort est la conséquence du péché, et les élus ne peuvent se nourrir du péché.
Dans ce même sixième jour, l’homme est créé par Dieu. Mais relève la différence entre la présentation de l’homme que « Dieu forme à son image et à l’image de ses anges », et les animaux que la « mer » et « la terre » « produisent ». L’homme est « formé à l’image de Dieu », car cette dimension terrestre a été faite pour qu’il la peuple, selon Genèse 1:26-27 : « Puis Dieu dit : Faisons l'homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu'il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre. Dieu créa l'homme à son image, il le créa à l'image de Dieu, il créa l'homme et la femme. » Les œuvres réalisées les cinq premiers jours étaient faites pour eux. Leur présence est le couronnement de l’œuvre créatrice terrestre de Dieu. Et dans son innocence originelle, le premier homme est en tout point comparable à Jésus-Christ. Sauf qu’il va pécher et que, contrairement à lui, Jésus-Christ va vaincre le péché et la mort. Au soir du sixième jour, la création terrestre est entièrement achevée. Et Dieu referme à ce moment le chapitre 1 de Genèse. Il a pour cela une bonne raison spirituelle prophétique. Car le thème suivant relatif au « septième jour » est présenté à part au début de Genèse 2. La fin de Genèse 1 est à l’image de la situation des hommes pécheurs de la fin du sixième millénaire pour lesquels le repos du sabbat du vrai « septième jour » n’a ni valeur ni obéissance. Pour eux, hommes, femmes, et enfants, la vie va cesser là, au retour glorieux de Jésus-Christ. Cette interprétation est renforcée par la précision « il créa l'homme et la femme ». J’ai toujours pensé qu’Eve a été formée après ce « sixième jour » de la création, et en l’incluant dans ce « sixième jour », Dieu donne à ce « sixième jour » sa valeur prophétique de « sixième millénaire ». Je justifie cette explication par le fait que l’homme représente prophétiquement Jésus-Christ, l’homme du genre mâle qui prophétise la norme céleste des élus des deux genres terrestres.
Le « septième jour » ne concerne que les vrais élus destinés à entrer dans l’éternité offerte par Jésus-Christ. C’est pour cette raison que ce sujet sanctifié est présenté au début de Genèse 2. Car le « septième jour », que Dieu « sanctifie » après avoir formé Adam et Eve, prophétisait le « septième » millénaire qui va offrir à Dieu et ses élus rachetés le vrai repos auquel ils aspirent ; Dieu comme ses élus.
Et au sujet du « septième jour », je veux faire remarquer que dans Genèse et Apocalypse, son accomplissement en « septième millénaire » est toujours séparé et présenté dans un chapitre indépendant différent de ceux qui évoquent le temps terrestre de la vie des élus. C’est le cas dans Genèse ou le chapitre 1 présente la vie terrestre prolongée pendant 6000 années ; et le chapitre 2 prophétise par le « septième jour sanctifié », les « mille ans » de la vie céleste des juges, les élus rachetés.
Le même découpage sépare les 6000 ans terrestres d’Apocalypse 2 et 3, et Apocalypse 4 représente les 1000 ans célestes. C’est encore le cas, dans le thème des « sept trompettes », les six premières sont présentées dans Apocalypse 8 et 9 et « la septième » est présentée, bien séparée des précédentes, annoncée dans Apocalypse 10:7 : « mais qu'aux jours de la voix du septième ange, quand il sonnerait de la trompette, le mystère de Dieu s'accomplirait, comme il l'a annoncé à ses serviteurs, les prophètes. » ; puis elle est développée dans Apocalypse 11:15 : « Le septième ange sonna de la trompette. Et il y eut dans le ciel de fortes voix qui disaient : Le royaume du monde est remis à notre Seigneur et à son Christ ; et il régnera aux siècles des siècles. »
L’enseignement de ce chapitre 11 est très riche, car il évoque, comme les chapitres 12 et 13, le survol des 2000 dernières années de l’histoire terrestre de la sélection des élus de Dieu soit, toute l’ère chrétienne. Et son enseignement évoque donc le temps du règne papal catholique romain qui, instauré en 538, prend fin en étant détruit momentanément par l’athéisme révolutionnaire français établi en 1793. Dieu nomme ce régime exécuteur de sa justice « la bête qui monte de l’abîme » au verset 7. Un montage subtil lui impute deux accomplissements le « premier » en tant que « quatrième trompette » et le « second » en tant que « sixième trompette » qu’il nomme « second malheur », parce qu’il précède le « troisième malheur » que la « septième trompette » représente à partir du verset 15. En lui imputant ce nom de « second malheur », l’Esprit invite le lecteur à comprendre ce qui relie les deux accomplissements de cette pensée athée révolutionnaire. Et que peut-on alors remarquer ? C’est que depuis la Révolution française de 1789, la libre pensée établie à cette époque s’est prolongée dans le temps sous la forme du régime de la démocratie que les nations occidentales ont adopté et qui constitue un héritage lointain de l’Athènes grecque dont Dieu fait dans Daniel 2, 7, et 8, l’image symbolique du péché. Le jugement de Dieu qui est révélé dans la prophétie est ainsi complet et la boucle qui le relie à Daniel 2 se referme. Tout est dit et tout est compris. Ainsi éclairé, l’élu est préparé pour l’épreuve de foi de la « septième trompette ». Il connaît le jugement de Dieu et il l’approuve et le démontre par sa fidélité et sa fermeté dans son respect du repos du septième jour ordonné et sanctifié par Dieu dès le « septième jour » de sa création terrestre.
Après l’autorité abusive et persécutrice du régime du péché de la monarchie catholique et du papisme romain, l’humanité occidentale est tombée dans le piège de la libre pensée révolutionnaire, puis démocrate. Dieu n’est honoré ni par l’un ni par l’autre, et la démocratie a simplement favorisé le développement du mal soit, du péché du modèle grec. Le long temps de paix compris entre 1945 et 2022 a simplement favorisé une extension maximale de ce péché, et le Dieu créateur a obtenu la démonstration qu’il voulait obtenir pour justifier sa manière de juger soit, sa conception du bien et du mal. Cette démonstration complète sa victoire en Jésus-Christ contre le péché, la mort et l’inventeur du péché, Satan, le diable.
Depuis Daniel 2, dans lequel la vision du colosse aux pieds d’argile et de fer soit, de soumission et de rébellion, fondement de la prophétie, place le régime grec sous le signe du péché. Mais quel type de péché lui vaut ce rôle ? L’image de la statue nous donne la réponse en lui attribuant le symbole du ventre et des cuisses soit, en mettant en position central, l’organe sexuel. Ceci, parce que Dieu a retrouvé dans la vie sociale des Grecs, les pratiques homosexuelles des Sodomites du temps de Lot, le neveu d’Abraham. Or, dans sa conquête constante de nouvelles libertés, l’humanité occidentale a reproduit ce modèle, et en France, après son élection en 2012, le président François Hollande, socialiste, a rendu légitime et légal le « mariage pour tous » qui justifie les mariages homosexuels de gens du même sexe. Cette abomination redonne au Paris de 2012 l’image dégradante de Sodome et des Grecs antiques. C’est aussi en France, un retour vers le temps révolutionnaire en lequel, le relâchement complet des mœurs vaut à sa capitale, Paris, d’être nommée symboliquement « Sodome et Egypte » soit, sodomie homosexuelle et péché rebelle, dans Apocalypse 11:8 : « Et leurs cadavres seront sur la place de la grande ville, qui est appelée, dans un sens spirituel, Sodome et Égypte, là même où leur Seigneur a été crucifié. » En disant « leur Seigneur » et non « le Seigneur », l’Esprit élimine l’identification à Jérusalem, et l’expression « leur Seigneur » indique que le lieu ciblé est une ville dans laquelle, « le Seigneur » des « deux témoins » bibliques a été spirituellement « crucifié » de nouveau ; ce qui est conforme au statut historique de Paris où les Révolutionnaires libres-penseurs l’ont rejeté et combattu, tel ce Voltaire qui l’a odieusement traité « d’infâme ».
Le temps de l’utilité de la terre peut prendre fin et revenant en sonnant de la « septième trompette », le glorieux Christ divin va activer cette fin en réduisant la terre en solitude soit, en aspect « abîme ». Et là encore, avec cette fin du type « abîme », c’est toute la prophétie biblique qui se reboucle et s’achève.
Dans toute son histoire, l’humanité a eu le choix entre 3 possibilités de type de gouvernance. L’homme pécheur a inventé la monarchie, puis en Grèce, la démocratie, dans son Israël terrestre, le vrai Dieu créateur a ensuite proposé sa théocratie, et rejetant les deux offres, les derniers pécheurs sont revenus à la démocratie choisie par des êtres humains aussi contestataires que le fut en premier, le diable, pour son malheur.
C’est pour sélectionner des hommes qui ne contestent pas son jugement que Dieu a peuplé la terre en multitudes de gens différents en aspect, physique, mental et religieux. Tous ceux qui se perdent, se perdent à cause de leur ignorance de l’offre de Dieu ou de leur refus de son offre. Ils reproduisent tous, le choix fait par Satan, le diable qui n’ignorait rien du caractère de Dieu et de sa juste souveraineté qu’il a osé contester.
Toutefois, la contestation n’est condamnable que lorsqu’elle attaque la cause de la vérité divine, car dans son ministère terrestre, Jésus-Christ fut avant ses apôtres et ses vrais disciples, le Maître de la contestation. Mais la cible de sa contestation était le clergé religieux juif représenté par la tribu de Lévi à laquelle appartenaient Moïse, Marie, et Aaron. Déjà, Moïse avait été contesté par sa sœur et son frère, et l’héritage charnel de la fonction sacerdotale ne pouvait que produire un fruit désastreux de fonctionnaires sans foi ni loi pour eux-mêmes. Ce sont ces gens indignes de leur charge que Jésus reprit sévèrement, les menaçant de la punition de la géhenne.
Alors que les hommes se distinguent entre eux par des apparences physiques, par leur couleur de peau et leur type racial, pour Dieu, la distinction se fait uniquement sur leur caractère et leur esprit. Pour lui, ils sont tous des Adams porteurs de caractères très différents. En sorte que la terre entière n’aura été peuplée pendant 6000 ans que par de multiples formes d’Adam et Eve ; et parmi eux, Dieu a sélectionné ses élus rachetés par Jésus-Christ.
M3- Les mensonges religieux
Sous la forme chrétienne, les mensonges religieux ne sont pas tous facilement identifiés. Ceci, parce qu’ils sont souvent construits à partir d’enseignements cités dans la sainte Bible, mais sont mal interprétés par le lecteur.
Un exemple concret de ce type de mensonge concerne les anges célestes. L’héritage religieux occidental est fondamentalement celui du catholicisme romain qui n’a jamais été en relation avec Dieu dans toute son histoire, depuis son commencement et qui ne le sera jamais, jusqu’à sa fin. Ainsi privé de l’Esprit de Dieu, les lecteurs de ce catholicisme n’ont pris les mots bibliques que dans leur sens littéral, et toute leur doctrine repose sur cette lecture littérale, alors que source de toute sagesse, dans ses révélations, Dieu fait appel à des constructions reposant sur de grandes subtilités ; ce qui rend la compréhension de celles-ci inaccessible aux ordinateurs modernes dotés de l’intelligence artificielle. Et à ce sujet, la machine ne peut comprendre que ce que l’homme qui l’a conçue peut lui-même comprendre. De cette manière, selon ce principe, les secrets de Dieu sont bien gardés car Dieu ne donne pas ses perles aux pourceaux selon Matthieu 7:6 : « Ne donnez pas les choses saintes aux chiens, et ne jetez pas vos perles devant les pourceaux, de peur qu'ils ne les foulent aux pieds, ne se retournent et ne vous déchirent. »
En ce qui concerne les anges, la tradition catholique déforme leur aspect réel, ses peintres leur ayant donnés l’apparence d’angelots qui sont des bébés nus ailés ou plus rarement celle de jeunes hommes aux longues chevelures blondes également ailés. Faut-il s’en étonner ? Non, puisque le texte biblique d’Ezéchiel et d’Apocalypse décrivent cette apparence d’hommes ailés.
L’aspect des bébés relève du pur fantasme humain inspiré par le diable et sa doctrine catholique romaine. Pourquoi ce choix de l’aspect du bébé ? Simplement pour imager la parfaite innocence de ces anges. Mais même cette explication est injustifiée par ce que nulle part la sainte Bible présente un bébé qui naît porteur du statut de l’innocence, à l’exception du bébé Jésus-Christ, né Jésus de Nazareth. Sur ce point, l’enseignement divin est clair, selon Romains 3:23 : « Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu ; » et 5:12 : « C'est pourquoi, comme par un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort, et qu'ainsi la mort s'est étendue sur tous les hommes, parce que tous ont péché, » L’innocence des bébés n’est donc qu’un dogme mensonger du catholicisme romain. Et Jésus peut condamner ce mensonge qui ne tient aucun compte de son enseignement.
Car il a dit selon Matthieu 22:29-30 : « Jésus leur répondit : Vous êtes dans l'erreur, parce que vous ne comprenez ni les Écritures, ni la puissance de Dieu. Car, à la résurrection, les hommes ne prendront point de femmes, ni les femmes de maris, mais ils seront comme les anges de Dieu dans le ciel. » Ces paroles du Christ s’adresse donc encore aujourd’hui aux catholiques romains qui ne comprennent, ni les Ecritures, ni la puissance de Dieu. Et depuis 1843-1844, ce statut est partagé par les diverses formes du protestantisme et par l’adventisme officiel depuis 1994. L’explication donnée par Jésus est limpide : il n’y a dans le ciel ni mari ni femme mais uniquement des anges créés directement par Dieu. Il n’y a donc dans le ciel aucune reproduction et aucune créature à l’image d’un bébé, puisque Dieu a formé le premier homme dans son aspect adulte et non sous une forme de bébé. L’aspect du bébé est strictement terrestre et dû au principe de procréation des couples humains.
Selon les paroles de Dieu, lui-même, nous savons que les anges sont à notre image, puisque « Dieu a formé l’homme à son image » déjà partagée par ses anges célestes qu’il associe à son œuvre créatrice, selon Genèse 1:26-27 : « Puis Dieu dit : Faisons l'homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu'il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre. Dieu créa l'homme à son image, il le créa à l'image de Dieu, il créa l'homme et la femme. » Je donne ici l’explication de cette forme pluriel, « faisons », exceptionnelle, que Dieu emploie ici pour s’exprimer. Car partout quand il parle, il le fait à la première personne du singulier, confirmant ainsi l’unicité de sa personne. Je profite de ce sujet pour rappeler que « le dogme de la trinité » ne désigne pas trois personnes divines mais trois rôles portés par le même Esprit divin dans son plan du salut préparé pour ses élus humains. Dieu est par sa nature le Créateur soit, « le Père » qui en « Fils » nommé Jésus-Christ rachète ses élus, et il revient en « Saint-Esprit » cohabiter en eux pour les instruire et les diriger.
Le deuxième gros mensonge, également hérité du catholicisme, concerne le sujet de la sanctification. Dans la religion catholique ce droit de sanctifier dit canonique est revendiqué et appliqué par ses papes successifs. Ils décrètent ainsi « saints » des gens qui les ont fidèlement servis, eux et non Dieu qui est d’un tout autre avis. Des multitudes de gens trompés révèrent ses « faux « saints » et pratiquent, sans en avoir conscience, ce que l’apôtre Paul nomme le « culte des anges », dans Colossiens 2:18 où il dit : « Qu'aucun homme, sous une apparence d'humilité et par un culte des anges, ne vous ravisse à son gré le prix de la course, tandis qu'il s'abandonne à ses visions et qu'il est enflé d'un vain orgueil par ses pensées charnelles, » On retrouve cette apparence d’humilité dans le comportement des moines des monastères catholiques. Ils portent la robe de bure mais aussi la tonsure sur la tête, ignorant l’interdiction de Dieu de faire ce genre de chose. Et en signe de contradiction, Dieu demandait à ceux qui se consacraient à lui par le vœu du « naziréat » de ne pas couper leurs cheveux et de les laisser pousser à l’exemple du célèbre juge Samson.
Les papes sont d’autant plus disqualifiés pour désigner des saints qu’ils sont tenus par Dieu comme ses ennemis qu’il condamne et par le fait que Dieu seul peut octroyer la sainteté à ses créatures car il est seul à pouvoir juger de la dignité de celles-ci, connaissant leurs pensées les plus cachées. Et à ce sujet, l’offense papale est des plus graves qui puissent être faites parce qu’elle concerne directement ce droit unique et absolu du Dieu créateur suprême.
La fausse sanctification est l’essence et le matériel de toute la supercherie religieuse catholique. Et Dieu confirme ce jugement en donnant dans sa prophétie biblique une place fondamentale au sujet de la sanctification. C’est le cas dans Daniel et jusqu’à la fin d’Apocalypse qui s’achève par ces mots au dernier chapitre, le 22ème et au verset 21 que seule parmi toutes les traductions bibliques française, la version de N.L. Darby respecte et traduit correctement en citant le mot « saints » : « Que la grâce du Seigneur Jésus Christ soit avec tous les saints ! » Visiblement le sujet est important pour être attaqué par le diable de cette manière. Important ? Il est simplement vital et fondamental, car dans son jugement Dieu ne sauvera que ceux auxquels il aura reconnu la dignité de la sainteté.
N’est pas « saint » qui le prétend simplement, car pour Dieu et ses élus, « la sainteté » est une norme, une conformité au modèle qui doit être imité et reproduit, un modèle parfait nommé Jésus-Christ, exemple de fidélité parfaite, d’obéissance parfaite, et d’amour parfait. Il a pu ainsi faire dans Jean 14:6 cette déclaration : « Jésus lui dit : Moi, je suis le chemin, et la vérité, et la vie ; nul ne vient au Père que par moi. » Le catholicisme romain et ses dogmes mensongers sont à l’opposé absolu de lui, « l’autre chemin, le mensonge, et la mort ».
N’est « saint » que ce que Dieu désigne comme tel. Et dès le début de la Bible, le premier sujet de « sainteté » concerne sa « sanctification du septième jour » citée dans Genèse 2:2-3 : « Dieu acheva au septième jour son œuvre, qu'il avait faite : et il se reposa au septième jour de toute son œuvre, qu'il avait faite. Dieu bénit le septième jour, et il le sanctifia, parce qu'en ce jour il se reposa de toute son œuvre qu'il avait créée en la faisant. »
Il faut bien comprendre que le Dieu créateur présente là, le fondement de toute la sainteté que nous allons retrouver dans les récits de la sainte Bible. Ces deux versets instaurent la sanctification du repos du septième jour et ils prophétisent le temps du septième millénaire dans lequel Dieu et ses élus rachetés partagerons le repos parfait et s’emploieront à juger les rebelles morts célestes et terrestres chacun, individuellement, cas par cas. Or pour juger ces rebelles, Dieu sélectionne ses juges adjoints parmi les humains sélectionnés par Jésus-Christ qui les a rachetés en offrant sa vie pour expier leurs péchés.
Il y a donc dans la « sanctification du septième jour », l’annonce de la victoire du Christ sur le péché et sur la mort. Le « repos du sabbat » est donc lui-même prophétique de cette victoire finale de Dieu en Jésus-Christ ; ce qui justifie dans Apocalypse 6:1, les paroles tenues dans ce verset : « Je regardai, et voici, parut un cheval blanc. Celui qui le montait avait un arc ; une couronne lui fut donnée, et il partit en vainqueur et pour vaincre. » Je précise l’intérêt de ce détail, Jésus-Christ est armé d’un « arc », qui tue à distance, tandis que dans le « sceau » suivant, le diable tient « une grande épée », utilisée pour le combat rapproché, ce qui est justifié par son conditionnement terrestre, depuis que Jésus l’a chassé du ciel, selon Apocalypse 12:8-9.
L’honneur rendu au « repos du sabbat » est donc le moyen d’honorer la victoire obtenue par Jésus-Christ ; c’est beau et c’est simple ; si simple que le diable ne pouvait se priver de l’attaquer. Mais lui imputer cette attaque est déjà trop l’honorer, car redoutable pour qui n’est pas sous la réelle protection de Dieu, il n’en est pas moins que sa créature comme tout être céleste ou terrestre. Le diable ne fait qu’accomplir les œuvres que Dieu lui a préparées d’avance comme il le fait pour toutes ses créatures en fonction de leur choix et de leur obéissance à ces valeurs, ses normes révélées par ses lois. Ce qui a pris l’aspect d’une attaque contre le sabbat n’est pas une attaque, mais plus subtilement, le signe d’une appartenance au camp du diable ; le sabbat étant lui-même le signe de l’appartenance au Dieu créateur selon Ezéchiel 20:12-20 : « Je leur donnai aussi mes sabbats comme un signe entre moi et eux, pour qu'ils connussent que je suis YaHWéH qui les sanctifie…/… Sanctifiez mes sabbats, et qu'ils soient entre moi et vous un signe auquel on connaisse que je suis YaHWéH, votre Dieu. ». Depuis le commencement, Dieu sélectionne le meilleur et il laisse au diable le reste. Et ce reste majoritaire pour lequel la vérité divine a peu d’importance, Dieu l’a livré au mensonge catholique qui a hérité de l’empereur Constantin 1er son repos hebdomadaire du premier jour, l’ex « jour du soleil » rebaptisé par les Catholiques, « jour du Seigneur » soit, en français, « dimanche ».
Le mensonge catholique est dénoncé par Dieu, dans Apocalypse 13:5 : « Et il lui fut donné une bouche qui proférait des paroles arrogantes et des blasphèmes ; et il lui fut donné le pouvoir d'agir pendant quarante-deux mois. » ; 13:6 : « Et elle ouvrit sa bouche pour proférer des blasphèmes contre Dieu, pour blasphémer son nom, et son tabernacle, et ceux qui habitent dans le ciel. »
Les accusations de Dieu sont concentrées dans ces deux versets dans lesquels les termes « blasphèmes et blasphémer » ont le sens du mensonge et de dire des mensonges. Je rappelle que Jésus-Christ a été condamné au titre de blasphémateur pour s’être dit « Fils de Dieu », ce que les Juifs considéraient être un odieux mensonge. Le vrai sens du mot n’est pas l’insulte, les mots grossiers que les êtres humains s’envoient dans la figure. Et ce sens du mensonge confirme la norme du camp diabolique, le diable étant « le père du mensonge » selon Jean 8:44 : «Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fonds ; car il est menteur et le père du mensonge. » « Le père du mensonge » qui combat « la vérité » selon le verset qui suit : « Et moi, parce que je dis la vérité, vous ne me croyez pas. »
La vérité contre le mensonge et le mensonge qui combat la vérité résument toute la grande tragédie des siècles mais accomplit le projet pour lequel la dimension terrestre a été créée par Dieu. Il ne pouvait en être autrement. Et dans le message précédent, nous avons pu relever les « séparations » successives qui dans Genèse 1 conduisent à la « sainteté » de Genèse 2, des élus sélectionnés par Dieu chez lesquels il restaure en Jésus-Christ « son image ». Pour répondre à ses exigences, les élus doivent identifier le mensonge que Dieu condamne et c’est le rôle qu’il a voulu donner à sa prophétie biblique construite principalement sur Daniel et Apocalypse ; Daniel et Jean étant « deux prophètes » représentant des « deux témoins » bibliques de Dieu que sont, dans Apocalypse 11:3, les deux saintes alliances, l’ancienne et la nouvelle. A noter que ces deux livres, Daniel et Apocalypse, sont les plus ignorés par les lecteurs de la sainte Bible.
Le verset Apocalypse 13:6 mérite toute notre attention : « Et elle ouvrit sa bouche pour proférer des blasphèmes contre Dieu, pour blasphémer son nom, et son tabernacle, et ceux qui habitent dans le ciel. »
Déjà la formule, « elle ouvrit sa bouche », établit un lien avec Daniel 7:8-20 : « Je considérai les cornes, et voici, une autre petite corne sortit du milieu d'elles, et trois des premières cornes furent arrachées devant cette corne ; et voici, elle avait des yeux comme des yeux d'homme, et une bouche, qui parlait avec arrogance. …/… et sur les dix cornes qu'il avait à la tête, et sur l'autre qui était sortie et devant laquelle trois étaient tombées, sur cette corne qui avait des yeux, une bouche parlant avec arrogance, et une plus grande apparence que les autres. » Dans ces versets, les « yeux » imputés à la Rome papale désigne sa voyance soit, sa prétention à la fonction de « prophétesse » qu’Apocalypse 2:20 lui impute : « Mais ce que j'ai contre toi, c'est que tu laisses la femme Jézabel, qui se dit prophétesse, enseigner et séduire mes serviteurs, pour qu'ils se livrent à l'impudicité et qu'ils mangent des viandes sacrifiées aux idoles. » Je précise que cette prétention apparaît dans le nom de son Etat soit, Vatican ; le terme « vaticiner » signifiant « prophétiser » dans son origine latine.
Dieu est donc lui-même directement la cible de ses mensonges et déjà, par le fait de prétendre le servir alors qu’il n’en est rien.
Elle « blasphème son nom » soit, ment au sujet de son caractère et de son comportement ; soit, tout ce qu’il représente et fait sa réputation. Ses persécutions dirigées contre les lecteurs de la Bible sont opposées au désir du vrai Dieu qui sélectionne ses élus par leur attitude fidèle envers sa sainte Bible. Autant le vrai Dieu est bon et miséricordieux, autant elle est cruelle et haineuse envers ses fidèles serviteurs qu’il bénit et sélectionne pour la vie éternelle. Alors que Jésus enseigne ses élus à pardonner les offenses venues de leurs ennemis, elle punit de mort ceux qui l’offensent en résistant à son autorité pour obéir au vrai Dieu.
Elle « blasphème son tabernacle ». Le « tabernacle » construit par Moïse n’était que l’image prophétique de l’Eglise du Christ, la vraie sainte Maison de Dieu. Appelé aussi « temple », ce « tabernacle » représente Jésus-Christ en personne selon ses paroles lancées en défit aux Juifs qui l’entouraient, citées dans Jean 2:19 à 21 : « Jésus leur répondit : Détruisez ce temple, et en trois jours je le relèverai. Les Juifs dirent : Il a fallu quarante-six ans pour bâtir ce temple, et toi, en trois jours tu le relèveras ! Mais il parlait du temple de son corps. » Selon Ephésiens 5:23, l’Eglise est bien « le corps » de Jésus-Christ : « car le mari est le chef de la femme, comme Christ est le chef de l'Église, qui est son corps, et dont il est le Sauveur. »
Dans ses mensonges, la doctrine catholique conteste toute cette vérité qu’elle foule aux pieds en recherchant sa propre gloire et celle de ses dirigeants, les papes, les cardinaux et les évêques. Elle présente au monde son organisation comme étant la représentation de l’autorité de Dieu sur la terre. Elle a ainsi obtenu la crainte des rois et des seigneurs et celles des petites gens, tous trompés par les apparences. Mais ses excès de haine persécutrice ont dressé l’esprit libertaire contre elle, et contre le vrai Dieu dont elle se réclame. En conséquence, l’athéisme s’est développé, gagnant en Occident de plus en plus d’adeptes au fil du temps de la paix et de la liberté. Et contrairement à la cause du déluge d’eaux du temps de Noé, les humains d’aujourd’hui ne se rendent pas coupables de l’idolâtrie païenne polythéiste mais de l’athéisme et de l’esprit libertaire anarchiste. Se croyant libre en rejetant toutes les formes religieuses, l’humain rebelle de 2025, est plus esclave que jamais du péché qui le domine et dirige ses choix de vie.
Elle « blasphème ceux qui habitent dans le ciel ». Par cette expression, Dieu conteste les jugements établis par l’église catholique romaine. Dans sa doctrine, elle ajoute dans le ciel un lieu situé entre l’enfer et le paradis qu’elle appelle le « purgatoire » ; une nouvelle invention de Rome non héritée des Grecs qui n’ont inventé eux que le dogme des « enfers » créé par la synthèse de leur croyance dans l’immortalité de l’âme et le constat de l’existence du magma en fusion libéré par les éruptions volcaniques, nom tiré de leur dieu des enfers nommé Vulcain.
Il est temps de balayer cet amas d’ordures mensongères et de rendre au ciel, la description qui lui revient. Il n’y a dans le ciel, ni paradis, ni purgatoire, ni enfer et cependant il y a bien dans le projet de Dieu, un paradis et un enfer. Mais ce qui échappe à l’intelligence de ses ennemis, c’est que ce paradis et cet enfer ne prendront forme et réalité qu’avec le jugement dernier au cours duquel le feu de la « seconde mort » venu du ciel et du magma en fusion souterrain terrestre consumeront les rebelles, et toutes les œuvres de la terre, transformée dans l’action en étang de feu. Quand au paradis, il faudra attendre le renouvellement de l’aspect de la terre pour le trouver et y vivre. Le paradis fut terrestre au début de la création terrestre par Dieu. Il n’a jamais été céleste et ne se retrouvera que sur cette terre actuelle renouvelée et adaptée à la vie éternelle de ses habitants, Dieu et ses élus rachetés.
Le royaume des cieux où Jésus prépare une place pour ses élus selon Jean 14, n’est jamais appelé paradis dans les saintes Ecritures. Le lien qui est fait est la conséquence d’une tradition humaine longtemps entretenue par l’enseignement catholique romain. Le séjour des élus dans le royaume céleste de Dieu, est limité à « mille ans » consacrés au jugement des créatures célestes et terrestres rebelles. En ce qui le concerne, le paradis nommé « Eden » a au contraire une durée illimitée, le temps de l’éternité héritée par les bienheureux rachetés de Jésus-Christ, sélectionnés avant et après son ministère terrestre, pendant 6000 ans.
Dieu donne dans Apocalypse 12:12 cette précision : « C'est pourquoi réjouissez-vous, cieux, et vous qui habitez dans les cieux. Malheur à la terre et à la mer ! Car le diable est descendu vers vous, animé d'une grande colère, sachant qu'il a peu de temps. »
L’Esprit décrit ce qui est arrivé après la victoire du Christ sa mort et sa résurrection. En Micaël, Jésus-Christ a chassé du ciel Satan et ses démons célestes, le ciel a donc été entièrement purifié et ses habitants ont toute raison de s’en réjouir. Pourraient-ils réagir ainsi, s’il existait dans leur ciel, un enfer ou un purgatoire ? Evidemment non, et Dieu n’a jamais évoqué l’existence d’un purgatoire. Quand à son paradis et son enfer, j’en ai donné les explications, les deux sont terrestres, chacun en leur temps prophétisé par Dieu dans ses révélations pour le temps de la fin.
A la lumière d’Apocalypse 12:7 à 12, le ciel a retrouvé sa pureté et Satan et ses anges rebelles sont devenus terrestres, le ciel leur étant interdit. Le temps d’action qui leur reste au moment de leur expulsion du ciel, est de 2000 ans qui ont commencé le 3 Avril 30, jour de la mort de Jésus-Christ, mais en réalité, depuis le 20 Mars 30, jour du printemps de cette année 30 qui prévaut pour le temps compté par Dieu selon Exode 12:2 : « Ce mois-ci sera pour vous le premier des mois ; il sera pour vous le premier des mois de l'année. ».
Le dogme catholique impute aux habitants du ciel la présence de créatures qui n’y sont pas encore, si elles doivent un jour s’y trouver. Pour les membres du catholicisme, le diable lui-même vit encore au ciel et Dieu supporte sa présence. Il impute aussi au ciel, la reine du ciel, « la Vierge marie » qui n’y est pas encore, car elle attend avec tous les vrais saints, le jour du retour en gloire de Jésus-Christ pour être ressuscitée. Ce sophisme diabolique séduit des multitudes de gens qui fondent littéralement devant son image et ce qu’elle représente de sainteté. La vision d’une femme, mère de Jésus, image de la douceur, captive les âmes trop sensibles et mal instruites bibliquement. Dans ce subterfuge, le diable réussit un coup de maître qui lui permet de dominer sur des multitudes d’esprits humains séduits et trompés que Dieu ne peut plus et ne veut plus protéger.
Le culte de cette fausse Marie simulée par des visions diaboliques est la conséquence directe de la croyance en l’immortalité de l’âme hérité du philosophe grec Platon. L’homme pécheur s’attache facilement à tous ce qu’il juge agréable et pour le diable, il est facile de l’appâter et de le prendre dans ses filets. Les êtres superficiels ont besoin d’asseoir leur foi sur des preuves visuelles, et la vision de la « vierge » que de nombreux témoins attestent est très consolante et fortifiante. Des multitudes de créatures humaines construisent ainsi leur foi religieuse sur la foi et les expériences d’autres créatures trompées par les ruses du diable. Un verset de la Bible cité dans Jérémie 17:5 prend alors toute sa valeur : « Ainsi parle YaHWéH : Maudit soit l'homme qui se confie dans l'homme, qui prend la chair pour son appui, et qui détourne son cœur de YaHWéH ! »
Pour échapper à cette malédiction qui frappe et concerne toute l’humanité, il n’existe qu’un seul moyen, c’est de prendre appui sur Dieu en étudiant assidument, et aussi sérieusement que la situation le justifie, sa sainte parole biblique, sa seule écriture inspirée. Les catholiques qui ont aujourd’hui accès à la parole de Dieu, la sainte Bible, sont encore victimes du poids des années d’obscurantisme de ce régime religieux qui a construit sa force, sa puissance, et son prestige dans le mépris total des grandes vérités divines bibliques. Pour ces catholiques, la pensée du pape actuel est plus importante que tout ce que la Bible peut dire ou enseigner. La méfiance envers l’institution a d’autant plus disparu qu’elle ne persécute plus personne et se présente à l’inverse, victime des ennemis religieux musulmans qui l’agressent.
Avec Marie, la vierge, de multiples saints et saintes catholiques sont vénérés et adorés. Et il faut bien le constater, le « culte des anges » cachés derrière ces saints et saintes est devenu une normalité, bien que Paul ait mis les chrétiens en garde contre cette pratique dans Colossiens 2:18. Mais ce « culte des anges » est aussi amplifié par le désir de personnes inconsolables de reparler à leur cher défunt disparu. Et exploitant la croyance en l’immortalité de l’âme, les mauvais anges se jouent de la crédulité de leurs victimes et se font passer pour leurs chers disparus. Voilà comment le mensonge catholique conduit aux relations spirites post-mortem des foules de gens catholiques, protestants et autres religions maudites après le judaïsme.
A son tour, la religion protestante est restée prisonnière du mensonge en refusant de se conformer aux exigences de sainteté divines instaurées depuis le printemps 1843. La première exigence de Dieu a été la démonstration de la joie que l’annonce du retour de Jésus-Christ suscitait ou pas chez les Chrétiens de cette époque. Des annonces précises et datées pour 1843 et 1844 ont été faites sur le sol des USA. Ce n’était que le premier test de la foi de l’époque ; le deuxième concernant l’acceptation de la restauration du « repos du sabbat » du samedi, le vrai « septième jour ». Mais il est vrai que le premier test fut déterminant et que tous ceux qui ont méprisé l’annonce de la venue du Christ en 1843 ou en 1844 sont tombés en disgrâce quelle que soit la justification de leur comportement. Ce n’est que tardivement, que Dieu m’a donné de comprendre le vrai sens qu’il donne au sabbat et que révèlent clairement les deux versets cités dans Ezéchiel 20:12-20. L’homme n’a pas vraiment à choisir d’honorer le sabbat, parce que c’est Dieu qui le donne à ceux qu’il trouve dignes de sa « sainteté », puisqu’il est comme son adversaire, le dimanche romain, un signe d’appartenance ; « le sabbat », « le sceau de Dieu », pour Dieu, « le dimanche », « la marque de la bête », pour le diable. Pour être du nombre de ses élus rachetés, Dieu ne sélectionne que des êtres humains logiques et cohérents, conscients de la juste valeur de ses exigences au niveau général de « l’amour de la vérité », expression qui résume tout ce que doit être et ce que doit faire un élu du Christ. Celui qui invite ses élus à partager son éternité céleste ne peut que trouver chez eux, la joie suscitée par la pensée de son retour. Qui n’agit pas ainsi, est écarté et livré au diable ; ceci, en toute justice et logique.
Ecoute ce que Jésus dit dans Apocalypse 14:5 au sujet de ses derniers élus adventistes : « … et dans leur bouche il ne s'est point trouvé de mensonge, car ils sont irrépréhensibles. » Il précise encore dans Apocalypse 22:15 : « Dehors les chiens, les enchanteurs, les impudiques, les meurtriers, les idolâtres, et quiconque aime et pratique le mensonge ! » Derrière ce terme « impudiques » Jésus cible, en plus de « l’impudicité » charnelle, « l’impudicité » spirituelle qu’il impute, en premier, à l’église catholique romaine, et en second, aux religions, protestante, anglicane, et adventiste qui entrent dans l’alliance « œcuménique », avant son vrai retour glorieux final. Apocalypse 17:5 confirme l’accusation portée contre le catholicisme symbolisé par « la prostituée » « Babylone la grande » : « Sur son front était écrit un nom, un mystère : Babylone la grande, la mère des impudiques et des abominations de la terre. » Il convient de relever combien les images proposées par Dieu trouvent dans l’histoire un sens justifié : l’origine du décret en 533 instaurant le régime papal romain est due à la « prostituée » nommée Théodora, devenue l’épouse de l’empereur Justinien 1er, et « amie » du premier pape en titre, nommé Vigile 1er, exerçant réellement l’autorité suprême papale à partir de 538.
Dieu a particulièrement marqué dans la nature le début de cette instauration papale, en plongeant la terre entière dans de profondes ténèbres glaciales, où selon les témoins historiques, « le soleil éclairait comme la lune » ; des ténèbres causées par les super-éruptions successives de deux volcans diamétralement opposés dans la zone équatoriale, le Krakatoa en Indonésie en Novembre 535, et l’Ilopango au Salvador en Février 536. Le froid intense a aussi caractérisé le long règne du roi catholique persécuteur Louis XIV, dit le « roi-soleil », qui a marqué l’apogée de l’outrance religieuse de ce régime papal romain.
Les mensonges religieux sont aujourd’hui, en 2025, propagés par les fausses revendications successives du judaïsme, et celles de toutes les dénominations chrétiennes officielles et non officielles autres que « l’adventisme du septième jour » dissident que je représente, étant depuis le 14 Juin 1980, jour de mon baptême, dépositaire des oracles divins et des prophéties bibliques dont je présente depuis 1982 de claires et limpides explications en harmonie avec la révélation biblique entière ; et ces interprétations ont été constamment confirmées et renforcées par les nouvelles inspirations divines, depuis ma radiation officielle en Décembre 1991. Je tiens mon ministère prophétique d’une vision directe divine reçue au printemps 1975. De telles déclarations m’engagent sous le regard de Dieu, et je le fais parce que je sais en qui j’ai cru et je connais celui qui m’inspire ses divines réponses qui éclairent ce qui est mystérieux et incompris.
M4- Le temps des monstres purificateurs
Les monstres dont je parle ne sont pas ceux de l’antiquité…et encore que, un lien peut aussi être établi avec ceux de l’antiquité. Les monstres que mes propos ciblent apparaissent comme le fruit porté par une lente mais constante conquête du capitalisme occidental anglo-américain. Il aura suffit de bénéficier d’une longue paix qui a succédé à la Deuxième Guerre Mondiale, pour que le pays sorti vainqueur soit, les USA, prenne l’aspect que nous voyons aujourd’hui.
Dieu m’a appelé au baptême le 14 Juin 1980 et au moment où je suis entré dans son service, le monde entrait, lui, dans l’ère informatique imposée par le progrès technique. Les USA ont accueilli les blouses blanches et grises les plus performantes de la terre entière, leur offrant de bons et gros salaires et toutes les commodités pour le développement de leurs recherches. Le résultat a été une avance de ce pays dans ce domaine d’avant-garde.
C’est dans la Silicon Valley qu’en la riche Californie se sont développés les derniers monstres de l’histoire. Je parle de monstres avaleurs de peuples transformés en marchandise nourricière.
Nous avons longtemps été conditionnés par l’organisation de l’ONU qui après l’ancienne SDN a tenté de favoriser les relations et les échanges internationaux. L’ONU a ouvert ses portes à toutes les nations indépendantes de la terre, libres ou pas. Mais il est important de le réaliser, cet ONU était organisée et dirigée par les USA, le pays vainqueur de la Seconde Guerre Mondiale, en marche vers sa domination hégémonique terrestre. S’appuyant sur sa victoire dans le Pacifique et en Europe, le nouveau géant américain a été suivi et obéi par toutes les nations européennes affaiblies et certaines dévastées, la France exceptée, dans un premier temps seulement, en 1958, quand le général de Gaulle est venu diriger son pays. Mais en 2007, le président Nicolas Sarkozy a tué cette indépendance en réintégrant la France dans l’organisation militaire de l’OTAN.
J’ai vécu toutes les phases de cette histoire française et européenne. Et j’ai vu comment le capitalisme américain a transformé la France. Les progrès techniques, réalisés aux USA, attiraient le regard des Occidentaux et séduisaient les populations ; après la radio et la musique turbulente de sa jeunesse, le réfrigérateur, la voiture, et la télévision, l’Occident était unanimement à l’image de son modèle. Jusqu’au 16ème siècle et même jusqu’en 1940, l’Amérique des USA était silencieuse et presqu’ignorée par les nations européennes. Et c’est avec raison que, dans sa révélation prophétique de Daniel 7:7, et Apocalypse 12:3, 13:1 et 17:3, Dieu ne fait référence qu’à cette puissance européenne convertie au catholicisme papal romain. Il illustre cette Europe soumise aux papes romains par l’image de « dix cornes », la « corne » étant le symbole d’une puissance agressive. Dans cette illustration, le régime papal agressif est représenté par une 11ème « corne » nommée, et c’est important, « petite corne » car paradoxalement, évoquant cette « petite corne », l’Esprit lui impute le fait d’être « plus grande que les autres ». Et en effet, faible par elle-même, la papauté domine les rois de la terre. Selon Daniel 7:24, les « dix cornes » vont sortir de l’empire romain et former dix royaumes indépendants qui désignent les ethnies qui peuplent l’Europe occidentale après la chute de l’empire romain ; dix ethnies qui peuplaient les terres des actuels onze pays européens : L’Espagne et le Portugal, l’Italie et la Suisse, l’Angleterre, la Hollande, la Belgique, le Luxembourg, la France, l’Allemagne et l’Autriche. Ces ethnies étaient bien au nombre de dix au moment de la chute de l’empire romain, mais pour Dieu ce chiffre « 10 » a été choisi en raison de la signification spirituelle des chiffres. « 10 », c’est 2 fois 5, et « 5 », c’est le chiffre de l’homme. Or, dans la statue de Daniel 2, les « pieds » sont composés « de fer et d’argile » soit, deux caractères humains opposés inconciliables ; ce que confirme le verset 43 : « Tu as vu le fer mêlé avec l'argile, parce qu'ils se mêleront par des alliances humaines ; mais ils ne seront point unis l'un à l'autre, de même que le fer ne s'allie point avec l'argile. » Le chiffre « 10 » reçoit, ici dans Daniel 7, la même signification que celle des « 10 vierges » de la parabole de Jésus ; « 10 vierges » soit, « 5 folles et 5 sages ». Et ces proportions chiffrées ne représentent pas du tout le rapport réel des fous et des sages trouvés dans l’humanité, car les fous désignés par Jésus sont en réalité des gens normaux qu’il juge fous en raison de leur imprudence et de leur attitude rebelle envers lui. Et cette catégorie de personne désigne la presque totalité des humains occidentaux et des autres peuples de la terre. Les chiffres symboliques sont donc très trompeurs.
La domination universelle a été donnée par Dieu aux peuples faussement chrétiens mais chrétiens tout de même. Dans l’infidélité du catholicisme romain, les royaumes et nations actuelles de l’Europe ont pu recevoir par la colonisation les royaumes de la terre offerts par le diable à Jésus-Christ au moment de sa tentation. Pour obtenir cette domination, il lui suffisait de se prosterner devant le diable soit, exactement ce que le monde occidental a fait en reconnaissant la légitimité de la religion catholique romaine. Il y a 26 siècles avant notre temps actuel, Dieu a appelé Daniel pour lui révéler en image le destin de la religion juive et celui de la religion chrétienne. La prophétie divine ne quitte jamais ce thème religieux chrétien. En agissant ainsi, Dieu témoigne d’un total mépris et désintérêt pour tout ce qui n’est pas chrétien. Et ce comportement est des plus logiques, après que Jésus ait déclaré : « Moi, je suis le chemin, la vérité et la vie ; nul ne vient au Père que par moi ». Son combat contre le diable ne concerne que ses trompeuses contrefaçons religieuses chrétiennes ; la première étant catholique et romaine. Mais dire que Christ combat le diable n’est pas vraiment juste, car son combat vise à protéger ses saints élus et non à combattre le diable qu’il a laissé libre d’agir afin que les humains impies le rejoignent dans sa rébellion et partagent son triste sort final au jour du jugement dernier.
Le premier monstre de l’histoire européenne chrétienne est sans contestation possible, le régime impérial romain que Dieu illustre dans Apocalypse 12:3 : « Un autre signe parut encore dans le ciel ; et voici, c'était un grand dragon rouge, ayant sept têtes et dix cornes, et sur ses têtes sept diadèmes.» Ce grand et terrible monstre décrit comme tel dans Daniel 7:7 : « Après cela, je regardai pendant mes visions nocturnes, et voici, il y avait un quatrième animal, terrible, épouvantable et extraordinairement fort ; il avait de grandes dents de fer, il mangeait, brisait, et il foulait aux pieds ce qui restait ; il était différent de tous les animaux précédents, et il avait dix cornes. » Et Daniel 7 :24 confirme sa succession par « dix royaumes » européens soumis à la Rome papale : « Les dix cornes, ce sont dix rois qui s'élèveront de ce royaume. Un autre s'élèvera après eux, il sera différent des premiers, et il abaissera trois rois. » Le régime papal romain succède donc au régime impérial en prolongeant sa force brutale, terrible et extraordinairement forte. A noter que le quatrième animal prolonge sa domination jusqu’au temps de la fin, par la succession de ses deux régimes, successivement, impérial, puis, papal. Toutes les colonisations réalisées sur la terre ont été européennes. C’est ainsi que ce petit territoire placé au centre du monde a imposé sa domination et conquis d’immenses terres découvertes telles les Amériques, l’Afrique, l’Inde et l’Australie.
Le temps de la colonisation a préparé la chute du deuxième monstre formé par les nations républicaines européennes. La guerre interne de 14-18 et celle de 39-45 ont fait perdre aux nations des colons la dignité de leur autorité. De plus, les pays colons ont préparé leur perte en instruisant les populations colonisées. Des étudiants formés en France sont devenus les chefs des forces d’indépendance des nations colonisées et les unes après les autres, toutes ou presque ont obtenu par le sang ou pas leur indépendance. Le monstre s’est brisé les dents.
Cependant, ces deux guerres qui ont brisé la puissance européenne, ont enrichi les USA qui fournissaient des armes, du matériel, en grandes quantités. Le réveil de ce géant a eu deux causes : dans l’Océan Pacifique, l’attaque de Pearl Harbor par les Japonais le Dimanche 7 Décembre 1941, à 10 heures du matin, à l’heure du rassemblement religieux dans les temples et églises locaux ; et les attaques des convois américains par les sous-marins allemands, dans l’Océan Atlantique. La capacité productive exceptionnelle des USA s’est révélée dans son engagement guerrier. Un nouveau monstre était en croissance.
En 1944, les USA combattent l’Allemagne et le Japon sur les deux champs de bataille, l’Européen et le Pacifique, et remportent finalement la victoire contre les deux ennemis. Dès lors, le monstre domine toutes les nations mais il se contente de les coloniser idéologiquement en leur imposant ses valeurs capitalistes. Le monstre n’a qu’un ennemi, le communisme apparu dans la Russie soviétique. Evitant le choc direct avec la Russie, pendant la « guerre froide » le combat oppose les deux idéologies contraires dans les pays qui soutiennent la cause communiste. Après de nombreuses initiatives meurtrières, les USA mettent eux-mêmes fin à leur guerre tueuse. Dans le même temps, de nouveaux monstres concurrents se sont développés en Chine, puis en Inde, principalement.
Dans le monde de 2025, les petites nations sont écrasées et méprisées. L’heure est favorable aux monstres très puissants. L’Europe, elle-même, est devenue trop faible, affaiblie par sa perte d’emploi, son chômage, et sa consommation presqu’exclusive de produits fabriqués en Asie. L’Europe occidentale, Union Européenne, Royaume-Uni, Suisse et Norvège, s’est trompée en fondant sa force sur ses 535 millions d’habitants. En face d’elle se trouvent l’Inde et la Chine qui comptent chacune plus d’un milliard quatre cent millions d’êtres humains. Mais en 2025, ce nombre d’habitants ne signifie plus rien, et les dirigeants européens découvrent horrifiés qu’un petit pays, comme la Corée du Nord, agressif et surarmé, est plus redoutable que toute l’Europe réunie.
Le fractionnement des pays du monde sépare le camp occidental du camp oriental dominé par la Russie et ses alliés. La prochaine Guerre Mondiale se présente comme le choc des Titans, et je peux seulement maintenant comprendre pourquoi, dans sa prophétie de la sixième trompette, Dieu insiste sur la force et le pouvoir destructeur des puissances engagées dans la guerre. Et dans sa description, Dieu insiste sur la force et la puissance détenue par les seuls dirigeants de ces blocs monstrueux qui s’affrontent avec rage et haine.
En 2025, en ce jour du Lundi 20 Janvier, aux USA, le nouveau président Donald Trump prête serment devant sa nation. Son élection redoutée par les Occidentaux est ainsi confirmé, et s’ils la redoutaient, c’est parce que le nouveau président n’a rien caché de ses intentions concernant son programme politique. Et la seule image que je donnerai à cette situation, c’est le retour dans l’arène d’un taureau furieux décidé à venger les multiples attaques qu’il a subies de la part du camp de son prédécesseur, Joe Biden, le démocrate. De plus, il a entendu les commentaires hostiles des Européens. Etant soutenu cette fois par les trois chambres politiques américaines, il est bien décidé à mettre en œuvre les choses qu’il a annoncées jusqu’au soir de la veille de sa prestation de serment. Et ces mesures qu’il veut instaurer sont à l’opposé de l’humanisme apprécié dans le camp occidental. L’homme normal ne comprend pas ce changement brutal qui se produit aux USA, et c’est normal. Car c’est uniquement en Dieu que ces choses trouvent leur explication. L’élection d’un homme différent est pour lui le moyen d’imposer à l’humanité son programme conçu depuis la fondation du monde.
Pendant de longues années de paix, le capitalisme a tissé sa toile en favorisant le développement de la science informatique et de ses services internet adoptés par toutes les nations de la terre. Et dans cette puissance exclusive, les inventeurs américains se sont fabuleusement enrichis et constituent de nouveaux monstres qui s’imposent aux nations devenues dépendantes de leur service. Les USA rassemblent les multimilliardaires les plus riches de la terre. Le libéralisme de ce capitalisme a favorisé la croissance constante de ces fortunes portées par un seul homme. Les USA recueillent aujourd’hui, les avantages de leur choix de ne pas favoriser l’étalon or, et de choisir leur Dollar qui l’a remplacé. A l’origine de ce changement se trouve ce raisonnement des Américains qui ont estimé que valoriser l’or ne suffisait pas. Et l’actualité leur donne raison, car la vraie richesse n’est pas dans l’or mais dans la capacité technique et les systèmes qui font la richesse de ce pays. Et il est vrai que cette richesse est vulnérable et fragile, mais ses services internet étant devenus indispensables, ses entreprises informatiques sont solides et résistantes.
La vraie puissance des USA ne repose pas sur ses stocks de lingots d’or inutilisés, mais sur le caractère indispensable de sa technologie mise au service de toutes les nations riches. Les nations se retrouvent dans l’état de ce drogué devenu dépendant de sa drogue, et pour elles, cette drogue indispensable se nomme internet, Google, Microsoft, Amazon et détenue par le seul Elon Musk, l’offre Starlink.
Les nations européennes ont été hameçonnées les unes après les autres par l’offre internet de Microsoft et au grand regret des personnes âgées comme moi, cette technologie a été adoptée, tuant l’ancien système qui offrait des services humains directs multiples. Le robot informatique tue le service humain et le remplace, déshumanisant les relations humaines. Ainsi, avant que des armes nucléaires s’en chargent, les êtres humains sont détruits psychiquement par la robotique. Le problème du progrès technologique, c’est que personne ne peut l’arrêter sans détruire l’humanité entière. La nouveauté appréciée dès son invention finit par détruire l’esprit et la mentalité des êtres humains. Et les jeunes qui naissent avec ces choses les considèrent comme leur normalité et ne pensent qu’à pousser encore plus loin leur développement.
Dieu est donc contraint à intervenir pour bloquer cette expansion constante. Et ce moyen est l’élection d’un homme agressif, décidé à privilégier le sort de son seul pays : « America First ». Son succès électoral s’explique par les conséquences portées par la gouvernance humaniste du camp démocrate. Ce sont les excès abusifs qui provoquent le besoin de mesures inverses. L’humanisme démocrate a favorisé les relations internationales de l’Amérique avec les Européens qui l’ont rejointe aux côtés de l’Ukraine contre la Russie. Mais cet humanisme a favorisé l’entrée illégale de nombreux immigrés mexicains sur le sol américain. Cet excès est insupporté par les nationaux qui imputent à ces immigrés des actes délinquants et leur insécurité. Aussi, quatre ans plus tard, ils votent massivement pour le président républicain qui revient au pouvoir, hostile envers l’Europe et la Chine, et décidé à mettre fin à l’immigration mexicaine et plus largement sud-américaine catholique.
Ce qui se produit aux USA, explique la croissance du parti nationaliste français, le R.N. de Marine Le Pen. Le même problème de l’immigration provoque la même réaction hostile envers les immigrés. Mais en France, le R.N. est combattu par une majorité prête à s’allier contre lui dans les élections, et le vote à deux tours des élections françaises bloque systématiquement son accès au pouvoir. En plus de cela, l’installation en France de nombreux autres habitants des nations européennes change les proportions des électeurs. Aux USA, la détermination des patriotes américains est bien plus grande et plus vive en raison du caractère plus dur des Américains du camp républicain.
Depuis son origine, l’Amérique s’est formée par un rassemblement de gens venus de toute la terre, c’est pourquoi, le droit national de gens ethniquement différent est resté légitime et justifié. Mais le racisme latent de certains blancs américains ne peut être nié, et en témoigne, dans un passé pas si lointain, le succès momentané du Ku-Klux-Klan persécuteur des Noirs. Il ne faut pas oublier le fait que depuis son instauration, l’expérience américaine renouvelle l’expérience de la « tour de Babel », en rassemblant en son sein des êtres humains séparés mentalement par de multiples critères. Le choc de ces pensées contraires était inévitable et le niveau de l’insupportable étant atteint, le bloc, le plus riche et influent, retrouve le soutien majoritaire populaire. A la société soumise aux compromis constants vient s’opposer un régime « droit dans ses bottes » qui n’entend pas gouverner par des compromis, mais par des décrets. Le président Donald Trump incarne le changement absolu dans lequel les Américains placent leur espoir sociétal.
Dieu organise la vie terrestre humaine, puissamment et souverainement. C’est donc lui qui crée les conditions et les formes des changements qu’il juge nécessaire. C’est là qu’il faut relever ce qui caractérise son nouvel instrument, Donald Trump. Ce n’est pas un homme politique mais un homme d’affaires immobilières que son métier a enrichi. Or par cette origine, ce président ne peut être que pacifiste sans être pacifique. Il sait que la guerre est néfaste pour les échanges commerciaux internationaux, et son Amérique ne s’enrichit que par ce commerce international. Il ne fera donc rien qui favorise la guerre et fera tout son possible pour obtenir l’arrêt de celles qui sont engagées en Ukraine et à Gaza. Mais son possible n’inclut pas un engagement guerrier. Confiant dans la puissance mondiale des USA, il ne fera appel qu’à la pression commerciale. Et j’entends déjà sur les plateaux télévisés des journalistes et des consultants qui confondent leur espérance avec la réalité des faits. Au sujet de la guerre en Ukraine, Donald Trump dit à Vladimir Poutine que par sa guerre il détruit sa Russie. Et ce constat n’est pas faux, mais dans ses propos, il ne menace pas la Russie comme l’entendent certains commentateurs. Il est donc vrai que la fabrication des bombes absorbe des capitaux qui manquent ensuite pour les dépenses sociales nationales. Sauf, qu’étant engagé dans cette guerre à cause des agressions ukrainiennes contre des Russes ukrainiens par sa victoire contre l’Occident, Vladimir Poutine peut espérer se faire rembourser toutes ses dépenses militaires. En fait, Donald Trump a fait de la paix universelle, le programme de son combat présidentiel. Mais il ignore le projet de Dieu qui est tout autre et va le découvrir dans le temps qui vient. Et il ignore le rôle principal que Dieu lui fait jouer dans son programme, car lui qui ne veut que la paix universelle, vient au pouvoir pour la faire cesser.
Dès son premier mandat, il y a huit ans, son nom « Trump » m’a permis de reconnaître en lui l’homme que Dieu va utiliser pour mettre en œuvre son châtiment de la « sixième trompette » car le mot anglais « trump » signifie : trompette. Or, ce n’est pas en entrant dans la guerre que les USA vont déclencher la guerre, c’est paradoxalement, en étant déterminé à ne pas se laisser engager avec ses troupes dans le moindre conflit. Car son retrait, prive l’Europe occidentale de son soutien et la livre aux assauts russes. Les chances européennes sont nulles en raison de la division interne du camp européen. L’Europe désunie est placée entre les USA réellement unis et la Russie unifiée sous le commandement de son président perpétuel. Et quand les monstres se confrontent le pouvoir décisionnaire unique est un avantage indéniable.
Le Lundi 20 Janvier 2025, aura été marqué par des images étonnantes de ce président sorti d’une activité commerciale et soutenu publiquement par un groupe des plus riches milliardaires américains, enrichis par le développement et l’exploitation universelle de la technologie numérique. Tous ces gens ont des raisons d’empêcher la guerre mondiale. Mais, leur désir n’est pas celui du Dieu vivant ; ils vont le découvrir, pleins d’amertume dans les années qui sont devant nous. Les Européens sont donc prévenus et déjà depuis longtemps, et ils vont devoir s’organiser pour résister seuls à leurs ennemis ; la Russie et l’islamisme terroriste guerrier.
En Ukraine, la guerre se prolonge uniquement à cause des fournitures d’armes données aux armées ukrainiennes par le camp occidental de l’OTAN et de l’U.E. C’est pourquoi, le combat s’éternise sur une ligne frontale. Le retrait des USA change les données de la situation, car isolée, l’Europe est affaiblie et devient une cible pour la vengeance russe. Or, la Russie peut bénéficier d’une attaque globale contre l’U.E. et l’OTAN européen. Les normes guerrières seront changées et le rôle des sous-marins russes peut permettre de multiples invasions du sol de l’U.E. La Russie bénéficiera de ces multiples moyens d’agressions dont elle dispose ; sous-marins, et missiles hypersoniques invulnérables. Face à cette multiplication de lieux d’attaques, les armées européennes seront incapables de les repousser toutes. Et la loi du nombre, livrera l’Europe au vainqueur russe.
Mais pour que ce sinistre scénario s’accomplisse, il faut que l’Europe soit agressée sur son sol, par l’islamisme terroriste dans les régions du Sud. Cette attaque changera les données de la situation européenne, et le président Poutine trouvera là une opportunité favorable pour une attaque du camp occidental européen.
Que sont les guerres, sinon des signes
visibles révélant la colère de Dieu dont la malédiction pèse sur tous les
peuples de la terre ? Ce verset cité dans 2 Chroniques 1:9 confirme mes
propos en disant au roi Asa : « Car
YaHWéH étend ses regards sur toute la terre, pour soutenir ceux dont le cœur
est tout entier à lui. Tu as agi en
insensé dans cette affaire, car dès à présent tu auras des guerres. » C’est
la paix que nous devons trouver étonnante et anormale, car pendant les 6000 ans
d’histoire terrestre, l’humanité coupée de Dieu n’a connu que des guerres. et dans Daniel 9:26, Dieu dit : « Après les soixante-deux semaines, un Oint
sera retranché, et il n'aura pas de successeur personne pour lui. Le
peuple d'un chef qui viendra détruira la ville et le sanctuaire la
sainteté, et sa fin arrivera comme par une inondation ; il est arrêté que les dévastations dureront jusqu'au terme de la
guerre. » Jésus précise dans Matthieu 24:6 à 8 : « Vous entendrez parler de guerres et de
bruits de guerres : gardez-vous d'être troublés, car il faut que ces choses
arrivent. Mais ce ne sera pas encore la fin. Une nation s'élèvera contre une
nation, et un royaume contre un royaume, et il y aura, en divers lieux, des
famines et des tremblements de terre. Tout cela ne sera que le commencement des
douleurs. »
Je suis troublé par la précision donnée par Jésus qui dit : « nation contre nation » car notre actualité donne ce rôle à l’Ukraine et la Russie. Et cette vision des choses semble s’imposer par le fait que Jésus répond à la question de ses disciples qui lui disent au verset 3 : « Dis-nous, quand cela arrivera-t-il, et quel sera le signe de ton avènement et de la fin du monde ? » Jésus, élargit-il sa réponse en évoquant les persécutions qui se sont prolongées au long de l’ère chrétienne ? Si ce n’est pas le cas, alors tous ses propos nous concernent et vont s’accomplir dans les cinq ans qui sont devant nous. Cependant, les réponses données par Jésus semblent bien répondre, en premier, au sort imminent réservé à ses apôtres, si l’on tient compte de ces versets 15 et 16 : « C'est pourquoi, lorsque vous verrez l'abomination de la désolation, dont a parlé le prophète Daniel, établie en lieu saint, que celui qui lit fasse attention ! Alors, que ceux qui seront en Judée fuient dans les montagnes ; … » Ainsi, Jésus répond prioritairement à l’inquiétude de ses apôtres et il nous annonce en même temps, que la persécution de ses élus durera jusqu’à la fin.
Il convient donc de s’interroger sur le sens que Dieu a voulu donner à la longue paix instaurée en Europe depuis 1945 jusqu’en 2022. Ce qui est certain, c’est qu’elle ne constitue pas le signe de sa bénédiction des peuples concernés. En fait c’est même le contraire soit, le signe de la malédiction si l’on tient compte du raisonnement suivant. Dans le passé, la fréquence resserrée des guerres empêchait le développement du mal. La longue paix dont nous avons bénéficié est une paix opportuniste qui offre à Dieu la possibilité de laisser le mal atteindre son apogée. Et c’est bien ce qui s’est accompli comme nos dérives mentales sexuelles sociétales le prouvent depuis 2012 en ce qui concerne la France. Dix ans plus tard, la guerre a commencé en Europe, entre l’Ukraine et la Russie en signe que l’apogée du mal était atteint.
Que cherche Dieu dans les guerres ? Des morts et encore des morts ; 60 millions de morts dont 6 millions de Juifs dans la Seconde Guerre Mondiale. Et le génocide des Juifs n’avait pour but que de faire porter à leurs survivants la responsabilité de tous les problèmes posés aux nations occidentales, jusqu’au « temps de la fin » marqué par la « Troisième Guerre Mondiale » décrite dans Daniel 11:40 à 45. La forme concrète de cette malédiction internationale repose sur le retour des Juifs sur leur ancien sol national repeuplé par des arabes musulmans pendant leur dispersion. Au nom de Jésus-Christ, le Dieu créateur organise de la sorte un sujet de dispute insoluble entre les Juifs et les Musulmans palestiniens. Et les conséquences de ce drame ciblent les nations occidentales infidèlement chrétiennes.
Depuis qu’ils ont dit à Ponce Pilate au sujet de Jésus-Christ, « Que son sang retombe sur nous et sur nos enfants ! », les Juifs ont été porteurs de la malédiction de Dieu qui veille à ce que leurs propos soient accomplis. Pendant tout le règne papal persécuteur, les Juifs hollandais ont été les banquiers qui finançaient les guerres des rois européens. Et le retour des Juifs en Palestine en 1948 est encore dû à la puissante et riche communauté juive installée aux USA où règnent des banques juives qui financent les activités du monde entier et particulièrement celles de l’Europe occidentale.
Ne dit-on pas que « l’argent est le nerf de la guerre » ? Et ce sont les banques juives qui le possèdent. La puissance actuelle des USA est en grande partie entre leurs mains. C’est ce qui explique le soutien inconditionnel d’Israël par les USA, aujourd’hui comme hier. Les Juifs sont les meilleurs agents du capitalisme américain qui a formaté l’Allemagne hitlérienne vaincue. Un lien a été tissé entre l’Allemagne et les USA, et la France a renoncé à son indépendance pour créer avec cette Allemagne capitaliste, l’Europe Unie actuelle qui regroupe les nouvelles conquêtes de ce capitalisme insatiable. La conquête de l’Ukraine a été le pas de trop ; celui où l’on s’achoppe, se ruine, et se détruit en se fracassant contre la Russie et ses alliés.
Les valeurs du monde et celles de Dieu sont diamétralement inversées. Aussi, ce que le monde appelle des monstres, Dieu les nomme « agents purificateurs », car ils n’ont pour mission que de détruire les nations chrétiennes rebelles et incrédules qui le déshonorent par leurs œuvres abominables.
Je relève dans les dernières nouvelles, ce fait vécu aux USA. Au nom de la compassion, une femme, évêque épiscopale de Washington, a plaidé dans sa messe en faveur des gays, des lesbiennes et des transsexuels qui s’inquiètent ; ceci, en présence du président Trump qui est sorti du lieu très contrarié. J’ai pour lui une réponse à laquelle il ne pense pas : « Quand la religion plaide en faveur de l’abomination, est-elle encore la religion ? » Ce qui est relevable, c’est qu’après le président russe orthodoxe, le nouveau président des USA dénonce et veut combattre les dérives homosexuelles abominables que l’Europe occidentale continue de justifier ; c’est dans ce sens qu’ils constituent des « monstres purificateurs », après Adolf Hitler. Ces monstres tueurs sont loin d’être parfaits mais ils n’en sont pas moins, les instruments de la colère divine, comme dans la Révolution française, l’athéisme le fut pour la monarchie catholique. Proposant de mettre en parallèle les « trompettes » d’Apocalypse 8 et 9 avec les « châtiments » annoncés pour Israël dans Lévitique 26, Dieu définit dans le verset 25 le rôle qu’il donne à son « sixième châtiment » : « Je ferai venir contre vous l'épée, qui vengera mon alliance ; quand vous vous rassemblerez dans vos villes, j'enverrai la peste au milieu de vous, et vous serez livrés aux mains de l'ennemi. » Tel est son programme imminent pour l’U.E. et ses habitants.
M5- Les répétitions de l’histoire
Le grand Dieu créateur a montré sa sagesse en faisant écrire des expériences vécues par l’humanité depuis la formation du premier homme, Adam. Il a choisi ce qui devait être écrit et ce qui ne devait pas l’être. Ceci dans le but de donner à ses élus la possibilité d’enregistrer des leçons concernant des situations qui pouvaient ou devaient se représenter au fil du temps de l’histoire terrestre.
Voici une application de ce principe. Dieu a annoncé à Abraham qu’il donnerait la terre de Canaan à sa prospérité « dans quatre générations », précisant que « l’iniquité des Amoréens » n’était « pas encore à son comble ». Et les choses se sont accomplies comme Dieu l’avait prédit. 400 ans environ plus tard, Dieu a détruit les géants qui peuplaient Canaan, livrant ainsi la terre de Canaan à son Israël. L’Esprit de Dieu m’a permis de relever une analogie entre cette expérience antique et celle de la terre américaine des USA. Car aujourd’hui en 2025, quatre cent ans se sont écoulés depuis le début du XVIIème siècle où cette terre américaine a recueilli des européens persécutés, migrants arrivés sur le navire nommé « Mayflower » en 1620. Je relève cet autre analogie entre l’Amérique dont le nom évoque l’amertume et Canaan, le fils de Cham, que Noé avait maudit. En fait, les chrétiens protestants venus s’installer aux USA fuyaient les persécutions catholiques pratiquées en Europe. Et d’autres en plus grand nombre sont venus pour trouver la liberté et le profit. La vie était dure et les humains immigrés étaient aussi durs et méchants. En peu de temps, la terre américaine a été ensanglantée peuplée de meurtriers. La religion protestante portait un fruit amer hérité de son fondateur Jean Calvin. On a souvent comparé l’Amérique à la terre promise, la nouvelle « Canaan ». Hélas, cette « Canaan » reproduisait la méchanceté des géants Cananéens et n’avait rien de ressemblant avec le paradis de Dieu. Cette nouvelle « Canaan » avait donc elle aussi devant elle quatre générations avant que Jésus-Christ ne la détruise par l’éclat de son avènement le 20 Mars 2030 ; moment ou les élus de Jésus-Christ entreront, eux, dans la « Canaan » céleste où la méchanceté n’est plus depuis la victoire de Jésus-Christ et son expulsion du ciel de Satan et ses anges rebelles soit, depuis le « dimanche » 7 Avril 30, le premier jour de la semaine juive divine, en lequel Jésus devait se présenter dans le ciel au Père et à ses saints anges pour être intronisé.
La comparaison de l’Amérique avec Canaan est justifiée puisque le nom Canaan signifie : marchand, commerçant soit, ce qui caractérise parfaitement les USA organisateur des règles de l’OMC, l’Organisme Mondial du Commerce ; les « marchands de la terre » que Dieu cite dans Apocalypse 18:11 : « Et les marchands de la terre pleurent et sont dans le deuil à cause d'elle, parce que personne n'achète plus leur cargaison, …».
L’histoire terrestre est celle de cette méchanceté apparue avant la création terrestre dans l’esprit du premier rebelle, Satan le diable qui fut la première créature céleste créé par Dieu. De même, dans l’expérience terrestre, sur les deux premiers fils qu’ont eus Adam et Eve, l’aîné nommé Caïn fut le premier meurtrier de l’histoire terrestre, en tuant par jalousie son frère Abel. La méchanceté était donc créée avec la liberté donnée par Dieu à sa première créature et jusqu’à la dernière, comme une conséquence de cette liberté. Et dans le temps, cette méchanceté n’a fait que croître. Nous avons vu, dans un message précédent comment le récit de la création terrestre présenté dans Genèse 1 donne aux 5 premiers jours de cette œuvre divine la création des symboles prophétisant des entités humaines porteuses de la méchanceté soit, du péché. Tous ces symboles sont utilisés par Dieu dans sa révélation Apocalypse et se résument, depuis le pire jusqu’au meilleur, par l’athéisme de « l’abîme », le catholicisme de « la mer », le protestantisme de « la terre ». Et enfin en dernier, « l’homme » de l’adventisme du septième jour dissident des tous derniers jours. En réalité, le mot « abîme » symbolise l’absence de relation avec Dieu soit, le paganisme religieux et l’athéisme que Dieu juge de la même manière et dont la fin des deux est la « perdition ». C’est pour cette raison que Dieu dit dans Apocalypse 17:8 au sujet du catholicisme, première apostasie et forme du christianisme de la « bête qui monte de la mer » d’Apocalypse 13:1 : « La bête que tu as vue était, et elle n'est plus. Elle doit monter de l'abîme, et aller à la perdition. Et les habitants de la terre, ceux dont le nom n'a pas été écrit dès la fondation du monde dans le livre de vie, s'étonneront en voyant la bête, parce qu'elle était, et qu'elle n'est plus, et qu'elle reparaîtra. »
Ce verset nous donne les clés de l’interprétation des trois « bêtes » citées dans Apocalypse. Mais il cible essentiellement les deux « bêtes » chrétiennes d’Apocalypse 13, que sont « la bête qui monte de la mer » soit, le catholicisme persécuteur qui était et n’est plus jusqu’à « la bête qui monte de la terre » soit, le protestantisme persécuteur qui va apparaître à la fin du monde. Et dans ce verset, l’Esprit souligne le privilège qu’il donne à ses élus adventistes qui seuls savent, par la prophétie, que la religion protestante animera la dernière persécution terrestre. En inversant la forme, l’Esprit veut mettre en évidence le privilège exclusif de ses saints élus dont « le nom a été écrit dans le livre de vie dès la fondation du monde ». Et leur privilège est d’être éclairés par « le témoignage de Jésus ».
La persécution est la forme prise par la méchanceté d’un régime fort, décidé à imposer ses valeurs et sa norme religieuse à toute l’humanité sur laquelle il règne. Le méchant ne supporte pas la contradiction et ne se laisse pas raisonner. Se sentant fort, il n’a recours qu’à la force pour contraindre à l’obéissance ses opposants. Alors que la vraie religion tient compte des normes établies par Dieu, la fausse religion est faussement religieuse, parce que ceux qui la dirigent ne donnent aucune importance à ce que Dieu pense et approuve. Des gens s’engagent dans la religion sans savoir pourquoi ils le font. Ils sont manipulés et poussés à prendre des décisions que les démons leur font croire être les leurs, alors que les idées apparues dans leur pensée sont inspirées par le diable et ses anges rebelles. Dès qu’ils sont engagés, ils défendent bec et ongle le camp auquel ils appartiennent. Et la haine qu’ils ressentent envers ceux qui leur résistent leur est également inspirée par les méchants anges rebelles. Le premier meurtrier de l’histoire humaine soit, Caïn fut la première victime de cette méchanceté inspirée par les démons et Dieu confirme cette chose en disant dans Genèse 4:7 : « Certainement, si tu agis bien, tu relèveras ton visage, et si tu agis mal, le péché se couche à la porte, et ses désirs se portent vers toi : mais toi, domine sur lui. » Ce verset devient très clair, en le traduisant ainsi : « Satan se couche à la porte et ses désirs se portent vers toi ; mais toi, domine sur lui ». Dans ce verset, « la porte » désigne la pensée et la volonté personnelle de Caïn qu’il peut opposer, s’il le veut vraiment, aux attaques du diable qui l’incite à « pécher » contre Dieu. En lui disant : « mais toi domine sur lui », Dieu affirme que l’homme a la possibilité de résister au diable. Mais pour résister au diable, il faut déjà savoir que nos pensées peuvent être celles du diable qui a la capacité de s’emparer de notre esprit et d’alimenter nos pensées et nos réflexions intérieures mentales.
Le problème de notre humanité c’est qu’elle ne donne de l’importance qu’à ce qui est visible ou capté par nos cinq sens : la vue, l’ouïe, l’odorat, le goût et le toucher ; alors que le plus important est invisible parce que spirituel. Et c’est précisément dans l’esprit de chacun de nous que se livrent les plus importants combats entre Dieu, le diable et nous-mêmes.
Dans le passé, au temps de l’obscurantisme religieux du catholicisme romain, la coalition formée par la monarchie et l’église papale qui réunies constituent la « bête », avait recours à la torture pour contraindre ses opposants à abjurer leur foi résistante. Le premier roi, particulièrement rebelle, nommé Philippe V dit le Bel, fit brûler sur un bûcher le chef des Templiers, Jacques de Molay. Pour instaurer ce type de châtiment, le diable et ses démons ont provoqué des scandales dans l’église catholique elle-même. Dans un couvent, des sœurs religieuses furent saisie de frénésie démoniaque qui ont particulièrement irrité ses dirigeants. De plus, dans la population française totalement inculte, la religion était représentée par le prêtre local et la hiérarchie du clergé. Pour ces personnes incultes, le mot vérité n’avait pas de sens, car ils ignoraient et la Bible et son contenu ; ils ne connaissaient que le prêtre serviteur du pape qui prétendait représenter Dieu sur la terre. Leur soumission au système catholique était d’autant plus obtenue qu’ils voyaient les rois et les seigneurs eux-mêmes se soumettre à l’autorité papale. Cependant, des gens se livraient à la sorcellerie punie du bûcher par l’église. Et la majorité des gens du peuple trouvait juste ces châtiments faits au nom de Dieu et pour sa gloire. L’église profita de ce soutien populaire pour conduire au bûcher ses opposants religieux, accusant même les prophètes de Dieu d’activité diabolique, à l’image des vrais sorciers. Les masses populaires ignorantes et totalement incultes ne faisaient pas la différence et soutenaient donc la persécution croyant honorer Dieu. Et partiellement, lorsque les victimes étaient de vrais sorciers ou sorcières, l’exécution mortelle était divinement légitimée. Mais souvent, l’église de l’inquisition a confondu des activités naturelles comme la préparation des essences des plantes à des actions de sorcellerie, injustement.
Cet exemple montre combien l’ignorance spirituelle est dommageable pour l’être humain qui se laisse ainsi manipuler par le diable et ses démons, les véritables auteurs des crimes qu’ils font exécuter par leurs agents humains. Dieu a donc bien raison quand il exalte « l’intelligence » dans Daniel 12:3 et 10 : « Ceux qui auront été intelligents brilleront comme la splendeur du ciel, et ceux qui auront enseigné la justice, à la multitude brilleront comme les étoiles, à toujours et à perpétuité …/… Plusieurs seront purifiés, blanchis et épurés ; les méchants feront le mal et aucun des méchants ne comprendra, mais ceux qui auront de l'intelligence comprendront. »
Ce mot « intelligence » est repris aujourd’hui pour l’imputer aux puissants microprocesseurs informatiques qui n’ont d’intelligence que la capacité de mémoriser d’innombrables données que l’homme fait entrer dans leur mémoire artificielle électronique. Les plus récents sont extrêmement performants et sont capables d’annuler les barrières linguistiques créées par Dieu au temps de la tour de Babel. Ce fait doit être pris en compte pour comprendre la vraie nature du progrès technique réalisé. Depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale et le relèvement des ruines dues aux combats, les nations occidentales n’ont fait que progresser dans la maitrise technologique ; organisant ainsi la préparation de leur dernière bataille menée contre Dieu et ses normes du bien et du mal. Et sur ce sujet, l’I.A. est incapable de prendre une position personnelle, car elle ne peut donner pour réponse que la position de l’homme qui l’a programmée.
Au contraire de la machine, l’esprit humain a la vie, la vraie, celle qui permet de relever les jeux d’esprits et d’éprouver des sentiments. Et seule cette forme de la vie est capable d’apprécier ou pas, les subtilités du montage prophétique proposé par Dieu à ses appelés rachetés par le sang de Jésus-Christ versé pour expier les péchés de ses seuls vrais élus. Dans cette vie réelle, Jésus a dit à ses disciples dans Jean 6:63 : « C'est l'esprit qui vivifie ; la chair ne sert de rien. Les paroles que je vous ai dites sont esprit et vie. » Il y a donc à côté du langage ordinaire, un deuxième langage qui est, lui, spirituel, et qui se base sur des symboles et des images comparatives présentés par Dieu. Ce langage fut magnifiquement et sublimement utilisé par Jésus-Christ dans ses nombreuses paraboles que l’I.A. est incapable de discerner et apprécier. L’intelligence, la vraie, ne se trouve que sous la forme du raisonnement et de la capacité de déduire des réponses justifiées moralement par des arguments. Mais cette intelligence humaine fonctionne très lentement et l’aide de l’I.A. est sur le plan de la vitesse infiniment précieuse et supérieure. L’I.A. est déjà appréciée, à en juger par le succès évident des ordinateurs que j’utilise et apprécie, en premier. Mais, cette invention détourne les êtres humains de l’essentiel, leur connaissance du jugement de Dieu qu’ils ignorent et continuent d’ignorer, parce que l’usage immodéré de l’ordinateur et du téléphone numérique portable captive leur intérêt et tout leur temps. C’est pourquoi je relève dans la sainte Bible, la mise en garde de Dieu contre les prodiges techniques qui devaient séduire les multitudes humaines, selon Matthieu 24:24 : « Car il s'élèvera de faux Christs et de faux prophètes ; ils feront de grands prodiges et des miracles, au point de séduire, s'il était possible, même les élus. » ; et Apocalypse 13:13-14 : « Elle opérait de grands prodiges, même jusqu'à faire descendre du feu du ciel sur la terre, à la vue des hommes. Et elle séduisait les habitants de la terre par les prodiges qu'il lui était donné d'opérer en présence de la bête, disant aux habitants de la terre de faire une image à la bête qui avait la blessure de l'épée et qui vivait. »
Ces paroles de Jésus-Christ sont, actuellement, et déjà depuis 1945, date de l’utilisation des premières bombes atomiques par les USA contre le Japon, en accomplissement. Il ne reste à s’accomplir que la dernière annonce du dernier verset : « disant aux habitants de la terre de faire une image à la bête qui avait la blessure de l'épée et qui vivait. » Cette phrase impute aux USA protestants la reproduction d’un régime impérial dans lequel le pouvoir civil et le pouvoir religieux sont placés sous une norme unique imposée à tous les humains vivants. Ce gouvernement universel dirigera les survivants de la Troisième Guerre Mondiale qui vient. Et nous connaissons dès à présent son instigateur et son chef. Il est apparu, renversant l’ordre mondial établi par ses prédécesseurs et se nomme Donald Trump. Son prénom « Donald » signifie en langue gaélique écossaise, « prince du monde » ; et son nom « Trump » signifie « trompette ». Nous avons donc trois « prince du monde » en scène mondiale ; Mrs Trump, Poutine et Zelensky ; les deux « Vladimir » et « Volodymyr ».
Le temps des accords et des marchés est fini. Le nouveau chef des USA fait sortir son pays des accords de l’OMC que son pays les USA ont imposés après 1945 à tous leurs alliés et aux autres peuples du monde. La cause de cette sortie est simple : le haut coût des productions américaines réduit leur capacité de les exporter ; le marché n’est plus favorable aux USA, donc, les USA se retirent. Quelle magnifique preuve d’intelligence trouvée chez cet homme qui condamne la stupidité de ses alliés européens, respectueux des règles et des lois jusqu’à la ruine et la mort de leur peuple et de leur régime tout entier ! Aveugles et insensés, les Européens sont tombés dans le piège de cette « lettre qui tue » par manque d’intelligence produite par « l’esprit » humain et divin, comme Jésus le dit, par l’apôtre Paul, dans 2 Corinthiens 3:6 : « Il nous a aussi rendus capables d'être ministres d'une nouvelle alliance, non de la lettre, mais de l'esprit ; car la lettre tue, mais l'esprit vivifie. » Et pour être encore plus clair, il ajoute au verset suivant, concernant les tables des dix commandements de Dieu : « Or, si le ministère de la mort, gravé avec des lettres sur des pierres, a été glorieux, au point que les fils d'Israël ne pouvaient fixer les regards sur le visage de Moïse, à cause de la gloire de son visage, bien que cette gloire fût passagère, combien le ministère de l'esprit ne sera-t-il pas plus glorieux ! »
La gloire dont parle Paul était présente dans l’Adam créé à l’image de Dieu, et dans lequel la vie n’était pas divisée, pas compartimentée. L’intelligence donnée par Dieu est comme une essence illimitée. La vie entière de ses créatures intéresse le Dieu créateur. L’homme, qui retrouve en et par Jésus-Christ l’image de Dieu, ouvre son intelligence à tout ce qui se présente à lui, physiquement et spirituellement. C’est son intelligence qui guide ses jugements et c’est Dieu qui a fixé les limites des normes du bien et du mal. C’est sur ce sujet que les élus et les déchus humains se séparent pour vivre une fin opposée dans l’absolu : la vie éternelle pour l’élu, la mort dans l’anéantissement complet de son être, pour le déchu.
Pourquoi Paul nomme-t-il « ministère de la mort » les tables de la loi des dix commandements de Dieu ? Simplement, parce que la loi écrite n’a aucun effet pour payer le prix du péché originel qui condamne l’homme à devoir mourir. Pour lever cette condamnation, le sang du juste parfait devait couler, selon qu’il est écrit dans Hébreux 9:22 : « Et presque tout, d'après la loi, est purifié avec du sang, et sans effusion de sang il n'y a pas de pardon. »
Mon témoignage écrit le prouve, il n’y a pas de barrière pour diriger l’inspiration divine, car la vie est illimitée, non pour l’heure au niveau de sa durée, mais au sujet de son développement et de ses aspects.
Le monde incroyant suit l’évolution de l’actualité qui se présente à lui comme un feuilleton qui captive son intérêt, et les démons s’amusent d’eux, les conduisant alternativement dans l’angoisse et dans l’espoir. Mais si l’angoisse est justifiée, ce n’est pas le cas pour l’espoir, car l’humanité avance vers le pire de son expérience « depuis que les nations existent », selon Daniel 12:1 : « En ce temps-là se lèvera Micaël, le grand chef, le défenseur des enfants de ton peuple ; et ce sera une époque de détresse, telle qu'il n'y en a point eu de semblable depuis que les nations existent jusqu'à cette époque. En ce temps-là, ceux de ton peuple qui seront trouvés inscrits dans le livre seront sauvés. » C’est ce verset qui confirme le fait que Jésus-Christ et Micaël, traduit par Michel en français, sont une seule et même personne divine ; ce qui justifie l’annonce d’Apocalypse 12:7 : « Et il y eut guerre dans le ciel. Michel et ses anges combattirent contre le dragon. Et le dragon et ses anges combattirent, » Mais l’important est de comprendre que ce combat a eu lieu, deux mille ans avant le 7 Avril 2030 soit, le jour de la résurrection de Jésus-Christ, le 7 Avril 30, premier jour de la semaine qui a succédé à la semaine pascale, au milieu de laquelle Jésus a été crucifié, le 3 Avril 30 ; conformément à l’annonce de Daniel 9:27 : « Il fera une solide alliance avec plusieurs pour une semaine, et durant la moitié de la semaine il fera cesser le sacrifice et l'offrande ; … »
Au soir du 24 Janvier, la décision de Donald Trump a été annoncée ; les USA n’aideront financièrement qu’Israël et l’Egypte. Et cette décision est lourde de conséquence pour les Européens et leur protégée, l’Ukraine, officiellement lâchée par Donald Trump. Son sort est donc désormais lié à celui de ses soutiens européens qui seuls peuvent encore lui venir en aide. Ce choix d’Israël et de l’Egypte du nouveau « Kaiser » des USA est civilement logique, car les USA veulent encourager l’Egypte à rester l’alliée d’Israël afin de ne pas réduire leur influence sur la région. Mais il est aussi édifiant sur le plan spirituel, car les USA donnent officiellement leur soutien au « péché » que représentent ces deux peuples. La Bible ne dit pas que l’Egypte est le symbole du péché, car elle ne fait que le suggérer par les faits qui lui sont imputés. Ceci permet à Dieu de donner au mot « Egypte » diverses significations révélées par ses expériences relatées dans la sainte Bible. Cet élargissement enrichit la prophétie et je peux ainsi dire d’Israël et de l’Egypte qu’ils ont tous deux résisté à l’autorité du Dieu créateur et se sont rebellés contre lui ; ce qui définit le péché fait contre Dieu. Mais ce nom « Egypte » peut aussi suggérer son accueil du peuple Hébreu contre lequel le nouveau Pharaon s’est dressé, le mettant en esclavage. C’est aussi ce qui caractérise Paris la ville ciblée par l’Esprit, dans Apocalypse 11:8 : « Et leurs cadavres seront sur la place de la grande ville, qui est appelée, dans un sens spirituel, Sodome et Égypte, là même où leur Seigneur a été crucifié. » En effet, Paris était une ville qui a accueilli la religion chrétienne et qui la persécute ensuite en adoptant l’athéisme national qui fait d’elle la première forme historique de la « bête qui monte de l’abîme ». Et ce nom « Egypte » que Dieu lui décerne symboliquement est mérité, tant son attitude rebelle envers l’autorité divine est grande et ressemblante à celle du pharaon de l’exode des Hébreux. Un verset résume sa nature, en disant dans Esaïe 36:6, parlant de la « confiance » : « Voici, tu l'as placée dans l'Égypte, tu as pris pour soutien ce roseau cassé, qui pénètre et perce la main de quiconque s'appuie dessus : tel est Pharaon, roi d'Égypte, pour tous ceux qui se confient en lui. » Ce même type de comportement est donc imputé par Dieu à Paris, la capitale de la France, et son histoire justifie cette accusation ; notamment, par le massacre des Protestants accueillis à Paris pour fêter les fiançailles d’Henri de Navarre et de la princesse Marguerite, à la Saint-Barthélemy, en 1572.
Et à son tour le nouveau président protestant des USA actuels apporte son soutien exclusif aux deux peuples rebelles de la révélation biblique : Israël et l’Egypte. La malédiction qui pèse sur la religion protestante depuis le printemps 1843 est ainsi confirmée et authentifiée.
Ces interprétations prophétiques me permettent de démontrer combien la révélation biblique est puissante et efficace pour partager le jugement de Dieu au sujet des peuples, des nations, des royaumes et des langues du temps passé et de notre actualité. Ce discernement est d’autant plus nécessaire que les ennemis de Dieu prennent officiellement l’apparence trompeuse de le servir et de le reconnaître ; ce qui caractérise indéniablement la religion protestante vivante et active ; ce qui justifie ce verset de Proverbes 14:12 : « Telle voie paraît droite à un homme, mais son issue, c'est la voie de la mort. »
Il est intéressant de relever le découpage des 400 ans de l’histoire des USA en deux parties de 200 ans. Car ce pays a pris officiellement son indépendance en 1776, grâce à une aide financière française qui a ruiné la France et préparé la Révolution qui a fait tomber la tête du généreux donateur, Louis XVI. Et un plaisant jeu de mots rattache au marquis de Lafayette chargé de l’aide donnée aux américains, la faillite subie par la France. Ce roi, surnommé, « le roi ouvrier » ne voulait pas être roi et les guerres menées par l’Angleterre ne trouvaient pas en lui, le chef, le stratège nécessaire. Il trouva donc plus facile d’aider la révolte des Américains et obtint par cette aide, l’affaiblissement de l’Angleterre chassée de l’Amérique des USA. Cependant, cette aide ruinant totalement son pays, le roi Louis XVI a, lui-même, organisé la cause de la famine qui a justifié la grande Révolution du peuple français, le 14 Juillet 1789, année où, aux USA, les Américains ont adopté leur première Constitution nationale. Cette époque marque donc réellement l’entrée en scène historique du peuple américain qui vient relayer la puissance française pour dominer l’Europe que Napoléon 1er allait dominer pendant quelques années jusqu’à sa défaite à Waterloo. Pour remplacer la France, au niveau européen et mondial, les USA devront attendre les Guerres Mondiales européennes qui vont affaiblir cette puissance française du vieux monde et réduire sa domination coloniale et ses ambitions de puissance et de prestige.
Il me faut présenter encore cette autre leçon exemplaire qui concerne l’obéissance et la désobéissance aux ordres donnés par Dieu et c’est dans l’expérience vécue par Israël que Dieu nous la présente.
Je le rappelle, Israël est un échantillon charnel de l’humanité dont il présente toutes les qualités et tous les défauts. Et à ce titre, dès sa sortie de l’Egypte pharaonique, il est têtu et très désobéissant, à l’image de nos sociétés actuelles. Dieu dirige son peuple vers la terre promise peuplée en son Sud par des géants, les « réphaïms ». Douze espions sont envoyés sur la terre de Canaan ; dix en reviennent terrorisés et deux seulement font confiance au Dieu qui les conduit pour vaincre ces géants, Caleb et Josué sont leurs noms. La foi des 12 vient d’être mise à l’épreuve et l’attitude des dix condamne le peuple entier à errer pendant 40 années dans le désert de l’Arabie et celui de l’Egypte au sud de Canaan. Après la mort de Moïse, sous la conduite de Josué et Caleb, l’Israël survivant entre dans la terre promise. Dieu élimine les géants en les frappant par des maladies mortelles provoquées par des piqûres de frelons. D’autres peuples non géants doivent être vaincus par Israël et Dieu ordonne de les exterminer. Et là, le peuple au coup raide désobéit à l’ordre de Dieu, il laisse survivre les Phéniciens du Liban et les Philistins de la Palestine actuelle. Agissant ainsi, Israël ne prend pas possession de toute la terre promise par Dieu, et son humanisme lui a valu des agressions venant des descendants de ces ethnies étrangères qu’il a laissé survivre.
Cette première réelle désobéissance a été la cause des attaques continuelles du premier Israël choisi par Dieu. Et ce qui est remarquable, c’est que 3500 ans plus tard, l’Israël actuel subit les mêmes attaques pour les mêmes raisons. L’ordre donné par Dieu d’exterminer des nations qu’il condamnait pour leur vie pécheresse abominable irrémédiable peut nous paraître dur, mais il était nécessaire pour assurer à son peuple Israël la disparition du risque du désir de vengeance des descendants des peuples vaincus. Au fil des siècles, les guerres se prolongent par ce désir de venger la défaite subie précédemment. N’est-il pas remarquable que la fin de l’histoire d’Israël reproduise les causes de sa première malédiction divine imputée il y a 3500 ans, environ ? Ceci d’autant plus que les mêmes territoires sont concernés au début et à la fin. Dans cet exemple, Dieu nous enseigne que lui désobéir coûte, finalement, très, très, cher.
Ses saints fidèles comprennent parfaitement bien cette absolue nécessité d’exterminer les opposants rebelles, en sorte qu’ils attendent le retour de Jésus-Christ, sachant qu’il se chargera d’anéantir les vies rebelles terrestres et célestes pour assurer le bonheur éternel de ses bienaimés élus, les nouveaux habitants du ciel.
M6- Des coupables inexcusables solidaires
Aujourd’hui, Lundi 27 Janvier 2025, l’Europe occidentale célèbre le 80ème anniversaire de la libération des prisonniers juifs et slaves des camps nazis découverts sur le sol de la Pologne par les armées russes qui progressaient vers l’Allemagne. Ainsi, le devoir de mémoire vient rappeler le terrible sort imposé par Adolf Hitler, aux Juifs, aux Tsiganes et aux Roms.
L’événement est en effet relevable par son caractère exceptionnel auquel les Nazis ont donné pour nom : « la solution finale ». Et les Juifs l’ont nommée « Shoah » ce qui signifie : Destruction, tempête, affliction, lieu désert.
Partant de ce constat, si j’ignorai son vrai sens, je serai prêt à imputer ce verset de Daniel 12:1 à cette sinistre « Shoah » dans laquelle 6 millions de civils Juifs, vieillards et vieilles, hommes, femmes et enfants, ont été anéantis, consumés dans des fours crématoires, après avoir été gazés, asphyxiés par le gaz Zyklon B : « En ce temps-là se lèvera Micaël, le grand chef, le défenseur des enfants de ton peuple ; et ce sera une époque de détresse, telle qu'il n'y en a point eu de semblable depuis que les nations existent jusqu'à cette époque. En ce temps-là, ceux de ton peuple qui seront trouvés inscrits dans le livre seront sauvés. » Qui peut contester l’idée que ce temps de la « Shoah » a été pour les Juifs un temps de détresse suprême ? Personne, bien sûr, et cependant, Dieu ne désignait pas cette « Shoah » dans sa prophétie. Car cette détresse annoncée est précédée par le retour glorieux du Christ, mais soyons honnête, le texte ne dit pas que Micaël revient, seulement qu’il se « lève ». Si bien que ce texte peut convenir pour évoquer la première venue de Jésus-Christ dans une lecture superficielle. La prophétie est si imprécise que les deux venues du Christ, celle du début et celle de son retour glorieux, peuvent être interprétées. Mais ces deux interprétations ne sont possibles qu’en isolant cette prophétie des autres enseignements du livre de Daniel. Or, précisément, la synthèse de tous les enseignements prophétisés dans son livre, nous oblige à donner à ce verset de Daniel 12:1, une interprétation concernant son seul retour glorieux final.
La seule possibilité d’interpréter doublement ce verset permet à Dieu d’adresser des leçons que seuls ses élus vont pouvoir comprendre. Avec un grand soin rusé pour ne pas provoquer la réaction impulsive des Juifs, la « Shoah » a pris l’aspect d’un transfert vers l’Allemagne et la Pologne de populations juives dirigées vers des camps de travail forcé ; ce qui n’avait rien d’étonnant de la part du camp vainqueur. Et depuis son exil forcé, le peuple juif a accepté son rôle victimaire qui le rend docile et soumis envers ses dominateurs vainqueurs.
Ce verset de Daniel 12:1 présente, en premier,
« le lever de Micaël » soit, le retour du Christ et en
second, « la grande détresse » exceptionnelle qui l’accompagne et le
marque. Le thème du retour de Jésus-Christ est accompli dans l’engagement
« adventiste » depuis le printemps 1843. Et les Adventistes fidèles
ont part à la « première résurrection » et vont
entrer dans l’éternité au printemps 2030. La « grande détresse »
annoncée n’est pas pour eux, mais pour l’humanité rebelle ; la « grande
détresse » est leur châtiment. Cette présentation de la cause
suivie de son châtiment est analogue à celle de Daniel 9:26 qui a justifié ou
condamné les Juifs du ministère terrestre de Jésus-Christ : « Après les soixante-deux semaines, un Oint
sera retranché,(la cause) et il
n'aura pas de successeur personne pour lui. (La conséquence ou
châtiment) Le peuple d'un chef qui
viendra détruira la ville et le sanctuaire la sainteté, et sa fin
arrivera comme par une inondation ; il est arrêté que les dévastations dureront
jusqu'au terme de la guerre. »
Dans ces deux cas et deux époques du début et de la fin, le rejet ou mépris touchant Jésus-Christ est payé par un châtiment. Dieu montre par ce moyen que son jugement est identique pour les Juifs et pour les Chrétiens ; la même cause est punie de la même manière par la détresse et la mort.
Ceci éclaire la leçon que Dieu donne aux deux religions juive et chrétienne en organisant un génocide de son premier témoin historique, le peuple Juif qu’il tient pour coupable, depuis son refus du plan du salut divin fondé sur la mort expiatoire de Jésus-Christ. Mais à son sujet, je remets en cause la compréhension que j’ai eue au sujet d’Israël, jusqu’à cette heure. Béni ou maudit, Israël reste en « premier né » le peuple de Dieu selon Exode 4:22 : « Tu diras à Pharaon : Ainsi parle YaHWéH : Israël est mon fils, mon premier-né. » Et c’est précisément parce qu’il reste son peuple que Dieu lui inflige correction après correction jusqu’à nos jours, et la dernière qu’il lui prépare sera pire que toutes les autres. En 1948, Dieu a fait favoriser le retour des Juifs sur leur terre nationale ancestrale pour qu’ils y soient jugés et punis. De plus, ce retour sur la terre de Canaan, affirme la priorité d’Israël sur les revendications arabes musulmanes et celles des islamistes religieusement fanatiques.
Israël est au peuple de Dieu ce que le catholicisme romain est au christianisme infidèle soit, la source et la référence. Quand le peuple de Dieu est frappé par sa malédiction, il perd l’accès au salut, mais reste le peuple de Dieu jusqu’à sa destruction totale. Nous autres, Chrétiens, nous avons tendance à oublier facilement que c’est la racine juive qui nous a reçus et non le contraire. D’origine païenne, nous avons bénéficié d’une faveur divine au nom de sa grâce rendue possible par la victoire de Jésus-Christ. Mais malheureusement, la totalité des églises chrétiennes a reproduit la faute du peuple juif en oubliant la grâce dont toutes ces églises ont bénéficié. Elles ont ainsi commis l’erreur de se glorifier aux dépens des Juifs maudits pour leur incrédulité. L’avertissement donné par l’apôtre Paul dans Romains 11:18 à 21, a donc été ignoré. Mais l’existence même de cet avertissement témoigne contre les méprisants et il les culpabilise devant Dieu : « ne te glorifie pas aux dépens de ces branches. Si tu te glorifies, sache que ce n'est pas toi qui portes la racine, mais que c'est la racine qui te porte. Tu diras donc : Les branches ont été retranchées, afin que moi je fusse enté. Cela est vrai ; elles ont été retranchées pour cause d'incrédulité, et toi, tu subsistes par la foi. Ne t'abandonne pas à l'orgueil, mais crains ; car si Dieu n'a pas épargné les branches naturelles, il ne t'épargnera pas non plus. »
Si les Chrétiens reproduisent les fautes des Juifs, c’est donc que la culpabilité première est dans leur première expérience religieuse historique. C’est un immense honneur que d’être reconnu en tant que « peuple de Dieu ». Mais ce privilège oblige et les manquements sont sévèrement châtiés.
Le récit de Genèse 4 l’atteste, Dieu se fit offrir les premiers sacrifices animaliers. Et étant éleveur, Abel offrit un sacrifice animal que Dieu put apprécier en raison de sa signification symbolique de son rachat des péchés par Jésus-Christ, « l’agneau de Dieu qui ôte les péchés du monde ». Sur le plan spirituel, l’homme était totalement inculte, car il avait tout à découvrir, et chaque chose, en son temps, seulement. Si le projet salvateur conçu par Dieu avait été clairement compris dès le commencement ou au cours de la première alliance, cette vérité sublime aurait fuité et ce serait transmise d’homme à homme, de génération en génération. De plus, les rites sacrificiels auraient été expliqués et remplacés en étant abandonnés. Or, ces choses ne se sont pas produites parce que Dieu a jalousement gardé secrète sa démonstration d’amour pour ses élus. Ceci, pour le constat et les déductions logiques qui s’imposent à notre réflexion.
Je vais maintenant expliquer, pourquoi Dieu tient pour hautement coupable, le refus du Messie rédempteur, Jésus-Christ, par les Juifs de l’ancienne alliance.
La cause de la condamnation divine se trouve dans ces versets de Genèse 1:26-27 : « Puis Dieu dit : Faisons l'homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu'il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre. Dieu créa l'homme à son image, il le créa à l'image de Dieu, il créa l'homme et la femme. »
Contrairement aux animaux marins, célestes et terrestres, l’homme est « créé à l’image de Dieu », et dans ce statut « d’image de Dieu », il n’est en rien comparable à un animal, car il représente infiniment plus. Dès lors, aucune mort animale n’a suffisamment de valeur pour racheter une âme humaine. C’est ce que confirme ce texte d’Hébreux 10:3 à 7 : « Mais le souvenir des péchés est renouvelé chaque année par ces sacrifices ; car il est impossible que le sang des taureaux et des boucs ôte les péchés. C'est pourquoi Christ, entrant dans le monde, dit : Tu n'as voulu ni sacrifice ni offrande, mais tu m'as formé un corps ; tu n'as agréé ni holocaustes ni sacrifices pour le péché. Alors j'ai dit : Voici, je viens (Dans le rouleau du livre il est question de moi) pour faire, ô Dieu, ta volonté. » Paul impute ces paroles à Jésus-Christ qui résume et révèle le sens de son ministère terrestre. Il ne manque à cette explication que l’argument que je présente aujourd’hui et qui justifie pourquoi, « il est impossible que le sang des taureaux et des boucs ôte le péché » : ils n’ont pas été créés « à l’image de Dieu ». Et le rachat des péchés ne pouvait être obtenu que par la mort d’une vie parfaite, porteuse de « l’image de Dieu », présentée uniquement en Jésus-Christ, le Dieu créateur incarné, lui-même.
Selon ce simple raisonnement, les rites sacrificiels, ordonnés par Dieu, ne pouvaient qu’avoir une valeur symbolique prophétisant le sacrifice de Jésus-Christ, le « nouvel Adam » venu rattraper la faiblesse du premier « Adam ».
Cette explication est extraordinairement simple, mais elle repose sur une lecture pleine d’intérêt de la Parole de Dieu ; une lecture attentive. De plus ne l’oublions pas, le fruit porté par notre intelligence dépend entièrement de la volonté du Dieu créateur tout-puissant qui ouvre l’intelligence ou la ferme. Or, j’ai l’avantage de vivre dans le temps de la grande lumière qui ne pouvait être offerte par Dieu avant « le temps de la fin » que nous vivons.
Il nous faut aussi bien comprendre que l’homme n’a été « à l’image de Dieu » qu’avant le péché. Car le péché lui fait perdre cette « image » divine et l’abaisse au rang et statut d’un animal évolué de niveau supérieur aux autres animaux. Dès lors, le projet de Dieu ne visa qu’à restaurer « son image » dans ses élus faute de pouvoir le faire pour toutes ses créatures humaines.
En reproduisant les rites sacrificiels divins dans toutes les religions du paganisme polythéiste, le diable a créé une grande confusion religieuse universelle. Jusqu’à ce qu’il médite et réfléchisse individuellement, l’être humain naît dans un contexte particulier et une culture différente selon le lieu terrestre concerné. Aussi, logiquement, chacun tient pour vérité, la culture dans laquelle il est né. Et si Dieu ne le conduit pas vers sa lumière, chacun va honorer sa culture originelle et la transmettre à sa descendance. Ce point est fondamental à comprendre : c’est Dieu qui cherche sa brebis égarée et personne ne peut mieux l’identifier que lui, parce qu’il sonde les pensées les plus secrètes de ses créatures vivantes célestes ou terrestres. Avant même de les créer, Dieu s’est résigné à l’idée de faire entrer dans la vie des créatures dont le destin n’est que de la traverser sans en rien obtenir ni retenir.
Confrontés à la « Shoah », les humanistes rebelles cherchent vainement comment expliquer un fait d’une telle sauvagerie abominable. Se fondant sur leur seul jugement, ils se perdent en conjecture et ne parviennent pas à trouver les réponses. Ce n’est pas étonnant, puisque les réponses ne sont disponibles qu’en Dieu, son jugement et ses motivations. Après chaque catastrophe et chacune des deux guerres mondiales de 1914 et 1939, ils ont répété à qui voulait l’entendre : « Plus jamais ça ! ». Cependant, ils n’ont aucunement le pouvoir d’empêcher le renouvellement de ces drames que Dieu leur impose, Dieu le Créateur, le Tout-Puissant. Et chaque fois, le retour du drame confirme sa toute-puissance.
Dans son ignorance, l’incrédule ne voit que les agents humains du drame. Et l’agent utilisé par Dieu, pour mettre en œuvre ses desseins destructeurs, est regardé et jugé comme un monstre. Or, ce n’est pas le cas, Adolf Hitler, le modèle du genre, était végétarien et aimé d’une femme nommée Eva Braun. Il avait une vie de famille normale, était entouré de ses meilleurs amis comme beaucoup d’autres êtres humains. Et de cet homme normal sont sorties des idées vengeresses, des désirs de conquêtes, et une haine viscérale des Juifs.
Le comportement des églises et des religions envers ce sujet démasque leur situation spirituelle maudite par Dieu. Car, un vrai serviteur du Dieu vivant et Tout-Puissant, se doit de reconnaître que rien ne peut s’accomplir sans que Dieu le veuille. Je rappelle ce verset où le Dieu sage et Tout-Puissant nous dit dans Ecclésiaste 7:14 : « Au jour du bonheur, sois heureux, et au jour du malheur, réfléchis : Dieu a fait l'un comme l'autre, afin que l'homme ne découvre en rien ce qui sera après lui. »
Voici que le temps du bonheur est derrière nous et que devant nous se présente le temps du malheur. Le Tout-Puissant nous dit donc : Réfléchis ! Médite ! Car tout ce qui arrive a une explication ; le malheur est une conséquence dont il faut découvrir la cause. Car les causes charnelles terrestres ne donnent pas la bonne réponse qui ne se trouve qu’en Dieu. Les causes terrestres ne sont que les conséquences des causes spirituelles, et si ces causes spirituelles ne sont pas identifiées et rectifiées, les conséquences terrestres se multiplient et se prolongent jusqu’à déclencher des drames meurtriers entre les entités humaines coupables.
Etant les victimes plus ou moins consentantes du rejet religieux, les gens de notre époque sont inquiets et cherchent auprès des devins et des astrologues, des réponses capables de calmer leur anxiété. Ils ne peuvent avoir affaire qu’à des escrocs qui sont eux-mêmes séduits et trompés par des démons célestes qui les utilisent, comme le diable utilisa le serpent pour séduire Eve. Mais, ces démons peuvent néanmoins favoriser des choses dans lesquelles Dieu n’intervient pas et les laisse agir. L’accomplissement de l’annonce d’un devin ne permet pas de rattacher son action à Dieu, contrairement à ce que les gourous et les devins occultes peuvent prétendre.
L’Esprit nous dit dans Esaïe 8:19-20 : « Si l'on vous dit : Consultez ceux qui évoquent les morts et ceux qui prédisent l'avenir, qui poussent des sifflements et des soupirs, répondez : Un peuple ne consultera-t-il pas son Dieu ? S'adressera-t-il aux morts en faveur des vivants ? A la loi et au témoignage ! Si l'on ne parle pas ainsi, Il n'y aura point d'aurore pour le peuple. »
Les réponses à l’anxiété ont été préparées d’avance par Dieu qui les a écrites dans les prophéties de la sainte Bible qui constitue selon Apocalypse 11:3, ses « deux témoins ». Et c’est donc en elle, que ses élus identifient à « sa loi et son témoignage », qu’ils peuvent trouver toutes les réponses nécessaires pour être convaincus que Dieu dirige les faits et les événements qu’il fait accomplir conformément à son programme prophétisé révélé à ses seuls rachetés élus.
Tout homme peut devenir un monstre si Dieu ou les démons l’inspirent dans ce sens. La monstruosité n’est pas dans la chair, mais dans l’esprit humain que Dieu sélectionne pour agir de manière monstrueuse.
La « Shoah » est jugée monstrueuse par les humains séparés de Dieu. Cependant, ce qui concerne les Juifs prend un caractère particulier parce qu’ils sont officiellement pour toute la terre, le « peuple de Dieu ». Or, déjà au temps du prophète Jérémie, Israël a été durement châtié par le peuple chaldéen du roi Nébucadnetsar. En – 586, intervenant pour la troisième fois, l’armée chaldéenne a détruit Jérusalem et son saint Temple bâti par le roi Salomon. Après 70 années de déportation à Babylone prophétisées dans Jérémie 25:11, où Dieu dit, « Tout ce pays deviendra une ruine, un désert, et ces nations seront asservies au roi de Babylone pendant soixante-dix ans. », Israël est revenu sur son sol national. Il a de nouveau été frappé par la colère de Dieu pour son refus du messie Jésus, en 70, cette fois, par les armées romaines, et de nouveau, Jérusalem et son saint Temple restauré et agrandi par le roi Hérode ont été entièrement détruits par des soldats romains devenus incontrôlables. Depuis cette destruction, les Juifs survivants ont été dispersés parmi toutes les nations de la terre, et Dieu les utilise comme un levain qui fait lever toute la pâte humaine dans un but paradoxal positif et négatif. Par leur présence parmi les peuples, ils concentrent l’attention des hommes sur le Dieu unique créateur de la terre et tout ce qu’elle contient et porte. Leur pratique du repos du sabbat du vrai septième jour dénonce l’illégitimité du repos du premier jour du dimanche romain, pour les Occidentaux, et le repos du sixième jour de l’islam. Leur alimentation dite « casher » condamne le mépris témoigné à ce sujet par les Chrétiens. Mais ces choses positives sont rendues sans valeur pour eux-mêmes, à cause de leur refus du Messie Jésus qui seul peut enlever la condamnation du péché que Dieu leur impute ainsi qu’à toute l’humanité depuis Adam et Eve.
Pour ce péché suprême, Dieu ne cesse de châtier son peuple Israël, le premier coupable que soutiennent les nouveaux coupables, et à tous, Dieu adresse ce message cité dans Jérémie 25:29-30 : « Car voici, dans la ville sur laquelle mon nom est invoqué je commence à faire du mal ; et vous, vous resteriez impunis ! Vous ne resterez pas impunis ; car j'appellerai le glaive sur tous les habitants de la terre, dit YaHWéH des armées. Et toi, tu leur prophétiseras toutes ces choses, Et tu leur diras : YaHWéH rugira d'en haut ; de sa demeure sainte il fera retentir sa voix ; il rugira contre le lieu de sa résidence ; il poussera des cris, comme ceux qui foulent au pressoir, contre tous les habitants de la terre. »
En effet, ce verset n’a rien perdu de sa valeur car il exprime un jugement de Dieu qui se transporte dans le temps de génération en génération jusqu’à l’heure de son accomplissement final. Et en 2025, depuis 1948, « le lieu de sa demeure » est de nouveau peuplé par son Israël « son fils premier-né », et « les nations de la terre » occidentales ont trahi, par leur désobéissance, leur engagement chrétien. Les coupables se soutiennent et se montrent solidaires les uns envers les autres. Mais relève-le, dans leurs échanges, il n’est absolument pas question de Dieu. Les liens établis sont strictement humains ; Dieu et sa volonté sont complètement ignorés. D’autres valeurs les ont remplacés telles que le marché et les profits commerciaux. C’est pourquoi, Dieu s’emploie à provoquer une grande crise économique mondiale qui va conduire les coupables dans des guerres meurtrières où chaque camp prétendra lutter pour la gloire de son Dieu, vainement et fanatiquement.
M7- L’incarnation du Dieu créateur
Ce mystère religieux est assurément la chose la plus difficile à comprendre pour un être humain limité dans toutes ses capacités. Et le postulat qui s’impose à toute l’humanité est de croire à cette affirmation citée dans la sainte Bible et qui nous dit dans Luc 1:36-37 : « Voici, Élisabeth, ta parente, a conçu, elle aussi, un fils en sa vieillesse, et celle qui était appelée stérile est dans son sixième mois. Car rien n'est impossible à Dieu. » Cette expérience miraculeuse fut déjà vécue par Sarah l’épouse d’Abraham qui enfanta son premier fils, Isaac, à l’âge de 100 ans. Et notre postulat tient en ces quelques mots : « Car rien n'est impossible à Dieu. » Cette déclaration a été faite par l’ange Gabriel dont le nom signifie « celui qui voit la face de Dieu ». Croire en Dieu, croire à son existence, exige de notre part que nous croyons au miracle ; nom donné aux actions surnaturelles faites par Dieu. Et le premier miracle qu’il a réalisé, c’est sa création de notre dimension terrestre qu’il certifie, dans son récit de Genèse 1, 2 et 3. Ce récit a été présenté par Dieu à son serviteur Moïse, et le recevoir avec confiance à ce titre est la base, la condition, incontournable pour établir une relation avec lui.
Dans notre vie humaine marquée par des successions de secondes, de minutes, d’heures, de jours et nuits, de mois et d’années, toutes choses paraissent statiques. Cependant au fil du temps d’énormes changements ont lieu et notre aptitude à nous adapter fait que nous ne les relevons pas suffisamment. Et ceci concerne l’humanité moderne à laquelle la science et la technologie explique la cause physique des choses. Mais la science ne fait que découvrir les principes et les lois physiques que Dieu a créées. Et la science ne peut pas prouver l’inexistence de Dieu, ni expliquer pourquoi ces lois et ces principes existent. Toutes ces réflexions nous ramènent au début du postulat car Dieu existe et pour lui seulement, « rien n’est impossible ». Or je suis né en France, pays où un dicton populaire dit ; « impossible n’est pas français ». Ce type de prétention fanfaronne révèle à lui seul la nature de ce pays France qui a pris la tête du camp de la contestation dirigée contre Dieu ; et ceci, depuis sa naissance nationale vers 508 sous le roi Clovis 1er ; un barbare de la tribu des Francs, converti au catholicisme romain, encore non papal, mais dont l’évêque de Rome bénéficiait déjà d’un grand prestige religieux. Après avoir soutenu le mensonge d’un christianisme déformé, en 1792, ce pays France a sombré dans l’abîme sans fond des ténèbres tueuses, en devenant le fer de lance de la pensée athée apparue chez ses libres penseurs que la postérité a nommés avec arrogance ses « lumières ».
L’incarnation de Dieu est donc un miracle, une chose que nul autre que lui ne peut faire. En les créant, Dieu a donné à chacune de ses créatures, des caractéristiques qui lui sont propres ; un corps dit céleste ou spirituel pour ses anges ; et un corps matière, physique, pour les êtres humains. Les anges ne peuvent pas par eux-mêmes prendre un aspect physique terrestre charnel. De même, les corps terrestres ne peuvent pas prendre la caractéristique céleste du corps des anges. Et ce qu’aucune créature ne peut faire, Dieu l’a fait dans son incarnation en Jésus-Christ. Nous ne devons même pas en être étonnés, car ayant créé toutes ses créatures célestes et terrestres, Dieu pouvait s’offrir son incarnation dans la vie terrestre.
En abordant ce sujet de l’incarnation de Dieu nous devons donc oublier toutes nos limitations humaines qui ne s’appliquent pas pour l’esprit du Dieu créateur auquel je le redis, « rien n’est impossible ». Sa décision est instantanément transformée en réalité visible. Animé des meilleures intentions, Dieu n’en fait pas moins appel à la stratégie de l’espion infiltré dans le camp ennemi. Sauf que son espionnage ne vise pas à découvrir ce qu’il sait déjà sur la condition de la vie humaine terrestre. Sous l’aspect humain de Jésus-Christ, Dieu expérimente leur faiblesse, car Jésus est aussi faible que toi et moi sur le plan physique seulement. Car la différence entre lui et nous est invisible, cachée dans son esprit. C’est là que résident sa force et la cause de sa victoire, car Jésus porte en lui l’expérience de sa vie céleste vécue sous le nom « Micaël » qui signifie : « Celui qui est comme Dieu ». Ce que nous pouvons et devons comprendre c’est qu’étant avant tout un Esprit illimité, Dieu peut se dédoubler et rendre sa doublure plus ou moins dépendante de lui. Et dans le cas de Jésus incarné, cette dépendance est totale. Jésus traverse sa courte vie terrestre en orphelin privé de sa nature divine. Et ceci explique son grand besoin de prier, d’entrer en contact avec l’Esprit non incarné qui soutient les univers de ses créations célestes et terrestres.
Reprenons les étapes de son ministère terrestre et de son passage sur la terre du péché. Détail important donné dans Esaïe 7:14 : « C'est pourquoi le Seigneur lui-même vous donnera un signe, voici, la jeune fille deviendra enceinte, elle enfantera un fils, et elle lui donnera le nom d'Emmanuel. »
Relève-le avec intérêt, dans ce texte original hébreu, Dieu ne dit pas la « vierge » comme dans le grec de la nouvelle alliance, mais « la jeune fille », et cette jeune fille est choisie par Dieu à cause de sa lignée qui est dans la postérité de David ; c’est là, l’unique raison du choix divin. Le Christ vient pour accomplir la promesse faite par Dieu au roi David et déjà avant lui à la tribu de Juda selon Genèse 49:10 : « Le sceptre ne s'éloignera point de Juda, ni le bâton souverain d'entre ses pieds, jusqu'à ce que vienne le Schilo, et que les peuples lui obéissent». Le nom « Schilo » signifie : celui à qui appartient (le règne, la puissance, et la gloire, de la prière royale sacerdotale enseignée par Jésus). Et pour David, dans 1 Rois 2:45 : « Mais le roi Salomon sera béni, et le trône de David sera pour toujours affermi devant YaHWéH. » et Esaïe 9:37 ou 36 : « Donner à l'empire de l'accroissement, Et une paix sans fin au trône de David et à son royaume, L'affermir et le soutenir par le droit et par la justice, Dès maintenant et à toujours: Voilà ce que fera le zèle de YaHWéH des armées. »
Mais, je reviens sur ce verset d’Esaïe 7:14 : « C'est pourquoi le Seigneur lui-même vous donnera un signe, voici, la jeune fille deviendra enceinte, elle enfantera un fils, et elle lui donnera le nom d'Emmanuel. » Remarque-le avec moi, le Messie envoyé par Dieu n’a pas reçu le nom « Emmanuel », mais celui de « Jésus », soit, en hébreu, « Yéschoua » qui signifie : YaHWéH sauve. Le mystère de l’incarnation trouve son explication dans la complémentarité de ces deux noms que l’Esprit impute à l’homme nommé Jésus de Nazareth : « Emmanuel », qui signifie : Dieu avec nous ; et « Jésus », qui signifie : YaHWéH sauve. Le plan du salut divin est ainsi révélé dans toute sa clarté. Dieu vient parmi nous pour nous sauver du péché, par l’expiation qu’il a portée en Jésus-Christ. De plus, l’Esprit n’a pas menti, car il ne faisait que prophétiser la pensée de la jeune fille nommée Marie qui savait dans son cœur et son esprit que son fils était le Fils de Dieu comme l’ange le lui avait annoncé. Il était donc réellement pour elle, « Emmanuel » soit, « Dieu avec nous ».
Dès l’âge de 12 ans, le « Fils de Dieu » entre dans l’âge adulte et marque ce passage en témoignant pour la vérité céleste de « son Père ». Sa nature divine autant que charnelle et terrestre le pousse à l’engagement et déjà à 12 ans, il enseigne dans le temple, tentant de diriger les raisonnements des anciens juifs qu’il rencontre au temple de Jérusalem. Jésus sait déjà à cette heure que les Juifs sont remplis de faux préjugés qui vont les empêcher de reconnaître son ministère salvateur. Ses questions subtiles et habiles visaient à permettre à ses interlocuteurs de découvrir les faiblesses de leurs raisonnements spirituels.
Agé de trente ans, il doit entrer dans le temps de son témoignage terrestre. Depuis quelques temps, avant lui, son cousin Jean baptise, dans les eaux du Jourdain, les Juifs qu’il appelle à la repentance et au fruit de repentance. Il prépare ainsi le chemin du Seigneur qui vient après lui.
Après son baptême, Jésus fait un jeûne alimentaire de 40 jours et 40 nuits. Et il en ressort affaibli et affamé, comme nous le serions en agissant de même. Mais cette faiblesse n’est que physique, car au contraire, ce temps de jeûne passé en méditations et en prières, n’a fait que renforcer sa force et sa volonté mentale et morale. Ce chiffre de 40 jours et nuits rappelle les épreuves humaines marquées par des échecs successifs du peuple hébreu et même avant lui, ce fut la durée pendant laquelle les eaux du déluge sont tombées sur la terre pour anéantir toute forme de vie terrestre ; Noé et sa famille exceptés. Il y eut les 40 jours et nuits pendant lesquels Moïse était auprès de Dieu sur le Mont Sinaï de l’Arabie alors que le peuple resté au pied de la montagne s’était donné un dieu en fondant l’or égyptien pour lui donner l’aspect d’un veau d’or fêté dans l’immoralité des outrances sexuelles ; les coupables étant détruits par Dieu. Il y eut les 40 jours et nuits de l’espionnage de Canaan et le peuple a été condamné à errer pendant 40 années dans le désert ; « une année pour chaque jour » où ils ont péché contre Dieu en refusant d’entrer en Canaan à cause des géants qui l’habitaient.
Jésus avait donc derrière lui, cette condamnation divine de tous les échecs de l’humanité depuis Adam et Eve. Et c’est déjà là, que nous trouvons le lien le plus direct avec son temps de jeûne qui a marqué son entrée en ministère car avant d’en être jugé digne, Jésus devait en donner la preuve concrètement en étant soumis à l’épreuve des tentations de Satan, le diable.
Jésus se trouve donc dans un état affamé conséquence d’une privation de nourriture pendant 40 jours et 40 nuits. La précision est importante, car ce jeûne suivi par Jésus, condamne le jeûne hypocrite et sans justification du Ramadan de l’islam qui autorise les jeûneurs à manger la nuit après le coucher du soleil ; manière de confirmer l’intérêt donné aux ténèbres nocturnes. De plus, celui qui jeûne ainsi le jour, témoigne à son entourage par sa privation qu’il est un bon musulman fidèle et obéissant. Car, de toute manière, la nuit, les œuvres humaines sont incontrôlées et donc sans intérêt stratégique ni pour le diable ni pour la religion et ses dogmes.
Alors que la faim tenaille ses entrailles, dans une vision, le diable se présente à lui et lui propose de faire appel à sa puissance divine à laquelle il a renoncé pour le temps de son incarnation. Il lui eut été si facile d’ordonner que les pierres soient transformées en pain savoureux, le diable le sait et le lui propose. Eve, en son temps, se fit pas prier ni supplier, pour accepter de désobéir à Dieu. A l’opposé, Jésus résiste à Satan et lui dit selon Luc 4 :4 : « Il est écrit : L'Homme ne vivra pas de pain seulement. » Déjà la formule, « il est écrit » témoigne du désir d’obéissance à son Père céleste et ce faisant, Jésus indique à ses futurs rachetés que le diable ne doit être combattu que par la loi écrite de la Parole de Dieu. Sa parole qu’Hébreux 4:12 compare à « une épée à double tranchants ». Jésus et le diable se livre un authentique duel et le perdant y perdra sa vie.
La suite est la réponse donnée par Jésus : « L'Homme ne vivra pas de pain seulement ». L’expérience de Moïse en a donné la preuve, puisqu’il passa 40 jours et 40 nuits au sommet du Sinaï en présence de Dieu, sans manger, mais aussi et surtout, sans boire, ce qui constitue un vrai miracle exceptionnel. Jésus se rappelle de ces choses et sa réponse le prouve. Elle est sage et mesurée, car le miracle est une chose rare utilisée par Dieu que dans des cas exceptionnels. Et en dehors de ces rares cas, la normalité est bien que l’homme vive par le pain qu’il mange. Mais cette réponse de Jésus nous dit également que le pain ne suffit pas à lui seul pour faire vivre l’homme. Il révèle ainsi, son besoin d’une authentique relation établie avec Dieu qui est dans son divin projet la seule raison de sa création de créatures libres parmi lesquelles il peut sélectionner ses élus éternels.
Cette réponse de Jésus-Christ nous invite à reconsidérer le sens donné à notre alimentation charnelle. Il est bon et nécessaire de redonner à cette nourriture terrestre le sens qu’elle avait pour Adam et Eve avant le péché soit, un plaisir supplémentaire accordé par Dieu à ceux qui l’aiment et lui obéissent.
Dans toute la révélation biblique, Dieu indique ce que l’homme peut manger et ce qu’il ne doit pas manger, mais il ne prescrit jamais le nombre de repas qu’il doit prendre dans le cycle du jour et de la nuit. Une émission scientifique récente démontre que le cycle alimentaire de l’être humain repose sur 24 heures. Et la même étude démontre l’utilité et l’efficacité du jeûne intermittent qui offre, après le repas, un repos de 16 heures aux organes humains. L’habitude des trois repas pris dans la journée est donc une hérésie alimentaire qui fatigue les organes privés de leur temps de repos. La digestion exige déjà elle-même environ 6 heures et le reste du temps devrait profiter aux organes pour qu’ils se reposent et se préparent au mieux pour digérer le prochain repas.
L’incarnation de Jésus-Christ n’a pas seulement l’intérêt de sauver les pécheurs, ses élus rachetés, sa manière de vivre est aussi une leçon très précieuse. Et au sujet de la nourriture, Jésus préférait s’en passer pour favoriser son temps de prière, selon Jean 4:31 à 34 : « Pendant ce temps, les disciples le pressaient de manger, disant : Rabbi, mange. Mais il leur dit : J'ai à manger une nourriture que vous ne connaissez pas. Les disciples se disaient donc les uns aux autres : Quelqu'un lui aurait-il apporté à manger ? Jésus leur dit : Ma nourriture est de faire la volonté de celui qui m'a envoyé, et d'accomplir son œuvre. » J’ai adopté moi-même la fréquence alimentaire d’un seul repas végétarien pris dans la matinée, et mes 80 ans s’en trouvent bénéficiaires. Le jeûne fortifie, le jeûne régénère, le jeûne protège l’être humain, car il favorise l’état réactif de ses anti- corps naturels. Si le corps bénéficie de la privation de nourriture, il n’en est pas de même pour la nourriture de l’esprit humain. Il est facile de comprendre que rien ne peut remplacer le temps passé en relation avec le Dieu créateur qui incarne par sa nature divine, le miracle permanent.
Dans son incarnation Jésus-Christ nous révèle le bon comportement conforme à l’idéal de Dieu. Et son attitude envers le sujet de l’alimentation nous présente un homme rassasié dans tous les sens du terme. Mais il donne la priorité à son esprit avant son estomac, mettant ainsi en pratique son enseignement de Luc 4:4 : « Il est écrit : L'Homme ne vivra pas de pain seulement. » Cette volonté de rassasier le besoin de son esprit permet de comprendre les excès alimentaires de gens frustrés dans divers domaines dans lesquels ils sont conscients d’échouer, d’être nuls. Car le corps et l’esprit sont soumis aux mêmes lois et le corps exprime la frustration de l’esprit humain. Ainsi, la frustration de l’esprit est traduite par le désir de combler, de remplir l’estomac, et ce type de comportement conduit vers l’obésité et le diabète ; soit, la maladie car, dans ce cas précis, le mal a dit et révélé l’existence du mal être de l’esprit. Quand sa vie le déçoit, quand ses relations humaines sont ressenties comme des échecs successifs, l’homme se retrouve seul avec ses cinq sens : la vue, l’ouïe, l’odorat, le goût, et le toucher, et l’un, l’autre, ou plusieurs de ces cinq sens va devenir le seul sujet de son plaisir. Et pour l’être frustré, le plus facile à satisfaire est celui de la nourriture qui est absorbée par pur plaisir, comme ce fut le cas avant le péché. Mais ces conditions d’innocence ne sont plus et pour l’homme pécheur, dans ses excès, le plaisir alimentaire peut se transformer en terrible et mortelle malédiction.
Jésus-Christ a le désir de sauver l’homme de la condamnation du péché, mais il ne peut rien faire pour celui qui détruit son âme, corps et esprit, par des excès alimentaires ou autres. Par sa vie parfaite, Jésus est venu présenter le modèle de l’homme parfait aux habitants de la terre. Et quelle est l’utilité d’un modèle ? Ce qu’il représente est une invitation à l’imiter, le reproduire, dans l’idéal, de le cloner. Mais la décision est laissée librement à la volonté des humains pécheurs. Car Dieu ne contraint personne à l’imiter ; il appelle, il invite, mais ne contraint personne. Et c’est là, la raison de son amour pour ses élus qui librement viennent à lui, attirés par sa personnalité révélée en YaHWéh dans l’ancienne alliance, et en Jésus-Christ, dans la nouvelle alliance. Il obtient alors le résultat donné à son projet éternel et par son plan salvateur, il sélectionne ses compagnons d’éternité qu’il voulait obtenir quand il était encore seul et sans vis-à-vis libre et indépendant.
La maladie n’a pas la même cause au temps de Jésus et au nôtre. L’Israël que Jésus côtoyait obéissait aux lois alimentaires prescrites dans la « Thorah » juive ; ce qui n’est pas le cas de l’humanité chrétienne actuelle. Malgré cette protection légale de principe, l’Israël ancien était frappé par des maladies et des infirmités que Jésus guérissait. La cause de ces maladies n’était pas le non respect des lois divines mais la déformation de la religion organisée par Dieu. Les rabbins juifs avaient ajouté aux lois divines des lois inventées par eux, et ces lois rajoutées déformaient le caractère véritable du Dieu législateur, l’auteur des lois originelles. Israël payait par de nombreuses maladies la trahison commise envers Dieu, et le premier signe de sa réprobation fut d’enlever au peuple juif son entière indépendance nationale entre – 400 et la venue de Jésus le Messie.
Au cours de l’ère chrétienne, le faux christianisme catholique puis protestant va apporter à la loi divine, lui-aussi, des changements non voulus par Dieu. Les lois anciennes sont ignorées et de nouvelles lois inventées par l’homme les remplacent. Ainsi, l’une après l’autre, les deux alliances divines apostasient en leur temps pour la même raison : elles remettent en cause la stabilité parfaite de la conception de Dieu du bien et du mal. Ce n’est donc pas sans raison que dans ses premiers discours publics, Jésus dit, dans Matthieu 5 :17 à 21 :
« Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes; je suis venu non pour abolir, mais pour accomplir. »
« Car, je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu'à ce que tout soit arrivé. »
« Celui donc qui supprimera l'un de ces plus petits commandements, et qui enseignera aux hommes à faire de même, sera appelé le plus petit dans le royaume des cieux; mais celui qui les observera, et qui enseignera à les observer, celui-là sera appelé grand dans le royaume des cieux. »
« Car, je vous le dis, si votre justice ne surpasse celle des scribes et des pharisiens, vous n'entrerez point dans le royaume des cieux. »
« Vous avez entendu qu'il a été dit aux anciens: Tu ne tueras point; celui qui tuera mérite d'être puni par les juges. »
« Mais moi, je vous dis que quiconque se met en colère contre son frère mérite d'être puni par les juges ; que celui qui dira à son frère : Raca ! Mérite d'être puni par le sanhédrin ; et que celui qui lui dira : Insensé ! Mérite d'être puni par le feu de la géhenne. »
Pour bien saisir ce que Jésus enseigne, il est impératif de lire tous ces versets, parce qu’ils sont complémentaires et ne doivent pas être isolés, au risque de déformer l’enseignement donné par Jésus-Christ. Ces versets condamnent le faux enseignement chrétien actuel en rappelant la constante et perpétuelle priorité qui doit être donnée à la parole de Dieu écrite inchangeable ; « Car, je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu'à ce que tout soit arrivé. »
Ainsi, jusqu’à sa venue glorieuse, le texte de la « Thorah » juive est la grille dont les lettres jugent, justifient ou condamne les Juifs charnels et spirituels. Et ce témoignage biblique se prolonge en Ecriture pendant tout son ministère terrestre, après sa mort et sa résurrection, il prendra la forme des 4 Evangiles écrits par quatre témoins dont deux oculaires. A ce témoignage des Evangiles, Dieu ajoutera les Actes des Apôtres et les nombreuses épîtres inspirées de ces témoins choisis par lui. Et au sujet de ses déclarations Jésus a dit dans Jean 12:48 à 50 : « Celui qui me rejette et qui ne reçoit pas mes paroles a son juge ; la parole que j'ai annoncée, c'est elle qui le jugera au dernier jour. Car je n'ai point parlé de moi-même ; mais le Père, qui m'a envoyé, m'a prescrit lui-même ce que je dois dire et annoncer. Et je sais que son commandement est la vie éternelle. C'est pourquoi les choses que je dis, je les dis comme le Père me les a dites. »
Après ces épîtres inspirées, en fin du 1er siècle, Dieu a donné à l’apôtre Jean sa vision nommé Apocalypse soit, Révélation. Et dans ce livre, Dieu révèle à ses serviteurs « les choses qui doivent arriver bientôt » ; des choses qui concernent le destin futur de l’Eglise, l’Elue du Christ jusqu’à la fin du monde. Et cette révélation est construite sur des symboles et des expressions dispersées dans les livres des « deux témoins » bibliques de Dieu.
Dans Apocalypse 10:9 : « Et j'allai vers l'ange, en lui disant de me donner le petit livre. Et il me dit : Prends-le, et avale-le ; il sera amer à tes entrailles, mais dans ta bouche il sera doux comme du miel. » Dans ce verset, Jésus compare le livre de sa Révélation à un aliment « doux comme le miel ». Nous retrouvons ici, cette nourriture divine à laquelle il a, en premier, donné priorité sur la nourriture terrestre. Et il montre ainsi à ses élus que ce principe est perpétuel et ne doit pas changer, jusqu’à son retour dans sa gloire divine.
Jésus a prouvé, par son activité physique incessante, que sa faible alimentation n’affaiblissait pas sa résistance physique. Ses longues marches de ville en ville, dans le désert et sur les chemins avec ses apôtres et ses disciples, en témoignent.
Finalement, qui était donc Jésus-Christ ? Dieu soit, Micaël fait homme, et sans sa toute puissance restée l’exclusivité du « Père céleste », l’Esprit auquel il obéissait et dont il dépendait.
M8- La concurrence
Ce mot concurrence est terrible car il porte des conséquences mortelles.
La concurrence est une notion rattachée au péché originel commis par Adam et Eve. Dans la vie animale, la concurrence se solde par la mort du plus faible dévoré par le plus fort. Les espèces animales se côtoient, se croisent, sans aucune agressivité lorsqu’elles sont rassasiées. Mais dès que la faim les tenaille, les mêmes animaux se déchirent et se dévorent.
Après le péché originel, l’être humain s’est retrouvé mis en concurrence avec son prochain. Et la conséquence a été la mort d’Abel jalousé par son frère de sang Caïn. La concurrence est véritablement le signe de la malédiction divine. Pour t’en convaincre je te propose d’examiner les conditions de la vie céleste et de la vie terrestre avant le péché. Les créatures de Dieu ne sont absolument pas en concurrence car elles ont les mêmes droits et les mêmes devoirs. La vie d’un ange ne dépend pas de la vie d’un autre ange, car tous obtiennent de Dieu ce qui leur est nécessaire. Dans la vie créée, humaine et animale, les végétaux trouvés en abondance et se reproduisant continuellement, servent de nourriture pour toutes les espèces créées par Dieu ; ce qui exclut toute forme de concurrence, selon Genèse 1:29-30 : « Et Dieu dit : Voici, je vous donne toute herbe portant de la semence et qui est à la surface de toute la terre, et tout arbre ayant en lui du fruit d'arbre et portant de la semence : ce sera votre nourriture. Et à tout animal de la terre, à tout oiseau du ciel, et à tout ce qui se meut sur la terre, ayant en soi un souffle de vie, je donne toute herbe verte pour nourriture. Et cela fut ainsi. »
Dans le principe de la procréation des humains pécheurs, les spermatozoïdes de la semence de l’homme sont en centaines de millions mis en concurrence pour féconder l’ovule femelle, et un seul d’entre eux remporte la victoire. Si on considère le fait que la normalité de l’enfantement de la femme est d’un seul enfant ; le cas des jumeaux étant une anormalité que Dieu utilise pour marquer les deux choix placés devant l’homme, quand l’un des deux est dans la ligne de la postérité bénie d’Abraham. L’unique spermatozoïde vainqueur est une image prophétique de Jésus-Christ, l’unique vainqueur du combat de la foi par lequel, après lui, d’autres vainqueurs, ses élus, le suivent. De plus, ces centaines de millions de spermatozoïdes sont très nombreux à l’image de notre humanité globale du temps de la fin. Dans ce principe, Dieu prophétise sa sélection des élus rachetés en Jésus-Christ, car il les choisit parmi des centaines de millions d’êtres humains. Toutefois, la concurrence prend une forme différente, car la réussite des uns n’empêche pas la réussite d’un autre. L’être humain reste le seul responsable de ses choix spirituels et de son comportement envers Dieu et ses légitimes exigences.
Au regard humain, les religions monothéistes sont apparemment en concurrence, mais là encore, Dieu fixant lui-même la norme de la vraie religion, toutes les autres, celles qui ne se conforment pas à cette norme partagent en réalité le même statut de religion déchue, rejetée par Dieu. C’est uniquement quand elles se comparent avec la religion élue que la jalousie des fausses religions prend une forme haineuse, parce qu’elles se sentent mises en concurrence. Ce comportement a été celui de l’église catholique papale romaine de l’inquisition. La jalousie religieuse ou pas est la conséquence d’une mise en concurrence non supportée.
La concurrence a été normalisée dans l’humanité du péché et son caractère maudit a été oublié et ignoré. Aujourd’hui, beaucoup de gens totalement ignorants du sujet religieux, considèrent la concurrence comme une chose logique et naturelle. Ce comportement légitime pour l’humanité ce principe de concurrence qui concerne les espèces animales et de ce fait animalise l’humanité.
La concurrence est-elle inévitable dans la vie humaine marquée par le péché depuis Adam et Eve ? Je pense que non, car Dieu a organisé la vie humaine en lui donnant pour base, le lien familial. Et au sein de la famille, il n’y a pas de place, normalement, pour la concurrence, mais au contraire, elle se caractérise par une complémentarité solidaire. La concurrence apparaît quand elle s’applique à deux familles différentes qui choisissent de se concurrencer plutôt que de collaborer. La vie humaine est ainsi organisée sur la base de cellules successives : la famille, la ville, le pays, l’empire, le monde. Et à tous ses niveaux, l’être humain a toujours le choix entre la concurrence et la collaboration dans la complémentarité solidaire.
Dans un caractère égoïste, l’être humain cherche à profiter de la concurrence pour s’emparer des richesses produites par l’activité humaine.
Cette pensée égoïste est aujourd’hui représentée par l’idéologie politique et économique du capitalisme libéral occidental. Et, celui-ci est né en Angleterre, le pays de la religion anglicane créée par le roi Henri VIII dont la seule raison de son existence avait pour but de légaliser son divorce avec son épouse espagnole légitime ; ceci pour pouvoir épouser la jeune et belle Anne de Boleyn. La malédiction divine a donc produit ce système politique égoïste qui a conquis le monde occidental. Alors que l’Angleterre s’est affaiblie, les USA l’ont relayée et sont devenus les représentants mondiaux du capitalisme libéral. Cette fois, c’est la religion protestante, calviniste et luthérienne, qui est porteuse de cet égoïsme suprême.
En Occident, la vieille Europe des dix cornes, marquée majoritairement par la religion catholique a été influencée par l’idéologie athée des pays de l’Est socialistes de l’ancienne URSS. Cette norme socialiste est entrée en concurrence ou rivalité avec la vie catholique des Européens déjà gagnés par la pensée du capitalisme libéral. Bénéficiant d’une grande liberté, la France est particulièrement devenue le terrain de la concurrence qui oppose le capitalisme libéral au socialisme communiste. Mais au fil du temps, le capitalisme libéral s’est imposé et le socialisme s’est embourgeoisé ; le parti communiste s’est réduit au point de presque disparaître, absorbé par le parti socialiste patronal. La Russie, elle-même, l’a abandonné.
Opposé à l’extrême, autant qu’il est possible de l’être, ces deux systèmes de gestion populaires que sont le capitalisme et le communisme sont entrés en concurrence décidés à vaincre l’adversaire. A l’avidité individualiste du capitalisme s’est opposée la gestion collectiviste des individus regroupés et rassemblés. Et la vérité biblique me permet de le dire, les deux étant séparés, entièrement coupés de Dieu. Car, en apparence généreuse, le collectivisme communiste n’était pas motivé par l’amour de son prochain, comme ce fut le cas des premiers Chrétiens au sujet desquels Actes 4:32 déclare : « La multitude de ceux qui avaient cru n'était qu'un cœur et qu'une âme. Nul ne disait que ses biens lui appartinssent en propre, mais tout était commun entre eux. » Sans relation avec Dieu, le communisme russe ne pouvait qu’être froid, calculateur et meurtrier. Dans l’Est de l’Europe, le communisme a disparu, remplacé par la religion orthodoxe qui a été rétablie. Et le communisme collectiviste n’est plus appliqué qu’en Chine et en Corée du Nord, où il est dirigé par deux dictateurs indiscutés.
Dans le jeu de la concurrence qui opposait le commerce américain au commerce européen, les USA ont fait entrer la Chine communiste dans l’OMC. Suscitant la convoitise des investisseurs occidentaux, la Chine est devenue l’unique pays producteur de la grande fabrication mondiale. Et en conséquence, les entreprises américaines et européennes ne pouvaient que délocaliser leur production en Chine ou disparaître. Dès lors la production des pays riches occidentaux s’est tarie, accompagnée par la hausse du chômage local, aux USA et en Europe. Aux USA, le pouvoir politique est resté le même malgré les alternances gouvernementales ; le capitalisme a constamment soutenu ses riches investisseurs de la « Bourse » américaine.
Parallèlement, en Europe, la construction européenne a placé les décisions entre les mains des technocrates de Bruxelles et sa commission européenne mise au service du capitalisme mondial. De ce fait, les députés nationaux ont accompagné et légalisé les décisions qui ne demandaient plus leur avis, et les usines ont fermé leurs portes les unes après les autres dans une indifférence gouvernementale totale.
Depuis 2020, les coûts financiers énormes dus aux deux ans de blocage de l’activité imposés par un jeune président ambitieux, « immature » et « sans expérience » et les dépenses créées par son opposition à la Russie et son aide militaire donnée à l’Ukraine ont eu l’effet d’une onde de choc qui a réveillé les peuples européens. Ils se découvrent avec horreur, beaucoup plus faibles qu’ils pensaient être. Et aussi beaucoup moins riches et influents au niveau mondial que ce qu’ils imaginaient. C’est pourquoi, je vois dans cette actualité s’accomplir la vision « du colosse aux pieds d’argile et de fer mêlés », avec son explication donnée dans Daniel 2:43 : « Tu as vu le fer mêlé avec l'argile, parce qu'ils se mêleront par des alliances humaines ; mais ils ne seront point unis l'un à l'autre, de même que le fer ne s'allie point avec l'argile. » Dieu, pouvait-il mieux faire, pour annoncer ce que nous voyons aujourd’hui s’accomplir ? Une simple image montrée par lui remplace de longs discours.
Après la concurrence des idéologies gestionnaires, est apparue la concurrence entre le travailleur humain et le robot mécanique informatique. Et devenue très riche, la Chine a rattrapé tout son retard technique. Elle a enrichi l’Allemagne qui l’a originellement équipée en machines-outils pour ses chaînes de fabrication, et elle a tué la production française et n’a plus besoin aujourd’hui ni de l’une ni de l’autre, si ce n’est pour leur vendre ses propres productions.
L’Occident est donc devenu la victime du monstre chinois qu’il a créé. Sa production à bas prix, rend toute concurrence extérieure, vaine et perdue d’avance. Ces chaînes automatisées produisent énormément pour un moindre coût qui est amorti avec le temps. Si bien que l’homme peut avec raison se demander si sa survie n’est pas en jeu. Le robot concurrent le pousse de côté et compromet son utilité. D’autre part, l’énorme richesse détenue par quelques génies américains est utilisée pour développer encore plus cette production automatisée. L’humanité est soumise à un tel désordre que la valeur des monnaies chute ; elles sont remplacées par des monnaies virtuelles ; bref, le monde sombre dans la folie et l’angoisse.
En 2025, le capitalisme libéral dominateur, amplifie brutalement sa guerre concurrente. Le nouveau président américain, Donald Trump, impose aux Européens ses conditions pour conserver des relations internationales ; or, l’Amérique est très riche, et l’Europe se trouve, elle, ruinée et menacée de destruction par la Russie.
Pour en arriver là, les USA ont organisé la concurrence internationale en fixant les normes des échanges. Le remplacement de « l’étalon-or » par leur monnaie nationale, le « Dollar » constitue un signe spirituel à relever. Cette action confirme la malédiction de leur religion protestante, puisque « l’étalon-or » abandonné est bibliquement le symbole de « la foi », selon ce verset de 1 Pierre 1:7 : « afin que l'épreuve de votre foi, plus précieuse que l'or périssable (qui cependant est éprouvé par le feu), ait pour résultat la louange, la gloire et l'honneur, lorsque Jésus Christ apparaîtra, …» Ainsi, « la foi » américaine est passée derrière sa monnaie nationale, le « Dollar » qui, pris pour étalon international, a mis les USA à l’abri de toute dépréciation extrême de sa monnaie. Ce changement lui a d’autant plus profité que ses multiples grosses entreprises nationales et internationales sont prises en compte pour la valeur de son « Dollar étalon ».
Conscients de leur puissance, les Américains ont fait accepter par leurs alliés européens, les règles qui régissent l’OMC, l’ONU, et l’OTAN. Résistant sous la présidence du général Charles De Gaulle, la France a fini par se soumettre après avoir renoncé à son indépendance pour la construction de l’Europe du marché commun devenue l’actuelle U.E. aux 27 nations membres.
En ce début du mois de Février 2025, la concurrence est relancée comme jamais. Mais cette fois, il n’est plus question de proposition mais d’imposition présentées aux Européens. Au sein de l’Europe, la France a été affaiblie et ruinée en étant mise en concurrence avec les autres nations européennes. Le régime capitaliste libéral dominateur au sein même de l’U.E. a placé les entreprises européennes en concurrence avec la Chine communiste dont les prix plus que bas ont provoqué l’abandon de la production européenne de secteurs entiers : textiles, ménagers, télévisions, téléphones et dernièrement, de voitures électriques aux prix non-concurrençables. Je m’interroge, sachant la cause, et je dis : Comment les dirigeants politiques français ont-ils pu ainsi détruire la production française au profit d’achats chinois et penser que ce pays pourrait survivre ? Il a fallu du temps, et pour moi de la patience, pour voir enfin éclater et apparaître la conséquence de ces choix politiques et économiques égoïstes et désastreux. Mais cette ruine que je voyais venir est aujourd’hui, bien confirmée au désespoir des Français trompés et trahis par leurs élites politiques.
En 2025, l’humanité se métamorphose et se transforme en monstres prêts à s’affronter comme des animaux affamés. L’orgueil et l’égoïsme sont assumés par des pays riches composés de gens fortunés qui détiennent à quelques uns toutes les richesses mondiales. Après avoir rendu les populations de toute la terre esclaves de sa haute technologie, l’Amérique de Donald Trump peut imposer à tous sa domination et ses décisions. Cette dépendance technologique a enrichi comme jamais quelques multimilliardaires qui soutiennent le nouveau président qui annonce, sans aucune gêne, son projet d’annexer le Groenland, qui convoite le Canada et veut contrôler le canal du Panama, mais aussi, la Bande de Gaza.
La dernière concurrence oppose le monstre américain au monstre chinois, au monstre européen et au monstre russe. Les géants de l’heure, les nouveaux « Titans », sont en concurrence pour dominer le monde et comme Dieu l’a révélé à ceux qu’il aime, l’Américain « part en vainqueur et pour vaincre » comme Jésus-Christ qui le détruira au jour de son retour glorieux.
Quand je considère l’histoire humaine, je relève que l’expérience américaine est courte et jeune : 400 ans depuis le début de son peuplement par des européens et seulement 200 ans depuis sa construction nationale. Son expérience était nouvelle comme une sorte de ballon d’essai dont personne sur terre, n’imaginait le résultat final. Et l’Europe composée de vieilles nations a commis une tragique erreur en voulant adopter sa norme multiethnique raciale, culturelle et cultuelle. La France qui est à l’origine en tête de cette adoption, avait rejeté la Bible en laquelle l’expérience de Babel annonce la forme de la fin de l’expérience américaine qui la renouvelle. Le mépris témoigné envers la sainte Bible, cette sainte Parole de Dieu écrite, aura donc causé la perte des USA, des Français et des Européens qui les ont suivis dans leur choix incrédule rebelle.
En résumé de tout ce qui vient d’être dit et démontré, la concurrence n’est pas une bonne chose puisqu’elle conduit des gens, des royaumes, des nations, des empires, à s’affronter jusqu’à la mort. Et là, se trouve la limitation que peut porter l’image du stade utilisée par l’apôtre Paul dans 1 Corinthiens 9:24-25, dans laquelle il n’y a « qu’un seul » vainqueur, comme, il le fait lui-même remarquer ; ce qui n’est pas le cas, pour la sélection de Dieu qui bénit tous ceux qui comblent son attente : « Ne savez-vous pas que ceux qui courent dans le stade courent tous, mais qu'un seul remporte le prix ? Courez de manière à le remporter. Tous ceux qui combattent s'imposent toute espèce d'abstinences, et ils le font pour obtenir une couronne corruptible ; mais nous, faisons-le pour une couronne incorruptible. » Obéir à Dieu ne nuit à personne sur la terre et l’élu n’est donc pas mis en concurrence avec son prochain. Tous ceux qui vont se perdre ne sont que les victimes de leur propre libre-choix. De même, ceux qui vont vivre éternellement seront les bénéficiaires du même libre-choix donné par Dieu à toutes ses créatures célestes et terrestres ; ceci, depuis sa création de son premier vis-à-vis céleste, l’ange de lumière devenu, depuis sa rébellion contre Dieu et ses valeurs, Satan le diable. Mais heureusement, la lumière triomphera et anéantira les ténèbres !
M9- Le bon sens apparaît
Ce message ne peut qu’être court, mais n’en est pas moins précis.
Qu’est-ce qui me porte à faire une telle analyse ? L’évidence des faits. Car je relève que les temps en lesquels les deux guerres mondiales précédentes ont été rendues possibles étaient marqués par la domination de grands chefs. En 1914, l’Allemagne prussienne était dirigée par l’empereur Guillaume II. Et ce pouvoir sans partage, l’a porté à vouloir agrandir sa domination en conquérant de nouvelles terres qui appartenaient à la France. En leur temps, Napoléon 1er et Napoléon III en ont fait autant.
Quel est le lien avec le bon sens ? La simple logique du raisonnement qui veut que le plus fort impose sa loi au plus faible que lui. Ce principe s’impose à l’humanité depuis le commencement, au moment où, à travers le serpent, Satan a vaincue la résistance humaine. Depuis ce début, jusqu’en 1945, des guerres incessantes ont opposées les êtres humains. En 1939, il y eut Hitler et Staline, deux dictateurs pervers qui, après s’être associés pour se partager la Pologne, se sont affrontés à mort, jusqu’à la défaite de l’Allemagne et la mort d’Hitler en 1945. C’est pourquoi, on ne relèvera jamais suffisamment le caractère exceptionnel des 80 années de paix dont le monde occidental a profité pour porter à son apogée le fruit de son amour pour la liberté.
Incontestablement, la paix qui s’est instaurée en 1945 a été obtenue grâce à la mort d’Hitler, le plus envieux et ambitieux des dictateurs de l’heure. A Yalta, les grands de la terre se sont partagé les terres des nations vaincues et les derniers dictateurs se sont endormis les uns après les autres dans une ambiance internationale tendue où les nations étaient séparées en deux camps principaux : l’Ouest et l’Est. Ce qui a favorisé la paix a été le régime parlementaire des démocraties. Sans dictateur, les peuples adoptent des accords favorables à la paix recherchée et souhaitée par l’immense majorité des êtres humains vivants. Ce modèle démocrate pourrait apparaître comme le régime idéal sauf qu’il provoque de grandes frustrations chez ceux qui n’acceptent pas le compromis politique, économique ou religieux. Et même s’ils ne sont représentés que par de petites minorités, ils n’en sont pas moins dérangeants et efficaces.
Car qu’est-ce qu’une démocratie ? C’est un immense océan dans lequel les gros poissons mangent les plus petits, dans lequel, des meurtres, des crimes anthropophages se produisent constamment, dans l’indifférence de tous, ce qui lui donne en surface l’apparence d’une mer calme et tranquille. Car dans une démocratie, l’argent est roi ; la possession et la richesse conduisent au pouvoir politique des hommes dont les décisions vont enrichir encore plus les riches qui les soutiennent. Et pour calmer les foules exploitées exigeantes de toujours plus de liberté, les barrières légales morales sont enlevées, permettant au peuple de jouir de nouvelles libertés justifiant l’abomination de plus en plus grande et perverse.
Dans les parcs des villes, les enfants jettent du pain aux canards qui se pressent vers eux ; les riches dominateurs agissent de même avec les populations pauvres.
Le thème de la paix occidentale est à ce point exceptionnel, que Dieu en fait mention dans sa prophétie d’Apocalypse 7:1, désignant néanmoins une paix spirituelle : « Après cela, je vis quatre anges debout aux quatre coins de la terre; ils retenaient les quatre vents de la terre, afin qu'il ne soufflât point de vent sur la terre, ni sur la mer, ni sur aucun arbre. » La paix que Dieu souligne dans cette prophétie ne concerne que les relations entre les seuls êtres humains chrétiens. Car la relation de l’homme avec Dieu prend un caractère nouveau à partir de 1843, selon les termes du décret fixé dans Daniel 8:14 qui détermine cette date. Les guerres continuelles ayant eu une cause religieuse jusqu’en 1840, la paix de pouvait en premier que concerner ce type de paix religieuse. En 1840, les armées anglaises et russes chrétiennes ont mis fin à la domination musulmane Ottomane des Turcs Seldjoukides. Les guerres opposant les Chrétiens catholiques aux Chrétiens protestants avaient cessé au moment de la Révolution française entre 1789 et 1798. Et la lutte entre les Chrétiens et les Musulmans a donc à son tour pris fin en 1840. Peu de temps avant et après, ce fut le temps des guerres des colonisations : Algérie, Afrique noire, Asie…etc.
Au temps fixé par lui, par son décret de Daniel 8:14, de nouvelles conditions sont établies par Dieu, pour sauver ses élus par la grâce de Jésus-Christ qui les sanctifie par sa vérité. Dieu ne fait qu’exiger la restauration des vérités apostoliques oubliées et remplacées dans la doctrine catholique romaine papale. Les épreuves nommées « adventistes » vécues aux USA en 1843 et 1844 sont ignorées par les multitudes chrétiennes internationales qui sont de la sorte privées d’un précieux poteau indicateur ancré et fixé par le Dieu créateur pour éclairer ses saints élus. En 1843, Dieu dénonce le non achèvement de la Réforme protestante qui conserve énormément de sujets doctrinaux faux et mensongers hérités de la doctrine catholique papale romaine. Or, le Souverain suprême de la vie céleste et terrestre ne peut accepter que sa vérité ne soit pleinement restaurée et honorée par les élus qu’il sauve par Jésus-Christ.
Dans ce programme de restauration de sa vérité, Dieu avait posé la première pierre de sa reconstruction en l’an 1170, en conduisant un homme riche, lyonnais, nommé Pierre Vaudès, ou Valdo, à traduire le texte biblique latin en sa langue franco-provençale. Il fut ainsi le premier homme qui a rendu à Dieu par Jésus-Christ le culte que lui rendaient les douze apôtres, le repos sabbatique du septième jour étant compris dans les vérités restaurées. Après son époque et sa fidèle résistance, le groupe vaudois qu’il avait formé a été vaincu et dispersé par les attaques catholiques. De ce fait, entre le 15ème et le 18ème siècle, la Réforme protestante n’a pas reproduit son fruit de vérité initiale. Dieu a donc accepté, dans la frustration de sa gloire légitime, de reconnaître provisoirement l’imparfaite fidélité des martyrs protestants qui ne prenaient pas les armes, préférant perdre leur vie ou leur liberté.
Les causes des guerres religieuses ayant cessé, des guerres sporadiques de conquêtes territoriales les ont remplacées en 1870, 1914 et 1939 ; trois guerres dont l’ennemie de la France fut l’Allemagne prussienne, puis hitlérienne.
Le retour de Jésus étant prévu pour le printemps 2030, le début du dernier siècle de l’humanité est l’année 1930. Bien que la guerre de 1870 ne soit pas une guerre mondiale, elle fut néanmoins pour l’Europe, très meurtrière et donc très importante. Entre 1870 et 1914, il s’écoule 43 ans ; ensuite, entre 1918 et 1939, nous avons 20 années de paix. Les Guerres de 1914 et 1939 sont apparues pour punir l’iniquité des Chrétiens occidentaux tombés dans la vie luxurieuse et la débauche. Pour obtenir ce résultat, il a fallu 43 années de paix, premièrement, et 20 années de paix, secondement, et ce témoignage révèle une accélération du processus qui conduit l’homme à être dominé par le mal. Démonstration faite et obtenue, Dieu a donné à la Seconde Guerre Mondiale un aspect destructeur intense ; destruction des villes et d’une partie de leurs habitants bombardés par les nouveaux maîtres du ciel : les avions militaires, chasseurs et bombardiers. La punition a été très grande avec ses 60 millions de morts et disparus. Et parce que cette guerre représente son avant-dernier avertissement, Dieu a fait cibler particulièrement la communauté juive par le chef nazi Adolf Hitler dont la « solution finale » a fait mourir quelques 6 millions de Juifs et juives, vieillards hommes, femmes et enfants.
Le désastre fut si grand qu’il a fallu attendre l’année 1968 pour que l’esprit frondeur de la jeunesse réapparaisse en France. 1945 à 1968 fut le temps du relèvement des ruines, et 1968 marqua le début des revendications libertaires. En 1974, après les décolonisations, les pays arabes reprennent le contrôle de la vente du pétrole et du gaz. Les pays musulmans s’enrichissent au détriment des Européens qui eux s’appauvrissent. L’entrée de la Chine dans l’OMC va encore plus les appauvrir et les rendre dépendants de ses productions. Pour étouffer d’éventuelles révoltes populaires, les dirigeants occidentaux lèvent toutes les barrières morales, tous les tabous religieux et offrent à leur population la jouissance de la liberté au sens propre et au sens figuré (sale). En France, c’est en 2013, le vendredi 17 mai, que le président Hollande fait, avec difficulté, adopter légalement le droit au mariage pour tous, « gays, lesbiennes, et transsexuels ». La démocratie prend alors l’apparence d’une démone « crasse » abjecte et licencieuse au niveau jamais atteint, ni en 1870, ni en 1914, ni en 1930 ou 1939. Par cette action, Paris confirme son nom symbolique « Sodome » que Dieu lui attribue dans Apocalypse 11:8.
Relevons que dans la même année 2013, la cause de la guerre d’Ukraine est déclenchée par les manifestations « d’Euromaïdan », suivi par le putsch de « Maïdan », qui renverse son président russe élu.
Après l’outrage de 2013, Dieu a inauguré « le temps de la fin » en offrant à ses élus une abondante lumière spirituelle au printemps 2018, dont la fixation de la date du retour de Jésus-Christ pour le printemps 2030. Puis 2020 a été l’heure du début de ses derniers châtiments : le virus du Covid-19 a bloqué pendant 2 années l’économie française au prix d’un grave endettement. Liés les uns aux autres par les accords européens, les pays partenaires se sont mutuellement soutenus en ruinant toute l’Europe consommatrice, mais de moins en moins productrice pour exporter vers l’étranger.
C’est dans ce climat peu favorable aux Européens de l’U.E. que la guerre en Ukraine a conduit le chef de la Russie à se comporter en dictateur inflexible. Depuis quelques temps, le chef de la Chine venait d’obtenir son titre de président à vie. Et le chef de la Corée du Nord dispose lui-aussi de ce pouvoir suprême qui favorise des prises de positions immédiates non discutées. L’avantage stratégique est pour ces dictateurs qui redoutent cependant tous le pire soit, la mort propagée par l’affrontement nucléaire.
Dans le camp des démocraties, le nouveau président Donald Trump se distingue en ce qu’il n’est pas un homme politique professionnel formé dans les écoles administratives des USA, comme c’est le cas généralisé en Europe occidentale. Et ce que je relève, c’est que cet homme n’a en sa faveur que son simple bon sens humain appliqué dans sa formation professionnelle de chef d’empire immobilier. Donald Trump n’est pas à l’aise dans son costume présidentiel au droit restreint par les autorisations données par le Congrès américain. De plus, il a en face de lui, ses adversaires qui ne sont pas, eux, retenus par des obligations légales, car ils font et interprètent la loi de leur pays. Malgré son handicap politique, le président Trump bénéficie d’un soutien quasi miraculeux des trois chambres politiques américaines, le Congrès, le Sénat et la Cour suprême.
Comme un extra-terrestre descendu sur la terre, le président Trump exprime franchement et ouvertement ses visées, ses objectifs, qui visent à enrichir l’Amérique, sa nation, et lui redonner son rôle dominateur incontesté qu’elle avait en 1945. Or cette ambition se heurte au souhait du camp des « BRICS » qui veulent enlever au dollar de la monnaie américaine sa valeur d’étalon mondial. Ces deux objectifs étant totalement inconciliables, une guerre finale totale est facilement prévisible. Mais avant cela, des arrangements provisoires et de courtes durées sont possibles pendant cette année 2025.
Dans un monde régi par l’argent, Donald Trump pense que tout peut s’acheter : la matière, les produits, les terres, et les âmes humaines. Avant lui, les papes de l’église catholique ont voulu obtenir et ont obtenu la domination sur les biens et les âmes humaines. Aussi, dans la condition actuelle où la valeur suprême est l’argent et la richesse, beaucoup sont prêts à suivre Donald Trump.
Son désir de contrôler le passage du Panama, de faire du Canada le 51ème Etat américain, d’acheter le Groenland, et de contrôler la Bande de Gaza, épouvante tous les peuples de la terre. Et si l’homme se permet d’exprimer ses souhaits, c’est précisément parce qu’il n’est pas un homme politique corrompu par l’hypocrisie exigée par cette profession politique. Il dit ce qu’il pense et tente de faire ce qu’il dit. C’est si logique comme comportement qu’il convient de relever le haut niveau de la perversion universelle des peuples que son comportement étonne. Pour ces autres peuples, la tromperie et l’hypocrisie sont considérées comme des valeurs normales. Et pour ces gens, se comporter franchement et sans hypocrisie est comme une intervention extra-terrestre. Et en fait, c’en est bien une, puisque sa mission est organisée par le Dieu créateur qui vient à travers le président Trump, bouleverser et chambouler, l’ordre international hypocrite qui règne depuis 1945.
L’Amérique a de gros avantages qui lui permettent de parler fort et de faire pression sur ses adversaires. Elle est très riche en biens et matières, géographiquement isolée, et puissamment équipée en armements de toutes sortes.
En ce mercredi du 5 Février 2025, Donald Trump épouvante tous les médias en proposant devant Benjamin Netanyahou, le chef actuel d’Israël, de faire de la Bande de Gaza, une « Côte d’Azur » reconstruite et gérée par l’Amérique après que les Palestiniens qui y vivent actuellement soient accueillis par l’Egypte et la Jordanie ou d’autres pays arabes.
Cette idée peu paraître inconcevable et injuste, cependant il présente pour la première fois une solution au problème que représente la cohabitation des Juifs avec les Palestiniens. Prenant ouvertement parti pour Israël, placé sous la protection américaine depuis 1948, Donald Trump trouve logique de frustrer 2 millions de Palestiniens pour régler un problème qui peut embraser le monde. Qui peut s’opposer à ce raisonnement logique ? Dans la Bible, le chiffre « 2 » désigne l’imperfection et c’est bien l’imperfection qui empêche le règlement de la cohabitation de deux peuples antagonistes. En intervenant souverainement, les USA constituent un 3ème camp, et « 3 » est le chiffre de la perfection, dans la sainte Bible. Quand deux enfants se disputent un objet, offrir l’objet en question à un troisième enfant peut constituer une bonne résolution du problème qui oppose les deux premiers enfants.
A qui appartient la terre ? Des peuples se succèdent au fil du temps sur des terres dont ils font leur sol national. Mais au cours de l’histoire, certains sont décimés et remplacés par d’autres qui font du territoire conquis, leur terre nationale. En premier, Dieu a organisé et mis en œuvre l’extermination des Amoréens pour offrir à son peuple Israël une longue existence paisible. Mais dès ce commencement de sa vie nationale, Israël a désobéi à Dieu et il a laissé survivre des habitants de la ville de Gaza entre autres. Il en a résulté la présence d’un ennemi séculaire nommé « Philistin » que Dieu a su utiliser pour punir les infidélités de son Israël juif charnel pendant son histoire.
N’est-il pas remarquable que cinq années avant son retour final, la paix mondiale dépende d’un conflit opposant les habitants « Palestiniens » de Gaza à l’Israël actuel ? Or, ces habitants actuels de Gaza ne sont pas les descendants des anciens Philistins, mais des arabes nomades dispersés sur la terre nationale des Juifs renommée Palestine par les Romains ; ceci pendant le temps de la dispersion des Juifs parmi les nations de la terre, depuis 70 jusqu’en 1948.
Le caractère insoluble du conflit qui oppose aujourd’hui les Palestiniens aux Israéliens est, pour Dieu, le moyen de rappeler à Israël sa première désobéissance : il n’extermina pas les habitants de Gaza, comme Dieu le lui avait ordonné. Le souvenir de cette première faute est projeté par le Dieu créateur en 2025, pour attirer tous les regards humains sur les conséquences portées par la désobéissance aux ordres qu’il a donnés.
La solution proposée par Donald Trump n’aura jamais l’efficacité de l’ordre donné par Dieu, parce que seule la mort rend la descendance rebelle inactive. Et en proposant l’accueil des Palestiniens dans d’autres pays arabes, le président américain sous-estime l’entêtement de certains combattants palestiniens fanatiquement attachés à leur revendication territoriale. L’homme d’affaire américain est insensible à la valeur sentimentale et religieuse que les Palestiniens actuels donnent à un petit territoire où les Juifs sont revenus s’installer. Lui, le riche, ignore que la dernière propriété du pauvre, c’est sa terre ; celle sur laquelle il est né. Mais cet attachement, au demeurant très légitime, peut être remis en cause par Dieu qui seul décide à qui la terre doit être donnée. Et c’est dans cette aptitude à accepter humblement sa très sainte volonté, que l’être humain peut témoigner d’une foi authentique. Dieu demanda à Abram de quitter la terre et la maison de son père, nous enseignant ainsi à recevoir ce qu’il nous donne et accepter de perdre ce qu’il nous reprend. Or, ce n’est pas là, le comportement de nos Palestiniens musulmans qui témoignent ainsi eux-mêmes contre leur religion.
Nous passerions à côté d’un message adressé par notre subtil Dieu créateur, si nous ne relevions pas l’intérêt du nombre « 80 » qui est le nombre des années comprises entre 1945 et 2025. « 80 », c’est 40 + 40 et ce chiffre 40 fut le temps de l’épreuve de l’Israël de l’ancienne alliance. Relève ces analogies : au terme des 40 ans, Israël allait entrer en terre de Canaan, de même au terme des 80 ans, l’Israël spirituel de Jésus-Christ s’apprête à entrer dans le royaume céleste de Dieu, la Canaan céleste. Or, Dieu condamna la génération incrédule testée à mourir pendant le temps du séjour au désert. Et ce furent donc les générations suivantes qui furent autorisées à prendre possession de la terre de Canaan. De même, Dieu a attendu, 80 ans soit, le temps que meure la génération qui a vécu le châtiment de la Seconde Guerre Mondiale, pour soumettre les générations suivantes à l’épreuve de sa « sixième trompette » ou Troisième Guerre Mondiale. Et cette analogie cible l’incrédulité d’une génération victime ou témoin de la « shoah », la tentative nazie d’exterminer les Juifs, les premiers pécheurs coupables d’incrédulité pour le projet salvateur de Dieu, basé sur Jésus-Christ et sa divine grâce. Dieu a tenu pour coupable d’incrédulité cette génération qui n’a pas compris que ce châtiment des Juifs venait de lui, de même que la Seconde Guerre Mondiale entière. Depuis 1945, de nouvelles générations ont obtenu un délai de 80 ans pour recevoir Dieu et le comprendre. Mais elles échouent et font le mal pire que leurs pères. En conséquence, le châtiment divin, mortel cette fois, de sa « sixième trompette », vient les frapper pour les détruire, grandement.
« La loi du plus fort est toujours la meilleure », a dit par dérision, le sage Jean de la Fontaine dans sa fable « le loup et l’agneau ». Elle est non seulement la meilleure, mais aussi, divine, car c’est Dieu qui a placé la vie entière sous toutes ses formes sous ce principe ; et ceci à juste raison, parce que le plus fort, c’est lui, et dans son projet créationniste, il sortira vainqueur et honoré par ses élus, quand il aura anéanti tous ses ennemis célestes et terrestres. La loi actuelle des compromis cessera d’exister et la norme de la valeur divine la remplacera éternellement. Le compromis est le résultat injuste obtenu dans une confrontation d’idées humaines imparfaites. Dans la vie céleste bénie par Dieu, cette situation n’est plus, la parfaite pensée divine s’impose à toutes ses créatures pour leur bonheur et leur parfait accord.
Je ne sais si Donald Trump aura la possibilité de mettre en œuvre son projet concernant Gaza, mais je suis certain que s’il tente de le faire, le monde oriental musulman va se soulever comme un seul homme pour l’en empêcher. Mais, ne sommes nous pas dans l’attente d’un soulèvement musulman contre l’Occident chrétien prophétisé dans Daniel 11:40 ? Ce sujet concernant Gaza pourrait être sa cause.
M10- La perversion du bon jugement
Dans la soirée du 6 Février 2025 soit, du 7 Février dans le temps divin, j’ai suivi une émission sur une chaîne info où l’invité était Mr Bruno Retailleau le nouveau ministre de l’intérieur du gouvernement Bayrou de la France. Des échanges avec des téléspectateurs, gens du peuple présents sur le plateau, m’ont permis de découvrir la clé des problèmes civils et religieux actuels.
Le ministre très désireux de régler les problèmes de violence qui se multiplient dans le pays, se heurte à un problème d’application des lois émises par les députés français. Le problème est le suivant : les députés votent des lois que les juges de la République sont chargés d’appliquer. Si les choses se passaient ainsi, les coupables seraient systématiquement punis et incarcérés ou expulsés du pays. Seulement, les juges n’appliquent les lois qu’après s’être donné le droit de les interpréter. Le mot fatal et responsable est lâché ; c’est un verbe, le verbe « interpréter ». En utilisant ce droit d’interpréter, les juges n’appliquent plus la loi ; ils se permettent de ne pas la respecter. Avec raison, la Constitution de la 5ème République française, offre à la Justice une entière indépendance envers le pouvoir politique dirigeant exécutif. La justice est donc totalement libre vis-à-vis des hommes politiques et ne doit en ce cas pas subir l’influence du camp politique mis au pouvoir. Mais cette indépendance est abusivement exploitée quand le résultat permet la non-application de la loi promulguée par la chambre des députés. L’indépendance des chambres de la République est censée permettre d’éviter les influences des groupes politiques différents et même totalement opposés. Mais par nature, les juges sont des humains et des citoyens qui ne sont pas indépendants totalement, puisqu’à titre individuel, ils favorisent des idées politiques qu’ils partagent et approuvent dans leur comportement professionnel de juges. La véritable neutralité est rare ou n’existe pas. En plus de ce problème imputable à l’indépendance outrepassée de la justice, un autre problème vient empêcher l’application des lois soutenues et promulguées par les représentants nationaux du peuple français. Il s’agit du blocage ou de l’autorisation donnée par le Conseil Constitutionnel formé par les anciens présidents de la République, restés vivants, tous ayant été rejetés par les électeurs français à la fin de leur mandat présidentiel. Un pouvoir décisionnaire de nuisance leur reste attribué. Est-ce légitime et intelligent ?
A ces deux blocages vient s’ajouter un troisième qui concerne le pouvoir du commissariat européen et de la députation européenne dont les jugements prévalent sur les décisions nationales. Peut-on faire mieux pour s’empêcher d’agir et de réagir contre les problèmes qui se présentent et s’imposent en notre époque troublée, perturbée par l’intensification des sujets néfastes que les populations subissent chaque jour davantage ?
La France, la deuxième démocratie de l’histoire mondiale moderne après les USA, a été choisie par Dieu, comme un modèle type de l’histoire de la religion chrétienne. Ses rois ont été puissants, craints, respectés et enviés par beaucoup de rois et leurs peuples. Sous Louis XIV, la séduction a atteint son apogée et ce roi nommé « le roi soleil » a fait culminer les arts et le luxe en faisant bâtir sa résidence de Versailles. Et si j’en viens à évoquer ce roi, c’est parce qu’il incarne le contre-modèle de notre démocratie actuelle ; son opposé dans l’absolu. Il n’avait, lui aucune difficulté pour appliquer ses lois. Il les créait seul et les faisait appliquer sans donner à quiconque le droit de les interpréter ; sous peine de mort ou d’incarcération. Par dérision subtile, le Dieu créateur suprême et Souverain au titre de « Roi des rois et Seigneur des seigneurs » a plongé son règne de « roi soleil » dans de profondes mortelles « ténèbres » ; ceci, jusqu’au jour de sa mort, puis le soleil du ciel est réapparu, réchauffant la nature et les hommes.
Entre l’excès de Louis XIV et l’excès de notre démocratie moderne, il y a place pour un juste milieu équilibré, n’est-ce pas le cas ? Ce fut le cas entre 1945 et 1968, l’année de la rébellion de la jeunesse française étudiante, les enfants des riches privilégiés et trop gâtés de la République française. Influencés par les débordements libertaires sexuels qui caractérisaient la jeunesse américaine, le mal américain s’est implanté en France et dans toute l’Europe occidentale.
En Amérique comme en France, un grand pouvoir décisionnaire est donné aux juges. Et ce choix est dû à l’intensification de l’influence de la science traitant de la psychiatrie. Le droit de l’interprétation a été donné en premier aux psychologues devenus les maîtres penseurs des sociétés démocrates. Quand le psychiatre a parlé, la justice s’incline et n’applique plus la loi prévue pour punir le crime, le meurtre, le vol ou le viol. En conséquence, le mal se prolonge et fait de nouvelles victimes. Qui profite de cette situation ? Le diable, Satan. Et Dieu ne voit en cela que la conséquence du mépris dont il est personnellement objet. Le mal ne fait que retomber sur la tête de ceux qui le méprisent. Et c’est en cela que la connaissance de la sainte Bible, sa divine parole écrite, est utile et vitale, car elle met en garde l’homme, en annonçant la mort de ceux qui le méprisent.
Le cas civil de la France et des autres démocraties occidentales éclairent d’une lumière éblouissante le cas du problème religieux de notre temps.
Parlant de Dieu, les hommes le nomment en grec le « logos », soit la « Parole », reprenant le témoignage de l’Evangile de Jean où il dit dans le chapitre 1, au verset 1 : « Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. » Confirmant sa déclaration, nous lisons dans Genèse 1:1 : « Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre. » Ces deux versets se complètent merveilleusement en nous révélant que la Parole est un verbe, le verbe « créer », le premier verbe que Dieu s’impute et qu’il donne à son action.
Comparons maintenant, dans ces deux sources bibliques, le deuxième thème évoqué par Jean : « la lumière », selon Jean 1:4-5 : « En elle était la vie, et la vie était la lumière des hommes. La lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l'ont point reçue. » Genèse 1:3-4 répond : « Dieu dit : Que la lumière soit ! Et la lumière fut. Dieu vit que la lumière était bonne ; et Dieu sépara la lumière d'avec les ténèbres. » Ce verset 3 révèle que Dieu « crée » en donnant un ordre exprimé par sa « Parole » ; ce qui fait de lui, la Parole divine incarnée en Jésus-Christ.
Cette mise en scène biblique dirige notre attention sur l’autorité de Dieu dont la « Parole » obtient instantanément ce qu’il ordonne. Or ce modèle ressemble beaucoup plus à celui de Louis XIV qu’à celui de nos démocraties actuelles qui se détruisent par l’excès de liberté qui donnent à leurs juges le droit d’interpréter les décisions légiférées par les députés de la représentation du peuple.
Au cours de l’histoire des deux alliances divines, les peuples ont été placés sous la domination souvent tyrannique des rois qui jouissaient du pouvoir absolu sur eux. Ce que la Bible nous apprend, c’est que le mal n’est pas dans le principe de ce pouvoir parce qu’il est calqué sur le modèle divin. Le vrai problème se trouve dans le roi qui hérite de son titre, quelle que soit sa moralité, et sa situation envers Dieu. Si le roi n’a pas la crainte du vrai Dieu, son règne va être terrible pour son peuple, de même que le sort de l’humanité livrée à Satan est terrible pour elle.
La monarchie avait sur la démocratie l’avantage d’apprendre aux hommes à obéir aux ordres donnés par le roi. L’homme était ainsi naturellement formé pour obéir et pouvait ainsi agir de même envers Dieu. Et dans des siècles marqués par de profondes ténèbres spirituelles, dans l’ignorance de la vérité biblique, les multitudes populaires se soumettaient à l’église catholique romaine papale en pensant servir Dieu et lui obéir. Aussi, a-t-il fallu attendre l’impression mécanique de la Bible traduite en de multiples langues, pour que sa connaissance permette aux élus du Christ de se distinguer des déchus, par leur obéissance à ses ordres, ses commandements et ses ordonnances ; ceci, en partie, au temps de la Réforme, et intégralement, depuis 1843-1844 comme l’exige son décret cité dans Daniel 8:14 dont la vraie et bonne traduction est : « Et il me dit : Jusqu’à deux mille trois cent soir-matin et la sainteté sera justifiée ». Le « Logos » divin a parlé et son ordre a été exécuté au terme des 2300 années prophétisées soit en 1843, au printemps ; cette durée ayant pour début celui des « 70 semaines » qui conduisent à Jésus-Christ dans Daniel 9:24 soit, selon Daniel 9:26, le premier mois de la septième année du règne du roi perse Artaxerxès 1er. L’action est située en 458 avant Jésus-Christ, et la précision se trouve dans Esdras 7:7.
La traduction de la Bible en de multiples langues a permis donc aux êtres humains bénéficiant d’une complète liberté de choix d’obéir ou pas aux ordres de Dieu clairement exprimés. Car ce point est extrêmement important car il trace la ligne de démarcation entre les élus et les déchus : Dieu ordonne des choses et ne permet pas à ses créatures d’interpréter ses ordres clairement exprimés. Nous pouvons ainsi comprendre que l’homme se comporte civilement comme il se comporte religieusement : il interprète les ordres au lieu de leur obéir. Dans le laxisme humaniste des êtres humains, l’interprétation favorise le prolongement du mal, seulement, mais l’interprétation des ordres donnés par Dieu conduit les coupables à la mort éternelle ; ce qui est beaucoup plus grave.
Il est nécessaire de relever que la Bible présente deux sortes de messages : des messages clairs et des messages prophétiques cryptés ou codés. En réalité, les choses ne sont pas aussi tranchées car des textes littéraux clairement exprimés comme c’est le cas du récit de Genèse 1 ; portent en même temps des messages prophétiques comme je l’ai démontré. Mais certains textes comme Daniel et Apocalypse ont par nature vocation à devoir être interprétés. Mais, même dans cette démarche, Dieu se réserve le droit de donner le code de ses prophéties et il condamne, après avertissement, les « interprétations particulières humaines » données à ses prophéties, selon 2 Pierre 1:20-21 : « sachant tout d'abord vous-mêmes qu'aucune prophétie de l'Écriture ne peut être un objet d'interprétation particulière, car ce n'est pas par une volonté d'homme qu'une prophétie a jamais été apportée, mais c'est poussés par le Saint Esprit que des hommes ont parlé de la part de Dieu. » Et le code que Dieu présente à ses élus est indiscutable parce qu’il se trouve dans les écritures saintes de la Bible. Dieu peut seul revendiquer la possession d’une réelle indépendance, étant créateur de toute chose et de toute vie. Aussi, quand il ordonne, il veut être obéi. Et je me souviens, l’ayant mémorisée, cette leçon apprise pendant mes classes militaires en 1963 : « La discipline faisant la force principale des armées, il importe que tout supérieur obtienne de ses subordonnés une obéissance entière et dans tous les instants ». Dieu peut-il exiger moins que les officiers et les sous-officiers de l’armée française ?
La leçon est claire et précise, l’ordre n’est pas un conseil, un avis, donné à interpréter. Et ce droit à l’interprétation est la cause des échecs subis actuellement par nos démocraties occidentales et elle est aussi la cause des malédictions qui frappent toutes les religions chrétiennes tombées dans l’apostasie généralisée. Les révélations des prophéties sont un plus que Dieu réserve à ses seuls élus qu’il identifie par leurs œuvres. L’accès à sa lumière n’est donné qu’aux appelés qui se montrent obéissant et mettent en pratique tout ce qui leur ordonne dans sa sainte Bible. En Jésus-Christ, le Saint-Esprit dirige leurs pensées et leur permet de comprendre ce qui subsiste et ce qui disparaît dans les ordres donnés par Dieu. Le secret de cette possibilité se tient dans l’intelligence que Dieu leur donne pour l’application spirituelle.
La leçon étant donnée et révélée à ses serviteurs, Dieu suscite le réveil de l’ancien régime autocrate. Partout sur la terre, se lèvent des dictateurs assoiffés de pouvoir et d’autorité. Le temps du règne des démocraties prend fin sous nos yeux. L’avenir proche conduira à l’affrontement d’immenses blocs composés de nations partenaires unies pour faire la force.
Le mot perversion signifie bien ce qu’il dit : perdre la version normale. Et l’humanité a bel et bien perdu de vue la normalité de la possibilité du vivre ensemble qui disparaît progressivement dans l’échelle, famille, ville, région, nation, et bloc de nations unies. Les démocraties découvrent et subissent aujourd’hui les conséquences du regroupement de multiples ethnies aux cultures et cultes religieux très différents et totalement incompatibles les unes avec les autres. Il ne suffit pas de vouloir, faut-il encore pouvoir, obtenir ce que l’on souhaite. Et entièrement coupés de Dieu les esprits humains ont appelé chance, richesse, ce qui vient les détruire, car après l’expérience de « Babel », la punition divine de son imitation est beaucoup plus grande.
La France offre à nos esprits actuellement un bel exemple de ce qui constitue « la perversion du jugement », titre de ce message n°10. Il faut dire qu’elle vient de vivre pendant 80 années dans une longue paix qui pouvait faire croire à ses élites politiques et médiatiques que le défit du vivre ensemble humaniste était gagné. Elle se sent tellement la mère de tous ses enfants multiethniques qu’elle les traite comme des enfants, ne voulant pas voir le fait que l’enfant musulman est enrôlé dans l’islam sans avoir eu à approuver ce choix. Et dès qu’il va à l’école, il rencontre les frères de sa communauté religieuse et réalise alors avec eux, combien il est différent des enfants naturels du pays. Sur les réseaux internet spécialisés, il découvre les messages islamistes, ses frères coreligionnaires et ne peut qu’approuver leur jugement porté contre les « chiens » occidentaux. Aussi, à l’âge où il s’y décide, l’enfant accueilli et francisé devient un combattant pour Mahomet et respectant son Coran, il reprend en son nom la lutte contre les « infidèles » occidentaux, mais aussi, contre les « musulmans infidèles ».
Les intellectuels français ne devraient pas oublier que dans chaque enfant se cache un futur adulte et « qu’aux âmes bien nées la valeur n’attend pas le nombre des années », comme l’a dit « le Cid de Corneille ».
Il reste encore un point qui explique le laxisme de l’action de la justice de la France. Ceci ne concerne pas mes vraies sœurs en Christ que Jésus reconnaît et bénit comme il bénit mon ministère à son service, mais l’entrée des femmes dans la politique et le métier de juge et d’avocat a considérablement influencé le changement de la forme prise par cette justice française. Les femmes ne sont pas moins intelligentes que les hommes mais elles réagissent en mères. Or, quand il a créé le couple humain, Dieu a donné à l’homme et la femme des rôles différents conforme à leur aspect physique. L’homme est tout muscle et force, physique et esprit. A l’opposé, la femme est harmonie et douceur, car elle doit apporter à sa progéniture son amour sa tendresse et sa compassion. C’est ainsi qu’il a conçu son rôle d’aide donné à Adam, de même que l’Eglise des élus est « l’aide » de Jésus-Christ. Le sens prophétique spirituel donné à la femme n’a pas pour but d’annuler le sens littéral qui la concerne charnellement, mais au contraire, les deux formes ont une valeur perpétuelle que l’humanité devait honorer jusqu’au retour du Christ. Or, depuis 1968, l’esprit de révolte apparu en France a eu pour prolongement la révolte « féministe ». Les femmes sont entrées en concurrence avec les hommes, elles ont pris une partie de leurs emplois et de leurs professions. Et elles sont aujourd’hui majoritaires sur les plateaux des chaînes télévisées dont la spécialité est de séduire les téléspectateurs. Elles sont encore plus nombreuses à devenir avocates et juges. La norme actuelle est l’unisexe, l’égalitarisme demandé par les travailleurs, non accepté par les patrons et les PDG des sociétés anonymes, est favorisé et encouragé, pour le droit des femmes. Ce n’est pas là, la norme que Dieu a mise en marche au sixième jour de sa création du ciel et de la terre. C’est le fruit final d’une société humaine entrée en rébellion totale contre le Dieu unique qui l’a créée.
Or, le rebelle prépare lui-même son châtiment par la perversion de son jugement.
La valeur nationale, le privilège de bénéficier d’un endroit de la terre où nous sommes nés, avons grandi, et vécu toutes nos expériences, est d’une immense valeur que certains vont découvrir quand ils vont se voir retirer cet avantage. La pensée nationaliste devrait être ressentie comme l’appartenance à une famille qui s’est transmis un héritage de siècle en siècle. Hélas, la naissance des USA a considérablement changé cet état d’esprit et l’humanité occidentale, qui a combattu au prix de 60 millions de morts pour préserver ses droits sur sa terre nationale, est devenue mondialiste et universaliste ; à l’image de son modèle américain peuplé de gens venus de tous les pays de la terre. Les Blancs sont arrivés en Amérique, et de plus en plus nombreuse cette immigration a repoussé jusque dans quelques réserves les survivants des habitants à la peau cuivrée du pays. Ce qui leur est arrivé menace tout peuple qui se laisse envahir par l’immigration. Le processus peut prendre plus ou moins de temps selon qu’il s’accompli dans la paix ou la violence, mais la fin est la même dans les deux cas ; les plus nombreux finissent par dominer le pays. Après la terre américaine, les Blancs des USA ont favorisé l’immigration juive sur leur ancien sol national rebaptisé entre temps, la Palestine. Et là encore, usant de la force et de plus en plus nombreux, la Palestine est redevenue l’Israël du peuple Juif. Une minorité d’arabes musulmans a été tolérée sur son sol. Depuis 1850, la France a colonisé l’Algérie, la Tunisie, le Maroc et des zones de l’Afrique noire. Par des guerres ou des accords, ces colonies ont retrouvé leur indépendance, mais dans ces peuples, la haine du colon est restée intacte. La tension actuelle des relations entre la France et l’Algérie devenue libre en 1962 après une longue guerre coloniale, n’est que le témoignage de cette vieille rancœur algérienne.
C’est alors qu’il convient de se rappeler ses paroles d’Apocalypse 13:10 qui exprime la justice selon Dieu, celle qu’il fait accomplir : « Si quelqu'un mène en captivité, il ira en captivité ; si quelqu'un tue par l'épée, il faut qu'il soit tué par l'épée. C'est ici la persévérance et la foi des saints. »
Depuis 1962, la France a recueilli sur son sol, quelques familles algériennes « harkis » qui collaboraient avec la France contre son ennemi, le FLN algérien. Puis, d’autres familles sont venues en France pour des causes économiques. Et un homme qui vient de mourir, Jean Marie Le Pen, quel que soit le jugement de son caractère et de son état d’esprit, a fait preuve de bon sens et de perspicacité, en dénonçant très tôt le danger de cette immigration musulmane. Il a été diabolisé par tous les partis politiques français de droite et de gauche. Mais à l’heure de sa mort, les faits viennent lui donner raison, car l’immigration devient le sujet majeur des discussions médiatisées. Enfin, la vérité vient s’imposer aux gens qui l’ont constamment combattu et qui se retrouvent aujourd’hui dans l’assemblée nationale et au gouvernement exécutif. Les jeunes gens d’aujourd’hui n’en sont pas conscients, car ils n’ont pas vécu ces choses. Mais la situation tendue actuelle n’est que la conséquence du refus obstiné de ces hommes politiques et médiatiques aveuglés par l’esprit humaniste universaliste mercantile. Au fil du temps, ils ont courbé l’échine, subissant des révoltes, des violences, des meurtres et des décapitations, et sont restés dans la même attitude aveugle et sourde. Dès les années 65 à 70, l’immigration est devenue la cause de la délinquance. En 1968 ou 1969, après le vol de la « Mobylette » de mon père, à notre domicile, les bras ballants, découragé et désabusé, assis sur une chaise, un agent de la police a déclaré à ma mère en ma présence : « Que voulez-vous ma pauvre dame, on les arrête et ils sortent du Palais de Justice avant nous ! »
Une fois de plus, c’est Dieu qui a décidé du moment pour mettre le sujet de l’immigration sur la table médiatique. Il lui a suffi pour le faire de créer la tempête qui a dévasté l’île de Mayotte. L’attention de tous les Français a été dirigée sur cette île où les habitants expérimentent une authentique submersion migratoire des populations des trois îles des Comores restées indépendantes. C’est en étant confrontés à ce problème que l’actuel premier ministre François Bayrou et ses ministres sont contraints de reconnaître que l’immigration est un problème dont les conséquences peuvent devenir très grandes et très graves, prenant la forme de la violence et la mort. Et ceci, après avoir diabolisé, pendant des décennies, l’homme qui les mettait en garde contre le danger de l’immigration musulmane. Et Mayotte et les autres îles des Comores étaient toutes musulmanes. Après l’expérience douloureuse vécue avec l’Algérie, la Tunisie et le Maroc, tous musulmans, la prise en charge de Mayotte par la France, jusqu’à lui donner le statut de département, a été insensée et irresponsable. La décision fut prise par des gens aveugles qui voyaient et des sourds qui entendaient.
Cette situation est à l’image du combat spirituel, car longtemps Dieu aura appelé les hommes à la repentance, en vain, mais le temps vient où son châtiment s’abat sur eux et les emporte. Comme la vengeance, le châtiment de Dieu est un plat qui se mange froid ; car sa grande « colère », exprimée par ses « sept derniers fléaux » d’Apocalypse 16, est réservée pour la fin, dans l’année 2029 qui vient et qui va être marquée le vendredi 13 Avril par le passage de l’astéroïde « Apophis », qui inquiète beaucoup de monde. Mais déjà, pour préparer le contexte universel de cette fin, le châtiment immédiat qui vient est celui de la « sixième trompette » décrite dans Apocalypse 9:13 à 21 ; et dont la stratégie est présentée dans Daniel 11:40 à 45.
Je le rappelle, 2029 est, dans le calcul de Dieu, la 6000ème année depuis le péché commis par Eve et Adam ; et la 2000ème année depuis le printemps qui a précédé la mort et la résurrection de notre divin Sauveur Jésus-Christ attendu, pour son retour divin glorieux, pour le printemps 2030.
L’immigration est un problème moderne causé par les conséquences de la colonisation. Au temps de l’ancien régime monarchique, les peuples défendaient bec et ongles leur territoire. Le droit du sol ne posait aucun problème. Et l’immigrant non désiré le payait au prix de sa vie comme c’était encore le cas dans l’Afrique tribale et le redevient dans l’Afrique actuelle déchirée par la recherche du profit et de l’enrichissement provoquée par l’envol des prix des « terres rares » ; noms donnés aux minerais rares utilisés dans la fabrication des téléphones portables et de la nouvelle technologie. C’est ainsi, qu’après l’Ukraine et Gaza, un nouveau foyer guerrier embrase la RDC attaquée par le Rwanda. Les pays alliés frontaliers sont prêts à s’engager pour l’un ou l’autre camp, au point que l’Afrique entière va s’embraser dans cette année 2025.
M11- Le jugement perpétuel et éternel
Ce jugement perpétuel et éternel a été offert à l’homme créé à l’image de Dieu, c'est-à-dire à Jésus-Christ, le nouvel Adam en qui Dieu retrouve son image après le péché commis par le premier Adam.
Adam est créé par Dieu, doté de la capacité de connaître le bien et le mal. Mais déjà ce verbe « connaître » que Dieu utilise ne porte pas le sens restreint de l’identification intellectuelle que nous lui donnons dans notre culture actuelle. Ce verset de Genèse 4:1 lui donne le sens d’une connaissance, illustrée par l’image du partage sexuel : « Adam connut Eve, sa femme ; elle conçut, et enfanta Caïn et elle dit: J'ai formé un homme avec l'aide de YaHWéH. » Que veut dire Dieu par ce verbe connaître ? Faire des deux êtres, mâle et femelle, « une seule chair », selon Genèse 2:24 : « C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère, et s'attachera à sa femme, et ils deviendront une seule chair. »
Dieu reprend ce verbe « connaître » pour définir le type de relation qu’il veut obtenir entre lui et ses élus rachetés : Jean 17:3 : « Or, la vie éternelle, c'est qu'ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus Christ. » Et cette connaissance a pour but, l’unité en Dieu, selon le verset 21 : « afin que tous soient un, comme toi, Père, tu es en moi, et comme je suis en toi, afin qu'eux aussi soient un en nous, pour que le monde croie que tu m'as envoyé ».
En tenant ces propos, Jésus évoque la relation spirituelle qui est illimitée contrairement à l’enveloppe charnelle du corps physique. En effet, échappant aux lois et contraintes physiques, l’esprit de Dieu et ceux de ses créatures peuvent se fondre l’un dans l’autre, et Dieu peut obtenir ainsi, la relation avec ses vis-à-vis qui satisfont son besoin d’amour. Le mot « communion » désigne également cette relation voulue par Dieu et ses élus ; ce qui signifie « vivre en commun » dans un paisible et doux partage. On peut ainsi mesurer la nécessité vitale, pour l’homme pécheur, d’être réconcilié avec le Dieu créateur qui le condamne à mourir à cause de son péché originel hérité et ses péchés personnels. La mort expiatoire de Dieu en Jésus-Christ a accompli ce miracle et la grâce a rendu possible, cette connaissance de Dieu ou « communion » avec et dans son Esprit saint.
Nous lisons dans Genèse 3 :22 : « YaHWéH Dieu dit : Voici, l'homme est devenu comme l'un de nous, pour la connaissance du bien et du mal. Empêchons-le maintenant d'avancer sa main, de prendre de l'arbre de vie, d'en manger, et de vivre éternellement. »
Dieu ne dit pas « comme nous » mais « comme l’un de nous ». Par cette subtile différence, Dieu désigne l’ange rebelle devenu pour Dieu « Satan » l’adversaire et « le diable » soit, l’ennemi. Cette désignation du diable, et de lui seul, cible le moment où le diable a commencé à attirer vers lui d’autres anges prêts à le suivre dans sa rébellion. Car l’expression « connaître le mal » signifie : avoir commis le péché en désobéissant à Dieu. Sur la terre, les parents ont été, dans tous les temps, les mieux placés pour apprécier l’obéissance de leurs enfants ou pour souffrir de leur désobéissance. Ils sont ainsi les mieux formés pour comprendre ce que ressent Dieu, qui apprécie ou subit l’un ou l’autre de ces deux témoignages opposés de la part de toutes ses créatures.
Sans que le mot jugement soit prononcé, le récit de Genèse 2, établit les bases du jugement divin et du jugement humain. Nous lisons au verset 9 : « YaHWéH Dieu fit pousser du sol des arbres de toute espèce, agréables à voir et bons à manger, et l'arbre de la vie au milieu du jardin, et l'arbre de la connaissance du bien et du mal. » Ces deux arbres aux natures opposées imagent la loi divine imposée à l’homme. Ensuite Dieu donne ses ordres au verset 16 et 17 : « YaHWéH Dieu donna cet ordre à l'homme : Tu pourras manger de tous les arbres du jardin ; mais tu ne mangeras pas de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras. » L’ordre de Dieu est entendu et reçu par Adam et Eve. Mais dépendante de sa formation depuis Adam, Eve va céder à la tentation plus facilement que son mari Adam. Après sa création, Eve a été prévenue par Adam, mais ce n’était pas Dieu qui lui parlait, mais l’homme mâle, son vis-à-vis semblable à elle. Au cours de l’histoire, cette différence va constamment se renouveler et expliquer pourquoi, le serviteur qui parle au nom de Dieu est reçu avec beaucoup de doute ou carrément rejeté par ses partenaires humains. Les inspirations divines directes ou les visions où Dieu parle directement à ses serviteurs ont sur l’esprit de ces derniers, un effet de conviction durable, et très solide. Il en est de même si la vision est diabolique.
Dans son choix d’imiter Eve pour partager son sort pécheur, Adam se rend encore, par amour, plus coupable que son épouse ; précisément, parce qu’il agit en pleine connaissance des conséquences que son choix va avoir pour lui. Mais paradoxalement, dans ce choix, il sublime le plan du salut divin en anticipant l’esprit de sacrifice que Dieu démontrera par son incarnation en Jésus-Christ.
Notons-le, dans le jardin de Dieu tout est
permis, excepté l’unique « arbre de la connaissance du bien et du mal ».
Dans cette définition « bien et mal », Dieu cible
l’expérience de Satan, créé parfait, l’ange « Astre brillant, fils de l'aurore l’Etoile du matin »
selon Esaïe 14:12 : « Te voilà
tombé du ciel, Astre brillant, fils de l'aurore l’Etoile du matin ! Tu
es abattu à terre, toi, le vainqueur des nations ! » Il est devenu
après sa rébellion soit, son expérimentation du mal, Satan et le diable. Et en
le suivant, en premier, des anges célestes sont devenus avant les hommes des
images vivantes « du bien et du mal ».
Il est donc important de bien comprendre que le mal n’a pas été expérimenté par Dieu, ni par Jésus-Christ, ni par aucun des anges restés fidèles à Dieu ; et que ce « mal » est imputé uniquement à ceux qui pèchent contre Dieu, volontairement ou pas, car les conséquences pour Dieu et le coupable sont les mêmes. L’acte du péché volontaire ne fait qu’intensifier la culpabilité.
Les notions « bien et mal » justifient ou culpabilisent les êtres humains dès l’âge de 12 ans où ils entrent dans l’âge adulte et deviennent responsables de leurs actions. Concernant Jésus-Christ, Esaïe 7:15 prophétise : « Il mangera de la crème et du miel, jusqu'à ce qu'il sache rejeter le mal et choisir le bien. » Et Luc 2:42 rapporte ce témoignage : « Lorsqu'il fut âgé de douze ans, ils y montèrent, selon la coutume de la fête. » Luc dit ensuite aux versets 45 à 50 : « Mais, ne l'ayant pas trouvé, ils retournèrent à Jérusalem pour le chercher. Au bout de trois jours, ils le trouvèrent dans le temple, assis au milieu des docteurs, les écoutant et les interrogeant. Tous ceux qui l'entendaient étaient frappés de son intelligence et de ses réponses. Quand ses parents le virent, ils furent saisis d'étonnement, et sa mère lui dit: Mon enfant, pourquoi as-tu agi de la sorte avec nous ? Voici, ton père et moi, nous te cherchions avec angoisse. Il leur dit : Pourquoi me cherchiez-vous ? Ne saviez-vous pas qu'il faut que je m'occupe des affaires de mon Père ? Mais ils ne comprirent pas ce qu'il leur disait. » A ce moment, où il devenait adulte, Jésus rappela à ses parents terrestres sa nature céleste, mais « ils ne comprirent pas » son message spirituel.
Comme les hommes ordinaires, Jésus a pu marquer son « rejet du mal » en témoignant de son souci de servir son Père céleste, dès l’âge de douze ans. Son modèle révèle ce que Dieu attend de tous ses élus qui, selon les paroles de Jésus, « naissent de nouveau », ce qui signifie renaître d’en haut. Car Dieu ne se fait aucune fausse illusion, connaissant dès le commencement de sa création les noms de tous ses futurs élus rachetés par le sang versé par Jésus-Christ. Dans Jean 8:23, Jésus parle aux Juifs : « Et il leur dit: Vous êtes d'en bas ; moi, je suis d'en haut. Vous êtes de ce monde ; moi, je ne suis pas de ce monde. » Dans Jean 3, son échange avec l’ancien nommé Nicodème est d’une grande clarté, car Jésus le rencontre en secret et il connaît son désir de comprendre. Sans aller jusqu’à lui annoncer sa mort, il compare son expérience salutaire expiatoire « au serpent élevé par Moïse dans le désert » au verset 14, mais dès le verset 13, il dit : « Personne n'est monté au ciel, si ce n'est celui qui est descendu du ciel, le Fils de l'homme qui est dans le ciel. Et comme Moïse éleva le serpent dans le désert, il faut de même que le Fils de l'homme soit élevé, afin que quiconque croit en lui ait la vie éternelle. Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle. »
Dans Daniel 8:11, l’Esprit prophétise au sujet du « perpétuel » qui désigne le sacerdoce « perpétuel » de Dieu en Jésus-Christ (Hébreux 7:24). Or le terme « perpétuel » couvre tout le temps donné à la création terrestre soit, les 6000 années que Dieu a programmé pour sélectionner ses élus rachetés par le sang versé par le Messie prophétisé. Avant la nouvelle alliance inaugurée par le sang de Jésus-Christ, dans l’ancienne alliance, Jésus existait sous l’aspect du personnage nommé Micaël qui se présente à Daniel dans Daniel 10:13 et 21 ; 12:1. Micaël signifie : qui est comme Dieu. Micaël n’est pas pour les anges le « Fils de Dieu », il est l’image angélique sous laquelle Dieu leur apparaît. C’est par sa naissance dans l’humanité que Jésus devient le « Fils unique de Dieu ». Par nature toutes ses créatures anges et humaines sont ses enfants parce qu’il est leur Créateur, donc leur Père. C’est pourquoi, dans Jean 3:13, Jésus donne à Nicodème une révélation qui fait de lui, le Dieu créateur incarné : « Personne n'est monté au ciel, si ce n'est celui qui est descendu du ciel, le Fils de l'homme qui est dans le ciel. » Jésus ne nie pas les expériences vécues par le vieil Hénoc, Moïse et Elie, mais il place sa montée au ciel au-dessus de leurs expériences, parce que lui seul est « descendu du ciel » pour obtenir leur salut et leur possibilité de monter vivants au ciel, ce qui concerna Hénoc et Elie.
C’est donc sa nature divine cachée parfaite et sans péché qui fait de Jésus-Christ, l’homme divino-humain, l’âme parfaite digne de pouvoir racheter les élus terrestres en s’offrant en sacrifice volontaire à la mort, étant porteuse de leurs péchés, pour les expier pour eux à leur place. Et dans Jean 3:16, Dieu résume sublimement sa rédemption des élus pécheurs, disant : « Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle. » Et c’est à ce « Fils unique » nommé Jésus de Nazareth que le Dieu Esprit a « remis tout jugement » selon Jean 5:22-23-24 : « Le Père ne juge personne, mais il a remis tout jugement au Fils, afin que tous honorent le Fils comme ils honorent le Père. Celui qui n'honore pas le Fils n'honore pas le Père qui l'a envoyé. En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole, et qui croit à celui qui m'a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie. ». Jésus est venu pour sauver le monde selon Jean 12:47 : « Si quelqu'un entend mes paroles et ne les garde point, ce n'est pas moi qui le juge ; car je suis venu non pour juger le monde, mais pour sauver le monde. » Son jugement est différé, repoussé au temps de sa résurrection. Car c’est seulement à partir de ce moment où la valeur de son rachat des péchés des élus a été authentifiée dans le ciel par l’Esprit et ses saints anges, que Jésus est entré dans sa fonction de Juge unique.
Mais déjà, avant sa mort, Jésus annonce les bases de son futur jugement et il dit dans Marc 16:16 : « Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné.
Ce verset pose la base du salut chrétien mais il est mal compris, car dans ces mots, le verbe « croire » est souvent incompris et mal interprété. Parce que les hommes charnels lui donnent uniquement le sens charnel littéral de reconnaître une réalité concernant, un fait ou une personne. Et pour sa part, Jésus juge la croyance sur les œuvres qu’elle provoque chez ses créatures. Sa conception donnée au verbe « croire » implique donc beaucoup plus que ce que les humains charnels lui attribuent. L’incompréhension humaine est la conséquence de l’esprit limité des êtres humains, car à l’inverse celui de Dieu est illimité et très exigeant ; il ne se satisfait pas de ce qui est imparfait et inachevé. Dans ses reproches à ses contemporains juifs, Jésus cite cet exemple de Matthieu 23:25 à 28 : « Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! Parce que vous nettoyez le dehors de la coupe et du plat, et qu'au dedans ils sont pleins de rapine et d'intempérance. Pharisien aveugle ! Nettoie premièrement l'intérieur de la coupe et du plat, afin que l'extérieur aussi devienne net. Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! Parce que vous ressemblez à des sépulcres blanchis, qui paraissent beaux au dehors, et qui, au dedans, sont pleins d'ossements de morts et de toute espèce d'impuretés. Vous de même, au dehors, vous paraissez justes aux hommes, mais, au dedans, vous êtes pleins d'hypocrisie et d'iniquité. »
Le reproches que Jésus présente dans ces versets ont une valeur perpétuelle, car ils condamnent aujourd’hui tous les Chrétiens qu’il ne reconnaît pas pour ses élus rachetés ; précisément, parce qu’ils reproduisent les fautes commises par les Juifs hypocrites avant eux. Leur suffisance les condamne car ils ne se soucient pas de plaire à Dieu en étudiant dans la sainte Bible, ce qu’il aime, approuve et ce qui le réjouit. Le Croyant hypocrite privilégie ses propres préférences à l’image de ce que fit naturellement Caïn qui ne comprit pas pourquoi son offrande fut dédaignée par Dieu, alors que celle d’Abel fut agréée. Au jour du jugement, et dans leur vie actuelle, les croyants hypocrites ne comprennent pas plus que Caïn que leur service offert à Dieu est ignoré et méprisé par lui.
Les œuvres humaines sont produites par des caractères humains différents et ses œuvres produites reproduisent ces différences.
A l’extérieur du plat, l’homme voit un engagement religieux trompeur qui n’échappe pas au Dieu Esprit qui sonde sa créature. Et cet intérieur du plat, est nourri d’égoïsme, de satisfaction de soi, d’orgueil et d’ambition personnelle. Et en réalité, le péché commis dans ce cas est double car Dieu condamne un caractère indigne de lui mais aussi une revendication d’appartenance à sa personne qui le déshonore. La vie des gens faussement religieux ressemble à l’aspect tranquille d’une grande mer ou un océan. Mais que se passe t-il dans les profondeurs ? Des luttes incessantes et un grand tumulte où les plus petits passent leur temps à chercher un abri pour échapper aux dents des plus gros. Telle est l’image que Dieu donne aux êtres humains qui soutiennent et servent « la bête qui monte de la mer » soit, la première forme historique du christianisme persécuteur diabolique dans Apocalypse 13:1. Ecrasée dans le sang par « la bête qui monte de l’abîme » dans Apocalypse 11:7, cet organisme catholique romain a perdu son soutien monarchique décapité en 1793. Une paix religieuse en a résulté, favorable à l’étude et l’avancée de la lumière divine dans son reste élu, mais aussi, hélas, profitable à l’esprit incrédule né dans la Révolution française. Et la religion protestante a été la grande bénéficiaire de cette évolution des faits. Ainsi, le monde occidental s’est scindé en deux parties concurrentes, les USA protestants et l’Europe influencée par la France des libres-penseurs athées mangeurs de curés et ennemis de toute idée religieuse.
Jésus ne pouvait alors porter son attention que sur ces USA composés de protestants infidèles, hypocrites, dans leur immense majorité. Et c’est ce qu’il a fait en soumettant ses habitants à ses deux épreuves de foi prophétiques successives du printemps 1843 et du 22 Octobre 1844. L’imperfection et l’apostasie doctrinale étaient généralisée, et pour identifier légalement ses vrais élus, Jésus devait les conduire à se distinguer par l’intérêt sincère qu’ils donnent à sa révélation biblique ; et dans cette sainte Bible, plus particulièrement à ses messages prophétiques suggérant le temps de sa venue pour son grand retour glorieux final. Car dès son départ au ciel, des anges présents avaient dit dans Actes 1:11 : « Hommes Galiléens, pourquoi vous arrêtez-vous à regarder au ciel? Ce Jésus, qui a été enlevé au ciel du milieu de vous, viendra de la même manière que vous l'avez vu allant au ciel. » Jésus avait lui-aussi beaucoup insisté sur son retour, disant dans Jean 14:2 à 6 : « Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père. Si cela n'était pas, je vous l'aurais dit. Je vais vous préparer une place. Et, lorsque je m'en serai allé, et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai, et je vous prendrai avec moi, afin que là où je suis vous y soyez aussi. Vous savez où je vais, et vous en savez le chemin. Thomas lui dit : Seigneur, nous ne savons où tu vas ; comment pouvons-nous en savoir le chemin ? Jésus lui dit : Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. » La question que pose Thomas révèle la nature encore très charnelle des apôtres choisis par Jésus et son comportement fut normal car l’humanité juive était autant charnelle que le reste des êtres humains. Ce n’est qu’après sa résurrection que Jésus a expliqué à ses apôtres, pourquoi il devait mourir et ressusciter.
Dans sa réponse donnée à Thomas, Jésus se présente comme étant « le chemin, la vérité et la vie ». Il ne se présente pas comme « le marcheur » mais « le chemin » sur lequel ses élus doivent avancer vers la vie éternelle, en honorant la vérité divine qui est exprimée par ses lois et toutes ses valeurs.
Une grande incompréhension de ce message explique la désobéissance des faux chrétiens. Car ce verset est interprété comme concernant uniquement Jésus lui-même, comme si Jésus affirmait qu’il était sauvé lui-même par les perfections de ses œuvres. Or, Jésus n’est pas venu pour se sauver lui-même mais « pour sauver le monde », dans la mesure où son offre est proposée au monde entier, à tous les peuples, les langues, les nations, les royaumes et les tribus.
Or, Jésus n’est pas que le parfait modèle que nous devons imiter, il est aussi le grand Juge souverain suprême qui juge les juges de la terre eux-mêmes. Et ce que beaucoup oublient dans leur engagement religieux, c’est qu’au titre de juge suprême, c’est lui et lui seul qui évalue et teste la valeur de l’engagement religieux de tous ceux qui se réclament de son salut ou de son nom. Cette perspective expose donc ceux qui lui font du tort et le déshonorent à sa vengeance et sa colère. Il est donc dans l’intérêt de l’homme d’apprendre à connaître les volontés divines, les vraies, et d’acquérir par l’étude de la sainte Bible, un jugement exercé, expérimenté, et approuvé par Dieu.
Je passe ainsi du jugement divin au jugement humain.
Depuis notre naissance, nous les êtres humains, nous découvrons la vie sans idée préconçue, et notre personnalité enregistre de multiples expériences. Pour l’homme qui ignore la révélation divine biblique, il n’y a ni bien, ni mal et les seules notions que ses parents lui apportent sont celles qu’ils ont reçues eux-mêmes de leurs parents. En Europe d’origine chrétienne, les valeurs chrétiennes se sont imposées et elles dominent les esprits ; même ceux des gens athées. Mais ces valeurs ne sont reconnues que par héritage culturel. Le même principe s’applique à toute l’humanité actuelle, en Orient l’héritage est bouddhiste, au Moyen-Orient, musulman, et en Afrique, un partage concurrent de l’islam, du christianisme et du paganisme animiste.
Ce que tous les êtres humains ont obtenus du Dieu créateur est la liberté de leur choix et de leur décision soit, l’aptitude à juger perpétuellement les risques encourus par leur libre choix. En regardant ses créatures terrestres et célestes, Dieu ne voit que des petits juges qui portent les conséquences de leur libre choix.
Quand il a voulu se faire connaître en dehors d’Israël, Dieu a exploité sa déportation à Babylone pour se révéler au roi Nébucadnetsar, le roi du peuple chaldéen. Après des épreuves cuisantes, ce roi est devenu un élu zélé et fidèle. Il a su utiliser sagement son droit de jugement personnel et s’est humilié devant le Dieu Tout-Puissant. Ce qu’a fait ce roi puissant et dominateur, le plus petit des hommes peut le faire avec encore plus de facilité car sa condition le maintient dans l’humilité. C’est vrai au niveau du principe, mais entièrement faux, au niveau de la réalité pratique. En effet, Dieu trouve dans le cœur de certains des plus pauvres, plus d’orgueil que dans le cœur du roi Nébucadnetsar. La norme du caractère humain échappe à toute logique. Car c’est la forme du caractère individuel de chacun qui est déterminante. Et la norme du caractère qui apparaît repose sur énormément de combinaisons, de critères, hérités génétiquement ajoutés au seul hasard. Ce hasard a en effet sa place dans la création de Dieu quand il lance un processus successif reproductif. De multiples accouplements ont produits d’innombrables formes génétiques et il faut ajouter à ces critères, le hasard du lieu de la naissance de chacun et chacune. Mais Dieu se donne le droit souverain d’intervenir dans ce hasard pour favoriser l’accomplissement de son projet programmé pour l’humanité. Il est vrai que naître dans un pays musulman réduit considérablement les chances de s’engager sur le chemin tracé par Jésus-Christ. Il en est de même pour ces multitudes de gens nés dans le bouddhisme. Mais Dieu s’est exprimé à se sujet en disant dans Romains 9:18 à 22 par l’apôtre Paul : « Ainsi, il fait miséricorde à qui il veut, et il endurcit qui il veut. Tu me diras : Pourquoi blâme-t-il encore ? Car qui est-ce qui résiste à sa volonté ? O homme, toi plutôt, qui es-tu pour contester avec Dieu ? Le vase d'argile dira-t-il à celui qui l'a formé : Pourquoi m'as-tu fait ainsi ? Le potier n'est-il pas maître de l'argile, pour faire avec la même masse un vase d'honneur et un vase d'un usage vil ? Et que dire, si Dieu, voulant montrer sa colère et faire connaître sa puissance, a supporté avec une grande patience des vases de colère formés pour la perdition, et s'il a voulu faire connaître la richesse de sa gloire envers des vases de miséricorde qu'il a d'avance préparés pour la gloire ? »
Ai-je à justifier, personnellement, pourquoi je suis né en France dans une famille chrétienne engagée ? Non bien sûr, j’en suis incapable, ce qui ne m’empêche pas de reconnaître une faveur qui profite aujourd’hui à Dieu que je sers et suis heureux de servir. Mais autour de moi des multitudes de gens ont bénéficié des mêmes avantages et ne se sont pas pour autant mis à l’écoute attentive de Dieu et de sa vérité révélée. Son choix de me bénir, n’est-il pas ainsi justifié ? Notre droit individuel de juger décide donc de notre avenir éternel et Dieu n’a placé devant nous que deux chemins, selon Deutéronome 30:19-20 : « J'en prends aujourd'hui à témoin contre vous le ciel et la terre : j'ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction. Choisis la vie, afin que tu vives, toi et ta postérité, pour aimer YaHWéH, ton Dieu, pour obéir à sa voix, et pour t'attacher à lui : car de cela dépendent ta vie et la prolongation de tes jours, et c'est ainsi que tu pourras demeurer dans le pays que YaHWéH a juré de donner à tes pères, Abraham, Isaac et Jacob. »
Au début de la création, « la vie et la mort » était rattachées à deux arbres : « l’arbre de la vie » et l’arbre de la mort dit « de la connaissance du bien et du mal ». Aujourd’hui et depuis le printemps 1843 jusqu’au retour de Jésus-Christ, la vie et la mort sont rattachées à deux jours marquant le repos hebdomadaire de l’être humain : le jour de la vie soit, le repos du sabbat du septième jour sanctifié par Dieu depuis sa création de la dimension terrestre ; le jour de la mort soit, le repos du premier jour, l’ex « jour du soleil » rebaptisé dimanche par la religion catholique papale romaine ; mais aussi, de manière plus évidente, le repos du sixième jour pratiqué dans l’islam par les Musulmans.
Entre ces deux époques séparées par 4000 ans ou presque, en l’an 30, par sa mort expiatoire, l’arbre de vie a pris l’aspect de Jésus-Christ et l’arbre de mort dit « arbre de la connaissance du bien et du mal » a pris l’aspect de la Thora juive utilisé par Satan pour rejeter le vrai Messie envoyé par Dieu, Jésus-Christ dit Jésus de Nazareth ; en apparence, un Juif parmi tant d’autres. C’est ainsi qu’à la foi s’est opposée la loi enseignée par Dieu mais totalement incomprise par les chefs, les dirigeants et le clergé religieux juif.
Le plus étonnant pour nous tes serviteurs, O Dieu suprême, est de découvrir que les Chrétiens infidèles ont, à leur tour, fait un mauvais usage des saintes Ecritures, mal traduites pour justifier le péché humain selon Apocalypse 9:11 : « Elles avaient sur elles comme roi l'ange de l'abîme, nommé en hébreu Abaddon, et en grec Apollyon. » Ce verset dénonce l’usage destructeur de la sainte Bible, écrite originellement « en hébreu et en grec » comme ces deux noms « Abaddon, Appollyon » qui signifient : Destructeur. L’action est imputée aux Chrétiens protestants infidèles héritiers de la Réforme qui a suscité les « Guerres de Religions » entre les Catholiques et les Protestants entre le XIIème et le XVIIIème siècle. Et l’ange de l’abîme qui domine sur eux est Satan le diable qui sera condamné à vivre isolé pendant « mille ans » sans ses anges démoniaques, sur la terre désolée, privée de tous ses habitants humains et ses animaux ; ce qui lui redonne sa caractéristique nommée « abîme » de Genèse 1:2 : « La terre était informe et vide: il y avait des ténèbres à la surface de l'abîme, et l'esprit de Dieu se mouvait au-dessus des eaux. »
Nous lisons dans Apocalypse 20:1 à 3 : « Puis je vis descendre du ciel un ange, qui avait la clef de l'abîme et une grande chaîne dans sa main. Il saisit le dragon, le serpent ancien, qui est le diable et Satan, et il le lia pour mille ans. Il le jeta dans l'abîme, ferma et scella l'entrée au-dessus de lui, afin qu'il ne séduisît plus les nations, jusqu'à ce que les mille ans fussent accomplis. Après cela, il faut qu'il soit délié pour un peu de temps. » Verset 7-8 : « Quand les mille ans seront accomplis, Satan sera relâché de sa prison. Et il sortira pour séduire les nations qui sont aux quatre coins de la terre, Gog et Magog, afin de les rassembler pour la guerre; leur nombre est comme le sable de la mer. » Les « nations » citées sont les coupables anges et humains ressuscités pour le jugement dernier, afin de subir le châtiment de la « seconde mort ». Verset 9-10 : « Et ils montèrent sur la surface de la terre, et ils investirent le camp des saints et la ville bien-aimée. Mais un feu descendit du ciel, et les dévora. Et le diable, qui les séduisait, fut jeté dans l'étang de feu et de soufre, où sont la bête et le faux prophète. Et ils seront tourmentés jour et nuit, aux siècles des siècles. » Verset 14-15 : « Et la mort et le séjour des morts furent jetés dans l'étang de feu. C'est la seconde mort, l'étang de feu. Quiconque ne fut pas trouvé écrit dans le livre de vie fut jeté dans l'étang de feu. »
Ces versets prophétisent le sort réservé par Dieu aux Juifs et Chrétiens infidèles et rebelles, soit le sort des gens qui se perdent eux-mêmes par leur jugement erroné. Qui peut dire que le droit individuel de juger a peu de valeur ? Au jour du jugement dernier, ces rebelles seront ressuscités par Dieu afin qu’ils voient de leurs yeux, la gloire héritée par les élus rachetés selon Apocalypse 20 :4 : « Et je vis des trônes; et à ceux qui s'y assirent fut donné le pouvoir de juger. Et je vis les âmes de ceux qui avaient été décapités à cause du témoignage de Jésus et à cause de la parole de Dieu, et de ceux qui n'avaient pas adoré la bête ni son image, et qui n'avaient pas reçu la marque sur leur front et sur leur main. Ils revinrent à la vie, et ils régnèrent avec Christ pendant mille ans. » La première phrase du verset 5 est une précision mise entre parenthèse qui prophétise une seconde résurrection ; celle des rebelles : « Les autres morts ne revinrent point à la vie jusqu'à ce que les mille ans fussent accomplis. … » La suite du verset 5 doit être placée au début du verset 6 : « C'est la première résurrection. Heureux et saints ceux qui ont part à la première résurrection ! La seconde mort n'a point de pouvoir sur eux ; mais ils seront sacrificateurs de Dieu et de Christ, et ils régneront avec lui pendant mille ans. »
Voilà donc où conduisent les deux chemins présentés par Dieu devant les libres choix humains.
Apocalypse 20 vient éclairer le rôle donné dans la tradition catholique aux enfers. Il est donc déterminant de donner au mot « abîme » le nom de la terre privée d’habitants qu’elle ne retrouve que pour le jugement dernier. Et « l’étang de feu et de soufre » n’est pas sans lien avec l’enfer de la religion grecque dont le gardien est nommé Vulcain. Le feu souterrain craché par les volcans qui entrent en éruption, particulièrement pour marquer les grands moments du péché terrestre, comme en 535 et 536, finit par tenir le rôle principal pour la purification complète de la surface de la terre souillée par l’humanité.
M12- La crise mondiale du capitalisme
Le sujet que j’aborde là, concerne l’économie, et ce thème civil et profane nécessite une bonne intelligence que Dieu offre seulement à ses vrais enfants. Car l’économie prend un intérêt spirituel quand Dieu l’utilise pour affaiblir ses ennemis. Et je le rappelle, c’est en Dieu que se trouve l’explication à tout ce qui s’accomplit sous le soleil et la lune soit, de jour et de nuit.
Il y a deux types d’économie : la bonne et la mauvaise.
La bonne consiste à retenir autant que possible à l’intérieur d’une nation, les profits obtenus par le travail des entreprises locales. Pour ce faire, l’investisseur actionnaire doit être citoyen du pays où se trouve son entreprise. Cette condition a prévalu jusqu’en 1969, année de la fin du mandat du général de Gaulle.
La mauvaise économie lui a succédé après 1969 à cause de l’idéologie européiste. La mauvaise économie est exactement l’inverse de la bonne. Elle consiste à ne pas retenir le profit du travail local en le donnant à des investisseurs étrangers. De ce fait, le pays survit mais ne s’enrichit plus. Et c’est la cause de l’endettement abyssal de la France actuelle livrée aux décisions du président Macron, l’ex-banquier de la Banque Rothschild. Face au chômage, le président invite des étrangers à investir leurs capitaux pour créer des emplois en France. De la sorte, il obtient bien des emplois, mais pas l’enrichissement de son pays français, car le travail fourni ne fera qu’enrichir le pays de l’investisseur. Et cédant à la proposition des prêts des fonds de pensions américains, la France s’est laissée séduire et piégée par les USA qui font ainsi financer les retraites de leurs travailleurs par les intérêts à taux d’usure payés par les travailleurs français.
1843 est la date de la grande lumière divine qui permet de comprendre le jugement que Dieu porte sur l’évolution de la religion chrétienne. Et dès cette date, Dieu a organisé ses attaques successives portées contre l’Europe infidèle des « dix cornes ». En 1870, une grande guerre européenne provoque la chute du régime impérial de Napoléon III. C’est alors le temps des grandes colonisations qui sont à l’origine de l’enrichissement des colonisateurs européens et qui donnent naissance au capitalisme dont la base est la City à Londres, en Angleterre, le pays le plus colonisateur de toute l’histoire humaine. En 1914, la première Guerre Mondiale a encore pour centre l’Europe et plus précisément la zone de la frontière qui sépare la France de l’Allemagne. En 1939, l’Allemagne nazie se lance dans une conquête vengeresse et début 1945, elle est vaincue par les alliés occidentaux. Après avoir été vaincus et occupés par l’Allemagne, les pays européens subissent la décolonisation exigée par les pays occupés et conquis. Le capitalisme doit sa puissance à ce temps de colonisation, c’est pourquoi, après la décolonisation sa survie n’a reposé que sur le choix de l’investissement qui s’est porté sur le Japon et l’Allemagne, les deux pays vaincus par les alliés occidentaux.
L’Europe s’est trouvée confrontée à une submersion de produits construits par le Japon, dans des usines crées par les fonds américains.
Une deuxième attaque est venue de l’Angleterre, pays de redistribution des produits fabriqués à Hong-Kong, leur dernière zone coloniale jusqu’en 1997.
En 1957, la composition originelle de l’Europe du marché commun concernait six pays sans l’Angleterre. Mais, en acceptant son entrée dans l’Union en 1973, les Européens ont fait entrer dans leur communauté, un authentique « cheval de Troie » qui, par ses dérogations particulières, ne faisait que siphonner les capitaux européens. Ses exportations des productions d’Hong-Kong ont noyé l’Europe dont les habitants se sont rués sur ces offres au prix exceptionnellement bas. Ce faisant, ils détruisaient leurs entreprises locales et leurs propres emplois.
En 1974, Dieu frappe encore l’Europe, en donnant la gestion du pétrole et du gaz aux pays arabes propriétaires des gisements. Une hausse de 40 % brutale plombe l’économie européenne. Pour la première fois de son histoire, la France s’endette.
En 1976, à la ruine précédente, Dieu ajoute la charge des travailleurs immigrés musulmans et de leurs familles autorisées à s’installer en France par la loi du regroupement familial.
Le commerce aérien subit les attaques des pirates palestiniens de l’OLP.
En 1995, aux choses précédentes, Dieu ajoute le terrorisme islamiste du GIA, puis en 2001 aux USA, les tours du World Trade Center sont détruites par les pirates du groupe Al-Qaïda.
A son tour dans les années 2010, le groupe DAESH terrorise les Occidentaux par ses décapitations collectives filmées et présentées sur les réseaux sociaux d’internet.
Au début de 2020, Dieu confronte l’humanité entière au virus Covid-19 répandu à partir d’un laboratoire français installé en Chine RPC. Après Israël et l’Italie, la France est « confinée », son économie est bloquée pendant deux années.
En 2022, Dieu allume un feu en Europe de l’Est entre l’Ukraine et la Russie. Les USA de Joe Biden et les Européens aident financièrement et par dons d’armes le camp ukrainien. Pour la deuxième fois, le renoncement au gaz russe, pour cause de sanction, vient renchérir son prix et enrichir les pays fournisseurs : les USA et la Norvège.
En 2023, le 7 Octobre, les Palestiniens du groupe Hamas lancent un raid meurtrier contre le Sud d’Israël.
Ainsi, est résumée, l’évolution des faits qui ont construit notre ruine actuelle.
Cette crise du capitalisme se produit à cause des excès du capitalisme mondial. En son temps, une crise avait eu raison de l’idéologie purement communiste de l’URSS. Son échec militaire dans la guerre en Afghanistan lui a été fatal. Et il n’est pas inutile de retenir que cet échec fut déjà causé par le soutien militaire américain donné aux Afghans. Les lanceurs individuels de missiles américains portés sur l’épaule ont détruit avec facilité les chars et les hélicoptères russes. La Russie ne s’imposait plus et dut, humiliée, se retirer de l’Afghanistan. En réaction en chaîne, le régime russe entier s’est écroulé et Mr Gorbatchev a ouvert la Russie à la culture occidentale. Le capitalisme est entré dans les esprits des oligarques du régime et la Russie est devenue un enfer pour les pauvres, menacés par les armes des tueurs des riches. Après le président Eltsine, alcoolique notoire, Mr Patrouchev, chef du FSB, a placé la Russie sous l’autorité de Vladimir Poutine, lequel a obtenu la soumission des oligarques enrichis par les biens communs de l’état dont ils s’étaient emparés.
La situation mondiale était nouvelle, le capitalisme triomphait, le communisme russe ayant disparu. Mais le capitalisme est comme le cancer, insatiable. Dans son succès mondial, le capitalisme américain a fait entrer la Chine dans le commerce mondial, l’OMC. L’extrême bassesse du niveau de vie chinois a dès lors offert à la cupidité des investisseurs une main d’œuvre d’esclaves dociles et actifs. Les profits retirés ont alors atteint des niveaux jamais atteints. Et dans le même temps, l’Amérique enchaînait les nations européennes en leur faisant adopter son réseau de communication internet qui favorisait la possibilité pour toute personne ayant l’accès au réseau de devenir un agent de bourse individuel et particulier. Les dirigeants des nations séduites n’ont pas réalisé les conséquences de ce nouvel outil qui a complètement renversé les équilibres internes maintenus jusque là dans les nations occidentales. De plus en plus nombreux et dispersés parmi les nations riches, les investisseurs sont devenus les vrais propriétaires des entreprises appelées « société anonyme », comme aux USA et en Allemagne. Les entreprises patronales du vieux système ont été rachetées et transformées en sociétés anonymes entièrement dépendantes des actionnaires investisseurs. De ce fait, ces actionnaires étrangers ou locaux pouvaient se retirer à tout moment pour rediriger leur investissement, aussi la situation des entreprises et de leurs employés est devenue précaire, instable et souvent cause de faillites tragiques.
Faut-il que Dieu ait aveuglé les dirigeants politiques et les économistes pour qu’ils ne prévoient pas les conséquences désastreuses de la nouvelle situation établie et renforcée de jour en jour. Je décris cette situation : la nation vit de l’argent produit par ses entreprises et ses commerces. Au minimum, ces activités permettent la vie interne et les dépenses sont couvertes. Hélas, ceci était l’ancien système, car dans le nouveau, l’argent produit par le travail de plus en plus rare s’envole aux quatre vents des cieux vers les actionnaires dispersés dans le monde. Les profits n’étant plus retenus dans le pays du travail, les dirigeants ne peuvent plus couvrir les dépenses de leur nation. Et la Chine fonctionne comme une pompe aspirante, siphonnant les activités industrielles productrices de tous les pays riches ; USA, Europe, Japon, Australie. Elle est devenue l’usine du monde qui équipe les besoins des humains dispersés sur toute la terre. Et en conséquence l’argent de tous ces pays vient l’enrichir et leur manque.
Internet et la Chine forment ensemble l’arme qui dynamite la situation des nations riches. Dans cette affaire, l’argent reste bien la racine de tous les maux. Les profits exponentiels obtenus dans l’investissement en Chine et en Asie, dans les pays pauvres longtemps sous-développés, ruinent et détruisent les anciennes nations riches par l’action de leurs riches les plus cupides. Je ne peux comparer cette situation qu’au cas mortel de l’extension d’une tumeur cancéreuse. Qui aurait pensé que le commerce pouvait tuer ? Le constat est difficile pour des gens habitués à la richesse et l’opulence construite pendant les 80 années qui se sont écoulées depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale ; un événement que nous fêtons depuis chaque année le 8 Mai depuis le 8 Mai 1945. Cette date tourmente mon esprit et je ne serai pas étonné si la Troisième Guerre Mondiale éclatait en cette année 2025 après cette date du 8 Mai. J’ai déjà évoqué l’intérêt de ces 80 années soit, 40 + 40. Ce chiffre 40 étant dans la Bible synonyme d’un temps d’épreuve religieuse, Dieu a doublé ce temps pour conduire l’humanité capitaliste dans son excès suprême. Parce que ce capitalisme insatiable dévoreur est de religion protestante qu’il dénonce et condamne dans sa révélation de l’Apocalypse depuis 1843.
Pour comprendre combien cette date du 8 Mai 1945 est importante, je rappelle les choses suivantes : Le Dieu créateur qui a placé dans le ciel des astres qui constituent l’horloge universelle du temps, fait accomplir avec une grande précision les faits qu’il prophétise d’avance. Or, nous avons derrière nous le témoignage du passé et déjà, ce châtiment de Jérusalem venu en l’an 70 soit, 40 ans après le Mercredi 3 Avril 30 en lequel Jésus-Christ est mort crucifié par les Romains à la demande du clergé Juif et une partie du peuple. De plus, dès la fin des 40 années d’épreuve de vie dans le désert d’Arabie et de l’Egypte, les Hébreux sont entrés sur la terre de Canaan. Il n’y a donc apparemment pas de raison pour qu’en 2025, à la fin des 80 années de paix et d’épreuve, le 8 Mai, l’entrée en Guerre Mondiale soit différée et repoussée en 2026.
Les USA se sont enrichis constamment par les guerres qu’ils ont allumées en versant de l’huile sur le feu ; ceci partout sur la terre, en marchands d’armes et « marchands de la terre » selon Apocalypse 18, livrées aux deux camps antagonistes si la chose est possible. Après la Seconde Guerre Mondiale, ils ont asservi les nations alliées qu’ils sont venus secourir en combattant l’envahisseur allemand et l’agresseur japonais. C’est terrible à dire, mais les USA sont incapables d’agir pour autre raison que leur intérêt. Ce peuple a naturellement le goût du risque et la recherche de la richesse. La cause de leur immigration sur le sol américain est inscrite dans leurs gènes. Et en 1944, la victoire de l’Allemagne aurait été très dommageable pour eux, pour leurs investissements réalisés pour leurs alliés. Les convois américains se dirigeant vers l’Angleterre, en colonne, étaient attaqués et coulés par les sous-marins U-Boat allemands. Les intérêts financiers des USA étaient donc compromis et concernés. L’Allemagne nazie devait donc être vaincue. Et elle l’a été, mais pas par les USA seuls, par la Russie soviétique arrivée la première sur Berlin, la capitale des nazis. En conséquence, l’Amérique a dû se résigner au partage de Yalta qui s’est tenue du 4 au 11 Février 1945 et qui donnait aux Russes la Pologne et la partie Est de l’Allemagne jusque dans Berlin. Déjà à l’époque, le général Patton vouait une haine épaisse aux Russes et proposait de les combattre tout de suite. Il est mort accidentellement, officiellement, et les chefs américains n’approuvaient pas sa position. La paix s’est installée, jusqu’au moment où la Russie sentant la menace de l’idéologie capitaliste a élevé le mur qui l’a isolée et a favorisé l’ambiance tendue de la guerre froide. Les deux pays ont soutenu des guerres en aidant leurs alliés sans s’affronter directement. En 1961, dans la baie des Cochons, près de Cuba, la confrontation des deux grands a frôlé un échange de bombes nucléaires. Mais le chef russe, Krouchtchev, a fait marche arrière et il a renoncé à installer ses rampes de fusée sur le sol de Cuba dirigée par Fidel Castro.
Cette reculade des Russes en 1962 devait être suivie par l’échec de leur guerre en Afghanistan entre 1979 et 1989 qui a provoqué la chute du régime soviétique.
Après ces oppositions, le capitalisme s’est imposé partout sur la terre sauf en Corée du Nord. La Chine l’a adopté dans un double système capitaliste pour sa relation commerciale extérieure et communiste pour la gestion de sa population interne. Elle a pu ainsi devenir l’usine de production mondiale que personne ne peut concurrencer. Le capitalisme permet à un seul homme de tirer seul profit du travail de multitudes exploitées. De ce fait, l’enrichissement possible d’un seul homme est sans limite et ses investissements l’enrichissent toujours plus ainsi que sa nation. Les USA présentent les écarts de niveau de vie de ses habitants les plus élevé, atteignant aujourd’hui des sommets iniques et dangereux. Entre le pauvre qui ne peut pas payer un loyer et le riche à centaines de milliards de dollars, un écart abyssal se creuse. Et avec le temps et l’extension de ces écarts, des individus milliardaires imposent leur service et leur vision politique et économique à toutes les nations devenues clientes de leurs services.
Depuis l’élection de Donald Trump, l’influence des milliardaires se fait plus pressante et plus décontractée. Ils tiennent le monde occidental entre leurs mains, le montrent, et les dirigeants sont contraints de soumettre leur nation à leurs exigences.
Dans les jours actuels, le projet de Dieu prend forme et se précise : Donald Trump se dirige vers la décision de sacrifier sur l’autel de la paix, la pauvre Ukraine encouragée dans sa guerre contre la Russie par le président des USA précédent, Joe Biden au nom prémonitoire. Les nouveaux « princes du monde » selon la signification de leurs noms, Donald et Vladimir s’entendent pour imposer à l’Ukraine les conditions exigées par les Russes. Et ceci ressemble beaucoup à l’entente de l’Allemagne et la Russie qui se sont partagé la Pologne avant de s’affronter dans une guerre férocement meurtrière. Et nous savons, par Daniel 11:40, que l’histoire va se répéter bientôt, à cause d’une opportunité que la Russie va saisir au bond dès qu’elle va se présenter ; je parle ici de l’attaque musulmane menée contre le Sud de l’Europe, et plus précisément l’Italie papale, cible prioritaire de la colère divine. Comment hésiter, alors que l’Europe, qui lui a résisté en armant son ennemie l’Ukraine, se trouve en difficulté, assaillie par des musulmans rancuniers pleins de haine. C’est ainsi que le heurt du « roi du midi » favorise l’invasion massive du « roi du septentrion », comme Daniel 11:40 l’annonce : « Au temps de la fin, le roi du midi se heurtera contre lui, et le roi du septentrion fondra sur lui avec des chars, des cavaliers et de nombreux navires ».
Le projet de Dieu concernant le châtiment des nations européennes s’accomplit. Alors que l’Europe est occupée par les armées russes et musulmanes qui la pillent du Nord au Sud, les bombes nucléaires des USA frappent la Russie sur son sol, détruisant sa capitale et ses grandes villes. Cette terrible nouvelle enflamme la colère des armées russes qui ripostent en envoyant leurs missiles nucléaires contre les villes des USA à leur tour détruites et dévastées, en grande partie. Et pour la troisième fois de l’histoire, les soldats américains interviennent sur le sol dévasté de l’Europe. Paris disparaît dans le feu nucléaire ; « du feu dans un grand cercle » comme l’a prophétisé Michel Nostradamus. Les troupes russes vont ainsi être repoussées jusque sur la terre d’Israël où elles seront exterminées, selon Daniel 11:45 : « Des nouvelles de l'orient et du septentrion viendront l'effrayer, et il partira avec une grande fureur pour détruire et exterminer des multitudes. Il dressera les tentes de son palais entre les mers, vers la glorieuse et sainte montagne puis il arrivera à la fin, sans que personne lui soit en aide. »
La Russie étant détruite ainsi que ses alliés, la Chine, la Corée du Nord, l’Inde, le Pakistan et tous les peuples idolâtres de la terre ; les survivants vont vivre le temps des « sept derniers fléaux de la colère de Dieu » ; ce qui laisse penser qu’il ne reste que des vrais et des faux chrétiens. Bien affaiblie, l’Amérique protestante sort néanmoins victorieuse contre son ennemie de toujours, la Russie. Le désastre est si grand que la situation impose une gouvernance universelle. Les survivants se rencontrent et s’accordent pour adopter ce régime universel. Le diable est dans l’action et il inspire aux survivants la haine contre le sabbat divin, il les convainc d’imposer le repos hebdomadaire unique du dimanche, excitant la haine contre les Juifs et leur sabbat. Cette imposition aura été instaurée sur le sol américain avant ce temps final. Ces marchands de la terre ne peuvent que favoriser l’adoption d’un seul jour de repos qui favorise les temps de travail et les échanges relationnels commerciaux. Pour sa part, le diable qui les inspire donne à cette action une autre raison. Il sait que son temps d’action s’achève et veut humilier le Dieu créateur et son messie Jésus, le Micaël des anges célestes. L’éradication de l’obéissance au saint sabbat de Dieu est son but. Un décret est alors promulgué rendant le dimanche romain obligatoire sous peine d’être boycotté économiquement par les autres survivants. Cette mesure est prophétisée dans Apocalypse 13:17 : « … et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. » Subissant des souffrances de plus en plus grandes causées par les derniers fléaux de Dieu, les rebelles finissent par décider d’exterminer les serviteurs de Dieu qui résistent et restent fidèles au repos du sabbat : verset 15 : « Et il lui fut donné d'animer l'image de la bête, afin que l'image de la bête parlât, et qu'elle fît que tous ceux qui n'adoreraient pas l'image de la bête fussent tués. »
Au jour du printemps 2030, le 20 Mars, Jésus intervient pour sauver ses élus restés fidèles comme il le fit pour Daniel et ses trois compagnons livrés à la mort par les Chaldéens. Et comme au temps d’Esther, le sort promis aux élus du Christ est subi par les rebelles tués par lui et « étendus sur la face de la terre comme du fumier ». Les élus n’assistent pas au spectacle macabre, car ils sont entrés dans le royaume des cieux avant l’hécatombe finale qui commence par le châtiment de « Babylone la grande », la ville de Rome ensanglantée par le sang des saints, les vrais Chrétiens, dans son régime impérial et son régime religieux papal. Toute la fausse sainteté catholique et protestante meurt dans « la vendange », massacrée par ses victimes qu’elle a séduites et trompées. Et les derniers survivants s’entretuent jusqu’au dernier. « Le dernier fléau de Dieu, le septième », tombe sur les derniers survivants sous la forme de « pierres de grêle » d’une taille énorme estimée à « un talent » soit, près de 42 kg. Mais ce mot « talent » prend spirituellement son sens dans la parabole de Jésus, sa parabole des « talents » dans laquelle il remet à ses différents serviteurs « un talent » monnaie que les plus avisés font fructifier. Le méchant serviteur choisit, lui, d’enterrer son « talent » pour le restituer à Jésus tel qu’il le lui a donné. La colère de Jésus demeure sur lui et il subit son châtiment mortel confirmé par les « pierres de grêle » du « septième et dernier fléau de Dieu ».
Le capitalisme idolâtre l’argent et les richesses et c’est lui qui corrompt l’esprit des êtres humains. Cet amour de l’argent et des richesses caractérise successivement « la mère des prostituées Babylone la grande » et son relai protestant des « marchands de la terre ». Cette ressemblance et le partage de la malédiction divine favorisent leur association dans la dernière phase de l’histoire humaine terrestre où Dieu l’image sous le nom de « la bête qui monte de la terre » dans Apocalypse 13:11 à 18.
L’écroulement du régime communiste soviétique a beaucoup amusé les moqueurs capitalistes occidentaux, mais ils ne riront plus quand les conséquences de la crise du capitalisme provoqueront la plus grande destruction guerrière de l’histoire humaine.
La question se pose : Le capitalisme a-t-il réellement triomphé contre le communisme ? Officiellement oui, cependant, en l’exploitant en Chine, le capitalisme a construit la crise qui finit par le dévorer et le détruire, comme une proie indigeste avalée peut provoquer la mort de l’avaleur.
Notre actualité est marquée par le désarroi des Européens qui voient Donald Trump parler à Vladimir Poutine que la justice de la Haye veut juger comme criminel de guerre. Perdant le soutien américain, les Européens se découvrent faibles et vulnérables. Ils ne comprennent pas ce qui leur arrive. Le changement du président des USA change leur situation. Celui qu’ils détestaient et redoutaient est sorti vainqueur, et il ne partage pas l’opinion du précédent au sujet de l’Ukraine. Je l’ai entendu dire que l’Occident avait poussé ses conquêtes vers l’Est abusivement ; je ne garantis pas la précision des mots, mais l’idée de sa réponse. Dans cet état d’esprit, Donald Trump ne peut que reconnaître le tort que l’Ukraine et les Européens ont fait à la Russie ; l’Ukraine, en premier, en renversant, en 2013, son président légitime russophone et russophile et en demandant son rattachement à l’OTAN et à l’U.E. Je rappelle que j’ai personnellement approuvé et partagé cette analyse, dénonçant l’aveuglement et l’injustice du camp européen. Aussi puis-je maintenant apprécier de voir Dieu donner à la vraie justice, la force de son légitime droit.
Aujourd’hui, Jeudi 12 Février 2025, se tient à Munich, en Allemagne un rassemblement des dirigeants européens. Or, ce matin, à Munich, à environ 300 mètres du lieu du rassemblement, un Afghan demandeur de papier a fait une vingtaine de victimes, en fonçant sur elles avec une voiture utilisée comme bélier. Ainsi, à l’heure où une paix imposée s’apprête à faire cesser momentanément la guerre menée par la Russie, le « roi du septentrion » de Daniel 11:40, contre l’Ukraine, un élément individuel appartenant à la religion du « roi du midi » se signale aux Européens. Et désormais, c’est de ce camp-là, que va venir, en diversion, une grande attaque qui favorisera l’invasion de l’Europe par les Russes.
L’évolution historique de ce « roi du midi » est intimement liée à la France que la papauté italienne tient pour « sa fille aînée » ; précisément parce que la monarchie française a été son soutien armé perpétuel. L’Iran est devenu ce pays islamiste précurseur parce que le régime du roi, le shah, a été renversé par la révolution islamique préparée par l’ayatollah Khomeiny depuis sa propriété française située à Neauphle-le-Château. En raison de son passé colonialiste, la France a sur son sol la plus grande représentation musulmane de tous les pays européens. Et certains d’entre eux, ce sont illustrés comme les plus durs et les plus cruels dans les massacres perpétrés par les combattants du groupe DAESH. Ces islamistes d’origine française, musulmans accueillis ou français de vieilles origines éprouvent particulièrement la haine contre l’Europe et en premier, contre la France. Les islamistes syriens qui viennent de renverser le président Bachar Al-Assad de la Syrie se sont retournés contre leurs adeptes extrémistes dont ils condamnent et combattent les excès ; ils n’ont pas de haine particulière contre l’Occident, comme ceux d’entre eux qui viennent de l’Occident. En 2025, l’armée française reste la première armée européenne et la France est seule, en Europe, à détenir l’arme nucléaire. Bien que devenue laïque, « La fille aînée » de l’église catholique romaine va encore devoir défendre la sécurité européenne quand elle va être attaquée. C’est pourquoi, elle va être particulièrement concernée par l’attaque du « roi du midi » dirigée principalement contre l’Italie papale et elle. Parmi les pays qui haïssent la France, l’Algérie vient en tête car elle garde un amer souvenir de sa guerre d’indépendance de 1954 à 1962. Et Dieu, autant que le diable, veille à ce que ce souvenir ne soit pas oublié par les instruments de sa colère ; parce que leur haine est sa haine, leur colère, sa colère, leur vengeance, sa vengeance.
Je relève cette subtilité : Selon Daniel 11:40, « Au temps de la fin, le roi du midi se heurtera contre lui… ». Ce « lui » désigne le faux christianisme infidèle catholique et protestant réparti en Europe et dans ses excroissances, les USA et l’Australie. Ce verbe « heurter » prendra bientôt une forme puissante, mais il qualifie déjà les actes islamistes constatés en 2001 à New-York contre les tours du « World Trade Center » « heurtées » et détruites par deux avions piratés, mais aussi les renouvellements depuis le 14 Juillet 2016 à Nice en France, par l’usage du camion bélier qui « heurte » violemment des groupes de personnes et en tue 86. Ce type d’action a frappé l’Allemagne le 21 Décembre 2024 à Magdebourg, et aujourd’hui encore à Munich.
Les choses accélèrent, car en ce Jeudi 13 Février 2025, Donald Trump fait savoir qu’après un long échange téléphonique d’1 heure 30 mn avec Vladimir Poutine, ils ont convenu d’une rencontre pour la date peu probable du 20 Avril ou du 9 Mai prochain, jour où la Russie fête sa victoire sur l’Allemagne nazie. Voici donc que 24 heures après mon intérêt donné au 8 Mai 1945, l’actualité confirme le rôle mondial imminent des 8 et 9 Mai 1945 prochains.
A Grenoble, une grenade a été jetée dans un bar. Ce genre de scène rappelle celles qui devenaient la norme quotidienne à Alger entre 1954 et 1962.
M13- Le premier jour
En tant que chrétien baptisé et instruit comme Adventiste du septième jour resté au service de Jésus-Christ en dépit de ma radiation par l’œuvre officielle, depuis 1980, j’ai passé toutes mes années à essayer de démontrer la justification de l’obéissance au repos du sabbat du septième jour sanctifié par Dieu. J’ai reçu de lui, d’abondantes lumières qui ont révélé tout son sens prophétique.
Aujourd’hui, « dimanche » 16 Février 2025, premier jour de la semaine, je viens présenter mon étude centrée sur ce premier jour évoqué de manières différentes dans la sainte Bible.
La première évocation du premier jour est celle que Dieu décrit dans Genèse 1 :
Verset 1 : « Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre. »
Dieu lance par ces mots sa création de notre dimension terrestre formée d’un espace sidéral qui s’étend à l’infini dans toutes les directions et il crée dans cet espace la terre dont l’aspect est celui d’une boule d’eau. Cette création originelle est réalisée dans une obscurité totale, dans le noir absolu. Et cette obscurité ne pose aucun problème pour Dieu pour lequel la vue ne repose pas sur ses yeux mais sur sa maîtrise complète et son contrôle absolu de tout ce qu’il crée.
Le principe sur lequel il construit notre dimension terrestre reflète une réalité spirituelle caché car une autre dimension céleste précède notre dimension terrestre. C’est cette dimension céleste appelée « le royaume de Dieu » qui est donc aussi suggérée par le mot « cieux » et relève-le, le mot « cieux » précède le mot « terre » ; ce qui est logique dans les deux significations. En message spirituel, ce mot « cieux » suggère donc l’éther dans lequel les anges de Dieu évoluent, passant de la dimension céleste à la dimension terrestre au gré de la volonté de Dieu. En citant ce mot « cieux », Dieu certifie l’existence d’une dimension céleste invisible pour l’homme qu’il va créer et conduire à peupler la surface de la terre. Jésus reprendra cette expression en donnant à ses élus le titre de « citoyens du royaume des cieux ».
Verset 2 : « La terre était informe et vide : il y avait des ténèbres à la surface de l'abîme, et l'esprit de Dieu se mouvait au-dessus des eaux. »
Dans son état originel, encore non peuplée, la terre est dite « informe et vide ». Sons aspect extérieur est à l’image de l’heure du déluge d’eau du temps de Noé. Cette surface d’eau justifie le nom « abîme », car l’eau qui recouvre la terre est très profonde et le mot « abîme » est lié à la fois à l’eau et à l’idée de la profondeur. Ce mot « abîme » va être utilisé par Dieu dans sa prophétie Apocalypse pour désigner les « profondeurs de Satan », citées dans Apocalypse 2:24 (: « A vous, à tous les autres de Thyatire, qui ne reçoivent pas cette doctrine, et qui n'ont pas connu les profondeurs de Satan, comme ils les appellent, je vous dis : Je ne mets pas sur vous d'autre fardeau ; »), dans Apocalypse 17:8 (« La bête que tu as vue était, et elle n'est plus. Elle doit monter de l'abîme, et aller à la perdition. Et les habitants de la terre, ceux dont le nom n'a pas été écrit dès la fondation du monde dans le livre de vie, s'étonneront en voyant la bête, parce qu'elle était, et qu'elle n'est plus, et qu'elle reparaîtra. »), 11:7 (« Quand ils auront achevé leur témoignage, la bête qui monte de l'abîme leur fera la guerre, les vaincra, et les tuera. »), 20:1 à 3 (« Puis je vis descendre du ciel un ange, qui avait la clef de l'abîme et une grande chaîne dans sa main. Il saisit le dragon, le serpent ancien, qui est le diable et Satan, et il le lia pour mille ans. Il le jeta dans l'abîme, ferma et scella l'entrée au-dessus de lui, afin qu'il ne séduisît plus les nations, jusqu'à ce que les mille ans fussent accomplis. Après cela, il faut qu'il soit délié pour un peu de temps.»).
Ce n’est qu’à la fin du premier siècle de notre ère, que Dieu a fait connaître par son Apocalypse à l’apôtre Jean et à ses serviteurs la vocation de la terre à retrouver, à la fin des 6000 ans et au début du 7ème millénaire, son état « informe et vide », entièrement dépeuplée, qu’elle avait au commencement de la création et qui lui valait son nom « abîme ».
Ces deux premiers versets prennent pour cible prophétique, le camp des ténèbres qui oblige Dieu à construite son plan du salut qu’il démontrera et fera accomplir sur la terre qu’il crée dans ce but. Note que ce verset 2 porte le signe de l’imperfection symbolisée par le chiffre « 2 ».
Verset 3 : « Dieu dit : Que la lumière soit ! Et la lumière fut. »
Le chiffre 3 de ce verset symbolise la perfection qui caractérise le camp de « la lumière » divine. Dieu et sa perfection font irruption dans cette création terrestre nouvelle où il va combattre le camp des ténèbres. L’Esprit dira dans Jean 1:4-5 au sujet de « la Parole » divine : « En elle était la vie, et la vie était la lumière des hommes. La lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l'ont point reçue. »
Verset 4 : « Dieu vit que la lumière était bonne ; et Dieu sépara la lumière d'avec les ténèbres. »
Le chiffre 4 porté par ce verset est le symbole de la norme universelle.
Dieu témoigne en faveur de ses valeurs, en faveur de sa « lumière » qui a vocation à rester la seule valeur universelle éternelle. Il la recommande ainsi à ses élus comme étant la norme de la vie éternelle. Puis son message devient tranchant, ferme et solennel : « Dieu sépara la lumière d'avec les ténèbres » Cette séparation est rendue nécessaire depuis que dans le royaume des cieux, l’ange de lumière créé en premier par Dieu est entré en rébellion contre lui. En écho à ce verset, l’Esprit inspire à Paul son « fidèle témoin », ces paroles de 2 Timothée 2:19 : « Néanmoins, le solide fondement de Dieu reste debout, avec ces paroles qui lui servent de sceau : Le Seigneur connaît ceux qui lui appartiennent ; et : Quiconque prononce le nom du Seigneur, qu'il s'éloigne de l'iniquité. » La « séparation de la lumière d’avec les ténèbres » n’est pas un conseil, mais un ordre donné par Dieu ; un ordre qui va justifier les saints obéissants et condamner les faux croyants désobéissants. C’est aussi un projet éternel que Dieu va mettre en œuvre par la grâce proposée par Jésus-Christ. Ce principe conditionne entièrement la sélection universelle des élus rachetés par le sang versé par Jésus-Christ.
Verset 5 : « Dieu appela la lumière jour, et il appela les ténèbres nuit. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le premier jour. »
Les mots « lumière » et « jour » du bien, « ténèbres » et « nuit » du mal, délivrent le code spirituel que Dieu utilise dans l’Evangile de Jean et dans la révélation Apocalypse qu’il lui a donnée en fin du premier siècle de notre ère.
La révélation concernant le premier jour s’achève au verset 5 placé sous le symbolisme du chiffre 5 qui est le chiffre de l’homme. Le témoignage de ces 5 premiers versets et de tous ceux qui suivent est celui que Dieu adresse directement à tous les hommes et toutes les femmes de tous âges, et de toutes les origines ethniques.
Il est donc clair que « la lumière » a visité les hommes cachée dans l’aspect humain de Jésus-Christ selon les paroles de Jean 1:9 à 14 : « Cette lumière était la véritable lumière, qui, en venant dans le monde, éclaire tout homme. Elle était dans le monde, et le monde a été fait par elle, et le monde ne l'a point connue. Elle est venue chez les siens, et les siens ne l'ont point reçue. Mais à tous ceux qui l'ont reçue, à ceux qui croient en son nom, elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, lesquels sont nés, non du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l'homme, mais de Dieu. Et la parole a été faite chair, et elle a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité ; et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père. »
Si l’on examine l’accomplissement du projet de Dieu, nous voyons que le temps du ministère terrestre de Jésus-Christ est, avant sa mort, accompli dans un temps de « ténèbres » absolues. Jésus fait de nombreuses déclarations que personne ne comprend, ses douze apôtres compris. Ces amis fidèles devaient attendre « le premier jour » de la semaine qui a suivi les deux sabbats de la semaine pascale pour que Jésus leur apparaisse ressuscité et qu’il leur explique le sens donné à sa mort expiatrice de leurs péchés. Le temps « lumière » ne commence donc qu’en ce premier jour marqué par sa résurrection. Et en tant qu’observateur du saint sabbat de Dieu, nous aurions grand tort si nous méprisions l’importance de ce premier jour où la « lumière » a été donnée aux élus du Christ.
Dans son étonnante sagesse, Dieu a trouvé le moyen de ne pas le faire oublier en conduisant ses ennemis à en faire le jour de leur repos hebdomadaire. De cette manière, le souvenir de l’importance du sabbat a été confié aux rites religieux des Juifs, et le souvenir du premier jour lumière où ressuscité, Jésus s’est présenté en chair et en os à ses apôtres bien-aimés, a été rappelé par le repos du dimanche du catholicisme romain.
Ces deux jours, le premier et le septième sont d’égale importance, cependant seul, le sabbat du septième jour porte la légitimité d’être marqué par le repos sanctifié par Dieu. Et si les ennemis de Dieu contestent ce jugement divin, ils le font au prix de leur perdition éternelle. Mais saluons cette sagesse de Dieu qui fait porter son enseignement, même par ses ennemis les plus extrêmes. Ainsi porteur d’une malédiction divine extrême, le dimanche romain est utile à la cause de Dieu.
Selon le témoignage biblique, le Mardi soir ou premier soir du mercredi 3 Avril 30, Jérusalem fut couverte de ténèbres et à l’heure de la mort de Jésus, une tempête a frappé la région et même, un tremblement de terre a fracturé le rocher sur lequel, au pied du mont Golgotha, la croix, sur laquelle pendait le corps sans vie de Jésus, était enchâssée. Ce temps nuageux obscur s’est probablement prolongé à Jérusalem pendant tout le temps des « trois jours et trois nuits » pendant lesquels Jésus est resté officiellement dans son tombeau. Cette expression doit être rectifiée selon son accomplissement, en la forme réelle de « quatre nuits et trois jours » ; temps compris l’entrée au tombeau et l’apparition à Marie, Jean, puis ses apôtres.
Le « premier jour » est celui où Jésus a été intronisé par Dieu le Père et ses saints anges. L’intronisation s’est effectuée dans la journée du premier jour après que Jésus a rencontré et parlé à Marie de Magdala dans le jardin du tombeau, selon qu’il est écrit dans Jean 20:17 à 19 : « Jésus lui dit : Ne me touche pas ; car je ne suis pas encore monté vers mon Père. Mais va trouver mes frères, et dis-leur que je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu. Marie de Magdala alla annoncer aux disciples qu'elle avait vu le Seigneur, et qu'il lui avait dit ces choses. Le soir de ce jour, qui était le premier de la semaine, les portes du lieu où se trouvaient les disciples étant fermées, à cause de la crainte qu'ils avaient des Juifs, Jésus vint, se présenta au milieu d'eux, et leur dit : La paix soit avec vous ! » Etant intronisé, Jésus peut maintenant être touché par Thomas selon Jean 20:27 : « Puis il dit à Thomas : Avance ici ton doigt, et regarde mes mains ; avance aussi ta main, et mets-la dans mon côté ; et ne sois pas incrédule, mais crois. »
Jean aimait si fortement Jésus qu’il ne retient dans son témoignage que les éléments spirituels, ayant été insensible au séisme et à la tempête qui ont frappé Jérusalem en ce jour ténébreux de son arrestation, de son jugement et de son exécution mortelle. Selon Jean, Marie de Magdala s’est présentée à l’aurore au tombeau qu’elle a trouvé déjà ouvert et vide, il faisait encore sombre.
Les témoignages complémentaires des autres Evangélistes complètent ce témoignage de Jean. Nous lisons dans Matthieu 27: 45 et 50 à 53 : « Depuis la sixième heure jusqu'à la neuvième, il y eut des ténèbres sur toute la terre. … /… Jésus poussa de nouveau un grand cri, et rendit l'esprit. Et voici, le voile du temple se déchira en deux, depuis le haut jusqu'en bas, la terre trembla, les rochers se fendirent, les sépulcres s'ouvrirent, et plusieurs corps des saints qui étaient morts ressuscitèrent. Étant sortis des sépulcres, après la résurrection de Jésus, ils entrèrent dans la ville sainte, et apparurent à un grand nombre de personnes. » Je le rappelle, Jean et Matthieu sont les deux seuls témoins oculaires des faits témoignés. Et plus âgé, Matthieu donne un témoignage plus complet plus détaillé que celui du jeune Jean.
Grâce aux découvertes de notre frère Ron Wyatt, nous savons que la fracture du rocher, dans lequel la croix du Christ était enchâssée, a permis l’écoulement du sang de Jésus, sur le propitiatoire de l’arche divine cachée dans une grotte souterraine située au-dessous de la croix, à environ six mètres de profondeur. Aussitôt que le sang a touché le propitiatoire et que Jésus a expiré, des saints sont sortis de leurs tombeaux ressuscités par l’Esprit du Père céleste. Ces paroles de Jésus citées dans Jean 11:25, ont été ainsi confirmées : « Jésus lui dit : Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort ; » Ainsi la mort du prince de la lumière offre la vie à ses élus ; « la vie » qui est « la lumière des hommes » selon Jean 1:4 : « En elle était la vie, et la vie était la lumière des hommes. »
Chaque moment de ce temps, où Dieu fait accomplir en Jésus-Christ son plan du salut, est marqué dans un but pédagogique qui confirme son accomplissement. Ainsi, la mort de Jésus a pour fruit la résurrection finale des saints morts et des saints restés vivants dont un exemple témoin est donné au moment même de la mort de Jésus. Il faut attendre ensuite le premier jour de la semaine suivante pour que le Christ ressuscité, « lumière », éclaire l’intelligence spirituelle de ses saints élus fidèles. Et cette phase « lumière » est dans le plan du salut, fondamentale, car c’est par elle, que l’homme peut recevoir ou rejeter la lumière divine. C’est aujourd’hui encore, cette lumière divine qui m’éclaire ainsi que ceux qui lisent mes écrits. Dieu n’a pas fini de nous étonner.
Mais la vraie obéissance exige que chaque élément de ce plan de salut soit honoré de la manière qui convient à Dieu. Car si ce n’est pas le cas, la religion est vaine. Dieu se fait une gloire de révéler à ses élus l’harmonie complète de son projet, sa cohérence parfaite, sa logique parfaite. Sa nature éternelle est révélée dans sa construction de la Bible révélée pour les cinq premiers, à Moïse l’image prophétique du guide céleste nommé Jésus-Christ, il y a de cela, pas moins de 3500 années.
La mort de Jésus a fait cesser toutes les fêtes juives parce qu’elles ont trouvé leur accomplissement en sa mort et sa résurrection. C’est donc vainement, que les faux croyants célèbrent encore depuis sa mort, la Pâque juive ou les Pâques catholiques romaines. Depuis sa résurrection, Jésus ne reconnaît comme célébration que la pratique de la sainte Cène précédée par l’indispensable lavement des pieds et le baptême de l’engagement officiel individuel de ses rachetés. Un baptême qui doit être pratiqué en immersion totale du corps du baptisé pour être reconnu par Dieu ; sous la condition que la personne baptisée soit reçue et approuvée par lui. Dans la sainte Cène, les symboles utilisés doivent être à l’image de la perfection du Christ ; un pur jus de raisin rouge pour symboliser le sang de Jésus-Christ et du pain non levé pour symboliser son corps. Le diable se plait à faire remplacer ces choses pures par du pain levé et du vin alcoolisé dans la sainte Cène pratiquée par ses victimes trompées et séduites.
Dieu est attentif à la valeur que nous donnons aux symboles qu’il a choisis pour représenter et concrétiser un acte d’engagement religieux de ses rachetés élus. Notre propre attention est donc requise, afin de ne pas déshonorer Dieu et son Christ sauveur.
Le premier jour ne donne pas lieu à une fête particulière ordonnée par Dieu. Le jour de la « lumière » est aussi le premier jour du travail de l’homme qui va être suivi par cinq autres jours qui lui appartiennent pour faire tous ses ouvrages profanes et civils. Conformément aux enseignements de Genèse et de Jean, ceux qui rejettent la vraie « lumière » divine se séparent des élus en donnant au premier jour de la semaine le rôle que Dieu donne au septième et qu’il a « sanctifié » dès le commencement selon Genèse 2:2-3 : « Dieu acheva au septième jour son œuvre, qu'il avait faite : et il se reposa au septième jour de toute son œuvre, qu'il avait faite. Dieu bénit le septième jour, et il le sanctifia, parce qu'en ce jour il se reposa de toute son œuvre qu'il avait créée en la faisant. »
La confiance que nous plaçons dans la sainte Bible divine est fondamentale pour justifier notre choix et notre comportement religieux. Satan connaît l’importance de cette croyance aux 6000 ans précis du programme terrestre de Dieu. Aussi, pour perdre les âmes humaines qu’il séduit, il fait présenter par des scientifiques honorés des théories évolutionnistes qui donnent à la terre une existence de milliards d’années. Ces mensonges sont continuellement présentés dans toutes les émissions scientifiques télévisées et dans tous les établissements d’enseignement.
La vérité est très différente, le Dieu créateur est extrêmement précis dans tout ce qu’il crée et organise. C’est pourquoi, dans l’ordre du temps qu’il compte et mesure, le septième jour ne peut à aucun prix être remplacé par le premier jour catholique ou le sixième jour de l’islam.
La célébration du sabbat sanctifié par Dieu a donc ce caractère particulier d’être une fête juive qui n’a pas été rendue caduque et vaine par la mort et la résurrection de Jésus-Christ. Ceci pour ces trois raisons : 1- Le sabbat prophétise le repos du septième millénaire au début duquel les élus rachetés entreront dans l’éternité ; son accomplissement est donc encore dans le futur aujourd’hui, à 5 ans devant nous. Il doit donc encore être pratiqué et honoré. 2- Le sabbat prophétise le repos du septième millénaire qui est la récompense de la croyance des vrais élus rachetés par Jésus-Christ. 3- Le sabbat est une récompense obtenue par Jésus-Christ, par sa mort expiatoire des péchés de ses élus.
En plus d’être une fête juive ordonnée par Dieu dans l’ancienne alliance, le sabbat est avant tout, une fête qui peut et doit être célébrée par tout homme et toute femme, quelle que soit son origine, sa couleur et sa nation ; parce qu’il n’y avait au temps d’Adam et Eve, ni juif, ni chrétien, ni musulman, mais l’être humain dont les successeurs se sont séparés et combattus à cause de leurs choix religieux différents et de leur méchanceté. Et personne sur la terre ne peut prétendre de ne pas descendre de ce premier couple que Dieu a créé et bénit, puis maudit à cause de leur désobéissance, donnant ainsi un avertissement perpétuel en transmettant en héritage la mort qui frappe tous les êtres humains et les créatures terrestres.
Pour conclure ce thème consacré au « premier jour », je peux dire que celui qui a été marqué par l’apparition du Christ ressuscité a été pour ses apôtres un jour béni, lumineux, qui leur a procuré une joie sans pareille. Et cette lumière qui a éclairé leur esprit les a conduits à s’engager dans le travail missionnaire pour leur divin maître. Ils ont pu ainsi répandre l’Evangile qui est parvenu jusqu’à nous, qui vivons en 2025, grâce à leurs témoignages regroupés dans le nouveau « témoin » de Dieu que constituent les témoignages de la nouvelle alliance de la sainte Bible. Cependant, dans Apocalypse 11:3, Dieu ne présente pas un seul témoin, mais ses « deux témoins », confirmant ainsi la nature indispensable de l’enseignement écrit dans les livres de l’ancienne alliance.
Dans le projet de Dieu, « le premier jour et le septième » représente « l’alpha et l’oméga » de l’unité du temps que représente la semaine ponctuée au fil du temps par la célébration de son saint sabbat honoré pendant 6000 ans par ses vrais serviteurs humains. Chaque fois que Dieu a construit une relation intime privilégiée avec l’un de ses serviteurs, depuis Adam, Dieu lui a fait connaître ses lois, ainsi que la bénédiction et sa sanctification du sabbat du septième jour. Mais ces précisions ne furent pas transmises par des écritures comme la Bible écrite sur des parchemins par Moïse a pu le faire ; sous la dictée directe de Dieu.
Le « premier jour et le septième » sont donc entièrement complémentaires parce qu’ils marquent des temps fondamentaux du plan du salut préparé et accompli par Dieu. Etant complémentaires ils ne s’excluent pas mutuellement l’un par l’autre, et l’élu de Dieu doit honorer l’un et l’autre selon la forme que Dieu leur a décernée.
Finalement c’est encore la Bible qui va permettre de trancher au sujet de la concurrence de ses deux jours respectivement placés « au début et à la fin » de la semaine, écoutons l’Esprit nous dire par Salomon dans Ecclésiaste 7:8 : « Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement ; mieux vaut un esprit patient qu'un esprit hautain. » Le « sabbat du septième jour » vaut donc mieux que « le premier jour », et sachant ce que les deux représentent, tous ses élus partagent son avis. Dans ce verset, l’Esprit met en parallèle « la fin d’une chose » avec « l’esprit patient ». Il faut donc que l’élu attende et fixe son attention « patiemment » sur le moment « de la fin » qui vient ; ce qui est le fruit de la sagesse.
M14- L’heure de la confusion
Je pense avoir trouvé, avec ce titre, « l’heure de la confusion », la définition du changement universel provoqué par l’élection du président des USA, Donald Trump, entré en fonction depuis le 20 Janvier 2025.
Tel un éléphant dans un magasin de porcelaine ou l’arrivée d’un chien dans un jeu de quilles, il bouleverse, renverse et casse tout ce qui a prévalu avant lui. Et grâce à lui, les pensées humaines les plus obscures sont démasquées. En fait, son arrivée porte les effets du révélateur de la photographie ; avant lui nous avions la vision du négatif inscrite sur la pellicule ; après lui nous obtenons la photo positive sur papier glacé.
Depuis le 8 Mai 1945, en entrant dans son temps de paix, l’humanité s’est reconstruite sur des bases totalement hypocrites établies entre des pays fatigués de se combattre et rendus capables d’accepter les conditions imposées par les deux grands vainqueurs ; dans l’ordre d’arrivée à Berlin : Les Russes, puis les Américains. La fin du XXème siècle s’est déroulée dans cette ambiance tendue opposant le bloc Ouest au bloc Est replié derrière son « rideau de fer ».
En 1989, le mur de Berlin est tombé, détruit par les Allemands de l’Est qui ont profité de l’écroulement de l’URSS politique et économique. Cette action allait dans le sens d’un désir occidental de s’étendre vers l’Est qui fut entièrement confirmé par le regroupement des deux Allemagnes au profit de celle de l’Ouest, cette Allemagne prospère et riche qui a été formée et enseignée par la culture américaine capitaliste qui l’occupait.
Il y a énormément de sagesse dans les proverbes et les dictons populaires, plus ou moins connus. Mais je propose cet exemple qui dit : « la faim fait sortir le loup du bois » qui évoque le principe qui veut qu’une chose peut favoriser l’apparition d’une autre chose. Et appliqué à notre situation mondiale et plus encore, occidentale cela signifie que la ruine économique démasque les caractères humains cachés.
Etant français, et c’est la raison du choix de Dieu pour mon ministère, la plus grande partie des 80 années de paix établies depuis le 8 Mai 1945, s’est accomplie sous le régime de la 5ème République. Or cette constitution établie par le général Charles de Gaulle a fait cesser les recherches des compromis politiques. La forte majorité présidentielle de l’assemblée des députés imposait ses lois et les faisait adopter sans aucun problème, au point que les groupes de l’opposition n’étaient là, que pour la forme, afin de conserver un aspect démocratique très hypocrite. Les Français n’étaient plus sensibilisés par les soucis des sujets politiques, si ce n’est dans les syndicats ouvriers qui couraient derrière les ajustements créés par l’inflation monétaire traduite par des hausses constantes du coût de la vie pour tous, riches et pauvres. Mais, pendant le septennat du général de Gaulle, la France ne manquait pas de travail car elle se relevait de ses ruines et son économie prospérait à cause de la croissance de la consommation de sa population. Les bons patrons se disputaient les bons ouvriers, très appréciés à cette époque par des patrons qui géraient leurs entreprises en « pères de familles ». Il fallait reconstruire les immeubles et les maisons détruites et loger les nouvelles générations auxquelles venaient s’ajouter les premières vagues de l’immigration musulmane maghrébine. Les Français se sont ainsi totalement déconnectés de la politique, étant uniquement préoccupés par leur vie individuelle devant laquelle la liberté des mœurs s’est ouverte et offerte. On est ainsi passé progressivement, à Paris, du « métro, boulot, dodo » au « vélo, chômo, porno ». La crise favorise le déplacement en vélo, la destruction des emplois provoque le chômage, et la recherche du plaisir individuel ou en couple conduit à la pornographie qui suscite les « gay pride » ou « fierté homosexuelle ».
Les Français de source ont été envahis par des européens qui ont profité de l’Europe Unie pour s’installer en France. La photographie d’une scène urbaine des années 50 comparée à la même réalisée en notre époque nous donne le meilleur témoignage de cette vérité controversée. De plus, il suffit de relever les noms de famille portés sur les boîtes aux lettres des maisons et des immeubles pour en être totalement convaincu. Mais ce constat ne règle pas le problème, parce que les jeunes générations le constatent comme les anciennes mais sans y relever le moindre problème. Et c’est normal, puisqu’ils n’ont connu la France que sous cet aspect cosmopolite qui leur convient. C’est en cela, que nous pouvons comprendre la raison pour laquelle Dieu a donné 80 ans de paix aux « dix cornes » européennes occidentales dont la France et l’Italie en cibles principales. Car il fallait que disparaissent les anciennes générations sensibles à l’immigration. Et en authentique signe de ce raisonnement, le chef de tête de cette opposition à l’immigration musulmane, Jean-Marie Le Pen, vient de mourir au début Janvier 2025. J’ai moi-même 80 ans depuis 2024, et je vois disparaître beaucoup de gens de mon âge qui n’ont pas bénéficié de la protection de Dieu comme moi ; et ceci, en toute justice, parce qu’ils ne se sont pas souciés de le rechercher pour obéir à ses ordres, et ses décrets bénis.
Je vois donc en la mort de Jean Marie Le Pen la confirmation du principe appliqué pour les Juifs retenus dans le désert par Dieu pendant 40 ans.
La déconnection du peuple français de la politique a donc eu pour cause l’unique importance donnée aux députés et aux ministres élus et mis en postes. Mais à ce drame s’est ajouté un deuxième niveau d’affaiblissement qui a concerné cette fois le législatif et l’exécutif français. La construction de l’U.E. a rendu la plupart de leur décision dépendante des autorisations du gouvernement européen. Nos hommes politiques ont donc eux aussi après le peuple, réagi de la même manière soit, dans un état d’esprit désabusé, ils ont ressenti pour leur activité une partielle inutilité.
La gouvernance à deux étages est une totale malédiction qui confirme la valeur d’imperfection donnée au chiffre « 2 ». A cause de leurs vieilles existences nationales, les nations européennes restent fondamentalement accrochées à leur indépendance nationale. L’U.E. n’existe à l’heure actuelle que pour des intérêts commerciaux et malgré l’intensification de son pouvoir législatif, le gouvernement européen reste à l’image du premier « marché commun » de 1957.
Les effets de la ruine sont très différents selon les individus concernés touchés. Certains tombent dans un grand abattement, mais d’autres réagissent de manière coléreuse, pleins de rancœur envers les hommes politiques qui ont pu faire les choix désastreux qui ont tué la prospérité de leur pays. La ruine imposée par l’organisation de Dieu a précisément le but de réveiller la colère et l’indignation des victimes des politiciens. En 1789, la faim a fait sortir du bois les loups affamés révolutionnaires et en 1793, Louis XVI a perdu sa tête parce que son aide donnée aux Américains avant 1776, a ruiné son royaume et conduit son peuple à la famine. « Famine ! » Ce mot me fait frémir, car l’humanité n’a jamais été autant menacée par ce fléau qu’en nos jours actuels. Les populations ont augmenté en nombre constamment et des villes gigantesques les ont accueillies repoussant toujours plus loin leurs limites urbaines. Pour nourrir ces populations, en temps de paix, des multitudes de véhicules apportent depuis la campagne ou les centres alimentaires, d’énormes quantités d’aliments de toutes sortes. En situation de guerre, ces déplacements des véhicules sont bloqués, empêchés, par les services armés qui doivent avoir l’exclusivité des voies routières. C’est pourquoi la dépendance alimentaire va apparaître comme étant la cause majeure de la mort des habitants des grandes villes du monde touchées par la Troisième Guerre Mondiale qui vient. Comment se préparer à un tel avenir ? Bien difficile à dire ; car stocker un minimum de conserves ne permettra que de survivre un minimum de temps. D’autre part, détenir un gros stock de réserves peut susciter chez d’autres affamés, la convoitise qui peut dans ce cas causer la mort de l’homme prévoyant. Nous devons donc nous préparer à devoir faire face à des temps de jeûnes forcés où nous découvrirons l’inimaginable résistance du corps humain créé par Dieu. Et c’est encore là, le but que Dieu donne à la famine : contraindre l’homme à apprendre à ne compter que sur lui et sur sa compassion. Car d’une manière perverse, dans la paix et la prospérité, l’être humain apprend à « vivre de pain et surtout de viande seulement », oubliant que Jésus a aussi ajouté « mais aussi, de toute parole sortie de la bouche de Dieu ». Et ce rajout est plus important que le pain lui-même, car Dieu peut faire vivre un homme sans manger et sans boire comme il en a donné en Moïse, une preuve vivante réelle ; et ceci, pendant « 40 jours et 40 nuits » selon Exode 34:28 : « Moïse fut là avec YaHWéH quarante jours et quarante nuits. Il ne mangea point de pain, et il ne but point d'eau. Et YaHWéH écrivit sur les tables les paroles de l'alliance, les dix paroles. »
Ce verset présente le grand avantage de mettre en parallèle la nourriture humaine et sa nourriture spirituelle représentée par les deux tables des dix commandements de Dieu. La scène qui nous est décrite nous transmet un message divin que Jésus exprime clairement en disant : « l’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu ». Disant cela, Jésus nous montre la fidélité exemplaire de Moïse et nous invite à l’imiter, lui, Moïse, qui n’était réellement, qu’un homme comme nous, toi et moi.
Les « quarante jours et quarante nuits » vécues par Moïse en présence de Dieu étaient à l’image du séjour au désert de 40 ans que Dieu allait imposer à Israël pour son manque de confiance envers Dieu. Dieu montrait par cette scène, son projet d’inscrire sa loi sur les tables de pierre que formaient les cœurs endurcis des Hébreux arrachés à l’esclavage égyptien. Et au terme des quarante ans, Dieu confia les enfants d’Israël aux deux seuls hommes dignes de cette charge, Caleb et Josué, les deux espions qui firent confiance à Dieu pour vaincre les géants qui vivaient sur le sol de la terre de Canaan. Dieu a réussi à graver sa loi dans les cœurs de chair de ces deux hommes présentés en exemples à imiter. Il les élève, il les honore, et s’offre la compagnie de Moïse, en lui permettant d’entrer au ciel après sa mort, âgé de 120 ans et encore plein de force et de santé ; ce qui est l’âge type que Dieu donne à l’homme avant de le détruire par les eaux du déluge.
Depuis 1843, Dieu a formé le même projet en construisant sa religion « adventiste du septième jour ». Depuis cette date, deux expériences adventistes américaines situées en 1843 et 1844 lui ont permis de sélectionner de véritables élus, peu nombreux, 50 personnes au 23 Octobre 1844. Mais le nombre réduit n’est pas le plus important, car Dieu privilégie la qualité sur la quantité. Le bénéfice de la grâce offerte par Jésus-Christ ne profite qu’à ceux des candidats rachetés dont la confiance et la fidélité est conforme à la qualité exigée par Dieu.
Né en 1944, je suis à l’image de Caleb et Josué, attentif aux messages donnés par Dieu, par sa sainte Bible, dans ses prophéties mais aussi dans la vie globale, dans nos faits qui créent l’actualité. J’ai vécu deux fois « quarante ans » et je peux dire que toute sa divine loi est écrite dans mon cœur ; et cette connaissance me permet de décrypter ses messages subtilement codés. J’ai été baptisé dans l’année 1980 et j’ai vu arriver au pouvoir, en 1981, cette gauche socialiste humaniste que j’ai, un temps approuvé et en laquelle j’ai même espéré. Jusqu’à ce que je réalise, dès 1982, son aveuglement chronique, parce qu’elle devait mettre en œuvre la terrible malédiction divine qui frappe la France entière, son peuple et ses dirigeants politiques et économiques.
Voici une preuve concrète de cet aveuglement. Une journaliste faisait l’éloge du président Macron qui, disait-elle, a su voir en premier le danger représenté par la Russie du président Poutine. Cette personne oublie simplement que le danger qui nous menace aujourd’hui n’est que la conséquence du risque qu’il a fait prendre à sa nation et à l’Europe, en justifiant par son soutien à l’Ukraine, une position agressive qui ne pouvait qu’irriter la Russie contre la France et ceux qui la suivent dans son attitude agressive guerrière. En pleine incohérence, ces gens dénoncent le comportement de Donald Trump et son partenaire Elon Musk, les comparants aux Nazis hitlériens alors qu’ils soutiennent l’Ukraine dont le groupe ouvertement et revendiqué Nazi nommé « Azov » est l’idole du peuple ainsi que son fondateur le « SS Bandera ». Des journalistes, des hommes politiques, d’anciens chefs militaires, tous agissent et parlent d’une même voix, tous aveuglés par Dieu pour favoriser leur agressivité envers la Russie afin qu’elle vienne sur eux pour les détruire.
Aujourd’hui, Lundi 17 Février, se tient à Paris, à l’Elysée, un grand rassemblement des chefs européens invités par Mr Macron pour trouver une solution aux problèmes posés par la déclaration de la représentation américaine à Munich, la veille, soit le dimanche 16 Février. Dans cette déclaration, les USA ont invité les Européens à prendre seuls en charge le problème ukrainien. Les Européens se voient donc seuls livrés au risque d’un affrontement direct contre la Russie : Panique à bord. Je pense que ce 17 Février placé sous le signe symbolique du jugement, va porter des conséquences graves et irréparables, mais Dieu le veut, Dieu le peut, et Dieu l’obtient. De plus, se produisant un « Lundi », jour de la Lune, ce rassemblement est placé sous le signe des ténèbres.
Ce changement, qui est la conséquence de l’élection du président Trump, transforme fondamentalement la situation confortable établie depuis le 24 Février 2022, dans un contexte de soutien et d’engagement américain donné à l’Ukraine et à l’Europe. En fait, c’est le sol qui se dérobe sous les pieds des dirigeants européens. Et je loue Dieu pour sa parfaite justice, car ce qui arrive aujourd’hui est l’exacte contraire de ce qui s’est produit dans la guerre des Balkans et en Ukraine le 24 Février 2022. Les attitudes agressives passées des pays européens reposaient sur la confiance placée sur l’imposante puissance des USA. Dans la guerre des Balkans, la Serbie fut écrasée par les bombes larguées par les bombardiers américains. Et fièrement, les armées européennes ont arrêté, le chef de la Serbie qui fut traduit devant le tribunal de la Haye auquel, seuls, les Européens donnent le titre de « Cour pénale internationale » ; mais en réalité « Cour pénale Européenne », et totalement illégitime, car aucun grand pays ne l’a reconnu, ni les USA, ni la grande Russie, ni la Chine, ni l’Inde. Il est intéressant de relever que cette C.P.I. qui siège à la Haye au Pays-Bas a pris forme et naissance à Rome, en Italie, le 17 Juillet 1998, sous le nom de « Statut de Rome ». Après deux traités et un Statut qui portent le nom de « Rome », qui peut nier l’implication de l’autorité papale dans cette création de l’Union Européenne ?
Une fois de plus, je fais appel à Mr Jean de La Fontaine et à ses fables dont l’une a pour titre « la grenouille et le bœuf ». Dans cette fable, la grenouille entreprend de devenir aussi grosse que le bœuf et à la fin l’inévitable se produit : elle éclate. Ce que nous vivons est aussi la fable « du corbeau et du renard ». En faisant l’éloge de la voix du corbeau, le renard finit par manger le fromage que le corbeau serrait dans son bec. Ces fables dénoncent les défauts de nos élites européennes marquées par l’ambition et l’orgueil. En cela, les régimes des démocraties reproduisent les défauts déjà trouvés dans les monarchies de l’ancien régime que Jean de La Fontaine ciblait à son époque. Son corbeau et sa grenouille étaient le roi Louis XIV et ses grands, ses courtisans.
L’histoire de la grenouille est aussi celle de l’Europe. Le regard porté sur une carte du monde révèle la taille réduite de cette Europe d’où sont sortis les conquérants des immenses terres américaines, africaines, ainsi que l’Inde et l’Australie. Ces grands continents, maintenant bien peuplés, dépassent en richesse la terre européenne originelle et il ne reste aux Européens que l’héritage d’un passé puissant et glorieux. Mais, le prestige ne fait pas la force, et les dirigeants européens le découvrent aujourd’hui. Le piège divin a parfaitement fonctionné, comme « Israël » en son temps, l’homme du type européen est devenu « gras et replet », consumériste pendant 80 années de paix. Cette paix a été si longue que coupés de Dieu, les penseurs des démocraties et des royaumes parlementaires ont été convaincus que tout risque de guerre en Europe était écarté. Mais déjà dès le 24 Février 2022, une première pensée européiste a été contredite par les faits. Pour les convaincre d’accepter de renoncer à leur complète indépendance nationale, les constructeurs de l’U.E. disaient aux populations qu’en faisant l’Europe, on éliminait le risque de guerre interne. Or, la guerre déclenchée en Ukraine a été intensifié et a impliqué l’Europe et ses populations à cause de l’engagement de la présidence européenne des députés soit, Mr Charles Michel, et de la Commission soit, Mme Ursula Von der Leyen. Après hésitations et double positionnement, après avoir été humilié par le mépris du président Poutine, le président français a fini par s’engager de plus en plus dans le combat mené par l’Ukraine revendicative nazie.
Dans sa grande et impressionnante sagesse, Dieu sait organiser en les suscitant des faits qui conduisent les hommes à changer leur comportement. Et par cette contrainte, à révéler leur vraie nature, leur vrai caractère. Le lion paraît paisible quand il est repu, mais quand la faim le tenaille, il devient impitoyable même pour ses lionceaux et ses lionnes. Nous avons passé 80 ans flottant dans une barque sur un lac apaisé et le temps change préparant une grande tempête meurtrière. Devant les faits, les gens ne réagissent pas tous de la même manière et aussi vite les uns que les autres. Certains semblent retenus par une force invisible qui leur fait refuser l’évidence du changement. Et ce principe concerne aujourd’hui l’U.E., composée de 27 nations aux expériences et caractères particuliers et différents. L’entente parfaite est donc exclue et chaque décision est âprement discutée pour être ou pas approuvée. Face au risque d’une attaque russe, il y a deux manières de réagir, la résistance armée si la force disponible le permet ou la capitulation si ce n’est pas le cas. Toute l’histoire est une continuité de conquêtes victorieuses et de défaites parfois cuisantes. Le grand temps de paix obtenu entre 1945 et 2025 a produit un effet durable sur les esprits humains libérés de la peur de la guerre, ce qui constitue une grande première dans toute l’histoire humaine, les guerres ayant de tout temps été redoutées et craintes par les humains. Mais sur la fin des 80 années, cet effet a été renforcé puissamment par la contrainte causée par le virus Covid-19 qui a conduit les Français en confinement pendant deux ans. Il faut relever la conséquence d’une privation de liberté d’aller et venir, réellement traumatisante pour l’esprit humain. Nos esprits on été marqué profondément et nous portons encore le traumatisme subi. Le mécanisme de la vie d’avant a été rompu et n’est pas revenu ; ceci, parce qu’à la place d’un regain d’activité, l’esprit humain subit constamment l’annonce de mauvaises nouvelles qui créent l’angoisse et favorisent la déprime généralisée.
En tant que serviteur de Dieu, nous échappons partiellement à ces effets, parce que nous savons par la prophétie biblique que nous allons vivre « un temps de détresse tel qu’il n’y en a jamais eu depuis que les nations existent, jusqu’à ce moment-là », selon Daniel 12:1. J’attends personnellement ces choses depuis l’année 1982 et les faits attendus ne produisent pas sur moi ce que produisent les faits non attendus qui surprennent des esprits humains non préparés. Aussi, avec l’aggravation de la situation, des gens paniqués vont préférer se donner la mort, eux-mêmes. On voit des gens agir ainsi pour des causes d’échecs professionnels, causes de faillites ou échecs sentimentaux. Les mêmes personnes ne supporteront pas de vivre dans l’angoisse d’être tuées.
Mais ce qui condamne toute chance d’éviter le pire, c’est la ruine actuelle de la France endettée de 3300 Milliards d’Euros, après 80 années de paix passées à discuter de sujets secondaires et de lutte contre la dénonciation de l’immigration musulmane. Mais ce n’est pas seulement cette immigration musulmane qui a changé la nature de la France et lui a donné son visage actuel. L’immigration intra-européenne constante est grandement en cause. Et, ce n’est que dans un contexte de guerre que va apparaître la conséquence de ce brassage ethnique européen. Car la construction européenne a tué l’esprit nationaliste des nations membres en favorisant des mélanges ethniques sur l’ensemble de ses territoires. Mais logiquement, les pays les plus riches sont ceux qui ont été le plus convoités par les différentes immigrations, aussi, la France, l’Allemagne, et l’Angleterre longtemps restée dans l’Europe, ont été transformées ethniquement et présentent un aspect cosmopolite, cause de multiples problèmes relationnels. Et en situation de guerres ce mélange va s’avérer épouvantable, les positions et les engagements étant différents selon les ethnies concernées ; le plus redoutable étant la présence de groupes internes hostiles, agissant en type de « cinquième colonne ». L’ennemi de l’intérieur est plus efficace que l’ennemi externe, c’est aussi vrai en religion qu’en politique et activité guerrière. Cette pensée a été exprimée par celui qui a dit : « protégez-moi de mes amis, car mes ennemis ; je m’en charge ».
Ce que ne comprennent pas les êtres humains coupés de Dieu, c’est que les peuples de la terre vivent et accomplissent le rôle que Dieu a programmé pour eux. Or, dans toute son histoire, depuis la Révolution d’Octobre 1917, la Russie soviétique et démocratique a toujours utilisé sa richesse pour construire des armes, des bombes, des avions, des fusées, des missiles en vue d’une attaque venant de l’Amérique capitaliste. Pendant qu’en Occident, l’argent était utilisé pour acquérir des biens matériels de confort et de plaisir, en Russie, l’argent détenu par l’Etat était consacré à la production de tanks, de navires, de sous-marins Diésel puis nucléaire de plus en plus gros et performant.
Il est vrai que l’apparition des drones a permis à l’Ukraine de détruire de puissants navires russes, mais cette vulnérabilité de la flotte russe n’est pas exclusive, un résultat identique serait obtenu contre un navire américain, anglais ou français. Et la guerre qui vient confirmera bientôt mes propos.
La réunion des dirigeants « forts » européens à Paris ce 17 Février a été causée par l’avalanche de reproches présentés clairement par le vice-président des USA, J.D.Vance, aux dirigeants européens et ukrainiens réunis la veille à Munich. Ces chefs européens, droits dans leurs bottes, ne supportent pas facilement d’entendre des reproches qui les condamnent ; et qui cependant sont totalement justifiés, au point qu’il me semble entendre Dieu leur parler. Ce qui est pour lui une habitude car il ne frappe jamais ses ennemis sans leur faire savoir pourquoi il les frappe. Et les reproches adressés pour des causes profanes sont aussi rejetés et refusés que les reproches religieux venant de Dieu. Quand on est orgueilleux et rebelle, on reproduit l’action de l’ange lumière qui a fait de lui, le diable et Satan.
Examinons ces reproches faits par J.D.Vance. En Europe, la liberté recule. Les principes démocratiques sont violés, et il prend en exemple, la Roumanie, où l’élection du camp favorable à la Russie vient d’être annulée sous prétexte d’ingérence russe pendant la campagne électorale. Et ce reproche est justifié, car les électeurs sont responsables de leur choix étant placés devant des influences contraires venant de toutes sortes d’origines. En quoi, un électeur dit libre se voit-il interdit parce qu’il partage des idées soutenues à l’étranger ? Depuis 1945, ce principe règne et divise l’Occident capitaliste des pays de l’Est socialistes.
Le plus étonnant, c’est que le reproche de ce non respect démocratique européen vient d’un chef des USA capitalistes. Mais en regardant la situation historique, c’est simplement normal, parce que les USA ont inventé la démocratie libre, ce sont-eux qui sont à l’origine de cette prise de liberté que la statue porteuse de ce nom proclame dans la baie de New-York. Et la France qui l’a offerte aux Américains a donc bien reconnue par cette action leur paternité de la liberté. A son tour et après eux, la France républicaine s’est dotée de sa devise « liberté égalité fraternité », ajoutant ainsi, à la liberté américaine, ses choix sociaux humanistes de « l’égalité et la fraternité ». Hélas, pour ses peuples, l’Europe est devenu un monstre d’inégalité et de mélanges ethniques cosmopolites hostiles à la fraternité. Dans l’élection du FIS, le Front Islamique du Salut algérien, la France des « droits de l’homme et du citoyen » a fait pression sur le gouvernement algérien pour qu’il annule le vote du peuple algérien. Et voici, qu’en 2025, en Roumanie, l’Europe approuve encore une annulation illégitime, alors qui peut dire que les reproches formulés par J.D.Vance sont injustifiés ?
Acceptant de grandes inégalités sociales, les Américains restent les seuls défenseurs du principe absolu de la liberté. Et, l’homme honnête doit reconnaître que leur conception est conforme à celle que Dieu a voulu donner à la vie humaine. Le bon sens humain de gens sages ne dit-il pas « Qui sème le vent récolte la tempête » ? Qu’y a-t-il de mal dans le fait que l’homme subisse les conséquences de ses choix et de ses actions ? Dieu agit ainsi, selon Jérémie 17:10 : « Moi, YaHWéH, j'éprouve le cœur, je sonde les reins, pour rendre à chacun selon ses voies, selon le fruit de ses œuvres. ». En Europe, l’abus des mesures sociales enlève aux individus toute leur responsabilité, et la société entière en pâtit. Les dirigeants politiques achètent les âmes humaines par des protections sociales qui évitent les rébellions populaires. Ils peuvent ainsi prolonger et favoriser l’activité financière des grands groupes qui font, eux, beaucoup de profit, comme c’est le cas, aux USA. Ainsi, paradoxalement, composée de grands groupes industriels et financiers très riches, l’Europe est devenue réellement de plus en plus pauvre.
Le recul démocratique européen est une vivante réalité. Et la diabolisation des ennemis politiques y est devenue la norme. Il suffit, que le désir du respect de l’autorité nationale soit revendiqué et proposé pour que l’auteur de la proposition soit comparé à Adolf Hitler le fondateur du parti nazi allemand. Mais le plus risible dans l’affaire, c’est que ceux qui dénoncent constamment des « Nazis » soutiennent l’Ukraine dont la forme actuelle rebelle et nationaliste a été organisée par le groupe Azov publiquement et ouvertement revendiqué « Nazi » et héritier de son fondateur SS, nommé Bandera. On ne peut donc trouver meilleur exemple d’aveuglement des intelligences européennes. Et c’est encore là, une œuvre du Dieu créateur venu sauver ses élus sous le nom du Juif Jésus-Christ.
La confusion ne fait que croître, tant dans le domaine profane que celui de la religion. Sur toute la terre, la chaleur s’intensifie et paradoxalement, le monde est de plus en plus enténébré. Et ce paradoxe est divinement justifié. Les hommes sont victimes du culte qu’ils rendent inconsciemment au soleil, l’astre qui diffuse la lumière de leur vie ; et cette lumière artificielle les aveugle et les plonge dans de profondes ténèbres qui les conduisent à la mort. Longtemps recherché et apprécié sur les bords des plages, le soleil brûle à présent la chair et les récoltes, les terres et les forêts. Il fait évaporer les eaux des rivières et des lacs et installe la sécheresse parce que les cœurs humains sont devenus durs et secs.
Cette sécheresse du cœur devient la norme nouvelle parfaitement incarnée en Donald Trump, J.D.Vance, Xi-Jin-Ping le chef chinois, et tous les dirigeants européens ainsi que Volodymyr Zelensky, Vladimir Poutine et son allié de la Corée du Nord, Kim Yong Un, ainsi que Narendra Modi. Ce sont tous des autocrates assoiffés de pouvoir et de puissance. Ils se lèvent et apparaissent sous cet aspect nouveau parce que l’heure vient pour Dieu de « délier les quatre anges retenus » depuis 1840 soit, la dernière confrontation guerrière des Occidentaux et des orientaux musulmans, à l’époque, les Turcs Ottomans. Leurs héritiers sont aujourd’hui, la « Türkiye » du président Erdogan dont le nom signifie « guerrier farouche », qui est très hostile envers les Européens occidentaux tout en étant membre de l’OTAN.
Apocalypse 7:1 à 3 et 9:13 à 15 évoquent respectivement le temps où les vents des guerres religieuses ont été stoppés par Dieu et le moment où il les relâche : « Après cela, je vis quatre anges debout aux quatre coins de la terre ; ils retenaient les quatre vents de la terre, afin qu'il ne soufflât point de vent sur la terre, ni sur la mer, ni sur aucun arbre. Et je vis un autre ange, qui montait du côté du soleil levant, et qui tenait le sceau du Dieu vivant; il cria d'une voix forte aux quatre anges à qui il avait été donné de faire du mal à la terre et à la mer, et il dit : Ne faites point de mal à la terre, ni à la mer, ni aux arbres, jusqu'à ce que nous ayons marqué du sceau le front des serviteurs de notre Dieu. » …/… « Le sixième ange sonna de la trompette. Et j'entendis une voix venant des quatre cornes de l'autel d'or qui est devant Dieu, et disant au sixième ange qui avait la trompette : Délie les quatre anges qui sont liés sur le grand fleuve d'Euphrate. Et les quatre anges qui étaient prêts pour l'heure, le jour, le mois et l'année, furent déliés afin qu'ils tuassent le tiers des hommes. »
Tu peux ainsi le constater, ces deux thèmes du « scellage » et de la « sixième trompette » reprennent les mêmes sujets et celui de la « sixième trompette » referme le temps où la paix chrétienne religieuse universelle a officiellement commencé soit, 1840. Parce que dans cette guerre de 1840, l’Europe chrétienne a combattu l’islam ottoman lancé dans une conquête territoriale sur le sol européen.
Il est bon de relever la différence des mots soulignés de ces versets : l’arrêt des guerres religieuses est rattaché à « la terre » alors que la reprise de la guerre concerne le peuple européen symbolisé par « le fleuve Euphrate ». Cette différence me porte à interpréter ce mot « terre » comme symbole religieux du protestantisme américain qui fut en 1843 et 1844, « la terre » où Dieu a semé et fait germer le mouvement adventiste qu’il bénit en « adventisme du septième jour » universel, en 1873. Il y eut bien aux USA en 1865 la guerre civile fratricide dite « de Sécession », mais elle n’avait pas une cause religieuse officielle. Et cependant, Dieu punissait déjà, le mépris témoigné pour ses épreuves adventistes de 1843 et 1844.
Il est essentiel de comprendre qu’au fil du temps, la culpabilité humaine s’intensifie chaque fois que Dieu intervient pour offrir à ses élus une plus grande lumière éclairant son projet de salut et son programme d’actions.
Ainsi, l’Europe est, en premier, tombée par refus des restaurations des vérités protestantes présentées par Dieu depuis 1170 par Pierre « Valdo ». Puis à son tour, la religion protestante américaine calviniste, ou luthérienne est tombée en 1843 et 1844 pour son mépris, son indifférence coupable, témoigné pour des annonces prophétiques annonçant le retour glorieux de Jésus-Christ. Et en 1873, Dieu officialise sa reconnaissance de « l’Eglise Adventiste du Septième Jour » qui représente la dernière forme institutionnelle de son Elue. Toutes les autres religions chrétiennes sont officiellement rejetées par Dieu et livrées au diable et ses démons. Ensuite l’Adventisme du septième jour est répandu dans toutes les nations de la terre entière où la chose a été possible. En tête, la Suisse est de ce nombre suivie par la France. Dans cette France, Dieu m’appelle en 1975 pour une mission prophétique que je découvre en 1980 après mon baptême par immersion totale et par choix adulte, réfléchi et assumé. Dans l’année précédente, en 1979, Israël a fait alliance avec l’Egypte, et dans cette nouvelle situation, le message prophétisé dans Daniel 11:40 à 45, devient logique et donc interprétable et compréhensible. En 1982, la Troisième Guerre Mondiale était annoncée pour 1983 par Jean de Fontbrune selon ses interprétations des prophéties de Michel Nostradamus. Et ma lecture de Daniel 11:40 à 45 semblait lui donner raison. J’ai donc adopté ce point de vue que j’ai justifié par mon décryptage de Daniel 11:40 à 45. Je conserve donc cette compréhension depuis 1982. Et le décryptage complet de la prophétie Apocalypse m’a fait découvrir la date 1994 obtenue comme terme des « cinq mois prophétiques cités dans Apocalypse 9: 5 et 10 dans le thème de la « cinquième trompette ». Convaincu par l’Esprit de Dieu comme William Miller en son temps, j’ai donné à cette date 1994, l’annonce du vrai retour de Jésus-Christ. En Novembre 1991, l’église m’a officiellement radié de ses membres parce que je refusais de remettre en cause ce qui me semblait être une évidence.
1994 est venu sans que Jésus ne revienne, mais je ne l’attendais plus pour cette date depuis une année, n’ayant pas vu non plus, en 1993, la Guerre mondiale qui doit précéder son retour. Ce n’est qu’ensuite en 1996, que l’Esprit a éclairé mon intelligence. Mes fausses annonces n’avaient pour but que de faire tomber le masque trompeur et hypocrite des dirigeants adventistes du septième jour. Soit, une reproduction de l’œuvre accomplie par William Miller qui a permis à Dieu de démasquer l’hypocrisie religieuse protestante de son époque.
Aujourd’hui dans le monde, d’autres masques trompeurs tombent, et particulièrement, ceux derrière lesquels se cachent les dictateurs en herbes des fausses démocraties occidentales.
Je le précise, ce terme « faux » que j’impute à mes annonces non accomplies ne me gêne pas, car la sainte Bible nomme sagesse, le principe de prêcher le faux pour obtenir le vrai, comme en a témoigné en son temps, le sage roi Salomon. Dieu nous a utilisés de la même manière, William Miller et moi, chacun en notre temps, pour faire tomber les masques de la fausse religion qui répand la confusion dans les esprits humains. Le « faux » est l’arme secrète du « Dieu de vérité » source de la vraie sagesse.
La confusion est la conséquence de l’esprit de Babel réveillé par les USA et après eux par la France dont le modèle a été donné aux peuples réunis dans l’U.E. actuelle. Il te faut comprendre que cette construction européenne est le fruit d’une malédiction collective de l’Europe entière ; l’Europe Occidentale des « dix cornes » de Daniel 7:7-24 et Apocalypse 13:1, 17:3, auxquels il faut ajouter, les nations entrées dans l’alliance des six pays du « marché commun » originel ; l’ensemble regroupe aujourd’hui 27 nations. Dieu a réuni dans cette alliance, toutes les cibles de sa principale colère ; les nations chrétiennes ou originellement chrétiennes, catholiques, protestantes ou orthodoxes.
Sous le prétexte de protection de la paix, trahi par la présidente de la Commission européenne et le président des députés européens après le 24 Février 2022, les peuples signataires ont été victimes d’une gigantesque escroquerie. Et depuis le traité de Maastricht, les députés européens et nationaux ont regardé les prix des aliments et des produits divers monter, sans intervenir, comme les vaches qui regardent passer les trains ; elles lèvent la tête, puis se remettent à brouter l’herbe qui les rassasie. Et en plus, les commissaires européens grassement payés pour agir se sont employés à ruiner les nations riches pour favoriser les investissements dans les pays pauvres entrants. La France est aujourd’hui ruinée, non par une guerre dévastatrice, mais par ses seuls choix politiques idéologiques.
M15- Un pays trop loin
Le titre de ce message reprend le titre d’un film traitant de la Seconde Guerre Mondiale soit, « Un pont trop loin ». Dans le scénario basé sur un fait réel, l’Angleterre lance une attaque contre l’armée allemande qui occupait encore la Belgique. Dans le projet, plusieurs ponts devaient être pris et franchis. Le dernier pont était celui d’Harleim. Et cette dernière bataille fut perdue à cause d’une résistance allemande efficace et les difficultés des Anglais à faire avancer les renforts nécessaires. Ce seul échec final rendit l’opération entière vaine.
Dans leur vie courante, il arrive souvent aux êtres humains de faire une fois de trop divers types d’actions. La vie céleste créée premièrement par Dieu est sujette au temps qui s’écoule comme nous. La différence entre les anges et nous est qu’ils ont reçu de Dieu un corps incorruptible qui peut donc vivre aussi longtemps que Dieu le permet. Ils ne sont donc pas pour autant immortels, car l’immortalité est strictement divine. Mais possédant cette immortalité, il peut offrir à ses créatures de vivre éternellement en sa compagnie. Et c’est la récompense que Dieu promet à ses élus rachetés par Jésus-Christ.
Pour toutes ses créatures, leur vie c’est du temps. Et ce temps offre à toutes, célestes et terrestres, le moyen de comprendre les valeurs divines, de les approuver ou de les rejeter. Au premier commencement de la vie céleste, l’ange de lumière, créé en premier, a été créé parfait. Dieu ne lui a pas donné une femme, un vis-à-vis féminin, mais des frères célestes, anges comme lui, en grands nombres. Reconnaissants envers Dieu, leur Créateur, tous le louaient et le servaient dans l’amour fraternel partagé, pur et sans ombre.
Parce que toute assemblée de créatures doit être organisée, comme il l’a ordonné plus tard pour Israël, Dieu a organisé dans la vie des anges, une autorité hiérarchique. Le premier ange créé dominait tous les anges, n’ayant au-dessus de lui que « Micaël » l’expression divine angélique. Tous servaient et glorifiaient l’Esprit du Père, incomparable et unique. Les chefs célestes ne reçoivent pas un salaire pour le service qu’ils font. Les anges vivent donc dans des conditions entièrement égalitaires et seule l’autorité des chefs marque une différence. Ces conditions auraient pu se prolonger éternellement.
Hélas, et Dieu le savait depuis le début, l’obéissance qu’il obtenait des anges subordonnés a fait mal réagir l’ange supérieur placé au-dessus de tous les autres. L’orgueil s’est formé dans son esprit, et progressivement, cet orgueil a suscité dans son esprit des pensées contestataires envers les valeurs divines. Ce qui est né dans cet ange créé parfait était l’embryon du péché.
Dieu n’a pas cherché à l’éviter, car pour l’éviter, il aurait été contraint de devoir se contenter de vis-à-vis programmés pour l’obéissance servile, sans liberté, ni l’intelligence libre qui peut l’apprécier. Il a créé des vis-à-vis pour recevoir leur amour ou leur haine, et entre ces deux extrêmes, la froide indifférence. Dans le temps de vie qui leur est donné par Dieu, ses créatures peuvent choisir la forme qu’elles vont donner à leur rapport avec Lui. Et la question qui se présente est alors celle-ci : jusqu’à quel niveau, Dieu peut-il supporter la contestation de ses valeurs ? Ces différents niveaux successifs sont à l’image des ponts du film anglais. Et Dieu seul décide de la limite de ce qu’il supporte. Le mal est apparu dans le premier ange créé et partageant ses idées avec d’autres anges, ce mal a été transmis à ces anges qui l’ont approuvé. Tant que le mal était uniquement dans un seul ange, l’offre de pardon de Dieu était possible ; à condition que le coupable reconnaisse sa faute, et se repente sincèrement, étant décidé à ne pas recommencer son erreur de jugement. Mais l’extension du mal rendait cette offre inefficace, parce que celui qui avait eu en premier connu le mal était encouragé par le soutien qu’il recevait des mauvais anges qui partageaient ses idées.
J’insiste encore sur ce sujet, parce qu’il est fondamental pour notre compréhension : c’est en parfaite connaissance des conséquences portées que Dieu a donné la liberté entière à ses vis-à-vis célestes puis terrestres. Les valeurs s’étendent dans les deux sens opposées, du bien ou du mal, et chaque chose, chaque principe, a son contraire absolu ; c’est inévitable quand ces valeurs sont soumises à l’entière liberté. Mais Dieu n’avait pas l’intention de vivre éternellement avec des créatures contestataires ; et son projet du salut prévoyait de les détruire et de les anéantir entièrement à la fin du temps des épreuves. L’amour de ses élus étant le but recherché par Dieu, il fallait organiser une démonstration divine de son amour pour ses créatures pour attirer vers lui celles qui sont dignes de son amour.
Les Chrétiens savent dire que « Dieu est amour » comme les Musulmans disent « Dieu est grand ». Et malgré ces belles paroles, les deux lui désobéissent, plus ou moins dans l’ignorance. Il faut vraiment qu’il soit « amour » pour supporter aussi longtemps des vies rebelles qui contestent son autorité exprimée dans ses lois, ses valeurs, ses principes, ses commandements. La première des choses que nous devons reconnaître, c’est sa divine patience, qui n’est pas à notre échelle humaine, mais à son échelle divine immortelle et éternelle. Mais sa patience n’est pas éternelle et ne peut qu’avoir une limite que le temps éternel ne permet pas de chiffrer, de mesurer. Dieu avait besoin d’un instrument de mesure pour fixer la limite de sa patience et c’est là, une raison de sa création terrestre.
En effet, dans la vie céleste, la vie est une longue continuité sans coupure, se prolongeant constamment. Dieu crée donc la dimension terrestre prophétisant sa durée pour 7000 ans par les sept jours de la semaine de la création. Ce fut une mauvaise nouvelle pour les mauvais anges, car Dieu a ainsi mis en marche une horloge du temps universel multidimensionnel, qui va compter le temps parce que pour ses ennemis, les anges démoniaques, le temps est compté ! Imagine l’effet produit dans leurs esprits ; les rotations de la terre sur son axe et autour du soleil prennent l’aspect du tic-tac de l’horloge qui compte le temps qui leur reste à vivre avant d’être anéantis par Dieu, comme le condamné à mort attend l’heure de son exécution dans sa prison. En créant la dimension terrestre, Dieu a lancé un défi à Satan et ses anges rebelles. Puisqu’il conteste sa façon de gouverner, Dieu lui offre un terrain neutre pour donner forme à ses idées. Dieu ne prend pas de risque parce qu’il sait d’avance ce que va produire leur méchanceté. Et il a dans son projet de salut une arme secrète, un joker qui lui permettra d’obtenir les élus désirés. Le combat qui s’engage entre Dieu et le camp démoniaque n’a pas le même but dans les deux camps. Dans le camp du diable, pour être vainqueur il faut remporter une victoire totale et infliger à l’adversaire un échec complet. A l’opposé, Dieu ne combat que pour obtenir l’amour de son petit troupeau d’élus rachetés par le sang versé par Jésus-Christ. Et il sera pleinement satisfait de ce résultat ; et ayant atteint son but, il pourra alors user de sa puissance divine pour anéantir tous les rebelles : les anges et les humains.
Satan et tous les démons ont un jour, dans le temps éternel, franchi la limite supportée par Dieu et après eux, des milliards de créatures humaines ont fait et font encore de même. Les anges avaient sur les humains un gros avantage : ils savaient que Dieu existe et que sa puissance est redoutable. Car aujourd’hui, l’horloge du temps qui marque celui qu’il leur reste à vivre ne sert aux êtres humains qu’à mesurer un temps qu’ils croient éternel. Ils ont refusé de croire aux 6000 ans programmé par la sainte Bible pour conduire au retour du Christ et aux « mille ans » du septième millénaire que seul et isolé, Satan vivra sur la terre désolée, parce que ses habitants humains rebelles auront été tous détruits jusqu’au dernier, quand le Christ divin reviendra soit, au printemps 2030.
Je passe maintenant du « pas trop loin » au « pays trop loin ». Et depuis le partage de Yalta, en 1945, il existe de multiples exemples. Le régime de Mac Arthur des USA a lancé une chasse meurtrière contre les communistes américains, leur vouant une très forte haine. Devant cette agressivité, la Russie soviétique a dressé un « rideau de fer » virtuel et réel prenant la forme du mur de Berlin. A Yalta, la Russie a reçu en dédommagement de guerre, les pays Baltes et la Pologne frontaliers de l’Europe occidentale capitaliste. La domination russe s’est prolongée jusqu’en 1990 où une crise économique et politique a fait cesser la domination soviétique. Profitant de la situation, les pays conquis à Yalta se sont libérés et ont repris leur indépendance, sans que la Russie soit en capacité de les empêcher de le faire. Et dans ce contexte, les pays Baltes, la Pologne, et la Roumanie, ont rejoint l’alliance européenne de l’U.E. Au fil du temps, la Russie s’est relevée économiquement et politiquement et a accepté de perdre les pays obtenus à Yalta. Et c’est là que je relève l’avant-dernier pas franchi par le camp européen et américain, quand ils ont combattu la Serbie dans la guerre des Balkans. Là, ils ont déjà profité de l’affaiblissement momentané de la Russie soviétique, pour intervenir sur des territoires de l’ancienne Yougoslavie communiste où la Serbie orthodoxe, la Croatie catholique, et la Bosnie-Herzégovine majoritairement musulmane, se combattaient après la mort du dictateur Tito. Le camp occidental interventionniste a alors choisi d’écraser les Serbes et de protéger les Bosniaques et les Croates soit, d’écraser des alliés de la Russie et de protéger des Musulmans, et des Catholiques adorateurs et serviteurs zélés du Pape romain. Pour mieux humilier la Serbie, son territoire natal du Kosovo lui a été enlevé et donné aux immigrés albanais qui étaient à l’origine de brutalités commises envers des Serbes. Arrêté et jugé par le tribunal de la Haye, le président Serbe Slobodan Milosevic est mort en prison. Ces injustices occidentales ont gravé dans les esprits des Serbes une rancœur que le temps n’efface pas et qui se réveillera à l’heure du grand affrontement de la « sixième trompette ». Ce pas là était déjà de trop, mais la Russie n’a pas cherché à venger la Serbie son alliée de toujours. La paix et les échanges commerciaux ont prévalu et la Russie est devenue le pays fournisseur de gaz à l’Europe et principalement, à l’Allemagne alimentée directement par le gazoduc de Gazprom Northstream 1 détruit ensuite par des saboteurs ukrainiens.
Le « pas de trop » ou « pays de trop » a été accompli quand l’Ukraine s’est mis dans la tête le projet de rejoindre le camp européen, libre, riche et prospère. Dieu seul sait quelles ont été les causes et les responsables de ce choix, mais une chose est sûre : l’Ukraine n’était pas une conquête de Yalta ; elle était Russe et elle était devenue une république indépendante des pays de l’Est qui vivait en bonne relation avec la Russie mère et les autres républiques de l’Est.
Le vrai « pas de trop » a été la demande de l’Ukraine à entrer dans le camp de l’OTAN, mais la superficialité des européens qui diabolise le nationalisme ne leur permet pas de comprendre ce qu’on ressenti les gens de la Russie, peuple et dirigeants restés, eux, très conservateurs et ayant en mémoire le mal que le capitalisme des USA et des Européens leur a fait, en profitant de leur faiblesse passagère pour étendre leurs influence vers l’Est. Dans cette pensée, on peut mieux comprendre l’effet de la présence de chars allemands, et américains, sur le champ de bataille de l’Ukraine. Pour l’homme russe, l’Otan attaque la Russie qui est donc mise en danger.
Dans l’actualité, j’entends Donald Trump interpréter la guerre de l’Ukraine comme je le fais moi-même. Car la Bible elle-même invite l’homme à vérifier sa capacité de répondre au besoin rendu nécessaire pour faire la guerre à son ennemi. Et je ne peux qu’approuver ce conseil divin de pure sagesse. Jésus dit dans Luc 14:31-32 : « Ou quel roi, s'il va faire la guerre à un autre roi, ne s'assied d'abord pour examiner s'il peut, avec dix mille hommes, marcher à la rencontre de celui qui vient l'attaquer avec vingt mille ? S'il ne le peut, tandis que cet autre roi est encore loin, il lui envoie une ambassade pour demander la paix. » Quelle différence, pouvons-nous relever entre cette conduite sage divine et la réaction agressive du jeune dirigeant de l’Ukraine et du groupe Azov nazi qui l’a porté au pouvoir ! Aussi, ne faut-il pas s’étonner de ce que les rebelles occidentaux le soutiennent et lui rendent gloire.
Les détails du début sont ignorés injustement par les analystes des faits. Car la guerre en Ukraine n’a pas commencé le 24 Février 2022, mais beaucoup plus tôt, en 2013, à cause d’un putsch populaire entraîné par le groupe nazi Azov qui voulait enlever à la Russie son influence majoritaire russophone et russophile en renversant, par la violence, le président légalement élu de l’Ukraine. Ce pays était corrompu à l’extrême et le soutien venu des Occidentaux est si paradoxal, pour ces chasseurs de nazis, que leur manipulation par Dieu devient évidente.
Le comportement actuel des dirigeants politiques au sujet des groupes nazis est très paradoxal. Les Occidentaux nazifient le président Poutine leur nouvel Hitler mais soutiennent l’Ukraine actuelle soulevée contre la Russie et sa culture, par les vrais nazis revendiqués du groupe Azov fondé comme je l’ai plusieurs fois rappelé par le nazi SS ukrainien nommé Bandera qu’ils tiennent pour leur héros national. De son côté, l’Amérique de Joe Biden, l’ancienne Amérique, n’est pas préoccupée par le problème nazi. Ceci, pour la simple raison qu’en 1945, le pays en a accueilli certains qui, étant scientifiques, ont été honorés et appréciés par la nation et ses dirigeants. Et depuis 1945, 80 ans se sont écoulés, le temps d’une génération né à la fin de la Seconde Guerre Mondiale. En conséquence les générations actuellement au pouvoir ne donnent pas au nazisme sa nature terrible originelle imposée par le socialiste allemand Adolf Hitler porté légalement au pouvoir par son peuple.
L’appréciation du nazisme est très particulière. Car, pour beaucoup de gens de tous âges, le nazisme ne peut qu’être allemand. C’est une terrible erreur qui empêche de voir la situation réelle qui se présente au fil du temps. Et on stigmatise encore aujourd’hui les néo-nazis allemands mais on ne le fait pas quand ceux qui portent l’uniforme des Waffen-SS et la croix gammée sont ukrainiens.
Une profonde fracture vient de séparer le camp occidental en deux camps : celui des USA qui imposent leur position et celui des Européens qui se sont toujours senti forts en se croyant couverts par le bouclier nucléaire américain. C’est pourquoi, il est intéressant de relever ce détail subtil : Donald Trump est aussi celui qui « trompe » ; je précise que cette idée n’est décelable qu’en langue française. Car, le renversement de politique qu’il impose « trompe » toutes les espérances des alliés des USA. Etant l’instrument principal de la « sixième trompette » d’Apocalypse 9:13, par son retrait de protection, il livre l’Europe occidentale à la vengeance russe.
Le « pas de trop » n’est franchi que par les êtres maudits par Dieu. Ceux qu’il a prédestinés pour être des vases conçus pour la perdition. J’utilise ici ce verbe « prédestiner » qui définit une anticipation du destin. Ce verbe a besoin d’être bien compris car il est communément mal interprété par les multitudes chrétiennes. Cette prédestination est imputé à Dieu et à lui seul. Car ayant mis en route une reproduction mécanique qui donne à chaque individu un génome unique obtenu par des associations de certains gènes paternels et d’autres gènes maternels, toutes les créatures humaines sont génétiquement uniques. La « prédestination » doit son nom au fait qu’avant de créer ses créatures entièrement libres et indépendantes intellectuellement, Dieu a formé un plan de salut et un projet qu’il a programmé d’avance. Dans ce projet, il y aura les élus et les perdus, mais Dieu n’impose à aucun d’eux d’être l’élu ou le perdu. Le résultat dépendra entièrement de leur libre choix individuel. Cependant, n’étant pas limité comme ses créatures angéliques et humaines, Dieu voit le futur tel qu’il va s’accomplir, et il connaît donc avant qu’elles soient nées, les choix que toutes ses créatures vont faire après leur naissance soit, leur entrée dans la vie.
Ce sujet est très important, parce que le diable inspire aux créatures les plus faibles des idées défaitistes par lesquelles il tente de les convaincre que lutter est inutile parce que son combat est perdu d’avance. Se sentant minable et convaincue de n’y rien pouvoir changer, l’âme faible abandonne le combat et se résigne à se considérée comme ayant été prédestinée à être perdue. Souvent dans ce cas, j’ai entendu dire : « Tu as de la chance, tu as la foi, moi j’ai bien essayé, mais je n’y arrive pas ». Que manquait-il à ces personnes, la foi ? Non pas, mais la vraie connaissance de la vie humaine, son fonctionnement sous le regard et le contrôle du Dieu créateur Tout-Puissant.
Il est aussi très important de savoir qu’aucun être méchant de nature ne peut se convertir et devenir bon. C’est impossible et le salut est réservé qu’aux créatures naturellement bonnes et remplies d’amour de la vérité.
Pour démontrer cette affirmation je vais prendre pour exemple, deux hommes hors du commun cités dans la sainte Bible : le roi chaldéen Nébucadnetsar et l’apôtre Paul, né Saul de Tarse.
Nébucadnetsar avait une nature que Dieu pouvait convertir. Son règne puissant et élevé, a favorisé un comportement de fierté orgueilleuse. Mais relève-le avec moi, il avait en lui un grand amour pour la vérité, et il en donne la preuve en condamnant à mort ses sages, ses devins, ses scientifiques, qui se montrent tous, incapables de dire au roi le scénario de sa vision nocturne. Ces gens se targuent et se vantent d’être en contact avec les divinités, si c’est vrai, rien ne leur est impossible. Dans ce raisonnement, Nébucadnetsar se rapproche du vrai Dieu pour lequel son raisonnement est juste, logique, et conforme au vrai pouvoir divin. Il n’avait donc qu’à être délivré de son orgueil, pour devenir un élu glorifiant le seul vrai Dieu, ayant été prédestiné à le devenir.
Le cas de Saul de Tarse est différent, parce que c’est son zèle pour Dieu qui le conduit, aveuglément, à persécuter la religion chrétienne qui va, selon lui, mettre en danger l’héritage religieux séculaire juif. Comme il en témoigne plus tard, Paul a été instruit par le sage Gamaliel et il se montre respectueux envers ce qu’il tient pour être la vérité divine. Paul n’est ni rebelle, ni désobéissant, il est même l’extrême opposé de ces choses. Son attachement et son souci de ne pas déplaire à Dieu est tel, qu’il faut un miracle divin pour l’arracher à sa fidélité. Notre situation mondiale actuelle témoigne en faveur de Paul qui redoutait les conséquences du changement. C’est en sachant tout cela que Jésus est intervenu sur le chemin de Damas pour l’arracher à son aveuglement spirituel. Et en le rendant réellement aveugle, il lui signale la nature de son erreur de jugement. Le « trop » est comme le « pas assez » ; on a coutume de dire que les extrêmes se rejoignent. Quand se présente à nous quelque chose de nouveau, la méfiance est légitime, et seule l’analyse approfondie des choses nouvelles annoncées peut légitimement conduire au rejet ou à l’acceptation. Il est stupide de rejeter systématiquement une nouveauté, mais il est tout autant stupide de l’accepter sans l’examiner attentivement. L’aveuglement spirituel de Paul est de ce premier type. Mais, personne avant Jésus n’avait remis en cause la norme religieuse pratiquée par l’Israël des Hébreux et des Juifs. La loi de Moïse, les révélations des prophètes, et aussi les écrits des grands rabbins composant le « Talmud », étaient devenues un totem religieux supérieur à tout et devant lequel tout devait plier et s’incliner. Le problème était l’incompréhension de ces textes auxquels Dieu donnait des sens prophétiques et symboliques en plus du sens littéral discernable par tous leurs lecteurs.
Si Jésus n’était pas venu pour expliquer, lui-même, le message spirituel prophétique des rites et des textes de la sainte Bible, personne n’aurait pu comprendre pourquoi il est mort crucifié, en apparence, injustement, et le plus étonnant, volontairement, en offrant sa vie au martyre.
J’ajoute ce troisième exemple qui est l’opposé des cas précédents en évoquant Judas Iscariot le traître choisi par Jésus pour être l’un de ses douze apôtres. C’est encore en pleine connaissance de sa méchante nature que Jésus l’a choisi, non pour le servir, mais pour le trahir. Un tel homme ne peut pas se convertir, car il est comme une terre pierreuse sur laquelle rien ne peut ni germer ni pousser. Jésus le sait voleur et cependant lui confie la trésorerie de son groupe qui le suit. Judas assiste à ses miracles et au lieu de se réjouir d’être privilégié par Dieu, il forme des projets de gloire terrestre, se voyant déjà ministre du grand roi Jésus 1er. Il ne pouvait pas changer sa nature et ne l’a pas changé. Au soir de l’arrestation de Jésus, il a franchi le « pas de trop », en venant lui offrir un baiser, pour le désigner, selon le moyen décidé avec le chef des gardes Juifs. Ensuite, pour ne pas lui donner le temps ou l’occasion de se repentir, le diable lui a inspiré le désir de se pendre pour mourir. Mais pourquoi s’est-il réellement pendu ? Est-ce par honte et repentance ? Mais non, cet homme froid, menteur, voleur, ne pouvait pas se repentir. La cause de sa mort fut la déception de voir ses projets de grandeur s’écrouler sous ses yeux. Car au lieu de s’emparer du pouvoir du pays entier, comme il l’avait espéré, Judas a vu Jésus, rester muet et docile comme un agneau qui se laisse tondre ou égorger ; sans se plaindre ou protester, Jésus a subi la flagellation romaine, sa chair étant déchirée par les embouts métalliques attachées au bout des longues lanières de cuir ; puis portant sur son épaule le lourd « patibulum », il s’est laissé crucifier au pied du Mont Golgotha. Judas a fait ce jour-là, ce que beaucoup d’hommes font après une faillite professionnelle ou un échec familial dans lequel le rejet est insupporté, ou encore, paradoxalement, par peur de la mort : il s’est suicidé ne supportant plus de vivre.
La vie est en même temps la meilleure et la pire des choses. Quand elle est remplie d’espérance placée dans le bonheur à venir, elle est la meilleure des choses. Mais quand l’âme humaine est assaillie par des contrariétés qui la rendent ténébreuse, la vie devient la pire des choses et beaucoup, dans ce cas, ne la supportent plus.
Pendant les trois ans et six mois de son ministère terrestre, Jésus a traité Judas comme ses onze autres disciples, sachant qu’il était un agent du diable infiltré dans son groupe apostolique, mais aussi sachant pourquoi sa présence était nécessaire. Judas était un représentant de cette nation juive hostile envers son « messie ». Il était aussi, le médium à travers lequel, Satan, « l’arbre de la connaissance du bien et du mal » faisait mourir son ennemi, Jésus, « l’arbre de la vie ». C’est à cette occasion que « le serpent blessa le talon » de l’homme, lequel ressuscité « lui écrasera la tête » selon Genèse 3:15 : « Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité: celle-ci t'écrasera la tête, et tu lui blesseras le talon. » De même, l’annonce de Genèse 3:14 prophétise le confinement terrestre du diable sur la terre après la victoire de Jésus : « YaHWéH Dieu dit au serpent : Puisque tu as fait cela, tu seras maudit entre tout le bétail et entre tous les animaux des champs, tu marcheras sur ton ventre, et tu mangeras de la poussière tous les jours de ta vie. » Satan vivra seul sur la terre désolée pendant « mille ans » et au jugement dernier, la terre sera son tombeau.
M16- Le mirage de la paix
Il en est de la paix comme d’un mirage ; plus on s’avance dans sa direction, plus elle s’éloigne de nous.
Aujourd’hui, c’était le Lundi 24 Février 2025. Chacun à sa façon a voulu marquer ce troisième anniversaire de l’invasion russe sur le territoire de l’Ukraine. Les principaux dirigeants européens se sont rendus à Kiev rejoignant le dirigeant ukrainien, mais pour sa part, le président de la France, Emmanuel Macron, a préféré se rendre aux USA, pour rencontrer le président Trump. Les deux chefs d’Etat se sont donc rencontré et ont échangé leur position et leur avis. Sans surprise, chacun d’eux est resté sur ses positions, maintenant bien connues après de multiples déclarations publiques faites par chacun d’eux. Si bien que la première idée qui m’est venue à l’esprit a été : tout ça pour ça ! Un échange téléphonique aurait pu remplacer ce coûteux déplacement apparemment inutile. Puis une seconde idée m’est venue ; à la différence du téléphone, cette rencontre a permis au président Macron de présenter au peuple américain, ce que pensent les Européens au sujet de l’Ukraine et de la Russie. Il a ainsi utilisé, une tribune offerte par son ami adversaire, le président Trump, et il en a profité pour rencontrer le Sénat américain, semant ainsi l’idée du positionnement européen dans les instances dirigeantes de la nation. A la Maison Blanche, devant les journalistes et le président Trump, Macron s’est exprimé dans un long discours en Français que le président ne comprend pas. Le peuple américain aura donc entendu ses propos traduits pour l’information sans que le président Trump puisse le contredire. Sur le plan tactique, le jeune président s’est montré plus malin que le vieux Trump, qui pour autant n’a pas été dupe, puisqu’il a lui-même fait l’éloge de sa malignité. Il a dit qu’après avoir revu la traduction de l’un de ses discours fait en français, il n’avait pas reconnu les propos qu’il lui avait tenus. Donc, la rencontre s’est effectuée en apparence de manière chaleureuse et amicale. Mais les deux hommes sont restés sur leur propre position initiale. Et quelles que soient leurs déclarations, les deux présidents agiront selon leur propre point de vue.
En conséquence, la situation n’a pas avancé d’un seul pouce. Et cette rencontre n’aura encore été qu’une gesticulation de plus, de la part de gens pris dans un piège et qui cherchent désespérément un moyen d’en sortir.
Pour obtenir une paix favorable à des échanges commerciaux réciproques avec la Russie, le président Trump est prêt à tout sacrifier : l’Ukraine et l’Europe. Mais cette affaire se présente comme la peau de l’ours qui ne peut être vendue que quand l’ours est tué. Et dans ce rôle de l’ours se trouve la Russie qui est prête, pour sa part, à vendre sa peau très chèrement. Et ce prix sera payé en Troisième Guerre Mondiale que Donald Trump déclare ne vouloir à aucun prix.
Ce que je constate, c’est que ce qui s’est engagé est un dialogue de sourds. En Europe et aux USA, on n’entend que ce qu’on veut bien entendre. Et le piège n’est pas pour les USA, car le président Trump ne se laissera jamais contraindre à faire ce qu’il ne veut pas faire. Par contre, côté européen, prendre ses désirs pour des réalités aura les plus terribles conséquences. Le dilemme est le suivant : Trump veut laisser derrière lui l’image de l’homme qui a réussi à imposer la paix sur toute la terre. Il n’est en rien un homme de guerre car il déteste la guerre qui ruine et qui tue des vies humaines. Et à ce titre, il ne se laissera jamais entraîner dans un affrontement guerrier ni pour l’Ukraine, ni pour l’Europe, ni pour Gaza.
De leur côté, les Européens considèrent l’Ukraine comme un pays européen qu’il n’est cependant pas. Car candidat à entrer dans l’U.E., ce pays est un pays de l’Est, devenu fraichement indépendant et longtemps considéré comme une province de la Russie soviétique. Pour leur malheur, les Européens occidentaux ont encouragé sa trahison envers ses nations sœurs de l’Est. Et ils l’ont aidé, en se ruinant pour la soutenir dans sa guerre contre la Russie. Je rappelle donc une nouvelle fois les fautes commises par les nations occidentales :
Soutien donné au renversement du président russe légitimement élu.
Soutien donné à un putsch populaire soulevé par les nazis d’Azov.
Soutien donné à une purification ethnique dirigée contre la Russie.
Soutien donné à l’interdiction ukrainienne d’utiliser la langue russe.
Soutien donné à l’un des camps d’une guerre civile ukrainienne.
C’est pour ces cinq raisons que la Russie est entrée en action pour aider la minorité russe attaquée et regroupée dans le Donbass à l’extrême Est du pays. Contrairement aux Occidentaux, la Russie avait, elle, une juste raison d’aider des russophones et russophiles ukrainiens à résister aux attaques meurtrières lancées par les troupes recrutées par Kiev. C’est ainsi qu’en 2014, les armées russes se sont emparées de la Crimée avec le soutien de ses habitants ; soit, selon le principe de l’autodétermination gaulliste soutenu par la France, notamment à Mayotte.
Le commerce avait réussi à faire accepter, par la grande Russie, l’indépendance des pays Baltes, de la Pologne, la Roumanie, qui depuis le partage de Yalta en 1945, se tenaient entre l’Europe et elle. Tous ces pays ont profité de la chute de l’URSS pour rejoindre le camp occidental de l’U.E. et de l’OTAN. La Russie restait séparée de l’U.E., par la Biélorussie et l’Ukraine. Et la Russie acceptait cette situation. Mais lorsqu’en 2022, le chef de l’Ukraine a demandé de faire entrer son pays dans l’OTAN, alliance militaire occidentale, un pas de trop a été franchi. La Russie est entrée en Ukraine espérant que ses colonnes de chars suffiraient pour ramener la présidence ukrainienne à la raison. Cependant, soutenu par le président américain Joe Biden, l’Ukraine a réagi avec violence détruisant rapidement les colonnes de chars russes grâce à ses drones tueurs extrêmement efficaces. La Finlande et la Suède ont à leur tour rejoint l’OTAN ; ce qui rend la guerre russe encore plus nécessaire. La Finlande était aussi une séparation indépendante placée entre la Russie et l’Europe.
Chaque bombe, chaque drone, chaque missile, tiré par le camp ukrainien contre la Russie, oblige celle-ci à se montrer, plus forte et déterminée. Le camp occidental est convaincu, à tort, que ses bombes peuvent lui donner la victoire contre la Russie, alors que dans l’histoire passée, les témoignages de son invincibilité sont nombreux. Pour la détruire, il faudra utiliser des bombes atomiques, mais le conflit n’est encore que de forme conventionnelle et dans ce style de guerre, les pays de l’Est et la Russie représentent une écrasante force. Cette force russe n’est pas dans le nombre de sa population estimée à environ 144 millions d’habitants. Sa force réside dans le dictat de sa présidence qui peut agir ou réagir immédiatement en face de tout nouveau problème. De plus, depuis 1917, la Russie a collectivement travaillé presqu’uniquement pour construire son équipement militaire très coûteux : en chars d’assauts, avions, navires, bombes et missiles nucléaires et conventionnels. Ce peuple a constitué un énorme stock de bombes selon le rôle que Dieu devait lui donner dans son projet programmé et prophétisé dans Daniel 11:40 à 45, Ezéchiel 38 et 39 et Apocalypse 9:13 à 21.
Les Occidentaux se sont longtemps appuyés sur la protection nucléaire américaine qui leur donnait la possibilité de se montrer arrogants et dominateurs. Ils se sont comportés comme ce gamin chétif qui cherche querelle à plus fort que lui en comptant sur son grand frère pour le défendre et le protéger des coups que son arrogance mérite. Imagine que le grand frère refuse alors de le protéger ; qu’arrive-t-il au gamin arrogant ? Il se fait massacrer. C’est là, précisément, le projet que le grand Dieu créateur a conçu pour punir les habitants de l’Europe Occidentale infidèlement chrétienne.
Après trois ans pendant lesquels ils ont armé l’Ukraine et causé la mort de 500 000 russes, il est trop tard, pour revenir en arrière et réparer les torts faits à la Russie. Ils n’ont donc pas d’autre choix, que celui de prolonger le combat contre elle, en espérant, la vaincre, avec le soutien des USA. Or, depuis 2024, le président Trump encore non réélu leur a fait savoir qu’il ne les défendrait pas. Au pire pour eux, il avait dit qu’il les livrerait aux armées russes. Depuis son élection en 2025, il ne dit plus cela, mais n’annonce pas son intention de les aider autrement qu’en recherchant la paix avec Poutine.
Certains pays européens comprennent le changement de situation et refusent de s’engager davantage dans cette guerre menée contre la Russie : la Pologne, la Hongrie, la Slovaquie, l’Espagne, l’Italie. Mais d’autres sont d’avis de combattre plus directement l’armée russe en se mettant aux côtés des Ukrainiens : l’Angleterre et la France, deux pays nucléaires, et les pays Baltes, la Finlande, etc.
L’Europe occidentale est de ce fait, divisée et donc, affaiblie.
La guerre menée en Ukraine n’est rien d’autre qu’une guerre civile où s’opposent deux conceptions de sociétés différentes : l’une veut échapper au dictat de la domination russe, l’autre veut rester sous cette domination de la grande Russie. A la faveur des circonstances, les demandeurs de liberté ont approuvé l’indépendance de l’Ukraine dont Kiev, la capitale est aussi le berceau de la nation russe. Le chaos politique qui caractérisait la Russie au moment de sa chute a favorisé l’enrichissement des oligarques russes qui se sont emparés des richesses de la nation et sont à l’origine de la formation de nombreuses républiques indépendantes restées liées à la grande Russie. Et l’Ukraine était l’une d’elle. Sa gouvernance est restée dans la norme anarchique sous laquelle elle s’est séparée de la Russie que l’arrivée au pouvoir de Vladimir Poutine a redressée par la mise au pas de tous les oligarques russes du pays. L’anarchie et la corruption caractérisaient cette Ukraine indépendante dans laquelle des voix s’élevaient, demandant à rejoindre l’alliance européenne. Les pays Baltes et la Pologne sont entrés dans l’U.E., retrouvant et affirmant ainsi leur indépendance perdue depuis 1945 au partage de Yalta. La Pologne était catholique et libérée du joug soviétique, elle a retrouvé son engagement catholique, ayant donné au catholicisme romain, son pape, Jean Paul II, né Karol Wojtyla.
En 2008, l’Ukraine a aussi fait sa demande pour entrer dans l’OTAN, mais la chancelière allemande Angela Merkel a refusé son entrée à cause de son énorme corruption interne, qui la caractérise depuis son indépendance en 1991. Dans les années qui ont suivi, après le renversement du président russe en 2013, cette corruption phénoménale a été confirmée par les exactions commises par ses présidents et présidentes successifs qui ont été établis. Et en 2019, le jeune acteur comédien nommé Volodymyr Zelensky a été élu, soutenu par le groupe Azov nazi et son riche oligarque qui les finance. Exploiter, le caractère populaire d’un artiste était un bon moyen pour rassembler les suffrages populaires. Et je rappelle qu’en France, le comédien nommé Coluche, lui-aussi, en grand succès populaire, était poussé à se présenter comme candidat pour la présidence de la France ; ce qui crée un lien avec l’expérience de l’Ukraine. Il représentait un risque réel pour ses concurrents politiques et eut la bonne et heureuse idée de mourir, tué dans un accident de la route, en moto. Le président ukrainien avait, lui, une tache à remplir : séduire les dirigeants de l’U.E. et les impliquer dans sa guerre menée contre la Russie.
L’arrivée du président Trump, de retour au pouvoir des USA, renverse la situation qui prévalait jusque-là. Mais avant lui déjà en 2017, l’élection du jeune président Macron a apporté un changement considérable à la gouvernance française et européenne. L’importance qu’il donne aux textes de loi est nouvelle et change réellement la France qui n’a longtemps regardé que ses intérêts personnels. Avant lui, la France a lutté contre l’Algérie qui elle-aussi ne demandait qu’à retrouver sa liberté et son indépendance. Et quand la Corse ou la Nouvelle-Calédonie demandent elles-aussi leur indépendance, comment se comporte la France qui aujourd’hui soutient l’Ukraine ? Elle réprime et étouffe les révoltes. La question se pose alors : Quand et sous quelle condition une nation peut voir son indépendance reconnue ? Depuis Macron, la situation mondiale doit être figée, pour demeurer inchangée pour l’éternité. Ainsi, seules les frontières établies et reconnues depuis 2017 sont pour lui légitimes. Pourquoi, parce que selon lui, la territorialité des nations est inviolable et le droit national, souverain. C’est là, la dernière conséquence de ce long temps de paix que Dieu a donné aux habitants de l’Europe occidentale. Né dans ce contexte de paix, ce jeune homme pense que cette paix est obtenue par le respect des règles européennes établies. Il ignore qu’elle n’est qu’un temps conforme à une stratégie divine par laquelle il favorise la démonstration des extrêmes excès des populations européennes qu’il condamne et veut détruire. Et ce temps de destruction se présente parce que nous approchons du jour de la fin du monde en lequel Jésus-Christ va revenir dans sa gloire céleste, pour anéantir jusqu’au jugement dernier, toute vie humaine et animale sur la terre. Et le retour de Jésus-Christ est programmé pour le printemps 2030 et ceci sans changement possible, car la date de son retour se présente 2000 ans après l’année de sa mort, datée au mercredi 3 Avril 30. Mais le temps divin ne se compte pas de Pâque en Pâque mais de printemps à printemps. Jésus se présentera donc au printemps de l’an 2030.
En 313, après 10 ans de terribles persécutions romaines, l’empereur Constantin 1er a fait cesser l’opposition contre la religion chrétienne. Cette première paix historique a été la cause de la transformation perverse de la religion chrétienne apostolique. C’est pourquoi, il est bon de mettre en comparaison cette première paix et la dernière que nous vivons depuis 1945. Nous pouvons le faire car elles ont pour Dieu, le même but : conduire l’humanité dans ses excès. Dans toute son histoire, jamais la religion chrétienne n’a atteint le sommet d’abomination qu’elle commet aujourd’hui en acceptant de reconnaître la légalité des lois civiles laïques qui justifient la vie homosexuelle et ses perverses versions. Individuellement, nous ne pouvons pas empêcher ce genre de chose, mais Dieu condamne ceux qui les approuvent et bénit ceux qui les condamnent, comme il les condamne.
Aujourd’hui, la démonstration voulue par Dieu a été faite et au 8 Mai 2025, les dernières 80 années de paix vont prendre fin. La paix tant désirée par les humains, dont le président Trump, va s’évanouir comme cesse un mirage dans le désert du Sahara ou autres. A sa place, la méchanceté humaine va dominer partout sur la terre. Une grande partie de l’humanité ne connaîtra jamais plus la paix, car elle sera détruite par « l’épée, le feu, la famine, la mortalité » épidémique, et comme des « bêtes sauvages », les empires de la terre vont s’affronter et faire mourir beaucoup de gens de tous âges et des deux sexes. Et un temps de courte fausse paix attend les survivants rebelles dans un contexte de dernier gouvernement universel. Ce point est intéressant à relever : l’humanité occidentale est déjà mentalement prête pour accepter un gouvernement universel car ses peuples ont partiellement renoncé à leurs droits nationaux en se soumettant aux directives de la gouvernance européenne ou celle des USA.
Ce qui attend le président Trump est un avenir très paradoxal, car ce champion de la paix devra ordonner la destruction de la Russie en l’anéantissant par une attaque nucléaire. Il ignore encore cette phase finale et espère trouver avec le président russe un accord de paix et des échanges commerciaux favorables à leurs deux pays. Mais rien ne se passera comme il le souhaite. Aux USA, les excès pervers ne sont plus supportés par l’Amérique puritaine qui se réveille et soutient Donald Trump qu’elle tient pour instrument de la volonté de Dieu depuis qu’une balle a éraflé son oreille droite sans le tuer. Cette action confirme la fin des 80 années de corruption mentale et physique. La religion reprend sens aux USA mais aussi en Russie où, devenu très religieux, mais orthodoxe, le président Poutine condamne la corruption et la perversion du monde occidental dont l’Ukraine incarne le pire exemple.
Rendons grâce à Dieu qui offre à ses fils et filles fidèles, dans l’actualité, la preuve que le protestantisme américain représente bien ces « marchands de la terre » cités dans Apocalypse 18. En effet, Donald Trump, l’homme d’affaire immobilier replacé à la présidence des USA se présente comme le modèle type du genre en achetant la paix avec la Russie et l’Ukraine en entrant dans la gestion de leurs « terres rares ». Il a, dit-il, 350 milliards de Dollars à récupérer de la part de l’Ukraine et de son côté, Vladimir Poutine lui propose de gérer les terres rares de la Russie. Avant lui, il faut remonter à la gouvernance de la première ministre anglaise Thatcher pour retrouver un pareil esprit mercantile : « I want my money back » ; « Je veux que mon argent me revienne », disait-elle aux députés et commissaires européens. Et au sujet de l’argent utilisé pour aider l’Ukraine, Donald Trump a précisé qu’il ne s’agit que de prêts qui doivent être remboursés d’une manière ou d’une autre. Mr Macron est alors intervenu pour préciser que les Européens, eux, donnaient leur argent à l’Ukraine ; les populations peuvent donc être fières d’être ruinées pour une noble cause par leurs dirigeants qui ne leur demandent en aucun cas leur avis sur la conduite à suivre ; si c’est cela la démocratie, qu’est-ce qu’une dictature ? Car la facture est énorme : plus de 170 Milliards d’Euros. Et cette somme, c’est de l’huile versée sur un feu inextinguible soit, une action ruineuse qui ne favorise pas la paix, mais la repousse, en favorisant la guerre et ses destructions. Les conséquences pour nous, européens sont bien réelles, les prix de l’énergie s’envolent et cette hiver ma facture d’électricité est énorme. Je relève qu’avant d’appliquer une baisse de 15 % imposée à EDF, le prix du KW/Heure était de 0,1887 Euros HT. De ce fait la baisse du 01/02/2025 l’a réduit à 0,1343 Euros HT. Mais parallèlement, les coefficients bougent continuellement et les tarifs sont appliqués en temps réel jour par jour grâce au relevé automatique des compteurs jaunes Enedis. Ceci prouve encore que démocratie rime avec escroquerie. Mais le pire est encore à venir… Car plus la technologie se développe, plus elle coûte cher aux citoyens. Et avec Elon Musk aux côtés de Donald Trump, la technologie et le contrôle total des individus ne vont que se renforcer. L’Intelligence Artificielle va remplacer des multitudes d’emplois humains ajoutant ainsi le chômage de masse aux autres difficultés présentes. Aussi ne tarderons-nous pas à découvrir que le progrès tue : l’emploi, c’est déjà constaté ; et la santé humaine subit elle-aussi les conséquences de la pollution engendrée par la course au progrès. Mais, ce ne sont là que des conséquences logiques de défis lancés contre les lois naturelles ; en sorte que Dieu fait retomber sur les têtes des êtres humains les fruits de leurs œuvres.
Aussi, n’est-ce que pour quelques temps encore que les hommes vont espérer instaurer la paix qui, réellement, tel un mirage, s’éloigne de nous chaque jour un peu plus.
Mais, paradoxalement, à l’opposé de la paix terrestre, pour les élus de Jésus-Christ, la vraie paix éternelle et céleste qu’il leur apporte s’approche, elle aussi, chaque jour, un peu plus.
L’évolution politique et sociale du monde occidental s’explique ainsi : les partis conservateurs de la droite libérale peu sociale profitent de l’exaspération des masses populaires qui subissent les conséquences de la surpopulation immigrée. Comme les partis de gauche sociaux ne répondent pas à ce problème, les masses populaires n’ont pas d’autre choix que de se tourner vers ces droites libérales qui ne peuvent et veulent que réduire les aides sociales. En France, le RN se distingue des autres partis de droite par son souci social, mais il suffira que les droites s’assemblent et s’accordent pour que ce signe distinctif du RN disparaisse.
En règle générale, la pensée de droite est morale et peu généreuse et celle de la gauche est l’inverse en contraire absolu.
La cause de la prochaine agression commise par le « roi du midi » de Daniel 11:40, sera religieuse et musulmane soit, islamique. Or, une guerre religieuse n’en est pas moins une guerre qui devrait être traitée par des militaires et non des policiers. Car depuis 1995, les actions islamistes sont traitées par les policiers et des tribunaux civils. Quelle erreur de jugement ! Les djihadistes islamistes ont une position nationaliste islamique, en conséquence de quoi, le combat et les tribunaux qui s’occupent de leur cas devraient être militaires et non civils. Car une guerre religieuse ne relève pas du statut de la justice commune civile dont le rôle est de juger la délinquance et non la guerre faite pour un profit étranger.
Les accords commerciaux que Donald Trump veut passer avec Vladimir Poutine pour exploiter des minerais russes peuvent devenir la cause de la destruction de la Russie par les USA. Ceci, parce qu’en attaquant l’Europe, la Russie va faire échouer cet accord auquel le président américain donne une très grande importance, comme un trophée, signe de sa victoire stratégique pour obtenir la paix. Donald Trump ne lui pardonnera pas d’avoir été la cause de son échec, mais comment Mr Poutine pourrait-il s’imposer de ne pas profiter de l’occasion favorable pour attaquer l’Europe agressée par les combattants islamiques ?
Dans l’immédiat, la bonne relation nouvelle qui s’établit entre la Russie et Donald Trump isole encore plus l’U.E. ; ce qui confirme que Dieu la prend pour cible de sa colère et qu’il prépare la mise en œuvre de son châtiment.
24 heures après mes précédents propos, Donald Trump franchit un pas de plus. Il propose une carte nationale contre 5 millions de Dollar, invitant même des oligarques russes, le même Trump annonce une taxe de 25 % sur les produits européens, visant particulièrement les voitures allemandes. Il accuse l’Europe d’avoir « arnaquée » (mot originel rectifié) les USA. Qu’en est-il en réalité ? C’est le jeu de la libre concurrence imposé par les USA qui se retourne contre eux ; leur haut niveau de vie les rend incapables de combattre la concurrence étrangère moins chère. Les règles du jeu commercial devenant défavorables aux USA, Donald Trump les casse, à la romaine.
Nos journalistes occidentaux sont saisis et étonnés de voir que le gouvernement Trump prie Dieu avant de travailler. Ce petit détail explique pourquoi il utilise Donald Trump pour piéger le camp européen. En fait, que se passe-t-il ? Dieu rassemble les gens riches aux USA, parce qu’ils seront, après la destruction des Européens et des Russes, la dernière puissance terrestre ennemie qu’il frappera par « les sept derniers fléaux de sa colère » d’Apocalypse 16.
En cette journée du Mercredi 26 Février 2025, le gouvernement français vient d’annoncer des prises de mesure concrètes envers l’Algérie, parce qu’elle refuse de reprendre les OQTF (Obligation de Quitter le Territoire Français). Il se pourrait bien que cette querelle devienne la cause de l’attaque du « roi du midi » de Daniel 11:40. L’application des mesures prises devrait se faire dans quelques semaines ; soit, peu avant le 8 Mai.
Après avoir hésité, le président ukrainien s’apprête à signer la transaction commerciale concernant les terres rares de son pays qui doit être signée avec Donald Trump, ce vendredi. L’air de rien, cette transaction va permettre d’expliquer le futur comportement du président américain et sa destruction finale de la Russie. La jouissance des profits espérés par cette transaction va entièrement dépendre de l’acceptation du plan de paix par Vladimir Poutine. Aussi, ce dernier sera tenu pour seul responsable si ce plan de paix échoue ; et ce sera le cas, à cause du changement de situation que va créer l’intervention du « roi du midi », probablement algérien et autres arabes alliés, contre la France et l’Italie.
Toutes ces choses se produisent 48 heures après la rencontre entre le président Macron et le président Trump qui confirme, en homme d’affaire, son rôle type des « marchands de la terre » d’Apocalypse 18.
Pour les Européens, les USA prennent subitement l’image de ce « pharaon » de « l’Egypte » qui conduit Dieu à dire à son sujet dans 2 Rois 18:20-21 : « Tu as dit : Il faut pour la guerre de la prudence et de la force. Mais ce ne sont que des paroles en l'air. En qui donc as-tu placé ta confiance, pour t'être révolté contre moi ? Voici, tu l'as placée dans l'Égypte, tu as pris pour soutien ce roseau cassé, qui pénètre et perce la main de quiconque s'appuie dessus : tel est Pharaon, roi d'Égypte, pour tous ceux qui se confient en lui. »
M17- Toute la gloire du Dieu suprême
Dans ce message je vais évoquer des choses qui n’appartiennent qu’au seul vrai Dieu, ce qui fait de lui, le glorieux Dieu suprême, créateur de tout ce qui vit, existe, visible ou non.
Sans que personne n’en sache la cause, l’inspiration démoniaque donnée aux hommes rebelles les a conduits à croire à l’existence de multiples divinités, mais jamais en une seule divinité. De ce fait, les démons inventent des religions païennes dans lesquelles les fausses divinités reproduisent la vie humaine sous tous ses plus odieux aspects : adultères, vengeance, méchanceté, violence…etc. Dans ces fausses religions, souvent un dieu important domine les autres comme le Zeus, grec, ou Jupiter, romain. Et dans le camp du mal, les humains trouvent dans ces divinités des comportements identiques aux leurs ; ce qui légitime toutes leurs méchantes actions. En conséquence, leur type d’existence se transmet de génération en génération, comme ces Aztèques qui pratiquaient des sacrifices humains offerts au dieu soleil. Sans une intervention divine, ces pratiques se prolongent perpétuellement. Mais Dieu veille à ce que de telles pratiques cessent avec la disparition de l’ethnie coupable entière.
A l’opposé de ces conceptions païennes, le vrai Dieu est un, unique en esprit. Et il est heureux pour ses élus qu’il en soit ainsi, parce qu’étant seul, il n’a qu’une seule pensée, une seule norme de valeur qu’il n’a pas à disputer contre une autre divinité. Et parce qu’il est unique, il possède la capacité de construire un bonheur éternel. Je sais que soumis aux conditions de notre vie présente, cette croyance au projet de Dieu est difficile à évaluer.
Quand je regarde en arrière la vie que je menais avant ma conversion et mon baptême, je vois un homme dont l’esprit s’intéressait à beaucoup de choses, dont la musique sur la guitare qui absorbait tout mon intérêt. J’aimais tellement cette activité que j’ai voulu en vivre. Mais depuis ma plus petite enfance, Dieu s’était fait une petite place dans mes pensées, ayant eu la chance de bénéficier de la connaissance religieuse de mon oncle et ma tante protestant et darbyste. A l’âge de 36 ans, Dieu s’est fait pressant, et m’a voulu tout à lui. La vérité concernant le sabbat du vrai septième jour m’a conquis et j’ai trouvé alors le désir et la volonté de m’engager à son service en acceptant de recevoir le baptême pratiqué en immersion totale ; ce que je n’avais jamais voulu faire jusque-là. Une vision nocturne reçue en 1975, prenait alors tout son sens et mon baptême l’accomplissait. Dès cette expérience, Dieu est devenu le sujet de ma pensée constante. J’ai étudié et découvert des explications nouvelles qui venaient compléter, et parfois remettre en cause, celles que l’église adventiste du septième jour avait déjà reçues de Dieu par le ministère de Mme Ellen White. Entre 1844 et 1980, 136 années s’étaient écoulées au cours desquelles beaucoup d’événements mondiaux et spirituels s’étaient accomplis. Et déjà là, les créatures que nous sommes savent que Dieu choisit les temps et les moments pour faire avancer, souverainement, la connaissance de sa lumière. Qui suis-je pour justifier ses choix ? Un souffle qu’il anime et inspire pour sa seule gloire et mon grand bonheur.
Dans la religion païenne, le gourou ou le marabout dont se servent les démons reçoit des explications pour répondre à des questions que lui posent ses adeptes et clients. Les sujets de ces questions concernent des faits de leur vie actuelle, professionnelle ou amoureuse. Car les êtres humains sont naturellement inquiets et aiment recevoir des informations sur lesquelles ils pensent pouvoir s’appuyer et souvent les réponses qui leur sont données les encourage et les fidélisent envers le médium révélateur. Ces derniers reçoivent divers noms que la sainte Bible désigne dans Deutéronome 18:14 : « Car ces nations que tu chasseras écoutent les astrologues et les devins ; mais à toi, YaHWéH, ton Dieu, ne le permet pas. » Israël n’a pas obéit selon Jérémie 27:9 : « Et vous, n'écoutez pas vos prophètes, vos devins, vos songeurs, vos astrologues, vos magiciens, qui vous disent : Vous ne serez point asservis au roi de Babylone ! » Et leur désobéissance les a conduits effectivement en captivité à Babylone pendant 70 ans prophétisés par Dieu à Jérémie (Jérémie 25:11-12 et 29:10).
Note bien la différence : les païens se servent de leurs fausses divinités, alors que le vrai Dieu se fait servir par ses élus rachetés et ses saints anges. Contrairement aux fausses divinités derrière lesquelles se trouvent uniquement les démons célestes, le vrai Dieu exige de ses élus qu’ils lui fassent confiance, et ceci, d’une manière absolue, dans tous les instants de leur vie. Il est leur seule garantie, leur seule sécurité, leur seule protection, leur seul inspirateur, le seul objet de leur dévotion, de leur culte et de leur destin. Et ce mot « culte » est la racine du verbe « cultiver ». Pour Dieu le vrai culte qui lui est agréable n’est pas ce moment hebdomadaire marqué par un jour de repos. La culture nécessite une attention constante et elle est à l’image de la vie des élus rachetés qui réjouissent l’amour de Dieu.
Le vrai Dieu est constamment disponible, en tout moment et en tout lieu. Il ne répond pas à l’image de ces commerces et de ces praticiens qui ne reçoivent qu’aux heures d’ouvertures prescrites en dehors desquelles ils sont indisponibles. Tu diras peut-être que Dieu a ordonné le repos du sabbat du septième jour qui constitue un temps privilégié particulièrement important. C’est vrai, mais ce temps privilégié par le repos ordonné par Dieu est un plus qui n’enlève en rien la nécessité de rester en communion constante avec lui par la pensée pendant les six premiers jours de la semaine prévus pour des activités civiles « profanes ». Des soucis matériels constants, eux-aussi, préoccupent nos pensées, mais même dans ces petites choses, l’aide de Dieu est nécessaire et obtenue.
Dieu est invisible, inodore, et peut facilement être ignoré par sa créature humaine. Il dépend de chacun de nous que sa réalité prenne la puissance dans nos pensées. Car, il reste invisible, mais reste également constamment actif. Nous ne devons pas nous laisser tromper et influencer par nos yeux, notre vue oculaire. Nous ne sommes pour lui, que des vies que sa puissance anime, contrôle et dirige quand nous le reconnaissons pour notre seul et vrai Père céleste. C’est seulement notre esprit obéissant tourné vers lui qui fait de nous des « fils de Dieu ». Car n’est « fils » que celui qui confesse et reconnaît son « Père ». Dieu est esprit et nous sommes aussi, par sa volonté créatrice, des esprits auxquels il a fait le don de la liberté et de l’indépendance. En sorte que ce que nous ne faisons pas, personne ne peut le faire à notre place. Et cette liberté donnée par Dieu est une arme redoutable, car mal utilisée, elle conduit l’âme humaine à la mort et l’anéantissement éternel.
Les démons inspirateurs et manipulateurs cachés derrière les fausses divinités poussent leurs victimes à commettre le mal que Dieu condamne, car bien sûr, pour les fausses divinités, le mal n’existe pas, ou s’il existe, c’est pour donner au faux bien, une légitimité. Car dans sa vie terrestre, l’homme ordinaire sait que toute chose a son contraire absolu. C’est pourquoi, le paganisme ne fait pas exception et propose souvent les dieux du bien et le dieu du mal. Il n’est donc pas étonnant que, pour sa part, le vrai Dieu présente à l’inverse, au singulier, « sa lumière », et au pluriel, « les ténèbres » ; « sa lumière » qui est une, comme lui, et « les ténèbres » qui sont multitudes, comme les démons célestes et terrestres.
L’invisibilité de Dieu favorise logiquement l’incroyance humaine parce que l’homme donne importance qu’à ses yeux et plus largement, à ses 5 sens. Dieu le sait et le savait avant même de le créer, et il a choisi néanmoins de rester invisible. Déjà ce choix nous étonne, car nous avons de la peine à comprendre pourquoi Dieu se prive de la gloire qui lui reviendrait s’il était visible par toutes ses créatures. Mais ce raisonnement est humain et très limité. En réalité, Dieu n’a besoin d’aucune créature pour savoir qu’il est glorieux au-delà de tout ce que nous pouvons imaginer. Car il n’est pas en recherche de gloire, mais d’amour et rien que d’amour. Peu lui importe que des créatures ingrates le glorifient ou pas, son amour exige des sentiments d’amour et non des simagrées, des simulacres de glorification. Et le texte d’1 Corinthiens 13 martèle ce discours amoureux de Dieu. Il rend vaines toutes les formes de la fausse religion basée sur des rites reproduits de manière traditionnelle de génération en génération. A l’inverse de cette pratique digne de robots mécaniques, les ordonnances et commandements divins ont toujours une intelligente explication et une bonne raison d’être pratiqués et honorés. A travers la pratique, Dieu informe ses serviteurs, il les enseigne et leur fait partager un aspect de son projet salvateur. Ainsi, Dieu a sur sa concurrence diabolique l’avantage de donner de l’intelligence à toutes ses ordonnances ; mais pour l’apprécier cette intelligence, il faut l’avoir déjà reçue de Dieu. C’est pourquoi il dit dans Daniel 12:3 et 10 : « Ceux qui auront été intelligents brilleront comme la splendeur du ciel, et ceux qui auront enseigné la justice, à la multitude brilleront comme les étoiles, à toujours et à perpétuité …/…Plusieurs seront purifiés, blanchis et épurés ; les méchants feront le mal et aucun des méchants ne comprendra, mais ceux qui auront de l'intelligence comprendront. »
A la lumière de ces versets, il est confirmé que la relation avec Dieu ne repose pas sur ce mot « foi » d’origine latine que j’évite de citer, mais sur une authentique intelligence qui n’a rien à voir avec « la foi du charbonnier » de l’expression populaire. C’est un raisonnement intelligent qui conduit des gens intelligents à l’évidence que l’intelligence est de source divine. La réflexion humaine est placée devant un postulat qui s’impose de lui-même. Il est ; donc inutile de chercher à expliquer l’existence de Dieu : « Il est », un point c’est tout, ou selon l’époque actuelle, point barre. Et je ne fais là, que prononcer en français la traduction du nom hébreu de Dieu qui est : « YaHWéH ».
A partir de ce postulat, nous pouvons profiter des messages qu’il nous adresse dans sa sainte Bible, dans ses deux témoignages successifs. Or, c’est précisément la lecture de ces deux témoignages qui fait appel à la véritable intelligence digne de Dieu. Car que font les êtres dépourvus de cette intelligence ? Ils remplacent le premier témoignage par le second, comme si ce second témoignage avait valeur de nouvelle loi divine qui annule l’ancienne. Cette analyse est fausse, parce que la loi divine est représentée par deux témoignages successifs que je peux définir comme l’avant et l’après Jésus-Christ. L’Esprit confirme et rappelle cette vérité dans Apocalypse 11:3, disant en désignant la sainte Bible entière : « Je donnerai à mes deux témoins le pouvoir de prophétiser, revêtus de sacs, pendant mille deux cent soixante jours. »
Les changements imposés par le passage sous le nouveau témoignage, concernent uniquement des rites qui prophétisaient la mort de Jésus-Christ. Passer du symbole à la réalité ne change pas toute la loi divine, mais simplement quelques formes rituelles données à son application. Et Dieu confirme ce projet en disant dans Daniel 9:27 en parlant du « messie » : « Il fera une solide alliance avec plusieurs pour une semaine, et durant la moitié de la semaine il fera cesser le sacrifice et l'offrande ;… » « Le sacrifice et l’offrande » sont donc les seules choses que la mort de Jésus-Christ rend caduques et justiciables de prendre fin. En particulier, ni le second commandement, qui interdit la prosternation devant des images de créatures, ni le quatrième commandement, qui ordonne le repos du vrai septième jour, ne sont modifiés par la mort de Jésus-Christ. Le texte entier des dix commandements de Dieu n’est donc, en rien, changé par le changement de l’alliance. Les seuls changements s’appliquent aux fêtes religieuses juives listées dans Lévitique 23, après le sabbat hebdomadaire qui y figure en tête. L’abandon des fêtes juives est aussi justifié par le changement d’aspect de l’Israël de Dieu, qui n’est plus une nation terrestre regroupée derrière ses frontières, mais une assemblée d’esprits terrestres sélectionnés par Dieu sur toute la terre, au nom de Jésus-Christ. Et pour tous ses élus, jusqu’à son glorieux retour, le repos du sabbat du vrai septième jour, notre actuel samedi occidental, prophétise la venue du septième millénaire au début duquel, par son retour, Jésus fera entrer ses élus rachetés dans sa glorieuse éternité céleste.
Le titre donné à ce message est une exigence du Dieu créateur qui, après avoir supporté, avec une patience inouïe toute divine, les abominations commises par les catholiques et les protestants hypocrites, adresse un ordre à ses vrais élus, du printemps 1843 à l’automne 1844, dans Apocalypse 14:7 : « Il disait d'une voix forte : Craignez Dieu, et donnez-lui gloire, car l'heure de son jugement est venue ; et adorez celui qui a fait le ciel, et la terre, et la mer, et les sources d'eaux. »
Ce message n’est pas nouveau car Dieu a déjà dit dans l’ancienne alliance dans Esaïe 42:8 et 48:11 : « Je suis YaHWéH, c'est là mon nom ; et je ne donnerai pas ma gloire à un autre, ni mon honneur aux idoles. …/…C'est pour l'amour de moi, pour l'amour de moi, que je veux agir ; car comment mon nom serait-il profané ? Je ne donnerai pas ma gloire à un autre. »
Le rappel fait en 1843 et 1844 n’est justifié qu’à cause du long temps de ténèbres spirituelles qui a prévalu jusqu’à ces dates fixées par Dieu comme temps d’un renouveau spirituel qui a reçu le nom « adventiste ». Et il est édifiant de relever que le sujet qui a glorifié Dieu dans ces deux dates, a été l’attente fervente du retour de Jésus-Christ par ses vrais élus de l’heure, peu nombreux il est vrai, mais combien plus valorisés à cause de leur tout petit nombre et de leur rareté. C’est donc uniquement au titre de signe de leur adoption par Dieu qu’ils ont adopté les uns après les autres l’observance du repos du vrai sabbat hebdomadaire par lequel comme l’indique Apocalypse 14:7, ils montrent qu’ils « Craignent Dieu, et lui donnent gloire, car l'heure de son jugement est venue ; et ils adorent celui qui a fait le ciel, et la terre, et la mer, et les sources d'eaux. »
Mais 1844 n’était pas l’an 6000 de l’histoire terrestre. Et pour les élus de l’époque qui n’avaient pas encore pris conscience du sabbat transgressé, le mot « jugement » a mal été interprété. Ce mot ne prenait sens qu’à la lumière éclairant le sabbat du septième jour. Et sans ce regard, les idées humaines ont prévalues ; ils ont ainsi construit la doctrine du jugement dit « investigatif », anticipant pour 1844, l’action du jugement céleste qui ne commencera qu’après le printemps 2030. Cette fausse interprétation du jugement céleste est devenue une pierre d’achoppement qui juge et condamne les Chrétiens « adventistes du septième jour » hypocrites. Car les gens hypocrites sont aussi orgueilleux et refusent d’admettre leurs erreurs ; ils se ferment ainsi eux-mêmes les portes du ciel ; car Dieu n’accueille que la bonté, la douceur, la soumission, la docilité et l’intelligence du cerveau et du cœur qui permet de comprendre et d’aimer sa vérité.
La gloire de Dieu a pris une forme humaine en s’incarnant sous l’aspect humain de Jésus-Christ. Et pour les gens pleins d’orgueil, cette gloire divine est très déconcertante et disons-le, paradoxale. Car sous l’inspiration du diable, l’idée de la gloire est apparue dans la prestance, les beaux vêtements richement brodés à l’or fin, les trônes somptueux, et les palais merveilleux constitués de tentures et de marbre. Le méchant se dit alors au sujet de Jésus-Christ : « Ce n’est pas sous cet aspect miséreux que le Dieu du ciel peut apparaître ; lui qui possède la terre et toutes ses séduisantes richesses ». Ce qu’il dit là, c’est ce qu’il penserait faire s’il était à la place de Dieu ; et il montre par sa pensée qu’il ne le connaît pas. Car c’est précisément parce que des richesses somptueuses lui appartiennent déjà que Dieu recherche dans ses élus d’autres choses que la vie matérielle ne lui donne pas. Dieu a essayé de définir l’objet de sa recherche par des mots, des images, pendant toute l’ancienne alliance dans les écritures des prophètes et autres écrivains bibliques. Mais les mots ne suffisent pas, alors il présente un modèle vivant en Jésus-Christ. Il est humble, doux et parfaitement obéissant, zélé pour Dieu jusqu’à l’indignation justifiée quand il chasse les vendeurs du temple et prend à parti, en dénonçant leurs péchés, les hypocrites religieux pharisiens et sadducéens de son temps. Puis il redevient calme et serein envers ses douze apôtres, ses premiers disciples. Par lui, l’intelligence de Dieu dénonce les incohérences humaines et leur indignité pour juger leur prochain. Jésus a déclaré qu’il est venu « non pour juger, mais pour sauver le monde ». Certes, son ministère s’est achevé par sa mort qui peut sauver ses élus rachetés, mais avant de mourir, sa vie exemplaire a bel et bien condamné à mort le monde pécheur rebelle. Car Dieu a offert au monde, le maximum de chance qu’il pouvait espérer de sa part. Avant de mourir, Jésus a fait découvrir les vraies valeurs célestes que les humains n’avaient jamais imaginées possibles. Ceux qui ont approché Jésus ont éprouvé des sensations uniques étant irradiés par son amour contagieux. Car en Jésus-Christ, le royaume des cieux était descendu au milieu d’eux. Après avoir goûté à ces effets désirables, ils sont restés seuls ; Jésus s’est livré pour leurs péchés, mais ils l’ignoraient et ne pensaient qu’à la perte de l’ami qui leur procurait tant de bonheur. Jésus leur avait dit : « si le grain de blé ne meurt, il ne peut porter du fruit ». Il fut mis en terre, dans le tombeau du riche, mourut et germa, ressuscité au troisième jour, il est apparu en germe le quatrième jour au matin, à ses élus terrestres. Incarnant et reflétant toute la gloire divine, Jésus a semé cette gloire divine dans le sol de la terre du péché. Et ce « germe » a formé « l’arbre de vie » qui nourrit ses fruits soit, ses élus rachetés.
Nous lisons dans Zacharie 3:8 : « Écoute donc, Josué, souverain sacrificateur, toi et tes compagnons qui sont assis devant toi ! Car ce sont des hommes qui serviront de signes. Voici, je ferai venir mon serviteur, le germe. » Ce « germe » était annoncé aux élus de l’ancienne alliance, et il est venu en Jésus-Christ. Dieu dit encore dans Jérémie 23:5 : « Voici, les jours viennent, dit YaHWéH, où je susciterai à David un germe juste ; il régnera en roi et prospérera, il pratiquera la justice et l'équité dans le pays. » Il dit aussi dans Jérémie 33 :8 : « En ces jours et en ce temps-là, je ferai éclore à David un germe de justice ; il pratiquera la justice et l'équité dans le pays. »
Est-il venu en Israël quelqu’un de plus juste qui ait pratiqué la justice et l’équité mieux que Jésus-Christ ? Telle est la question que ces versets posent à tous les lecteurs de la sainte Bible et à laquelle Dieu les somme de répondre.
M18- Les fruits de la malédiction divine
Dans toute l’histoire de la terre, les infidélités de ses serviteurs sont toujours ou très souvent punies par Dieu, en les livrant à leurs ennemis.
C’est en livrant Israël aux Philistins que Dieu faisait savoir à son peuple que ses péchés n’étaient plus supportés. Le livre des Juges témoigne de l’application de ce principe. En Maître et Juge suprême du jeu terrestre et céleste, Dieu impose son juste jugement en faisant accomplir, par ses créatures, les œuvres qui accomplissent son jugement : certaines de ses créatures en tant qu’instruments de ses châtiments, et les autres humains en observateurs et témoins oculaires au titre de victimes châtiées ou au titre de simples observateurs étrangers.
Si l’action de Dieu en esprit est invisible, il n’en est pas de même de ses châtiments qu’il veut rendre bien visibles et inoubliables. Il agit ainsi comme le doit un bon père de famille auquel il dit dans Proverbes 22:15 : « La folie est attachée au cœur de l'enfant ; la verge de la correction l'éloignera de lui. » ; il dit également dans Proverbes 23:14-15 : « N'épargne pas la correction à l'enfant ; si tu le frappes de la verge, il ne mourra point. En le frappant de la verge, tu délivres son âme du séjour des morts. » Ces ordres sont donnés par le Dieu créateur source et témoin du plus bel amour qui se puisse concevoir et sur ce sujet personne ne peut lui apprendre quelque chose. Mais faut-il encore tenir compte que ses propos sont adressés à ses vrais serviteurs qui sont seuls en capacité de le comprendre. Le père auquel il adresse ce type d’ordre n’est pas un malade mental, un fou furieux qui prend plaisir à frapper son enfant. C’est un père aimant qui frappe à regret l’enfant qu’il aime et doit éduquer. Et cette éducation débute par l’apprentissage de l’obéissance qui, comme Dieu le dit, « délivre son âme du séjour des morts ». Dans l’histoire d’Israël, ce « séjour des morts » a souvent ouvert sa bouche pour engloutir des milliers de vies rebelles frappées par les châtiments de Dieu. Sachant combien la mémoire humaine est oublieuse, Dieu a fait écrire dans la sainte Bible, le témoignage de ses multiples châtiments historiques de la perverse désobéissance humaine. L’enfant qui n’apprend pas à obéir à ses parents terrestres n’obéira pas davantage aux ordres donnés par le Père céleste, et condamné comme pécheur rebelle, il finira « poussière » dans le sol de la terre qui est le seul et unique « séjour des morts ».
Les ténèbres spirituelles ont dominé dans l’Europe occidentale depuis 313 jusqu’en 1843, année marquée pour un jugement divin qui a concerné la religion protestante sommée d’achever la Réforme engagée entre 1170 et 1843. De même que les ténèbres n’ont point reçu la lumière au temps de Jésus-Christ dans la nation juive, les ténèbres catholiques et protestantes n’ont pas non plus reçu la lumière adventiste apparue entre 1843 et 1873. Les ténèbres ont été livrées au diable et ses démons et la lumière a éclairé uniquement le peuple adventiste du septième jour entre 1873 et 1994 (plus précisément : 1993). Quand je dis la lumière, je désigne l’approbation de Dieu pour une organisation religieuse qu’il a reconnue comme étant sa dernière assemblée chrétienne. Mais la lumière divine est définie par ce verset cité dans Proverbes 4:18 : « Le sentier des justes est comme la lumière resplendissante, dont l'éclat va croissant jusqu'au milieu du jour. » Dans ce verset, le mot qu’il convient de relever, vu son importance, est le verbe « croissant ». Il donne à la lumière divine une progressivité dans le temps. De ce fait, la lumière du début est faible alors que la lumière finale est forte. Et ce principe exige donc des serviteurs de Dieu qu’ils restent constamment attentifs à toute lumière nouvelle que Dieu leur présente par ses prophètes soit, des hommes qu’il choisit pour porter et présenter ses nouvelles lumières. Et cette attention est nécessaire jusqu’au jour du retour glorieux de Jésus-Christ où le besoin de lumière prophétique cessera pour toujours. Il y a un début et une fin pour toutes les époques évoquées par les 7 messages d’Apocalypse 2 et 3. Or, sous le message de « Pergame », Dieu désigne dans Apocalypse 2 : le début du temps de « l’adultère » spirituel commis par la religion chrétienne romaine contre Dieu. Les dix années de persécutions du message précédent soit, de « Smyrne » place ce début du temps de « l’adultère » sur l’an 313 ; l’année où la paix religieuse ordonnée par Constantin fait cesser les persécutions et fait la promotion mondaine de la religion chrétienne. Ceci au détriment de la vérité écrite dans la sainte Bible. 313 est donc l’année du début du temps des ténèbres qui va se prolonger jusqu’en 1843-1844. Au cours de cette période, le régime papal s’insère entre 538 et 1798 soit, de l’instauration du premier pape jusqu’à la fin de la Révolution française en laquelle le pape Pie VI a été arrêté à Rome et conduit jusqu’à Valence-sur-Rhône en France, où à cause de la maladie, il est mort en prison, en 1799 ; dans cette ville où je vis et sers le Dieu de vérité. A l’intérieur de ce règne papal, la Réforme protestante s’insère à son tour dans ce règne de 1260 années entre 1170 et 1843. Le grand temps fort de cette Réforme est le XVIème siècle marqué en France par les 8 « Guerres de Religion » dans lesquelles les ligues catholiques et les Huguenots protestants s’affrontent férocement, se rendant coup pour coup.
Sortant d’un long temps de ténèbres, les
protestants du XVIème siècle avaient peu de lumière, car la capacité
de lire la Bible, vendue sous le manteau depuis sa reproduction mécanique,
était encore très restreinte, persécutée, car interdite par le papisme et la
monarchie catholique romaine. En conséquence, la vérité répandue concernait
particulièrement le salut par la foi en Jésus-Christ qui rend les œuvres
catholiques entièrement inutiles et maudites. Cette vérité conserve toute sa
valeur depuis cette époque jusqu’à la nôtre et dans Apocalypse 2:24-25, Dieu le
confirme en disant aux Protestants : « A vous, à tous les autres de Thyatire, qui ne reçoivent pas cette
doctrine, et qui n'ont pas connu les
profondeurs de Satan, comme ils les appellent, je vous dis : Je ne mets pas
sur vous d'autre fardeau ; seulement,
ce que vous avez, retenez-le jusqu'à ce que je vienne. » Dans le
verset 24, le verbe « connu » prend son sens
spirituel divin de l’expérience sexuelle de Genèse 4:1 : « Adam connut
Eve, sa femme ; elle conçut, et enfanta Caïn et elle dit : J'ai formé un homme
avec l'aide de YaHWéH. » Et cette allusion à la sexualité dénonce l’acte
d’adultère religieux papal cité dans Apocalypse 2, au verset 22 :
« Voici, je vais la jeter sur un
lit, et envoyer une grande tribulation à ceux qui commettent adultère avec elle, à moins qu'ils ne
se repentent de ses œuvres. »
Dans le texte original grec, la traduction est bien « ses œuvres » et non
« leurs œuvres »
comme beaucoup de traducteurs le présentent.
En 1843, le décret de Daniel 8:14 condamne la religion protestante, car Dieu exige à partir de cette date, la restauration de toute la vérité qu’il rappelle à ses derniers serviteurs « adventistes du premier jour » dans un premier temps, jusqu’en 1863 où, aux USA, ils fondent « l’église adventiste du septième jour » que, par Daniel 12:12, Dieu bénit et confirme à la date de l’année 1873 où leur mission universelle commence.
La prophétie divine fixe des dates qui marquent les grands moments de l’évolution de la lumière divine qui commence avec la découverte de la sainte Bible par le premier protestant, le Lyonnais Pierre Vaudès dit « Valdo » qui à partir de 1170 l’a en premier traduite en sa langue locale franco-provençale et l’a mise en pratique parfaitement. Il a fallu attendre 1873 pour retrouver cette perfection, conforme au christianisme apostolique du premier commencement. Mais cette perfection ne concernait pas la compréhension prophétique dont l’importance est apparue progressivement. Depuis 1982, ne voyant que le retour de Jésus-Christ pour marquer la date 1994, j’ai présenté cette interprétation à mes frères et sœurs adventistes de l’église locale de Valence-sur-Rhône. L’adventisme du septième jour étant dans la prophétie apocalyptique la septième et dernière église, cette date ne pouvait que désigner le temps du retour de Jésus-Christ. Cependant, je n’avais pas pensé à une autre explication que l’Esprit m’a fait découvrir en 1996 : 1994 marquait la fin de la bénédiction de l’adventisme du septième jour officiel. Dans toutes les étapes de l’avancement de la vérité divine, le refus de la lumière a toujours été châtié par Dieu de la même manière ; il rompt sa relation avec les coupables individuellement et collectivement soit, au titre d’église officielle. Animé des meilleures intentions possibles envers mes frères et sœurs adventistes, je n’avais pas pensé de moi-même que l’adventisme institutionnel pouvait être abandonné par Dieu, et à ma grande surprise, c’est cependant ce qu’il a fait, et finalement rien n’est plus logique, puisque Dieu nous prévient qu’il ne fait exception pour personne ; en conséquence, le refus de sa lumière par l’adventisme institutionnel l’a condamné ; Jésus l’a « vomi » dès 1994.
Les châtiments spirituels ne sont identifiables qu’à la lumière de la prophétie rejetée officiellement en Décembre 1991, date où ils m’ont radié solennellement de l’œuvre ; et confirmant leur vomissement par Jésus, dès le Printemps 1995, ils ont rejoint ouvertement et officiellement l’alliance protestante. Ces sentences de Dieu et leurs applications sont uniquement révélées par la construction prophétique dans Apocalypse 3, et 9 où sont citées deux fois, aux versets 5 et 10, la durée des « cinq mois » qui déterminent la date fatidique de 1994. Mon travail prophétique a confirmé le caractère « croissant » de la lumière divine qui devient avec le temps une arme redoutable remis à ses vrais serviteurs ; cette épée de l’Esprit sort de la sainte Bible, « la Parole de Dieu » ainsi définie dans Hébreux 4:12 : « Car la parole de Dieu est vivante et efficace, plus tranchante qu'une épée quelconque à deux tranchants, pénétrante jusqu'à partager âme et esprit, jointures et moelles ; elle juge les sentiments et les pensées du cœur. » De plus, la parole prophétique est recommandé par l’apôtre Pierre qui nous dit dans 2 Pierre 1:19-20 : « Et nous tenons pour d'autant plus certaine la parole prophétique, à laquelle vous faites bien de prêter attention, comme à une lampe qui brille dans un lieu obscur, jusqu'à ce que le jour vienne à paraître et que l'étoile du matin se lève dans vos cœurs ; sachant tout d'abord vous-mêmes qu'aucune prophétie de l'Écriture ne peut être un objet d'interprétation particulière, car ce n'est pas par une volonté d'homme qu'une prophétie a jamais été apportée, mais c'est poussés par le Saint Esprit que des hommes ont parlé de la part de Dieu. »
Et de plus, le ministère de l’esprit de la
prophétie constitue le témoignage de Jésus, selon Apocalypse 19:10 :
« Et je tombai à ses pieds pour l'adorer me prosterner ; mais il me
dit : Garde-toi de le faire ! Je suis ton compagnon de service, et celui de tes
frères qui ont le témoignage de Jésus. Adore Prosterne-toi devant Dieu. Car le témoignage de Jésus est l'esprit de
la prophétie. »
Ce témoignage de Jésus est aujourd’hui vital, tant la domination des ténèbres spirituelles est grande et dominante. Avec le temps, les différences entre le bien et le mal sont devenues de plus en plus subtiles. Les adventistes ont commis la même erreur que les Juifs de l’ancienne alliance. Ils se sont appuyés sur l’héritage donné par Dieu pour justifier leur refus de la nouvelle lumière qui apporte des explications nouvelles. C’est pourquoi, dans Apocalypse 3:17, le message de Jésus déclare nul l’héritage retenu jusqu’à la nouvelle lumière que l’Adventiste indigne de ce nom rejette impudemment : « Parce que tu dis : Je suis riche, je me suis enrichi, et je n'ai besoin de rien, et parce que tu ne sais pas que tu es malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu, …»
Passons maintenant au châtiment visible, cuisant et ressenti, par l’homme charnel moderne. Deux Guerres Mondiales l’ont exprimé en 1914 et en 1939 sur le même sol européen. Ces deux guerres reproduisent par analogie les deux premières interventions du roi chaldéen Nébucadnetsar qui a envoyé ses armées contre son Israël juif infidèle, successivement, en – 605 et en – 597. Ces deux avertissements ont été suivis en – 586 par une troisième intervention dans laquelle Israël a été entièrement détruit avec son temple et ses habitants survivants ont été conduits en déportation à Babylone. En analogie, avec ce troisième châtiment, nous allons subir la Troisième Guerre Mondiale ou « sixième trompette » d’Apocalypse 9:13. Elle se prépare sous nos yeux depuis l’année 1990, date où profitant de l’affaiblissement de la Russie jusque-là soviétique, les pays passés sous contrôle russe au partage de Yalta de 1945 ont repris leur indépendance et sont entrés dans l’alliance de l’OTAN et dans l’U.E. Sont concernés, les pays Baltes, la Pologne, et la Roumanie. Cette remise en cause du partage de Yalta est fondamentale parce qu’elle est la cause de tous les événements qui se sont accomplis après cette date et ont construit notre situation actuelle. Notons que l’Ukraine était déjà une terre russe et n’a pas été concernée dans le partage de Yalta en 1945. Cependant, profitant de la situation, elle a aussi pris son indépendance en 1991 et a demandé plus tard en 2008 à être admise dans l’OTAN et l’U.E. Pour cause de grande corruption sa demande a été rejetée par l’Allemagne très influente et autoritaire dirigée par Angela Merkel, originaire de « l’Allemagne de l’Est » longtemps soumise à la Russie soviétique.
La double composante ethnique ukrainienne et russe, et la corruption interne du pays ont rendu ont rendu la gouvernance de l’Ukraine très difficile ; plusieurs présidences se sont succédé et dans la composante ukrainienne du peuple, frontalière de l’Europe occidentale, le désir d’Europe s’est maintenu. Au point qu’en 2013, un soulèvement populaire entraîné par le groupe nazi Azov a renversé du pouvoir, parce qu’il s’opposait à cette demande, le président russophile légitimement élu. Une guerre civile a alors opposé l’ethnie d’origine ukrainienne à l’ethnie ukrainienne russophile. Les puissances occidentales sont alors intervenues pour tenter de régler pacifiquement le problème. Un accord a été passé à Minsk dans lequel, l’Ukraine a accepté de renoncer à près de trois mille ogives nucléaires en échange de la garantie de la protection occidentale. Le camp de Kiev espérait toujours pouvoir à terme rejoindre l’OTAN. En Ukraine le combat contre le Donbass russophile frontalier de la Russie a repris. En 2014, voyant des ukrainiens russophiles en difficultés, Vladimir Poutine a envoyé son armée qui a annexé par référendum la Crimée où se trouve Yalta. Et là nous touchons en 2014, un sujet très significatif qui prépare la Troisième Guerre Mondiale, 69 années après le partage de Yalta. Vladimir Poutine fait alors construire un long pont qui relie la Crimée à la Russie. La guerre civile éclatée en Ukraine se poursuit pendant 8 années jusqu’en 2022 où le jeune président Zelensky élu depuis 2019, lance un appel pour rejoindre l’OTAN, ce qui conduit le président russe Poutine à faire entrer les chars d’assaut de son armée sur la terre ukrainienne dans le Donbass à l’Est et au Nord depuis la Biélorussie. De Kiev, la capitale ukrainienne mais aussi berceau historique de la Russie, Zelensky s’appuie sur le groupe Azov ultranationaliste nazi pour résister à l’invasion russe. De nombreux volontaires dont des russophones, comme le jeune président, les rejoignent. La jeune présidence ukrainienne est très en avance sur la Russie pour les nouvelles technologies qui produisent des drones qui viennent changer la forme des affrontements guerriers. De grandes quantités de drones sont achetées à la Turquie qui les construits. Sur le terrain, des colonnes de chars sont clouées sur place pilonnées par de toutes petites machines volantes aussi difficile à tuer qu’un moustique ; et de plus, mille fois moins chères qu’un tank. Cette arme nouvelle a donné l’avantage immédiat à l’Ukraine dans l’année 2022. Les aides occidentales arrivées sous la forme des canons ultra-précis français « César » et américains « Himars » donne encore un avantage à l’Ukraine qui frappe en touche chirurgicale, des cibles hautement stratégiques qui mettent la Russie en grande difficulté. En 2023, des chars américains et allemands sont donnés aux Ukrainiens mais en 2024, leurs offensives sont stoppées devant les lignes de fortification préparées par les Russes pour empêcher l’avancée ukrainienne vers la Crimée. Entre temps, la Russie reçoit des drones fournis par l’Iran qu’elle fabrique à son tour elle-même. Dès lors, la Russie résiste et reprend l’offensive contre l’Ukraine aidée par des armes et des combattants venus de la Corée du Nord.
Combattant avec les mêmes armes, les deux camps s’équilibrent et les positions s’enterrent, un peu comme dans la guerre frontalière de 1914-1918. Le canonnage des lignes est réciproque et le besoin d’obus des deux camps est immense.
Battu aux élections de 2021, et convaincu d’avoir été frustré de sa victoire, l’ex-président Donald Trump regarde impuissant à l’empêcher, le nouveau président démocrate Joe Biden donner à l’Ukraine de l’aide et des armes pour des centaines de milliards de Dollar qui partent en fumée. Pour cet homme d’affaire, ce gaspillage est insupportable. Et vainqueur aux élections de 2025, il le fait savoir. L’homme d’affaire n’apprécie que la paix parce qu’elle ne tue pas des gens et favorise les échanges commerciaux et l’enrichissement des commerçants.
Parvenu au pouvoir depuis le 20 Janvier 2025, il met en pratique le programme qu’il a annoncé pendant sa campagne électorale. Son projet est d’obtenir la paix en faisant cesser tous les grands conflits actuels, en Ukraine et à Gaza. Pour obtenir ce résultat il est prêt à sacrifier les grands principes internationaux qui ont prévalu dans le monde jusqu’à lui. Depuis Yalta, en 1945, 80 années de paix se referment comme la charnière d’une porte, car en 2025, son grand désir de paix va paradoxalement provoquer la Troisième Guerre Mondiale. En effet, comme ce fut le cas longtemps sur la terre, l’instauration de la paix entre des adversaires est obtenue au prix de compromis et de perte de territoire par le plus faible. C’est ainsi que Donald Trump pense pouvoir faire cesser le combat de l’Ukraine qui est malheureusement pour elle la plus faible. De son côté, Poutine se montre ouvert et reconstruit des relations avec l’Amérique ; chose qui met en fureur le président ukrainien et ses soutiens fidèles occidentaux dont la France et l’Espagne.
Pensant par ce moyen amadouer Donald Trump, Zelensky lui a proposé de passer un accord pour lui vendre la gestion de ses terres rares d’une grande valeur. Ceci pour répondre à la demande du président américain de lui rembourser la valeur de 300 milliards de Dollar donnés à l’Ukraine par son prédécesseur détesté Joe Biden. Une rencontre officielle en vue de signer un accord a eu lieu ce vendredi 28 Février 2025 à Washington, à la Maison Blanche.
Cette rencontre a donné lieu à une dispute publique entre Zelensky et Trump et son équipe politique dont le vice-président JD.Vance. L’échange s’est si mal passé que la conférence finale devant les journalistes a été supprimée.
Je pense pouvoir légitimement dire, qu’en ce jour du 28 Février 2025, le glas a sonné la proche fin pour l’Ukraine et son alliée, l’U.E. Je vais maintenant expliquer les causes de cet échec.
Dès que son regard se porte sur Zelensky, Donald Trump voit ses 300 milliards de Dollars partis en fumée. Et cette seule pensée rend Zelensky détestable. C’est donc dans cet état d’esprit que l’homme d’affaire a rencontré le chef de guerre ukrainien auquel tout a réussi jusqu’à ce jour. Si bien qu’il pense encore pouvoir convaincre Donald Trump de garantir la sécurité de l’Ukraine par une présence active de l’armée américaine en sa faveur ; ce que Donald Trump a fondamentalement exclu. De même que la guerre et la paix sont des contraires absolus, les caractères et les objectifs des deux personnages sont opposés dans le même absolu soit, inconciliables.
Au cours de l’échange, deux moments ont été décisifs pour conduire à la dispute : Dans sa haine envers la Russie, Zelensky a cité Poutine en le traitant de tueur ; ce que ne pense pas Trump qui travaille pour renouer des liens amicaux avec lui. Le deuxième moment a été cette réflexion adressée à Trump par Zelensky ; je cite : « Ce n’est pas parce que vous parlez plus fort que vous avez raison ». JD.Vance silencieux jusque-là, est sorti de son silence et a reproché à Zelensky de ne pas respecter l’Amérique en reprenant son président. Le ton et les échanges ont encore monté jusqu’à la décision du président Trump de mettre fin à la rencontre. Mais cette rencontre avait mal commencé, l’un des hommes présents ayant fait à Zelensky des reproches sur sa tenue militaire habituelle jusqu’à lui demander s’il possédait un costume.
Ainsi, comme je l’ai dit plus haut, les objectifs de ces deux hommes sont inconciliables. Et c’est en plaçant au pouvoir des USA, un homme d’affaire qui n’est pas un homme politique, que Dieu renverse une situation jusque là favorable à l’U.E., la cible principale de sa colère. L’actualité confirme mes précédentes analyses dans lesquelles je donnais à la présidence de Joe Biden, un temps favorable pour séduire l’U.E. et l’impliquer dans la guerre faite à la Russie par l’Ukraine.
Le futur proche est facile à décrire. Se sentant trahis par les USA, les pays européens les plus vindicatifs vont s’unir pour défendre leur chère Ukraine et ils vont en payer un prix très cher. Car la Russie n’est pas la Serbie si facile à dominer avec l’aide des Américains en 1992 (Bosnie) et surtout en 1999 (Kosovo). Cette fois, cette aide indispensable sera absente et à l’heure de l’offensive russe lancée contre l’U.E., les pays européens vont devoir compter que sur leur faible force et faible armement conventionnel.
L’échec de la rencontre de Washington repose sur l’esprit « jusqu’au-boutiste » du jeune dirigeant ukrainien et de ses soutiens européens. Face à ce constat, je relève l’analogie entre cet entêtement forcené rebelle et celui du pharaon égyptien du temps de l’Exode. Et cette comparaison est très justifiée parce que dans les deux cas, Dieu châtie pour détruire et tuer ses ennemis et ceux de son peuple fidèle. L’immoralité publique qui a caractérisé Volodymyr Zelensky, le comédien graveleux « joueur de piano (sans ses mains)» avant sa présidence de l’Ukraine, ainsi que les exhibitions honteuses de ses « Femen », ont fait de l’Ukraine, le laboratoire d’expérimentation du péché le plus avancé, le plus extrême. C’est donc par elle, que Dieu a séduit les pays de l’U.E. pour les conduire vers leur commune destruction.
Pour autant le modèle Trump est loin d’être glorieux, car son amour pour l’argent le rend hideux. Mais son intérêt pour la vie des gens le rend supportable. Car comme chacun des êtres humains, cet homme produit du bien et du mal. Son amour immodéré de l’argent en fait un riche au sujet desquels Jésus a déclaré dans Luc 6:24 : « Mais, malheur à vous, riches, car vous avez votre consolation ! ». Et 1 Timothée 6:10 nous dit : « Car l'amour de l'argent est une racine de tous les maux ; et quelques-uns, en étant possédés, se sont égarés loin de la foi, et se sont jetés eux-mêmes dans bien des tourments. » ; et « les maux » qui le frapperont ainsi que son pays viendront directement de Dieu et déjà, en premier, de la part de cette Russie dont il veut devenir l’ami, en « marchand de la terre » dans le contexte de la « sixième trompette » ou Troisième Guerre Mondiale qui vient. Il frappera, en premier, la Russie, parce qu’il ne lui pardonnera pas d’avoir trahi sa démarche amicale et il lui imputera la responsabilité de son échec dans sa tentative d’instaurer la paix universelle sur toute la terre.
Ceci dit, son attitude envers la réduction de la richesse de l’Amérique est justifiée. Car son intérêt pour l’argent le rend plus lucide que les gens politiques de son pays et des Européens. Il est le premier qui prend conscience que la suppression des « écluses financières », que constituent les taxes imposées aux importations étrangères, est responsable de l’endettement colossal de son pays. En France, la suppression de ces taxes avait été dénoncée par des observateurs déjà plus lucides que ses dirigeants politiques. Et le temps finit par leur donner raison. Je précise que j’étais de ce nombre et que j’ai été témoin du sabotage économique de la France par ses élites politiques vendues à l’Europe financière.
Les autres pays tels que la l’Inde, le Pakistan, la Chine, le Japon, l’Australie, seront eux aussi, détruits par leurs adversaires respectifs potentiels. L’U.E. détruite par la Russie, la Russie détruite par les USA, c’est en grand vainqueur sans partage que ces USA obtiendront la domination universelle convoitée depuis la Seconde Guerre Mondiale qui a réveillé le monstre endormi.
Le dernier châtiment divin prendra pour cible le dernier gouvernement universel et les survivants humains dispersés sur toute la terre irradiée après les échanges nucléaires. Après la loi dominicale, le fruit de la malédiction extrême, la colère de Dieu s’abattra sur les rebelles sous la forme de ses « sept derniers fléaux » décrits dans Apocalypse 16. Avant le « septième », Jésus reviendra dans sa gloire divine céleste, pour enlever de terre tous ses élus rachetés ; les morts seront ressuscités et les vivants seront transmués, tous recevront un corps céleste comme les saints anges fidèles de Dieu pour entrer au ciel dans le royaume de dieu. Alors sous l’image de « la vendange » d’Apocalypse 14, sur la terre, la colère des victimes des mensonges religieux se portera sur les enseignants de ces mensonges, juifs, catholiques, orthodoxes, protestants, anglicans et adventistes, tous rebelles abandonnés et livrés au diable par le Dieu de vérité, le Tout-Puissant, Jésus-Christ, Micaël, YaHWéH.
Au sujet de la Chine gloutonne qui vampirise les emplois occidentaux, nous ne devons pas oublier que ce sont les USA et les Européens qui l’ont enrichie en lui abandonnant tous leurs secteurs économiques. Cette erreur stratégique est directement imputable à la malédiction divine qui frappe l’Europe. Elle a construit son malheur en voulant reproduire le modèle des USA qui ont imposé leurs règles. De plus en Europe, l’abandon économique des souverainetés nationales a placé tous les peuples sous la domination d’un dictat économique et financier. Les Européens se sont retrouvés prisonniers d’une « pensée unique » imposée par la gouvernance européenne. La France, sans laquelle l’U.E. n’existerait pas, a été victime de sa 5ème Constitution républicaine de type monarchique présidentiel. L’absence d’implication du peuple français dans les choix économiques a donné aux pouvoirs exécutifs successifs une liberté de choix et d’actions incontrôlables. D’une manière insensée digne d’un aveugle, les politiques ont privilégié le capital soit le profit immédiat au détriment de l’emploi qui construit la richesse sur le long terme. Les profits pharamineux obtenus par l’exploitation des travailleurs chinois ont rendus fous les financiers de toute la planète dont ceux de la France et de l’Europe. Après la casse des emplois, apparaît la ruine et la faillite d’une société devenue folle à en mourir. Tous ces choix désastreux ont enrichi des individus et des groupes cotés en « Bourse ». Mais les pauvres sont aujourd’hui encore plus pauvres et de plus en plus mécontents, irrités et insatisfaits. Ils mourront bientôt tués dans une guerre qui ne les concernait pas, mais que les riches argentiers ont encouragée et financée espérant tirer de gros profits par les reconstructions au temps où la paix sera rétablie. Erreur fondamentale ! La paix ne reviendra pas et personne ne relèvera les ruines qui vont être causées par la guerre à outrance qui vient.
M19- L’Europe divisée
L’U.E. actuelle est, malgré son nom, très divisée. Cette Union n’est pas celle des peuples qui restent divisés par leurs langues et leurs propres intérêts. Les peuples n’ont été d’ailleurs que tardivement consultés au sujet de la construction de la nouvelle Europe occidentale ; celle du marché commun n’était qu’un traité passé entre les hautes sphères dirigeantes de six pays qui ont accepté les normes mises au point par la France et l’Allemagne. Les deux pays riches dont l’injustice a été démontrée par leur acceptation de l’entrée de l’Angleterre dans cette alliance sous les conditions particulières qu’elle a exigées. Ainsi est né l’Europe de l’injustice, l’Europe à la carte, construite à l’image d’un « fast-food » où chacun entre, prend son plateau, se sert en choisissant ses plats, paie, s’assoit et mange. Elle est encore plus injuste par son système dit « Robin des bois ». Si elle prenait aux riches pour aider les pauvres ce serait presque louable bien qu’injuste. Mais ce n’est pas ce qu’elle fait : Elle nourrit et engraisse les plus riches, les investisseurs, et leur livre de nouveaux pays pauvres à exploiter. Elle fait ainsi payer par les anciens pays riches la création de nouveaux concurrents qui les privent de leurs emplois, en leur faisant payer les grosses subventions qui sont allouées à ces nouveaux entrants.
Je veux ici, signaler la malédiction que représente pour les Européens, leur accueil des pays de l’Est qui se sont auto-libérés de la Russie en 1990. Jusqu’à cette date, les Européens des « dix cornes » de Daniel 7:7 et plus précisément d’Apocalypse 17:3, vivaient en paix, dans la prospérité, et l’insouciance. Cependant, ils ignoraient que la date 1994 a été fixée par Dieu pour mettre fin à son alliance avec son institution officielle instaurée aux USA depuis 1863 et qu’il bénit officiellement prophétiquement en l’année 1873. Il a choisi son nom : église adventiste du septième jour. Dans ce constat je mélange volontairement les faits civils et religieux, parce que Dieu organise les deux et chacun d’eux confirme l’unité de son projet.
Après avoir porté mon ministère prophétique auprès des adventistes de l’institution, le grand Dieu créateur m’a fait découvrir la signification du sabbat du septième jour : l’anticipation prophétique du septième millénaire. Depuis 2018, l’Esprit m’a permis de connaître la date du commencement de ce septième millénaire soit, le jour du printemps 2030, le 20 Mars qui sera le jour où notre divin Seigneur et sauveur reviendra dans la gloire céleste de ses saints anges.
L’histoire humaine chrétienne est ainsi marquée par une succession de dates proposées par Dieu dans ses prophéties. Il offre ainsi à ses élus, mais à eux-seuls, un parcours fléché qui trace le programme préparé par Dieu. A la base de cette construction, se trouve la mort de Jésus, le mercredi 3 Avril 30 qui permet de situer son retour final pour le printemps 2030 soit, 2000 ans moins quelques jours.
Entre temps, les ténèbres du catholicisme romain ont prévalu depuis 313. Son règne du type papal s’est étendu entre 538 et 1798, cessant par l’action de la Révolution française qui a mis Pie VI en prison à Valence où il est mort en 1799.
La date suivante est 1844. Elle est obtenue comme terme des « 2300 soir-matin » soit 2300 années posées sur la date – 457 (réelle : – 458) ou « 7ème année du roi Artaxerxès » d’Esdras 7:7, qui conduit à la « 70ème semaine » (d’années) du ministère terrestre de Jésus-Christ, le « messie » prophétisé dans Daniel 9:25. La date 1844 ouvre le temps d’une grande purification de l’Evangile éternel déformé par des siècles de pratique enténébrée abominables. Et dans la Réforme protestante engagée au XVIème siècle, les protestants hypocrites, bien plus nombreux, ont captivé les esprits humains au détriment des vrais élus de Jésus-Christ de l’époque. C’est si vrai, que dans Daniel, dans sa prophétie, l’Esprit n’évoque pas cet événement de la Réforme, mais cible et développe uniquement le ministère du Christ (Daniel 9:24 à 27), le règne papal ténébreux (Daniel 7:8-24-25), et le temps de la purification doctrinale de 1844 (Daniel 8:13-14).
Mais 1844, n’est que le début d’une dernière phase qui s’achève tragiquement en 1994. Je précise qu’en raison de la découverte d’une erreur sur la date de base qui est – 458 et non – 457, les dates réelles de cette chaîne sont 26, 1843 et 1993. Cependant cette erreur ne change rien pour le jugement que Dieu a porté sur l’institution adventiste du septième jour ; ses fautes mortelles ayant été commises le 22 Octobre de l’année 1991 (demande d’entrer dans la Fédération protestante). Dans la même année, en Décembre, le message prophétique que je présentais au nom de Jésus-Christ a été rejeté et j’ai été radié officiellement de l’œuvre.
Les dates 1990 et 1991 se suivent et je relève qu’au même moment, l’église adventiste vivait le temps final de son alliance avec Dieu et que l’Europe des « dix cornes » accueillait dans son alliance, les pays de l’Est et leur haine de la Russie. La ressemblance est encore plus grande, puisqu’en même temps, les deux accueillent la malédiction qui va à terme causer leur perte ; pour l’Europe, les pays de l’Est, et pour l’Adventisme, le Protestantisme maudit par Dieu depuis 1843.
En entrant dans l’Europe, les pays de l’Est admis on reçu des aides financières européennes qui les ont aidés à se relever économiquement. En 2008, la candidature de l’Ukraine a été refusée à cause de sa corruption par l’Allemagne. Mais les 8 autres pays de l’Est ont été admis dans l’UE et l’OTAN en 2004 et 2007. Dans les pays Baltes et dans tous les pays sortis du camp de l’Est, la population comprenait des Russes. Et en raison de leur longue exploitation par la Russie, les vrais Baltes vouaient une grande haine à la culture russe. Et c’est dans ces pays Baltes que les premières mesures antirusses ont été adoptées ; ceci au détriment de la composante russophone et russophile. Un autre pays, la Pologne, a pris quelques temps pour revenir à son catholicisme historique, ayant eu elle-aussi à combattre l’esprit russe de la culture soviétique. Ainsi, elle est passée de « Solidarnosc » à l’adoration de Marie et de son pape Jean-Paul II. Son émigration vers les différents pays riches occidentaux a fini par causer le « Brexit » ; la sortie de l’Angleterre de l’Union Européenne.
L’Europe a donc connu deux époques successives marquées par 2 traités de Rome. La première était une alliance commerciale, la seconde était une alliance beaucoup plus politique, exigeant des partenaires l’acceptation de gros compromis et la renonciation à leur indépendance. Et dans la seconde, la malédiction est entrée sous l’aspect des pays échappés du camp de l’Est à partir de 1990. Ensuite, renouvelant sa demande d’adhésion à l’Europe et l’OTAN, l’Ukraine a agressé la culture russe en persécutant les ressortissants russes vivant sur sa terre nationale à partir de 2013. Par cette action, un piège était tendu aux Européens victimes de leur nature maudite par Dieu. Ils ont réagi comme en 1992 au sujet des Balkans où la Bosnie-Herzégovine était agressée par les Serbes. Rendus arrogants par le soutien américain de l’époque, ils ont voulu intervenir pour imposer leur justice européenne.
La guerre des Balkans a eut lieu à cause de la division des ethnies qui composaient l’ancienne Yougoslavie du dictateur Tito. Ce mot division est une clé biblique que présente Daniel 5. La nuit où le royaume de Babylone tomba entre les mains du roi Mède Darius, Dieu mit à l’épreuve le roi chaldéen Belschatsar, petit fils et successeur du roi Nébucadnetsar. Ce roi impie qui ne tira aucune leçon de l’expérience de son grand-père utilisa de manière profane les vases de sainteté du trésor du temple hébreu rapporté de Jérusalem. Dieu fit alors un miracle qui épouvanta le roi. Il vit une main écrire sur le mur quatre mots : « méné, méné tekkel, upharsin ». Daniel fut appelé pour expliquer la chose ; les mots signifiaient « compté, compté, pesé, divisé » : début du règne, « compté » ; heure de l’épreuve, « compté » ; jugement de Dieu, « pesé » ; sentence mortelle, « divisé ».
Ce principe compté, compté, pesé, divisé, est appliqué par Dieu dans toutes ses alliances provisoirement passées avec des serviteurs ; le diable en premier, Adam en second, les antédiluviens en troisième, Sodome et Gomorrhe en quatrième, Israël en cinquième punie après 40 ans d’épreuve, puis Israël en tant que nation sur la terre de Canaan, et la fin est arrivé avec la première venue de Jésus-Christ, pour le temps de son épreuve de confiance et de fidélité. Le messie étant rejeté Dieu porte son jugement : « pesé » ; en 70, les Romains détruisent Jérusalem et la sainteté, clergé, population et temple : « divisé ».
Le principe est encore plus évident pour l’ère chrétienne que la prophétie marque et découpe par des dates fixées par Dieu. Mais là encore, seule la période qui commence en 1843 débute sur une date obtenue par des durées bibliques chiffrées : 1828 ; 1843-1844 ; 1873, trois dates construites respectivement sur Daniel 12:11, Daniel 8:14, Daniel 12:12 ; 1994 obtenue par Apocalypse 9:5-10, et là s’achèvent les dates construites sur les durées chiffrées proposées et écrites dans la sainte Bible. A ce stade de l’avancement de l’histoire du christianisme tout ce qui devait s’accomplir avec l’église de Jésus-Christ en forme institutionnelle a été accompli. Je peux ainsi affirmer que le premier compté de l’église adventiste du septième jour est attaché à la date 1873. Cependant, l’épreuve de fidélité du type adventiste prend sa source au printemps 1843, date de la première attente du retour de Jésus-Christ. Cette attente fut renouvelée et suivie par une seconde pour la date du 22 Octobre 1844. Ce type d’annonce n’a pas été renouvelé avant mon annonce du retour de Jésus-Christ pour 1994, qui a été pour l’adventisme du septième jour, l’heure officielle de la fin du délai de « cinq mois » soit, 150 ans que Dieu avait programmés pour la mettre à l’épreuve. Les tractations engagées le 22 Octobre 1991 ont abouti et l’église a officiellement confirmé son rattachement à la Fédération protestante, dans l’année 1995.
Il est temps de comprendre que les dates construites par Dieu ont aujourd’hui l’intérêt de montrer à ses élus que son jugement est justifié, et qu’il a tout révélé ce qu’il allait faire. C’est alors qu’on peut comprendre que la précision des dates était réellement secondaire, puisque les vrais dates n’ont pas été connues avant 2018 par ses serviteurs ; l’année où la septième année du roi Artaxerxès m’est apparue comme étant – 458 et non – 457. Le message prophétique était donc faussé d’une année. Mais ce qui rend cette erreur sans importance, c’est l’intérêt que prend l’année 1991 et surtout le 22 Octobre 1991, date anniversaire de la seconde épreuve adventiste dans laquelle Jésus était attendu pour le 22 Octobre 1844. Ainsi, connaissant leur projet de rejoindre l’alliance protestante, Dieu leur a fait engager cette décision au jour anniversaire de la date où pour la première fois, les pionniers de l’œuvre ont été sélectionnés : « compté » ; la deuxième fois est arrivée en 1991 date du second « compté » ; en 1994, fin du délai accordé, Dieu a jugé « pesé » ; et en 1995 ils ont confirmés leur alliance avec la Fédération protestante écrivant spirituellement le mot « divisé ».
Alors que la prophétie de Daniel, l’ignore, Apocalypse donne sa plus grande part de révélation au protestantisme pour révéler aux élus de Dieu la malédiction qui frappe ce protestantisme depuis 1843. Car, cette prophétie était destinée à éclairer les derniers adventistes fidèles concernés par le vrai retour final de Jésus-Christ. Et tout adventiste digne de ce nom ne peut ignorer qu’en exigeant le respect de la pratique du repos du vrai sabbat, Dieu condamne son anti-modèle, le repos du premier jour de la semaine appelé par l’église catholique impie « Jour du Seigneur » ; ce qui est la traduction du nom d’origine latine « dimanche » ; ceci, afin de dissimuler son vrai nom romain originel qui est le « jour du soleil invaincu » comme l’appelait, avec ses autres adeptes païens, l’empereur romain Constantin 1er qui l’a imposé dans l’empire le 7 Mars 321 par un décret.
En évoquant le « dimanche » du catholicisme romain, je tiens le sujet qui explique toute la malédiction qui pèse sur nos sociétés occidentales européennes. Ainsi se crée le lien qui relie le religieux à la vie civile. Car croyant ou incrédule tout être humain subit le jugement de Dieu qui le justifie ou le condamne. Comme le nom de Daniel l’enseigne, Dieu est mon Juge, ton Juge, notre Juge. Le sort de chacun de nous dépend de son jugement. Alors peut-on trouver sur la terre quelque chose de plus précieux que ces révélations bibliques de Daniel et Apocalypse, dans lesquels Dieu écrit son jugement et les épreuves de fidélités successives, et par lesquels il va, jusqu’à la dernière minute de la vie terrestre, tester la fidélité de ses élus ?
L’incroyant va devoir payer comme le croyant infidèle sur la terre actuelle les conséquences du mépris des avertissements que Dieu a rendus disponibles à toute personne désireuse de l’honorer et le servir. C’est l’inspiration de l’Esprit qui me permet de comprendre aujourd’hui comment mon pays la France a construit les malheurs qui vont le frapper terriblement. Mais sachant ces choses, je ne me considère déjà plus comme un français mais comme un habitant du monde parce que le jugement de Dieu est à cette échelle universelle. Depuis Babel, le monde est divisé par des langues qui ont justifié le regroupement des hommes en tribus, en peuples, en royaumes et en nations. En notre époque, le développement d’internet, des réseaux d’informations, des traducteurs automatiques, et dernièrement de l’IA, ont permis de surpasser le problème des langues. En conséquence, l’Europe s’est construite dans un grand rassemblement de langues différentes parlées. Mais pour chaque simple individu de cet ensemble, son lien relationnel ne passe que par son langage natal. L’intérêt des alliances n’est pas pour la masse populaire qui ne quitte parfois pas les limites de son département ou sa région. Les alliances comme celles de l’U.E. n’ont réellement d’intérêt que pour les dirigeants politiques et les grands patrons d’industrie ou du commerce. Le but recherché est l’extension commerciale : plus de clients pour plus de profits. La guerre qui vient a pris sa source dans le soutien donné à l’Ukraine, mais qui a décidé de donner ce soutien ? Le peuple ? Non, ses dirigeants politiques, aveugles envers tout ce qui n’est pas la politique. Car il est encore une terrible malédiction qui explique la facilité de diriger une masse populaire ; cette malédiction est la spécialisation professionnelle des individus. Les multitudes humaines sont divisées par les sujets de leurs intérêts. Chacun devient un expert dans son domaine, mais devient un âne envers ce qui n’est pas dans son centre d’intérêt. Je compare l’homme moderne à une personne myope comme une taupe qui marche au ras du sol, les yeux fixés sur le sol qui est devant eux. La vie est un tout multiple, elle ne peut être comprise que dans un regard panoramique englobant le plus large possible. Mais cette description n’est pas celle de gens spécialistes diplômés qui ne comprennent rien à ce qui sort de leur spécialité, simplement, parce qu’ils n’y prennent pas d’intérêt. La personnalité des gens repose sur leur profession ; on est docteur, professeur, secrétaire, ouvrier agricole, ouvrier dans l’industrie ou le bâtiment, alors qu’il faudrait simplement être l’homme fait à l’image de Dieu. Non seulement, la spécialisation professionnelle restreint le champ de l’analyse mais encore elle concentre l’attention sur la vie charnelle, la vie physique et elle rend difficile aux gens la possibilité de s’intéresser au sujet spirituel qui traite de l’invisible, l’immatériel.
Dieu a été contraint de m’arracher à ma vie active, en me présentant deux fois en une année sa « Tragédie des Siècles » tant mon activité de musicien me retenait. Quand je pense à cet appel de Dieu, je pense à l’appel d’Abram cité dans Genèse 12:1 : « YaHWéH dit à Abram : Va-t-en de ton pays, de ta patrie, et de la maison de ton père, dans le pays que je te montrerai. » En vérité, nous ne pouvons évaluer l’offre du Seigneur qu’en étant déconnecté de nos activités professionnelles qui exercent sur nous une puissance qui nous tient esclave. Une fois libéré, j’ai pu apprécier à sa juste valeur le privilège d’être ainsi délivré d’une passion que je trouvais normale et que tout homme trouve normal. Le problème est ainsi, dans notre normalité qui exclut l’intérêt pour le sujet spirituel. Et je parle d’un intérêt basé sur l’intelligence, le désir de comprendre, afin d’obéir au Dieu invisible pour entrer dans ses grâces. Dans mon cas, ma normalité gardait une place pour le spirituel, je lisais, sans la comprendre, la prophétie d’Apocalypse et c’est pourquoi, Dieu m’a appelé pour le servir. Je n’avais besoin que d’être détaché de l’activité de musicien guitariste qui faisait danser les gens les samedis et les dimanches, dans ma région. Dieu m’a laissé le choix et j’ai dû prendre la décision de la rupture, à l’évidence, nécessaire.
Je suis maintenant convaincu que tout être humain a la nécessité d’être libéré de tout ce qui le rend spirituellement aveugle. Cette libération peut être partielle car l’homme doit vivre de son travail, mais son travail ne doit pas le rendre esclave afin de garder du temps pour son instruction spirituelle. La connaissance spirituelle devient alors une normalité compatible avec une vie professionnelle active modérée et équilibrée.
Les conditions de vie de la Genèse ont disparues en notre époque moderne. L’incrédulité généralisée et particulièrement en France, l’incroyance, sont les fruits de la vie moderne qui offre à l’humanité, le confort matériel et une relative sécurité ; de plus en plus attaquée et mise en danger. Après le péché originel, Dieu a transformé sa création ; nous lisons dans Genèse 3:17-18 : « Il dit à l'homme : Puisque tu as écouté la voix de ta femme, et que tu as mangé de l'arbre au sujet duquel je t'avais donné cet ordre : Tu n'en mangeras point ! Le sol sera maudit à cause de toi. C'est à force de peine que tu en tireras ta nourriture tous les jours de ta vie, il te produira des épines et des ronces, et tu mangeras de l'herbe des champs. C'est à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain, jusqu'à ce que tu retournes dans la terre, d'où tu as été pris ; car tu es poussière, et tu retourneras dans la poussière. »
Pour Adam et sa descendance, le travail était devenu dur et indispensable pour survivre. Dieu a volontairement rendu dur le travail de la terre, trouvant là le moyen de rappeler à l’homme sa culpabilité qui en fait un être devenu mortel. Relève l’intérêt de cette expression : « C'est à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain ». Qui aujourd’hui en Occident, mange son pain à la sueur de son front ? Quand j’étais encore un enfant j’ai assisté au battage du blé et j’ai vu des hommes sur les fronts desquels coulait la sueur dans laquelle se collait la poussière créée par la batteuse de l’époque. Aujourd’hui, c’est assis confortablement dans un gros véhicule agricole que l’homme moissonne et récolte le grain de blé ; sans sueur et sans poussière. La vie moderne fait oublier le péché et ses conséquences. En perdant de vue le péché, l’être humain ne voit plus non plus le Dieu créateur qui a condamné son péché. Dans de nombreux domaines, la vie moderne efface les conséquences du péché et il en est ainsi depuis Babel où Dieu sépara les hommes par des langues ; mais aujourd’hui, les langues ne les séparent plus, des appareils informatiques traduisent en temps réel toutes les langues en toutes langues. Pour la santé c’est pareil ; des médicaments permettent de soigner toutes sortes de maux et maladies. La pharmacopée offre ses productions pour soustraire l’homme aux conséquences de ses transgressions alimentaires ou de son type d’existence. Tous ces palliatifs modernes suppriment la pensée vers Dieu. Et nous avons là, l’explication des paroles tenues par Jésus qui a dit dans Luc 18:18 : « Je vous le dis, il leur fera promptement justice. Mais, quand le Fils de l'homme viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? » La question que Jésus pose concerne la quantité et la qualité de la foi que la vie moderne rend rare. Pour lui le modèle parfait fut son expérience et celle de ses onze apôtres, le douzième étant un démon. Si Jésus met en doute cette possibilité de trouver la foi quand il viendra, c’est parce que le long temps de paix des 80 années comprises entre 1945 et 2025 a presque intégralement tué la vraie foi. La guerre, la vie précaire menacée de mort vont réveiller la vraie foi mais uniquement pour la dernière épreuve adventiste.
Nous sommes entrés dans cette dernière épreuve adventiste du septième jour depuis le printemps de l’année 2018, en lequel Jésus-Christ m’a fait connaître avec mon frère en Christ, Joël, la date de la dernière attente de son retour glorieux qui sera le jour du printemps 2018 pour l’hémisphère Nord de la terre. C’est donc la quatrième annonce de sa venue depuis 1843. Cette fois, le calcul donnant ce résultat est des plus simples et sans lien avec les chaînes datées précédentes. Sur un total de 6000 années de sélection des élus par Dieu, les 4000 premières années conduisent à la mort de Jésus-Christ ; et les 2000 années restantes nous mènent à sa seconde venue, cette fois glorieuse, divine et céleste, au printemps 2030 où s’achèveront les 6000 années de la vie terrestre et des péchés humains.
Cette dernière attente adventiste est prophétisée par Jésus dans sa parabole des « dix vierges ». Et je relève encore une application parallèle de cette parabole sur le plan spirituel et sur le plan civil profane. Dans la parabole, des « vierges sages » se préparent pour le retour de « l’époux ». Les « vierges folles » ne se préparent pas et quand « l’époux » revient, elles ne sont pas prêtes. « L’époux » repart avec les « vierges sages » et les « vierges folles » sombrent dans le désespoir. Ce récit résume l’essentiel de cette parabole. J’ajoute cette précision : la préparation consiste à remplir les vases d’huile symbole du Saint-Esprit de Dieu en Jésus-Christ.
Le sujet de cette parabole est donc l’impréparation. Et que se passe-t-il en cette heure dans l’U.E. ? Un brutal changement de comportement du chef des USA, place l’Europe impréparée militairement à devoir faire face à une menace Russe, justifiée depuis que l’Europe s’est associée à la cause de l’Ukraine. Dans le spirituel et le civil, l’impréparation est mortelle ou porte des conséquences mortelles. Je n’exagère pas en disant que pour mes Français ex-gaulois, le ciel leur tombe sur la tête. Et à son tour, Jean de la Fontaine leur dit, moqueur, par sa fable du lièvre et de la tortue : « Rien ne sert de courir ; il faut partir à point ». Un autre dicton dit : « le temps perdu ne se rattrape jamais ». Pris de panique en apprenant que Donald Trump gèle momentanément toutes les aides militaires destinées à l’Ukraine, les nations de l’U.E. s’entêtent et cherchent le moyen de remplacer l’aide des USA. Problème ! Les finances européennes ne sont pas au mieux. Et les décisions pour des énormes dépenses militaires sont difficilement acceptées dans des nations démocratiques. Mais, la 5ème République est une monarchie républicaine et le grand pouvoir détenu par son président autoritaire saura obtenir des députés l’investissement que sa seule décision guerrière personnelle rend nécessaire pour honorer son engagement envers l’Ukraine. Le jeune président Macron va coûter de plus en plus cher aux Français qui l’ont élu.
Aujourd’hui, le mercredi 5 Mars 2025, Donald Trump vient de porter un coup décisif contre l’Ukraine, en lui coupant l’aide de la recherche satellite si précieuse pour expliquer ses destructions précises d’objectifs stratégiques russes. Cette décision provoque la panique des dirigeants qui réalisent qu’ils sont cette fois vraiment seul en face de la Russie. En conséquence, en France, le président Macron adresse ce soir un discours aux Français pour dit-on officiellement, rassurer les Français soudainement très inquiets. Il est grand temps pour eux de se réveiller, car à ce sujet, je relève encore la même longue indifférence pour la politique civile et la religion du Dieu créateur. Le président a cité le temps de l’innocence des Français insouciants ; le mot innocence ne convient pas pour désigner une coupable indifférence qui les rend aveugles et sourds. Le discours dont le but annoncé est de rassurer les Français a en réalité le but de les inquiéter suffisamment pour qu’ils soient prêts à consentir à de gros sacrifices financiers et sociaux.
S’ils avaient été réveillés et intelligents les Français auraient comme moi relevé la véritable escroquerie que constitue la création de l’U.E. Et à ce sujet je relève encore une démarche identique entre le fonctionnement de l’Europe et la gestion nationale interne française. Un président français a eu l’idée de faire payer par l’entreprise nationalisée d’EDF la création de nouveaux concurrents. Faut-il être stupide pour croire que cette concurrence peut faire baisser les prix, alors qu’elle n’ajoute que l’enrichissement de personnes qui se nourrisse en parasite sur la production d’EDF. Et l’Europe fonctionne de la même manière, faisant financer leurs concurrents par les pays membres anciens les plus riches.
Quatre personnes ont décidé d’aider l’Ukraine et portent l’entière responsabilité du drame vers lequel nous nous dirigeons : Joe Biden, Volodymyr Zelensky, Ursula Von der Leyen, Charles Michel, et après leurs engagements, le ministre anglais Boris Johnson et Emmanuel Macron. Les Français sont désinformés par 3 chaînes info privées appartenant à des propriétaires privés richissimes, dont la puissante famille Bouygues, père et fils, qui fut à l’origine de la demande de la loi du regroupement familial. Je suis né avant la création de l’Europe et j’ai donc pu assister, jour après jour, à l’abandon de l’indépendance nationale et ses conséquences : un abandon laxiste de la gestion du pays par les hommes politiques. Quant à l’Europe, elle n’a pas cessé de détruire l’emploi français pour favoriser l’investissement des actionnaires dans les pays pauvres entrants.
La malédiction divine s’est installée sur la France très progressivement et le premier signe de celle-ci, a été le passage à la 5ème République, à demi, démocratique et à demi, dictature. Les presque pleins pouvoirs remis à un seul homme étaient un vrai danger, un vrai risque qui a conduit à notre situation actuelle. Le président Sarkozy a mis le chaos en Libye, son successeur François Hollande a trahi ses électeurs ; l’ennemi de la finance l’a grandement enrichie. Et en nommant ministre E.Macron, il a facilité sa présidence, bien qu’il ait témoigné d’arrogance envers la population. Et sur ce sujet, les deux présidents se valent ; le vieux se moque dans le privé des « sans dents » et le jeune harangue et tangue des jeunes hommes au cours de ses déplacements.
Il est évident et logique que l’indifférence est un trait de caractère qui se révèle autant dans les sujets civils que les sujets religieux. Ainsi les mêmes gens marqués par ce comportement indifférent sont les victimes des escroqueries politiques et des escroqueries religieuses qui conduisent l’une et l’autre à la mort ; la première mort, pour l’escroquerie politique, et la seconde mort, pour l’escroquerie religieuse. Mais en réalité, c’est le comportement envers le sujet religieux qui détermine la réaction de Dieu qui livre, alors, sa créature à l’aveuglement de l’indifférence et ce faisant, à ses ennemis politiques et religieux qui causent sa perte.
Le peuple français qui n’a pas d’oreille pour écouter la vérité de Dieu est abreuvé de mensonges par les hommes politiques et les médias sur les plateaux desquels des anciens officiers en retraite rejouent l’arrogance de 1914 et 1939. Ces plateaux télévisés se transforment en réunions d’Etat-major où chacun présente son opinion, dans la pensée unique de la culpabilité russe. Non ! La guerre n’a pas commencé en 2022, mais en 2013 par un renversement du président ukrainien russophile élu, et après ce renversement, par la chasse à l’homme russophile sur tout le territoire de l’Ukraine, jusqu’en 2022, où la Russie est intervenue pour défendre ses ressortissants ukrainiens russophiles et russophones.
En résumé, que s’est-il passé ce soir ? Un président pompier incendiaire s’est adressé aux Français plus divisés que jamais dans toute l’histoire de France pour demander leur aide afin d’éteindre le feu qu’il a allumé. Sur qui compte-t-il ? Sur ces Français adoptés ayant fui la guerre dans leur pays d’origine ? Ou sur ces Français porteurs de deux ou trois nationalités ? Et parmi eux se trouvent les vrais ennemis de la France qu’ils détestent, étant eux-mêmes motivés par un engagement religieux musulman.
L’Europe et la France partagent les mêmes problèmes, les deux sont extrêmement divisées et ne savent pas dire « non » aux pays qui veulent entrer dans leur alliance. Pourtant, aux deux, savoir dire « non » aurait évité la guerre de l’Ukraine et pour la France, l’adoption de l’île de Mayotte peuplée uniquement de Musulmans. Le « non » est regardé comme une réponse autoritaire, alors que le « oui » témoigne de l’humanisme bien pensant. Plus nombreux, les soutiens du « oui » sont responsables de toutes les erreurs de choix acceptées, dont l’U.E.
M20- Regard spirituel sur le monde de 2025
Il me semble l’avoir déjà dit, mais, longtemps, la cause de la séparation de l’Amérique de l’Europe occidentale était pour moi une question sans réponse, car elle n’était pas encore l’U.E. arrogante actuelle. Dieu avait donc une bonne raison de cibler en priorité cette U.E. des « dix cornes » qui concentre toute les causes de sa colère sur le Vatican, l’Etat pontifical romain. S’il est vrai, que les USA sont historiquement une excroissance de l’histoire européenne, il est tout aussi vrai que ce fils est entré en concurrence avec sa mère, qu’il est prêt à sacrifier, commettant ainsi un matricide typiquement grec, sa mère étant nommée « Europa ». Mais le serviteur éclairé que je suis ne s’étonne pas de cette chose, puisque je répète depuis longtemps que les nations n’ont pas d’amis, mais que des concurrents qui privilégient leurs propres intérêts et Donald Trump est, sur ce sujet, pire que l’Harpagon avare de Molière. La vie réelle n’est pas celle que fantasment les « Bizounours » de la télévision enfantine. Et les symboles de « bêtes » auxquelles Dieu compare les régimes autoritaires du monde occidental confirment ce jugement.
Ce jour est le Jeudi 6 Mars, le jour du Jupiter romain ou Zeus grec. Après son discours adressé au peuple français, le président Macron, fortifié par bientôt 8 années de présidence, a lancé un appel vers ses collègues étrangers pour organiser la défense européenne. Et des journalistes ont évoqué le retour du « Jupiter » français, fort à propos. Il est vrai que depuis son apparition dans le cadre du Louvre, en 2017, ce jeune nouveau « Bonaparte » ambitionne de devenir le nouveau « Napoléon ». Et pour s’en convaincre, il suffit de se rappeler de cette déclaration qu’il fit à propos du virus Covid-19, dans un discours adressé aux Français : « Nous sommes en guerre ». Notre jeune ambitieux pensait combattre un virus alors qu’il combattait déjà contre Dieu. Il avait raison, car Dieu lui a, dès ce moment, déclaré la guerre. Nous serons demain le vendredi 7 Mars, date anniversaire du 7 Mars 321, en laquelle le sabbat du « sceau du Dieu vivant » fut remplacé par le « jour du soleil invaincu » de l’empereur romain païen Constantin 1er le grand. Dieu va-t-il marquer cette date par un fait grave et important ? Je le saurais dès demain. Mais déjà aujourd’hui, la rencontre organisée à Bruxelles peut favoriser pour notre « Bonaparte » un pas de plus vers le futur « Napoléon ». Ce qui est sûr, c’est que son discours dans lequel il présente la menace russe a fortement irrité les dirigeants de la Russie qui prennent ce discours comme une déclaration de guerre. Pour devenir le nouveau « Napoléon », le président Macron a quelques avantages sur ses collègues européens. Et le premier de ces avantages est qu’il dispose de l’arme nucléaire et qu’il est le seul à la détenir en Europe depuis la sortie des Anglais de l’U.E. Ceci me conduit à confirmer la malédiction de la maîtrise de cette arme redoutable, décision prise par le valeureux Général de Gaulle. Pourquoi, malédiction ? Mais parce que cette arme terrifiante a conduit les présidents français à se croire plus puissants qu’ils ne l’étaient en réalité. Pour être clair, disons qu’elle a favorisé leur « arrogance » ; cette « arrogance » que le Tout-puissant Dieu créateur tient en horreur depuis qu’elle a été la cause de sa punition humiliante infligée à l’orgueilleux roi Nébucadnetsar.
De l’avis de militaires qui savent de quoi ils parlent, la restructuration de l’Europe pour produire son propre armement ne donnera des résultats que dans un délai de dix à 15 années. Ce qu’ils ignorent, c’est que Dieu ne leur laisse plus que cinq ans avant de les exterminer. Ils vont donc prendre des résolutions et décider de beaucoup de choses qui ne seront jamais appliquées. Si je compare leur situation à la « parabole des dix vierges », ils viennent de découvrir que leurs vases d’huile sont vides et qu’ils doivent se rendre chez les marchands d’huile pour les remplir de nouveau. Et au milieu de leur projet, ils sont surpris par les attaques successives du « roi du midi » et du « roi du septentrion » de Daniel 11:40. Quelle précieuse prophétie qui a changé mon âme entière ! L’explication de Daniel 11:40 à 45 est si subtile que seul l’Esprit qui l’a fait écrire par Daniel pouvait en donner l’explication. Et comme on peut le constater, cette annonce ne visait pas à prévenir les humains pour qu’ils empêchent Dieu d’accomplir son projet destructeur. Mais elle avait pour but de faire savoir aux saints élus que ce drame doit venir de Dieu, qu’il en est l’auteur et l’organisateur suprême. En effet, désormais, personne devant l’évidence ne va ignorer les faits réels vécus, mais seuls, les élus avertis de ces choses vont les attribuer à la volonté du Dieu créateur, lui-même. Pour un lecteur superficiel, la prophétie de Daniel 11 met en scène 2 entités principales qui sont les « rois du midi » lagides et les « rois du septentrion » séleucides ; et de temps en temps, une troisième entité qui concerne Rome. A Partir du verset 36, l’Esprit cible en priorité, cette entité romaine devenue papale en 538 pour 1260 jours-années cités en années solaires dans Daniel 7:25 : « Il prononcera des paroles contre le Très Haut, il opprimera les saints du Très Haut, et il espérera changer les temps et la loi ; et les saints seront livrés entre ses mains pendant un temps, des temps, et la moitié d'un temps. »
L’idée d’un saut de plusieurs siècles d’histoire entre les versets 33 et 36 ne s’invente pas ; elle est inspirée par Dieu ou ne l’est pas. Pour s’ouvrir à cette explication, mon esprit avait été préparé par Dieu à une analyse de synthèse de tous les chapitres du livre de Daniel, ce qui n’a jamais été fait avant moi. Car en effet, l’étude individuelle des chapitres est édifiante, mais ne conduit pas loin le lecteur, alors que la synthèse globale construit des révélations subtiles impossibles à identifier sans ce moyen. Pour saisir la logique de la pensée de Dieu, il faut impérativement lui ressembler soit, bénéficier d’une grande ouverture d’esprit et regarder la Bible entière comme étant le support d’une gigantesque somme de données fournies pour éclaircir un code secret. Comme les robots informatiques, les hommes superficiels ne voient que les mots, car ils sont eux-aussi incapables de discerner les allusions subtiles proposées par Dieu ; et ceci, tout simplement parce qu’il ne le leur permet pas.
Dans Apocalypse 18, Dieu a utilisé des termes qui permettent de comprendre la séparation des USA du camp de l’U.E. soutien de la Rome papale. Le camp européen est associé à « Babylone la grande, devenue un repaire de tout esprit impur et odieux » ; l’Esprit évoque en dehors de ce camp, « les marchands de la terre » qui désignent subtilement les marchands protestants américains soit, ce qui caractérise ce que devient l’Amérique nouvelle de Donald Trump, le modèle du genre, qui n’hésite pas à profiter de la faiblesse de l’Ukraine pour lui faire signer son accord pour gérer les richesses minières, les terres rares du pays.
Apocalypse 18 cible l’heure du dernier châtiment de Rome après le retour du Christ et l’enlèvement de ses élus rachetés vers son royaume céleste. La Rome catholique papale est ainsi livrée à la colère de ses adeptes trompées par ses mensonges religieux. Cette action cible particulièrement les survivants de l’Europe. Nous lisons les versets 9-10 : « Et tous les rois de la terre, qui se sont livrés avec elle à l'impudicité et au luxe, pleureront et se lamenteront à cause d'elle, quand ils verront la fumée de son embrasement. Se tenant éloignés, dans la crainte de son tourment, ils diront : Malheur ! Malheur ! La grande ville, Babylone, la ville puissante ! En une seule heure est venu ton jugement ! » Ces « rois de la terre » sont les puissants dirigeants européens qui ont soutenu le catholicisme ou l’Etat pontifical romain. La phrase clé du verset 19 est : « Se tenant éloignés dans la crainte de son tourment ». L’ayant soutenue et approuvée, ces dirigeants craignent d’être traités comme « Babylone la grande ». Et la colère de leur peuple les frappera en toute divine justice.
Cette action punitive est prophétisée dans Apocalypse 17:16 : « Les dix cornes que tu as vues et la bête haïront la prostituée, la dépouilleront et la mettront à nu, mangeront ses chairs, et la consumeront par le feu. » Selon Apocalypse 17:12, « l’heure » citée désigne le temps de la dernière épreuve de foi finale : « Les dix cornes que tu as vues sont dix rois, qui n'ont pas encore reçu de royaume, mais qui reçoivent autorité comme rois pendant une heure avec la bête. » « Mais qui reçoivent autorité comme roi » cible « l’heure » où les « dix cornes et la bête qui monte de la terre » jugeront et détruiront la « prostituée » soit, la ville de Rome. Cette subtilité repose sur la définition du rôle des « rois et des trônes » donnée dans Apocalypse 20:4 : « Et je vis des trônes ; et à ceux qui s'y assirent fut donné le pouvoir de juger… »
Après le camp des coupables catholiques, l’Esprit cible les Protestants, les derniers grands « marchands de la terre », au verset 11 : « Et les marchands de la terre pleurent et sont dans le deuil à cause d'elle, parce que personne n'achète plus leur cargaison, …»
Ensuite nous lisons les versets 15-16 : « Les marchands de ces choses, qui se sont enrichis par elle, se tiendront éloignés, dans la crainte de son tourment ; ils pleureront et seront dans le deuil, et diront : Malheur ! Malheur ! La grande ville, qui était vêtue de fin lin, de pourpre et d'écarlate, et parée d'or, de pierres précieuses et de perles ! En une seule heure tant de richesses ont été détruites ! » Relevons avec intérêt, que ces Protestants « marchands de la terre » craignent eux-aussi de subir le sort de la Rome catholique, et la cause de cette « crainte », justifiée, est leur soutien donné au « jour du soleil » romain, le « dimanche » qu’ils ont justifié en tant que « premier jour » qui honore la résurrection de Jésus-Christ ; ce que Jésus ne leur a jamais ordonné de faire. Les adeptes du protestantisme auront donc autant de raison, que les catholiques, de verser le sang de leurs pasteurs qui ont soutenu la justification du repos dominical romain maudit par Dieu. Dans ses dernières déclarations officielles, Donald Trump a confirmé son projet de prendre le contrôle du canal de Panama et son désir de construire de nombreux navires, pour transporter les produits commerciaux confirmant ainsi sa nature de « marchand de la terre » prophétisé par Dieu.
Ayant maintenant démontré ce qui fait sa priorité, Donald Trump sera prêt à tout pour parvenir à préserver la paix mondiale qu’il veut instaurer. Autant dire que ceux qui vont être tenus pour responsables de son échec devront en payer chèrement le prix. Et c’est dans ce rôle néfaste pour ce projet de paix que le chef de guerre Macron va intervenir dans son action défensive réactive à la crainte d’une attaque russe. Et il agit bien ainsi depuis le commencement en pompier incendiaire qui allume le feu qu’il prétend vouloir éteindre. Depuis le début, la Russie ne voulait que retenir l’Ukraine dans son camp de l’Est et elle n’avait aucunement l’intention d’arrêter ses échanges commerciaux avec l’Occident ; et donc aucune raison de l’attaquer. Le drame qui vient repose sur une fausse interprétation des faits qu’on appelle un procès d’intention. Et toutes les décisions prises par les dirigeants de l’U.E. n’ont consisté qu’à se ranger sous la bannière de l’agressif Joe Biden qui détestait la Russie et son président Vladimir Poutine. Ce dernier est resté au pouvoir depuis l’année 2000, ce qui a offert à la Russie une grande stabilité politique et économique. En opposition complète à ce modèle, les nations occidentales démocratiques libérales changent de gouvernement tous les 4, à 7 ans, selon les pays. La protection du bouclier américain a rendu les Occidentaux arrogants et interventionnistes. Et là, les ONG humanistes sont principalement en cause. Elles ont exercé une pression constante sur les hommes politiques et les journalistes des médias pour les pousser à intervenir dans des conflits étrangers comme la guerre des Balkans, allant jusqu’à faire juger le chef Serbe par le tribunal européen de la Haye prétendu international, alors que seule l’Europe occidentale le reconnaît. Et je dois encore rappeler le rôle belliqueux et agressif tenu par le président Sarkozy qui a mis le chaos en Libye et offert, aux islamistes ennemis de l’Occident, un nouveau territoire, pour élargir leur influence agressive.
Alors que l’actualité continue de diriger les regards vers l’Ukraine et la Russie, dans l’ombre et le silence, « le roi du midi » prépare son attaque contre l’Occident. C’est encore Dieu qui va choisir le moment pour la lancer. Car la haine islamiste ne s’achète pas et ne peut s’éteindre par un quelconque moyen parce que Dieu lui-même l’attise. La religion de l’islam a été instaurée uniquement pour être pour Dieu un instrument punitif contre l’infidélité du catholicisme romain. C’est pourquoi elle fut fondée par son prophète Mahomet sur la fin du VIème siècle immédiatement après l’instauration du régime papal en 538. Il est temps de tenir compte de cette prophétie que Dieu a fait sur la descendance arabe d’Ismaël le patriarche des arabes musulmans actuels. Dieu dit d’Ismaël et subtilement, de sa descendance, dans Genèse 16:12 : « Il sera comme un âne sauvage ; sa main sera contre tous, et la main de tous sera contre lui ; et il habitera en face de tous ses frères. » Ce portrait robot n’est-il pas conforme à la réalité témoignée par l’histoire ? Si les dirigeants français avaient eu connaissance de cet avertissement divin, auraient-ils pris le risque de laisser l’islam s’installer en France sur leur territoire national ? Certainement, non ; sous condition qu’ils croient à son existence et qu’il est bien l’auteur de ces propos bibliques. Ce récit de Genèse 16 prend pour nous en 2025 une très grande importance, en raison de l’agression imminente des islamistes contre l’Europe « chrétienne », même si elle l’est infidèle envers Jésus-Christ. Dans Genèse 16 la scène décrite est semblable à la situation relationnelle actuelle des Juifs et des Musulmans. On y voit, Agar la servante égyptienne être maltraitée par sa maîtresse Saraï, l’épouse légitime d’Abram l’Hébreu ; ceci, de même, qu’à Gaza, les Palestiniens subissent de la part des Juifs la colère allumée par le raid meurtrier du 7 Octobre 2023. Et Dieu, pensant au rôle des descendants d’Ismaël permanent jusqu’à leur disparition finale dit à sa mère Agar, au verset 10 : « L'ange de YaHWéH lui dit : Je multiplierai ta postérité, et elle sera si nombreuse qu'on ne pourra la compter. » J’ajoute, malheureusement, pour l’Occident.
Dans l’invisibilité, les anges de Dieu s’activent auprès des personnes de grande influence comme l’ange Gabriel qui révèle son action à Daniel dans Daniel 10 :13 : « Le chef du royaume de Perse m'a résisté vingt et un jours ; mais voici, Micaël, l'un des principaux chefs, est venu à mon secours, et je suis demeuré là auprès des rois de Perse. » Gabriel a reçu l’aide de Micaël, celui qui allait venir s’incarner et naître sous le nom de Jésus de Nazareth. Où est donc Gabriel en ce début du vendredi 7 Mars 2025 ? Avec Donald Trump, Vladimir Poutine, ou encore Emmanuel Macron ? Toute l’œuvre divine est assurée par des multitudes de bons anges chargés d’orienter les décisions humaines face aux mêmes tentatives pratiquées par les anges démoniaques. Mais les bons anges bénéficient de la puissance divine pour vaincre le camp ennemi et imposer le projet décidé par Dieu ; ceci, de même que le vainqueur impose sa loi au vaincu. L’exemple présenté dans Daniel 10:13 le prouve, quand la chose est nécessaire, Micaël intervient en personne directement.
Nous sommes entrés, juste avant le printemps qui vient, en ce 7 Mars 2025, anniversaire du 7 Mars 321, dans un temps de vérité qui revient en force. En effet, l’extrême franchise décomplexée du président Trump met fin à des décennies de situations hypocrites dans tous les domaines, à cause des conventions établies par les sociétés démocratiques républicaines dès la fin de la Seconde Guerre Mondiale. Seule l’époque du Général de Gaulle fut marquée par cette franchise politique. Le général ne cachait pas ses idées et il a donné à la France une totale indépendance que ses successeurs ont sacrifiée pour construire l’U.E. actuelle. La construction de cette alliance européenne a reposé sur une hypocrisie majeure, puisque cette démarche a été présentée comme un facteur de paix durable pour ses membres adhérents. En réalité, c’était la paix installée qui a permis la construction de cette alliance hypocrite que Dieu a supportée jusqu’en 2022, année où la guerre est revenue sur le continent, après celle des Balkans. L’Europe devait assurer la paix ; elle a pris parti pour la guerre au côté de l’Ukraine. Elle devait assurer la prospérité ; la France est plus appauvrie et endettée que jamais. Elle devait défendre ses valeurs ; elles sont plus compromises que jamais, étant prête à être détruite par ses ennemis du « midi » et du « septentrion ». Et je me dois de rappeler que depuis l’abandon des monnaies nationales et l’adoption de l’Euro, les prix alimentaires des fruits de saison ont été multipliés par 10 soit, ils ont progressivement augmenté de 1000 % ; ce qu’aucun journaliste ou homme politique dénonce. Ceci est directement la conséquence du passage sous les directives du gouvernement européen qui laissant libre le marché engraisse les gens les plus riches et les plus cupides ; les seuls qui profitent de l’Europe et de sa libre concurrence.
En ce jour du 7 Mars 2025, des messages publics sont échangés par médias interposés, entre Vladimir Poutine et Emmanuel Macron. Hier, Mr Poutine a comparé Mr Macron à Napoléon (j’avais eu cette même idée) et Mr Macron a rappelé depuis Bruxelles que le seul pays envahisseur actuel c’est la Russie qu’il a jugée « révisionniste ». Au cours de la réunion tenue à Bruxelles proposée par Mr Macron à ses collègues européens, le président français a déclaré ouvertement que la menace pour l’Europe était la Russie. Aujourd’hui, visiblement irritée par cette présentation ; la Russie menace l’Europe de mesures prises contre elle. Ainsi, la confrontation entre l’Ukraine et la Russie change et devient l’Europe contre la Russie. Ces propos ne font que prophétiser la situation vers laquelle on se dirige, jour après jour. Après un intense bombardement sur l’Ukraine rendue aveugle par l’arrêt des renseignements américains stratégiques, nous apprenons que deux mirages offerts par la France sont entrés en activité pour protéger le ciel de l’Ukraine. Ce n’est qu’un début mais qui fait la guerre, le soldat ou son armement ? Quand cet équipement représente, la formation militaire, la dotation d’armes sophistiquées modernes précises, en camions, tanks, en canons et obus, en missiles et en avions ? Qui fait la guerre ? L’homme ou le fournisseur du matériel ? Je crois que Mr Poutine s’est déjà fait une opinion sur ce sujet et qu’il ne manquera pas l’occasion de la faire connaître brutalement et soudainement dès que l’opportunité de l’heure le lui permettra et l’y contraindra. J’ajoute ceci, quand les relations internationales deviennent aussi tendues et publiques, quelle valeur les conventions relationnelles établies jusque là peuvent-elles conserver dans les camps opposés ? Entre l’Occident européen et la Russie, les prises de position sont de plus en plus clairement et publiquement présentées, l’engrenage infernal mis en route le 24 Février 2022 se prolonge et arrive vers son terme : l’heure de l’engagement officiel de la Troisième Guerre Mondiale que Dieu a prophétisée dans Daniel 11:40 à 45, dans Apocalypse sous le symbole de la « sixième trompette » d’Apocalypse 9:13 à 21 ; et dans Ezéchiel 38 et 39.
Il a suffit à Dieu, de conduire au pouvoir des USA, son « joker », Donald Trump qui vient, comme Antiochos IV Epiphane pour les Juifs, favoriser le châtiment des Européens qui le haïssent très largement, du politique au journaliste, les deux agents informateurs, et beaucoup plus souvent désinformateurs, des populations européennes.
Connaissant la fin que Dieu va donner aux événements, la bonne entente actuelle entre Mr Poutine et Mr Trump reproduit ce moment de l’histoire qui concerne le roi grec séleucide Antiochos IV et son neveu égyptien lagide Ptolémée VI, dans Daniel 11:27 : « Les deux rois chercheront en leur cœur à faire le mal, et à la même table ils parleront avec fausseté. Mais cela ne réussira pas, car la fin n'arrivera qu'au temps marqué. » Tout en évoquant « la fin » de l’expérience du roi grec séleucide Antiochos IV, l’Esprit suggère que la situation décrite ressemble à celle qui prévaudra avant le vrai « temps de la fin » qui nous concerne aujourd’hui et qui vient « au temps marqué » par Dieu qui le décrit dans Apocalypse 9:15 comme étant : « l’heure, le jour, le mois et l’année ». Ce vrai temps de la fin qui nous concerne aujourd’hui est évoqué dans Daniel 11:40 : « Au temps de la fin, le roi du midi se heurtera contre lui. Et le roi du septentrion fondra sur lui comme une tempête, avec des chars et des cavaliers, et avec de nombreux navires; il s'avancera dans les terres, se répandra comme un torrent et débordera. ». La guerre qui a éclaté en Ukraine depuis l’année 2013 et dans laquelle je situe son commencement sur le sol ukrainien de la place Maïdan, à Kiev où un soulèvement populaire d’Ukrainiens nationalistes a renversé le président ukrainien Russe légitimement élu en exercice parfaitement légal, a pour cause ce soulèvement populaire créé par la demande de l’entrée de l’Ukraine dans l’alliance européenne par une composante ukrainienne du peuple. Et je me souviens encore de cette réflexion faite par un journaliste d’une télé-information qui a dit, parlant des insurgés : « Oh ! Et parmi eux, il y a des nazis ! » Ce témoignage prouve combien l’Occident ignorait tout de l’Ukraine. Mais ce qui est le plus étonnant, c’est qu’après cet événement, il a été souvent rappelé que les Ukrainiens ont pour héros national ce SS nazi ukrainien nommé Bandera. Et malgré cela, le soutien a été donné à ce peuple qui honore un SS nazi. Mais le pire, c’est que ce culte pour les nazis y est encore publiquement et officiellement reconnu puisque représenté par le groupe Azov, ouvertement revendiqué « nazi ». Où sont donc passées les voix qui dénonçaient les « nazis » réfugiés en Argentine et autres pays de l’Amérique du Sud et du Nord ? Pour l’homme que je suis, ayant été témoin de ces choses, ce changement de comportement est injustifiable ; si ce n’est par la disparition progressive des hommes et des femmes de mon âge. Pour les jeunes gens nés sous l’U.E. le nazisme se réduit à ce qu’il nomme « l’extrême droite » et qu’ils continuent d’imputer au RN, malgré son aspect plus social que l’ancien FN. Mr Gabriel Attal, l’ex-premier ministre dont la nomination a été la plus courte de l’histoire de la 5ème République, donne tout son soutien massif à la cause ukrainienne et ne cesse de dénoncer le RN d’extrême droite. Il incarne, avec Mr Macron qui agit de même, la preuve vivante de la justesse de mon analyse et de ma remarque.
De manière totalement inconsciente, l’humanité actuelle témoigne d’une incohérence immense qui constitue le fruit apparent de la malédiction divine qui la frappe. Et cette incohérence est la conséquence des 80 années de paix au cours desquelles progressivement, les peuples européens ne se sont préoccupés que de s’enrichir ou de s’amuser. Et dans cette démarche, libérée de la tutelle russe en 1991, la jeune nation de l’Ukraine a fait pire que les nations européennes. J’avais déjà relevé le fait que l’Espagne devenue libre avait rapidement renversé les tabous religieux et moraux que le général Franco faisait encore respecter. Dans sa libération des mœurs, elle est allée plus loin que les autres nations européennes. Et à son tour, l’Ukraine a surpassé en abominations le modèle espagnol.
A ce sujet, il faut relever la concordance de ces deux faits survenu en 2013 : En France, le vote de la loi qui a légalisé l’abominable mariage des homosexuels, et en Ukraine, le début de la guerre menée contre la culture russe qui va provoquer à terme, le châtiment des Français abominables.
Ce développement toujours plus rapide en faveur du mal condamné par Dieu est le signe le plus évident de l’approche du temps où il ne peut que châtier durement les outrages commis par des gens rebelles irrécupérables. Et ce temps est là, juste devant nous, quelque part après le 8 Mai 2025, date où s’achèveront les 80 années de paix commencées le 8 Mai 1945. La guerre en Europe a officiellement cessé à cette date par la reddition sans condition de l’Allemagne nazie. Mais la « sixième trompette » a un caractère universel qui fait d’elle, la Troisième Guerre Mondiale. En 1945, il a fallu attendre la victoire des USA sur le Japon, après l’utilisation de 2 bombes atomiques, détruisant les villes d’Hiroshima et de Nagasaki, le 6 et le 9 Août 1945, contraignant le Japon à une reddition aux Alliés le 15 Août 1945, pour que la Seconde Guerre Mondiale soit officiellement terminée le 2 Septembre 1945.
La guerre est contagieuse, ceci d’autant plus quand Dieu ne la freine plus mais la provoque. L’humanité entière va se retrouver comme aspirée dans un tourbillon de violences, car l’agressivité libérée des uns crée l’agressivité retenue des autres. Remarque-le, tous les commentateurs politiques journalistes ou essayistes quelconques sont unanimes et pensent que la paix est la seule issue possible pour sortir d’une guerre. Il est vrai qu’ils ont derrière eux des siècles et des millénaires d’histoire qui leur donne raison. Mais ce que je sais et qu’ils ignorent, c’est en quel temps je vis dans le programme conçu par le grand et unique Dieu créateur, mon « Père céleste » qui éclaire mon intelligence sur ce qu’il fait accomplir en le mettant en œuvres concrètement. Et mon raisonnement est que la formule, « au commencement », que je lis dans Genèse 1:1, suggère que ce commencement va être suivi d’un « fin » que je retrouve confirmée dans Daniel 11:40 : « Au temps de la fin …». C’est cette connaissance qui fait de moi un « fils de Dieu » qui reconnaît son « Père céleste » ; ceci, après avoir été racheté par le sang versé par Jésus-Christ dont la victoire a rendu possible mon rachat et celui de tous ses élus sélectionnés pendant 6000 années jusqu’à son retour glorieux du jour du printemps 2030.
Cette prise de conscience du temps réel compté par Dieu a fait de moi un vrai « citoyen du royaume des cieux », en sorte que je peux moi-aussi prétendre avoir deux nationalités ; celle de la vie céleste éternelle et celle de la vie terrestre provisoire. Le regard que je porte sur la vie terrestre en a été complètement transformé. Ce que d’autres tiennent pour impossible, Dieu l’a programmé et j’attends son accomplissement. Dans Daniel 12:12, l’Esprit dit : « Bienheureux celui qui attendra jusqu’à 1335 jours ». Dieu désigne ainsi ses élus comme étant « ceux qui l’attendent » ; or, n’attend réellement que celui qui a été prévenu du temps de sa venue. Pendant des siècles de ténèbres, les chrétiens ont pensé que Jésus viendrait « comme un voleur » et que le jour de son retour ne pouvait pas être identifié. Mais en 1843, en annonçant le retour de Jésus pour cette date, le prophète William Miller a changé la règle du raisonnement. Ce qui paraissait impossible dépendait d’une révélation divine appropriée cachée dans les textes des prophéties de Daniel et Apocalypse. Bénéficiant d’encore plus de lumière que lui et devenu observateur fidèle du saint sabbat du septième jour, j’ai découvert, conduit par Dieu, l’importance prophétique du récit de la Genèse dont la semaine de la création nous fait entrer dans le temps réel programmé par Dieu. Je ne doute pas que, si le repos du sabbat du septième jour avait été présenté comme type prophétique du septième millénaire, beaucoup de chrétiens l’auraient mis en pratique sans discuter. Mais une preuve, même la plus évidente, ne permet pas d’identifier un vrai élu sélectionné par Dieu. C’est pourquoi, les vérités divines les plus importantes sont restées cachées et scellées afin que les élus démontrent par leurs recherches approfondies, la profondeur de leur attachement au Dieu de vérité qui a inspiré ses prophéties d’aspect obscur. Dieu avait averti Daniel que le livre de son témoignage devait rester « scellé jusqu’au temps de la fin » : Daniel 12:9 : « Il répondit : Va, Daniel, car ces paroles seront tenues secrètes et scellées jusqu'au temps de la fin. »
Le vrai « temps de la fin » est le moment précis où la Troisième Guerre Mondiale de la « sixième trompette » va s’accomplir. Tout s’est accompli tel que Dieu l’avait annoncé, car il avait dit dans Daniel 12:4 : « Toi, Daniel, tiens secrètes ces paroles, et scelle le livre jusqu'au temps de la fin. Plusieurs alors le liront, et la connaissance augmentera. » Ainsi, la connaissance du livre de Daniel a simplement commencé publiquement en 1843 et pour William Miller, en privé, en 1816. Mais ce n’était pas encore le « temps de la fin ». Le « temps de la fin » a été encore seulement préparé entre 1980 et 1991, quand l’Esprit m’a inspiré pour décrypter entièrement le livre de Daniel du chapitre 1 au chapitre 12 ; ce n’est qu’alors que la connaissance du livre de Daniel a atteint son « augmentation » maximale. Et Dieu a attendu ce décryptage complet de Daniel et Apocalypse pour condamner, en Décembre 1991, le refus de cette divine lumière par l’adventisme institutionnel.
Avec 2013, l’année 2017 a aussi été marquée par la malédiction de Dieu en menant au pouvoir les deux chefs d’Etat actuels des USA et de la France, Donald Trump et Emmanuel Macron. Donald Trump avait été critiqué, moqué, grandement méprisé et détesté par les Français. Elu, le président n’a pas oublié cette attitude méprisante, renouvelée pour son élection en 2025, par les mêmes Français. Aujourd’hui, sa rancœur prend forme de vengeance d’autant plus qu’il se retrouve en face du même jeune président de ces Français irrespectueux. Son comportement paternel envers le jeune Macron avait plutôt favorisé de bons rapports entre eux. Mais aujourd’hui, aigri par sa défaite officielle des élections de 2021, Donald Trump se trouve confronté au président Macron qui a fraternisé avec son vieil adversaire national Joe Biden. Et on ne change pas ses sentiments comme on change de chemise. La haine portée sur Joe Biden, longtemps éprouvée et ressassée pendant 4 ans, se reporte aujourd’hui sur tous les alliés qui le soutenaient et souhaitaient sa victoire en 2025, et après son retrait, la victoire de sa suppléante, Kamala Harris ; le président Macron étant en tête de cette espérance.
Cette expérience a aussi son type analogue dans celle du peuple Juif qui sur une fausse rumeur a cru que le roi Antiochos IV était mort et il fêtait celle-ci dans la joie et l’allégresse. Mais en campagne contre l’Egypte, le roi n’était pas mort et parvenu jusqu’à lui, la nouvelle de la joie exubérante des Juifs causée par l’idée de sa mort l’a rendu fou de rage. Et en remontant vers son pays, traversant Israël, il a vidé sa colère sur le peuple de Jérusalem et son clergé religieux ; et c’est alors, qu’en – 168, il a dressé « l’abomination du dévastateur » citée dans Daniel 11:31 : « Des troupes se présenteront sur son ordre ; elles profaneront le sanctuaire, la forteresse, elles feront cesser le sacrifice perpétuel, et dresseront l'abomination du dévastateur. » Derrière cette expression se cachent des sacrifices humains et celui de porcs sur l’autel du temple de Dieu ; des morts en grands nombres.
En ce « jour du Seigneur », le premier jour de la semaine où il est apparu ressuscité à ses apôtres, l’actualité de la Syrie de ce 9 Mars 2025 est marquée par le massacre de gens Alaouites par des islamistes dans le Nord du pays ; le nombre des victimes civiles serait entre 300 et 700. Le nouveau dirigeant promet de punir les responsables appelant à l’unité du pays. Mais l’insécurité et l’instabilité de ce pays pourrait lui redonner le rôle majeur du « roi du midi » cité dans Daniel 11:40. Si la chose se confirmait, nous aurions alors l’accomplissement le plus logique que ce texte biblique nous suggère. Car Daniel 11 a pour sujet les « sept guerres de Syrie », celle qui va s’accomplir étant la septième du récit. Et la France est fortement impliquée par le lien qui la relie au Liban voisin qui a été sa création…
M21- Les nouveaux Romains
L’actualité vient confirmer cette vérité que la prophétie divine a révélée il y a de cela ; environ 2000 ans. Les Etats-Unis d’Amérique du Nord sont réellement les nouveaux Romains qui imposent pleins de force et d’arrogance leurs lois et leurs normes au reste de l’humanité. Ils ont avec la Rome ancienne plein de choses en commun.
Et déjà cette vocation impériale visible dans l’aigle qui apparaît dans son sigle national et sa monnaie, son dollar devenu l’Etalon de la monnaie mondiale. A l’époque de Jésus, la monnaie romaine était utilisée à Jérusalem. Jésus confirme que la pièce de monnaie payée pour l’impôt portait l’effigie de César. L’Amérique possède les plus gros stocks d’or de la terre et constitue ainsi le pays le plus riche du monde. De même que le dicton dit « tous les chemins mènent à Rome », toutes les richesses se retrouvent en terre américaine dirigée depuis Washington, sa capitale présidentielle.
La domination de l’ancienne Rome s’étendait sur toute l’Europe Occidentale et sur les rives Sud de la mer Méditerranée. La nouvelle Rome règne sur tout l’Occident.
La Rome latine imposait sa loi par la force de ses légions qui étaient composées de soldats engagés provenant des pays conquis de l’Empire. De même, les nouveaux romains américains sont les descendants des pays qui composent l’Europe, l’Afrique et jusqu’à la Chine. Les deux Rome ont un caractère cosmopolite.
Les deux Rome ont aussi en commun de n’agir que pour l’intérêt de leur propre puissance. Et les deux, poursuivent un rêve hégémonique.
Les deux Rome accèdent à la norme impériale en venant aider des pays en guerre. Dans Daniel 8:9, Dieu prophétise l’extension de l’ancienne Rome républicaine en ces termes : « De l'une d'elles sortit une petite corne, qui s'agrandit beaucoup vers le midi, vers l'orient, et vers le plus beau des pays. » L’identification de la Grèce dans l’expression « de l’une d’elles » justifie une fois de plus le rôle de ce pays que Dieu présente comme type du péché dans les symboles qui le représentent dans Daniel 2 : « le ventre et les cuisses » ; Daniel 7 : « le léopard tacheté aux quatre ailes d’oiseau » ; Daniel 8 : « le bouc ». Ainsi, de conquête en conquête, c’est « le péché » grec qui s’est étendu dans tout l’Occident traditionnellement chrétien. Le parcours de sa transmission est le suivant : Grèce, Rome, Europe, Etats-Unis d’Amérique du Nord.
Le plus ancien type du « péché » était celui de « l’Egypte », mais la domination qui a suivi était occidentale et comme Daniel 8:21 le précise, « le péché » grec s’est imposé par les conquêtes de son jeune roi conquérant, Alexandre le grand : « Le bouc, c'est le roi de Javan, La grande corne entre ses yeux, c'est le premier roi. » Il suffit de remplacer le mot « bouc » par le mot « péché » ; le nom « Javan » par le nom « Grèce » ; pour désigner Alexandre le grand, « le premier roi » grand conquérant des Grecs, lui-même étant macédonien.
Il est donc clair, que Dieu a pris le péché de la civilisation grecque comme cible prophétique de sa juste colère. La civilisation grecque s’est imposée pendant quatre siècles dans tout l’Occident et jusqu’au fleuve de l’Indus, lieu où la conquête d’Alexandre le grand s’est arrêtée. Il est mort empoisonné à l’âge de 33 ans, son règne dura dix ans, et il ne laissa derrière lui aucun héritier. Et c’est critère en font un type parfait de l’anti-christ dont la domination guerrière en fait un type prophétique de Rome qui va lui succéder après environ deux siècles. Le morcellement de son empire va permettre à Rome d’intervenir dans la Grèce en proie à une guerre civile qui oppose l’Achaïe à l’Etolie qui lui demande son aide. C’est ainsi que comme l’ange Gabriel l’avait dit à Daniel, par le « Sac d’Apamée » de – 160, Rome a fait de toute la Grèce une colonie romaine. Cette leçon historique révélée dans la Bible méritait d’être prise en compte et retenue. Mais dans sa malédiction continuelle, l’humanité n’a pas su bénéficier des avertissements écrits dans la sainte Bible. Et continuellement, des peuples en guerres internes ont appelé à leur aide des pays étrangers qui les ont finalement dominés et exploités. Et ce dicton de sagesse populaire se vérifie et se confirme : « Mieux vaut un petit chez-soi qu’un grand chez-les-autres ». Loin de cette sagesse, les dirigeants des pays riches se sont jetés dans le piège et ont apprécié pour un temps seulement de profiter de la puissance d’un pays dit « ami » et plus justement « allié ».
A ce sujet, la confiance européenne s’est construite sur deux interventions de l’Amérique pour aider l’Europe en 1914 et en 1942. Toutefois, pour cette seconde intervention, il faut relever qu’elle n’est pas intervenue dès le début de cette seconde Guerre mondiale qui n’était en 1939-1940 qu’européenne. En 1914, les corps armés américains engagés étaient composés de volontaires. Et en 1939, l’Amérique restait ce peuple éloigné, peuplé de blancs dispersés sur un pays immense et de quelques Etats où se trouvait une majorité de Noirs sortis de l’esclavage. L’Amérique n’était regardée que comme une grande campagne peuplée de paysans, d’éleveurs et d’agriculteurs et déjà en 1939, son regard était tourné vers l’océan Pacifique qui la rattache au Japon et à la Chine. Elle disposait déjà de puissants navires de guerre ancrés dans le port militaire de Pearl Harbour.
Je vis en France, au centre de cette Europe occidentale qui a dominé le monde pendant presque 2000 ans. Mais si j’étais américain, je placerai mon pays au centre du monde portant mon intérêt vers l’Atlantique mais aussi vers ce Pacifique riche de cultures orientales très particulières et si différentes des cultures occidentales. C’est d’ailleurs de la Chine que le grand voyageur Marco Polo a rapporté des épices, le tissu de soie, et la poudre à canon utilisée pour des feux d’artifice éblouissants. Notre vie occidentale a été complètement transformée par cet apport venu de l’Orient, aux mœurs et coutumes raffinés bien supérieurs à ceux qui prévalaient jusque-là dans toute l’Europe. Mais cette Europe avait une raison spirituelle pour devenir la zone centrale du monde : la religion chrétienne ; celle du vrai Dieu de l’ancien Israël. C’est donc ce christianisme favorisé par l’empereur Constantin en 313, puis imposé par la Rome papal à partir de 538, qui a fait de l’Europe Occidentale actuelle le territoire des « dix cornes » évoquées dans Daniel 7:7 et 24 et dans Apocalypse 12:3, 13:1, 17:3.
Il est intéressant de relever que la croissance de la lumière divine s’accomplit du Moyen-Orient soit, d’Israël, vers l’Extrême Occident suivant ainsi l’avancement du « soleil » qui se lève à l’Est et se couche à l’Ouest. En effet, la religion chrétienne est né en Israël et sa dernière forme terrestre disparaitra sous la domination tyrannique des actuels USA. Déjà cette croissance vers l’Occident apparaît dans ces versets de Daniel 8:4-5 : « Je vis le bélier qui frappait de ses cornes à l'occident, au septentrion et au midi ; aucun animal ne pouvait lui résister, et il n'y avait personne pour délivrer ses victimes ; il faisait ce qu'il voulait, et il devint puissant. Comme je regardais attentivement, voici, un bouc venait de l'occident, et parcourait toute la terre à sa surface, sans la toucher ; ce bouc avait une grande corne entre les yeux. » Israël est le lieu géographique de référence de ces actions successives concernant ; « le bélier » mèdes et perses ; et « le bouc » grec. Ces identifications sont clairement données dans Daniel 8:20 et 21. L’identification de Rome est moins évidente et exige le partage de la vérité divine disponible en Jésus-Christ. Pour la recevoir de Dieu, l’appelé doit avoir jugé correctement les religions, catholique, orthodoxe, protestante et adventiste, en sachant de manière précise ce que Dieu reproche à chacune d’elles. Car la vérité divine n’est offerte par Dieu qu’à ceux des humains qui partagent son jugement sur la base unique de ses valeurs. Dieu ne prend rien à personne car c’est lui qui a tout inventé, imaginé, créé et qu’il fait accomplir. L’imitateur, c’est le diable, qui au titre de créature est comme nous soit, limité. Il n’a fait qu’inspirer à ses victimes humaines l’idée de reproduire les rites sacrificiels par lesquels Dieu prophétisait son œuvre en Christ, son jugement du péché et des pécheurs. Mais les païens pratiquent ces choses vainement en les adressant à de fausses divinités qui n’existent pas et n’ont jamais existé. Les fausses célébrations n’honorent que le diable et les multitudes de démons qui l’accompagnent dans sa voie de perdition.
En créant Israël, Dieu a donné aux humains une leçon vitale. Son peuple n’est en sécurité terrestre qu’à l’abri derrière ses frontières nationales. Ayant une vocation universelle, la religion chrétienne ne pouvait pas bénéficier de cette sécurité frontalière absolue. Mais la leçon donnée par Dieu constitue néanmoins un solennel avertissement contre le danger des cohabitations des religions concurrentes dont les conséquences sont ravageuses et mortelles. Le catholicisme avait bien compris la nécessité de ne pas cohabiter avec les protestants rebellés contre son ordre religieux. Et l’Europe des « dix cornes » est restée essentiellement catholique, jusqu’à l’extension de l’Europe Unie dont les membres sont passés de 6 à 27, incluant la religion orthodoxe et l’anglicanisme qui est une version catholique sans son pape remplacé par l’archevêque de Canterbury. Mais peu importe, car ce mélange odieux ne fait que confirmer le nouvel aspect de l’alliance des « dix cornes » depuis l’adhésion des protestants nordiques et des pays de l’est orthodoxes, telle qu’Apocalypse 18:2-3 la décrit : « Il cria d'une voix forte, disant : Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande ! Elle est devenue une habitation de démons, un repaire de tout esprit impur, un repaire de tout oiseau impur et odieux, parce que toutes les nations ont bu du vin de la fureur de son impudicité, et que les rois de la terre se sont livrés avec elle à l'impudicité, et que les marchands de la terre se sont enrichis par la puissance de son luxe. » Ce verset est la description exacte du jugement que Dieu porte sur toute la société occidentale qu’il cible plus particulièrement que les autres nations de la terre parce que le nom de Jésus-Christ y est revendiqué et profané.
Dans le rôle de Babylone, nous avons la ville de Rome et son siège papal du Vatican.
Dans le rôle des esprits impurs nous avons le diable et ses démons célestes.
Dans le rôle du « vin bu par les nations », nous avons la doctrine catholique romaine et sa pratique du repos du premier jour « dominical ».
Dans le rôle des « rois de la terre », nous avons les puissants monarques et les puissants présidents des Républiques modernes occidentales.
Dans le rôle des « marchands de la terre », nous avons, depuis Marco Polo et avant et après lui, tous ces riches armateurs et groupes financiers qui enrichissent des commerçants occidentaux. Et bien sûr, en derniers, les commerçants de l’Amérique impérialiste capitaliste libérale dont Donald Trump le président élu en 2025 est le type même du genre.
En ce jour du Mardi 11 Mars 2025, on signale une grave catastrophe concernant un cargo américain transporteur de Kérosène victime d’un incendie après avoir été heurté par un navire. En mer du Nord.
Cette expression « marchands de la terre » raisonne dans la prophétie comme ces « marchands du temple » que Jésus a dénoncés et chassés, dans sa juste indignation. En fait, Dieu a une bonne raison pour pointer du doigt, dans cette dernière prophétie de l’Apocalypse, l’activité commerçante. Le commerce enrichit de biens matériels l’être humain, et la richesse détourne le riche de son attention pour Dieu. Le principe n’est pas nouveau ; il est perpétuel.
Dans le style de sa composition, le message du Christ est confirmé par cette double citation, « elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande ». On se souvient que Jésus utilisait l’expression, « en vérité, en vérité, je vous le dis » ; ceci, pour donner plus de force à la vérité de ses propos. Ici, il signe sa déclaration qui dépose une accusation contre la ville papale de Rome et ses adorateurs directs ou indirects.
L’impérialisme américain est à l’origine de la rencontre qui est organisée aujourd’hui, en Arabie où des émissaires ukrainiens et américains doivent se rencontrer en vue de construire les bases rendant possible la paix entre la Russie et l’Ukraine. La puissance des USA qui a, à l’origine, encouragé et aidé le combat de l’Ukraine contre la Russie est maintenant renversée à l’extrême ; le président Trump ne partageant pas l’opinion de son prédécesseur Joe Biden.
Le constat de l’inconvénient du régime démocratique versatile et changeant, risque de faire apprécier le régime des dictatures longtemps combattues et discréditées par les populations occidentales.
Nous assistons à un brusque renversement de situation qui conduit les humains vers la remise en cause de leurs valeurs qui ont condamné le nationalisme exacerbé jusqu’au simple nationalisme du type français RN. En fait, la construction européenne et son verbiage ont placé les populations occidentales dans une pensée analogue à celle de l’humanisme universaliste qui prévaudra après la fin de la Troisième Guerre Mondiale sur toute la terre pour toute l’humanité survivante. Cet état d’esprit commun va ainsi être frappé de mort successivement par la « sixième trompette » et après elle, par la « septième trompette » de Dieu au retour de Jésus-Christ. Ce qui va séparer ces deux trompettes c’est la dernière épreuve de foi que l’Esprit prophétise et confirme dans Apocalypse 3:10 : « Parce que tu as gardé la parole de la persévérance en moi, je te garderai aussi à l'heure de la tentation qui va venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants de la terre. »
Ce message ne peut pas profiter aux faux chrétiens qui n’ont pas la clé de sa compréhension. Jésus l’adresse uniquement à ses élus et le présente en forme positive, affirmative, mais aussi, conditionnelle, précisant : « parce que tu as gardé la parole de la persévérance en moi ». Il confirme ainsi, qu’il juge ses rachetés sur leurs « œuvres » qu’il constate ; des « œuvres » accomplies, individuellement, par chacun de ses élus rachetés. L’importance donnée aux « œuvres » confirme la déclaration inspirée à l’apôtre Jacques, citée dans Jacques 2:17 : « Il en est ainsi de la foi : si elle n'a pas les œuvres, elle est morte en elle-même. »
Le jugement de Dieu sur ses créatures est permanent, jour et nuit. Je relève l’importance du critère que constitue l’appréciation du temps par l’humanité. Elle pense toujours avoir devant elle le temps de se préparer pour répondre au problème qui se présente soudainement devant elle. Depuis le début de la guerre de l’Ukraine soit, depuis trois ans, la perspective et la crainte d’un affrontement des Européens contre la Russie existent et ont épouvanté les dirigeants européens. Dans sa parabole Jésus a donné son avis sur la valeur du temps de vie donné aux humains citée dans Luc 12:16 à 20 : « Et il leur dit cette parabole : Les terres d'un homme riche avaient beaucoup rapporté. Et il raisonnait en lui-même, disant : Que ferai-je ? Car je n'ai pas de place pour serrer ma récolte. Voici, dit-il, ce que je ferai : j'abattrai mes greniers, j'en bâtirai de plus grands, j'y amasserai toute ma récolte et tous mes biens ; et je dirai à mon âme : Mon âme, tu as beaucoup de biens en réserve pour plusieurs années ; repose-toi, mange, bois, et réjouis-toi. Mais Dieu lui dit : Insensé ! Cette nuit même ton âme te sera redemandée ; et ce que tu as préparé, pour qui cela sera-t-il ? »
Le problème qui se présente aux êtres humains qui vivent aujourd’hui est le même : ils ne savent pas que Dieu a décrété l’heure de leur mort, avant celle de l’anéantissement complet de toute l’humanité au retour de Jésus-Christ. Et s’ils ignorent ses desseins, c’est à cause de leur sous-estimation de l’importance de ses textes prophétiques et surtout, l’importance de leur obéissance qui constitue la seule preuve de la confiance qu’il place en lui. Dieu ne peut bénir que des êtres absolument convaincus qu’il est la source parfaite de l’intelligence, de la sagesse, de la vraie science, parce qu’il dit et qu’il est réellement le seul et unique Dieu Tout-puissant.
Comme « l’homme riche » de la parabole, les dirigeants européens se consultent pour renforcer leur équipement militaire. En ce jour-même une réunion à Paris rassemble à la demande du président Macron des chefs militaires de 30 nations occidentales. Mais pas un seul d’entre eux et des journalistes ou des hommes politiques n’envisage la possibilité d’une attaque russe très proche. Leur équipement militaire ne peut atteindre le niveau suffisant avant plusieurs années, entre 5 et dix ans, voire davantage. Et comme à « l’homme riche » de la parabole, Jésus s’apprête à leur dire « Insensé ! Cette nuit même ton âme te sera redemandée ; et ce que tu as préparé, pour qui cela sera-t-il ? » Leur situation est réellement comparable à celle de « l’homme riche », parce qu’ils représentent les pays dits « riches » et qu’ils ignorent que toute vie humaine va disparaître sur la terre, après le retour glorieux de Jésus-Christ attendu pour le printemps 2030.
Le modèle type suprême de cet homme riche est l’Américain si bien représenté par son président Donald Trump qui convoite les richesses minières de l’Ukraine depuis que le président Zelensky s’est servi d’elle pour tenter de gagner le soutien américain. Mais il faut relever que l’opinion de Donald Trump, sur l’Ukraine, était déjà faite et arrêtée avant cette offre des ventes des terres rares ukrainiennes.
De même que l’élection de Donald Trump a produit un renversement de situation pour l’Europe entière, l’attaque islamique prophétisée dans Daniel 11:40 va de nouveau étonner et épouvanter les peuples européens méridionaux. L’agressivité islamique est bien connue mais elle est restée sous estimée, étant considérée seulement à la lumière de quelques actions individuelles ou groupées accomplies depuis 1995 en France, aux Pays-Bas et récemment en Allemagne, principalement. La France compte néanmoins déjà quelques 300 morts civils tués par les islamistes.
Il est certain que l’attaque menée par l’islam intégriste va constituer la plus grande surprise pour les dirigeants occidentaux préoccupés par une éventuelle attaque menée par la Russie. Ainsi, la Russie et l’Ukraine portent un rôle de diversion qui fait sous-estimer le risque islamique. Et à son tour, l’attaque islamique fera diversion, pour favoriser l’attaque russe redoutée.
Au jour de cette attaque imprévue par les êtres humains, mais révélée par Dieu à ses seuls vrais élus, tout le travail laborieux effectué par les politiciens américain sera réduite à néant. Je précise qu’une fois de plus, la priorité au risque islamique dénoncé continuellement par le RN de Marine Le Pen, va donner raison à ce parti diabolisé par le président Macron.
Quelle sera la réaction de Donald Trump quand il verra fondre tous ses espoirs de paix universelle ? Ne voulant pas la guerre il se retirera, ruminant l’heure et la forme de sa vengeance contre la Russie conquérante et victorieuse sur le sol entier de l’U.E.
Car Donald Trump place réellement son espoir dans la paix universelle, pensant que tout homme ou pays s’achète ; question de prix uniquement. Son état d’esprit étonne et choque les caractères des gens européens habitués à l’opposé à se sacrifier pour l’intérêt partagé par toute la communauté de l’U.E. C’est à ce titre, que les pays riches subventionnent les aides des pays pauvres entrants. Mais cette générosité demandée et exigée de la part des peuples est une escroquerie hypocrite, car en réalité, l’entrée de pays pauvres favorise par leur exploitation l’enrichissement des groupes financiers investisseurs. L’attitude de Donald Trump a au moins le mérite d’afficher clairement sa nature mercantile insatiable. Et s’il peut se permettre d’être aussi transparent c’est précisément parce qu’il n’a pas reçu de formation politique.
Au terme de cette journée du Mardi 11 Mars 2025, la rencontre entre les Américains et les Ukrainiens se solde par l’accord d’une cessation de feu provisoire de 30 jours, sur terre, sur mer, et dans le ciel. La proposition sera ensuite présentée à la Russie, mais aucune autre condition n’a été évoquée. En théorie, l’idée de cesser le feu est souhaitable pour tout être pacifique, mais pour les chefs militaires engagés dans le combat cette idée est insupportable, voire inacceptable. Toutefois, ils peuvent se résigner et obéir à leur chef national, mais ils garderont pour longtemps des sentiments vengeurs contre l’ennemi. Le sujet explosif de l’accord est évité car il dépend de la position russe. La paix ! Oui ! Mais sous quelles conditions ?
Ce détail est de loin le plus important de la démarche : que peut lâcher l’Ukraine dans cet accord ? De plus, au moment de la décision que l’Ukraine doit prendre, un soutien militaire européen se construit sous l’engagement du président Macron. Si la victoire ou l’éventuelle possibilité de la victoire se dessine pourquoi signer des accords préjudiciables ?
Ainsi les efforts du président Trump en faveur de la paix sont paradoxalement affaiblis par les arrogances guerrières organisées par le président Macron. Le chef des nouveaux Romains saura se souvenir de cet effet destructeur de sa démarche, et il trouvera là, une juste raison de laisser la France subir la dévastation perpétrée par les armées russes.
La situation mondiale actuelle rappelle étrangement celle qui prévalut en – 168 pour le roi séleucide Antiochos IV Epiphane, ce qui signifie l’illustre. Daniel 11 le présente entre les versets 21 à 33. Mais c’est le témoignage des historiens qui rapporte des détails intéressants à relever. Dans sa dernière campagne menée en – 168 contre ses ennemis qui n’étaient autres que ses neveux et sa nièce lagides égyptiens, deux Ptolémée et une Cléopâtre, Antiochos IV fut bloqué et stoppé par l’intervention du légat romain nommé Popilius Laenas. Détail parlant, il traça un cercle sur le sol autour des pieds du roi grec séleucide et lui intima l’ordre de ne sortir de ce cercle qu’avec l’acceptation ou le refus d’obéir à l’ordre donné, au risque d’être tenu pour ennemi de Rome, en cas de refus. A l’époque, Rome disposait d’une puissante base maritime installée sur l’île de Chypre. Elle était devenue l’autorité suprême mondiale du moment et pour longtemps. Avant lui, et avant le roi Séleucos IV mort assassiné puis son fils Démétrios écarté par les Romains, le roi Antiochos III, son père, avait subi une cuisante défaite en étant battu par l’armée romaine. Son pays fut soumis à une lourde dette et le futur Antiochos IV, son plus jeune fils, fut pris en otage par les Romains. Les rois séleucides avaient donc compris ce qu’était la puissance militaire romaine dont la devise latine était « lex dvra lex » soit, la loi est dure mais la loi est la loi.
Aujourd’hui, dans ce rôle de Popilius Laenas, nous avons le président Trump qui, s’appuyant sur sa puissance militaire bien réelle, se contente de faire pression sur les deux belligérants ukrainien et russe. Seulement, convaincre le chef ukrainien en difficulté est beaucoup plus facile que convaincre la Russie en situation de force et de domination, étant elle-même depuis longtemps un pays puissamment armé.
Dans sa situation actuelle, sans la force des USA, l’OTAN est comme la foi qui renie ce qui en fait sa force soit, une ombre trompeuse affaiblie. Pour la Russie, qui se trouve en position de force et reprend, lentement mais sûrement, le territoire russe de Koursk occupé par les Ukrainiens, l’heure actuelle n’est pas favorable au « cessez le feu » proposé par Donald Trump. Je pense que les Russes vont demander aux Américains de mettre au frais l’offre actuelle, en attente de leur reconquête complète du territoire de Koursk.
Je pense que le jugement que les Occidentaux européens portent sur la capacité militaire de la Russie est faussé parce que Vladimir Poutine a voulu donner à son intervention contre l’Ukraine une forme conforme à son « opération spéciale » qui contredit tout projet d’attaque contre l’Occident. Ils oublient qu’en situation de guerre mondiale, la Russie lancera des attaques multiples simultanées contre tous les pays occidentaux qui ne sauront pas unifier leurs forces, ayant à résister localement chacun chez soi.
Du côté de l’Ukraine, la rencontre tumultueuse entre Zelensky et Donald Trump a porté son fruit. Le très combattif Volodymyr Zelensky vient de vivre la plus grande peur de sa vie qui consiste à perdre totalement le soutien américain. Il n’est donc pas étonnant qu’il revienne soumis et prêt à signer tout ce que les USA lui présente, car rien ne serait pire pour lui que d’avoir contre lui, la colère américaine. Il ne perd pas espoir que la tentative de paix américaine échoue mais préfère en laisser la responsabilité à la Russie qui n’a réellement rien à gagner dans une paix immédiate.
J’apprends que ce 11 Mars 2025, 40 ans se sont écoulés depuis l’élection de Mr Gorbatchev soit, depuis l’année de la fin de l’alliance soviétique et l’heure de l’ouverture de la Russie aux Occidentaux ; l’heure de la « Transparence ». Les 80 années de paix commencées en 1945 sont donc aussi 40ans + 40 ans pour la Russie ; 40 ans d’alliance soviétique + 40 ans d’ouverture vers l’Occident.
J’entends des gens critiquer l’autocratie de Donald Trump par des Français qui oublient que la 5ème Constitution de leur République offre un pouvoir autocrate à son président, sans qu’ils trouvent la chose anormale ; l’autocrate est toujours chez les autres. A l’inverse, aux USA, le président Trump bénéficie d’une majorité exceptionnelle dans toutes les sphères gouvernementales du pays.
M22- L’actualité mondiale en fables
Ma première fable est une parodie calquée sur « le corbeau et le renard » attribuée à Jean de la Fontaine, sauf que le corbeau est remplacé par des poules.
Je n’en ferai pas mystère, mon renard a pour nom Volodymyr Zelensky président de l’Ukraine depuis l’année 2019.
Ce renard ukrainien voulait entrer dans le poulailler européen, mais un grillage bien solide et une porte l’empêchait d’entrer. En 2013, il défoula sa colère sur les petits oursons d’une ourse puissante qui le regardait faire ruminant sa vengeance. Il attendit quelques années et revint en 2022 se présenter devant le poulailler européen se disant en danger de mort parce que menacé par une ourse mal léchée. Bonnes enfants mais pas dupes, les poules et le coq du poulailler hésitaient sur la conduite à suivre. Faire entrer un renard dans un poulailler, c’était livrer à la mort plusieurs poules ; d’autre part, peut-on rester insensible à la détresse de ce pauvre renard menacé de mort ? Le renard se souvint de la fable du corbeau et du renard et se mit à flatter les poules, leur disant que leur plumage était beau et que leur caquetage était le plus beau chant entendu dans les ramages de la nature. Rougissantes de plaisir devant ces compliments, nos poules européennes prirent la décision d’offrir une partie de leurs œufs au renard flatteur, mais ne lui ouvrirent pas, cependant, la porte du poulailler. Le renard était ainsi pris en charge par les poules, mais il avait à répondre aux attaques de l’ourse rendue furieuse par la mort de ses petits oursons. Nos poules européennes s’étaient conduites comme le corbeau de la fable ; elles étaient victimes d’un rusé flatteur. Les poules européennes avaient été influencées par l’avis des poules américaines dont le coq en chef était Joe Biden. Puis ces poules américaines changèrent leur chef de basse-cour. Un nouveau coq fut élu, nommé Donald Trump.
Le nouveau coq était l’opposé absolu du précédent. Sa seule politique était de type mercantile. L’aide en œufs donnée au renard coûtait fort cher et le nouveau coq voulait mettre fin à cette aide, mais il sous-estima la force de la ruse du renard. Le renard savait combien le nouveau coq était intéressé par la richesse et il lui proposa de gérer ses terres rares d’une très haute valeur, après leur exploitation difficile et coûteuse. Dans un premier temps, le renard refusa de signer l’acte de vente du projet minier. Dans la puissance absolue d’un aigle royal, suite à un second refus de signer, le coq américain malmena le renard dans une rencontre officielle qui eut lieu, chez lui, à Washington, le lieu de sa basse-cour. Ceci eut tant d’effet mondial qu’une partie des poules américaines lui en fit le reproche. Or, dans son orgueil naturel, le coq américain ne veut pas déplaire à ses poules américaines et il organisa une nouvelle rencontre, cette fois en Arabie, avec des renardeaux représentant le renard. Ayant été menacé par le coq de cesser de l’approvisionner en œufs et de l’abandonner à la colère de l’ourse, le renard changea sa stratégie. Il ne devait perdre à aucun prix le soutien du coq américain. Il était donc dans l’intérêt du renard d’impliquer le coq dans son camp ; car ce coq américain puissant comme un aigle royal aurait, dans le territoire du renard, des intérêts à défendre contre l’agressivité de l’ourse. Son attitude changea donc subitement, acceptant toutes les conditions imposées par le coq américain.
Dans cette stratégie nouvelle employée par le renard, celui qui se fit avoir, fut le coq américain, pris au piège de sa convoitise insatiable. Car la soumission du renard l’oblige à lui redonner les œufs de ses poules ; ce qui était exclu à l’origine de sa démarche ; le voilà donc piégé par ses propres décisions.
En Arabie, le renard et le coq américain sont tombés d’accord pour un cessez-le-feu d’un mois entre le renard et l’ourse. Mais l’ourse n’a encore pas dit qu’elle acceptait de signer l’accord qui, en plus, ne répond pas aux conditions imposées par l’ourse dans ses échanges téléphoniques avec le coq américain. Tous les animaux de la planète qui suivent avec passion le déroulement de ces faits se font balader par les actions du coq, qui manquent visiblement de clarté et de ligne ferme, excepté son désir de paix. Et pour notre coq américain faire accepter par l’ourse d’autres conditions qu’elle a établies et déjà fixées, c’est une autre affaire qui frise l’impossible. Ceci, d’autant plus que le coq ne dispose plus de moyens de pression sur l’ourse, car tous, ou presque tous ceux qui étaient possibles ont été déjà appliqués, et sans obtenir le résultat recherché.
La suite du feuilleton de l’actualité est donc facilement prévisible. L’ours va refuser cet accord non conforme à son exigence déjà formulée. Après le temps d’une trompeuse réussite, le coq américain va à terme essuyer un terrible échec et, très contrarié, il va devoir se résigner à abandonner son projet de paix. Il vient d’ailleurs de dire en ce 12 Mars qu’en cas de refus de l’ourse, je cite : « des gens continueront à mourir pour rien ». Quel sera alors sa décision ?
Je pense que contrairement à ce qu’espèrent des poules journalistes européennes, le coq américain va se désengager du problème du renard, acceptant même de renoncer à ses richesses minières. Il reviendra donc à son programme initial, abandonnant le renard au seul soutien des poules européennes, jusqu’à ce que l’ourse vienne les croquer tous en même temps.
Dans sa basse-cour américaine, le coq va se changer en aigle royal puissant et redoutable. Plein de rancœur, il en veut à tout le monde, à l’ourse bien sûr, au renard qui l’a manipulé, mais aussi au coq français qui se faisant chef de guerre du poulailler européen a affaibli ses chances de faire la paix avec l’ourse. Car parlant tous pour obtenir la paix, la basse-cour européenne pense l’obtenir par la guerre, alors que le coq américain pense l’obtenir par la paix immédiate. Or, les deux tentatives sont vouées à l’échec, parce que le Dieu tout-puissant fait échouer les tentatives de paix et favorise tout ce qui provoque la guerre. Le temps lui appartient, la décision est sienne, et l’animale humanité rebelle dispersée sur toute la terre est depuis longtemps son ennemie.
Le poulailler européen va être surpris par l’attaque de multitudes de pintades agressives venues du « midi », et parmi elles, de nombreuses déjà présentes dans la basse-cour. Cette attaque « surprise » va obliger les poules européennes à envoyer leurs forces combattantes dans ce « midi » agressif. L’ours trouvera là, l’occasion idéale pour assouvir sa vengeance et elle forcera les défenses du poulailler européen, dérobant les œufs et croquant des poules, elle se remboursera les intérêts de ses avoirs gelés, et peut-être confisqués, pour les donner en aide au renard et ses renardeaux. Mis à feu et à sang, le poulailler européen est dévasté. C’est le moment que l’aigle royal choisit pour intervenir et anéantir la maison de l’ourse et ses oursons. Reposé et bien préparé, l’aigle royal frappe en premier l’ourse par surprise. Et ce coup fatal décide de l’issue du combat. L’aigle est vainqueur et l’ourse n’est plus.
Ma deuxième fable parodie cette fois la fable de « la cigale et la fourmi » du même Jean de la Fontaine, dont le nom même évoque une pureté enfantine quasi divine. Je renvoie les lecteurs intéressés vers les œuvres originales et me contente d’exploiter leurs leçons.
Distribution des rôles
La fourmi : la Russie
La cigale : l’Europe
La thermite : l’Amérique
C’est si vrai ! Depuis 1945, la fourmi soviétique s’est montrée besogneuse avec ses symboles parlants de « la faucille et du marteau » qui ont permis de créer des richesses essentiellement consacrées à la production de l’armement militaire. Car depuis 1945, la concurrence s’est engagée entre la fourmi et une grosse thermite grosse mangeuse, insatiable, américaine.
Entre les deux extrêmes, au centre, en Europe, une cigale passait son temps à chanter car c’était l’été, le temps chaud qui ne favorise pas l’amour du boulot. Elle allait et venait, faisant des tournées artistiques et dépensait sans compter tout ce qu’elle avait et recevait, mais sans préparer ses armées ; car c’était la paix.
De son côté depuis le printemps, la fourmi travaillait pour son équipement ; prévoyant sagement des temps moins cléments. De la cave au grenier, elle a fait le plein, en obus, en fusées, préparés pour la fin.
Le beau temps ayant comme toute chose une fin, l’automne vint et la cigale eut faim. Un danger la menaçait, car la fourmi était irritée. Et le comportement de l’amie thermite s’était inversé. Aux armes ! Aux armes, criait-elle ! Mais d’armes, elle n’en avait point ou pas assez pour résister à la fourmi quand elle vint l’attaquer. Moralité : chantez et dansez cigales, mais demain, vous serez mangées.
Le temps perdu ne se rattrape jamais – Notre cigale réalisa trop tard son erreur, alors qu’elle ne pouvait plus produire l’armement nécessaire dans le temps de vie que Dieu lui a destiné dans son programme.
Jean de la Fontaine a imagé tant de situations différentes en regardant les humains et les animaux que les leçons de ses fables constituent un recueil de sagesse. Aux deux fables déjà présentées, j’ajouterai volontiers la morale finale du corbeau et du renard : « le corbeau honteux et tout confus jura mais un peu tard qu’on ne l’y reprendrait plus ». Mais la réalité actuelle est bien plus dure, car elle n’offrira pas à nos corbeaux actuels la possibilité de profiter de leur malheureuse expérience qui va les conduire massivement à la mort.
M23- Le vrai sens des choses
Pour le grand Dieu créateur venu se révéler en Jésus-Christ, l’humanité entière est à l’image de la vie animale, composée de végétariens, de carnassiers et même d’espèces cannibales. Parmi les plus dociles et les plus doux, se trouvent les brebis, les agneaux, soumis au bélier conducteur du troupeau. En l’absence d’un berger assisté par ses chiens, les brebis avancent continuellement uniquement préoccupées de brouter l’herbe qui est devant leurs yeux. Elles peuvent ainsi se disperser sans s’en rendre compte et s’égarer, en se retrouvant isolées dans des lieux pleins de dangers mortels.
Note que Dieu n’a pas doté la brebis d’armes agressives ou défensives, ni de la capacité de fuir rapidement. Elle n’a pas de crocs ni de griffes et incarne la totale vulnérabilité. Ceci parce qu’elle représente exactement l’image de ce que doit être un élu racheté par Jésus-Christ. C’est sur ce modèle que Jésus a construit son Eglise, son Assemblée d’élus fondée sur ses douze apôtres, tous choisis par lui en connaissance absolue de leurs différents caractères ; celui de Judas, compris. Et déjà son nom « Judas » faisait de lui l’image prophétique du royaume de Juda ayant pour capitale la ville de Jérusalem. Celui qui vendit Jésus aux Juifs religieux pour trente deniers était à leur image ; le traître pour la cause de Dieu. Les onze autres apôtres formaient avec Jésus en pierre angulaire, la principale, le fondement de son Elue spirituelle ouverte aux humains de toute race, de tout peuple, sur toute la terre.
En l’an 65, les terribles persécutions, du diabolique empereur mégalomane et matricide, Néron, nom qui vient du latin « nero » qui signifie noir soit, ténébreux, ont fait mourir cruellement et injustement tous les apôtres excepté Jean. Son nom signifie : Dieu a donné. Persécuté à son tour par l’empereur Domitien, il s’avéra que Jean était rendu par Dieu indestructible, ayant résisté et survécu à un bain d’huile bouillant. L’empereur le mit donc à l’écart en l’exilant isolé sur l’île de Patmos où Dieu lui a donné la vision nommée Apocalypse ; mot traduit du grec « Apocalupsis » qui signifie : Révélation.
Le sort donné aux 12 apôtres prophétisait le projet de Dieu de 2000 ans d’histoire terrestre.
La mort de l’apôtre Judas prophétisait la mort de l’Israël charnel et rebelle de l’ancienne alliance.
La mort de 10 apôtres prophétisait le temps de la domination romaine ténébreuse impériale, puis papale à partir de 538. (10 apôtres pour le temps des « dix cornes » de Daniel 7:7-24)
La vie indestructible de Jean prophétisait « le temps de la fin » vécu par les derniers adventistes du septième jour dissidents attendant le retour de Jésus-Christ pour le printemps 2030.
C’est en effet aux derniers adventistes que Jésus destine cette Révélation précieuse qui ne devait ni ne pouvait être comprise qu’en 1995 soit, après avoir tiré les leçons de la 3ème fausse attente du retour de Jésus pour le 22 Octobre 1994.
Tu peux le relever, dans ces trois points, je ne cite pas l’œuvre de la Réforme protestante. Je ne fais que tenir compte du jugement divin qui est révélé prioritairement par le livre historique et prophétique écrit par le prophète Daniel dont le nom signifie, précisément : Mon Juge est Dieu. Dieu tient en horreur la tiédeur et il le dit dans Apocalypse 3:16 : « Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n'es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche ». Ce message condamne l’adventisme institutionnel que Jésus juge « tiède ». Or l’adventisme du septième jour honore le sabbat qui est pratiqué de manière traditionnelle et universelle officiellement depuis 1873 ayant eu un caractère uniquement américain depuis 1863, année de la création de l’Eglise adventiste du septième jour. En quoi consiste sa « tiédeur » ? Le manque d’amour de la vérité, et de la vérité prophétique qui garde encore tous ses secrets même au sujet du sabbat à l’heure où Dieu m’a appelé pour éclairer progressivement intégralement cette compréhension vitale soit, au printemps 1975, par une vision nocturne, et en 1980 par mon baptême adventiste.
Etant une outre neuve, Jésus pouvait me remplir d’un vin nouveau, je n’avais jamais été baptisé avant ce 14 Juin 1980 et je n’avais que fréquenté, plus ou moins assidûment, l’église Réformée protestante. Entre 1974 et 1980 mon intérêt pour la Bible n’a fait que croître et la « Tragédie des Siècles », l’ouvrage écrit par Ellen White la messagère adventiste du Seigneur Jésus-Christ a réussi à m’arracher à ma passion musicale, après deux présentations différentes de l’ouvrage par deux personnes qui ne se connaissaient pas. J’ai trouvé dans ce livre les clés qui me manquaient pour comprendre le juste jugement de Dieu. Avec ces clés, la prophétie s’ouvrait devant moi, et l’Esprit de Dieu ou de son ange a dirigé ma lecture, les déductions, mes raisonnements, et ma juste exploitation des preuves bibliques donnant la signification des symboles cités dans les textes prophétiques de Daniel et Apocalypse. Je pense pouvoir réellement dire que j’ai été le premier homme pour lequel Apocalypse est devenue Révélation. Pour ne pas créer de confusion, je continue à le nommer Apocalypse, mais ce nom obscur ne correspond plus à la claire compréhension que j’ai maintenant de tout ce qui y est révélé ; c’est pourquoi, Apocalypse est devenue dans mon cœur et mon esprit : Révélation.
Ainsi l’adventisme institutionnel officiel est tombé en disgrâce à cause de sa « tiédeur » puisque Jésus l’exigeait « bouillant » pour rester digne de sa grâce. La pratique traditionnelle du sabbat ne le protège plus et ne le sanctifie plus. Car selon son programme dans lequel sa lumière est comme la lumière resplendissante du soleil qui s’en va croissant depuis l’aube jusqu’au milieu du jour, son exigence concernant ses élus croît, elle aussi, parallèlement.
Qu’est-ce que l’adventisme du septième jour ? Rien d’autre qu’une assemblée de chrétiens protestants décidés à achever la réforme restée inachevée depuis le XVIème siècle. C’est cette satisfaction d’une réforme inachevée qui conduit Dieu à contester aux Protestants, leur nom « protestants » qu’ils ne méritent plus de porter ; précisément, parce qu’ils ne protestent plus mais fraternisent avec le catholicisme papal, l’ennemi de Dieu depuis sa création, catholique en 313 et papal en 538. Cette alliance constitue le fruit d’un jugement humain différent du jugement divin. On voit que les faux protestants et Dieu ne reprochent pas à la religion catholique les mêmes choses. Les faux protestants ne lui reprochaient que la violence de ses persécutions. Pour sa part, Dieu lui reproche son mépris pour toute sa parole divine écrite : sa sainte Bible ; dont elle a fait interdire la lecture personnelle dans son règne ténébreux ; dont elle a réduit et transformé le texte originel de ses dix commandements.
Il n’est pas difficile de comprendre ces choses :
le Juif qui n’a pas la foi pour Jésus-Christ n’est plus un Juif pour Dieu.
Le Catholicisme n’a jamais été reconnu par Dieu.
Le Protestantisme a perdu son statut protestant en 1843.
L’Adventisme du septième jour institutionnel a perdu son statut béni et sanctifié en 1994.
Toutes ces chutes sont causées parce que les groupes cités refusent d’offrir au Dieu créateur la gloire d’une Réforme complète et achevée qui redonne à l’Elue de Dieu sa gloire resplendissante apostolique et plus encore si la chose est possible. Notre dernière génération d’élus bénéficie d’une lumière divine incomparable, car Dieu a éclairé sa prophétie qui révèle le sens du vécu passé et celui de l’avenir.
Dieu a permis à ses élus d’identifier les mensonges que de fausses traductions des textes bibliques originaux écrits « en hébreu et en grec » comportent pour justifier des pratiques condamnées par Dieu. Je souligne ces deux fruits diaboliques que sont le culte du premier jour de la semaine et la prière adressée à Dieu en position debout. Pour le culte du premier jour, la seule référence trompeusement revendiquée pour le justifier est ce verset : Actes 20:7, mal traduit du grec. Dans le texte grec, il est écrit : « Le premier sabbat, nous étions réunis pour rompre le pain. Paul, qui devait partir le lendemain, s'entretenait avec les disciples, et il prolongea son discours jusqu'à minuit. » Le mot « jour » rajouté par le traducteur n’existe pas dans l’original grec. Et le mot « semaine » désigne donc le « sabbat » et non la « semaine » ; les deux mots étant désignés en grec par le même mot « sabbaton ». Le récit décrit devient ainsi très logique après le verset 6 où il est dit : « Pour nous, après les jours des pains sans levain, nous nous embarquâmes à Philippes, et, au bout de cinq jours, nous les rejoignîmes à Troas, où nous passâmes sept jours. » l’homme Juif converti au Christ, qu’est Paul, respecte le temps « des pains sans levain » de la fête de Pâque. Son séjour à Troas est de « sept jours » et dans ces « sept jours » se présente le premier sabbat, jour du culte chrétien où les saints « rompent le pain », comme Jésus l’a enseigné. Le fait que Paul devait repartir le lendemain, confirme que ce jour de réunion était un sabbat honoré par son repos à Troas.
Cette tromperie repose sur l’ajout du mot « jour » qui fait de cette traduction une interprétation et non une traduction sincère et honnête. Ce verset étant dénoncé, il ne reste aucun moyen de justifier le culte rendu à Dieu le premier jour de la semaine. Il ne reste donc que le signe hérité du paganisme romain impérial de Constantin 1er qui l’a ordonné par son décret du 7 Mars 321.
La deuxième faute concerne l’abandon de la prosternation dans la prière adressée à Dieu. Faut-il que je le répète ? Ce comportement révèle la perte du sens du mot sacré, du mot sainteté, du mot divinité que seul le Dieu créateur représente, n’ayant en face de lui aucun autre esprit créateur comme le sien. Et à ce sujet, il a fallu encore une injuste traduction du texte grec de Marc 11:25 dans lequel le verbe grec « istemi » présenté sous la forme « stékété » désigne une attitude de fermeté et non la position debout qui est rendue par la forme « stasis ». Il semble que le diable ait particulièrement choisi le traducteur Oltramare pour falsifier sa version du texte grec de la nouvelle alliance. Ce n’est donc pas sans raison que sa version a été reprise par Louis Segond pour ses célèbres versions très appréciées par les lecteurs de la langue française privilégiée par les imprimeries protestantes calvinistes de Genève.
Ceci est la version faussée : « Et,
lorsque vous êtes debout faisant votre prière, si vous avez quelque
chose contre quelqu'un, pardonnez, afin que votre Père qui est dans les cieux
vous pardonne aussi vos offenses. »
Ceci est version la plus correcte : « Et, lorsque fermement, vous faites votre prière, si vous avez quelque chose contre quelqu'un, pardonnez, afin que votre Père qui est dans les cieux vous pardonne aussi vos offenses. »
L’attitude que nous avons dans la prière révèle la conception individuelle que nous avons de Dieu. Etant en prière, nous sommes des suppliants qui s’adressent et parlent au Dieu vivant qui nous regarde et se tient devant nous, même s’il reste invisible. Celui qui se prosterne devant sa face montre qu’il le voit tel qu’il est. Celui qui reste debout en prière montre qu’il ne le voit pas tel qu’il est, puissant et redoutable pour ceux qui le méprisent, mais bon et compatissant pour ceux qui l’honorent comme on doit l’honorer.
Le thème de ce verset est l’obtention du pardon de « Dieu » qui « résiste aux orgueilleux et fait grâce aux humbles », selon ce qui est écrit dans Jacques 4:6 et 1 Pierre 5:5. Or, cet « orgueilleux » et cet « humble » sont les exemples cités par Jésus dans Luc 18:10 à 14 : « Deux hommes montèrent au temple pour prier ; l'un était pharisien, et l'autre publicain. Le pharisien, debout, priait ainsi en lui-même : O Dieu, je te rends grâces de ce que je ne suis pas comme le reste des hommes, qui sont ravisseurs, injustes, adultères, ou même comme ce publicain; je jeûne deux fois la semaine, je donne la dîme de tous mes revenus. Le publicain, se tenant à distance, n'osait même pas lever les yeux au ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : O Dieu, sois apaisé envers moi, qui suis un pécheur. Je vous le dis, celui-ci descendit dans sa maison justifié, plutôt que l'autre. Car quiconque s'élève sera abaissé, et celui qui s'abaisse sera élevé. »
Quiconque s’approche de Dieu pour obtenir sa protection et son salut doit comprendre, qu’étant lui-même parfaitement parfait, ses leçons ne mettent en mots que des sens opposés à l’extrême. Entre les deux, se situe la tiédeur, l’imperfection qu’il déteste et insupporte. Il oppose ainsi ; le froid au bouillant, les ténèbres et la lumière, l’orgueilleux à l’humble, définissant ainsi les critères de son camp et celui du diable ; les deux camps étant porteurs de valeurs diamétralement opposés.
Quel était le problème du pharisien cité par Jésus ? Tout ce qu’il dit est justifiable, mais il montre son orgueil en oubliant qu’il est porteur du péché qu’il a hérité comme tous les humains depuis Adam et Eve. Il est peut-être trompé sur la valeur qu’il donne aux sacrifices animaliers offerts pour le pardon des péchés selon les rites ordonnés par Dieu dans l’ancienne alliance. Mais, l’intelligence humaine est tenue responsable quand elle donne à un animal la même valeur qu’à l’être humain créé à l’origine à l’image de Dieu. Or, les pharisiens de son époque se trouvent confrontés à cette parfaite image de Dieu portée par Jésus-Christ. C’est pourquoi par cette parabole, Jésus accuse d’orgueil tous les pharisiens de son ministère, et au-delà, tous les pharisiens chrétiens qui vont apparaître jusqu’au moment de son retour glorieux au printemps 2030.
Les vrais « fils de Dieu » passent inaperçus, tant ils sont rares en nos jours où la science et la technologie accaparent les priorités des esprits humains. Mais au fil du temps, d’une manière intemporelle, la lecture de la sainte Bible est restée le moyen de porter l’attention sur Dieu et ses glorieuses activités.
L’expression « jour du Seigneur » apparaît en de nombreux textes de la nouvelle alliance, mais partout où elle apparaît, elle désigne uniquement le jour glorieux de son retour final, en lequel, précisément, le repos du sabbat du septième jour qui le prophétise trouvera son parfait accomplissement dans le septième millénaire au début duquel il apparaîtra dans sa gloire céleste.
On ne trouve donc, dans les écrits de la nouvelle alliance, aucune citation de l’expression « jour du Seigneur » qui soit rattachée à un jour de repos particulier qui puisse justifier le repos actuel du premier jour.
Le faux christianisme qui honore le repos de ce faux « jour du Seigneur » se trouve donc dans la situation paradoxale d’être détruit par Jésus-Christ au moment du vrai « jour du Seigneur ». La sagesse de Dieu est confondante, car je relève qu’il fait prophétiser par ses ennemis leur sort terrible final.
A l’opposé, les élus obéissants qui honorent Dieu en pratiquant le sabbat du septième jour prophétisent leur entrée dans l’éternité du septième millénaire. Le premier jour et le septième jour sont bien des signes d’appartenance aux deux camps diamétralement opposés ; celui du diable et celui du Dieu vivant, le grand Dieu créateur.
Notre lecture de la Bible s’enrichit
considérablement quand on entre dans le mode de la pensée de Dieu qui regarde
la vie par le prisme de ses opposés absolus. C’est en appliquant ce principe
que j’ai eu la certitude que Dieu ferait connaître à ses serviteurs fidèles la
date du temps de son retour final. Ceci grâce à ce verset d’Apocalypse
3:3 : « Rappelle-toi donc
comment tu as reçu et entendu, et garde et repens-toi. Si tu ne veilles pas, je
viendrai comme un voleur, et tu ne sauras pas à quelle heure je viendrai sur
toi. » Il suffit de renverser la forme négative du texte en forme
positive et nous obtenons : « …
Si tu veilles, je viendrai comme un voleur, et tu sauras à quelle heure
je viendrai vers toi. »
Ma confiance a été récompensée puisqu’en 2018, au début du printemps, l’Esprit a dirigé mon esprit vers le calendrier juif qui a permis de situer la mort de Jésus le mercredi 3 Avril 30. 2000 ans plus tard mais au premier jour du printemps, Jésus reviendra confirmant cette explication.
Nous ne devons individuellement jamais nous sentir liés par la participation ou le baptême pris dans une église quelle qu’elle soit. Le seul lien qui reste indispensable c’est notre lien avec l’Esprit de Dieu et toute sa vérité. En son temps, l’apôtre Paul a commis l’erreur de rester fidèle à sa religion juive héritée. Et il a persécuté les saints rachetés de Jésus-Christ en croyant honorer Dieu par son zèle. Depuis son expérience, d’innombrables âmes humaines se perdent pour la même raison. Les amitiés, la famille, terrestres, n’offrent pas la vie éternelle ; Dieu seul la propose et encore, sous ses conditions.
Etant libres dans tous nos choix, nous avons tous des opinions personnelles au sujet de beaucoup de choses dans tous les domaines de la réflexion. Mais nos opinions personnelles ne comptent que pour peu de chose quand on les compare au jugement de Dieu. Seule sa façon de juger la vie importe, car elle est obligatoirement la meilleure, la plus sage, la plus juste donc, la plus précieuse à connaître et à partager avec lui.
Après un échange sur ce sujet, j’aborde ici un principe utilisé par Dieu. Ce principe consiste à prêcher le faux pour savoir le vrai. Dans ce cas précis le faux diffère du mensonge parce que sa motivation est bonne. J’ai été ébloui par la sagesse divine révélée par le roi Salomon qui réussit à démasquer la fausse mère et à identifier la vraie mère d’un enfant objet de la dispute. Pour obtenir ce résultat, prévoyant la réaction de la vraie mère, il n’hésite pas à ordonner de couper le corps de l’enfant en deux parties. La vraie mère s’identifie en préférant dans ce cas renoncer à son enfant.
Cette méthode est si efficace que Dieu l’emploi constamment quand il met à l’épreuve de l’attente du retour de Jésus ses rachetés en 1843, 1844, et 1994. Ces dates ne sont pas des inventions humaines mais des poteaux indicateurs construits sur des durées chiffrées citées dans la sainte Bible. Et la chaîne complète de ces dates utilisées dans l’histoire accomplie est – 457 ; + 27 ; 538 à 1798 ; 1828 ; 1844 ; 1873 ; 1994. La précision de ces dates était si peu importante que les dates construites sur la chaîne, ayant pour base – 457, est fausse d’une année ; car j’ai découvert cette erreur tardivement. Dans Esdras 7:7, « la septième année du roi » Artaxerxès est – 458 ; sa première année étant en – 465 ; ce qui donne ensuite les dates + 26 ; 1843 ; 1993. Mais cette rectification justifiée n’a plus de réelle utilité, les événements ciblés par ces dates ayant tous été accomplis.
A chacune de ces dates Dieu rattache un enseignement vital, car dans toutes les épreuves qu’il organise, le principe des opposés absolus est appliqué, le conduisant à bénir un comportement et à maudire le comportement inverse. Les trois fausses attentes du retour de Jésus-Christ ont été pour Dieu le moyen d’identifier ses rachetés jugés dignes de sa bénédiction et de démasquer à l’inverse ceux de ces rachetés trouvés indignes de sa bénédiction et donc seulement dignes de sa malédiction. Quand une date annonce le retour de Jésus-Christ, chaque créature humaine réagit selon sa propre nature, avec foi, ou sans foi, ou encore dans l’indifférence. Dieu agit alors envers elle en conséquence, selon ce qu’elle mérite.
Dans la prophétie, une deuxième chaîne de dates se construit sur la date 538 qui a marqué l’heure de l’instauration du régime papal romain. Les dates suivantes obtenues sont : 1798, fin du règne intolérant papal ; 1828, début de l’attente adventiste et 1873 fin du temps des deux premières épreuves adventistes. Le Seigneur de vérité m’a réservé l’exclusivité de la définition de ces deux dates 1828 et 1873 obtenue par les durées 1290 et 1335 jours citées dans Daniel 12:11-12. Cette chaîne commence en 538 et s’arrête en 1873. Elle vient révéler le statut maudit de la religion protestante mise à l’épreuve entre 1828 et 1873. Car ce n’est qu’en 1873 que la lumière divine éclaire la justification des deux attentes adventistes de 1843 et 1844. En réalité, c’est l’instauration officielle universelle de l’église adventiste du septième jour, en 1873, qui condamne définitivement la religion protestante testée et condamnée par son attitude en 1843 et 1844. C’est la restauration du « sabbat du septième jour » qui est venue confirmer la poursuite de l’œuvre de réforme exigée par Dieu. Mais il serait faux de retenir uniquement la pratique du sabbat, car la cause principale de la malédiction protestante concerne d’autres vérités très importantes, comme la réforme sanitaire et l’abandon du dogme de l’immortalité de l’âme ; choses rectifiées dans la doctrine « adventiste du septième jour ». En donnant un sens à ces deux épreuves, Dieu peut condamner en toute justice les chrétiens protestants qui ne tiennent pas compte de ses exigences.
Dans Apocalypse 2:24-25, Dieu expose les bases de son jugement des protestants auxquels il dit : « A vous, à tous les autres de Thyatire, qui ne reçoivent pas cette doctrine, et qui n'ont pas connu les profondeurs de Satan, comme ils les appellent, je vous dis : Je ne mets pas sur vous d'autre fardeau ; seulement, ce que vous avez, retenez-le jusqu'à ce que je vienne. »
La présentation du règne papal cité dans Daniel 7:25 est adressée aux protestants en ces termes : « Il prononcera des paroles contre le Très Haut, il opprimera les saints du Très Haut, et il espérera changer les temps et la loi; et les saints seront livrés entre ses mains pendant un temps, des temps, et la moitié d'un temps. » C’est cette durée retrouvée dans Apocalypse 12:6-14 qui, traduite en « 1260 jours » détermine pour son début, l’année 538 et pour sa fin, 1798. Et nous venons de le voir, les protestants de l’époque « Thyatire » sont confrontés à ce règne catholique intolérant. Ils connaissent donc ses péchés et tout ce que Dieu lui reproche. Cependant, à l’époque, le problème du sabbat est ignoré ainsi que les autres points évoqués plus haut, c’est pourquoi, faisant allusion à la future restauration de la vérité exigée par le décret de Daniel 8:14, à partir de 1843 et de 1873, Dieu leur dit dans Apocalypse 2:24-25 : « A vous, à tous les autres de Thyatire, qui ne reçoivent pas cette doctrine, et qui n'ont pas connu les profondeurs de Satan, comme ils les appellent, je vous dis : Je ne mets pas sur vous d'autre fardeau ; seulement, ce que vous avez, retenez-le jusqu'à ce que je vienne. » Mais bien sûr, déjà à l’époque concernée, les protestants à qui Jésus adresse ce message devaient être des êtres doux et pacifiques, reproduisant la docilité du Christ prophétisé comme un agneau qui se laisse tondre docilement sans bouger ou chercher à s’échapper.
En résumé, en 1843 et 1844, Dieu condamne les protestants qui méprisent l’annonce prophétique de son retour. Et en 1873, il condamne les protestants qui méprisent son exigence de restaurer les vérités foulées aux pieds par le catholicisme ; choses qui constituent des péchés qu’ils ont hérité de lui et continuent de pratiquer. En fait, la vérité rétablie dans l’église adventiste du septième jour les condamne définitivement.
Mais à son tour l’église adventiste va être menacée par ce message qui va la condamner à la fin des « cinq mois » d’Apocalypse 9:5-10 soit, 150 ans réels que Dieu lui donne soit, en 1994. Car Dieu déclare dans Apocalypse 2:25 et 26 : « seulement, ce que vous avez, retenez-le jusqu'à ce que je vienne. A celui qui vaincra, et qui gardera jusqu'à la fin mes œuvres, je donnerai autorité sur les nations. » Or, béni en « Philadelphie », l’adventisme officiel est maudit en « Laodicée » pour cause de n’avoir pas « gardé jusqu’à la fin ses œuvres » présentées par son prophète Samuel, en France, à Valence sur Rhône. Ceci, en dépit de l’avertissement donné dans le message de « Philadelphie » dans Apocalypse 3:11 : « Je viens bientôt. Retiens ce que tu as, afin que personne ne prenne ta couronne. » Et « sa couronne » a été prise en 1994 à cause de la disparition de l’amour de la vérité.
Ce message fait apparaître le fait que le jugement de Dieu s’exerce sur deux niveaux. Le premier niveau juge l’attitude envers la révélation biblique prophétique ; le second niveau juge l’homme sur son aptitude à mettre en pratique les vérités que sa sanctification exige.
Pour être encore plus clair et précis, je dis que le premier niveau du jugement de Dieu juge la croyance et le second niveau juge l’obéissance des chrétiens et avant eux, des Juifs qui ont bénéficié de trois ans et six mois pour accepter ou rejeter après la mort de Jésus-Christ, le salut qu’il a apporté par sa mort volontaire expiatrice, le mercredi 3 Avril 30.
Ces deux niveaux du jugement de Dieu sont absolument complémentaires mais très différents. Car la croyance non mise à l’épreuve peut être très trompeuse. Ce qui n’est pas le cas pour l’obéissance dont le témoignage est spontané et donc rendu évident sans possibilité de masquer ou de tromper quiconque. Et ces deux niveaux du jugement divin concernent en fait, la foi et les œuvres qu’elle produit.
Le bon sens est la clé de la véritable intelligence. Le retrouver permet d’accéder à la lumière divine. Seul, il permet de tirer de la sainte Bible une lecture nourrissante et favorable. Et à ce sujet, nous pouvons mieux comprendre ces paroles de Jésus-Christ citées dans Matthieu 5:18 : « Car, je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu'à ce que tout soit arrivé. » Il a dit au verset 17 qui le précède : « Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes ; je suis venu non pour abolir, mais pour accomplir. »
Sur la croix, les derniers mots de Jésus ont été : « Tout est accompli », mais pas « tout est arrivé ». Ces deux verbes, bien que ressemblant, marquent deux étapes du programme de Dieu séparés par 2000 ans. Par sa mort, Jésus a « accompli » la mission prophétique de la loi au seul plan sacrificiel. 2000 ans plus tard, à son retour en gloire, le jour du printemps 2030 qui vient, « tout sera arrivé ».
Le verset 18 confirme donc d’une manière absolue que la loi ne perd aucun de ses enseignements jusqu’au retour final de Jésus-Christ et jusqu’au renouvellement des cieux et de la terre au début du 8ème millénaire éternel. La loi ne disparaîtra que lorsque le problème du péché aura été entièrement solutionné soit, après la « seconde mort » infligée aux rebelles célestes et terrestres. Car pendant le septième millénaire, le jugement rendu par les saints rachetés et Jésus-Christ reposera sur l’enseignement complet de toute la loi biblique construite sur ses deux alliances successives.
La loi divine est un recueil de témoignages et les témoins sont utiles à l’heure du jugement. Chacun des coupables sera tenu responsable en fonction de la lumière divine donnée à son époque.
Au niveau de la mise en pratique de la loi divine, légalement puisqu’annoncée par Dieu dans Daniel 9:27, par sa mort expiatrice, Jésus fait « cesser le sacrifice et l’offrande » d’animaux, parce qu’ils n’avaient qu’une valeur symbolique et prophétisaient son sacrifice humain parfait. La veille de sa mort, par la sainte Cène, Jésus a révélé à ses apôtres l’unique changement apporté dans la nouvelle alliance : le sacrifice de son corps en remplacement des sacrifices animaliers. Ce seul changement est scellé par le versement de son sang, juste, et parfaitement innocent. Mais dans la sainte Bible, la présentation des fêtes et des rites sacrificiels restent les témoins du plan du salut conçu par Dieu. Il en est ainsi, pour toutes les prophéties qui s’accomplissent et qui représentent des étapes de son grand programme salvateur propice à ses seuls élus.
A nous qui vivons le temps de la fin, Dieu nous offre le privilège, de découvrir toutes les étapes successives de l’histoire de la terre victime du péché et de toutes ses conséquences. Dieu fait de nous, de notre génération d’élus, ses témoins devant ses anges fidèles et devant les multitudes démoniaques célestes et terrestres. C’est en recevant ces choses dans nos cœurs et nos esprits, et en les mettant en œuvre, que le projet prophétisé dans Daniel 8:14 trouve son complet accomplissement ; en première fausse traduction : « le sanctuaire est purifié » et en bonne traduction : « la sainteté est justifiée ».
M24- Le véritable temps du calendrier de Dieu
Le sujet que je présente aujourd’hui est un cadeau du ciel qui vient marquer le passage du premier jour du printemps qui vient ce Jeudi 20 Mars 2025, jour où l’année 5996 depuis la création commence, à 5 ans du retour en gloire du divin Seigneur Jésus-Christ.
Avant de lancer une opération militaire ou de sécurité policière, les membres actifs du commando règle tous leurs montres à la même heure, puis ils déclenchent l’action de leur programme. Nous allons découvrir ainsi un nouveau sens qui vient éclairer dans Apocalypse 9:15, l’expression : « prêts pour l’heure, le jour, le mois, et l’année » ; une heure décisive en laquelle le grand Dieu tout-puissant Jésus-Christ, Micaël, YaHWéH, livre les « paisibles » mais ingrats habitants des « dix cornes » européennes, aux cornes redoutables de leurs ennemis musulmans et orthodoxes russes rendus furieux.
Ce printemps 2025 est donc le temps choisi par Dieu pour que ses élus comptent en années le temps comme il le compte lui-même. On se souvient que dans Daniel 7:25, ce que Dieu impute à la « petite corne » soit, le roi papal romain, c’est qu’il « espérera changer le temps et la loi. » Que signifie ce verbe « espérera » ? Déjà en premier, c’est qu’il n’y parviendra pas, ou plus précisément, que pendant un certain temps, même si ce temps a été assez long, dépassant largement le temps de son règne intolérant de « 1260 jours-années » annoncé dans ce même verset. La restauration de la vérité engagée depuis 1170 par l’œuvre quasi-parfaite de Pierre Vaudès dit « Valdo » devait atteindre ce même niveau avant le moment marqué par « l’heure, le jour, le mois et l’année » dont le temps réel devient calculable depuis que ces choses sont connues et rattachées à la mort expiatrice de Jésus-Christ soit, le 13ème jour du printemps de l’année 30, « à 15 heures, le mercredi 3, Avril, 30 ». Le jour de la Pâque du rite juif était célébré le 14ème jour entre les deux soirs soit, exactement « 3 heures » après que Jésus a remis son esprit à Dieu. C’est donc sur la connaissance de ce calendrier juif que repose notre compréhension de l’année du retour en gloire final du Sauveur ressuscité et entièrement divinisé, dont la date est le jour du printemps 2030 qui vient ; et qui n’est plus, en ce printemps 2025, qu’à 5 années pleines devant nous.
Ce nombre « 2030 » est en vérité l’an 6001 du calendrier compté par Dieu de manière ascendante depuis le péché d’Adam et Eve ou le premier jour de la création terrestre ; les deux possibilités ayant leur logique, je ne peux encore pas trancher et dire quelle est la bonne. Mais connaissant maintenant la date de la fin, nous pouvons retrouver, les dates réelles des événements bibliques fixées par des durées chiffrées dans les textes prophétiques de Jérémie, Daniel, Ezéchiel ; et Matthieu et Apocalypse ; et Genèse, dont j’ai révélé le caractère prophétique.
L’année 6001 correspondant à notre année 2030 du calendrier usuel romain actuel, nous sommes en 2025, en 5996. De la même manière, nous pouvons situer la mort de Jésus-Christ en l’an 4001 depuis le début du comptage du temps par Dieu. Et l’année 2029 représente la 2000ème année de ce comptage qui débute sur sa mort salvatrice des élus.
Mais il est utile de retrouver la vraie date de la naissance de notre divin sauveur. Car notre calendrier actuel est faux, ayant été établi stupidement sur la date de la mort du roi Hérode le Grand, ce roi arabe qui dominait la Judée pour Rome. Et déjà, des historiens ont décelé pour ce seul événement une erreur de « 4 ans » dans la date retenue par le moine Denys-le-Petit ; un nom prédestiné pour ne pas entrer dans le royaume des cieux. Ces « 4 ans » réduisent donc de 4 ans l’estimation des dates de notre calendrier actuel. Mais dans mes calculs établis depuis mes études prophétiques achevées vers 1982, je donnais à ce retard « 2 années » de plus, citées dans Matthieu 2:16 : « Alors Hérode, voyant qu'il avait été joué par les mages, se mit dans une grande colère, et il envoya tuer tous les enfants de deux ans et au-dessous qui étaient à Bethléhem et dans tout son territoire, selon la date dont il s'était soigneusement enquis auprès des mages. »
A l’origine je n’ai tenu compte que de ces « deux ans » entiers, parce que Dieu l’a voulu ainsi. Car, en effet, ces « deux ans » ajoutés aux « quatre ans » d’erreur de la mort du roi Hérode, portaient le retard total à 6 années qui donnaient à ma date 1994, obtenue comme fin des « cinq mois » d’Apocalypse 9:5-10 soit, 150 années réelles écoulées depuis le 22 Octobre 1844, la date de la plate-forme adventiste ; la seconde date où les premiers adventistes espéraient entrer au ciel.
En ce printemps 2025, je remets en cause cette valeur de « deux ans » tenant compte, cette fois, de la précision, « et en dessous », qui l’accompagne dans le verset biblique. Le raisonnement qui s’impose aujourd’hui est le suivant : Le roi Hérode ne voulait manquer à aucun prix de tuer le messie susceptible de le remplacer sur le trône de la Judée. Aussi, choisit-il une marge supérieure et inférieure d’une année, en prenant pour repère, la date où les mages venus le visiter lui avaient dit avoir vu l’étoile conductrice pour la première fois ; ce que le texte précise dans ce même verset : « selon la date dont il s'était soigneusement enquis auprès des mages ». Sous cette nouvelle analyse, notre calendrier actuel ne retarde que de 5 années au lieu de 6 années. Ce nouveau calcul donne à Jésus au jour de sa mort l’âge de 34 ans, et le début de son ministère, en Automne, à 30 ans et six mois ; ce que confirme ce texte cité dans Luc 3:23 : « Jésus avait environ trente ans lorsqu'il commença son ministère, étant, comme on le croyait, fils de Joseph, fils d'Héli,… »
Les données que je viens de présenter sont solidement imposées et confirmées par le texte biblique et l’inspiration de Dieu. Mais les utiliser présente des difficultés qui favorisent la possibilité de faire des erreurs de calculs. En son temps William Miller en a fait et à mon tour, j’en ai également fait. Entre 1980 et 1991, j’ai utilisé les calculs reconnus dans l’église adventiste du septième jour au sujet des « 70 semaines » de Daniel 9 et des « 2300 soir-matin » de Daniel 8:14. Plus récemment, j’ai découvert que « la septième année » du roi Artaxerxès 1er était l’année – 458 et non – 457. Or, une nouvelle vérification du comptage imposée par les données nouvelles reçues concernant la mort de Jésus-Christ qui représente l’an 4001, la date – 457 s’impose comme base du calcul. Les historiens attribuent bien l’année – 465 comme étant la première année du règne du roi mais ce règne a commencé en – 463 et dans ce calcul, l’an – 457 est effectivement « la septième année » de son règne. Ce sujet est névralgique et hautement stratégique puisqu’il permet de fixer l’année, du baptême et de la mort de Jésus, et celle de la fin de l’ancienne alliance juive.
Dans Daniel 9, par la prophétie des 70
semaines du verset 24, Dieu nous donne, à partir du verset 25, des détails
précis permettant le calcul : « Sache-le
donc, et comprends ! Depuis le moment où la parole a annoncé que Jérusalem sera
rebâtie jusqu'à l'Oint, au Conducteur, il y a sept semaines et soixante-deux semaines, les places et les fossés
seront rétablis, mais en des temps fâcheux. » Les « sept
semaines » concernaient les Juifs de retour de la captivité et à
cette durée, l’ange ajoute « soixante deux semaines »,
ce qui représente en tout : « 69 semaines ». L’explication
qui suit va concerner « la 70ème semaine »
au milieu de laquelle, Jésus-Christ devait être crucifié : « Après
les soixante-deux semaines, un
Oint sera retranché, et il n'aura pas de successeur personne pour lui.
Le peuple d'un chef qui viendra détruira la ville et le sanctuaire la
sainteté, et sa fin arrivera comme par une inondation ; il est arrêté que les dévastations dureront jusqu'au terme de la guerre. »
Cette dernière phrase casse la chronologie du sujet de la guerre, et permet à
l’ange de revenir sur l’œuvre du Messie : « Il fera une solide alliance avec
plusieurs pour une semaine, et durant la moitié de la semaine il fera cesser le
sacrifice et l'offrande ; …» J’arrête ici volontairement ce
verset, parce que la dernière phrase concerne « le dévastateur abominable »
romain et papal clairement désigné : « le dévastateur commettra les choses les plus abominables, jusqu'à ce que la ruine et
ce qui a été résolu fondent sur le dévastateur. » Le vrai message en
hébreu est beaucoup moins clair et plus spirituel : « Et sous l’aile seront les abominations de la
dévastation et jusqu’à la ruine et ce qui a été résolu fondent sur la désolée ».
« L’aile » présente la double image symbolique du pouvoir
romain impérial « aux ailes d’aigles »
et du pouvoir papal qui se place « sous
l’aile » des anges démoniaques. « La désolée »
concerne la terre qui deviendra l’abîme désolé, privé de ses habitants humains,
et la prison du diable pendant le septième millénaire.
Nous avons maintenant toutes les données nécessaires pour calculer la date du baptême de Jésus, de sa mort, et de la fin de l’alliance. Pour ce faire, nous avons en plus depuis 2018, la connaissance du calendrier hébreu dans lequel la semaine pascale ou « 70ème semaine » place la mort de Jésus, le Mercredi 3 Avril 30 soit, littéralement, « au milieu de la semaine » pascale et le 13ème jour du premier mois de l’année 30. Trois heures après 15 heures, l’heure de sa mort, le sabbat exceptionnel de la fête de Pâque commençait, marquant à 18 heures le début du Jeudi, sur le 14ème jour prévu par la loi. Le vendredi fut un jour normal suivi par le jour du sabbat hebdomadaire du quatrième commandement de Dieu.
Le calcul
Les données en jours et semaines doivent être converties en jours qui représentent des années selon le code divin donné à Moïse dans Nombres 14:34 : « De même que vous avez mis quarante jours à explorer le pays, vous porterez la peine de vos iniquités quarante années, une année pour chaque jour ; et vous saurez ce que c'est que d'être privé de ma présence. » Le code est également présenté au prophète Ezéchiel contemporain de Daniel : Ezéchiel 4:5-6 : « Je te compterai un nombre de jours égal à celui des années de leur iniquité, trois cent quatre-vingt-dix jours ; tu porteras ainsi l'iniquité de la maison d'Israël. Quand tu auras achevé ces jours, couche-toi sur le côté droit, et tu porteras l'iniquité de la maison de Juda pendant quarante jours ; je t'impose un jour pour chaque année. ».
La plus grande durée est celle des « soixante dix semaines » : 70 x 7= 490 jours. La plus courte est celle des « 69 semaines » : 69 x 7 = 483 jours. Et entre les deux, « le milieu de la semaine » pascale est un printemps et le 487ème jour.
Les 483ème et 490ème jours-années ciblent deux automnes mais commencent par deux printemps. Le printemps est donc la saison que nous devons retenir. En commençant par le printemps, ces trois durées prophétiques axent la semaine pascale sur une durée totale de huit années comprises depuis la 483ème jusqu’à la 490ème année réelle comprise. Les durées prophétisées représentent des années que l’histoire empile les unes sur les autres dans la vie réelle comme les cubes d’un jeu d’enfant. Il importe donc de ne retenir que cet aspect du type « intervalle » et non de date anniversaire du type « piquet ». Notre calendrier romain ne pose pas de problème causé par la fausse ou la vraie naissance de Jésus-Christ. Dans notre calendrier usuel erroné, sa naissance est précédée par l’an – 1 et suivie par l’an + 1. De la sorte, les jours-années se suivent et leurs valeurs s’ajoutent comme des « cubes » d’enfants.
Les durées chiffrées bibliques converties en jours-années, 483 jours, 487 jours, et 490 jours présentent la 70ème semaine sur une forme axée sur le 487ème jour, le jour-année central en lequel Jésus est mort, d’une manière parfaitement symétrique construite depuis l’automne 26 à l’automne 33. Les six derniers mois de l’an 26 entre dans cette semaine d’année et à la fin, ce sont les six premiers mois de l’an 33 qui sont retenus. Cette symétrie graphique est à l’image de la perfection divine, puisqu’on la retrouve dans le lieu très saint du tabernacle, dans lequel l’arche de l’alliance et son autel, le propitiatoire, est placée au centre de la pièce, entre deux gigantesques chérubins aux ailes déployées qui se rejoignent au-dessus de l’arche dans une symétrie parfaite que nous retrouvons dans le chandelier à sept branches et lampes.
Cette configuration a une signification. Jésus apporte au printemps 30, désigné par le jour central, le 487ème, le salut et son sacrifice parfait, dans une humanité pécheresse frappée de mort comme la saison de l’automne qui la symbolise : la saison appelée morte. La mort est avant lui, et la mort est après lui, mais entre les deux, Dieu a réglé le problème du péché, car il est venu l’expier dans la chair de Jésus-Christ. Une autre explication prioritaire place, dans cette configuration, la Pâque de sa mort expiatrice entre deux « Yom Kippour » ou « Jour des Expiations » du péché, fête juive célébrée chaque automne, « le septième mois, le 10ème jour », selon Lévitique 23:27.
Donnée approximative, confirmée dans Luc 3:23, « Jésus avait environ trente ans quand il commença son ministère ». A l’automne de la 483ème année, il avait 30 ans et six mois, étant né au printemps, 30 ans plus tôt. Cependant, établissant son calendrier que nous utilisons, le moine Denys le Petit a ignoré cette vérité, et pensant trouver dans la mort du roi Hérode un repère proche, il a opté pour ce choix. Mais ce faisant, la mort du roi Hérode est décalée par une erreur de quatre ans, identifiée depuis, mais non rectifiée. En conséquence l’âge du Christ réel de 30 ans est devenu 25. « Au milieu de la semaine » pascale, l’âge de Jésus estimé faussement est donc 29 ans et les « 490 années » se sont achevées en 33.
Ces valeurs fausses sont cependant les seules qui permettent de situer les événements dans le temps historique accompli ou à accomplir. Mais à titre indicatif, je peux dire que les valeurs véritables des trois dates d’années commencées toutes par un printemps et fixées par la prophétie sont : 31 ; 35 ; et 38. Cependant, Jésus avait réellement 34 ans, lorsqu’il a offert sa vie sur la croix. J’ai rajouté aux fausses dates 26 ; 30 ; 33 : « 5 années », qui regroupent les « 4 ans » de l’erreur du moine Denys-le-Petit, et « l’âge d’1 an » que Jésus avait, à l’heure du massacre des enfants de Bethléhem auquel il échappa, se trouvant en cette heure, en Egypte.
Disposant des fausses dates 26 ; 30 ; 33, nous pouvons établir la date commune de leur commencement. Il suffit de retrancher 33 à 490 ; ou 30 à 487 ; ou encore 26 à 483 pour obtenir dans les trois calculs la date – 457. Cette date est « la septième année » du règne du roi perse Artaxerxès 1er dit « Longue main » ; ce qui place sa première année en l’an – 463. Et en dépit de la datation des historiens qui la situent en – 465, c’est celle que Dieu atteste et qu’il a choisie. Car nous trouvons dans Esdras 7:7, « la parole qui a annoncé que Jérusalem sera rebâtie » selon Daniel 9:25. Le calcul impose donc cette année – 457 et fixe le début du règne de ce roi à l’année – 463. Nous lisons dans Esdras 7:7 : « Plusieurs des enfants d'Israël, des sacrificateurs et des Lévites, des chantres, des portiers, et des Néthiniens, vinrent aussi à Jérusalem, la septième année du roi Artaxerxès. » Le verset 9 indique la saison du printemps : « il était parti de Babylone le premier jour du premier mois, et il arriva à Jérusalem le premier jour du cinquième mois, la bonne main de son Dieu étant sur lui. » Le verset 13 confirme l’ordre royal : « J'ai donné ordre de laisser aller tous ceux du peuple d'Israël, de ses sacrificateurs et de ses Lévites, qui se trouvent dans mon royaume, et qui sont disposés à partir avec toi pour Jérusalem. ». Avant ce roi, successivement, le roi Cyrus et le roi Darius avaient eux-aussi autorisé la reconstruction de la maison de Dieu. Mais c’est le décret du troisième, Artaxerxès, qui est pris en compte.
La date – 457 est aussi la base des « 2300 soir matin » de Daniel 8:14 et là encore, une simple soustraction des deux nombres donne la fin de cette durée pour le printemps 1843 ; ce qui donne : 2300 – 457 = 1843. Dieu a organisé une deuxième épreuve adventiste dans laquelle le retour du Christ était fixé au 22 Octobre 1844. Cette date est donc uniquement historique et rattachée à cette seconde épreuve adventiste qui a marqué la fin de ce type d’épreuve de foi, pour cette époque. Cette date 1844 a pris une grande importance pour les pionniers de l’adventisme et ceci non sans raison, parce que « la fin d’une chose vaut mieux que son commencement », lit-on dans Ecclésiaste 7:8. Et ce fut dans cet automne 1844, que Joseph Bates adopta, le premier, la pratique du repos du sabbat du septième jour avant ses frères et sœurs en Christ adventistes.
Dans notre calendrier romain, la mort de Jésus-Christ est située sur l’an 30 qui reste encore aujourd’hui l’année 4001 des 6000 ans de l’histoire du péché terrestre. Or, l’an 30, auquel 5 ans doivent être rajoutés pour retrouver la véritable année marquée par la mort de Jésus-Christ, place l’année de sa vraie naissance 35 ans avant sa mort. Ce décalage de 35 ans qui sépare sa vraie naissance et l’année de sa mort explique notre actuel dépassement de l’an 2000.
Basé sur la fausse naissance de Jésus estimée « an 1 », 31 ans avant sa mort, notre calendrier atteindra l’an réel 6000 ou 2000 en 2029. Et le printemps de l’an 2030 sera « l’an 1 » du « septième millénaire » qui s’ouvrira pour Jésus-Christ et ses fidèles rachetés.
Dans ce nouveau calcul, la fin des « 2300 soir matin » établit la date 1843 sur laquelle se posent les 150 années des « cinq mois » d’Apocalypse 9:5-10. Nous obtenons ainsi la date 1993, qui justifie la malédiction adventiste survenue sur l’église officielle le 22 Octobre 1991, jour du vote secret de la décision des dirigeants de l’œuvre d’entrer dans l’alliance de la Fédération protestante. En Novembre 1991, après une tentative de conciliation mal vécue par le pasteur local, l’une des trois personnes venues témoigner avec moi a vu une lumière tomber du ciel verticalement dans une zone non éclairée. Le sabbat suivant, j’ai été officiellement radié de l’œuvre adventiste institutionnelle.
Dans l’ancienne datation et le décalage de 6 ans au lieu des 5 actuels, la date 1844, sur laquelle j’ai posé les « cinq mois » ou 150 années réelles d’Apocalypse 9:5-10, était utile pour justifier mon annonce du retour de Jésus-Christ pour 1994, qui était donc réellement dans notre faux calendrier le possible an 2000. A l’époque, l’an 4001 était sensé marquer la naissance de Jésus-Christ, au printemps. Mais ce calcul était faux, parce qu’il reposait sur la naissance de Jésus-Christ, alors que l’année 4001 était celle de sa mort ; ce qui explique une erreur de 35 années soit, l’âge atteint par Jésus quand il est mort. Parce qu’il est né au printemps 3966, 5 ans avant l’an 1 de notre calendrier. La 34ème année de la vie de Jésus-Christ qui précède l’an 4001 de sa mort était l’an 4000. Je relève avec intérêt, que la somme de la date 3966 de la vraie naissance de Jésus-Christ est le nombre 24 soit, 12 + 12 comme les deux alliances (12 patriarches ; 12 apôtres ; 12 tribus scellées).
Pouvant ainsi partager avec Dieu sa manière de compter le temps, notre relation avec lui s’intensifie et augure d’une vrai rencontre physique et spirituelle qui n’est plus qu’à 5 années devant nous. Et c’est en ce printemps, que Dieu dirige notre attention sur cette vraie naissance de Jésus-Christ qu’il nous faut situer en – 5 soit, 5 ans avant l’an 1 de notre calendrier usuel latin et romain soit, faussement chrétien. Nous allons entrer dans ce printemps 2025 en partageant la connaissance du temps divin exact. Ce qui me conduit à dire que le message concernant « le temps » dans Daniel 7:25 est définitivement réglé par Dieu. L’espérance du roi papal subit un cuisant échec : ses changements sont identifiés et rectifiés.
Dans le même verset, l’espérance du changement concerne aussi « la loi » divine. Elle a en effet subi beaucoup d’outrages de la part des catholiques dans un premier temps, mais aussi depuis 1844, par les protestants. La loi divine se compose des écrits canoniques des deux alliances successives, les premières révélations divines ayant été faites par Dieu à Moïse, le guide de l’Exode et les dernières ayant été reçues en vision par l’apôtre Jean sur l’île de sa captivité nommée Patmos. Le début et la fin de la rédaction biblique s’accomplissent dans la captivité organisée par ces deux monstres symboles du péché, « l’Egypte », et Rome », successivement, impériale puis papale.
L’histoire d’Israël est construite par Dieu de manière à rappeler aux êtres humains qu’ils naissent porteurs du péché et qu’il n’existe aucun innocent parmi eux à l’égard du péché ; ce que Paul confirme dans Romains 3:19, en disant : « Or, nous savons que tout ce que dit la loi, elle le dit à ceux qui sont sous la loi, afin que toute bouche soit fermée, et que tout le monde soit reconnu coupable devant Dieu. » Il n’était donc pas utile pour le diable et Rome de déformer la loi divine, puisque cette loi ne visait qu’à accuser et condamner l’être humain héritier du péché par nature depuis Adam et son péché.
Dans l’ancienne alliance, sous son aspect national, l’Israël de Dieu restait fidèle à la lettre de la loi écrite en hébreu, lue et comprise par tous les Hébreux qui composaient cet Israël. Le diable n’avait donc aucun moyen de falsifier ces textes de l’ancienne alliance.
Dans la nouvelle alliance qui s’ouvre aux païens cette impossibilité disparaît, parce que les païens ignorent l’hébreu et qu’ils n’ont connaissance principalement, que du grec et du latin romain. L’enseignement biblique n’est alors constitué que de textes originels traduits de l’hébreu, pour l’ancien « témoin » et du grec, pour le nouveau « témoin », qui n’offrent plus la garantie de la précision des paroles originelles. En 313 soit, 318 ou 4284, la multitude de gens faussement convertis maîtrise le grec et le latin mais écarte volontiers la version hébraïque de l’ancienne alliance. Ainsi, l’hébreu et le grec sont considérés, « langues mortes ». Sous la domination tyrannique romaine, le latin s’impose comme langue religieuse, favorisant ainsi l’adoption des mensonges inspirés aux faux pères de l’église catholique romaine. Pour les Chrétiens, les « ténèbres » spirituelles s’approfondissent et s’épaississent ; l’enseignement de l’ancienne alliance disparaît et le missel catholique romain remplace les écritures de la nouvelle alliance. La norme romaine remplace la norme divine.
En 538, avec l’instauration du régime papal,
cette fois, c’est « le Chef » céleste de l’Eglise, Christ, qui est
remplacé par un chef terrestre élu par les cardinaux du clergé catholique
romain et qui reçoit le titre religieux de Pape soit, le père spirituel
supérieur que ses adeptes osent nommer « Très-saint père » malgré
l’interdiction ordonné par Jésus-Christ dans Matthieu 23:9 : « Et n'appelez
personne sur la terre votre père ; car un seul est votre Père, celui qui
est dans les cieux. » Ce remplacement du Christ par le pape est
prophétisé dans Daniel 8:11 et 25 : « Elle s'éleva jusqu'au chef de
l'armée, lui enleva le sacrifice
perpétuel, et renversa le lieu la base de son sanctuaire…. /…A cause de
sa prospérité et du succès de ses ruses, il aura de l'arrogance dans le cœur,
il fera périr beaucoup d'hommes qui vivaient paisiblement, et il s'élèvera contre le chef des chefs ;
mais il sera brisé, sans l'effort d'aucune main. » Le terme « perpétuel » désigne l’intercession
céleste que Jésus possède en exclusivité. Sur la terre les Chrétiens perdent son
intercession croyant la trouver dans le pape terrestre.
En 1170, c’est en traduisant la Bible et en la mettant en pratique scrupuleusement, que Pierre Vaudès permet au Christ de reprendre momentanément et exceptionnellement son sacerdoce perpétuel. Car les ténèbres se referment après lui sur son œuvre et son groupe des Vaudois du Piémont italien. Au XVIème siècle, des protestants sincères et pacifiques ont pu bénéficier encore exceptionnellement de sa grâce et de son intercession céleste. Ils ont bénéficié du progrès technique qui a favorisé, par l’impression littéraire mécanique, la diffusion de la sainte Bible en diverses langues parlées dans l’Europe occidentale. L’œuvre de la Réforme ne repose que sur la découverte de la vérité divine écrite dans la sainte Bible entière que Dieu présente au titre de ses « deux témoins » dans Apocalypse 11:3 : « Je donnerai à mes deux témoins le pouvoir de prophétiser, revêtus de sacs, pendant mille deux cent soixante jours. »
Cette Réforme ne fut que partielle et la gloire de Dieu exigeait une restauration complète qu’il a imposé par son décret de Daniel 8:14 à partir de la date 1844 que ce verset construisait entre 1816 et 1982. La date construite apparaît aujourd’hui comme étant l’année 1843.
Aujourd’hui, Jeudi 20 Mars 2025, c’est le premier jour du printemps et à l’heure où Dieu me fait rectifier le calendrier de son programme en appliquant le recul de 5 années au lieu de 6 de la date de la naissance de Jésus-Christ, en ce même jour, à Bruxelles, les dirigeants européens se sont réunis et se sont donné un délai de 5 ans pour préparer le relèvement de leur force militaire et commerciale. Ils se donnent jusqu’en 2030, pour réussir leur projet et ne savent pas que Dieu a pour eux, en 2030, formé le projet de les anéantir tous.
M25- Devenir citoyen du royaume des cieux
Il y a la théorie et la pratique pour devenir un citoyen du royaume des cieux. En théorie, les symboles de l’engagement religieux du baptême par immersion totale, et la participation à la sainte Cène, quand elle est précédée du lavement des pieds, font d’un racheté, officiellement, un citoyen du royaume des cieux. Mais qu’en est-il réellement ? La nature de la personne baptisée est encore très attachée aux valeurs terrestres. Et le symbolisme du rituel religieux observé n’a que la valeur d’un but à atteindre. Et selon les personnes et le plus grand nombre, ce but ne sera même jamais atteint. C’est le cas pour des multitudes de faux chrétiens victimes de la présomption de la foi. Ils veulent plaire à Dieu sous condition qu’il les accepte tels qu’ils sont avec leurs défauts de caractère et leurs péchés. Ils se tranquillisent trompeusement en s’appuyant sur le grand nombre de gens qui pensent comme eux. Ils ignorent que la loi du nombre est une valeur humaine et uniquement humaine. Leurs priorités sont terrestres et aujourd’hui très humanistes. Les mêmes personnes qui méprisent les valeurs célestes divines, tout en se réclamant de son salut, sacrifient volontiers les valeurs nationales de leur pays natal. Les valeurs humanistes écrasent tout, les exigences religieuses, commerciales, politiques, nationales, car les esprits de ces gens ont été formatés sur le modèle mondialiste sous lequel ils sont nés, en grande majorité.
Le changement actuel des relations internationales vient les frapper au foie ou à l’estomac. Et il faut du temps pour qu’ils réalisent pleinement que le monde entier se trouve menacé par la guerre. Ceci, parce qu’ils ne se sont en rien préparé mentalement à cette éventualité. A l’opposé, j’ai pensé voir s’accomplir la grande Troisième Guerre Mondiale en 1983, puis en 1993 ; et la voici qui vient en 2025 ou 2026, à cause d’une situation ukrainienne instaurée en 2022 et d’une situation juive en guerre à Gaza depuis 2023. Ceci, parce que, comme Habakuk, je veillais sur une « tour de garde » spirituelle. Avant mon baptême, ma lecture de la sainte Bible entière en 1974 portait déjà ses effets bénéfiques ; j’attendais le drame final et j’ai pensé devoir le vivre en 1983 et en 1993.
Les gens devraient comprendre que pour entrer dans le royaume céleste de Dieu, une préparation spéciale est autant nécessaire que celle à laquelle sont soumis les cosmonautes pour leurs expériences spatiales. Les deux préparations exigent beaucoup de la part des candidats. La préparation pour le royaume des cieux concerne l’esprit des rachetés, alors que la préparation pour l’expérience spatiale concerne le corps humain et sa résistance physique. Mais dans les deux cas, l’être humain doit dépasser les limites de sa normalité.
Entre 2025 et 2030, nous allons vivre la leçon enseignée par la parabole des dix vierges, pour la quatrième et dernière fois. Il est encore temps pour tous les êtres vivants de se préparer à rencontrer leur Dieu. Et cette préparation est nécessaire et exigée par Dieu comme le prouve son message imagé dans Apocalypse 19:7-8 : « Réjouissons-nous et soyons dans l'allégresse, et donnons-lui gloire ; car les noces de l'agneau sont venues, et son épouse s'est préparée, et il lui a été donné de se revêtir d'un fin lin, éclatant, pur. Car le fin lin, ce sont les œuvres justes des saints. » Relève au passage l’intérêt de retrouver dans ce verset l’expression « justes des saints » qui authentifie ma rectification donnée à la traduction de Daniel 8:14 : « Et il me dit : Jusqu’à soir matin, deux mille trois cent, et sera justifié la sainteté » Ce verset était traduit avant moi : « Et il me dit : Deux mille trois cents soirs et matins ; puis le sanctuaire sera purifié. »
La première leçon donnée par Dieu par ces deux messages est la suivante : Entre 313 et 1843, date de la fin des 2300 années citées, le sanctuaire religieux que représentait l’Eglise chrétienne était « impur », souillé par les péchés instaurés officiellement par le catholicisme romain devenu papal en 538. Ce sanctuaire représentait le catholicisme et le protestantisme sorti de lui comme « la terre sort de la mer », dans Genèse 1:9-10 : « Dieu dit : Que les eaux qui sont au-dessous du ciel se rassemblent en un seul lieu, et que le sec paraisse. Et cela fut ainsi. Dieu appela le sec terre, et il appela l'amas des eaux mers. Dieu vit que cela était bon. » Les fruits portés successivement par « la mer » symbole du catholicisme dans Apocalypse 13:1 et par « la terre » symbole du protestantisme apostat dans Apocalypse 13:11, sont restés « impurs ».
En 1980, Dieu m’a appelé pour clarifier la prophétie restée obscure et incomprise. En 1991, j’ai présenté officiellement à l’église adventiste du septième jour locale de Valence, un ouvrage polycopié intitulé « la Révélation de la Septième heure ». Et ce livre présentait ma nouvelle traduction du texte de Daniel 8:14 dans laquelle les mots « sainteté justifiée » remplacent les mots « sanctuaire purifié ». Cette traduction réelle nouvelle était adaptée pour une présentation à l’église adventiste du septième jour « sanctifiée », contrairement au catholicisme et au protestantisme restés « impurs ». Les destinataires des deux versions n’étaient pas les mêmes. Aussi en rejetant le message et en radiant de l’œuvre son auteur, l’adventisme du septième jour officiel a perdu dès 1991 et définitivement en 1994, son statut de « sainteté justifiée » par la grâce de Jésus-Christ.
En vérité, le sanctuaire « impur » jusqu’en 1843-1844 est resté « impur », relayé par la « sainteté » adventiste à cette date. De même dans l’image symbolique de la « nouvelle Jérusalem » d’Apocalypse 21, l’église chrétienne a pour fondement les noms des « douze apôtres » et à partir de 1843, date actuelle du calcul, l’Elue adventiste est symbolisée par « douze portes » et « perles » portant les noms des « douze tribus scellées » d’Apocalypse 7.
Que peut exiger en priorité le Dieu de vérité de la part de ses rachetés en Christ ? Qu’ils identifient et honorent sa vérité et qu’ils prennent en horreur le mensonge comme il le tient en horreur lui-même. Qu’ils prouvent par leur comportement qu’ils croient à son existence, en obéissant à ses ordonnances et ses commandements. Qu’ils choisissent le bien et rejettent le mal. Qu’ils s’intéressent à ces activités et identifient l’accomplissement de ses annonces prophétisées. Que toutes leurs œuvres témoignent qu’ils sont les futurs citoyens du royaume céleste éternel de Dieu. Et enfin, que leurs œuvres témoignent qu’ils sont devenus des citoyens du royaume des cieux en privilégiant en toute chose le choix céleste, ce qui implique le détachement envers les valeurs terrestres.
Ce programme ambitieux élève la valeur du salut payé, par sa douloureuse et atroce mort, par Jésus-Christ.
Ma préparation a été longue et progressive. J’ai aujourd’hui 80 ans, bientôt 81, et je découvre maintenant le fruit porté par cette longue préparation. J’écoute les informations répétées inlassablement sur les chaînes info télévisées. Et en entendant répéter en boucles des paroles vaines par des gens qui ignorent le sort que Dieu leur prépare, je mesure, je savoure mon privilège d’homme préparé et éclairé par le Dieu créateur tout-puissant. Je loue et bénis le nom de Jésus-Christ par lequel Dieu m’a arraché à une vie superficielle qui menait à la mort. La passion musicale a été remplacée par la passion prophétique qui dirige toutes mes pensées vers le Dieu céleste invisible, mais si puissant dans son action.
Cette relation éternelle qui a commencé au jour de mon baptême en 1980, me conduit en ce jour du printemps de son année 5996 à glorifier et à célébrer dans mon esprit l’anniversaire de son œuvre de sa création terrestre, aujourd’hui menacée de grandes destructions et dévastations que je sais inévitables.
Ma lecture de la Bible entière me permet de retrouver dans les événements internationaux des reproductions des expériences rapportées dans ses divins écrits. Je vois les grands de ce monde foncer tout droit dans les pièges que Dieu et le diable leur tendent, parce qu’ils sont leurs ennemis communs. Le diable n’aime pas ceux qui lui obéissent comme Dieu peut le faire. Les démons agissent comme peuvent le faire ceux qui ont déjà tout perdu, excepté le droit de vivre jusqu’au retour de Jésus-Christ, au printemps 2030 qui vient.
Le mot « printemps » signifie premier temps
L’étude de ce sujet est pleine d’enseignements spirituels. Et ce n’est pas sans raison que ce Jeudi 20 Mars 2025, premier jour du printemps, est choisi par Dieu pour me donner de nouvelles lumières spirituelles. Observons la terre sur le plan astronomique. Le printemps est causé par l’inclinaison de 23,5 degrés de l’axe de la terre qui passe par ses deux pôles Nord et Sud.
Au début de la création terrestre, avant le péché commis par Adam et Eve, la terre tournait sur son axe parfaitement perpendiculaire ce qui donnait à la nuit et au jour, une rigoureuse exacte longueur ; cette égalité était l’image de la neutralité de la vie terrestre, créée par le Dieu créateur pour régler le problème du péché produit par le libre choix donné à ses créatures célestes. Et le même libre choix a été donné ensuite à l’homme et la femme créées par Dieu au sixième jour. Nous pouvons alors comprendre ce qui est arrivé quand Eve, se retrouvant momentanément seule, est interpelée par le diable qui lui parle en utilisant le serpent, comme un médium occulte, devin ou astrologue, le fait aujourd’hui.
Eve est séduite par la beauté et l’apparente intelligence de cet animal visiblement supérieur, puisqu’il parle. Dans sa pensée, se forme l’idée que Dieu l’a trompé et que son avertissement de peine de mort, si elle ou son époux Adam mange du fruit interdit, a simplement le but de leur faire peur pour les priver d’un don supérieur. C’est ce que suggère, les paroles dites par le serpent selon Genèse 3:1 et 4-5 : « Le serpent était le plus rusé de tous les animaux des champs, que YaHWéH Dieu avait faits. Il dit à la femme : Dieu a-t-il réellement dit : Vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin ? …/…Alors le serpent dit à la femme : Vous ne mourrez point ; mais Dieu sait que, le jour où vous en mangerez, vos yeux s'ouvriront, et que vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le mal. » Alors au moment même où Eve porte le fruit à sa bouche, l’axe de la terre chute et s’incline de 23,5 degrés. Cette chute terrestre témoigne de la chute spirituelle d’Eve, puis d’Adam qui l’imita parce qu’il préférait mourir avec son épouse, à cause de l’amour passionnel qu’il éprouvait pour elle. Le péché fut donc la cause de la perte de la neutralité printanière. En péchant contre Dieu, Adam et Eve ont épousé la cause du diable ; ils n’étaient plus neutres mais passés à l’ennemi. Se découvrant nus et éprouvant pour cela de la honte, ils ont témoigné qu’un grand changement s’était produit en eux. Cette réaction de honte témoignait qu’ils avaient maintenant en eux la connaissance du bien et du mal. Avec la perte de l’équinoxe toute l’année, la terre entière a été maudite et touchée par le processus de la mort. Mais rien n’était encore visible pour eux. Leur tragique situation, devenue nôtre, leur a été présentée par Dieu lui-même dans une scène de jugement décrite dans Genèse 3:8 à 24. Mais dans le verset 21 nous lisons : « YaHWéH Dieu fit à Adam et à sa femme des habits de peau, et il les en revêtit. » La compassion de Dieu pour ses faibles créatures humaines prophétise, par « des habits de peaux », la couverture de la justice qui est imputée, au nom de Jésus-Christ, aux seuls vrais élus qui produisent le fruit de la repentance.
Ainsi chaque année, une fraction de seconde, durée réelle d’un équinoxe du printemps et de l’automne, vient rappeler aux êtres humains, le péché qui a causé la perte de leur innocente neutralité et les a rendus dignes de la mort. Le péché est consommé, le cycle des saisons s’enclenche par le basculement de l’axe terrestre et le jour augmente au dépend de la nuit ; puis arrivé au solstice de l’été, le processus s’inverse, passe par l’équinoxe de l’automne et se prolonge jusqu’au solstice de l’hiver après lequel la nuit se raccourcit au bénéfice du jour qui croît jusqu’au nouvel équinoxe du printemps.
Les deux solstices de l’été et de l’hiver symbolisent la vie maximale et la mort maximale qui sont les témoins des deux offres que Dieu présente au pécheur humain, selon Deutéronome 30:19 : « J'en prends aujourd'hui à témoin contre vous le ciel et la terre : j'ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction. Choisis la vie, afin que tu vives, toi et ta postérité, »
Renseignements pris, cette année sous le méridien de Greenwich, l’équinoxe est passé à 9 heures 01 minute 30 secondes GMT soit, à l’heure où Jésus-Christ a reçu dans ses poignets et ses pieds les clous acérés qui ont percé sa chair pour le clouer sur « le patibulum et le stipes » de sa croix, pour sa crucifixion douloureuse et atroce. Je relie ce message avec celui de la « sixième trompette » d’Apocalypse 9:11 à 21 qui cible la zone géographique du camp de l’U.E. regroupant les « dix cornes » citées dans Daniel et Apocalypse, et symbolisées dans Apocalypse 9:14, par « le grand fleuve Euphrate » ciblé par la colère de Dieu : « et disant au sixième ange qui avait la trompette : Délie les quatre anges qui sont liés sur le grand fleuve d'Euphrate. »
Ce message est précédé, au verset 11 et 12, par la mise en scène du Christ intercesseur dont les ordres produisent l’effet cité au verset 15 : « Et les quatre anges qui étaient prêts pour l'heure, le jour, le mois et l'année, furent déliés afin qu'ils tuassent le tiers des hommes. » La mort ainsi ordonnée est la conséquence de la colère que Dieu porte sur l’Europe occidentale qui méprise la valeur de sa mort, en sacrifice volontaire expiatoire. Ayant méprisé l’offre et les conditions de la vie, l’Europe faussement chrétienne est livrée à la destruction et la mort. Et le nom Euphrate qui lui est symboliquement attribué révèle sa soumission à « Babylone la Grande » soit, la Rome papale dont le nom Rome a été donné aux deux « traités » sous lesquels son Union a été officiellement construite.
Ce jour du printemps est marqué par une intensification de la tension qui oppose l’Europe Unie occidentale, lâchée par les USA, à la Russie. S’accusant mutuellement, les deux camps se préparent pour la guerre. J’entends sur les ondes les Européens annoncer qu’ils se donnent jusqu’à 2030 pour se préparer. Et en ce même jour des menaces de mort adressées à la France arrivent de l’Algérie, disant : « l’heure est arrivée de faire payer la France ! »
La question se pose : comment les Européens
peuvent-ils croire que la Russie va attendre qu’ils soient prêts pour les
attaquer ? Le piège de leur longue insouciance et aveuglement coupable se
referme sur eux. Dieu les livre à leurs ennemis, comme il l’a fait tant de fois
pour son peuple Israël dans l’ancienne alliance, jusqu’à sa destruction par les
Romains en l’an 70, conformément à la prophétie de Daniel 9:26 : « Après les soixante-deux semaines, un Oint
sera retranché, et il n'aura pas de successeur personne pour lui. Le peuple
d'un chef qui viendra détruira la ville et le sanctuaire la sainteté, et sa fin arrivera comme
par une inondation ; il est arrêté que les dévastations dureront jusqu'au terme
de la guerre. »
Dieu ne bénit le premier temps qu’au titre de première saison. Car paradoxalement, il fait dire par Salomon dans Ecclésiaste 7:8 : « mieux vaut la fin d’une chose que son commencement ; mieux vaut un esprit patient qu'un esprit hautain. » Ces paroles exaltent la longue expérience qui permet à l’esprit hautain de devenir un esprit patient. Dieu dirige les regards humains sur la fin de l’histoire terrestre, bien préférable à ses commencements marqués par le péché et ses conséquences. Car la fin, c’est l’heure du « jugement » et de la « récompense » des saints élus rachetés comme Apocalypse 11:18 le prophétise : « Les nations se sont irritées ; et ta colère est venue, et le temps est venu de juger les morts, de récompenser tes serviteurs les prophètes, les saints et ceux qui craignent ton nom, les petits et les grands, et de détruire ceux qui détruisent la terre. »
Si Dieu place le printemps en première saison, c’est parce que ses conditions équinoxes sont conformes à celles de la terre originellement pure de tout péché. L’organisation par Dieu de la semaine de sept jours exprime la mise en œuvre du principe cité par Salomon : « la fin d’une chose vaut mieux que son commencement ; …» Qui peut contester le fait que « mille ans » de vie céleste est meilleur que 6000 ans sur la terre du péché ? Psaumes 84:10 répond : « Mieux vaut un jour dans tes parvis que mille ailleurs ; je préfère me tenir sur le seuil de la maison de mon Dieu, plutôt que d'habiter sous les tentes de la méchanceté. »
Dieu a gravé dans la vie humaine, depuis la première semaine de la création du monde, la prophétie du « septième millénaire » céleste en « sanctifiant » le « septième jour » de la semaine par le repos mental et physique. Dieu ne donne pas sa lumière aux pourceaux et il le prouve en ayant masqué le vrai sens du sabbat qu’il a caché sous son rôle de mémorial de son œuvre créative du commencement. Il a jalousement gardé secrète cette vérité révélée à ses derniers serviteurs adventistes comme un signe qui concrétise le dernier « témoignage de Jésus ».
Au printemps 2018, la découverte du calendrier juif présentant la semaine pascale du mois d’Avril 30, a permis d’établir la date du retour de notre Sauveur Jésus-Christ prévue pour le printemps 2030 dont le premier jour soit, le 20 Mars, marquera le premier jour du septième millénaire céleste pour les seuls élus reconnus et rachetés par Jésus-Christ ; soit, l’an 6001 du calendrier de Dieu.
On donne au printemps le nom de « renouveau ». Ce critère marque les deux venues du Messie Jésus. Dans son ministère terrestre vécu entre les années 31 et 35 du vrai temps divin a instauré les bases du « renouveau » spirituel que constitue la nouvelle alliance dont l’élément principal est l’offrande de son sang humain venu remplacer et valider le sang animal qui le symbolisait et le prophétisait jusqu’à lui. Puis, au printemps 2030, il reviendra pour apporter le « renouveau » spirituel d’un corps et d’une vie céleste offerts à ses élus rachetés.
Prophétisant le temps de ce « renouveau », le sabbat instaure le repos de l’âme, après 6000 ans de travail éreintant à cause du péché.
Le « renouveau » prend aussi une forme politique internationale en ce jour du printemps 2025, et je rappelle que c’est seulement aujourd’hui que nous entrons dans la fausse année 2025 marquée par cette saison du printemps. Car cette année 2025 est réellement l’année 5996 du calendrier ascendant compté par le grand Dieu créateur ; et depuis la mort de Jésus-Christ en l’an 4001, l’année 1996. La grande destruction nucléaire est pour l’année 2028 ; ou 5999 ; ou 1999.
La perception du septième millénaire était invisible avant mon témoignage. Car après quelques pionniers adventistes du XIXème, j’ai été dans le XXème siècle le premier adventiste du septième jour convaincu que le temps terrestre était limité à 6000 années ; et je précise que j’avais en moi cette conviction bien avant ma rencontre avec l’église adventiste. Cette idée était tellement naturelle pour moi que la confirmation donnée par Ellen White dans sa « Tragédie des Siècles » ne m’a pas étonné. J’avais évoqué l’expression « six mille ans » dans le chant intitulé « On ne croit plus en rien » que j’ai composé et écrit en 1974, alors que j’étais musicien guitariste chanteur dans un cabaret, au Havre ; un chant que tu peux retrouver sur le site « retourjc2030.com » avec d’autres chants et documents. Les derniers 4 mois de 1974, de retour à Valence, j’ai entrepris la lecture complète de la sainte Bible m’attardant sur le livre Apocalypse. Et au printemps 1975, le Dieu lumière m’a annoncé en image dans une vision son appel pour ma mission prophétique. En 1980, mon baptême adventiste du septième jour scellait la vision après deux présentations de la « Tragédie des Siècles » au cours de l’année 1979.
Le « renouveau » de la lumière exige une outre neuve capable de porter le vin nouveau. J’avais cette caractéristique ayant été préparé par Dieu pour cette mission prophétique. Et comme au temps des Juifs de l’ancienne alliance, comme le dit Jean 1:5 : « la lumière luit dans les ténèbres mais les ténèbres ne l’ont point reçue ». Aussi, de même que Dieu a mis fin à son alliance avec les Juifs nationaux en l’an 33, selon Daniel 9:25, il a mis fin à son alliance avec l’adventisme institutionnel, après 1991, en 1994 selon Apocalypse 9:5-10.
Dans sa sainte Bible, Dieu a donné les avertissements qui justifient sa condamnation des gens qui n’en tiennent pas compte. Je cite Matthieu 24 :
Verset 42 : « Veillez donc, puisque
vous ne savez pas quel jour votre Seigneur viendra vient. »
Verset 43 : « Sachez-le bien, si le maître de la maison savait à quelle veille de la nuit le voleur doit venir, il veillerait et ne laisserait pas percer sa maison. »
Verset 44 : « C'est pourquoi, vous
aussi, tenez-vous prêts, car le Fils de l'homme viendra vient à l'heure
où vous n'y penserez pensez pas. »
La lumière donnée en 2018 par Jésus-Christ confirme ce message. Car la date du vrai retour de Jésus ne repose pas sur une donnée biblique chiffrée mais sur la découverte d’un calendrier juif et ce que sa datation du 3 Avril 30 implique par déduction.
Verset 45 : « Quel est donc le serviteur fidèle et prudent, que son maître a établi sur ses gens, pour leur donner la nourriture au temps convenable ? »
Cette précision soulignée en gras rend toute mystification impossible. La qualité de la nourriture donnée l’atteste. Le « temps convenable » désigne l’attente adventiste que le verset 46 qui suit confirme en disant « à son arrivée ».
Verset 46 : « Heureux ce serviteur, que son maître, à son arrivée, trouvera faisant ainsi ! »
Verset 47 : « Je vous le dis en vérité, il l'établira sur tous ses biens. »
Ceci est la part réservée au bon serviteur …
Verset 48 : « Mais, si c'est un méchant serviteur, qui dise en lui-même : Mon maître tarde à venir, »
Cette méchanceté est ressentie en premier par Dieu qui sonde les pensées les reins et les cœurs. L’expression « Mon maître tarde à venir » résume le fruit de l’impatience humaine des êtres méchants. On ne trouve chez ces gens aucun besoin de comprendre les désirs de Dieu et ses Révélations.
Verset 49 : « s'il se met à battre ses compagnons, s'il mange et boit avec les ivrognes, »
Mon frère en Christ Joël a été témoin d’une bagarre entre des adventistes irrités, dans l’église de Valence, un jour de sabbat après ma radiation.
Ces « ivrognes s’enivrent du vin d’impudicité de Babylone la Grande ». Dieu désigne ainsi les Catholiques, et les apostats protestants et depuis 1994, les adventistes qui les ont rejoints, selon Apocalypse 17:2 : « C'est avec elle que les rois de la terre se sont livrés à l'impudicité, et c'est du vin de son impudicité que les habitants de la terre se sont enivrés. »
Verset 50 : « le maître de ce serviteur viendra le jour où il ne s'y attend pas et à l'heure qu'il ne connaît pas, »
Ce sort est réservé aux apostats protestants selon Apocalypse 3:3 : « Rappelle-toi donc comment tu as reçu et entendu, et garde et repens-toi. Si tu ne veilles pas, je viendrai comme un voleur, et tu ne sauras pas à quelle heure je viendrai sur toi. » ; Ces Protestants apostats sont rejoints par les adventistes apostats après 1994.
Verset 51 : « il le mettra en pièces, et lui donnera sa part avec les hypocrites : c'est là qu'il y aura des pleurs et des grincements de dents. »
Dans ce verset, le mot « hypocrites » désigne comme dans Daniel 11:34 les ligues catholiques et protestantes armées : « Dans le temps où ils succomberont, ils seront un peu secourus, et plusieurs se joindront à eux par hypocrisie. » Le « secours » cité repose sur l’usage des armes par des protestants qui luttent contre les ligues catholiques meurtrières. Sous ce mot « hypocrite » Dieu désigne tous les faux chrétiens qui ne tiennent pas compte de ses ordres, car ils ne l’aiment pas et ils le prouvent par leurs œuvres.
M26- La ruine avant la mort
Dieu dispose de multiples moyens de nuire à ses ennemis terrestres, et nous avons déjà subi l’un d’eux sous l’aspect du Virus Covid-19 apparu en Chine en 2019, et en Europe ainsi que dans le reste du monde en 2020.
Le climat est aussi entre ses mains et sa volonté, une arme redoutable. Et l’actuel dérèglement des températures relevées en divers lieux de la terre en est l’exemple parfait. Le désordre et le chaos sont les signes extérieurs de son courroux et de l’approche de la limite de sa divine longue patience. Les grands glaciers fondent de plus en plus vite et les humains s’angoissent à la pensée de ne plus obtenir des rivières utiles pour arroser les cultures et permettre à des poissons et d’autres créatures aquatiques de vivre. Des lacs se rétrécissent et disparaissent progressivement. Par ces choses, Dieu annonce l’approche de la fin de la vie sur la terre.
La fausse religion chrétienne dite « catholique romaine » a changé son langage depuis que, contrainte et forcée par la ruine que lui a imposée la Révolution française, elle évoque le « bon Dieu » que la colère humaine invoque souvent indignement…en imprécation injurieuse. Ainsi, après avoir été, selon elle, inspirée par lui de manière infaillible, et avoir ainsi torturé à mort toute personne osant la contredire, ce même « Dieu » est soudainement devenu « le bon Dieu » qui pardonne tout et de préférence à prix d’argent s’il vous plaît.
La vérité concernant Dieu est bien différente. Il est parfaitement amour et parfaitement justice de manière perpétuelle et éternelle. Son amour a été démontré et sublimé par son incarnation en Jésus-Christ, le messie terrestre qui a offert sa vie pour le rachat des péchés de ses seuls vrais élus. Sa justice a été elle aussi démontrée par les châtiments infligés à son Israël souvent rebelle, au cours du temps de l’ancienne alliance. Mais subitement, dès l’entrée dans la nouvelle alliance, les Chrétiens ne voient plus la justice de Dieu qui pourtant se prolonge de la même manière qu’elle le faisait envers les Juifs rebelles.
Cette nouvelle manière de présenter Dieu uniquement sous son caractère amour, explique le comportement des chrétiens protestants. Je ne parle pas des gens qui héritent de la religion protestante mais de ceux qui la choisissent et l’adoptent par leur libre décision. Le Dieu que les pasteurs leur ont présenté est à l’image de la France humaniste qui supporte toutes les injures et les vexations sans réagir. Le Dieu que ces gens construisent dans leur esprit est à l’image du Christ ensanglanté cloué sur sa croix après avoir subi une terrible flagellation par trois lanières de cuir au bout desquelles des crochets métalliques étaient fixés pour déchirer la peau du supplicié. Les multitudes chrétiennes sont restées sur cette image du Christ pacifique, faible et agonisant.
En plein paradoxe, alors qu’ils célèbrent le jour de sa résurrection, chaque dimanche en observant le jour du repos instauré par l’empereur Constantin 1er, ces gens semblent oublier que Jésus s’est lui-même ressuscité apparaissant à ses disciples le premier jour de la semaine qui a succédé aux deux sabbats de la semaine pascale. Car le Jésus qui leur est apparu, portait encore les stigmates de sa crucifixion, mais il avait un corps glorifié sans trace de sang ; un corps physique qui pouvait apparaître et disparaître subitement au gré de sa seule volonté. Ce Jésus renouvelé était Micaël, le grand YaHWéH, le Dieu créateur. Son corps n’avait plus rien pour épouvanter, comme les visions de Daniel 10 et Apocalypse 1 le décrivent ; « un corps brillant comme la lumière du soleil, des pieds comme de l’airain embrasé, des yeux comme des flammes de feu ». Ces images terrifiantes ne sont que symboliques. Dieu est en Christ, redoutable, non par son aspect visuel, mais par sa puissance active. Il a créé le ciel et la terre, et tout ce qui s’y trouve, il y a de cela, 5996 années. Ainsi, poursuivant les Hébreux sortis de l’esclavage égyptien, Pharaon, les chars égyptiens et leurs cavaliers furent retenus momentanément par un grand feu qui descendait du ciel, mais ce ne fut pas par ce feu qu’ils furent détruits ; c’est par les eaux de la Mer Rouge qui se refermèrent sur eux qu’ils furent noyés et périrent.
Ce témoignage suscite cette question : Comment après avoir vu ce feu du ciel, ces gens ont pu s’engager dans un chemin séché creusé dans l’eau par Dieu devant eux ? Cet exemple est très utile pour comprendre qu’ils ont été aveuglés par Dieu qui avait résolu de les exterminer.
Comme les Egyptiens de cet exemple, aujourd’hui nous voyons des dirigeants, des chefs d’Etats, des ministres, des députés, des hommes politiques, des journalistes, tenir des propos déraisonnables, parce qu’ils sont aveuglés par Dieu comme les Egyptiens de l’Exode. Ainsi, le témoignage de l’expérience des Egyptiens constitue pour moi la preuve absolue de l’accomplissement du projet de Dieu concernant les rebelles de mon époque.
Aujourd’hui, Vendredi 21 Mars 2025, les médias européens apprennent horrifiés qu’aux USA, Donald Trump signe un décret par lequel il ferme et supprime le ministère de l’enseignement. Ainsi avant la ruine et la mort, Dieu attaque la norme politique qui a caractérisé les démocraties occidentales jusqu’à ce jour. Déjà le président Milei prenant en main une tronçonneuse a supprimé dans son pays l’Argentine, beaucoup de ministères qu’il tenait pour inutiles. A son tour, le président des USA veut tailler et réduire les dépenses des Etats-Unis et commence par le ministère de l’éducation scolaire. Son but est de faire disparaître toute trace de la pensée Woke qui a remis en question les valeurs religieuses américaines. Les Français laïques et pour beaucoup, incroyants, n’en reviennent pas d’un tel changement. Ce qu’ils ne comprennent pas, c’est qu’avant de les ruiner et les détruire, Dieu attaque leurs valeurs démocratiques auxquelles ils sont très attachés, convaincus que la longue paix maintenue en Europe depuis 1945 est due à ces valeurs démocratiques.
Cependant imperturbablement, aux USA, l’instrument utilisé par Dieu attaque, les uns après les autres, tous les sujets sociaux créés par la liberté outrancière des mœurs. Les aides contre le « sida » sont supprimées. Comment ne pas voir là, l’action du Dieu qui condamne les pratiques homosexuelles de la sodomie et autres pires perversions commises avec des animaux ? Visiblement, la religion reprend les rennes du pays parti en dérive. Et cette religion est celle du protestantisme évangélique qui soutient inconditionnellement Israël contre les palestiniens arabes musulmans. C’est aussi celle qui livre l’Europe à la Russie en lui refusant son soutien militaire. L’océan Atlantique se creuse et prend la forme d’un abîme qui deviendra bientôt infranchissable tant les idées européennes sont opposées aux idées des nouveaux Etats-Unis d’Amérique de Donald Trump.
Cette nouvelle situation oppose deux types de civilisations inconciliables que l’histoire religieuse a construites. Le nouveau pouvoir est à l’image de la religion protestante calviniste qui, la sainte Bible en main, sanctionne et punit tous les hommes qui contestent son autorité. Jean Calvin revit dans cette nouvelle Amérique religieusement amère et autoritaire. Mais ces excès sont devenus nécessaires tant l’abus de liberté a perverti le pays entier. Seul le changement permet de régler les problèmes créés par les excès.
A l’opposé de ce modèle, l’Europe refuse tout changement et pense conserver son autorité, que par ce moyen qui favorise la pensée unique. Ainsi paradoxalement, revendiquant le nom démocratie, l’Europe impose une règle qui restreint et empêche tous les changements rendus nécessaires par l’évolution de la situation internationale et nationale. Ce comportement reproduit celui des Juifs que Jésus-Christ a rencontré pour leur offrir les conditions de sa nouvelle alliance. Le changement a été refusé parce qu’il a été considéré comme un danger mortel pour la nation juive et les normes et rites de son ancienne alliance. En premier, l’apôtre Paul a réagi de cette manière, et avant de le juger, lui et ses frères et sœurs nationaux, nous pouvons comprendre cette légitime crainte. Ceci d’autant plus, que Jésus n’est pas venu sur terre pour convertir à tout prix les êtres humains, parce qu’il est simplement venu chercher des brebis qui lui ressemblent et sont prêtes à apprécier et adopter ses valeurs amour et justice. En dépit des apparences, Saul de Tarse était de ce nombre dans son zèle aveugle. Dieu connaissait son cœur et il en a fait un persécuteur de son Elue chrétienne pour donner de la force à cette doctrine nouvelle par sa propre conversion chrétienne. Son témoignage était d’autant plus puissant qu’il était reconnu comme un homme qui connaissait parfaitement la loi divine. Il était donc le meilleur agent pour présenter avec l’Esprit saint de Jésus-Christ tous les arguments bibliques qui justifient le projet salvateur préparé par Dieu et accompli par Jésus-Christ. Sa création de nombreuses églises chrétiennes dans l’actuelle Turquie a témoigné de son efficacité.
Hélas pour l’Europe, un tel homme n’existe pas aujourd’hui pour convertir à la sagesse divine les esprits fermés et bloqués des Européens. A l’opposé des USA, où Donald Trump casse les lois et les règles qui ont prévalu jusqu’à sa seconde élection, les dirigeants européens s’accrochent désespérément à la défense de leurs principes légaux. Et l’engagement pour la cause de l’Ukraine a été la conséquence directe de cette priorité donnée à la loi qui ne doit être changée à aucun prix. Les 80 années de paix européenne ont conditionné les esprits des Européens et leur ont fait croire que la stabilité des accords et des traités étaient la cause du maintien de cette paix. En France, ils n’ont réussi, en vérité, qu’à museler les mécontentements des électeurs, ce qui explique l’éclatement des partis politiques et leurs profondes divisions qui sont apparues à l’occasion des élections successives européennes et législatives faites en 2024.
Assis sur un baril de poudre, le président Macron joue la carte de la peur, en agitant le risque d’une guerre menée contre la France ou l’Europe par la Russie. Le pompier incendiaire place ses contrats contre l’incendie.
Se sentant lâchés par les USA les nations européennes s’affolent et redoutent une agression russe et la situation exige un réarmement impossible à réaliser dans un délai court immédiat. C’est pourquoi, les avis commencent à les diviser et l’Italie refuse le réarmement, invoquant le fait que ce gaspillage de crédit nuit aux besoins actuels de sa nation. Avec les mêmes besoins, les Français réagissent différemment entraînés pour le pire par le jeune président autoritaire Macron. Dans l’actualité, des échanges médiatisés entre la Russie et la France deviennent de plus en plus menaçants. Il en est de même des échanges entre la France et les USA. Le vice président Vance et le président Trump s’accordent pour juger « parasites » les Européens.
Pourtant, tout l’Occident subit aujourd’hui la crise provoquée par le libéralisme capitaliste imposé comme modèle par les USA à tous leurs alliés depuis 1945, jusqu’au président Trump. En arrivant au pouvoir national, les défenseurs du capitalisme libéral découvrent que leur système crée des archi-milliardaires mais ruine la gestion de l’Etat. C’est en ce sens que se confirment mes propos par lesquels je considère que ce que la crise économique que nous vivons aux USA et en Europe est une crise du système capitaliste libéral dont les conséquences mondiales sont énormes et dépassent celles de l’écroulement du régime soviétique des années 1990.
En Arabie, les rencontres russes et ukrainiennes organisées par les USA se prolongent et les avis mondiaux se partagent entre l’espoir et l’échec.
Aujourd’hui, le Jeudi 27 Mars 2025, le président Macron réunit à Paris ses homologues européens en vue de préparer la sécurité de l’Ukraine après un accord de paix préalable. L’insistance de ce président français à défendre la cause de l’Ukraine provoque la colère des Russes qui font de lui ouvertement la cible de leur menace. La stratégie de la Troisième Guerre Mondiale qui vient est donc confirmée et nous savons maintenant pourquoi les choses vont se passer de cette manière. Se mettant en tête des pays européens pour défendre l’Ukraine, le jeune et ambitieux, orgueilleux, caractériel et vindicatif, Macron prépare le sort tragique de sa capitale Paris qu’une chaine info évoque aujourd’hui sous un bandeau portant l’inscription : « Paris, la ville anti-Poutine ». Nul doute que ce jeune homme orgueilleux et frustré par son échec national cherche à se relever sur le plan européen international. Son animosité contre la Russie est partagée par des générations de gens trop jeunes ayant pris le train de la vie politique en marche. Une grande majorité d’entre eux est née dans l’Europe unie sous son label U.E. Ces gens n’ont entendu parler de la Russie que comme un peuple sous-développé dont le régime communiste s’est écroulé en 1989. Ils ont longtemps ignoré les clauses du partage de Yalta de 1945, et beaucoup les ignorent encore. En conséquence, étant nés sous le régime européen prospère, ils ne peuvent qu’approuver le jugement porté par un homme de leur âge et de leur expérience. Jeune président lors de son mandat, Nicolas Sarkozy a appris qui était Vladimir Poutine le nouveau « Tsar » de la Russie et n’a pas caché que selon lui, l’idée de recevoir l’Ukraine dans l’OTAN n’était pas réaliste pas plus que de l’accueillir dans l’U.E. Ceci explique qu’après lui, l’élection d’un président socialiste François Hollande a détourné l’attention de la Russie en imposant son abominable mariage pour tous. Et c’est lui qui a mis en selle, comme ministre, le jeune Emmanuel Macron que Dieu a imposé aux Français dans deux élections présidentielles successives. Son caractère autoritaire, entêté et borné, fait de lui l’homme qui devait attirer la colère russe sur la France républicaine et laïque. Les jours de Paris, reine du monde, sont comptés. Le feu nucléaire russe la détruira en milieu de nuit, pendant que ses habitants dormiront aussi paisiblement que le contexte du moment le permettra. Le président Macron veut les lauriers de la gloire mais ne veut pas porter seul les conséquences de ses décisions. C’est ce qui apparaît dans ses propos et ses actions contradictoires. « La Russie ne doit pas gagner » ; « il ne faut pas humilier la Russie » ; un pas en avant et deux pas en arrière quand le risque devient trop grand, c’est tout le « en même temps » du président Macron. Mais son comportement agace la Russie, car il ranime le feu de la témérité quand ses partenaires semblent se décourager. Il apporte son soutien aux pays les plus haineux des Russes ; paradoxalement des pays anciennement russes tels que les pays Baltes, petits mais hargneux comme des teignes à l’image de l’Ukraine.
Le piège tendu à l’U.E. devient évident. Ils paient leur accueil des ces pays qui étaient sous le joug de la Russie soviétique. La Pologne fut prise en dommage de guerre en 1945, contrairement aux autres pays qui étaient depuis longtemps dans l’empire Russe. Ainsi, ces pays entrés dans l’Europe et l’OTAN ont apporté dans l’U.E. leur haine de la Russie. Et sans intelligence, les Européens soutiennent ceux qui ont apporté la peste dans l’Europe, que la guerre menée, par les Russes et leurs alliés, va bientôt dévaster.
Les réunions se succèdent à Paris et en d’autres villes, ensemble on se sent fort et puissant ; mais on est ruiné dans tous les pays et particulièrement en France. Les deux années frappées par le Covid-19 ont épuisé la prospérité et seul l’endettement a permis de surnager au naufrage. De son côté, préparée par Dieu pour son œuvre destructrice, la Russie de l’Esclavonie a méticuleusement et sans répit produit des armes, des bombes terrifiantes et maintenant des drones copiés sur le modèle iranien, son premier fournisseur de drones.
Selon le bon vieux principe capitaliste, l’argent achète tout, même les âmes humaines. Dans ce tout il y a le pouvoir, la domination sur les autres peuples ; alors quand il n’y a plus d’argent ou pas assez, le pouvoir est perdu ainsi que la domination, la gloire, l’honneur, et la force ; le vainqueur se retrouve vaincu.
Je relève en cette soirée du 27 Mars 2025, une information qui révèle que Vladimir Poutine dénonce la militarisation de l’île Mayotte. Il se peut que cette annonce nous donne la cause des attaques menées par le « roi du midi » contre l’Europe catholique papale, dans Daniel 11:40. Le président russe soulève là, un sujet qui met la France en accusation de non respect des règles internationales définies par l’ONU. Car, pour garder Mayotte en sa propriété, la France n’a tenu aucun compte des résolutions onusiennes votées et imposées lors de l’offre de liberté et d’indépendance proposée aux 4 îles de l’archipel des Comores situé entre l’Afrique et l’île de Madagascar. Le résultat du vote proposé était selon l’ONU, indivisible. L’archipel des Comores était considéré comme une nation composée de quatre îles. Or, en 1974, seuls, les Comoriens de l’île de Mayotte ont voté pour rester attachés à la France ; les trois autres ayant voté et choisi leur complète indépendance. En ne respectant pas les clauses préalablement prévues pour ce vote, la France s’est mise en situation de non respect du droit international onusien. En fait, elle a fait à Mayotte, ce que la Russie a fait en Crimée en 2014. Le président russe tient dans cette affaire un solide argument contre la France qui condamne son annexion de la Crimée soutenue en 2014 par un vote exprimé par les habitants locaux. Vladimir Poutine dispose donc du moyen d’enflammer la colère des Comoriens, tous musulmans. Et cette colère ne peut qu’être partagée par les autres peuples musulmans déjà remplis de haine contre la France longtemps coloniale. Mayotte signifie dans la langue arabe : « mort ». Cette île de la « mort » peut donc devenir idéalement l’étincelle du feu qui va frapper de « mort », la nation haïe française et ses partenaires « concurrents » de l’U.E.
Par son accusation au sujet de Mayotte, le président Poutine allume un feu de diversion qui favorisera, en « roi du septentrion », son invasion des terres de l’Europe occidentale. Le « heurt » prophétisé qui désigne l’attaque du « roi du midi » est encore plus justifié, puisque Mayotte est non seulement proche de la France, mais porte le statut de département français et de région ultrapériphérique européenne. En fait, étant indivisibles légalement, trois îles des Comores sont frustrées de leur droit sur l’île Mayotte. Le sujet est grave, parce que dans cette affaire, la France est en faute et a imposé son choix au nom de la loi du plus fort ; soit, ce que la France reproche à l’action actuelle de la Russie. Ce sujet de Mayotte est d’autant plus stratégique pour la Russie qu’elle est présente dans le canal du Mozambique et soutien la cause des îles comoriennes. En ce même jour, le président russe, que le camp occidental veut boycotter et isoler, rappelle qu’il a dans le monde de nombreux amis, ce qui est exact. Alors qui est aujourd’hui, le plus isolé, la Russie ou l’Union Européenne lâchée même par les USA ?
Le Dieu créateur ne se contente pas d’imposer sa justice et ses châtiments ; il dénonce avant cela, la culpabilité de la cible de sa colère, de manière concrète irréfutable. Et la chose étant ignorée par la majorité des jeunes gens français actuels, je le rappelle, déjà, pour empêcher les islamistes du FIS algérien vainqueur aux élections du pays, la France a demandé aux autorités FLN du gouvernement algérien de ne pas reconnaître ce résultat électoral.
Le comportement des Français confirme leur incapacité à reconnaître leurs propres fautes et comme les faux chrétiens ils pratiquent l’autojustification qui irrite terriblement le Dieu créateur. Et cette incapacité de juger en toute justice apparaît également au sujet de la guerre en Ukraine, car ils se font laver le cerveau par des jeunes femmes ukrainiennes qui viennent sur les plateaux des télévisions se plaindre de l’invasion russe de leur pays, sans rappeler que des Russes civils étaient persécutés et tués en Ukraine, depuis le putsch de Maïdan, à Kiev en 2013, par des nazis du groupe Azov soit, avant cette intervention de la Russie de 2014 et 2022.
Après « le mariage pour tous », Dieu présente sa réponse : « la ruine pour tous ». Et c’est pour l’imposer à tous qu’il a fait élire président des USA, Donald Trump (sa trompette), dont l’aigreur construite par sa mise à l’écart momentanée et son humiliation l’a préparé pour appliquer des mesures hostiles sans sourcilier. Sa décision d’imposer 25%, sur tous les produits importés va porter la ruine à son apogée pour tous les pays dits jusque-là, « riches ».
M27- Le piège prophétique
Le grand Dieu créateur manipule toutes ses créatures et c’est bien son droit de le faire. Il revendique être l’auteur du bien et du mal dans la mesure où il inflige aux rebelles des maux. Il peut donc faire « du » mal et en aucun cas, « le » mal. Il est source du bien qu’il représente dans toute sa divinité.
Je lis dans Deutéronome 29:29 : « Les choses cachées sont à YaHWéH, notre Dieu ; les choses révélées sont à nous et à nos enfants, à perpétuité, afin que nous mettions en pratique toutes les paroles de cette loi. »
« La parole de Dieu est comme une épée à double tranchant », mais aussi comme une pièce de monnaie pourvue de deux faces. Bien comprise, elle est bénédiction pour une face, et incomprise et mal interprétée, elle est malédiction sur son autre face. Même pour un usage béni, par les serviteurs prophètes appelés par Dieu, la prophétie est exploitée de manière différente par lui au fil du temps qui passe ; la compréhension et l’interprétation des messages varient d’une époque à une autre. Et c’est logique, puisque « le sentier des justes est comme la lumière du soleil qui s’en va croissant depuis l’aube jusqu’au milieu du jour ». Au fil du temps, la compréhension de la prophétie s’améliore avec l’apparition des événements qui l’accomplissent. Il est donc normal, que la prophétie soit mal interprétée jusqu’au temps où elle doit être bien comprise.
Le titre de ce message fait de la prophétie un piège uniquement pour les vrais ennemis de Dieu. Et la prophétie n’est pas la cause de leur statut d’ennemis de Dieu. Quand il prophétise, Dieu ne parle qu’à ses élus (Apocalypse 1:1), auxquels il révèle l’identité de ses ennemis qui sont aussi les leurs.
Le meilleur exemple que je peux donner d’un piège prophétique se trouve dans Daniel 7 et Daniel 9, et dans les deux cas il concerne l’interprétation des données de durées de temps chiffrées.
Dans Daniel 7:25, la période citée soit : « un temps, des temps, et la moitié d’un temps » désigne trois ans et six mois. Le premier piège est de compter ces années en valeur d’années réelles de 365 ou 366 jours. En prophétie, Dieu saute l’obstacle de l’imprécision de nos années solaires, en donnant à ces années prophétique la valeur forfaitaire arrondie de 360 jours ; l’année se composant de 12 mois lunaires de 30 jours. Cette année prophétique est purement symbolique et elle exploite le code de Nombres 34:14 et Ezéchiel 4:5-6 : « un jour pour une année ». La ressemblance très proche de la durée réelle de « 1090 jours » de cette durée de « 1260 jours »-années prophétiques a conduit certains interprètes à imputer au contexte juif cette durée prophétique qui concerne le règne persécuteur papal romain de notre ère chrétienne. Les « 1090 jours » concernent, en jours réels, le temps de l’abomination établie par le roi séleucide grec Antiochos IV Epiphane dans Daniel 11:31. Cette durée est révélée dans le livre apocryphe des Maccabées. Daniel ne donne pas cette précision concernant la durée de cette action.
La construction divine de la prophétie ressemble énormément à celle des pyramides égyptiennes dans lesquels les architectes égyptiens multipliaient des pièges mortels destinés à empêcher les violeurs de tombeaux de parvenir jusqu’à la salle mortuaire du pharaon défunt. La prophétie biblique offre plus que l’accès à l’or et aux richesses cachées près du pharaon endormi ; elle offre plus que le « saint graal mythique » des chevaliers du roi Arthur ; elle offre l’amitié et la protection amoureuse du Dieu vivant.
Les gens qui s’intéressent aux prophéties bibliques sont rares et ceux qui le font ne sont pas appelés à le faire, par Dieu. En conséquences, leurs interprétations sont fausses et trompent les gens qui les découvrent et leur font confiance. Mais cette utilisation trompeuse est prévue dans la stratégie de Dieu. Un seul faux prophète est écouté par des multitudes de gens qui le suivent et lui font confiance, à leurs dépens. Car Jésus a invité ses élus à la plus grande prudence en prenant l’image du serpent qui ne peut ni courir, ni s’envoler pour fuir ses ennemis. Seul Dieu est digne de confiance ; et la chose peut sans doute choquer, mais aucun homme n’est digne de confiance, quel qu’il soit, et je m’inclus dans ce nombre. La confiance ne peut reposer que sur le résultat obtenu par une étude individuelle personnelle du sujet proposé qui crée la conviction de la certitude de l’appréciation divine de la solution du problème étudié. Ceci nécessite une lecture personnelle de la sainte Bible et une bonne connaissance de son enseignement. Si la prophétie est d’origine biblique, son explication est alors donnée dans cette même sainte Bible. Dieu assiste notre étude de sa sainte Bible en dirigeant l’esprit de ses serviteurs vers les textes où ils peuvent trouver les clés de l’interprétation.
Les êtres humains ont tout à découvrir pour comprendre le sens de la vie dans laquelle ils sont entrés sans en recevoir le mode d’emploi. Seul celui qui prend conscience et connaissance du Dieu vivant peut comprendre ce que représente une vie coupée de Dieu. C’est par cette reconnaissance mutuelle que l’élu et Dieu sont fils et Père et que l’humanité ignorante et séparée est seulement comparable à une vie animale de qualité supérieure.
En 2025, la prophétie de Daniel 9 va piéger des multitudes de chrétiens protestants qui partagent la même interprétation de « la 70ème semaine » du verset 24. Et le piège est dans les versets 26 et 27. L’Esprit a volontairement obscurci la construction du récit prophétique en évoquant au verset 26 la destruction de Jérusalem par les Romains qui dressent à leur tour, après Antiochos IV Epiphane, leur « abomination du dévastateur ». Si bien que ne renommant pas, au début du verset 27, le nom du sujet soit, celui du messie concerné par l’action, l’ennemi impute l’alliance d’une « moitié de semaine » au dévastateur qui va agir à la fin du monde. Ainsi est née cette théorie qui prophétise une guerre dévastatrice qui va durer « 3 ans et six mois ». D’autres imputent cette guerre à la seconde moitié de la 70ème semaine qui couvre réellement le temps entre la mort de Jésus-Christ et la mort en martyr du diacre Etienne. Et le pire pour ceux qui croient à cette explication est que la chose va effectivement prendre forme réelle et s’accomplir entre 2025 et 2028 inclus. Et dans cette accomplissement, le dévastateur ne sera pas seul, ni grec ni romain, mais russe, américain et chinois, principalement, et d’autres pays nucléarisés.
Je rappelle souvent dans mes échanges l’importance de ce verset de Daniel 10:12 où l’ange Gabriel dit à Daniel : « Il me dit : Daniel, ne crains rien ; car dès le premier jour où tu as eu à cœur de comprendre, et de t'humilier devant ton Dieu, tes paroles ont été entendues, et c'est à cause de tes paroles que je viens. »
Dans ce verset, le plus important est cette précision : « et de t'humilier devant ton Dieu » ; car il ne suffit pas d’avoir à cœur de comprendre pour que Dieu agisse favorablement. Ce qui est déterminant, c’est cette attitude réellement humble devant Dieu que personne ne peut tromper. Où trouvons-nous la preuve de cette humilité tant appréciée par Dieu chez Daniel ? Dans la prière qu’il lui adresse dans Daniel 9: 4 à 20 qu’il faut lire personnellement impérativement. Dans sa prière, Daniel apparaît comme le publicain de l’exemple donné par Jésus ; il se reconnaît pécheur et confesse les fautes commis par tout son peuple précisant au verset 13 : « …nous n’avons pas été attentifs à ta vérité ». Dans cette prière, Daniel présente toutes les causes qui éclairent le sens que Dieu donne à la vision Apocalypse donnée à Jean à la fin du premier siècle de l’ère chrétienne.
Car dans Daniel 10, les versets 1 à 10 décrivent l’être apparu dans la vision de Daniel. Il est presque identique à celui que décrit Jean dans Apocalypse 1:13 à 16. Selon Daniel 10:1 cette vision annonce « une calamité » qui vient frapper l’alliance infidèle. Le personnage décrit dans les deux visions est terrifiant et l’image donnée à son visage permet de définir son contexte historique et son identification ; « l’éclair » du dieu grec olympien nommé Zeus pour Daniel, et « le soleil qui brille dans sa force » dans la vision donnée à Jean. Dans son action punitive, Dieu s’identifie à la divinité païenne du peuple persécuteur qu’il utilise pour frapper son peuple infidèle Au temps de Daniel le persécuteur prophétisé était grec, et celui qui sévissait déjà au temps de Jean était Romain et adorateur du « soleil invaincu ». Dans sa phase impériale comme dans sa phase papale, la ville de Rome a été le trône de ses deux régimes persécuteurs successifs adorateurs de ce dieu astral « solaire » païen.
La vie a pris une apparence trompeuse, car la Rome papale officiellement chrétienne et catholique est restée pour Dieu la Rome adoratrice du « soleil invaincu ». Et si Dieu ne révèle pas ces choses dans ses prophéties à ses serviteurs, personne ne réalise la malédiction du repos du premier jour de la semaine qui, rebaptisé « jour du Seigneur » par l’église catholique romaine, est restée pour Dieu le jour qui honore le dieu « soleil invaincu », en latin, « sol invictus ». Ce que nous devons comprendre, c’est que le problème n’est pas seulement le nom du jour, mais plus encore son numéro d’ordre dans la semaine, car ce premier jour vient remplacer son septième jour qu’il a sanctifié et béni dès sa création de notre dimension terrestre, au septième jour. Cette sanctification avait une cause prophétique, si bien que le changement du jour du repos attaque et déforme le projet prophétisé par Dieu. Or, c’est déjà pour cette raison, qu’en son temps, à titre d’exemple, Moïse se vit interdire son entrée en Canaan et resta seul pour mourir sur la montagne du désert. Moïse avait seulement « frappé deux fois le rocher d’Horeb » pour qu’il donne son eau, alors qu’il devait simplement lui « parler » la seconde fois. Pour Dieu, ce rocher prophétisait Jésus-Christ qui devait être « frappé une seule fois » pour donner l’eau de la vie éternelle à ses élus rachetés. Dieu a utilisé Moïse pour révéler l’importance qu’il donne à ses prophéties qui révèlent le programme qu’il a préparé pour les six mille ans de l’histoire du péché terrestre jusqu’à l’instauration de la vie éternelle promise aux élus qu’il sélectionne au fil du temps.
Le changement du jour du repos par Rome est du même type que la faute de Moïse, mais aggravé par le mépris témoigné pour des ordonnances divines clairement exprimées. Moïse avait, lui, l’excuse de l’ignorance du projet prophétisé par Dieu et sa faute fut créée par un excès de colère envers son peuple rebelle et contestataire. Pour Rome, seule, son arrogance envers Dieu est la cause de son action rebelle et de ses outrages qui dépassent l’entendement normal.
Dans le combat qui oppose Dieu au diable, ses créatures célestes et terrestres doivent choisir leur camp, car il n’y a pas de place pour la neutralité. Les deux choix proposés par Dieu s’impose : l’éternité avec lui dans la soumission et l’obéissance à sa volonté, ou à l’opposé, la mort et l’anéantissement de l’être tout entier pour tous les autres cas.
L’être présenté dans Apocalypse 1 est bien Jésus-Christ lui-même en activité punitive. Et finalement, l’explication est encore plus subtile. L’image présentée illustre la compréhension chrétienne qu’avait l’empereur Constantin 1er en 313 quand il a autorisé et soutenu la pratique de la religion chrétienne. Cette description est le fruit d’un syncrétisme religieux qui associe le Christ à son dieu solaire, ce qui était la conviction de cet empereur romain Constantin 1er qui est à l’origine de la grande mystification religieuse chrétienne pendant toute notre ère depuis son époque en 313, jusqu’au retour de Jésus-Christ attendu pour le jour du printemps 2030 soit, l’an 6001 du projet divin.
Dès ma petite enfance, j’ai bénéficié de l’influence religieuse protestante darbyste qui était pratiquée par mon oncle et ma tante paternels. Je n’ai pas été baptisé et je suis donc resté libre jusqu’au véritable appel de Dieu pour adopter en adulte responsable le sabbat et l’adventisme. Mon contact avec la sainte Bible reposait sur les versions J.N. Darby et Louis Segond. Dans ma version darbyste de 1916, une table des datations des événements est présentée dans la préface de l’ouvrage. La naissance du Christ est située en l’an 4000 depuis Adam. C’est ainsi que j’ai toujours eu la conviction que nous vivions les deux derniers milliers d’années avant son retour en gloire. Ma conviction des 6000 ans terrestres menant à son retour me préparait pour ma mission prophétique adventiste, mais je ne pensais pas à chercher dans la Bible une prophétie concernant la datation de sa venue. Seule la prophétie de l’Apocalypse retenait mon attention, car j’étais convaincu que son message cachait des vérités très importantes. Et c’est seulement en entrant dans l’adventisme du septième jour que j’ai découvert l’intérêt de la prophétie de Daniel, et que William Miller avait un jour estimé pouvoir dater son retour successivement en 1843 et 1844. Ces deux attentes vaines n’encourageaient pas la démarche pour une troisième. C’est donc par simple curiosité religieuse légitime que j’ai cherché les clés bibliques de cette obscure prophétie de l’Apocalypse. Adoptant une pratique et une méthode rigoureusement biblique, je savais que les noms propres avaient une signification précise dans la langue grecque ou dans l’hébreu. Les noms cités des sept Eglises d’Apocalypse 1 définissent les époques des messages adressés par Jésus à son Elue au cours de l’ère chrétienne dans Apocalypse 2 et 3. Et libre et sans contrainte, j’ai déplacé dans le temps, la date 1844 que l’adventisme traditionnel rattachait à la seule septième et dernière église nommée « Laodicée ». Et c’est probablement la grande différence entre mon interprétation et l’interprétation traditionnelle qui rattache à chaque message une église et non une époque. Le principe époque m’a permis de placer sous le temps adventiste tous les messages d’Apocalypse 3, ce qui m’a conduit à comprendre que le découpage en deux chapitres des trois thèmes principaux d’Apocalypse 2 à 9 soit, « les messages ou lettres, les sceaux et les trompettes », était basé sur cette date 1844. La compréhension de cette structure spirituelle a été fondamentale, car elle était d’une logique incontestable. Et en conséquence de ce découpage, les « cinq mois » de délai donnés par Dieu aux faux prophètes dans le thème des « trompettes », dans Apocalypse 9:5-10, devaient être situés après 1844 ; ce qui créa la date 1994. A ma grande surprise, cette date pouvait révéler l’année du retour de Jésus-Christ ; un message difficile à faire passer et accepter dans une église traumatisée par ce sujet depuis les deux échecs des années 1843 et 1844. Mais, Dieu n’est-il pas le maître absolu qui révèle à ses serviteurs ses secrets au temps choisi par lui ? De toute évidence, c’était le cas. J’ai donc porté ce message jusqu’à ma radiation de l’œuvre pour cette raison en Novembre 1991.
Après 1994, Dieu m’a permis de comprendre le sens qu’il a donné à cette expérience. Le piège prophétique n’était pas pour moi, mais pour une institution tombée dans l’apostasie la plus complète. Car désireuse d’être aimée, même par ses ennemis spirituels, l’église adventiste de l’époque « Laodicée » a voulu entrer dans l’alliance protestante où le repos du dimanche romain est fermement pratiqué. Sans avoir son retentissement, mon action prophétique a eu les mêmes effets que les deux annonces successives de William Miller. Par lui, Dieu a criblé la religion protestante ; par moi, il a criblé, la religion adventiste du septième jour qui se croyait en sécurité, parce qu’elle est prophétiquement dans l’Apocalypse la septième et dernière église terrestre du Christ. Son attachement irraisonnable au découpage traditionnel lui a été fatal, mais logique, car l’institution se réclame d’un message dans lequel Jésus lui annonce qu’il va la « vomir ». Son erreur a été de ne pas retenir mon explication qui situe le temps de la bénédiction de l’adventisme du septième jour dans le message adressé à « Philadelphie », l’époque précédente située en 1873, la date que j’ai pu construire par mon décryptage de Daniel 12:11 et 12 : « Heureux celui qui attendra, et qui arrivera jusqu'à mille trois cent trente-cinq jours ! » Et qu’en est-il de celui qui attend encore le retour de Jésus pour le jour du printemps 2030, comme le Seigneur lui a permis de le comprendre ? Il est encore plus « Heureux » et se sent réellement béni par Dieu.
Et pour lui et ses frères et sœurs en Christ encore très rares, la prophétie ne sera plus jamais un piège.
Après la mort expiatoire de Jésus-Christ en faveur de ses seuls élus, la prophétie est la chose la plus sacrée et la plus « sanctifiée » que Dieu présente aux êtres humains. Elle n’a pas vocation à être comprise par le premier lecteur qui se présente pour la lire. Et pour tous les ennemis de Dieu, elle reste un piège qui les rassure faussement dans leurs convictions. Car en raison même de leur aspect obscur impénétrable, les prophéties divines sont faussement interprétées par les faux prophètes qui s’emparent d’elles et leur donnent leur propres interprétations avalées par tous les chrétiens superficiels qui sont les plus nombreux, en multitudes.
C’est encore en lisant le rouleau du prophète Jérémie, que Daniel découvrit la prophétie des « 70 années » de déportation à Babylone (Jérémie 25:11-12 et 29:10). Il trouva là, la réponse dont il avait besoin. Comme William Miller, après lui, j’ai moi aussi trouvé les réponses à toutes les questions que la foi suscite ; et me présentant en dernier, les réponses que j’obtiens de Dieu et par sa sainte Bible sont précises et définitives.
M28- La vengeance légitimée
Dans la société sans Dieu, ce mot « vengeance » est mal jugé : ce n’est pas bien de se venger dit-on, mais ce message ne s’intéresse pas à l’opinion des sans-Dieu, mais à l’avis de ce vrai Dieu grand et redoutable.
Dieu revendique son droit de se venger en punissant l’infidèle désobéissant. Mais il ne se réserve pas ce droit pour lui seul, et il nous en donne la preuve en autorisant sa créature à venger le sang versé ou tout autre dommage fait par un autre être humain ou même par un animal.
Sous son regard divin, la vengeance est la chose la plus naturelle qui soit dans les relations humaines et plus largement dans tout ce qui vit, et lui, en premier. Qu’est-ce que la « vengeance » ? C’est un acte de justice, et de la justice la plus primaire qui puisse exister, étant cependant parfaitement légitime.
Pour mieux comprendre ce sujet, nous devons porter notre attention sur la loi divine dite du talion : « Tu prendras œil pour œil, dent pour dent, …etc. »
L’Israël arraché à l’Egypte, par Dieu, est constitué des descendants de Jacob et ses fils, et de gens égyptiens qui choisissent de suivre les Hébreux dans l’Exode. Ils forment tous ensemble un échantillon de l’humanité héritière du péché et produisent son fruit de méchanceté et de dureté de cœur. Cet Israël ne bénéficie pas encore du Saint-Esprit qui va tout changer dans la nouvelle alliance. Cet échantillon de l’humanité n’est le peuple de Dieu que parce que c’est lui, qui le guide, l’enseigne, le protège, le nourrit et l’abreuve. Après la terrifiante démonstration de sa destruction de l’humanité antédiluvienne, Dieu entreprend de se révéler dans l’histoire humaine par cet Israël charnel. Le sort subi par l’Egypte, frappée par les fléaux de Dieu et dont sa glorieuse cavalerie et ses chars ont disparus dans la folle traversée de la mer Rouge, a terrorisé tous les peuples du Moyen-Orient de l’époque. Le Dieu d’Israël s’est imposé par sa puissance active inégalée et inégalable.
Après l’expérience du déluge, en créant son peuple Israël, Dieu pose les bases de son plan du salut et commence par rassembler, sous sa domination, des hommes et des femmes aux multiples caractères, plus ou moins rebelles, auxquels il présente ses lois et ses ordonnances. Conscients de la présence de Dieu, la grande majorité du peuple obéit plus ou moins docilement aux règles qu’il a fixées. Cette obéissance résulte d’une grande peur que cette présence de Dieu leur inspire. Tout Israël a été témoin de la manière par laquelle Dieu a contraint Pharaon à laisser partir ses esclaves. Mais peu d’entre eux prennent conscience de son témoignage d’amour. Quittant l’esclavage égyptien, certains ont l’impression d’être tombés dans un autre esclavage dirigé, cette fois, par Dieu, leur nouveau maître. Ceux qui réagissent ainsi sont comme les faux chrétiens de notre époque. Etant baptisés en Jésus-Christ, ils reconnaissent avoir Jésus pour Maître et leur religion s’arrête là. Dans l’ancienne alliance la loi est dure et implacable parce que ceux qui vont devoir la mettre en pratique sont eux-mêmes, durs et implacables et portés naturellement à se rebeller et à contester les ordres divins.
Au moment où Dieu organise sur la terre son peuple charnel Israël, dans la vie céleste, les mauvais anges rebelles côtoient les bons anges, car ils ont encore accès au royaume céleste de Dieu. La première séparation effective est donc terrestre et celle de cet échantillon de l’humanité auquel Dieu donne pour nom Israël ; nom qui signifie « vainqueur avec Dieu ». Mais ce nom est loin d’être mérité et justifié, car cet Israël n’est encore que l’image de l’Israël spirituel que Dieu obtiendra en Jésus-Christ dans la nouvelle alliance. En réalité, les élus sont déjà sélectionnés par Dieu depuis Adam et Eve, de manière individuelle. Il y a des élus dans la lignée de Seth, mais la Bible ne le précise pas. Tout ce qu’elle nous révèle, c’est que cette lignée fidèle a fini par apostasier et s’est perdue par des mariages unissant la lignée des saints et la lignée des humains rebelles selon Genèse 6. L’Israël charnel est organisé en nation protégée par ses frontières et Dieu recommande à cet Israël de ne jamais conclure des mariages avec les étrangers ; il fait de ce principe, la condition de leur protection et de sa bénédiction. Mais cette ordonnance et son obéissance ne changent pas pour autant les caractères rebelles de ce peuple « choisi » pour une démonstration et non « élu » comme on le dit souvent à tort. En fait, les Israélites sont l’image prophétique des vrais élus qui eux ne seront pas rebelles, ni contredisant, et que Dieu trouve déjà, en Moïse, Josué et Caleb.
Dans Exode 21, Deutéronome 19, 29 et Lévitique 24, Dieu exprime les bases de sa justice. Les humanistes peuvent trouver ces ordonnances très dures, mais ce que Dieu propose est un idéal qui seul peut favoriser et obtenir le succès et la réussite. En dehors de cela, les nations et les hommes sont libres d’en tenir compte où d’ignorer cette norme présentée par Dieu. Et ceux qui le jugent trop dur ne se privent pas d’ignorer ses normes tranchantes avec pour résultat l’échec et les malheurs qui l’accompagnent.
Bien qu’il soit charnel et soumis au péché, l’Israël national est construit, par Dieu, en image prophétique de son Elue éternelle. Or, pendant le septième millénaire, dans son royaume céleste, ses élus auront à juger les méchants célestes et terrestres rebelles morts, excepté Satan retenu, vivant, isolé sur la terre désolée. Pour être du nombre de ces élus, il va de soi, qu’en Christ, ses rachetés doivent approuver les normes de justice présentées par Dieu à son premier Israël charnel. Dans son exceptionnelle sagesse, Dieu réagit comme le fait un chirurgien qui sait qu’il vaut mieux sacrifier un membre gangréné avant que tout le corps soit atteint. Et je le rappelle, Jésus-Christ a lui-même dit dans Matthieu 5:29 et 18:9 : « Et si ton œil est pour toi une occasion de chute, arrache-le et jette-le loin de toi ; mieux vaut pour toi entrer dans la vie, n'ayant qu'un œil, que d'avoir deux yeux et d'être jeté dans le feu de la géhenne. » Le fait de contester ce comportement divin et médical explique pourquoi nos sociétés humaines gagnées par le péché portent un fruit épouvantable, d’insécurité, de souffrances, de vols, de viols et de meurtres commis par des assassins.
Depuis le 20 Mars, jour du printemps, nous sommes entrés dans la 5ème année qui précède le grand et glorieux retour du « Roi des rois et Seigneur des seigneurs », Jésus-Christ. N’est-il pas temps pour ses rachetés humains de tirer leçon des 5995 ans de l’expérience terrestre qui est derrière nous ? Notre temps actuel est idéal pour le faire, car nous voyons que les puissances terrestres les plus grandes sont toute fondées sur un modèle de vie sociale individuel et particulier. La puissante Chine païenne vit sous un régime communiste, mais sans Jésus-Christ. La puissante Inde idolâtre subit la malédiction de son hindouisme. La puissante Russie ayant abandonné le communisme a adopté le capitalisme mais reste contrôlé par un Etat fort ; et elle est revenue à sa religion chrétienne « orthodoxe », hélas ! Trop idolâtre et pas assez « droite » pour plaire à Dieu. La puissante Amérique du Nord des USA a atteint l’apogée de son capitalisme libéral et ce qui manque à son christianisme calviniste revendiqué, c’est le vrai Jésus-Christ et son obéissance parfaite donnée pour modèle. De son côté, l’islam présente l’aspect justice enseigné par Dieu aux Hébreux, mais il lui manque l’Esprit saint de Jésus-Christ et le véritable texte de la loi divine que seule la sainte Bible présente et révèle à l’humanité.
En Europe où le mélange ethnique est porté à son comble, toutes ces conceptions de vie cohabitent et entrent en concurrence. L’une de ces conceptions est-elle meilleure que les autres pour Dieu et ses élus rachetés ? Nullement, car il manque à toutes, le vrai et unique Jésus-Christ, en dépit des revendications des pays dits chrétiens. De plus, sur le plan social qui règle les rapports humains, chacun de ses pays conserve un élément ou plusieurs que Dieu préconise dans sa sainte loi, mais jamais plus, pour pouvoir profiter de cet avantage.
L’islam reprend la nécessaire règle dure de l’application de la justice enseignée par Dieu dans sa sainte Bible, dans la Torah de l’ancienne alliance mais aussi dans les Evangiles de Jésus-Christ, mal compris et mal enseignés. Car Dieu ne change pas, il reste invariablement le même ; à ce titre, Jésus-Christ ne peut donc pas contredire ce qu’il a enseigné en Micaël aux Hébreux en Exode. Et je vais donc développer ce sujet en comparant les deux enseignements traitant du même problème. Mais déjà, retenons le fait que Dieu a la légitimité absolue pour enseigner les normes de la justice et de l’amour, puisqu’il a payé de sa personne en Jésus-Christ, pour porter à son maximum sa démonstration en faveur des ces deux principes complémentaires, et jamais opposés, en ce qui le concerne. Et ces deux principes justice et amour éclairent le sens que Dieu donne aux deux alliances successives passées avec ses élus éternels. C’est pourquoi, leurs enseignements sont complémentaires et ne s’excluent pas ni ne s’opposent mutuellement.
Pour Dieu, le principe est simple, l’humain qui pèche volontairement contre lui mérite la mort ou doit se convertir et porter du fruit de repentance.
La mort du coupable est le châtiment rendu nécessaire pour protéger le reste de la communauté humaine. Des peuples nombreux sur la terre et non chrétiens, comme la Chine, l’Iran et l’Arabie Saoudite ont compris cette nécessité et l’appliquent systématiquement dans leurs pays. En Occident, où des luttes religieuses sanglantes ont fait mourir beaucoup de gens, selon le principe de la balançoire, dans une position contraire extrême, la condamnation à mort a été abolie. Mais dans cet Occident, la conception de la justice a été pervertie et n’a plus rien de commun avec l’enseignement biblique du sujet. Cette perversion repose sur le rôle donné à l’avocat de la défense. En opposition à ce modèle, dans la règle biblique, Dieu ne donne pas de rôle à l’avocat de la défense ; sa justice repose sur le témoignage porté par des témoins oculaires et le châtiment nécessaire est infligé par la communauté menacée, elle-même. Les juges de Dieu ne connaissent pour statuer et rendre un verdict que la loi divine écrite et la déposition des témoins oculaires.
Selon Dieu, l’élimination par la mort du ou des coupables est l’unique moyen de préserver le reste de la société humaine, et il n’a pas hésité à faire mourir la population entière qui habitait la terre de Canaan, pour la donner à son Israël charnel national.
Dans l’ancien témoignage, la mort de l’assassin coupable est la seule solution possible. Mais, dans sa sagesse divine, Dieu établit la différence entre l’assassin et le meurtrier involontaire qui tue par accident. Pour répondre à ce cas il prévoit des villes refuges : trois villes refuges vers lesquelles le coupable peut se retirer et y vivre protégé des « vengeurs du sang » versé, selon Deutéronome 19 :
V.2 : « tu sépareras trois villes au milieu du pays dont YaHWéH, ton Dieu, te donne la possession. »
V.3 : « Tu établiras des routes, et tu diviseras en trois parties le territoire du pays que YaHWéH, ton Dieu, va te donner en héritage. Il en sera ainsi afin que tout meurtrier puisse s'enfuir dans ces villes. »
V.4 : « Cette loi s'appliquera au meurtrier qui s'enfuira là pour sauver sa vie, lorsqu'il aura involontairement tué son prochain, sans avoir été auparavant son ennemi. »
V.5 : « Un homme, par exemple, va couper du bois dans la forêt avec un autre homme ; la hache en main, il s'élance pour abattre un arbre ; le fer échappe du manche, atteint le compagnon de cet homme, et lui donne la mort. Alors il s'enfuira dans l'une de ces villes pour sauver sa vie, »
V.6 : « de peur que le vengeur du sang, échauffé par la colère et poursuivant le meurtrier, ne finisse par l'atteindre s'il y avait à faire beaucoup de chemin, et ne frappe mortellement celui qui ne mérite pas la mort, puisqu'il n'était point auparavant l'ennemi de son prochain. »
V.7 : « C'est pourquoi je te donne cet ordre : Tu sépareras trois villes. »
Par ces villes refuges, Dieu m’éblouit par sa sagesse, car il a inventé la prison idéale, parfaitement adaptée pour le meurtrier accidentel. Dans son principe, c’est le meurtrier qui vient se réfugier dans une ville qui devient sa prison, mais dans laquelle il va et vient librement, sans être enfermé et isolé. Ce type de meurtrier n’est pas insociable, c’est un homme normal digne de continuer à vivre. Et je profite de ce cas pour rappeler que le commandement « Tu ne tueras point » est déformé, car Dieu ne condamne pas l’exécution mortelle comme en témoigne le verset 6 cité, mais seulement la mort donnée par l’assassin, le meurtrier volontaire, en sorte que ce verset devrait être traduit par « tu ne commettras pas de meurtre ou d’assassinat ». En hébreu, le verbe « tuer » est « qittel » et ce n’est pas lui que ce commandement utilise, mais le verbe « ratsoah » qui se distingue de « qittel » en signifiant : assassiner, commettre un meurtre. Dans une coupable superficialité, les Hébreux littéraires eux-mêmes confondent les deux significations et trompent les traducteurs des textes hébreux jusque dans leurs dictionnaires.
A l’opposé de cette sagesse divine, dans nos sociétés occidentales, se retrouvent enfermés dans les mêmes prisons, des assassins dangereux indignes de vivre et des tueurs accidentels ou des voleurs, ou encore des gens qui ont transgressé les lois du pays.
Au contraire du meurtrier accidentel, pour l’assassin, Dieu se montre implacable et exige sa mort au nom même de sa justice parfaite, selon Lévitique 24 :
V.17 : « Celui qui frappera un homme mortellement sera puni de mort. »
V.18 : « Celui qui frappera un animal mortellement le remplacera : vie pour vie. »
V.19 : « Si quelqu'un blesse son prochain, il lui sera fait comme il a fait : »
V.20 : « fracture pour fracture, œil pour œil, dent pour dent ; il lui sera fait la même blessure qu'il a faite à son prochain. »
V.21 : « Celui qui tuera un animal le remplacera, mais celui qui tuera un homme sera puni de mort. »
V.22 : « Vous aurez la même loi, l'étranger comme l'indigène ; car je suis YaHWéH, votre Dieu. »
Que trouver à redire contre cette justice exemplaire, parfaitement logique et équilibrée ? Et c’est celle que Dieu approuve exige et met en œuvre. Et la « sharia » de l’islam lui est très ressemblante. Dieu place sa justice au-dessus de tout, car c’est d’elle que les bonnes relations entre ses créatures dépendent. La réussite de son plan du salut repose sur cette prédominance de ses lois et ses principes. Et c’est à cause de cette prédominance qu’il a dû souffrir en Jésus-Christ pour payer l’outrage commis contre ses lois par ses élus rachetés. En fait, sa démonstration d’amour accomplie et sublimée en Jésus-Christ confirme et révèle la prédominance de ses divines lois qui déterminent sa conception de la justice.
Non, le mot « vengeance » n’est pas un gros mot honteux indigne d’être prononcé et en premier, Dieu le proclame dans toute sa puissance et sa divine force, en disant dans Deutéronome 32:35 : « A moi la vengeance et la rétribution, quand leur pied chancellera ! Car le jour de leur malheur est proche, et ce qui les attend ne tardera pas. » Dans ce chapitre, Dieu en veut terriblement à Israël, son « premier né », sa première alliance. Nous lisons aux versets 20 à 22 :
V.20 : « Il a dit : Je leur cacherai ma face, je verrai quelle sera leur fin ; car c'est une race perverse, ce sont des enfants infidèles. »
V.21 : « Ils ont excité ma jalousie par ce qui n'est point Dieu, ils m'ont irrité par leurs vaines idoles ; et moi, j'exciterai leur jalousie par ce qui n'est point un peuple, je les irriterai par une nation insensée. »
Le projet de la nouvelle alliance ouverte aux païens est prophétisé.
V.22 : « Car le feu de ma colère s'est allumé, et il brûlera jusqu'au fond du séjour des morts ; il dévorera la terre et ses produits, il embrasera les fondements des montagnes. »
« Le feu de la seconde mort » du « jugement dernier » accomplira cette action sous la forme de « l’étang de feu et de soufre » évoqué dans Apocalypse 20:14 : « Et la mort et le séjour des morts furent jetés dans l'étang de feu. C'est la seconde mort, l'étang de feu. »
Venant sur terre en Jésus-Christ, Dieu a-t-il changé son jugement et son programme ? Pas du tout, puisque Jésus menace toujours les gens sans foi du « feu de la géhenne ».
Pourquoi alors dit-il à son audience juive : « Vous avez entendu dire…mais moi je vous dis que… » ? Il faut bien entendre ses propos, car Jésus ne réduit pas l’exigence de Dieu, mais au contraire, il l’intensifie. Et ceci, en toute logique, car plus son plan du salut lui coûte, plus grande est son exigence de la part de ses rachetés élus. Et le prix de sa mort infligé de la plus cruelle manière rend ce coût fortement élevé. Ayant ainsi payé le prix fort, Jésus est en droit d’exiger de ses élus des preuves de confiance absolues. C’est pourquoi, il leur demande de renoncer à se venger eux-mêmes comme la loi du talion les y autorise légalement et en toute justice divine. Par ce renoncement volontaire, ils offrent à Dieu un acte de foi qui rend crédible leur demande de grâce pour leurs propres péchés. Et ce faisant, ils affirment leur croyance en son existence, mise en doute par les êtres incrédules rebelles contestataires.
Pour rendre concrète « sa vengeance » contre ses ennemis terrestres rebelles, Dieu dispose d’une multitude de moyens et dans Ezéchiel 14:21-22, il en cite 4 : « Oui, ainsi parle le Seigneur, YaHWéH : Quoique j'envoie contre Jérusalem mes quatre châtiments terribles, l'épée, la famine, les bêtes féroces et la peste, pour en exterminer les hommes et les bêtes, il y aura néanmoins un reste qui échappera, qui en sortira, des fils et des filles. Voici, ils arriveront auprès de vous ; vous verrez leur conduite et leurs actions, et vous vous consolerez du malheur que je fais venir sur Jérusalem, de tout ce que je fais venir sur elle. »
A ces 4 châtiments, nous devons ajouter, les désagréments climatiques qui suscitent tant d’inquiétude en notre époque et les divers cataclysmes tels les tornades, les cyclones, les tsunamis ou raz-de-marée, sans oublier les tremblements de terre de plus en plus fréquents et meurtriers, ainsi que les éruptions volcaniques. Et dans la liste difficile à compléter, j’ajoute et rappelle que Dieu intervient pour diriger les pensées humaines quand sa stratégie le rend nécessaire. Car l’homme ne dispose que de la liberté de l’aimer et le servir ou de subir sa juste colère et sa redoutable puissance active.
Sans intelligence, la lecture de la Bible peut servir de prétexte à justifier l’injustifiable. Première dans le genre, la religion catholique romaine n’a retenu de la sainte Bible que les noms de ces acteurs les plus célèbres et importants : Jésus, Marie, Joseph, et dans son culte rendu aux mauvais anges, elle préconise l’adoration des saints innombrables sélectionnés soit, canonisés par les papes successifs au cours de son histoire. On peut alors comprendre que sur de telles bases, Dieu n’ait jamais reconnu pour sienne cette organisation trompeuse satanique.
La punition infligée à l’Israël rebelle de l’ancienne alliance est une leçon gravée dans l’histoire humaine afin que l’humanité sache comment Dieu punit la rébellion religieuse. Car, sa sélection d’élus est perpétuelle et se prolonge donc jusqu’au retour de Jésus-Christ, au printemps 2030, heure bénie où son dernier « reste » d’élus fidèles, entrera dans son éternité céleste avec leurs frères ressuscités. Il y a donc jusqu’à la fin, un Israël spirituel qui appartient à Dieu sur la terre, et il a en face de lui, un Israël charnel frappé par la malédiction de Dieu pour son rejet de Jésus-Christ, et un faux Israël spirituel représenté par les religions chrétiennes tombées dans l’apostasie : catholicisme, orthodoxie, anglicanisme, protestantisme et adventiste institutionnel.
Dans son mélange cosmopolite multiethnique actuel, la société occidentale européenne, construite sur le modèle des USA, a derrière elle, dans son passé proche, un héritage religieux chrétien qui la culpabilise plus que les autres peuples de la terre. C’est pourquoi, dans les prophéties de Daniel et Apocalypse, Dieu la cible dans trois époques différentes dans lesquelles elle est représentée par le symbole de « dix cornes » soit, dix puissances. Et ce chiffre « 10 » est à la fois littéral à l’heure de sa formation après le démembrement de l’empire Romain et symbolique en notre époque finale. Car « 10 » c’est 2 fois « 5 » ; et « 5 » c’est le nombre symbolique de l’homme. Le nombre ou chiffre « 10 » désigne donc 2 sortes d’êtres humains : les fidèles et les infidèles ; les élus et les faux rachetés déchus ; les vrais croyants et les faux croyants que Dieu tient pour incrédules.
Nous retrouvons dans ce jugement divin, les deux choix qu’il a placés devant l’être humain en disant dans Deutéronome 30:19 : « J'en prends aujourd'hui à témoin contre vous le ciel et la terre : j'ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction. Choisis la vie, afin que tu vives, toi et ta postérité, …» Il n’y a pas de troisième choix, car le salut est obtenu en entier ou il n’est pas obtenu. Et les causes de la perdition sont innombrables ; depuis l’infidélité, jusqu’à la haine envers Dieu, en passant par la simple indifférence au sujet de tout ce qui le concerne.
Cette situation spirituelle binaire est confirmée dans ces paroles célestes et les symboles « du fer et de l’argile » qui prophétisent dans Daniel les conditions de la vie humaine dans le temps du retour en gloire de Jésus-Christ soit, un cliché de notre temps actuel qui va vivre dans 5 années ce moment glorieux :
V.41 : « Et comme tu as vu les pieds et les orteils en partie d'argile de potier et en partie de fer, ce royaume sera divisé ; mais il y aura en lui quelque chose de la force du fer, parce que tu as vu le fer mêlé avec l'argile. »
En précisant de « l’argile de potier », Dieu rappelle qu’il est le maître potier qui façonne les vases qui symbolisent les vies humaines. L’argile représente les croyants fidèles mais aussi les infidèles que Dieu compare à des vases imparfaits destinés à être brisés. Pour sa part, le symbole du fer désigne l’être humain rebelle qui ne tient aucun compte de l’existence du Dieu vivant, le tout-puissant Créateur. Sous ce symbole, il désigne Rome, successivement républicaine et païenne, puis impériale encore païenne, et enfin, papale et faussement chrétienne.
V.42 : « Et comme les doigts des pieds étaient en partie de fer et en partie d'argile, ce royaume sera en partie fort et en partie fragile. »
Notre actualité confirme cette annonce. Depuis l’élection de Donald Trump aux USA, l’Europe suiviste subit les attaques commerciales de ces USA. Et en ce jour, des taxes imposées aux produits importés entrant en Amérique, sont rétablis après des décennies de libre échange mondial. Ce nouveau coup de butoir va mettre à mal l’Union Européenne déjà affaiblie par son engagement pour la cause de l’Ukraine ; elle est victime des sanctions prises contre la Russie et son financement de la guerre menée par l’armée ukrainienne. Dan l’U.E. des deux traités de Rome, le mélange « du fer et de l’argile » est confirmé par l’alliance des nations du catholicisme romain des pays du sud et des nations protestantes nordiques, auxquelles s’ajoute, à la fin, son excroissance américaine.
V.43 : « Tu as vu le fer mêlé avec l'argile, parce qu'ils se mêleront par des alliances humaines ; mais ils ne seront point unis l'un à l'autre, de même que le fer ne s'allie point avec l'argile. »
L’alliance de l’Union Européenne a été ainsi prophétisée par Dieu, quelques 26 siècles avant notre époque finale. L’image de « l’alliance du fer et de l’argile » prophétise parfaitement les incompatibilités des opinions humaines actuelles. Des esprits souples, accommodants, prêts à accepter des compromis, cohabitent avec des gens dont les résolutions sont fermes et qui refusent toute idée de compromis.
Aujourd’hui, le Mercredi 2 Avril 2025, la « vengeance » du Dieu créateur s’exprime par les mesures prises par le nouveau président des USA, Donald Trump, l’homme par lequel Dieu sonne de la « trompette » pour la 6ème fois depuis l’an 313. Mercredi est le jour de Mercure le dieu romain du commerce. Ainsi, l’annonce de taxes énormes américaines sur les importations étrangères marque particulièrement de manière adaptée, ce jour du Mercredi.
En fait, Donald Trump fait aujourd’hui pour son pays, ce que les dirigeants européens auraient dû faire pour les leurs quand l’Amérique a imposé sa mondialisation qui les a livrés à la Chine. A l’heure de la suppression des taxes, des gens avisés avaient dénoncé la suppression des « écluses » des échanges mondiaux. Le temps leur donne raison et j’étais de cet avis.
A la faveur de la paix donnée par Dieu, le monde occidental avait adopté la mesure du libre échange international imposée par les USA victorieux, riches et puissants. Ce développement du « mondialisme » du commerce a eu de graves conséquences pour les pays européens, livrés à une concurrence impitoyable mondiale. Des grandes usines ont fait faillite et les pays dits riches sont devenus les clients de l’inconcurrençable Chine et de l’Asie en général, dont le Japon et Corée du Sud. Déjà, auparavant, l’Europe avait été victime de l’exploitation du Japon par les USA, et ce pays était devenu le principal producteur des produits électroniques, étant le constructeur des premiers transistors qui sont à la base de toute l’informatique actuelle. Les dirigeants français et européens n’ont ni su ni voulu résister à ce courant international et ils ont livré leurs populations à la ruine et au chômage. Ils ne savaient pas qu’en détruisant leur puissance productrice industrielle, ils préparaient la ruine qui frappe aujourd’hui tous les pays occidentaux nommés « riches » et cependant plus « pauvres et endettés » que jamais.
Cet appauvrissement est le moyen par lequel Dieu s’apprête à livrer l’U.E. entière à ses ennemis, comme il l’a déjà fait pour son Israël juif de l’ancienne alliance. C’est donc dans ce type d’action, que Dieu proclame à qui veut l’entendre : « A moi la vengeance ! A moi la rétribution ! »
Personne ne comprend le sens de l’inversion soudaine et brutale de la politique américaine. Mais connaissant le projet imminent de Dieu, je vois une grande logique dans tout ce qui s’est accompli depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale soit, depuis 1945. L’Amérique a imposé son régime capitaliste libéral en s’appuyant sur son énorme richesse et l’Europe s’est soumise à toutes ses volontés. La mondialisation a ruiné les Etats et les nations du camp occidental tout en enrichissant fabuleusement individuellement des hommes et des femmes dirigeants de grandes sociétés internationales. A l’heure où la guerre va détruire la prospérité et les vies européennes, l’Amérique se replie sur elle-même et prend les mesures pour favoriser sa réindustrialisation et sa complète indépendance économique et financière. Cette indépendance va être utile à l’heure où l’U.E. sera attaquée par ses ennemis « du midi et du septentrion » comme Dieu l’a prophétisé dans Daniel 11:40. Ce repli nationaliste confirme le retrait militaire des USA qui ne veulent plus agir en gendarmes du monde, mais souhaite le dominer par leur puissance économique. Le commerce est l’arme de la puissance américaine qui utilise ses sanctions économiques et ses embargos contre ses adversaires. On reconnaît dans cette stratégie, la future « bête qui monte de la terre » d’Apocalypse 13:11 qui, selon les versets 17 et 15, utilisera cette menace économique contre ses adversaires religieux qui restent fidèles au saint sabbat de Dieu, en Jésus-Christ et refusent d’honorer le dimanche papal romain : « et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. …/…Et il lui fut donné d'animer l'image de la bête, afin que l'image de la bête parlât, et qu'elle fît que tous ceux qui n'adoreraient pas l'image de la bête fussent tués. »
Le renversement de l’ancien régime monarchique depuis la Révolution française a placé les nations républicaines sous la gouvernance de gens élus pour quelques années seulement à la tête de leur pays. Ce type de gouvernance alternée momentanée a considérablement affaibli la puissance nationale sur le long terme. La disparition de la tête royale a livré les pays républicains à des esprits humains technocrates aux idées très contradictoires et controversées. Le pays soumis à ce type de régime est sacrifié et subit les conséquences de la peur et des caprices qui animent ces dirigeants éphémères. Car le président de l’heure est l’objet de pressions multiples venant de tous les horizons et les riches le sollicitent prioritairement pour défendre leurs intérêts de l’instant.
Depuis 2020, le virus Covid-19, la guerre de l’Ukraine, et Donald Trump, expriment le commencement de la vengeance du Dieu vivant ignoré et méprisé par ses créatures, sur toute la terre. Les uns après les autres, ces sujets ont construit la ruine de l’U.E. des « dix cornes » prophétisées. L’Europe doit payer cher le privilège d’avoir eu connaissance du nom du Sauveur universel Jésus-Christ le Juif et Fils de Dieu. Ce constat nous parle et nous fait entendre Dieu dire : « puisque vous avez de l’argent pour construire des armes de destruction, voici, Donald Trump va déclencher contre vous une guerre économique qui achèvera de vous ruiner, et je vous livrerai à vos ennemis pour qu’ils vous détruisent ».
Ce mercredi soir pour l’Europe, aux USA, Donald Trump a révélé la valeur des taxes qui vont frapper tous les pays importateurs étrangers. En tête la Chine qui taxe les productions américaines à 67% va subir une taxe de 34%. L’Amérique impose à toutes les nations la moitié des taxes qu’elle subit de leur part. Pour l’Europe qui la taxe à 39%, la taxe américaine sera de 20%. Les chiffres sont contestés par les Français qui incluent leur TVA de 25% dans cette valeur, mais peu importe, le président des USA ne reconnaît que ses chiffres. Et il retient les prix payés par les consommateurs français victimes de l’impôt déguisé de cette TVA, fruit de l’hypocrisie politicienne. Les conséquences de ces nouvelles taxes vont être énormes et vont compromettre la survie de certains secteurs commerciaux qui exportent particulièrement aux USA.
Cette nouvelle guerre commerciale reproduit les effets de la politique des sanctions prises contre la Russie. Et le résultat n’a pas été à la hauteur de l’espérance des Occidentaux. Au contraire, ces sanctions ont contraint la Russie à produire elle-même ce qu’elle achetait à l’Occident. Cette fois, le bras de fer qui s’engage va produire les mêmes effets sur l’Amérique désireuse d’indépendance industrielle et économique. Si bien que les « dindons de la farce » restent les nations européennes, la cible principale de la colère du Dieu créateur qui a laissé se détruire fortement sa production industrielle et reste dépendante des importations chinoises.
Le 9 Avril, jour de l’application des taxes américaines, le temps des juteux profits boursiers va se refermer. L’exploitation de la Chine avait détruit les équilibres de l’heure en favorisant le profit boursier au détriment de l’investissement industriel local. Aux USA, cette folie boursière avait eu pour conséquence la délocalisation au Mexique des usines automobiles de Détroit. La folie boursière prend donc fin par le choix américain de privilégier de nouveau sur son territoire, la restauration des usines qui ont été fermées et la construction de nouvelles. Le bon sens revient au grand dam des Européens suivistes, imitateurs, mais toujours en retard sur les USA. Face à la concurrence asiatique, les usines européennes, et principalement de la France, ont été fermées et les dirigeants se sont crus bien inspirés en favorisant la baisse du coût des produits en les important massivement de la Chine. Ils ont ainsi favorisé la ruine lente et progressive de leur économie locale et sont donc responsables du désastre constaté aujourd’hui. C’est ainsi que Dieu fait construire par ses ennemis les causes de leur destruction.
Cette politique isolationniste volontaire américaine confirme la décision prise par le président américain de ne pas venir en aide à l’U.E. quand elle sera agressée par l’islam et l’orthodoxie russe.
Une question me vient et se pose : Comment font-ils pour ne pas réaliser que l’enchaînement des malheurs successifs qui les frappent a une cause irrationnelle soit, divine ? La preuve de l’action divine apparaît dans ce texte de Joël 1:4 : « Ce qu'a laissé le gazam, la sauterelle l'a dévoré ; ce qu'a laissé la sauterelle, le jélek l'a dévoré ; ce qu'a laissé le jélek, le hasil l'a dévoré ».
Dieu a dit à Jean, dans Apocalypse 13:10, « Si quelqu'un mène en captivité, il ira en captivité ; si quelqu'un tue par l'épée, il faut qu'il soit tué par l'épée. C'est ici la persévérance et la foi des saints. » Le même Dieu juste et bon nous dit aujourd’hui : « Celui qui a sanctionné la Russie sera à son tour sanctionné, par les USA de l’heure de la « sixième trompette » personnifiée en Donald Trump.
Par ses taxes imposées actuellement à toutes les nations de la terre, Donald Trump devient responsable de « l’irritation des nations » prophétisée dans Apocalypse 11:18 : « Les nations se sont irritées ; et ta colère est venue … ». « Irritation » qui exprime la Troisième Guerre Mondiale de la « sixième trompette » qui vient.
Les « sept trompettes » d’Apocalypse peuvent être rattachées à des noms d’hommes célèbres qui ont marqué leur époque et son caractère particulier.
1ère trompette : les châtiments barbares : Attila
2ème trompette : le papisme catholique romain : Vigile 1er
3ème trompette : la Réforme protestante : Martin Luther
4ème trompette : la libre pensée et l’athéisme : Voltaire
5ème trompette : l’adventisme institutionnel : William Miller
6ème trompette : le nationalisme américain : Donald Trump
7ème trompette : le retour du Chef des chefs : Jésus-Christ
Le thème de la « 5ème trompette » est particulièrement subtil car Dieu y décrit la religion protestante. Mais cette description très imagée cible en vérité l’adventisme institutionnel dont le comportement religieux reproduit celui du protestantisme apostat. C’est à cet adventisme institutionnel que Dieu accorde « cinq mois » prophétiques soit, 150 années réelles avant de le « vomir » ; il retourne alors dans l’alliance des protestants apostats auxquels il ressemblait.
M29- La morale divine face à l’immorale et amorale humanité
Ce message apporte une suite logique au message précédent concernant la vengeance de Dieu contre ses ennemis.
Pour l’immorale humanité qui n’éprouve aucun scrupule moral dans ses décisions prises pour obtenir, la prospérité, la richesse, la gloire, le plaisir…etc, la fin justifie les moyens…tous les moyens, même les plus injustes et donc les moins légitimes. Cette explication vient donc compléter l’analyse du personnage le plus important de l’heure : Le nouveau président américain : Donald Trump que je désigne comme étant l’homme ou signe divin de la « sixième trompette ». Il n’est pas assuré qu’il sera l’homme de la « septième trompette » et voici pourquoi.
Beaucoup critiqué par la société suiviste habituée à se soumettre au plus fort et aux plus riches, Donald Trump et son vice président J.D. Vance, ont en eux des valeurs héritées de la religion chrétienne. Dans ce pays longtemps gouverné par des présidents capitalistes sans scrupule, le sort des pauvres a été très dur. Les aides sociales sont rares et très limitées et quand la rentabilité de la production américaine des automobiles Ford de Détroit n’a pas été suffisante, du jour au lendemain, impitoyablement, des multitudes d’Américains ont perdu leur emploi et leur logis. Ils ont été contraints de déménager et de se déplacer pour trouver un abri et un emploi ailleurs, quelque part, dans cet immense pays. La cause de leur malheur a été la mise en concurrence de la production américaine avec la production chinoise et européenne.
Car comme je l’ai déjà expliqué, l’Amérique a été victime de son succès et de sa prospérité. Son dollar, sa monnaie étalon mondiale, et ses investisseurs privés ramènent en Amérique, d’énormes profits réalisés sur tous les marchés de la terre. Mais cet enrichissement privé n’enrichit pas l’Etat de la nation américaine, il ne fait que créer des milliardaires dans un pays où le seul souci consiste à baisser le prix des impôts. Il y a donc quelques individus ultra-riches et un peuple de plus en plus pauvre. Sur le marché mondial du libre-échange, c’est le moins cher qui l’emporte sur le plus cher. Quand le moins cher est de très mauvaise qualité, s’il est de meilleure qualité, le plus cher réussit à s’imposer. Chacun en son temps, ces producteurs moins chers ont été le Japon puis la Chine et pour les deux pays, la qualité de la première production n’était pas au rendez-vous. Mais avec le temps, ces deux pays se sont substitués aux productions américaines et européennes.
La date du 11 Décembre 2001 est à retenir pour deux raisons.
La première est l’entrée de la Chine dans l’Organisation du Commerce Mondial nommée l’OMC. C’est cette date qui a préparé la destruction de l’industrie européenne et américaine. Par ses conséquences à long terme, c’est une date qui prépare des guerres commerciales et des guerres dévastatrices meurtrières, plus funeste que le 11 Septembre 2001 dont les victimes furent seulement les 2 tours du World Trade Center à New-York, et partiellement le Pentagone à Washington.
La seconde raison est spirituelle et tient dans le message que Dieu adresse à l’humanité en cette date du 11 Décembre 2001. Car je le rappelle pour ceux qui n’étaient pas nés, mais dans les années 60, l’an 2000 était annoncé comme l’âge d’or ; l’heure magnifique où les robots travailleraient à la place des êtres humains qui pourraient alors s’occuper se livrer à leurs activités quotidiennes dans le plaisir et la détente. Cet avenir faisait rêver et espérer dans le futur radieux présenté comme l’apogée de la réussite humaine.
Cessons donc de rêver et revenons sur la terre actuelle des êtres humains ; et que voyons-nous ? Une Chine enrichie et prospère qui tel un monstre a avalé tous les emplois des pays riches dominateurs.
Ce constat, c’est celui que Mr Donald Trump a fait en entrant en politique ; lui, le marchand d’immeubles et propriétaire de la Tour Trump, bâtie à New-York. Ce richissime personnage aurait pu vivre égoïstement pour lui-même et sa réussite personnelle individuelle. La soif de pouvoir peut expliquer partiellement son engagement politique, mais cela ne justifie pas sa remise en cause des choix faits avant lui par ses prédécesseurs. C’est alors qu’il convient de découvrir des aspects de son caractère. Il s’émeut de la mort injustifiée de multitudes de jeunes gens russes et ukrainiens et ne supporte plus cette idée. De plus, sans se donner de limite, il attaque les intérêts des investisseurs boursiers de son pays et provoque une chute des valeurs boursières mondiales. Imperturbable et obstiné, il est décidé à mener son programme présidentiel annoncé jusqu’au bout de ses promesses et de ses engagements. Ce comportement a fini par étonner des journalistes et l’un d’eux sur le plateau d’une chaîne info, a même fait remarquer qu’un tel respect des engagements politiques n’était pas si fréquent et j’ajoute qu’il est même exceptionnel et nouveau.
Il y a quelque chose de divin dans ce comportement humain. Dans Ezéchiel 1, Dieu montre en image l’ordre mondial et supra-universel qu’il donne à sa création. L’image décrite présente la rectitude de ses créatures célestes et terrestres et le fait qu’aucune d’elles « regarde en arrière ».
Ses ennemis politiques ont cherché à exploiter ses failles, ses faiblesses charnelles connues de tous, car un tel homme a été épié et scruté par des journalistes depuis son entrée sur la scène politique. On a dénoncé ses relations avec la mafia russe qui lui a prêté de l’argent dans des heures défavorables. Son prédécesseur, Mr Joe Biden, le démocrate, a essayé de l’entraîner dans une mort politique en lui imputant la responsabilité de l’invasion du Capitole du Congrès de Washington. Il est vrai qu’il a encouragé ses fans à faire pression sur les députés mais pas au point de les agresser.
L’homme a ses défauts que tout le monde connaît mais il a aussi des qualités qui le rendent dignes et adapté pour une mission divine. Car relève-le, tout ce qu’il reproche à ses prédécesseurs, Dieu le leur reproche également.
Dans la sainte Bible et dans son ministère terrestre en Jésus-Christ, Dieu condamne les riches égoïstes et leurs convoitises insatiables, parce que leur enrichissement a pour conséquence l’existence des pauvres. Dans sa norme de la vie céleste idéale, il n’y a ni pauvre, ni riche et ces deux conditions opposées ne sont que la conséquence de l’adoption d’une valeur céleste diabolique héritée du péché originel. L’argent du riche, c’est la sueur et le sang des pauvres. Et pour que cessent ces injustices, la destruction du monde actuel et de ses valeurs est nécessaire et incontournable.
Sur sa route, Donald Trump est confronté au même problème et pour obtenir l’enrichissement de son pays ; celui de son Etat gestionnaire des biens publics, la destruction du régime spéculateur boursier est, elle aussi, nécessaire et incontournable. Il doit rendre à l’Amérique sa complète indépendance que ses prédécesseurs ont sacrifiée au mondialisme commercial par cupidité et convoitise.
Jésus a chassé les marchands du temple et aujourd’hui, Donald Trump chasse les abominables boursiers cupides.
Dieu n’est pas contre le commerce et les échanges commerciaux mais il condamne l’avarice et la cupidité qui transforment ces échanges en malédiction pour ses créatures. La leçon qu’il adresse aujourd’hui par l’action de son instrument actif Donald Trump révèle sa condamnation des valeurs diaboliques adoptées sur la terre du péché, depuis 5996 années. Dieu s’exprime grandement par ce type d’action qui remet en cause en le détruisant le système qui enrichit l’homme cupide et fait progresser la pauvreté et la misère pour de grandes multitudes.
Donald Trump agit comme Dieu quand il justifie son action pour des causes morales. Il nous faut remonter à Moïse, le guide des Hébreux, pour retrouver un chef soucieux des droits des plus humbles de son peuple. A son tour, Jésus a agi de même envers les pauvres et les malheureux, condamnant par son témoignage la méchanceté des Romains et celle de son peuple Juif.
La vie terrestre nous absorbe et nous formate. Elle nous contraint de respecter l’ordre sous lequel notre pays natal ou d’installation est organisé. C’est pourquoi, le retournement de situation provoqué par Donald Trump est un message d’espoir, car il démontre la capacité du renouveau terrestre et après lui du renouveau spirituel à l’heure du retour glorieux de Jésus-Christ, au printemps 2030. Ce que Dieu et Donald Trump condamnent aujourd’hui, c’est l’héritage du non respect de l’ordre organisé par Dieu à l’époque de la dispersion des habitants de la tour de Babel. Cet aspect de la tour de Babel est complètement ignoré mais le rassemblement des humains dans des nations protégées par les barrières de leur langue et de leur frontière, devait favoriser des relations commerciales intra-nationales. De cette manière, la même condition de vie régit la vie commune de tous ses habitants. Sous cette condition, la spéculation basée sur les écarts de niveau de vie est réduite au maximum. Les voyages sur mer et sur terre des premiers commerçants internationaux sont à l’origine de la spéculation boursière dévastatrice de notre époque. En toute sagesse divine encouragée, la solution commerciale la plus normale est la norme locale qui évite les frais des voyages et le nombre des intermédiaires spéculateurs.
Je me souviens avoir été scandalisé par un reportage télévisé filmé à bord d’un cargo transporteur de pétrole. Depuis son chargement en Asie jusqu’à la France, la cargaison a changé 5 fois de propriétaire, ainsi 4 intermédiaires ont fait monter le prix, en prélevant injustement en parasite leur part. Aujourd’hui, à cause d’internet, des milliers, voire des millions de parasites agissent de même en plaçant leur argent sur des actions boursières. Rien n’a été fait pour freiner ce parasitage néfaste qui fait continuellement monter les prix pour rendre plus pauvres les travailleurs et plus riches ceux qui ne travaillent pas, mais boursicotent.
S’étant coupé de Dieu, le monde occidental faussement chrétien est devenu complètement insensible à la moralité des choses. C’est pourquoi, Donald Trump et son équipe politique apparaissent pour les dirigeants étrangers comme une anormalité sortie des enfers comme un dragon diabolique ou un serpent de mer sorti des Océans. Il est puissant et déterminé, et ce qu’ils ignorent, c’est que le Dieu tout-puissant Jésus-Christ l’utilise pour détruire le reste de leur prospérité déjà mise à mal par l’abandon de la production industrielle au profit de la Chine, progressivement, depuis 2001, le virus du Covid-19, et la dépense militaire offerte à l’Ukraine pour la soutenir dans sa guerre contre la Russie ; mais aussi, bien appauvrie par les sanctions prises contre cette Russie, car ces sanctions se sont retournées contre les Européens qui ont abandonné le gaz russe peu cher pour acheter le gaz américain et norvégien plus cher.
Le bien-être de la paix est lié à la stabilité de la vie politique, économique et sociale. Les trois domaines sont attaqués en force par Dieu, aujourd’hui. Sous ses coups de butoirs, l’Europe exsangue ne sera plus en mesure de résister militairement à ses ennemis communs, les Russes, mais aussi les Musulmans islamistes soutenus par de nombreux musulmans dits pacifiques.
Qui est vraiment le personnage Donald Trump n’est pas la question utile que nous devons nous poser. Bien plus important est le rôle que Dieu lui fait jouer dans son action punitive des « dix cornes » de l’U.E. Car sa détermination est de nature divine et le Dieu qui l’anime est le « Tout-puissant » le seul être vivant auquel rien n’est impossible. Devant lui, par la tempête, les arbres fiers et orgueilleux se couchent pour mourir déracinés, séparés de leur terre nourricière. Le modèle financier libéral du capitalisme qui a dominé sur tout l’Occident depuis 1945, est devenu « la pensée unique » longtemps considérée par des gens « iniques » comme indestructible. Ils ont témoigné constamment de leur iniquité, faisant plier leurs lois sous l’autorité du monde financier qui constitue le vrai pouvoir occidental. C’est donc encore en conformité avec la pensée divine, que Mr Donald Trump a condamné l’usage injuste de la fausse justice humaine pour tenter d’écarter de la politique des gens comme lui. Il vient de dénoncer et de condamner l’action de justice qui vise à interdire la candidature présidentielle de Marine le Pen candidate du RN en France pour les élections de 2027. Un grand drame aura éclaté d’ici là, changeant beaucoup de choses, mais l’intention vaut l’action. S’il y a eu de sa part détournement prouvé de l’argent public, cette faute mérite une sanction, mais en aucun cas, l’interdiction de représenter ses électeurs du RN, car la vie entière est organisée par des hommes pour des hommes. Le choix d’un député ou d’un président est un droit humain qu’aucune justice terrestre devrait être en droit et en possibilité d’empêcher ; ceci à cause de la souveraineté du peuple dans un régime prétendu démocratique. A ceci, j’ajoute que les juges sont des êtres humains et qu’ils ont tous une orientation politique personnelle qu’ils favorisent en prenant leur décision. Le juge parfaitement neutre et objectif n’existe pas sur la terre, il ne se trouve que dans son royaume céleste. Après avoir diabolisé ce parti à cause de son idéal nationaliste au point que les banques françaises refusaient de lui prêter de l’argent, obtenu uniquement par des prêts russes, c’est un mauvais usage de l’argent destiné à payer les aides de la députée européenne du RN qui lui sont reprochés. Là encore, dans cette affaire, c’est bien le système financier européen qui attaque son ennemi existentiel : le RN de Marine le Pen ; l’argent, toujours l’argent, ce nerf de la guerre dont l’amour est la racine de tous les maux et de toutes les formes de l’iniquité.
Or, la richesse est une anomalie de l’existence humaine. Pour t’en convaincre, regarde la nature et la vie animale ! Trouves-tu un seul animal dont la pensée consiste à s’enrichir plus que les autres ? En eux, Dieu a gravé la norme de ses valeurs, chacun ne vit que pour manger et se reproduire. Jésus a donné en exemple les passereaux que Dieu nourrit selon leur besoin quotidiennement ; en quoi les besoins réels de l’homme sont-ils différents ? Les inventions technologiques humaines récentes, ont-elles libéré l’homme ? Non, elles l’ont rendu encore plus dépendant de l’argent rendu nécessaire pour en bénéficier. Internet était un piège tendu diaboliquement et divinement depuis son apparition et son service rendu public par les Américains. Internet n’a été que le filet jeté dans la mer des masses humaines pour piéger les poissons captifs, captivés et séduits par son utilisation. Chacun se refermant sur ses contacts des réseaux sociaux, le lien social familial proche a été détruit et a favorisé le développement monstrueux de l’égoïsme et de l’individualisme. De la sorte, le lien virtuel artificiel a tué et rendu impossible le lien fraternel spirituel de la vraie religion bénie par Dieu.
Je ne crains pas de le dire, mais Internet aura permis la transmission du meilleur soit, ce que présente le site « retourjc2030.com » et sa lumière divine, et le pire ; ce que constituent les réseaux sociaux internationaux.
Dans la sainte Bible, Dieu ne condamne pas le statut de l’esclave, mais s’il le justifie c’est pour une raison spirituelle : il ne donne pas à ce statut l’aspect odieux que l’humanité inique lui a donné. Pour cette humanité, l’esclave est traité comme un animal, ce que confirme dans son action le méchant maître qui le rudoie et le brutalise. A l’opposé de ce modèle, Dieu se présente dans le rôle du bon maître que son esclave apprend à aimer au point de ne plus vouloir être séparé de lui. Dans le programme de la vie humaine, le méchant est nécessaire pour permettre aux élus de découvrir l’amour du bon maître. La comparaison des deux sortes de maître conduit les élus à se jeter dans les bras du bon et divin maître. Le bien ne s’apprécie qu’en étant comparé au mal qui apparaît ainsi utile pour la sélection divine des élus.
Dans son expérience professionnelle, Donald Trump a vu les effets et les conséquences de la perversion du système boursier duquel dépendent en grande partie les paiements des retraites de tous les Américains. En pensée ou modèle unique, le système a été reconduit de génération en génération, et les premières victimes de ses abus ont été les travailleurs Américains privés d’emploi et de salaire. Par Donald Trump, Dieu pointe du doigt les responsables des malheurs provoqués : les parasites boursiers insatiables. Le seul remède possible est le retour en arrière ; ce qui nécessite l’isolement de la nation qui sera alors contrainte de se prendre en charge industriellement et économiquement. Cette remise en cause d’un modèle d’existence est à l’image de celle qui s’impose à tout homme qui veut se convertir à la vraie religion divine. Quel que soit son héritage religieux ou païen, l’élu doit accepter d’être reconstruit sur le modèle présenté en Jésus-Christ. Mais cette reconstruction n’est pas une restauration ni une réparation car elle exige une destruction de l’ancien modèle porté par le vieil homme. C’est le sens du baptême qui demande au baptisé de mourir à lui-même pour revivre en Dieu en Jésus-Christ.
En ce jeudi 10 Avril 2025, le monde respire et se rassure…car Donald Trump revient sur sa politique de taxe pour offrir un temps de réflexion de 90 jours aux nations de la terre. Dans sa réalité et sa perception personnelle, le président a craint que la chute des valeurs boursières que ses mesures ont provoquée retourne une majorité d’Américains contre lui et sa politique nationaliste. Mais que se passe-t-il réellement ? La réalité est dans le programme de Dieu qui veut conserver une Amérique forte donc riche et puissante. Aussi, faut-il protéger les investissements boursiers américains. Voici comment la situation s’explique : Donald Trump a clairement annoncé ce qu’il veut faire et il n’a pas caché son hostilité envers les investisseurs boursiers qui favorisent les délocalisations des productions américaines. Le délai de 90 jours va permettre à ces investisseurs de retirer leurs avoirs de leur placement précédent et actuel pour les placer sur les groupes favorables à la reconstruction des entreprises américaines sur le sol de l’Amérique selon le souhait du président Trump. Cette marche arrière momentanée est du même type que le retrait des troupes romaines venues faire le siège de Jérusalem en l’an 70. Par ce retrait momentané, Dieu a offert aux gens de foi la possibilité de fuir de Jérusalem avant le grand désastre qui l’a entièrement détruite avec tous ses habitants restés alors qu’ils auraient pu s’enfuir au moment favorable ; et avec eux furent frappés aussi tous les Juifs venus ensuite des autres régions du pays pour célébrer la Pâque.
Dans l’immédiat, Donald Trump a réussi à obtenir de tous les pays que l’Amérique taxe de 10 % leurs productions importées aux USA ; elle est donc déjà gagnante. La cible privilégiée de Donald Trump, c’est la Chine qui est, en 2025, le plus puissant pays producteur sur toute la terre. Sa monnaie, le « Yuan » est sous-évaluée, ce qui lui permet de maintenir des prix de vente assez bas, imbattables par la concurrence mondiale. Le bras de fer a commencé entre les deux participants ; d’escalade en escalade, les USA taxent aujourd’hui à 145 % la Chine qui les taxe en retour à 125 %. Ces 90 jours de délai nous portent vers le début du mois de Juillet, et d’autres bras de fer s’engageront … Les investisseurs mondiaux sont maintenant prévenus, la cible de la colère divine est la bourse mondiale ; l’instrument de la cupidité insatiable des parasites intermédiaires.
M30- Le prix du mépris
Tout mépris pour un sage conseil finit par être payé par le méprisant, mais lorsque ce conseil de sagesse a été donné par Dieu, en personne, ce prix atteint un niveau terriblement élevé. Et c’est ce qui arrive dans notre temps à la France, coupable d’avoir méprisé ce conseil donné par Jésus-Christ, le Dieu tout-puissant incarné dans la chair humaine. Il a déclaré dans Matthieu 6:24 : « Nul ne peut servir deux maîtres. Car, ou il haïra l'un, et aimera l'autre ; ou il s'attachera à l'un, et méprisera l'autre. Vous ne pouvez servir Dieu et Mammon. ».
S’il est vrai que Jésus dénonce par ce verset une attitude spirituelle d’infidélité religieuse qui condamne les gens dont le cœur est partagé entre Dieu et l’amour de l’argent et des richesses terrestres, il n’en est pas moins vrai que ce partage d’amour pour deux maîtres est un principe de malédiction dans toutes ses applications. C’est déjà le cas à cause du chiffre 2 qui est en forme numérique le nombre symbolique de la malédiction de l’imperfection, contrairement au chiffre 3 qui désigne, lui, la perfection.
Depuis longtemps, ayant déjà sous l’ancien régime monarchique adopté le principe de la nationalité basée sur le droit du sol, la France a accordé la nationalité française à des multitudes de gens venus de l’Etranger. En conséquence, ces personnes nées sur un sol étranger se retrouvent porteuses d’une double nationalité. C’est alors que ces personnes se retrouvent dans une situation peu enviable de partage d’attachement à leur nation originelle et leur nation d’adoption avec pour conséquence de ne plaire à aucune des deux nations concernées.
Dans l’application spirituelle, l’exemple de Rahab, la prostituée de Jéricho est un parfait exemple d’une adoption réussie. Pourquoi ? Mais parce qu’après son ralliement à la cause du Dieu des Hébreux, sa ville natale fut entièrement détruite et anéantie par les soldats hébreux. Elle ne risquait plus d’avoir à partager son cœur entre sa patrie d’origine et son nouveau peuple d’adoption. Et tout alliance passée avec le vrai Dieu exclut tout retour en arrière ; ce que Dieu illustre parfaitement en présentant l’expérience de Lot, ses deux filles et sa femme, disant dans Genèse 19:17 : « Après les avoir fait sortir, l'un d'eux dit : Sauve-toi, pour ta vie ; ne regarde pas derrière toi, et ne t'arrête pas dans toute la plaine ; sauve-toi vers la montagne, de peur que tu ne périsses. » Et nous lisons au verset 26 : « La femme de Lot regarda en arrière, et elle devint une statue de sel. »
Pourquoi Dieu l’a-t-il transformée en statue de sel ? Parce que son cœur était resté attaché à la richesse du lieu basée sur l’exploitation du sel qui fait encore aujourd’hui de la mer morte l’eau la plus salée sur toute la terre et ceci, à un niveau d’altitude de – 400 mètres au-dessous de la mer Méditerranée. Cet abaissement fait du lieu un abîme maudit par Dieu ; maudit comme le sel qui a enrichi les habitants de Sodome et Gomorrhe et qui constitue la cause de la totale stérilité terrestre. Dieu a ainsi donné à la femme de Lot, la nature de ce sel qui représente toute sa parfaite stérilité spirituelle.
Je relève, en les citant, que ces versets portent les nombres 17, symbole du jugement et 26, nombre du nom de Dieu YaHWéH. Ceci me porte à dire que ces versets soulignent un sujet auquel Dieu donne une énorme importance, parce qu’ils condamnent le partage des cœurs humains entre Dieu et la jouissance des biens matériels terrestres ; chose qui caractérise aujourd’hui, la quasi-totalité des humains qui vivent en Occident, en Europe et aux Amériques.
C’était déjà le cas, dans la vie des Juifs de l’ancienne alliance qui étaient assemblés de manière traditionnelle par l’héritage national traditionnel. Ils avaient au moins l’excuse de n’avoir pas vu les œuvres accomplies par Jésus-Christ et les derniers de ces Juifs héritiers d’Abraham n’ont pas eu cette excuse et les œuvres parfaitement justes de son ministère messianique les ont totalement condamnés à la destruction accomplie par les Romains en l’an 70. Et là encore, en faisant accomplir ce jugement dans « l’an 70 », Dieu a désigné la cause de ce châtiment ; à savoir, le mépris témoigné par eux envers la prophétie des « 70 semaines » prophétisées dans Daniel 9:23 à 26.
V.23 : « Lorsque tu as commencé à prier, la parole est sortie, et je viens pour te l'annoncer ; car tu es un bien-aimé. Sois attentif à la parole, et comprends la vision ! »
Ce verset doit être bien compris, car il explique pourquoi Daniel est considéré par Dieu comme « un bien-aimé ». L’explication se trouve dans les versets précédents dans lesquels Daniel adresse à Dieu une fervente prière dans laquelle il s’humilie ainsi que son peuple pour lequel il intercède, reconnaissant toutes ses fautes et son infidélité. Daniel est personnellement le contraire de ce comportement et sa prière et son intérêt pour les prophéties divines en témoignent.
V.24 : « Soixante-dix semaines ont été fixées sur ton peuple et sur ta ville sainte, pour faire cesser les transgressions et mettre fin aux péchés, pour expier l'iniquité et amener la justice éternelle, pour sceller la vision et le prophète, et pour oindre le Saint des saints. »
Parce que « le sang des taureaux et des boucs est incapable d’expier le péché » originel et ses reproductions, selon Hébreux 10:4 où il est écrit, « car il est impossible que le sang des taureaux et des boucs ôte les péchés », « le Saint des saints » que représente Dieu en Jésus-Christ est venu « expier » dans sa chair humaine, « le péché » porté par ses élus, eux seuls étant rachetés par sa grâce. Ils bénéficient ainsi de la vie éternelle obtenue par sa « justice éternelle » parfaite.
V.25 : « Sache-le donc, et comprends ! Depuis le moment où la parole a annoncé que Jérusalem sera rebâtie jusqu'à l'Oint, au Conducteur, il y a sept semaines et soixante-deux semaines, les places et les fossés seront rétablis, mais en des temps fâcheux ».
Dans ce verset, Dieu offre à ses élus le moyen de connaître la date de la mort de Jésus-Christ. En 2018, construite sur cette date, il a révélé à ses derniers prophètes « bien-aimés », la date de son retour glorieux attendu pour le printemps 2030.
V.26 : « Après les soixante-deux
semaines, un Oint sera retranché, et il n'aura pas de successeur
personne pour lui. Le peuple d'un chef
qui viendra détruira la ville et
le sanctuaire la sainteté, et
sa fin arrivera comme par une inondation ; il est arrêté que les dévastations
dureront jusqu'au terme de la guerre. »
Ce verset présente l’intérêt de révéler successivement la cause et la conséquence du mépris pour cette annonce prophétique. L’histoire témoigne que c’est dans l’année 70, que les troupes romaines conduites par Titus, sont venues détruire la ville de Jérusalem, son clergé et ses habitants soit, sa sainteté stérile infidèle devenue inutile. Et il est vrai que dans l’action, le saint temple devenu cause d’idolâtrie a été également détruit par une fureur romaine inspirée par Dieu.
Ayant ainsi donné en 70 le témoignage que Dieu punit mortellement le mépris pour la parole prophétique, Dieu peut en toute justice appliquer cette même sentence contre les chrétiens infidèles et indignes qui reproduisent ce mépris bien qu’ayant reçu de Dieu cet avertissement cité par l’apôtre Paul dans I Thessaloniciens 5:19 à 22 : « N'éteignez pas l'Esprit. Ne méprisez pas les prophéties. Mais examinez toutes choses ; retenez ce qui est bon ; abstenez-vous de toute espèce de mal. » Mieux encore, de son côté l’apôtre Pierre précise dans 2 Pierre 1:19 à 21 : « Et nous tenons pour d'autant plus certaine la parole prophétique, à laquelle vous faites bien de prêter attention, comme à une lampe qui brille dans un lieu obscur, jusqu'à ce que le jour vienne à paraître et que l'étoile du matin se lève dans vos cœurs ; sachant tout d'abord vous-mêmes qu'aucune prophétie de l'Écriture ne peut être un objet d'interprétation particulière, car ce n'est pas par une volonté d'homme qu'une prophétie a jamais été apportée, mais c'est poussés par le Saint Esprit que des hommes ont parlé de la part de Dieu. »
Après de tels avertissements, aucun chrétien n’est en droit de se demander si l’étude de la parole prophétique est utile ou pas. Les chrétiens qui hésitent sur la réponse à donner à ce type d’interrogation n’appartiennent pas à Jésus-Christ, en dépit de leur engagement religieux officiel.
Le mépris de la parole prophétique est la raison qui explique la mort spirituelle de toutes les institutions chrétiennes et de la religion juive. Car Dieu a déclaré aux être humains ces paroles citées dans Amos 3:7 : « Car le Seigneur, YaHWéH, ne fait rien sans avoir révélé son secret à ses serviteurs les prophètes. »
J’attire l’attention de tous sur ce verset qui révèle ce que doit être la vraie religion. La qualité de la vie religieuse en dépend. Dieu présente le type de relation qu’il désire mettre en œuvre entre lui et ses créatures. Il reste invisible mais constamment actif en faisant partager sa pensée à ses serviteurs les prophètes qu’il choisit et sélectionne, personnellement, lui-même, parmi toutes ses créatures disponibles. Le « prophète » ou le « voyant » est donc l’homme pour lequel le Dieu invisible se révèle dans son esprit et ses pensées dans lesquelles Dieu lit et écrit comme dans un livre, tel que la sainte Bible dans laquelle il a fait écrire les messages inspirés à ses prophètes.
Le canon biblique s’est refermé après la mort de Jésus-Christ, par la révélation Apocalypse donnée à l’apôtre Jean à la fin du premier siècle de notre ère. Mais l’inspiration divine, disparue pendant les temps des ténèbres du catholicisme romain, a été reprise partiellement au temps de la Réforme protestante. Mais c’est surtout en 1816, que cette inspiration divine a concerné de nouveau la parole prophétique divine ; et le prophète choisi pour la porter avait pour nom William Miller et il vivait aux USA ; après lui, Dieu a choisi une femme, Ellen White, pour transmettre à ses élus « adventistes du septième jour » ses enseignements et ses directives. Ce déplacement, par Dieu, de ses prophètes aux USA a confirmé sa condamnation du monde européen resté sous la malédiction du catholicisme papal romain et de son jour du repos appliqué sur le premier jour imposé en Europe depuis l’empereur Constantin 1er le grand, le 7 mars 321 ; après l’apostasie chrétienne créée par la paix religieuse de 313, par son Edit de Milan. Le Dieu créateur a choisi cette terre redécouverte pour y faire éclore sa première génération d’élus sanctifiés par la restauration du saint sabbat du septième jour ; le samedi de notre semaine divine et humaine. Dans son programme, ce retour du sabbat s’accompagne du symbolisme d’un retour de son Israël en terre promise. Les « 12 tribus scellées » d’Apocalypse 7 confirment cette intention. Hélas ! Mais logiquement, le temps qui favorise le comportement de l’héritage religieux traditionnel a eu raison de cette dernière institution « vomie » officiellement par Jésus-Christ en 1994, pour le même mépris prophétique témoigné dans le fief adventiste français à Valence sur Rhône.
Ainsi, l’histoire religieuse a encore été écrite après l’Apocalypse donnée à l’apôtre Jean. Les ouvrages écrits par Ellen White ont posé des bases permettant de comprendre l’œuvre adventiste par laquelle le canon de l’inspiration divine s’est prolongé jusqu’en 1980, date de mon baptême adventiste du septième jour. Et depuis cette date, tous mes écrits prolongent ce canon divin confirmé dans ses messages écrits chaque semaine au gré de l’inspiration divine que Dieu me donne selon son exclusive volonté. Je vois aujourd’hui se mettre en place des choses que j’avais pensé voir s’accomplir déjà en 1983 et 1993. J’assiste ébloui, à l’action de mon Dieu qui met en œuvres tout ce qu’il a annoncé et m’a fait connaître 50 années plus tôt. Son projet prend sens à la lumière des événements qui s’accomplissent dans le monde entier concerné par sa juste colère.
Après avoir rappelé le prix payé pour le mépris des ordonnances spirituelles transmises par Dieu, je reviens maintenant aux conséquences portées actuellement par la double nationalité des êtres humains. Car dans l’actualité elle est devenue la cause de graves tensions entre les gouvernants de l’Algérie et ceux de la France. Un Algérien naturalisé français et bien reconnu par la France, nommé Boualem Sansal, s’est rendu en voyage en Algérie. Et là, irrité par ses propos qui donnaient raison à la revendication du Maroc sur une terre située au Sud de l’Algérie, l’homme a été arrêté et mis en prison en Algérie. Et voici donc le problème concret que pose la double nationalité, car en tant qu’Algérien, l’Algérie a des droits sur lui, et en tant que Français naturalisé, la France a aussi des droits sur sa personne. Déjà, en choisissant de reconnaître à la terre disputée une propriété marocaine, le président Macron a placé la France en situation d’adversaire de l’Algérie dont la haine pour la France depuis sa guerre d’indépendance commencée en 1954 est chantée dans son hymne national. La relation entre les deux pays s’est maintenue hypocritement uniquement pour des raisons d’intérêts momentanés. A l’heure favorisée par de grands changements, et particulièrement pour la France d’une grande faiblesse financière, le comportement hypocrite algérien cesse et la rancœur longtemps contenue éclate et prend forme au moindre prétexte. Un tel adversaire est pour la France redoutable à cause de son énorme représentation sur la terre de son sol national. Les rébellions continuelles de cette jeunesse algérienne immigrée ont été minimisées par tous les dirigeants successifs de la 5ème République. De peur de conséquences beaucoup plus graves, ils ont préféré faire le dos rond et essuyé les dégâts matériels commis tels que l’incendie des véhicules dans les jours des fêtes nationales françaises. Des dépenses énormes ont été consacrées pour tenter d’amadouer cette rébellion interne étrangère et au fil du temps, de concession en concession, la jeunesse agressive s’est progressivement installée dans sa cohabitation avec le régime incrédule de la laïcité. Mais le feu couve sous la braise et les tensions actuelles vont ranimer l’animosité naturelle qui oppose l’islam revanchard à cette laïcité républicaine ; pour le cas de l’Algérie la rancœur suscitée par la haine de l’ex colon double et renforce cette opposition religieuse.
Nous pouvons déjà, à la lumière de cette nouvelle tension, relever l’importance du temps colonial dans le programme formé et accompli par le Dieu créateur. L’histoire est une succession d’événements qui créent des causes suivies d’effets. Des pays comme l’Angleterre et la France ont été contraints d’accueillir en multitudes des habitants des pays anciennement colonisés. L’Angleterre a reçu des multitudes venues de l’Inde et la France est composée en majorité d’une immigration algérienne puis de Musulmans magrébins marocains et tunisiens ; mais aussi, plus récemment, d’une grande quantité de Noirs africains regroupés dans les banlieues des grandes villes françaises.
Ce qui paraît normal pour une jeune personne d’aujourd’hui, ne l’est pas pour l’homme âgé que je suis. Le changement est énorme et épouvantable. Car ce qui a été possible en temps de paix va devenir tragique et terrible en temps de guerre. J’ai connu une France blanche et chrétienne et me retrouve aujourd’hui dans une France cosmopolite dans laquelle la terre entière semble s’être installée pour y être représentée. Tous ces gens immigrés ont apporté avec eux leur religion et leurs traditions culturelles et traditionnelles.
Dans le passé, les religions chrétiennes se sont opposées et combattues pour des opinions religieuses différentes opposées. Quand le régime républicain s’est imposé, ces combats réels ont cessé. Mais la forte immigration qui a suivi a installé de multiples religions païennes, même sous l’apparence du monothéisme comme c’est le cas de l’islam que Dieu a suscité après l’instauration du régime catholique papal, uniquement pour la dispute. Ce but de dispute est confirmé par l’imposition du voile porté par les femmes musulmanes. Le vrai Dieu, n’a imposé aucune tenue particulière à ses serviteurs des deux alliances, il a simplement interdit aux hommes de porter des vêtements de femmes, et aux femmes de porter des vêtements d’homme. L’inutilité du voile pour les femmes est confirmée par les paroles de l’apôtre Paul qui dit que leurs cheveux longs tiennent le rôle de voile.
L’interdiction imposé à l’homme de ne pas porter des vêtements de femmes a une cause hautement spirituelle qui échappe au raisonnement humain. En créant le couple composé de deux sexes complémentaires, Dieu a donné à l’homme et la femme une valeur symbolique spécifique : l’homme, c’est Christ, et la femme, c’est son Elue, son assemblé d’élus rachetés par son sacrifice expiatoire. Le vêtement est le symbole de la justice donnée ou pas par Jésus-Christ. Lavé, il justifie ; souillé, il condamne. Dans son projet salvateur, c’est Jésus-Christ qui revêt son épouse de sa justice et c’est sa divinité de mâle qui la féminise et fait d’elle son Elue. Aussi, en portant des vêtements d’homme, la femme se fait l’égal de Jésus-Christ, l’homme parfait ; ce qui trahit le projet salvateur du Dieu créateur. De même, l’homme qui revêt des vêtements de femmes humilie et déshonore Jésus-Christ qu’il représente en tant que mâle, car agissant ainsi, il féminise Jésus-Christ qu’il symbolise par sa nature d’homme.
Chacun est libre de tenir compte ou pas de cette explication, mais le témoignage biblique nous a appris le prix payé pour le mépris témoigné envers les saintes et divines valeurs de Dieu. La leçon fut payée par Moïse dont les paroles déformèrent le projet prophétique salvateur de Dieu : il lui fut interdit d’entrer dans la terre promise ; à bon entendeur, est réservé le salut du divin Christ.
En 2025, la représentation de la population française est à l’image de cette description de « Babylone la grande » qui symbolise la ville de Rome, organisatrice de l’actuelle U.E., et la religion catholique papale qui y a son siège du Vatican. L’Esprit dit dans Apocalypse 18:2-3 : « Il cria d'une voix forte, disant : Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande ! Elle est devenue une habitation de démons, un repaire de tout esprit impur, un repaire de tout oiseau impur et odieux, parce que toutes les nations ont bu du vin de la fureur de son impudicité, et que les rois de la terre se sont livrés avec elle à l'impudicité, et que les marchands de la terre se sont enrichis par la puissance de son luxe. »
Je trouve régulièrement dans ma boîte aux lettres des prospectus placés par des marabouts africains, jeteurs de sorts, qui prétendent être des voyants mais qui abusent des gens séduits et trompés. Avec le temps ils se sont multipliés et la France paie ainsi le prix de sa colonisation de l’Afrique noire. Le choix humaniste est en cause car comme son nom le dit, l’humaniste approuve le rassemblement des êtres humains. Dans son aveuglement spirituel, il ne voit pas les risques encourus par la cohabitation des religions incompatibles entre elles.
Dans le verset cité, il faut relever l’expression « elle est devenue ». Cette précision confirme l’énorme changement relevé dans l’Europe actuelle ; celle des derniers jours. Le mélange ethnique européen explique cette transformation prophétisée par Dieu. Et nous voyons ainsi que l’Europe s’apprête à subir les conséquences de son mépris pour les leçons divines basées sur l’expérience désastreuse de son Israël juif de l’ancienne alliance. Sa protection divine dépendait de l’interdiction de contracter des mariages avec les gens des nations étrangères. L’Europe actuelle est l’opposée absolue de cette interdiction. Le mépris des valeurs divines est ainsi confirmé et son prix va être très élevé. A l’échelle mondiale, les sociétés occidentales reproduisent aujourd’hui la confusion de la population réunie à Babel. La différence tient uniquement dans le fait qu’à Babel, les habitants partageaient une seule et même langue et qu’ils se sont séparés quand Dieu a suscité des langues différentes qui ont fait qu’ils ne se comprenaient plus. Aujourd’hui, le rassemblement des populations occidentales est réalisé malgré les langues différentes, la faute commise est donc aggravée et la culpabilité sera payée par des centaines de millions de morts soit, par un prix bien supérieur à la séparation causée par les langues parlées différentes de Babel.
Le changement européen a été la conséquence de l’influence du modèle de vie américain dans lequel néanmoins, au début de son histoire, le pays n’avait qu’une seule langue : l’anglais. Grâce à cette unique langue, au fil du temps, la vie des communautés blanches et noires a été rendue possible. Mais à son tour, l’Amérique a accueilli beaucoup de gens d’origine hispanique catholique qui se sont multipliés dans le pays et surtout dans ses grandes villes. Ceci au point que le catholicisme romain et la langue espagnole ont pris une énorme place dans la culture de ce pays originellement protestant. La cohabitation pacifique des deux religions a donc créé aussi aux USA une grande confusion religieuse. Mais que signifie cette cohabitation pacifique ? Simplement que la religion a perdu toute sa valeur et sa raison d’être.
La même confusion concerne donc aujourd’hui en 2025, les USA et l’U.E. soit, tout le camp occidental auquel il convient de rattacher l’Australie. Ceci au point que Dieu adresse de nouveau au christianisme apostat ces paroles adressées aux Juifs dans Esaïe 2:6-7 : « Car tu as abandonné ton peuple, la maison de Jacob, parce qu'ils sont pleins de l'Orient, et adonnés à la magie comme les Philistins, et parce qu'ils s'allient aux fils des étrangers. Le pays est rempli d'argent et d'or, et il y a des trésors sans fin ; le pays est rempli de chevaux, et il y a des chars sans nombre. »
Quand Dieu cite « l’Orient » au temps d’Esaïe, il désigne les actuels Iran et Iraq d’où sont venus les mages pour honorer la naissance du messie Jésus. Mais à l’époque d’Esaïe, ces pays étaient intégralement païens et idolâtres. En 2025, ces pays sont musulmans et sont donc à ce titre restés païens et idolâtres en dépit de leur revendication de leur rattachement au Dieu créateur.
Une émission d’une chaîne info télévisée rappelle ce soir l’approche du 9 Mai, date où en 1945, la Russie a obtenu des Occidentaux que la capitulation de l’Allemagne nazie soit officialisée et célébrée une seconde fois après le 8 Mai, mais cette fois le 9 mai et sur le sol de la Russie. Le moment était donc vécu dans une entente déjà hypocrite, puisque l’année suivante 1946 fut marquée comme début de la « guerre froide ». Ce rappel historique redonne à l’année 2026, le rôle logique de marquer le début de la Troisième Guerre Mondiale qui marquera l’anniversaire de la « guerre froide » de 1946 ; après la « guerre froide », « la guerre plus que chaude ».
La vie internationale est à l’image d’une casserole dans laquelle on chauffe du lait. Si l’on n’y prend pas garde et n’intervient pas à temps, un voile se forme à la surface du lait, il monte et finit par déborder du récipient et se répand à l’extérieur. De multiples données conditionnent les relations internationales qui exigent des ajustements permanents. Dans toutes ces situations, le grand Dieu créateur, l’Esprit, peut intervenir pour empêcher ces ajustements et provoquer des tensions internationales jusqu’au clash décisif qui dresse, nation contre nation, royaume contre royaume, empire contre empire. Et en 2025, l’élection de Donald Trump tient ce rôle qui remet en cause les équilibres relationnels obtenus jusqu’à lui. Son attitude est contagieuse et des nations restées calmes et dociles se réveillent remplies d’animosité envers des ennemis potentiels séculaires ou nouveaux.
M31- La divine extase
Ce sujet traite de la sexualité spirituelle et physique. Dieu étant le Créateur de la vie humaine et de tout ce qui la caractérise, la sexualité est un don qu’il a fait à ses créatures humaines de manière unique et spécifique. Car cette sexualité porte un sens prophétique qu’il convient de nommer, merveilleux.
Dans l’acte sexuel qui unit le couple d’un homme et d’une femme, alors que les deux corps ne forment qu’une seule chair, l’esprit humain reçoit une décharge de bonheur intense nommée orgasme pour l’un et pour l’autre.
Nous devons spiritualiser cette pure « connaissance » biblique des deux partenaires en tenant compte que l’homme est l’image de Jésus-Christ et que la femme est l’image de l’Assemblée de ses élus rachetés par son sang pur, innocent et parfaitement juste.
Quand cet effet de jouissance est ressenti dans l’esprit humain sans stimulation des organes sexuels, il prend alors le nom « extase », et ayant expérimenté personnellement les deux formes, je peux témoigner que l’effet mental ressenti dans notre cerveau est identique. La différence des deux tient en ce que l’orgasme est une sorte d’explosion courte et momentanée, alors que l’extase se prolonge aussi longtemps que Dieu le veut. Dans la vision dont j’ai été l’objet en 1975, l’extase s’est prolongée pendant toute la durée de la vision, et pendant tout ce temps, j’étais conscient éveillé mais sans corps. J’étais déplacé au gré de la volonté de Dieu et mis en vision des choses qu’il construisait dans mon esprit placé sous sa direction. Et ce souvenir est inoubliable, gravé dans mon esprit comme sa loi sur les tables de pierre. Je me souviens que cette extase était rattachée à un son continu dont l’intensité augmentait avec l’intensité de l’extase. J’étais donc, à ce moment, uniquement, un cerveau, des yeux et des oreilles, sans corps physique et sans membres supérieurs et inférieurs.
A l’époque de la vision, mon esprit était tourmenté, pris entre deux passions contraires : la chair et l’esprit spirituel. Des désirs charnels m’attiraient pour m’exciter, et à l’inverse, je voulais comprendre les mystères de l’Apocalypse révélée à l’apôtre Jean. La vision m’a donc été donnée par Dieu comme une réponse à mes tourments. En 1975, il m’a annoncé en image que mon désir de comprendre l’Apocalypse serait exaucé, et la chose s’est accomplie cinq ans plus tard, quand j’ai choisi de prendre le baptême de Jésus-Christ dans l’église adventiste du septième jour de ma ville natale, Valence sur Rhône, en France.
Ainsi, la sexualité bien vécue est un cadeau divin, un acompte par lequel il nous fait découvrir le bonheur que ressentiront ses élus quand Jésus viendra les prendre le jour du printemps 2030, et qu’ils entreront dans sa divine présence, dans un corps terrestre changé en céleste, mais ayant conservé leurs pensées et leur personnalité mentale.
Sous un tel regard divin, la sexualité n’a rien du péché que l’église catholique romaine en fait. Je rappelle à ce sujet que les dix commandements de Dieu originels, formulés et écrits de son doigt, gravés sur des tables de pierre remises à Moïse, ne comportent aucune formulation de type sexuel. Le seul commandement qui est en lien avec la chair, mais aussi avec l’esprit est le commandement concernant l’adultère. Mais là encore, l’adultère ne fait que condamner l’infidélité. Et voici donc le mot clé qui justifie la bonne relation entre Dieu et l’être humain et entre un homme et sa femme.
Les dix commandements de Dieu sont la loi du bonheur parfait. Chacun d’eux ne fait que condamner ce qui est condamnable parce que leur transgression rend le bonheur impossible. Certains commandements se présentent sous une forme impérative d’obligation et d’autres, au contraire, sous une forme également impérative, mais d’interdiction. Et l’ensemble de ces dix commandements compose le comportement de l’élu idéalement agréable à Dieu ; le compagnon d’éternité qu’il veut avoir auprès de lui, dans l’éternité céleste.
La sexualité est ressentie et vécue par tous les êtres humains normalement constitués dès l’âge de la puberté pour les garçons et pour les filles. Cette puberté apparaît entre 12 et 14 ans, avec des exceptions de cas précoces, mais cet âge de 12 ans est bibliquement celui où l’enfant devient adulte dans la culture des Hébreux. Dieu lui rattache cette définition dans Esaïe 7:14-15 : « C'est pourquoi le Seigneur lui-même vous donnera un signe, Voici, la jeune fille deviendra enceinte, elle enfantera un fils, et elle lui donnera le nom d'Emmanuel. Il mangera de la crème et du miel, jusqu'à ce qu'il sache rejeter le mal et choisir le bien. » L’exemple donné concerne, l’enfant nommé Jésus de Nazareth qui en tant que nouvel Adam représente l’être humain parfait, le modèle idéal approuvé et aimé par Dieu dont il était l’incarnation. C’est donc ce modèle que les Hébreux honorent en fêtant le passage de l’enfant à son statut d’adulte responsable, dès l’âge de 12 ans. « Rejeter le mal et choisir le bien » est donc la caractéristique de l’adulte, et cette pratique divine biblique condamne tous les baptêmes administrés aux nourrissons dans les églises chrétiennes apostâtes. C’est ce type de pratique illogique qui irrite Dieu et le déshonore, lui, le créateur de l’intelligence.
Pour sa part, le divin enfant Jésus, n’a pas eu à rejeter le mal car il est né entièrement marqué par l’amour du bien ; étant à Dieu dès sa naissance jusqu’à sa mort où, incarnant le péché de ses élus, l’Esprit s’est retiré de lui, le laissant seul et momentanément désespéré, submergé par la souffrance physique et mentale, lorsqu’il a dit : « Mon Dieu ! Mon Dieu ! Pourquoi m’as-tu abandonné ? » Dans un éclair de lucidité, avant d’expirer, il a pris conscience que sa mission terrestre devait s’achever par sa mort et il a dit alors : « Tout est accompli ; Père, entre tes mains je remets mon esprit ».
Pour les autres êtres humains, dès l’âge de 12 ans, Dieu les tient pour responsables de tous leurs choix et leurs œuvres. Mais entre leur naissance et l’âge de 12 ans, Dieu ne les tient pas pour autant pour « innocents », car ils portent en eux l’héritage du péché mortel d’Adam et Eve. Et ainsi, à l’âge de 12 ans, Dieu leur présente son offre de grâce dont ils ne peuvent bénéficier qu’en « rejetant le mal et choisir le bien ». Or, devant les êtres humains se présentent le péché et toutes ses formes attractives charnelles. C’est en résistant à cette attraction que le pécheur doit « rejeter le mal ». Mais « rejeter le mal » ne suffit pas pour échapper à la condamnation du péché hérité par Adam et Eve, c’est pourquoi, le pécheur doit aussi impérativement, « choisir le bien ». C’est là, que ce bien qui doit être choisi prend la forme de la grâce proposée au nom de Jésus-Christ. Le « bien à choisir » concerne le plan du salut entier tel que Dieu l’a mis en œuvre dans ses deux alliances successives. Ce « bien à choisir » est présenté et décrit par les dix commandements originels de Dieu, tels qu’Exode 20 les présente. Mais ces dix commandements ne font que résumer l’essentiel de la loi divine. Car en effet, le premier commandement « tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face » implique le devoir de reconnaître et mettre en pratique l’ensemble de toutes les ordonnances prescrites par Dieu à Israël dans l’ancienne alliance. Et c’est pour réussir cette mise en œuvres concrètes que l’aide donnée par Jésus-Christ apparaît indispensable et nécessaire.
Parlant à l’intelligence de ses vrais élus rachetés par son sang, Jésus-Christ révèle dans ses messages prophétiques ce que son ministère terrestre a apporté en changement. C’est le cas des sacrifices et des offrandes animaliers que sa mort a rendus après lui, caduques, inutiles, vains et trompeurs. Ceux qui les pratiquent encore malgré tout l’irritent et portent sur eux le poids de son ardente colère. Ils sont en effet inexcusables depuis qu’il est écrit dans Daniel 9:27 : « il fera cesser le sacrifice et l’offrande ». C’est encore l’intelligence des élus qui leur permet de comprendre, par la logique, que tout ce qui concerne une pratique nationale disparaît dans l’Israël spirituel de la dispersion. Mais les jugements moraux établis par Dieu ne changent pas parce que Jésus est mort. Bien au contraire, sa mort exige sur ce plan moral, un respect intensifié dont le modèle est la vie même de Jésus-Christ.
Je reviens sur ce mot clé, « fidélité » car il définit à lui seul, la norme d’un élu éternel choisi par Dieu. Sur la terre, l’être humain a fait du chien le modèle de la fidélité : l’ami fidèle. Pourquoi, le chien se montre-t-il fidèle envers son maître ? Tout simplement parce qu’il le nourrit et lui consacre du temps, pour le sortir et le promener. Contrairement aux êtres humains, le chien ne conteste pas les idées de son maître ou sa maîtresse dont il est dépendant. C’est pourquoi, nous voyons en notre époque de plus en plus de gens qui adoptent ou achètent un chien dont il existe un grand choix de races et d’aspect physique ; grands ou petit, gros ou fins, aux poils longs ou courts, …etc. Le nombre croit en même temps que les relations humaines deviennent de plus en plus insupportées et causes de problèmes. Le chien est donc le nouveau remède, le palliatif qui vient remplir la vie des gens séparés de Dieu, et souvent séparés des humains. Car le lien avec Dieu, le seul et vrai Maître digne de fidélité, comble à lui seul, tous les besoins humains. Ces textes cités dans Malachie 2 :13 à 15 confirment l’importance de l’infidélité et donc de la fidélité :
V.13 : « Voici encore ce que vous faites : Vous couvrez de larmes l'autel de YaHWéH, de pleurs et de gémissements, en sorte qu'il n'a plus égard aux offrandes et qu'il ne peut rien agréer de vos mains. »
V.14 : « Et vous dites : Pourquoi ?... Parce que YaHWéH a été témoin entre toi et la femme de ta jeunesse, à laquelle tu es infidèle, bien qu'elle soit ta compagne et la femme de ton alliance. »
V.15 : « Nul n'a fait cela, avec un reste de bon sens. Un seul l'a fait, et pourquoi ? Parce qu'il cherchait la postérité que Dieu lui avait promise. Prenez donc garde en votre esprit, et qu'aucun ne soit infidèle à la femme de sa jeunesse ! » Ce seul cas légitimé par Dieu est celui qui concerne Abraham. Et dans tous les autres cas l’infidélité est illégitime, transgressive, et cause de malheurs et de souffrances, pour la victime de l’infidélité, humaine ou divine. C’est pourquoi, Dieu fait de la fidélité un ordre divin auquel les êtres humains doivent obéir s’ils veulent être aimés par Dieu, le souverain Maître.
V.16 : « Car je hais la répudiation, dit YaHWéH, le Dieu d'Israël, et celui qui couvre de violence son vêtement, dit YaHWéH des armées. Prenez donc garde en votre esprit, et ne soyez pas infidèles ! »
Dieu sait que l’être humain infidèle envers son conjoint est aussi infidèle envers lui, déjà parce qu’il condamne à juste raison, le principe de l’infidélité. La fidélité est donc une condition essentielle de la sélection par Dieu de ses élus. Car le but de la vraie religion est bien cette sélection d’amis que Dieu choisis pour leur exceptionnelle fidélité. Son choix est d’autant plus réfléchi et justifié que cette sélection prépare sa cohabitation éternelle avec ses élus.
La faute de Moïse nous est présentée pour que nous comprenions la valeur prophétique des normes de la vie présentées par Dieu. La vie terrestre des êtres humains porte un sens prophétique et l’acte sexuel par lequel la vie humaine se prolonge en donnant naissance à une postérité prophétise la multiplication des élus par un hymen spirituel vécu entre Christ et ses saints élus rachetés qui portent ensemble le rôle de son Epouse. Aussi, pour Dieu, le vrai mariage d’un homme et d’une femme implique une totale fidélité réciproque sans laquelle, l’acte sexuel pratiqué par eux ne devient plus que de la fornication, le fruit de l’adultère.
Cette signification prophétique du plaisir sexuel nous permet de mieux comprendre pourquoi Dieu condamne le plaisir sexuel solitaire ; ceci parce que dans son idéal prophétique, le plaisir de l’union spirituelle finale ne peut être que partagé à deux, entre lui et ses élus.
Dans toute action concernant l’adultère, Dieu voit dans le troisième intrus, l’amant ou la maîtresse, l’image du diable qui convoite ses élus pour détourner leur amour de lui. Et représentant de l’amour sous sa forme parfaite divine, Dieu souffre en voyant la souffrance des victimes terrestres de l’adultère, l’infidélité. Cette souffrance terrestre vient s’ajouter à sa propre souffrance causée par le mépris et l’ingratitude de ses créatures envers lui.
Le couple terrestre idéal est celui dont les deux conjoints sont mariés avec Dieu, en priorité et séparément l’un de l’autre, avant leur union terrestre ; mais ce modèle idéal est rare, sinon inexistant. En ce qui me concerne, je n’en ai connu aucun. Et comme l’apôtre Paul, je suis resté célibataire, disponible sans compromis, pour le service de Dieu. Car les gens mariés sont victimes de leur devoir d’entente et contraints de faire des compromis qui les conduisent à la perdition éternelle. Mon jugement peut paraître dur, mais il est simplement réaliste et conforme à la révélation du jugement de Dieu qui présente le salut comme un chemin étroit que les humains élargissent jusqu’à en faire une autoroute à dix voies ou plus. Le message cité dans Ezéchiel 14 :12 à 14, et plus : « La parole de YaHWéH me fut adressée, en ces mots : Fils de l'homme, lorsqu'un pays pécherait contre moi en se livrant à l'infidélité, et que j'étendrais ma main sur lui, si je brisais pour lui le bâton du pain, si je lui envoyais la famine, si j'en exterminais les hommes et les bêtes, et qu'il y eût au milieu de lui ces trois hommes, Noé, Daniel et Job, ils sauveraient leur âme par leur justice, dit le Seigneur, YaHWéH. »
Ce message est rappelé en tout, 4 fois selon les « quatre châtiments terribles » de Dieu, du verset 21 ; versets 21-22 : « Oui, ainsi parle le Seigneur, YaHWéH : Quoique j'envoie contre Jérusalem mes quatre châtiments terribles, l'épée, la famine, les bêtes féroces et la peste, pour en exterminer les hommes et les bêtes, il y aura néanmoins un reste qui échappera, qui en sortira, des fils et des filles. Voici, ils arriveront auprès de vous ; vous verrez leur conduite et leurs actions, et vous vous consolerez du malheur que je fais venir sur Jérusalem, de tout ce que je fais venir sur elle. »
Dans le verset 22, l’annonce, « voici, ils arriveront auprès de vous », prophétise la dernière conversion des derniers vrais Juifs fidèles, lorsque la pratique du sabbat les menacera de mort avec les derniers chrétiens adventistes fidèles, pour le combat spirituel prophétisé dans Apocalypse 16:16, par le nom symbolique, « Harmagueddon ».
Et cette guerre spirituelle, la dernière avant l’apparition du Christ dans sa gloire divine céleste, me conduit à évoquer la décision de Vladimir Poutine président de la Russie orthodoxe d’ordonner à ses combattants en lutte contre l’Ukraine, une trêve pascale de 30 heures à partir du sabbat 19 Avril à 17 heures. Dans notre contexte actuel dans lequel les élus de Dieu se distinguent par leur exceptionnelle fidélité, dans le monde faussement religieux, la fête pascale rendue en réalité caduque depuis la mort et la résurrection de Jésus confère à Dieu l’unique désir de la paix. C’est donc en se montrant zélés et respectueux de cette fête devenue inutile que les gens faussement religieux et réellement frappés par sa malédiction, revendiquent son salut alors qu’ils s’en montrent que plus indignes. Indignes ! Ils le sont réellement parce qu’ils ignorent et méprisent les révélations prophétiques qui prouvent que Dieu les châtie par ses « quatre châtiments terribles », les fléaux destructeurs que représentent « l’épée, la famine, les bêtes sauvages et la peste » ou la mortalité épidémique. C’est au nom de sa colère divine que « l’épée », remplacée par les canons et les drones tueurs, fait mourir des multitudes de gens ukrainiens et russes, combattants et civils, et après le 7 Octobre 2023, de nombreux morts palestiniens et juifs à Gaza. C’est encore lui qui crée les tempêtes dévastatrices, les tsunamis, les cyclones, les tornades, les tremblements de terre et les éruptions volcaniques. Le loup et l’ours, deux tueurs d’hommes, c’est encore lui, et viennent aussi de sa part, la peste, le choléra, le Sida et tant d’autres virus que Dieu crée selon son choix du moment pour punir le mépris témoigné envers ses avertissements cités dans sa sainte Bible. Dans une apparence de fausse piété qui renie ce qui en fait sa force, au moment des fêtes trompeuses religieuses, ils pensent à se réclamer de son salut offert par le doux et docile Jésus de Nazareth qui aujourd’hui les fait mourir au nom de sa sainte et divine justice méprisée et déformée dans leur indigne et injuste jugement.
Tous ignorent que seule la parfaite fidélité est digne de sa paix divine et que l’infidélité expose l’infidèle à ses châtiments mortels. Quand selon son plan du salut parfaitement accompli en Jésus-Christ, l’humanité entière devrait jour et nuit acclamer le nom du Sauveur rempli de compassion pour ses élus, il ne reste que des fêtes maintenues par l’ignorance pour rappeler que Dieu existe ainsi que son offre de salut présentée de manière déformée et mensongère par des serviteurs indignes incapables de se sauver eux-mêmes et d’échapper à sa juste colère.
Il n’est pas de quiproquo plus enténébré que celui qui concerne Dieu et sa relation avec l’humanité. Dans sa sainte Bible, Dieu exprime cet avis en imputant aux hommes le fait d’appeler le mal, bien et le bien, mal dans Esaïe 5:20-21 : « Malheur à ceux qui appellent le mal bien, et le bien mal, qui changent les ténèbres en lumière, et la lumière en ténèbres, qui changent l'amertume en douceur, et la douceur en amertume ! Malheur à ceux qui sont sages à leurs yeux, et qui se croient intelligents ! » Répondant sagement à leur inversion de ses valeurs, Dieu envoie sa malédiction à ceux qui attendent de lui, injustement et indignement, sa bénédiction.
J’aborde maintenant, sous ce principe de fidélité, la pratique du saint sabbat du quatrième des dix commandements de Dieu qui ne fait que rappeler et confirmer la sanctification du septième jour de la première semaine de sa création terrestre. J’enseigne et considère depuis 1980 date de mon baptême, le sabbat comme étant le « sceau de Dieu ». Aujourd’hui en ce sabbat du 19 Avril 2025, je viens préciser des nuances qui le concernent. Car, depuis 1994, après les Juifs qui le pratiquent de manière traditionnelle, l’église chrétienne nommée « adventiste du septième jour » qui l’a adopté et conservé également par pur esprit de tradition, sont l’un comme l’autre tombés en disgrâce, malgré la pratique du sabbat ; les Juifs par refus de Jésus-Christ, et l’adventisme institutionnel par absence d’amour de la vérité qui l’a rendue infidèle et digne d’être vomie par Jésus-Christ. Pour ces deux cas concernant les deux alliances, le sabbat mis en pratique perd toute sa signification ; lui qui constitue le signe de l’appartenance au Dieu créateur selon Ezéchiel 20:12-20. Il reste néanmoins ce signe, mais sous l’unique condition d’être donné par Dieu à ses élus qu’il sélectionne pour leur réelle fidélité qui témoigne de leur amour pour sa vérité. Le sabbat change donc de statut selon que celui qui le pratique témoigne de l’amour de la vérité ou ne le fait pas. Le rôle du sabbat exige donc un discernement spirituel subtil que Dieu donne seulement à ses élus, ses prophètes qui agissent, parlent et écrivent en son nom.
Le problème qui trompe les hommes est le suivant : la fausse piété réagit toujours en retard par rapport à l’exigence de la vérité présente. Ainsi, aujourd’hui, en 2025 et depuis 1994, Dieu exige de ses élus qu’ils démontrent leur amour pour toute sa vérité et tout particulièrement pour ses révélations prophétiques préparées pour guider et éclairer ses derniers serviteurs des derniers jours du temps de la grâce collective et individuelle.
Que représente la pratique du sabbat ? Une prouesse qui rend digne de la grâce divine ? Absolument pas. Le sabbat a été pratiqué par les Hébreux auxquels Dieu a présenté ses dix commandements depuis environ 1500 avant Jésus-Christ. L’Israël de l’ancienne alliance ayant été organisé par Dieu pour représenter les valeurs que son peuple doit honorer, tout chrétien peut comprendre qu’en entrant dans l’alliance divine en Jésus-Christ, le citoyen juif, l’obéissance au quatrième commandement concernant le repos du septième jour s’impose sans contestation possible. Donc, en choisissant d’honorer le vrai sabbat, le samedi de nos semaines, les Chrétiens ne font que leur devoir. Ce n’est pas l’obéissance qui doit être argumentée mais la désobéissance qui doit donner ses explications infondées mensongères, car il n’y a d’argument que pour la vérité et il n’y en a pas contre elle.
En 2025, la vérité présente n’est pas le sabbat, mais l’amour de la vérité prophétique révélée par Dieu dans sa sainte Bible. En conséquence, dans le temps actuel de paix religieuse, Dieu et le diable laissent des humains adopter le sabbat mais seulement, provisoirement, si cette adoption n’est pas accompagnée d’un réel intérêt pour les révélations prophétiques préparées par Dieu pour ses derniers élus adventistes qui attendent son retour glorieux pour le jour du printemps 2030. Avant son retour, le repos du septième jour sanctifié par Dieu depuis sa création de la dimension terrestre va être l’objet d’une dernière persécution. La fidélité témoignée pour sa pratique révèlera les vrais derniers élus et les apparences trompeuses créées par la paix religieuse disparaîtront ; par peur des conséquences de boycott et jusqu’à la peine de mort, les faux pratiquants du sabbat reconnaîtront le dimanche romain imposé par le camp rebelle.
La divine extase est réservée pour les seuls vrais élus triés et sélectionnés par Dieu. Sont concernés, successivement, en premier, les êtres célestes et ensuite, les êtres humains terrestres. Selon Apocalypse 12:9, la sélection céleste s’est achevée après la résurrection de Jésus-Christ soit, au terme de sa première venue sur la terre. 2000 ans plus tard, c’est par son retour en gloire, que sa sélection d’élus terrestres prendra fin, définitivement.
Un monde sans loi est-il possible ? Il ne l’est pas encore mais il le sera quand les élus entreront dans l’éternité. La loi n’est nécessaire que pour encadrer la vie des êtres libres capables de mal agir. Et le temps de sa sélection d’élus permet à Dieu de les éliminer de son programme de vie éternelle. En venant sur la terre dans une chair humaine, YaHWéH, le Tout-puissant Dieu créateur est venu montrer par lui, le modèle de vie adapté pour la vie éternelle ; un modèle si parfait qu’aucune loi ne peut le condamner. Par cette incarnation il a donné la preuve de l’inutilité future de la loi pour le monde éternel qu’il prépare. Paul, l’apôtre fidèle du Seigneur Jésus-Christ, dit que « Christ est la fin de la loi pour la justification de tous ceux qui croient », dans Romains 10:4. Il justifie ainsi l’arrêt des rites sacrificiels animaliers ordonnés dans la loi divine donnée à Moïse. Et cette cessation des sacrifices et des offrandes animaliers est confirmée prophétiquement dans Daniel 9:27 : « Au milieu de la semaine, il fera cesser le sacrifice et l’offrande ;…». Mais ce que j’ajoute aujourd’hui à sa démonstration, c’est que le ministère de Jésus-Christ est venu démontrer l’inutilité de la loi pour un caractère formé à la norme divine. Et tous les élus sont sélectionnés par Dieu pour reproduire ce divin modèle. Et là encore, les paroles de Paul prennent un sens clair quand il dit dans Colossiens 2:20 à 22 : « Si vous êtes morts avec Christ aux rudiments du monde, pourquoi, comme si vous viviez dans le monde, vous impose-t-on ces préceptes : Ne prends pas ! Ne goûte pas ! Ne touche pas ! Préceptes qui tous deviennent pernicieux par l'abus, et qui ne sont fondés que sur les ordonnances et les doctrines des hommes ? ». Et dans 1 Pierre 4:1-2, Pierre ne dit pas autre chose : « Ainsi donc, Christ ayant souffert dans la chair, vous aussi armez-vous de la même pensée. Car celui qui a souffert dans la chair en a fini avec le péché, afin de vivre, non plus selon les convoitises des hommes, mais selon la volonté de Dieu, pendant le temps qui lui reste à vivre dans la chair. »
Ce sujet éclaire tout le programme établi par Dieu pour les 6000 ans de la vie terrestre. Les antédiluviens connaissaient le sabbat et pratiquaient des sacrifices mais vivaient sans la loi de Moïse présentée et détaillée plus tard ; ensuite, la postérité d’Abraham reçoit en Moïse, la loi divine de l’ancienne alliance ; et finalement, en Jésus-Christ, Dieu présente le modèle incarné des vrais élus sélectionnés pour sa vie éternelle. Ainsi, entre le temps antédiluvien et le temps de l’ère chrétienne, dans le temps de Moïse, Dieu a donné ses lois écrites sur des tables de pierre pour ses dix commandements et sur des rouleaux de parchemin pour toutes ses autres ordonnances. Et déjà la matière du parchemin différente démontre le caractère provisoire des ordonnances de la loi qui conduit à Christ comme un pédagogue ; terme utilisé par Paul et qui désigne le serviteur grec qui conduit un enfant à l’école. Cet enfant est spirituellement l’élu sélectionné pour son imitation de Jésus-Christ. A l’opposé du parchemin, les deux tables de pierre ont été gravées du doigt de Dieu pour prophétiser la norme parfaite du caractère de Jésus-Christ et ses vrais élus. C’est ce but prophétique que Paul leur donne dans 1 Corinthiens 3 :3 : « Vous êtes manifestement une lettre de Christ, écrite, par notre ministère, non avec de l'encre, mais avec l'Esprit du Dieu vivant, non sur des tables de pierre, mais sur des tables de chair, sur les cœurs. » ; ce que Jérémie 31:33 prophétisait : « Mais voici l'alliance que je ferai avec la maison d'Israël, après ces jours-là, dit YaHWéH : Je mettrai ma loi au dedans d'eux, je l'écrirai dans leur cœur ; et je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple. »
M32- Le messager de la mort
Le monde catholique est en deuil. Le pape François est mort ce matin à 7 heures 45 en ce Lundi 21 Avril 2025 de la fête catholique des Pâques. Très affaibli, la veille, il a pu et voulu adresser ces mots à la foule rassemblée sur la place Saint-Pierre du Vatican : « Mes frères je vous souhaite une joyeuse fête de Pâques ». Il faut être inspiré par Dieu pour tirer leçon de ce décès qui arrive en pleine fête des Pâques catholiques romaines.
Déjà, le monde est victime d’un simulacre de piété, puisque cette célébration pascale est sans aucune légitimité. La Pâque juive avait un sens prophétique qui s’est accompli par la mort expiatoire de Jésus-Christ, chose prophétisée dans Daniel 9:24 à 27. Comme les autres fêtes citées dans Lévitique 23, la fête du sabbat hebdomadaire exceptée, toutes les fêtes religieuses juives n’étaient que « l’ombre des choses à venir », selon l’expression de l’apôtre Paul de Colossiens 2:17, et ses ombres devaient disparaître devant la réalité accomplie en Jésus-Christ. Car la réalité accomplie enlève toute légitimité au symbole qui la prophétisait. C’est pourquoi, il est important de comprendre que le maintien des fêtes religieuses après la résurrection de Jésus n’est dû qu’à un simulacre de la fausse religion, la fausse piété représentée par l’église catholique papale romaine et la religion insuffisamment réformée qui a conservé son héritage ténébreux.
Déjà, avant le signe donné par la mort du pape François, le pape Jean-Paul 2, voulant donner un signe d’offre de paix divine, lâcha à l’heure pascale de la bénédiction « urbi et orbi » (à la ville et au monde hors de la ville), une colombe qui revint deux fois se poser sur sa tête, et juste avant lui, le pape Jean-Paul 1er est mort éliminé, empoisonné, après 3 semaines d’activité papale. Pour qui peut le comprendre, ces signes donnés par Dieu contredisaient les prétentions religieuses du catholicisme papal romain.
Cette mort du pape François, homme paisible et séduisant parce que sincère, dans le temps de la fête de la Pâque catholique romaine, délivre à tous le message que sa bénédiction papale n’offre à l’humanité que la promesse d’une mort spirituelle absolue. Ses adorateurs ne sont que des gens idolâtres identiques à ceux qui adoraient autrefois, les Baals, les Astartés et beaucoup d’autres fausses divinités dont le Soleil et les astres de notre système terrestre.
Ces astres ont été rattachés par les Romains aux sept jours de notre semaine dans l’ordre de la grosseur qu’ils prennent pour l’œil humain, très différent de leur taille réelle. En premier, le Soleil, puis, la Lune, pour les autres astres le principe est discutable et ne convient plus ; Mars, le dieu de la guerre, Mercure, le dieu du commerce, Jupiter, le dieu des dieux de l’Olympe, Vénus, le dieu de l’amour et de la volupté, et en septième position, Saturne, le dieu de l’abondance et du temps. Relève que même dans ce choix païen, Dieu a tenu à marquer d’un signe de sainteté cet astre Saturne entouré d’un « anneau » de sainteté selon la norme catholique romaine et il vient confirmer la sainteté du septième jour, même dans l’organisation païenne romaine, et même grecque, puisque le Sabbat marque le temps divin comme le chronos saturnien grec. Et de même en hébreu, Saturne porte le nom Sabbat. De plus, l’ordre croissant du plus gros au plus petit est à l’image de l’éloignement du pécheur terrestre de Dieu. Son adoration du soleil le sépare au maximum possible et dans l’avancement du temps, le septième millénaire symbolisé par le septième jour prend l’image de Saturne avec son anneau de sainteté et sa position la plus éloignée des sept astres de la semaine. Ainsi les Juifs et les païens grecs et romains confirment la sanctification du septième millénaire et donc du sabbat qui le prophétise, mais chacun le fait par son moyen particulier : l’ordonnance divine pour les Juifs et l’ordre cosmique pour les païens grecs et romains.
En dépit des apparences prétendues chrétiennes, le catholicisme papal romain ne fait que prolonger l’ancienne religion romaine strictement païenne et idolâtre. Et la mort subite du pape frappé d’un AVC après avoir subi une double bronchite qui l’a très affaibli, annonce la mort imminente qui vient dans le vrai programme de Dieu pour frapper l’humanité rebelle partagée en de multiples religions que Dieu réprouve et condamne.
Dans l’actualité, un fait judiciaire vient troubler la situation de la France. Dans la ville de Pau dont l’actuel premier ministre François Bayrou a longtemps été le Maire, des violences sexuelles sont dénoncées par des victimes des enseignants de l’école catholique nommée Bétharram. Ayant nié publiquement déjà plusieurs fois avoir été au courant de ces faits quand il était en poste dans cette ville de Pau, Mr Bayrou apprend aujourd’hui que sa propre fille, Hélène, a été elle-même victime d’une violence d’un enseignant. Et innocemment, elle a poignardé son père en confirmant sa connaissance du problème de ce lycée catholique qu’il a publiquement nié. Dans notre société actuelle où tout se sait et se dénonce publiquement, tout le monde s’interroge et se demande pourquoi de tels faits n’ont été ni révélés ni réglés plus tôt. La réponse que Dieu m’inspire est logique et peu de gens peuvent la présenter. En fait, il faut avoir vécu, dans cette époque et être inspiré par Dieu pour l’expliquer. Or cette inspiration implique la connaissance de la malédiction du catholicisme romain ; et ce n’est pas le cas, pour les masses de gens qui aujourd’hui s’interrogent. Cette nature violente est un fruit diabolique hérité par les Catholiques inspirés par le diable et ses démons. Cette violence a toujours caractérisé le catholicisme papal déjà dans son dogme qui apprend aux adeptes qu’ils peuvent expier leurs péchés en s’infligeant eux-mêmes des punitions corporelles du type flagellation ou autres. Le papisme romain et son clergé ont manifesté un cruel goût pour des supplices atroces imposés aux « hérétiques », nom donné à tout ceux qui refusent sa norme catholique romaine ; ce qui inclut les vrais élus de Dieu et les libres penseurs ou adeptes d’autres religions. Et de plus, dans les années concernées par les violences de Bétharram, la mentalité des parents était favorable à la sévérité des enseignants. Et je rappelle cet exemple de l’enfant qui se plaignant à leur père d’avoir été giflé par un enseignant, recevait systématiquement de ce père une deuxième gifle ; le père estimant que la première avait été justifiée et méritée. La confiance placée dans l’enseignant était totale, injustifiée et imméritée, mais néanmoins privilégiée. Cette confiance était à l’image de la foi catholique qui sert le diable en croyant servir Dieu. Les écoles catholiques employaient des enseignants formés par les Jésuites, selon des règles d’une dureté exceptionnelle : par son vœu dans son engagement dans le corps des Jésuites, le postulant s’engage à punir l’hérétique même s’il est selon la chair, son père, sa mère, son frère ou sa sœur. Ce principe d’impartialité est légitime et caractérise les vrais élus de Dieu, mais le vrai Dieu n’autorise aucun de ses serviteurs à faire violence à ses ennemis. Là est toute la différence : l’élu laisse le châtiment à Dieu, alors que le véritable hérétique, le Catholique jésuite, applique lui-même le châtiment à ses ennemis ; et en ce qui le concerne, son châtiment est injustifié et il le culpabilise devant le vrai souverain créateur céleste.
La Bible ne peut être correctement comprise que par les élus qui bénéficient de l’intelligence spirituelle donnée par Dieu. C’est l’unique moyen d’éviter de tomber dans les pièges tendus par ses apparentes contradictions. De plus, tous les écrivains utilisés par Dieu pour composer sa sainte Bible sont marqués et influencés par l’époque dans laquelle ils vivent. Il n’y a en réalité aucune contradiction mais ce qui donne l’impression de la contradiction n’est en fait que la succession de phases de la progression de la lumière de l’accomplissement du plan du salut divin.
La mort est une messagère que, symboliquement, Dieu personnifie dans sa révélation d’Apocalypse 6:7-8 : « Quand il ouvrit le quatrième sceau, j'entendis la voix du quatrième être vivant qui disait: Viens. Je regardai, et voici, parut un cheval d'une couleur pâle. Celui qui le montait se nommait la mort, et le séjour des morts l'accompagnait. Le pouvoir leur fut donné sur le quart de la terre, pour faire périr les hommes par l'épée, par la famine, par la mortalité, et par les bêtes sauvages de la terre. » Ce verset présente la mort qui punit le péché et qui s’applique à toute chair depuis le péché originel commis par Adam et Eve. S’il est vrai que nous avons tous hérité de ce péché originel, il est tout aussi vrai, que nous avons dans le cours de notre vie, tous, également, la faculté d’ajouter à cet héritage nos péchés personnels commis par des choix libres selon notre individuelle volonté. C’est ce que font toutes les créatures humaines pendant leur vie terrestre. Mais Dieu s’est fait connaître à ses créatures depuis Adam et Eve pour les inviter à lui obéir, en renonçant à pécher contre lui. Ceux qui entendent ce message et y répondent positivement sont sélectionnés pour être ses futurs compagnons d’éternité. La mort a frappé toute l’humanité excepté deux hommes : Hénoc, l’antédiluvien et Elie, le prophète. Dieu a ainsi donné aux deux premières phases de son plan du salut, à chacune, un cas exceptionnel qui prophétise le sort des derniers élus restés vivants pour assister au retour du Christ et être transmués sans passer par la mort. La mort est donc une menace divine permanente pour tous les êtres humains et ce caractère de menace divine donne sens à ces paroles divines citées dans le 5ème des dix commandements de Dieu écrit dans Exode 20 :12 : « Honore ton père et ta mère, afin que tes jours se prolongent dans le pays que YaHWéH, ton Dieu, te donne. » Cette proposition divine de prolongement de l’existence est conditionnée par le respect du père et de la mère terrestre. La raison divine de cette pensée est que Dieu spiritualise le père et la mère qui sont les moyens terrestres qu’il utilise pour créer la vie des êtres humains. Dieu s’assimile aux deux parents complémentaires car ils représentent ensemble, son autorité envers l’enfant qui va naître. Et le comportement de l’enfant envers ses parents est à l’image de celui qu’il aura envers Dieu. Et c’est donc dans cette continuité de pensée, que Jésus a appris aux hommes que « l’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole sortie de la bouche de Dieu », rappelant ainsi ce qui fut dit dans Deutéronome 8:1 à 3 : « Vous observerez et vous mettrez en pratique tous les commandements que je vous prescris aujourd'hui, afin que vous viviez, que vous multipliiez, et que vous entriez en possession du pays que YaHWéH a juré de donner à vos pères. Souviens-toi de tout le chemin que YaHWéH, ton Dieu, t'a fait faire pendant ces quarante années dans le désert, afin de l'humilier et de t'éprouver, pour savoir quelles étaient les dispositions de ton cœur et si tu garderais ou non ses commandements. Il t'a humilié, il t'a fait souffrir de la faim, et il t'a nourri de la manne, que tu ne connaissais pas et que n'avaient pas connue tes pères, afin de t'apprendre que l'homme ne vit pas de pain seulement, mais que l'homme vit de tout ce qui sort de la bouche de YaHWéH. »
Ainsi, si aucun homme ne peut normalement échapper à la mort, il reste cependant le seul responsable de la longueur de sa vie terrestre. Et comme le dit le dicton populaire : « tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir ». Dans la sainte Bible, Dieu dit les choses différemment dans Ecclésiaste 9:4 : « Pour tous ceux qui vivent il y a de l'espérance ; et même un chien vivant vaut mieux qu'un lion mort. » et je profite de cette citation pour rappeler que l’habitude et l’adaptation à la mort a conduit les êtres humains à normaliser cette première mort apparemment inévitable. Et cette pensée est déjà un péché commis envers Dieu qui démontre dans ses ordonnances que c’est lui qui allonge ou raccourcit la longueur de la vie de ses créatures selon leur fidélité ou leur infidélité. La mort vient même frapper des nouveau-nés héritiers du péché originel donc pas tenus pour innocents comme beaucoup de faux croyants le croient. N’ayant commis aucun péché personnel, il meurt sans condamnation pour ce type de péché ; il en est ainsi d’eux comme s’ils n’avaient jamais été nés. Dieu l’a rappelé, il est le Dieu des vivants, pas celui des morts qui selon Ecclésiaste 9:5-6 n’existent plus du tout, en dehors de la mémoire illimitée du Dieu vivant : « Les vivants, en effet, savent qu'ils mourront ; mais les morts ne savent rien, et il n'y a pour eux plus de salaire, puisque leur mémoire est oubliée. Et leur amour, et leur haine, et leur envie, ont déjà péri ; et ils n'auront plus jamais aucune part à tout ce qui se fait sous le soleil. » Pour porter les pensées, il faut dans le corps terrestre un cerveau que n’ont plus les morts. Et le principe de la résurrection des morts a justement pour but de redonner aux morts la possibilité de retrouver un corps et un cerveau terrestre dans lequel Dieu les livre à la « seconde mort » dans son « jugement dernier ». Pour leur part, les élus ne reçoivent pas un corps terrestre à leur résurrection, mais un corps céleste semblable à celui des anges. Et là encore, l’assemblée de la foule catholique réunie sur la grande place du Vatican et celle qui est dispersée sur toute la terre est aussi coupable de cet autre péché qui consiste à déclarer après le philosophe grec Platon, que l’âme humaine est immortelle, alors que la sainte Bible affirme l’exact contraire en disant dans 1 Timothée 6:12 à 16 :
V.12 : « Combats le bon combat de la foi, saisis la vie éternelle, à laquelle tu as été appelé, et pour laquelle tu as fait une belle confession en présence d'un grand nombre de témoins. »
La vraie foi nécessite un combat puisque l’élu doit résister au diable et ses démons qui l’incitent à faire le mal mais aussi, à lutter contre ses mauvais comportements naturels personnels. Dans un combat, on est vainqueur ou vaincu. C’est pourquoi les élus doivent, comme Jésus lui-même, entrer dans ce combat de la foi, « en vainqueur et pour vaincre » selon Apocalypse 6:2 soit, en étant animés d’une farouche détermination à ne pas se laisser vaincre.
La confession dont il est question n’est pas celle du péché, mais celle qui consiste à reconnaître Jésus-Christ, pour Sauveur et Maître en tant que victime expiatoire et substitut de l’appelé qui choisit d’être baptisé.
V.13 : « Je te recommande, devant Dieu qui donne la vie à toutes choses, et devant Jésus Christ, qui fit une belle confession devant Ponce Pilate, de garder le commandement, »
« Garder le commandement » est le but et le devoir des vrais élus du Christ. Dieu ne sélectionne pour son éternité que des créatures obéissantes agissant envers lui par amour et reconnaissance.
V.14 : « et de vivre sans tache, sans reproche, jusqu'à l'apparition de notre Seigneur Jésus Christ, »
Voici bien, la description de la vraie foi exigée par Dieu ; elle est à l’image de la perfection trouvée et présentée en Jésus-Christ lui-même ; le divin modèle que l’élu doit imiter et auquel il doit ressembler.
V.15 : « que manifestera en son temps le bienheureux et seul souverain, le Roi des rois, et le Seigneur des seigneurs, »
Dans Apocalypse 19, ce « Rois des rois et Seigneur des seigneurs » est Jésus-Christ lui-même à l’heure de son avènement final du printemps 2030.
V.16 : « qui seul possède l'immortalité, qui habite une lumière inaccessible, que nul homme n'a vu ni ne peut voir, à qui appartiennent l'honneur et la puissance éternelle. Amen ! »
Ce sont là les paroles de la vraie foi qui exaltent un comportement à l’image du Christ et dont le niveau exigé est hautement plus élevé que ne l’enseignent à leur adeptes, pour leur commune perte, les pasteurs et les prêtres du faux christianisme.
Il ressort de ce constat que la religion catholique romaine attribue à ses adeptes morts, faussement « saints » ou pas, des œuvres commises par des anges démoniaques célestes. Ce contre quoi, l’apôtre Paul met les Chrétiens en garde et qu’il nomme le « culte des anges » dans Colossiens 2:18 : « Qu'aucun homme, sous une apparence d'humilité et par un culte des anges, ne vous ravisse à son gré le prix de la course, tandis qu'il s'abandonne à ses visions et qu'il est enflé d'un vain orgueil par ses pensées charnelles ». Les élus de Jésus-Christ tirent sagement profit de cette mise en garde ; les déchus, eux, n’en tiennent pas compte ; les Catholiques et les Protestants sont de ce nombre.
Aujourd’hui, le Jeudi 24 Avril 2025, un messager de la mort a encore frappé. Un jeune adolescent de 16 ans, élève dans un Lycée privé catholique de Nantes nommé « Notre-Dame-de-toute-aide », a poignardé 4 élèves dont l’une est morte sous ses coups portés par un couteau de chasse. Un second cas a été momentanément dans un processus engagé pour la victime qui risquait donc également d’en mourir, mais heureusement cela n’a pas été le cas.
Ma première réaction est de dire que ces faits ne sont que l’une des conséquences de la malédiction divine qui prend depuis sa création l’église catholique romaine pour cible. L’action se passe trois jours après la mort du pape François. La malédiction du catholicisme romain n’est pas une actualité nouvelle mais une continuité perpétuelle pour ses adeptes pendant toute son histoire ; ceci, va se prolonger jusqu’au retour du Christ qui va revenir dans toute sa gloire et sa puissance divine, dans moins de 5 ans.
Si les lettres, les sceaux et les trompettes présentés dans Apocalypse soulignent des moments clés de l’histoire religieuse de l’ère chrétienne, il est vrai que les transformations des idées et des pensées des masses humaines sont très progressives ; les changements se construisent sur des décennies d’expérience de vie. Aussi, quand le malheur vient frapper des élèves dans un lycée privé catholique, l’explication à donner est la même que celle que Jésus a formulé quand ses disciples l’ont interrogé au sujet de la culpabilité des victimes tuées par Hérode et par l’éboulement de la tour de Siloé. Ecoutons donc ce récit et la réponse donnée par Jésus-Christ qui attribue une même cause à la mort causée par l’homme Hérode et l’accident, du type fait-divers de l’effondrement d’une tour:
V.1 : « En ce même temps, quelques personnes qui se trouvaient là racontaient à Jésus ce qui était arrivé à des Galiléens dont Pilate avait mêlé le sang avec celui de leurs sacrifices. »
V.2 : « Il leur répondit : Croyez-vous que ces Galiléens fussent de plus grands pécheurs que tous les autres Galiléens, parce qu'ils ont souffert de la sorte ? »
V.3 : « Non, je vous le dis. Mais si vous ne vous repentez, vous périrez tous également. »
V.4 : « Ou bien, ces dix-huit personnes sur qui est tombée la tour de Siloé et qu'elle a tuées, croyez-vous qu'elles fussent plus coupables que tous les autres habitants de Jérusalem ? »
V.5 : « Non, je vous le dis. Mais si vous ne vous repentez, vous périrez tous également. »
Aujourd’hui, cette réponse de Jésus-Christ est la même pour les victimes de tout type de morts accidentel ou intentionnel, comme ces adolescents tués par la main humaine, mais par malédiction divine, avant tout. Celle-ci est perpétuelle pour toute l’humanité depuis Adam, mais encore plus depuis la mort et la résurrection de Jésus-Christ. Un long temps ténébreux de persécutions lui a succédé entre 313 et 1798 où Jésus a fait cesser le règne persécuteur papal romain. L’œuvre accomplie par la Réforme protestante entre ces dates officielles de 1517 et 1798 a particulièrement culpabilisé le soutien donné à la cause catholique et après cela, l’œuvre adventiste a culpabilisé le protestantisme et ses multiples formes institutionnelles depuis 1843 et 1873. Et enfin, à son tour l’institution adventiste du septième jour est tombée pour son refus de la lumière prophétique que je lui ai présentée entre 1982 et 1991. Ainsi, les unes après les autres, toutes les institutions religieuses chrétiennes sont tombées, à cause du rejet de la lumière divine que Dieu a proposée en leur époque. Calquée sur l’expérience de l’alliance juive, l’expérience chrétienne des Européens et de leurs excroissances des USA et de l’Australie pour les plus grandes, a été punie par Dieu de la même manière. Deux guerres mondiales ont frappé l’Europe en 1914 et 1939 comme les deux attaques chaldéennes de – 605 et – 597. La troisième punition apporte une destruction presque complète aux deux cas, en 2025-2026 pour l’Europe et en – 586 pour l’Israël juif.
Après sa sortie d’Egypte, à cause du manque de foi, Israël est resté dans le désert pendant 40 années présentées comme type du châtiment d’une mise à l’épreuve du peuple incrédule. Pour les Européens, cette durée qui a commencé en 1945, a été doublée, soit portée à 80 ans à cause de leur double culpabilité, parce qu’ils ont eu derrière eux l’avantage du témoignage de l’expérience des Hébreux et n’en ont pas tenu compte. La colère de Dieu contre les Occidentaux chrétiens mais infidèles n’est donc pas nouvelle, mais l’imminence du troisième châtiment terriblement définitif justifie la multiplication des faits-divers désastreux et parmi eux, cette montée de violence qui s’exprime jusque dans les écoles des USA et le lycée de Nantes. Comme toujours, les dirigeants terrestres rebelles se trompent dans leur raisonnement. Devant cette agression commise avec un couteau de chasse, les dirigeants pensent pouvoir régler le problème en interdisant l’entrée d’un couteau dans les écoles de la République et les écoles privées. Ils oublient que le problème n’est pas l’arme mais le désir de tuer ressenti par l’élève. Et je le rappelle, Caïn utilisa une simple pierre pour frapper à mort son jeune frère Abel. Face à une situation insoluble programmée par Dieu pour conduire la nation à la destruction, les dirigeants recherchent désespérément la solution pour régler ses problèmes de violence, mais ce n’est que de la gesticulation qui a pour but de faire croire au peuple qu’ils gardent le contrôle de la situation. En Avril 1912, sur le Titanic qui sombrait, le capitaine n’avait plus cette possibilité de tromper son entourage. Mais la situation actuelle de l’Occident est à l’image de ce Titanic que, son constructeur a dit, je cite : « Dieu lui-même ne pourrait pas le couler ». Et il gît à 4000 pieds au fond de l’eau, coulé dès sa première traversée de l’Atlantique, n’étant jamais arrivé à New-York, sa destination prévue.
Pour comprendre la progression lente de la situation internationale, nous devons prendre l’image du potier que Dieu se donne à juste raison, car c’est lui qui, par son Esprit tout-puissant, façonne les rapports humains internationaux, comme le potier façonne l’argile pour lui donner progressivement la forme du vase qu’il veut obtenir. Selon Apocalypse 7, c’est depuis 1798, que les mauvais anges sont retenus par les bons anges. Ils attendent impatiemment d’être entièrement libérés pour détruire l’humanité que Dieu va leur livrer après le 8 Mai 2025. Le messager de la mort va alors régner sur toute l’Europe et de nombreux pays extra-européens ; quasiment sur toute la terre habitée.
Alors que la fin des 80 années de paix instaurée depuis le 8 Mai 1945 renforce l’idée que la Troisième Guerre Mondiale de la « sixième trompette » d’Apocalypse 9 peut s’engager après le 8 Mai 2025, le message concernant le « heurt » du « roi du midi » reste encore à déterminer. En effet, deux possibilités se présentent pour interpréter ce « heurt » : la première situe « le temps de la fin » à la date 1994 qui marque le rejet de l’adventisme du septième jour institutionnel dont la mission échoue par manque d’amour pour la vérité prophétique que je lui ai présentée entre 1982 et 1991, en annonçant le retour du Christ pour l’année 1994 tenue pour l’an 2000 de la naissance de Jésus-Christ. En faveur de cette explication, se trouve l’action du messager de la mort représenté par l’islam intégriste dont les attentats meurtriers ont ciblé, la France et sa capitale Paris victime de bombes placées dans le métro RER de la cité ; ceci, à partir du 25 Juillet 1995. Si cette explication est la bonne, alors l’attaque du « roi du septentrion » russe de Daniel 11:40 peut se produire dès que le 8 Mai 2025 sera dépassé. Dans le second cas, une attaque massive de l’Europe par l’islam agressif devrait précéder l’attaque russe de l’Europe.
Entre ces deux possibilités, la première me semble devoir être favorisée pour les raisons suivantes. En premier, « le temps de la fin » doit être identifié par le dernier prophète adventiste dont l’annonce du retour de Jésus-Christ pour 1994 provoque le vomissement de l’adventisme institutionnel soit, une action digne de marquer « le temps de la fin » cité dans ce verset 40 de Daniel 11. Dès le début de 1995, l’adventisme vomi est entré officiellement dans l’alliance protestante. Dieu qualifie de « heurt » l’action du « roi du midi » musulman islamiste contre l’Europe papale romaine, sans évoquer pour autant une invasion préalable. Cette description décrit les faits menés contre la France dès le milieu de l’année 1995 par des agents islamistes déjà installés en France par l’immigration algérienne légalisée. Les attentats commis à Paris étaient faits par les combattants du Groupe Islamiste Algérien, le G.I.A. Des groupes islamistes tels qu’Al-Qaïda et DAESH ont ensuite agressé les USA et d’autres pays occidentaux. Selon Daniel 11:43, ce n’est que lorsque la Russie imposera sa domination sur l’Egypte que « les Libyens » désignant le Maghreb et « les Ethiopiens » désignant l’Afrique noire se lanceront dans le pillage des nations vaincues par les Russes, le sud de l’Europe étant alors concerné : « Il se rendra maître des trésors d'or et d'argent, et de toutes les choses précieuses de l'Égypte ; les Libyens et les Éthiopiens seront à sa suite. »
Selon moi, cette interprétation est encore digne d’être favorisée à cause de l’imminence du prévisible échec de la tentative actuelle du président américain Donald Trump qui voudrait imposer la paix aux Ukrainiens et aux Russes, sans engager son pays dans une guerre. Et le 8 Mai 2025 est maintenant très proche. A ceci j’ajoute que dans l’actualité, le traitement du conflit par les Américains étant jugé injuste envers l’Ukraine par la France et la Suède, ces deux pays ont résolu de former une force militaire en unissant leurs capacités guerrières, n’hésitant pas à identifier la Russie pour l’ennemie potentielle. A Moscou, la porte-parole du Kremlin a relevé la chose et la tension avec l’Occident européen ne fait que s’intensifier. Sachant que les Occidentaux sont décidés à former une armée en vue de s’opposer à elle, la Russie a tout intérêt à lancer son attaque contre eux, avant qu’ils soient capables de lui résister. Tel est le raisonnement que mon intelligence d’homme me permet librement de tenir, sous le regard du juste Dieu créateur, Jésus-Christ, Micaël, YaHWéH.
J’ai une précision à donner à ceux qui s’étonnent de mes hésitations et je dois leur rappeler ce qu’est un prophète de Dieu. Comme tous ceux qui se réclament de lui, le prophète ne glorifie Dieu que par la libre démonstration de son intelligence ; ce que confirme Daniel 12:3-10 : « Ceux qui auront été intelligents brilleront comme la splendeur du ciel, et ceux qui auront enseigné la justice, à la multitude brilleront comme les étoiles, à toujours et à perpétuité …/…Plusieurs seront purifiés, blanchis et épurés ; les méchants feront le mal et aucun des méchants ne comprendra, mais ceux qui auront de l'intelligence comprendront. » Déjà, pendant son ministère terrestre, Jésus a reproché à ses apôtres leur manque d’intelligence, comme en témoigne Matthieu 15:15-16 : « Pierre, prenant la parole, lui dit : Explique-nous cette parabole. Et Jésus dit : Vous aussi, êtes-vous encore sans intelligence ? » Il leur a tenu des propos encore plus durs, selon Luc 9:40-41 : « J'ai prié tes disciples de le chasser, et ils n'ont pas pu. Race incrédule et perverse, répondit Jésus, jusqu'à quand serai-je avec vous, et vous supporterai-je ? Amène ici ton fils. » Cette irritation de Jésus qui exprimait son indignation était prophétisée dans Psaumes 2:10 à 12 : « Et maintenant, rois, conduisez-vous avec sagesse ! Juges de la terre, recevez instruction ! Servez YaHWéH avec crainte, et réjouissez-vous avec tremblement. Baisez le fils, de peur qu'il ne s'irrite, et que vous ne périssiez dans votre voie, car sa colère est prompte à s'enflammer. Heureux tous ceux qui se confient en lui ! » Ces textes prouvent que Dieu laisse ses prophètes agir librement, selon leur intelligence naturelle personnelle, quand ils doivent comprendre et interpréter une prophétie. Le prophète qui reçoit un message donné en vision par Dieu n’a pas la possibilité de tout comprendre, comme ce fut le cas pour Daniel et l’apôtre Jean pour lesquels leurs visions sont grandement restées pour eux des mystères incompris. Ils ne devaient que transmettre fidèlement, sans la déformer, la description de la vision reçue de Dieu.
Dans Apocalypse 6:8, Dieu présente « la mort » personnifiée : « Je regardai, et voici, parut un cheval d'une couleur verdâtre (ou pâle). Celui qui le montait se nommait la mort, et le séjour des morts l'accompagnait. Le pouvoir leur fut donné sur le quart de la terre, pour faire périr les hommes par l'épée, par la famine, par la mortalité, et par les bêtes sauvages de la terre. »
Le pouvoir donné à ce personnage fictif symbolique est en réalité celui qui appartient exclusivement à Dieu qui le revendique dans Ezéchiel 14:21 : « Oui, ainsi parle le Seigneur, YaHWéH : Quoique j'envoie contre Jérusalem mes quatre châtiments terribles, l'épée, la famine, les bêtes féroces et la peste, pour en exterminer les hommes et les bêtes,… ». La mort est donc réellement un principe créé et géré par Dieu son créateur. « Le quart de la terre » ciblé par la mort punitive concerne l’Europe chrétienne infidèle et ses excroissances des USA et de l’Australie dans le long terme. Mais originellement, pendant les siècles de ténèbres spirituelles, seule l’Europe des « dix cornes » de Daniel 7:7 et 24 était concernée. Ce « quart de la terre » cible une partie soit ; « le quart » de la vie universelle humaine qui vit sur la terre et qui serait représentée dans sa globalité par 4 quarts ; le chiffre 4 étant le symbole de l’universalité. Par cette désignation du « quart de la terre », Dieu cible cette zone européenne caractérisée par son adoption du christianisme, hélas, déformé par l’enseignement catholique papal romain. Dieu signale ainsi l’existence des trois autres quarts qui concernent des nations et des peuples qui restent dans des pratiques officiellement païennes et qui ne se revendiquant pas de sa grâce ne déshonorent pas son nom, ni son œuvre de rachat par leur infidélité. Car la fidélité n’est nécessaire que dans le cadre d’une alliance passée avec Dieu ; c’est sa revendication chrétienne qui rend la religion catholique coupable d’infidélité. Mais l’alliance n’a pas été acceptée par Dieu qui n’a jamais reconnu la religion catholique romaine comme son Elue, son Epouse.
Le cas du protestantisme est différent, et pour les plus hypocrites d’entre eux, encore plus odieux que la religion catholique. Ceci, parce que leur reconnaissance de la sainte Bible les culpabilise encore plus quand ils ne tiennent pas compte de son enseignement. Et la création de l’église adventiste du septième jour entre 1843 et 1873 en a donné la preuve concrète, bien visible et indiscutable.
« Le séjour des morts accompagne » la mort. Ce « séjour des morts » symbolique est inscrit dans la mémoire de Dieu qui a enregistré la personnalité de tous ceux qui sont morts et momentanément anéantis. Il ne dépend que de lui, pour que ces morts retrouvent dans un corps leur ancienne forme de vie. Mais Dieu ne les ramènera pas à l’existence avant le temps du retour du Christ, en ce qui concerne ses saints élus, et seulement à la fin du septième millénaire pour la résurrection des méchants confrontés au jugement dernier. Pendant le jugement céleste des « mille ans » du septième millénaire effectué par les saints élus, la sentence adaptée pour chaque cas jugé sera décidée et appliquée à l’heure du jugement dernier. Ils subiront alors la sentence divine qui les condamne à disparaître définitivement dans « l’étang de feu de la seconde mort », selon Apocalypse 20:15 ; « Quiconque ne fut pas trouvé écrit dans le livre de vie fut jeté dans l'étang de feu. »
Si la vie des morts n’existe plus que sous une forme mémorisée par Dieu, leurs corps physiques sont devenus poussière sur la terre qui est « le séjour des morts » apparent et concret. Ce « séjour des morts » terrestres dépasse de loin la taille des cimetières actuels et la surface entière de la terre est concernée ayant reçu des morts pendant 6000 ans au retour du Christ, au printemps 2030.
Un châtiment aggravé est réservé au « quart de la terre » infidèlement chrétien qui concerne la zone européenne occidentale. Le reste des habitants de la terre sera aussi ressuscité mais sans prolongement de souffrance, Dieu leur enlèvera la vie et ils seront anéantis définitivement. Cette différence de traitement est révélé dans Apocalypse 19 :20 et 21 :
V.20 : « Et la bête fut prise, et avec elle le faux prophète, qui avait fait devant elle les prodiges par lesquels il avait séduit ceux qui avaient pris la marque de la bête et adoré son image. Ils furent tous les deux jetés vivants dans l'étang ardent de feu et de soufre. »
« La bête et le faux-prophète » désigne les religions chrétiennes intolérantes catholiques et protestantes de l’Europe et des USA coalisées au retour du Christ. Leur revendication chrétienne et leur infidélité justifient que leurs adeptes et leurs enseignants soient « jetés vivants dans l’étang de feu » à l’heure du jugement dernier soit, « mille ans » après le retour glorieux du Christ.
V.21 : « Et les autres furent tués par l'épée qui sortait de la bouche de celui qui était assis sur le cheval ; et tous les oiseaux se rassasièrent de leur chair. »
Etant non chrétiens, les autres humains ne subiront pas les souffrances de l’étang de feu, car ils mourront simplement par un ordre sorti de la bouche de Dieu représenté par Jésus-Christ venu sur terre incarner « la parole de Dieu ».
Mais le sort réservé aux peuples païens polythéistes n’est pas enviable. Car déjà leur fin imminente sur la terre actuelle viendra sur eux pour les éliminer sans mélange de miséricorde. Et à ce sujet, je le rappelle, nous allons entrer après le 8 Mai 2025, dans une phase de l’histoire humaine terrifiante. Pour le Dieu créateur vengeur de son honneur et sa gloire bafoués et méprisés, 8 milliards environ d’êtres humains vont devoir disparaître jusqu’au jour encore plus terrible de son retour glorieux attendu par ses élus, selon sa promesse, pour le jour du printemps 2030 en lequel 6000 ans de péchés terrestres prendront fin.
Je relève dans l’actualité un réveil d’hostilité entre l’Inde de religion hindoue et le Pakistan de religion musulmane. Ces deux pays qui n’en faisaient qu’un, du temps de la colonisation anglaise, avant le désir séparatiste des Musulmans, disposent tous deux de l’arme atomique et ils ont vocation à les utiliser et à se détruire mutuellement. Mais d’autres conflits locaux vont apparaître sur toute la terre, et par ses « quatre châtiments terribles, l’épée, la famine, les bêtes sauvages (animales et humaines), la mortalité (épidémique) », choses auxquelles on peut ajouter, les éruptions volcaniques, les tsunamis, les tornades, et autres formes de tempêtes, le Tout-puissant YaHWéH atteindra le but de destruction qu’il s’est fixé. Les derniers morts seront tués par des « pierres de grêle » selon Apocalypse 16:21 : « Et une grosse grêle, dont les grêlons pesaient un talent, tomba du ciel sur les hommes ; et les hommes blasphémèrent Dieu, à cause du fléau de la grêle, parce que ce fléau était très grand. » On trouve encore aujourd’hui dans la vallée de la mer Morte, sur le lieu où se trouvaient les villes de Sodome et Gomorrhe, des pierres de soufre par lesquelles Dieu les a détruites avec leurs habitants après que Lot, le neveu d’Abraham, sa femme, et ses deux filles sont promptement sortis de Sodome pour s’éloigner du lieu frappé par la colère de Dieu.
Je vais achever ce message par le sujet par lequel je l’ai commencé soit, la mort du pape François à 7 heures 45 du matin, le Lundi de Pâques. Cette mort soudaine n’est peut-être pas aussi naturelle qu’on la dit. Car, il y a eu les précédents, concernant Jean-Paul 1er, empoisonné en 1978 après quatre semaines d’activité papale, à cause du programme d’économie drastique et de lutte anti-corruption qu’il voulait imposer aux cardinaux et aux évêques du clergé catholique romain ; et Pie XI, empoisonné en 1939 pour sa position opposée aux cardinaux au sujet du Troisième Reich hitlérien. Il se trouve que dans une diatribe franche et directe, le pape François avait tancé le 22 décembre ces mêmes cardinaux et évêques auxquels il a adressé de cuisants reproches …, alors une même cause a peut-être bien porté le même effet meurtrier. Diagnostiquer un AVC sans autopsie du corps pour justifier sa mort, justifie, pour le moins, le doute sur ce diagnostic. Mais ne plaignons pas celui qui part, plaignons plutôt tous ceux qui restent !
Ce qui devrait être considéré comme un simple fait divers de notre vie occidentale actuelle prend dans le contexte des relations religieuses tendues qui la caractérisent, à la Grande-Combe, le rôle avertisseur du messager de la mort. Je résume les faits, un jeune musulman a été horriblement massacré par 57 coups de couteau, dans une mosquée, alors qu’il était en prière. Jamais, jusqu’à ce jour, pareille chose s’est produite. Et je précise que le meurtrier a agi en état de démence, possédé par des démons qui l’ont poussé à agir. Sur les réseaux sociaux, il avait révélé son désir obsédant de tuer quelqu’un ; et son choix s’est porté au dernier moment sur une mosquée dans laquelle il est entré et a commis son meurtre. Cet assassin par inspiration et habitation est lui-même aussi victime des démons célestes que les gens que Jésus délivrait en chassant les mauvais anges qui les tenaient paralysés, aveugles, ou muets. Les origines de ce jeune homme, Rom de Bosnie, ne sont pas en cause. Et le choix des démons aurait pu tomber sur un jeune catholique, un Juif, un Orthodoxe ou un Protestant, ou encore un Chinois. Pour la communauté musulmane, ce fait est à la fois inquiétant mais aussi très irritant. Parce que l’action n’est même pas récupérable par la communauté, bien que des gens politiques se soient empressés de tenter de l’exploiter. Le coupable est vivant et il s’est lui-même rendu à la police de l’Italie où il avait fui après son crime.
Quels sont les messages de ce messager de la mort ?
Le premier, nous dit que par cette action, Dieu annonce l’imminence du temps où les démons vont être libérés, en confirmation de l’annonce prophétique qui repose sur Apocalypse 7:2-3 et 9:14-15 (démons retenus et démons déliés). Ce genre de tueurs démoniaques ne va donc que se multiplier, mais ce que Dieu cible c’est la zone de l’U.E., symbolisée par les « dix cornes » dans Daniel et Apocalypse ; la France où s’est accompli le meurtre étant l’une d’elles.
La deuxième leçon que ce drame enseigne est beaucoup plus subtile et loin des pensées humanistes des peuples occidentaux. A ceux des êtres humains mâles et femelles qui cherchent à savoir où il est, Dieu offre à cette humanité la possibilité de comprendre où il n’est pas. Quel être intelligent peut croire que Dieu reçoit des prières dans un lieu où il laisse le diable et ses démons accomplir un assassinat horrible ? Il est vrai que Nadab et Abihu les fils rebelles d’Aaron furent carbonisés et tués par Dieu à cause de leur désobéissance dans le rite sacerdotal, dans lequel ils firent usage d’un feu « étranger » contrairement à l’ordre donné par sa divine autorité. Toutes les morts ont leur cause et leur explication. Mais ce jeune homme massacré dans une mosquée n’était pas visé personnellement par Dieu. Sa mort injustifiée n’a d’intérêt que pour révéler l’inutilité de la religion de l’islam que Dieu, le vrai créateur, ne protège pas, mais laisse aux démons et au diable. L’absence d’intelligence des masses musulmanes est affichée et révélée par leur comportement, car ils ne s’interrogent pas et ne cherchent pas à comprendre pourquoi Dieu laisse ce crime s’accomplir. C’est cette absence d’intelligence qui caractérise toutes les fausses religions monothéistes actuelles. Ce monothéisme a grandement remplacé, en Occident, au Nord et au Sud, les religions polythéistes, mais les adorateurs sont restés les mêmes, sans l’intelligence qui caractérise l’unique véritable vérité religieuse divine.
La leçon qui vaut pour l’islam vaut tout autant pour la religion catholique papale romaine dans laquelle de multiples crimes ont été faits tels ceux commis par Alexandre VI né Borgia, jusqu’à l’assassinat de Jean-Paul 1er empoisonné après un mois d’activité. Comment peut-on après cela croire au dogme de l’infaillibilité papale ? Le grand nombre des religions complique la compréhension du sujet, mais pour Dieu tout est beaucoup plus simple ; pour sa sélection d’élus, depuis Adam et Eve, il bénit l’intelligent et le nourrit de sa vérité, et il maudit l’insensé auquel il donne pour nourriture les innombrables mensonges diaboliques religieux ou pas, de toutes étiquettes et formes.
M33- L’inversion du sort des derniers élus
Ce ne sont pas les Evangiles, ni les épîtres de la nouvelle alliance de la sainte Bible, qui révèlent les détails concernant ce sujet, qui cible les dernières heures de la vie terrestre des élus avant qu’ils entrent dans l’éternité de Dieu. Comme il le dit dans Apocalypse 1:1, Jésus-Christ a réservé le privilège de cette révélation à ses serviteurs qui vont vivre au jour du printemps 2030 cette expérience éprouvante mais combien merveilleuse.
C’est premièrement par ses révélations données en visions à Ellen White qui a citée plusieurs fois les 6000 ans de la durée du temps de l’humanité, que Jésus-Christ a révélé les détails concernant la loi dominicale rendue obligatoire par le dernier gouvernement terrestre universel. Se contentant au début, de sanctions commerciales et relationnelles, la gouvernance impie finira par décréter la mort pour les humains récalcitrants dont les derniers adventistes du septième jour et les derniers Juifs fidèles envers Dieu. Cette imposition du seul repos du premier jour permettra à tous les élus de s’engager dans la fidélité envers Dieu, quelle que soit leur origine nationale, raciale, et religieuse ou pas. Quand l’heure de mettre en œuvre les exécutions mortelles juridiques sera prête à s’accomplir, dans le ciel, le signe du Fils de l’homme apparaîtra venant dans la gloire lumineuse de ses anges. Le corps terrestre des élus qui allaient être tués est changé par Christ et remplacé par un corps céleste. Ainsi les impies terrestres découvrent alors leur dramatique erreur de jugement et la colère des gens trompés se retourne contre les trompeurs, les pasteurs, les prêtres, les rabbins qui ont tous en leur temps combattu la vérité divine en enseignant des mensonges.
Dans cette expérience finale, la fidélité au saint sabbat du septième jour, sanctifié par Dieu dès sa création du monde terrestre et de toute sa dimension, tient le rôle fondamental principal. C’est cette sanctification divine originelle qui rend hautement coupable et condamnable, le repos « dominical » (dimanche : « jour du Seigneur ») du premier jour honoré par les Catholiques et les Protestants, mais aussi, le repos du sixième jour honoré par les Musulmans. Le choix de Dieu repose sur la logique du programme qu’il a bâti pour construire son plan du salut. Dès le commencement, son ordre repose sur la construction de la semaine de sept jours qui est elle-même l’image prophétique des sept mille années du programme divin terrestre global. La sanctification du septième jour prophétise la sanctification du septième millénaire que Dieu et ses élus sélectionnés vivront dans le plus parfait repos dans son royaume céleste.
Dans le jugement de Dieu, le repos du sabbat du septième jour ne représente son « sceau divin royal » que pour ses vrais élus qui se distinguent des autres observateurs du sabbat, par le fait qu’ils savent tout ce qu’il représente et signifie. Pour les autres, le sabbat n’est que le septième jour hérité de génération en génération au fil des siècles de l’histoire terrestre humaine.
Jésus a dit à Ponce Pilate qu’il est « venu rendre témoignage à la vérité ». Par ce mot « vérité », il désigne le principe du plan du salut préparé par Dieu. La déformation de la présentation de ce plan du salut constitue donc la faute la plus grande et condamnable dans son jugement, ce qui explique la sévérité manifestée envers Moïse, auquel l’entrée dans la « Canaan terrestre », image prophétique de la « Canaan céleste », fut interdite.
De même, depuis 1844, l’entrée dans la « Canaan céleste » sera interdite aux Chrétiens qui ont déformé le projet divin en remplaçant le repos sabbatique du septième jour le samedi, par le premier jour trompeur nommé dimanche.
Celui qui tient le sabbat pour « sceau de Dieu » tient également le repos du premier jour pour « marque de la bête ». C’est cette base de foi qui permet aux élus de refuser d’honorer le repos du premier jour rendu obligatoire dans l’épreuve de foi finale.
La faute humaine qui consiste à déformer le projet divin est d’autant plus favorisée que la création terrestre entière est construite sur des bases prophétiques. Les formes masculines et féminines ont une cause symbolique prophétique. C’est pourquoi, peu avant le temps d’un grand châtiment mondial, auquel succédera l’épreuve de foi finale, la modification apportée de manière perverse en Occident par la reconnaissance officielle et légale d’une sorte de troisième sexe constitue un péché particulièrement abominable pour Dieu. Tout homme symbolise Christ et toute femme son Elue, composée de multiples personnalités reconstruites à son image ; il n’y a pas de place pour un troisième statut.
On retrouve dans la prophétie, dans Apocalypse 3:10, l’annonce de l’existence programmée de cette épreuve de foi finale : « Parce que tu as gardé la parole de la persévérance en moi, je te garderai aussi à l'heure de la tentation qui va venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants de la terre. »
On trouve également l’annonce de la condamnation à mort des derniers élus dans Apocalypse 13:15 : « Et il lui fut donné d'animer l'image de la bête, afin que l'image de la bête parlât, et qu'elle fît que tous ceux qui n'adoreraient pas l'image de la bête fussent tués. » Précédant cette mesure extrême, un boycott commercial et social typiquement américain est aussi annoncé dans le verset 17 : « et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. »
Apparemment, ce sont là, les seuls confirmations évidentes de l’épreuve de foi finale. Mais je dis bien, apparemment, car Dieu m’a accordé la grâce et le privilège de découvrir d’autres confirmations et d’autres précisions concernant cette épreuve finale. Il faut dire qu’elles sont très subtiles et bien cachées, au point que sans l’Esprit pour me guider, je les aurai ignorées comme tous les autres êtres humains.
Ma recherche systématique des messages délivrés par les noms des « douze tribu scellées » d’Apocalypse 7, m’a permis de découvrir le message porté par le nom « Benjamin » de la « douzième tribu » du verset 8 : « …de la tribu de Zabulon, douze mille ; de la tribu de Joseph, douze mille ; de la tribu de Benjamin, douze mille marqués du sceau. » Les noms portés par ces douze tribus transmettent des messages et ils n’ont aucun lien avec les tribus de l’Israël charnel. Le nom Benjamin apparaît en dernier, dans la liste des douze, parce qu’il est porteur d’un message qui concerne les élus translatés au retour du Christ. C’est ce nom Benjamin qui confirme le renversement du sort des élus et de leurs ennemis que Dieu a annoncé en vision à Ellen White, auteur des livres « la Tragédie des Siècles » et « Premiers Ecrits ». La foi doit reposer sur la seule sainte Bible qui permet ainsi de retenir ce qui doit l’être et de rejeter ce qui le mérite. Et j’ai ainsi pu donner des preuves bibliques aux révélations d’Ellen White concernant ce renversement du sort des derniers humains vivants. Le message porté par le nom « Benjamin » apparaît dans Genèse 35:18 : « Et comme elle allait rendre l'âme, car elle était mourante, elle lui donna le nom de Ben Oni ; mais le père l'appela Benjamin. » En règle générale, les noms propres bibliques expriment une expérience. Le nom « Ben Oni » signifie fils de ma douleur ; le nom « Benjamin » signifie : « fils (placé à ma) droite ». Dans ce message, Jacob tient le rôle de Dieu qui change en dernière extrémité le sort de son peuple élu menacé de mort, en remplaçant l’apparente malédiction qui le frappe, par sa bénédiction, exprimée par le nom « Benjamin » soit, « fils » que Dieu place à sa « droite », le côté « béni » par Jésus-Christ, selon Matthieu 25:33-34 : « et il mettra les brebis à sa droite, et les boucs à sa gauche. Alors le roi dira à ceux qui seront à sa droite : Venez, vous qui êtes bénis de mon Père ; prenez possession du royaume qui vous a été préparé dès la fondation du monde. »
Ce sabbat 10 Mai 2025, à la faveur d’un échange fraternel, l’Esprit a dirigé notre attention sur l’expérience vécue par les Juifs déportés à Suse sous le règne du roi Perse Assuerus qui a épousé la jeune fille juive nommée Esther. En effet, la méchanceté du gouverneur Haman qui voulait faire pendre le Juif Mardochée s’est retournée contre lui, et finalement par la puissance de Dieu, Mardochée a été honoré et le méchant Haman a été pendu sur la potence qu’il avait fait préparer pour Mardochée. Il ne fait aucun doute que, par cette expérience, Dieu a voulu annoncer à son peuple, à ses vrais élus, comment dans son programme de la fin de l’offre du salut terrestre, il renverserait la situation momentanément tragique pour ses élus, sanctifiés par leur fidélité à son saint sabbat du septième jour. L’étude du sujet nous a fait réaliser que cette expérience a donné lieu à la pratique de la fête des « Purim » ordonnée par Mardochée pour la perpétuité du temps. C’est alors que nous avons relevé les dates historiques de l’événement qui s’est accompli et reste toujours célébré les 14 et 15 Adar. La transposition de cette fête pour le retour du Christ au printemps 2030 situe ces deux jours au 19 et 20 Mars 2030 soit, la veille et le jour de l’apparition glorieuse de Jésus-Christ.
Nous lisons dans Esther 9:26 : « C'est pourquoi on appela ces jours Purim, du nom (hébreu) pur. D'après tout le contenu de cette lettre, d'après ce qu'ils avaient eux-mêmes vu et ce qui leur était arrivé, » ; « pur » signifie en hébreu : le sort. Versets 27-28 : « les Juifs prirent pour eux, pour leur postérité, et pour tous ceux qui s'attacheraient à eux, la résolution et l'engagement irrévocables de célébrer chaque année ces deux jours, selon le mode prescrit et au temps fixé. Ces jours devaient être rappelés et célébrés de génération en génération, dans chaque famille, dans chaque province et dans chaque ville ; et ces jours de Purim ne devaient jamais être abolis au milieu des Juifs, ni le souvenir s'en effacer parmi leurs descendants. »
Cette fête des « Purim » apporte beaucoup de précisions sur les événements des derniers jours. Déjà, à l’origine de la fête se trouve l’autorisation donnée à Mardochée par le roi Assuerus, le 13 Adar, de tuer tous leurs ennemis vivant à Suse, 500 hommes, et l’autorisation est reconduite le lendemain le 14 Adar, et le roi leur permet de tuer cette fois tous leurs ennemis dispersés dans son immense pays, dans ses campagnes et ses provinces, 75 000 hommes. A la différence de cette expérience, en 2030, ce ne seront pas les élus qui tueront leurs ennemis, mais cette justice divine sera appliquée par les victimes trompées par les mensonges religieux des pasteurs, des prêtres, et des rabbins. J’ai relevé dans Esther 9:16, cette déclaration : « Les autres Juifs qui étaient dans les provinces du roi se rassemblèrent et défendirent leur vie ; ils se procurèrent du repos en se délivrant de leurs ennemis, et ils tuèrent soixante-quinze mille de ceux qui leur étaient hostiles. Mais ils ne mirent pas la main au pillage. » Cette expression soulignée en gras : « ils se procurèrent du repos en se délivrant de leurs ennemis», délivre un message subtil qui donne un sens particulier au repos du sabbat du septième jour. Le septième millénaire l’accomplira seulement au prix d’une extermination des ennemis de Dieu sur la terre, humains et anges rebelles.
Les versets 17 et 18 confirment cette interprétation : « Ces choses arrivèrent le treizième jour du mois d'Adar. Les Juifs se reposèrent le quatorzième, et ils en firent un jour de festin et de joie. Ceux qui se trouvaient à Suse, s'étant rassemblés le treizième jour et le quatorzième jour, se reposèrent le quinzième, et ils en firent un jour de festin et de joie. » Le repos du « quatorzième jour » est obtenu par le massacre de 300 hommes à Suse, et 75 000 autres en province. Et finalement le 15ème jour, ils se sont réellement reposé, comme les derniers élus le feront dès l’apparition de Jésus-Christ au premier jour du printemps soit, le 20 Mars 2030 qui sera également à cette date le 15ème jour des « Purim ». En entrant dans le ciel, les élus feront « un festin de joie » alors que sur la terre, les oiseaux de proie feront, eux, un « festin » de cadavres humains et d’animaux morts et étendus sur le sol de la terre.
Esther 9:20 à 22 : « Mardochée écrivit ces choses, et il envoya des lettres à tous les Juifs qui étaient dans toutes les provinces du roi Assuérus, auprès et au loin. Il leur prescrivait de célébrer chaque année le quatorzième jour et le quinzième jour du mois d'Adar comme les jours où ils avaient obtenu du repos en se délivrant de leurs ennemis, de célébrer le mois où leur tristesse avait été changée en joie et leur désolation en jour de fête, et de faire de ces jours des jours de festin et de joie où l'on s'envoie des portions les uns aux autres et où l'on distribue des dons aux indigents. »
Je ne peux m’empêcher de comparer cette forme de réjouissance du peuple de Dieu avec celle des créatures rebelles européennes qui se réjouissent vers 1793 de la mort des « deux témoins » de Dieu, l’ancien et le nouveau témoignage biblique, dans Apocalypse 11:10 : « Et à cause d'eux les habitants de la terre se réjouiront et seront dans l'allégresse, et ils s'enverront des présents les uns aux autres, parce que ces deux prophètes ont tourmenté les habitants de la terre. »
Par la fête des « Purim », Dieu adresse un message à ceux qui se réjouissent encore injustement du mépris témoigné pour la vérité biblique divine. Il leur prophétise glorieusement que ses saints et lui-même seront les derniers à se réjouir de leur juste extermination.
Le principe appliqué par le fidèle Dieu créateur qui favorise toujours ses élus au détriment de leurs ennemis religieux ou pas est exprimé par ce dicton populaire du type proverbe qui dit : « Tel est pris qui croyait prendre ». Et Dieu l’a mis en pratique dès le commencement de son alliance avec les fils d’Israël qu’il a sauvés de la mort dans l’esclavage, en faisant mourir Pharaon et son armée de chars, tous engloutis dans les eaux de la « mer Rouge », qui mérite ainsi bien son nom, car elle est rouge du sang des Egyptiens coupables, porteurs de leurs péchés et de leur méchanceté. En Israël, la « mer Morte » mérite également son nom, parce qu’elle recouvre la vallée de Sodome et les cendres de ses habitants abominables détruits par des pierres de soufre qu’on trouve encore aujourd’hui au pied de la montagne de Massada contre laquelle était bâtie Gomorrhe, l’autre ville maudite par Dieu. Sa teneur exceptionnelle en sel en fait un modèle de stérilité ; la zone est ainsi parfaitement maudite par Dieu et ceci, durablement, puisque perpétuellement.
M34- Le Vivant
C’est sous ce nom que Dieu se présente à toutes ses créatures terrestres et célestes : le Vivant. Car personne en dehors de lui ne porte cette caractéristique. Etant la source et le principe de la vie, il mérite parfaitement ce nom qu’il se décerne uniquement dans ce verset d’Apocalypse 1:18 : « Je suis le premier et le dernier, et le Vivant. J'étais mort ; et voici, je suis vivant aux siècles des siècles. Je tiens les clefs de la mort et du séjour des morts. ».
Dans ce verset Jésus certifie qu’il a été mis à mort et qu’il s’est ressuscité comme il l’avait annoncé avant son arrestation à ses apôtres. Ces hommes, qu’il avait lui-même choisis pour être ses témoins, ont constaté cette résurrection et leur foi a pris de la force comme leur puissant témoignage l’a démontré ensuite jusqu’à la dernière heure de leur vie terrestre marquée par l’acceptation de la mort en martyrs ; terme d’origine grecque qui signifie précisément : témoin. Pour sa part, l’apôtre Jean qui était, selon l’Esprit divin, « le disciple que Jésus aimait », selon Jean 21:7 et 20, a été rendu indestructible par Dieu. L’huile bouillante ne pouvait pas le détruire et l’empereur romain dut se résoudre à le tenir captif isolé sur l’île de Patmos dans la mer Egée. Et c’est dans cet isolement que l’œuvre de Jean a été glorifiée par Jésus-Christ, puisque c’est dans cette condition qu’il lui a présenté sa sublime et vitale Révélation qui fait aujourd’hui la différence entre la vie et la mort ; la vie pour ceux qui la reçoivent comme sa Révélation divine et la mort pour ceux qui ne voient en elle que l’épouvantable Apocalypse qui vient détruire l’humanité ; ce qui est paradoxalement, pas entièrement faux.
Car l’Apocalypse de Jésus-Christ vient parler à ses seuls « serviteurs » fidèles. Jésus leur fait connaître la grande « tragédie des siècles » de l’ère chrétienne et les nombreux pièges que Dieu a placés devant les hommes et les femmes qui n’ont pas en eux l’amour pour sa vérité. Il a prévu de les séduire par toutes sortes de moyens très efficaces en raison même de leur acceptation du mensonge que l’Américain moderne nomme « bluff » pour atténuer sa culpabilité. Mais attention, cette pratique du « bluff » est aussi utilisée par le Dieu de vérité quand il met la foi de ses serviteurs à l’épreuve. Et ce terme « bluff » convient très bien pour nommer une action trompeuse adoptée pour obtenir un résultat recherché et voulu. Quand il « bluffe », contrairement à l’homme, Dieu a pour but de mettre en évidence ses vrais élus dignes de son salut ; et parallèlement, de démasquer la fausse foi, par le comportement des humains éprouvés et réprouvés par lui. Dans la pratique humaine, le « bluff » vise surtout à tromper son prochain pour tirer profit de lui.
En se désignant lui-même comme étant « le Vivant », ce qui mérite alors une majuscule légitimée, Dieu délivre à l’humanité plusieurs messages.
Le premier consiste à leur rappeler qu’il incarne le principe de la vie ; ce qui lui donne toute sa légitimité de droits détenus par lui au titre de Dieu créateur. Les humains croyants ou pas, nomment parfois Dieu par l’expression « le Créateur », mais ils n’agissent pas envers lui comme le nécessite leur devoir envers le Dieu créateur. De plus, dans notre société moderne, le terme créateur est évoqué pour désigner les artistes qui créent des œuvres musicales ou picturales. On nomme aussi créateurs les compositeurs de la mode de l’habillement de luxe dont la fantaisie et l’exubérance semblent illimitées. De la sorte, le mot « créateur » est vulgarisé et galvaudé, et l’être humain tombe dans le piège de la confusion créée par l’assimilation de tous ces sens différents donnés à ce nom : « créateur ».
Or ce mot « créateur » est utilisé illégitimement quand il concerne des créatures de Dieu et non, Dieu lui-même. Le pouvoir créateur désigne la capacité de créer à partir de rien ; à partir du néant, et ce pouvoir, Dieu est le seul à le détenir. Il crée par sa « parole », mais en réalité par son « Esprit ». La parole n’est utile que si elle est entendue et écoutée par des vis-à-vis également vivants. Et lorsque Dieu entreprend sa création terrestre, il a pour témoins observateurs, tous ses anges célestes qu’il fait participer à son œuvre glorieuse. A son tour, l’homme créé par Dieu se met à son écoute et dépend entièrement de lui. Dieu ne parle pas pour rien dire, quand il parle, c’est pour exprimer des choses importantes pour lui-même et ses créatures. Parce qu’il incarne la perfection absolue dans tous les domaines, imaginables ou pas, toutes ses paroles ont une valeur légale qui représente, la « loi divine » bien avant la remise à Moïse de la loi des « dix commandements de Dieu, et de la Torah juive.
Pour l’être humain, la loi divine a commencé par les ordonnances de Dieu présentées à Adam et Eve au sujet de l’alimentation de leur corps physique. Cette notion charnelle physique était l’image corporelle de la notion spirituelle. Car l’homme étant chair et esprit, son esprit avait autant besoin de nourriture que son corps physique. La possibilité donnée par Dieu à l’homme et sa femme de manger de tous les arbres du jardin révélait son amour pour ses créatures. Et à ceux qui croient de manière arrogante et insensée au dieu nommé « hasard », je propose qu’il le remercie pour son souci de donner du bonheur à l’être humain en multipliant les formes du goût, des odeurs, des sons, et des esthétiques des choses comme ces fleurs aux multiples et innombrables aspects. Il est évident que ces choses témoignent de l’existence d’un esprit divin supérieur, bien veillant et plein d’amour pour ses vis-à-vis qu’il crée. Le dieu « hasard » derrière lequel se réfugient les incroyants n’est que le prétexte trouvé par ceux qui, comme le libre penseur Karl Marx, ont choisi de, je cite, « chasser Dieu de leur ciel ». Et ce choix est celui de gens rebelles qui refusent de se soumettre à une quelconque autorité. Et la vie moderne occidentale fabrique ces monstres d’égocentrisme en multitudes destinées à la perdition et l’anéantissement.
En se nommant « le Vivant », Dieu contredit l’humanité rebelle actuelle qui ose avancer l’idée qu’il est mort. Cette humanité rebelle prend le silence de Dieu comme une preuve de sa mort et Dieu a annoncé ce comportement outrageant dès le commencement de sa révélation biblique en révélant les origines de la vie terrestre à Moïse. Le contexte était favorisé par le comportement du pharaon de l’Egypte modèle d’impiété et du péché par sa résistance à ne pas obéir aux ordres donnés par le Dieu de Moïse. A ce titre, la sortie d’Egypte prend l’aspect d’une scène qui prophétise tout le grand projet du salut des élus humains terrestres : les ennemis de Dieu et de ses élus seront détruits comme l’armée puissante de Pharaon, et les élus hériteront de la vie éternelle et ils entreront dans la Canaan céleste.
En se nommant « le Vivant », Dieu déclare que les autres prétendues divinités sont, elles, réellement mortes et plus précisément fausses, car inexistantes. Lorsque Dieu s’est présenté à lui, Manoach, le père de Samson, demanda à Dieu : « Quel est ton nom ? » La réponse de Dieu fut une question : « Pourquoi demandes-tu mon nom ? Il est merveilleux ». Par cette question, Dieu exprimait sa pensée divine qui savait qu’il n’existait pas d’autres divinités en face de lui. Plus tard, il s’est présenté à Moïse le fils adopté par la fille du pharaon. Moïse avait dans son esprit toute la culture égyptienne et ses nombreuses divinités et il demanda, lui aussi, à Dieu, son nom, selon Exode 3:13 : « Moïse dit à Dieu : J'irai donc vers les enfants d'Israël, et je leur dirai : Le Dieu de vos pères m'envoie vers vous. Mais, s'ils me demandent quel est son nom, que leur répondrai-je ? » Dieu donne sa réponse au verset 14 dont je propose cette traduction personnelle : « Dieu dit à Moïse : Je suis qui je suis. Et il ajouta : C'est ainsi que tu répondras aux enfants d'Israël : Celui qui s'appelle Il est m'a envoyé vers vous. » Dans le texte hébreu originel, la première lettre du tétragramme du nom de Dieu est différente et exprime, quand Dieu se nomme lui-même, le sujet et pronom personnel « je », et quand les humains le nomment, « il ». Ainsi, Dieu accepte de se donner un nom qu’il choisit lui-même et qui se traduit dans nos langues occidentales par « Je suis » ; nom que, scandalisant les Juifs incrédules, Jésus revendique et s’attribue dans Jean 8:58 : « Jésus leur dit : En vérité, en vérité, je vous le dis, avant qu'Abraham fût, moi je suis. » Mais ce n’est pas sous ce nom qu’il ordonne à Moïse de le nommer, car son nom est une conjugaison du verbe être, et Dieu peut seul dire de lui-même « Je suis ». En toute logique, ses créatures, ses vis-à-vis, doivent l’appeler « Il est » ; ce qui est la traduction du nom hébreu « YaHWéH » cité dans toute la Bible. En se révélant à Moïse, après Abram renommé par Dieu Abraham, Isaac, et Jacob renommé par Dieu Israël, le grand et unique Dieu créateur se montre et parle à un être humain sous l’aspect d’un buisson embrasé qui ne se consume pas ; ce qu’il est seul à pouvoir faire, étant lui, contrairement aux fausses divinités, réellement, « le Vivant » qui parle et qui agit.
Si Dieu est bien, lui, « le Vivant », il n’a par contre en face de lui que des créatures terrestres mortelles dont les plus rebelles se comportent envers lui comme si c’était lui, le mort. Dans cette démarche, nous retrouvons logiquement tout l’enseignement chrétien diffusé par l’église catholique romaine depuis ses origines ténébreuses. Le pape élu chef terrestre du troupeau des brebis de Jésus-Christ est censé représenter Dieu, mais en fait, il remplace ses idées et sa personne, lui substituant des pensées diaboliques et des esprits démoniaques dont certaines n’ont jamais été relevées jusqu’à ce jour. Nous avons en effet une grande connaissance des fautes principales officiellement imputées à l’autorité du catholicisme papal romain, mais le sujet que je dénonce aujourd’hui a été ignoré par tous les Chrétiens victimes de l’héritage des conceptions religieuses traditionnelles. Ce sujet est celui de la polygamie, systématiquement condamnée dans nos sociétés occidentales chrétiennes romanisées depuis de nombreux siècles.
C’est en effet une norme catholique romaine qui a condamné la polygamie déjà refusée dans la Rome païenne. A l’opposé, dans l’islam, la polygamie est autorisée. Pour sa part, l’église catholique a interdit le mariage à ses prêtres, ses évêques, ses cardinaux, ses moines soit, tous ses officiants et la conséquence est la pratique cachée du péché de chair par beaucoup de ces officiants ; ceci avec les dérives homosexuelles devenues légales dans notre époque, en Occident, seulement. La même norme religieuse catholique prescrit pour les humains civils des mariages monogames et nomme « adultère » toute transgression de ce principe. Et bien, Dieu a un tout autre avis sur ce sujet que je vais développer maintenant.
Premièrement, tout lecteur de la sainte Bible peut constater que Dieu n’a jamais condamné ses serviteurs qui ont épousé et reconnu officiellement pour épouses plusieurs femmes. Abraham n’eut qu’une femme officiellement, nommée Saraï qui lui donna l’autorisation de donner vie à son fils Ismaël par sa servante égyptienne nommée Agar. Jacob fut contraint par son oncle, à épouser successivement ses deux filles, Léa et Rachel. David prit de nombreuses femmes pour épouses et Dieu ne lui en fit pas le reproche, excepté pour le cas de Bethsabée dont David fit mourir injustement son mari « Urie le Héthien », pour la lui ravir. Visiblement, Dieu n’est pas contre la polygamie et il nous faut donc mieux définir ce qu’est « l’adultère » dans son jugement. Pour Dieu « l’adultère » consiste à trahir une alliance officiellement reconnue. L’homme peut donc être l’époux de plusieurs femmes auxquelles il donne le statut d’épouses officielles. La preuve de ce jugement divin apparaît dans ce texte de Deutéronome 17:17 : « Qu'il n'ait pas un grand nombre de femmes, afin que son cœur ne se détourne point ; et qu'il ne fasse pas de grands amas d'argent et d'or. » Dieu déconseille au roi d’Israël d’épouser un trop « grand nombre de femmes », mais ne condamne pas le principe de la polygamie. C’est aussi confirmé par ce verset de Deutéronome 21:15 : « Si un homme, qui a deux femmes, aime l'une et n'aime pas l'autre, et s'il en a des fils dont le premier-né soit de la femme qu'il n'aime pas, … » Et enfin, la chose est confirmée dans Exode 21:10 : « S'il prend une autre femme, il ne retranchera rien pour la première à la nourriture, au vêtement, et au droit conjugal. »
La conséquence de la mauvaise interprétation romaine de la polygamie est très grande et je propose cet exemple des conséquences portées au sujet du roi Henri VIII d’Angleterre qui ne vit que la répudiation et la mort de ses femmes pour éviter la culpabilité de ce que Rome présentait faussement comme un acte adultère. En vérité, Henri VIII avait le droit divin de prendre autant de femmes qu’il le voulait sous condition de ne faire de tort à aucune d’elles. La religion chrétienne n’a pas vocation à changer ces règles matrimoniales établies par Dieu dans la loi de Moïse. L’humanité occidentale entière a été victime des fausses valeurs établies et imposées par l’église catholique papale romaine. Et ses mensonges ont causé injustement la mort de multitudes d’hommes et de femmes. Il n’est donc pas étonnant que, parlant de Rome, Dieu déclare dans Apocalypse 18:24 : « …et parce qu'on a trouvé chez elle le sang des prophètes et des saints et de tous ceux qui ont été égorgés sur la terre. »
Il me reste à expliquer maintenant les raisons spirituelles pour lesquelles Dieu peut légitimer le choix polygame.
Le mariage du couple trouve son origine dans l’exemple de l’expérience d’Adam et Eve, et d’Isaac et Rébecca. Ces deux couples sont formés par le choix de Dieu ; Eve, la première femme est donnée à Adam, et Abraham s’en remet à Dieu pour trouver l’épouse pour son fils Isaac. Ces deux cas sont exemplaires pour représenter le vrai sens du mariage ; Dieu étant l’acteur principal de ces unions. Dans le couple homme et femme, l’homme est l’image du Christ et la femme celle de son Eglise, son assemblée d’élus composée d’hommes et de femmes. Vu du côté humain, l’Elue collective et individuelle a un devoir de fidélité envers l’unique époux Jésus-Christ ; ce qui donne une priorité à l’union monogame. Mais vu du côté divin, la situation est différente parce que Dieu s’unit individuellement à ses multitudes d’élus qui collectivement forment son unique épouse. Dieu se trouve dans les deux situations, polygame individuellement, et monogame collectivement. Il ne peut donc que légitimer la polygamie qui caractérise sa propre relation amoureuse avec tous ses vrais élus mâles et femelles.
Je relève aujourd’hui, l’erreur de lecture commise au sujet de « l’adultère ». Les versets qui condamnent « l’adultère » humain le rattachent à la « répudiation » de la première femme. Aussi, fallait-il le comprendre, c’est cette « répudiation » que Dieu condamne et non le mariage avec une autre femme. Dieu en témoigne dans Malachie 2:16, où il dit : « Car je hais la répudiation, dit YaHWéH, le Dieu d'Israël, et celui qui couvre de violence son vêtement, dit YaHWéH des armées. Prenez donc garde en votre esprit, et ne soyez pas infidèles! » Il dit au verset 14 qui précède : « Et vous dites : Pourquoi ?... Parce que YaHWéH a été témoin entre toi et la femme de ta jeunesse, à laquelle tu es infidèle, bien qu'elle soit ta compagne et la femme de ton alliance. » L’infidélité reprochée est concrétisée par « la répudiation de cette femme de la jeunesse ». Or, la fidélité est la valeur que Dieu apprécie suprêmement, en raison même de son programme dans lequel il sélectionne des élus destinés à vivre avec lui pendant l’éternité, illimitée comme son sens l’indique.
L’erreur commise dans cette lecture de « l’adultère » est semblable à celle qui consiste à retenir du quatrième commandement de Dieu l’obligation de travailler six jours alors que l’obligation divine concerne le repos du septième jour. Ce verset de Matthieu 5:32 décrit clairement ce que Dieu nomme « adultère » : « Mais moi, je vous dis que celui qui répudie sa femme, sauf pour cause d'infidélité, l'expose à devenir adultère, et que celui qui épouse une femme répudiée commet un adultère. » Le proverbe chinois est ainsi bien justifié : « Quand le sage pointe du doigt la lune, le fou regarde le bout du doigt. »
Les valeurs approuvées par Dieu demeurent inchangées pour l’éternité ; elles offrent la sécurité de la parfaite stabilité. A l’opposé, la forme de la vie terrestre actuelle est destinée à cesser au retour glorieux de Jésus-Christ attendu pour le jour du printemps 2030. « Car, à la résurrection, les hommes ne prendront point de femmes, ni les femmes de maris, mais ils seront comme les anges de Dieu dans le ciel. », a dit Jésus dans Matthieu 22:30.
Dans la nouvelle alliance, Dieu présente ses ordres sous la forme de simples conseils ; ceci, parce qu’en Jésus-Christ une relation rapprochée s’est construite entre lui et ses appelés destinés à l’élection. J’aime à le rappeler, mais l’élu de Dieu de notre année 2025 porte le même statut privilégié que les apôtres choisis par Jésus-Christ lui-même, au début de son ministère terrestre. Notre Jésus divin actuel se partage et construit des relations permanentes multipliées rendues possibles par sa nature divine. Le grand Dieu créateur est, à son échelle incommensurable, « multitâches » comme nos ordinateurs informatiques Où qu’ils se trouvent sur la terre, ses élus disposent de sa bienveillante affection et de son esprit pour les inspirer et les diriger constamment. Et cette restauration de la vérité concernant « l’adultère » en fournit la preuve en ce qui me concerne.
La situation spirituelle actuelle est telle que Dieu donne des preuves de son existence à ceux qui croient à son existence et qui le prouvent en prenant très au sérieux ses révélations prophétiques qu’il a préparées pour les guider et les éclairer. Dans le temps où les incroyants et incrédules sont livrés à l’angoisse de l’avenir proche, tant les changements politiques et économiques terrestres sont transformés subitement depuis l’élection d’un seul homme, président depuis Janvier 2025 des puissants Etats-Unis de l’Amérique du Nord. Et Dieu a eu la bonne idée de donner à cet homme le nom évocateur de Donald Trump, l’homme de sa « sixième trompette » d’Apocalypse 9:13. Paradoxalement, l’homme, par lequel la guerre la plus destructrice de l’histoire terrestre va s’accomplir, est animé d’une farouche volonté d’instaurer la paix sur toute la terre. Il prouve ainsi combien il est séparé du Dieu créateur qui l’utilise malgré lui pour obtenir la guerre que son instrument humain veut à tout prix éviter.
C’est en effet ce prêcheur de paix qui va favoriser la Troisième Guerre Mondiale qui va conduire l’Amérique à sa domination universelle longtemps espérée par tous ses prédécesseurs de la Maison-Blanche. Contrairement à ceux qui l’ont précédé, Donald Trump veut tellement favoriser la paix qu’il préfère, dans sa déception due à son échec dans cette tentative, se retirer des problèmes occidentaux. Et ce choix livre l’Europe affaiblie par son obéissance aux directives américaines précédentes à sa nouvelle ennemie, la Russie de Vladimir Poutine. Les Européens ont pendant un petit moment espérer ramener et restaurer le soutien de l’Amérique, le pays organisateur de l’alliance de l’OTAN. Mais après une tentative d’échanges directs entre l’Ukraine et la Russie, Donald Trump découvre l’évidence d’une réelle impossibilité de réconcilier les deux camps qui se combattent. Ainsi le Dieu créateur obtient la situation qu’il a voulu créer. Et la lumière prophétique divine révélée dans Daniel 11:40 à 45 m’évite toute fausse illusion sur l’issue d’une confrontation programmée et prophétisée par le Dieu créateur, Jésus-Christ, le YaHWéH des armées. La vieille Europe va devoir payer ses nombreux outrages et comportements arrogants longtemps accomplis en son nom ; celui du Dieu vivant. Car, le regard terrestre donne au conflit engagé des causes terrestres qui cachent des causes spirituelles puisque, par elles, Dieu venge les fautes commises envers lui. Et dans Apocalypse 8 et 9, le thème des « trompettes » vient révéler la continuité de la cause des châtiments successifs qu’elles représentent et symbolisent. Ainsi, la situation terrestre trouve sa cause dans la cause spirituelle. Sans la connaissance de cette cause spirituelle, les faits terrestres sont analysés uniquement par les causes terrestres et les humains ciblés par la colère divine sont aveuglés par le choix de leurs valeurs. Ils ne comprennent pas comment étant défenseurs de la paix et de la tolérance religieuse, ils peuvent être ainsi victimes de la haine mortelle de leurs ennemis. L’Occident moderne s’est donné l’image d’une société idéale que tous les peuples de la terre devraient vouloir imiter. Or, les dirigeants et les peuples occidentaux découvrent et s’étonnent de ce que ce n’est pas le cas. Après le président français E.Macron, des journalistes reprennent ses arguments disant que la victoire de la Russie donnerait raison à la loi du plus fort. Mais ce qu’ils semblent oublier c’est que, se sentant protégées par les USA, les instances dirigeantes européennes ont imposé à des peuples leurs valeurs, parce qu’elles étaient dans la position du plus fort. Et que vient chercher le président Macron dans son alliance européenne, sinon l’union qui a fait sa force ? Il en est de même de l’Ukraine, qu’est-elle venue chercher dans l’alliance de l’OTAN, sinon la force capable de combattre la Russie ?
Nul doute que Dieu est bien « le Vivant » et ses œuvres sont puissantes et efficaces. Il renverse brutalement une situation établie dans l’histoire européenne dans la stabilité sur 80 années commencées en 1945. Dans un temps favorable, sans lui faire la guerre, par sa seule séduction, le camp occidental a arraché à la Russie : les pays Baltes, la Roumanie, et la Pologne, annexée et rattachée à la Russie par le partage de 1945 à Yalta, une ville balnéaire de la Crimée reprise à l’Ukraine par la Russie en 2014. Le camp occidental a beaucoup profité de sa séduction tant son développement économique a créé la richesse, le confort, et la paix dans une liberté cependant de plus en plus réduite. Cette réduction a été provoquée par l’accueil de l’islam et sa progression sur le territoire européen. Les valeurs de l’islam étant complètement opposées aux valeurs occidentales, les vrais Musulmans se sentent frustrés et exigent continuellement des adaptations politiques en leur faveur. A côté de ces vrais Musulmans intègres envers leur religion, se trouvent des multitudes d’autres Musulmans que les compromis ne gênent pas plus que les faux Chrétiens envers la vérité chrétienne. Or, étant prêts à agir jusqu’au sacrifice de leur vie, une petite minorité de Musulmans intègres et agressifs, est très dangereuse pour les démocraties occidentales. Avec juste raison, Jésus-Christ a enseigné qu’il suffit d’un peu de levain pour faire lever toute la pâte du pain de blé. Or, en France particulièrement, le levain musulman intégriste est répandu dans toute la population du pays, dans les villes et jusque dans les campagnes. Au-dedans, le danger islamiste et au-dehors, la vengeance de la Russie ; le moins que je puisse dire, c’est que la situation du pays est peu enviable tant les menaces qui pèsent sur lui sont grandes.
Depuis l’élection du président Trump, la situation dramatique de l’Occident s’accélère avec un effet « domino » sans précédent. L’occupation allemande de la France a provoqué la révolte des colonies françaises de l’Indochine, puis du Maghreb. Aujourd’hui, la chose se reproduit à cause de l’abandon de l’Europe que Mr Trump combat économiquement et livre par son abandon à ses ennemis potentiels : les Musulmans intégristes et la Russie vengeresse. A ce sujet, il est étonnant de voir nos dirigeants occidentaux sous-estimer la vengeance russe, pourtant légitimée par leur engagement et leur aide donnés à son ennemie mortelle l’Ukraine. Les armes occidentales tuent des multitudes de combattants russes ; et la Russie devrait les remercier ?
L’offre de la grâce divine cessera dans l’année 2029. Il ne reste donc devant nous que 4 années pour que s’accomplisse la « sixième trompette » ou Troisième Guerre Mondiale.
J’ai longtemps pensé que pour Dieu cette dernière guerre militaire qui vient avait pour but de réveiller la foi endormie des êtres humains, mais sans abandonner complètement cette opinion, je commence à croire que le but principal poursuivi par Dieu est l’élimination totale d’une immense quantité d’hommes et de femmes irréductiblement incroyants et rebelles. Car le pouvoir séducteur de la liberté est immense, et la croissance du camp européen en a apporté la preuve. En France, la liberté instaurée repose sur le principe de la laïcité établi par la République Française. Les uns après les autres, les ordres religieux chrétiens catholique et protestant sont entrés dans le moule laïc adapté à leur convenance. Pour ce qui est de l’islam, le problème est tout autre, car l’islam a ses propres valeurs et déjà, il prescrit un jour de repos spirituel qui est le sixième de la semaine juive et chrétienne. En France, les travailleurs musulmans transgressent le repos du sixième jour, notre vendredi prescrit dans leur religion. Et les islamistes intégristes ont toutes raisons de leur reprocher cette transgression. Pour eux, la nécessité de faire reconnaître par la France et l’Europe, la « Charia », la loi islamique, s’impose. S’étant construite sur l’héritage du faux christianisme, la laïcité actuelle légalise le repos du dimanche instauré par l’empereur Constantin 1er enseigné par la suite par l’église catholique papale romaine. Les protestants l’ont également adopté comme un héritage religieux séculaire. Mais aujourd’hui la concurrence locale des trois jours de repos différents prescrits par les trois religions monothéistes rassemblées et représentées dans les démocraties occidentales pose un problème insoluble. Le vendredi de l’islam, et le samedi des Juifs et des vrais Chrétiens, sont en conflits avec la laïcité française qui soutient le repos du dimanche du faux christianisme traditionnel. Ce sujet du jour du repos n’est pas encore le sujet de la contestation des religions concernées, mais il va le devenir, car l’islam veut imposer sa norme à tous ses fidèles, et comme la religion est héritée et transmise nationalement, ce sont tous les Musulmans que les intégristes doivent convertir de gré ou de force. En méprisant l’engagement religieux, les peuples occidentaux n’ont pas pensé qu’en accueillant des Musulmans dans leur pays, ils allaient s’exposer à la colère des Musulmans intégristes incapables de se résigner à voir des Musulmans déshonorer leur religion.
Dans le temps du règne papal romain intolérant et despote, cette même volonté de contraindre l’hérétique à abjurer sa foi s’est traduite par des persécutions, des scènes de tortures et des exécutions mortelles. L’islam intégriste actuel est animé du même esprit et son comportement reproduit la même cruauté, froide et meurtrière.
En fait, la reproduction de tous ces drames est causée par le refus humain de reconnaître le Dieu créateur comme étant « le Vivant » duquel toute vie dépend en bien et en mal. De Moïse jusqu’à l’apôtre Jean, Dieu a parlé par ses serviteurs juifs inspirés par son Esprit. Le bonheur est disponible uniquement dans cette reconnaissance de sa vérité et de toutes ses normes. Dieu présente une seule vérité aux habitants de la terre entière : Ephésiens 4:5 : « Il y a un seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême ». L’idée même que Dieu pourrait enseigner des choses différentes aux divers pays de la terre l’outrage et le déshonore. Mais, c’est cependant, la prise de position des religions « hypocrites » réunies dans l’alliance œcuménique organisée par l’église catholique papale romaine. C’est pourquoi, Dieu a pris soin de mettre en garde ses élus contre toute forme d’alliance avec celle qu’il image par la prostituée nommée « Babylone la grande » dans Apocalypse 17:5 : « Sur son front était écrit un nom, un mystère : Babylone la grande, la mère des impudiques et des abominations de la terre. » Pour les élus sanctifiés par Dieu, « Babylone la grande » n’a plus de « mystère » : elle est parfaitement identifiée avec toutes ses fautes commises contre Dieu et ses élus. Mais le « mystère » qui la concerne soit, celui de l’iniquité, est conservé pour toutes les victimes de sa séduction destinées à la perdition parce qu’elles le méritent.
M35- Sans moi, vous ne pouvez rien faire
Alors que je réfléchissais et cherchais un sujet d’étude, cette expression exprimée par Jésus-Christ dans ce verset de Jean 15:5 s’est imposée dans ma pensée : « Je suis le cep, vous êtes les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure porte beaucoup de fruit, car sans moi vous ne pouvez rien faire. ».
« Car sans moi vous ne pouvez rien faire » : voici bien une phrase qui résume à elle seule beaucoup de choses et nous révèle plus largement le projet du Dieu vivant mis en œuvre dans sa création de la vie terrestre.
Si nos hommes politiques, nos experts de l’économie et des sciences pouvaient entendre ces paroles du Christ, leurs illusions placées dans leurs œuvres vaines cesseraient instantanément. Car, cette phrase sortie de la bouche du Dieu créateur incarné dans la chair humaine condamne toutes les tentatives humaines à l’échec.
Au cours des 6000 années de vie terrestre qui prendront fin au jour du printemps 2030, Dieu a conduit l’humanité à expérimenter toutes sortes de types de gouvernances et régimes dominateurs. Après le déluge, l’humanité s’est donnée un roi, ayant constaté l’impossibilité de vivre collectivement sans un chef supérieur capable d’aligner les idées opposées des uns et des autres, en imposant sa propre opinion. Dans ce type de régime, il y a des perdants et des gagnants, et quand les perdants sont supérieurs en nombre aux gagnants, des révoltes meurtrières éclatent et répandent le sang des adversaires coule dans les deux camps qui s’affrontent.
En faisant alliance avec Abram, Dieu inaugure un modèle de vie nomade particulier. Ce qui fait sa particularité, c’est justement, cette relation vivante et active qui lie Abram au Dieu créateur. Abram devient riche et puissant mais il reste dans le nomadisme. Et par lui, Dieu adresse à ses élus de tous les temps, la même leçon : Ceux qui font alliance avec lui sont des voyageurs étrangers sur la terre. Par ce modèle, Dieu met en garde ses serviteurs contre l’attachement à la terre, et à travers elle, aux biens terrestres qui capturent et captivent les cœurs et les pensées des créatures humaines. Et cette leçon me permet de comprendre pourquoi, j’ai été empêché de devenir propriétaire de mon logement. Un logement vers lequel Dieu m’a conduit et fait installer en 1976 ; par la suite, ce logement a été revendu et racheté par plusieurs propriétaires successifs. En 1976 après le décès du second mari de ma mère, je suis venu vivre chez elle, dans ce logement qu’elle avait obtenu après que la propriétaire du lieu ait remarqué la présence d’une sainte Bible dans la chambre que j’occupais dans son ancien logement. En fait, dès cet instant, Dieu me destinait le logement de cette propriétaire exaltée et fervente évocatrice du nom de Jésus-Christ. Ainsi en 1976, je laissais la vie en caravane dans laquelle Dieu m’avait fait vivre une vision au printemps 1975, et je me suis installé dans ce logement du « 43 rue Châteauvert ». J’ai découvert plus tard, toute la valeur de ces choses symboliques : 43 soit 4+3= 7, ou 4x3=12, ou encore universalité + 3 = perfection. Quant au nom Châteauvert, il est justifié par la présence d’un vieux château situé au bout de cette longue rue qui sort de Valence sur Rhône. Et sa couleur « vert » image la fidélité et la bénédiction divine selon ce verset cité dans Jérémie 17:7-8 : « Béni soit l'homme qui se confie dans YaHWéH, et dont YaHWéH est l'espérance ! Il est comme un arbre planté près des eaux, et qui étend ses racines vers le courant ; il n'aperçoit point la chaleur quand elle vient, et son feuillage reste vert ; dans l'année de la sécheresse, il n'a point de crainte, et il ne cesse de porter du fruit. » Ce verset se complète parfaitement avec Psaumes 1:1 à 3, qui souligne et confirme la bénédiction de Dieu pour ma lecture de sa sainte Bible : « Heureux l'homme qui ne marche pas selon le conseil des méchants, qui ne s'arrête pas sur la voie des pécheurs, et qui ne s'assied pas en compagnie des moqueurs, mais qui trouve son plaisir dans la loi de YaHWéH, et qui la médite jour et nuit ! Il est comme un arbre planté près d'un courant d'eau, qui donne son fruit en sa saison, et dont le feuillage ne se flétrit point : tout ce qu'il fait lui réussit. »
Les versets 4 à 6 suivants expriment clairement la norme de la justice divine : « Il n'en est pas ainsi des méchants : ils sont comme la paille que le vent dissipe. C'est pourquoi les méchants ne résistent pas au jour du jugement, ni les pécheurs dans l'assemblée des justes ; car YaWHéH connaît la voie des justes, et la voie des pécheurs mène à la ruine. »
Si « les pécheurs ne subsistent pas dans l’assemblée des justes », c’est donc que Dieu ne sauve pas le pécheur qui reste dans ses péchés. Et ce message évoque une vérité qui m’a empêché de me faire baptiser par l’église Réformée protestante. Je ne pouvais pas accepter cette norme « étiquette » que les chrétiens donnent traditionnellement à la foi chrétienne ; et ces versets me donnaient raison. La découverte de la malédiction du repos du dimanche révélait la cause de cette autosuffisance bibliquement injustifiée : La mort volontaire acceptée par Jésus-Christ mérite et exige beaucoup plus qu‘une étiquette religieuse, et les exemples donnés par Dieu dans Ezéchiel 14, le prouvent : les élus sauvés imitent Noé, Daniel et Job.
Je relève que le Psaumes 1 est composé de six versets comme les six jours de la semaine et les six mille ans du programme de la sélection d’élus par Dieu. et l’image du verset 4, « Il n'en est pas ainsi des méchants : ils sont comme la paille que le vent dissipe », révèle le sens de ce verset de Daniel 2:34-35 : « Tu regardais, lorsqu'une pierre se détacha sans le secours d'aucune main, frappa les pieds de fer et d'argile de la statue, et les mit en pièces. Alors le fer, l'argile, l'airain, l'argent et l'or, furent brisés ensemble, et devinrent comme la balle qui s'échappe d'une aire en été ; le vent les emporta, et nulle trace n'en fut retrouvée. Mais la pierre qui avait frappé la statue devint une grande montagne, et remplit toute la terre. » C’est en effet, au jour du printemps 2030 qui vient que Jésus-Christ paraîtra pour accomplir l’œuvre du van qui exploite le souffle du vent pour séparer le bon grain de la paille, cette balle du blé que le vent emporte.
La liberté donnée par Dieu à toute l’humanité et aux anges célestes permet à toutes ses créatures formées à son image et responsables de leur choix, de faire des expériences de tous types. Mais selon les images proposées, les élus feront seuls les bons choix jusqu’à la fin du temps des 6000 ans.
En 1945, l’Europe est sortie dévastée de la seconde Guerre Mondiale. L’humanité survivante est alors entrée dans une phase de reconstruction matérielle et mentale, tant les esprits humains éprouvés étaient choqués et traumatisés par l’ambiance de la guerre et de l’occupation nazie allemande. Tout était donc à reconstruire, les immeubles, les routes, et les esprits humains eux-mêmes. Les « tisons arrachés au feu » n’ont pas profité de l’épreuve vécue par laquelle, Dieu venait de faire entendre son jugement et sa condamnation de la société redevenue prospère après 1918. Ainsi, invariablement, la paix favorise la prospérité, la richesse et le mépris pour la religion soit, la vraie recherche de Dieu. Il ne faut en effet pas nous laisser tromper par les comportements religieux témoignés dans les temps de guerre et de détresse. Dans la peur et l’épouvante, l’être humain est capable de crier sa détresse et d’implorer Dieu pour qu’il y mette fin. Mais ceci ne signifie pas que Dieu reconnaît ce type de comportement et ces gens. Dans la vraie foi, ses serviteurs, ses rachetés, s’attachent à Dieu et le servent en toute circonstance, de paix ou de guerre. Et c’est là toute la différence et l’intérêt de ces deux circonstances opposées dans l’absolu dans lesquelles Dieu place alternativement l’humanité. La foi hypocrite est ainsi témoignée et identifiée et à l’opposé, les élus se démarquent des déchus par leur constante fidélité témoignée envers Dieu. Les plus grands pièges religieux se cachent dans les fausses prétentions de gens qui se disent être ses serviteurs et c’est pourquoi, Jésus-Christ a laissé derrière lui le témoignage de Matthieu 7 dans lequel il prophétise qu’il dira, « Je ne vous ai jamais connus », à des gens qui se réclament de lui en l’appelant « Seigneur ! Seigneur ! » Le verset biblique 23 précise : « Je ne vous ai jamais connus ; retirez-vous de moi, vous qui commettez l’iniquité ». Il n’est pas de mise en garde plus forte et plus précise que ce message délivré par la bouche de Jésus-Christ. Et ce message est d’autant plus important qu’il permet aujourd’hui à ses élus de comprendre que toutes les dénominations chrétiennes officielles ou non officielles, qui prennent dans ce cas l’aspect de groupes dits « évangéliques » menés par des gourous séducteurs en paroles et en actions, tous quels qu’ils soient sont concernés par ce : « Je ne vous ai jamais connus ; retirez-vous de moi, vous qui commettez l’iniquité ».
En quoi consiste donc cette « iniquité » ? Elle est odieuse, parce qu’elle exploite la chose la plus belle, la plus souhaitable, la plus désirable : l’amour. En effet, toute l’œuvre terrestre de Jésus-Christ consiste à révéler l’immense et incommensurable amour de Dieu pour ses créatures condamnées à mourir à cause de leurs péchés personnels et du péché originel hérité depuis Adam et Eve. Face à cette situation, rempli de compassion, Dieu vient chercher ses élus, parmi ces pécheurs, parce qu’il les connaît depuis le commencement de son projet créateur. Ce qui caractérise les élus du Dieu créateur, c’est leur capacité à partager les normes de ses valeurs. L’élu, le vrai, reçoit le message de Jésus-Christ : « Car sans moi vous ne pouvez rien faire ». Que faut-il mettre dans ce « rien » ? Tout : le salut, la réussite, le bonheur…le véritable amour. Par ce message Jésus tue les illusions humaines, les fausses revendications et les fausses prétentions d’être ses serviteurs. C’est lui, le Maître qui choisit ses serviteurs et non ses serviteurs qui choisissent leur Maître. Dans la masse des créatures qu’il fait venir à la vie, Dieu prélève ce qui lui appartient soit, dans l’ordre historique, l’ange, l’homme, ou la femme qui partage ses idées, ses valeurs, et qui sont ainsi aptes à partager son éternité. Que peut donc faire un élu pour son Dieu ? Le laisser transformer un homme pécheur en un saint homme qui ne pèche plus. Mais pour aboutir à ce résultat, Dieu reste le seul à choisir ses élus parce qu’il connaît leur acceptation et leur désir réel d’être changés par lui. Dès notre naissance, nous entrons dans la vie étant porteurs de notre personnalité qui nous destine à être un élu ou un déchu. L’élu va accepter et souhaiter son changement, tandis que le déchu ne l’envisage absolument pas et le refuse obstinément. Et le déchu pense bien à tort que Dieu va le prendre et l’accepter sans rien changer en lui.
Pourtant, dans les images de ses paraboles Jésus évoque « l’habit des Noces » de l’Agneau. Cet habit suggère un apport vestimentaire soit, un changement de la personnalité de l’élu, et ce changement est dû à sa rencontre avec Jésus-Christ. L’enseignement de Dieu repose sur des images comparatives. De même qu’un vêtement vient recouvrir notre corps, notre méchante nature doit être recouverte par une bonne nature présentée en modèle dans le caractère de Jésus-Christ. L’habit de noces n’est pas seulement théorique car il prend une forme pratique bien réelle, l’aspect d’une vie qui ne pèche plus par amour pour Dieu en Jésus-Christ. C’est ce fruit que la vraie rencontre avec Dieu porte dans l’enseignement de Paul qu’il nomme « l’affection de l’esprit » en opposition à « l’affection de la chair » dans Romains 8:6 : « Et l'affection de la chair, c'est la mort, tandis que l'affection de l'esprit, c'est la vie et la paix ; »
Que signifie « l’affection de l’esprit » ? C’est l’affection tournée vers la moralité divine proposée dans notre esprit par le Dieu Esprit. L’être humain peut favoriser la chair comme il peut à l’opposé choisir de favoriser l’esprit et il trouve en son esprit les pensées que Dieu y place quand il est reconnu par lui.
Ce sujet est si important que je propose ce développement de Romains 8 :
Verset 1 : « Il n'y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus Christ. »
J’ajoute, ce que ne précise pas l’apôtre Paul, que dans ce verset ceux qui sont en Jésus-Christ sont uniquement ceux que Jésus-Christ identifie comme étant ses serviteurs, ses disciples fidèles qui luttent contre le péché pour l’abandonner.
Verset 2 : « En effet, la loi de l'esprit de vie en Jésus Christ m'a affranchi de la loi du péché et de la mort. »
L’affranchissement est la mise en liberté soit, la victoire contre le péché vaincu par l’élu par amour de Dieu en Jésus-Christ. Juif et pharisien par ses origines, Paul ne connaissait que la théorie de la loi juive, ou loi de Moïse. Sa rencontre avec Jésus sur le chemin de Damas lui a fait découvrir la puissance réelle de Dieu qui a changé son jugement et ses valeurs. La théorie religieuse a pris une forme pratique réelle basée sur une sincère relation avec le Dieu invisible qui reste « l’Esprit » actif et tout-puissant qui inspire l’esprit humain de ses élus.
La chair et l’esprit sont mis en opposition absolue car leur fruit final est opposé dans l’absolu : la mort ou la vie de l’être humain concerné.
La venue sur terre de Jésus-Christ a transformé la vie religieuse. Dans l’ancienne alliance, les hommes parlent de Dieu et citent ses paroles. Après Jésus-Christ, ses rachetés élus qu’il reconnaît, bénéficient d’une relation directe intime intérieure vécue en esprit. Cette relation établie entre l’esprit de l’élu et l’Esprit de Dieu constitue la base de la vie éternelle, car au retour du Christ, seuls les corps physiques des élus sont changés et remplacés par des corps célestes incorruptibles.
Verset 3 : « Car, chose impossible à la loi, parce que la chair la rendait sans force, Dieu a condamné le péché dans la chair, en envoyant, à cause du péché, son propre Fils dans une chair semblable à celle du péché, »
Un texte écrit n’a aucune force pour s’imposer à l’esprit de celui qui le lit. Et c’était sur ce principe de simple lecture que les Hébreux de l’ancienne alliance vivaient leur religion. La loi interdisait des choses et en imposait d’autres mais l’esprit humain était dominé par la loi naturelle de la chair. Les plus fidèles tenaient compte des ordres divins mais la culpabilité du péché originel restait sur eux, et ce péché originel était déjà, un péché commis par un désir charnel comestible : l’envie de manger le fruit interdit par Dieu. La mort dite naturelle qui frappe tous les êtres humains et les animaux n’a en réalité rien de naturel. Dans le programme que Dieu a fixé, la norme est la vie éternelle parce qu’il est lui-même éternel. Notre mort dite naturelle ne fait en réalité que rappeler la perte de la vie éternelle originelle. La conception humaine qui donne à la mort cette norme naturelle ne fait que confirmer sa rupture de relation avec Dieu. Dans bien des domaines, l’homme s’est adapté aux malheurs divins qui le frappent et il donne à ces choses une valeur naturelle injustifiée par Dieu. Sont ainsi concernées, la mort, les cataclysmes, les catastrophes, toutes choses dites « naturelles ».
Paul explique pourquoi Dieu a dû prendre une apparence terrestre en Jésus-Christ. Le péché originel étant imputé à la chair humaine, en Jésus-Christ Dieu se fait chair pour expier la culpabilité de la chair ; mais uniquement au bénéfice de ses vrais élus.
Verset 4 : « et cela afin que la justice de la loi fût accomplie en nous, qui marchons, non selon la chair, mais selon l'esprit. »
Quand il dit « nous », Paul évoque les vrais élus qui marchent dans le respect de la loi divine que l’Esprit divin inspire à leur esprit humain au nom de Jésus-Christ. La justice de la loi exigeait la punition des coupables et Jésus s’est présenté pour expier leur faute à leur place. La loi étant satisfaite, Jésus peut sauver ses rachetés élus, en les aidant à vaincre leur faiblesse charnelle. Ce principe confirme encore son message : « sans moi vous ne pouvez rien faire ».
La vie moderne rend difficile la compréhension du principe, mais au temps de l’esclavage, le statut de l’esclave favorisait cette compréhension, car l’esclave appartenait à son maître qui avait sur lui droit de vie et de mort. L’élu racheté type est cet esclave qui renonce à sa liberté pour se donner à son Maître Jésus-Christ, Micaël, YaHWéH. Ce changement de statut volontaire repose sur l’idée que la mort de Jésus-Christ implique la mort de l’élu héritier du péché originel appelé aussi le vieil homme ; or un mort ne peut rien faire si ce n’est que de revivre en statut d’esclave soumis à Jésus-Christ, son Maître qui a été son substitut en tant que victime expiatoire de ses péchés.
Verset 5 : « Ceux, en effet, qui vivent selon la chair, s'affectionnent aux choses de la chair, tandis que ceux qui vivent selon l'esprit s'affectionnent aux choses de l'esprit. »
Dans ce verset et dans ceux qui précèdent le verbe « affectionnent » doit être bien compris comme étant un choix humain libre de toute contrainte. L’affection des choses est la conséquence d’un attrait naturel individuel personnel. L’affection s’entretient et se prolonge par la répétition de l’action. D’une manière individuelle personnelle, chaque créature donne intérêt à des choses différentes très variées mais ayant en commun la satisfaction d’un plaisir agréable. Dans ce verset, Paul oppose ceux qui « trouvent leur plaisir » ou « affectionnent les choses de la chair » à ceux qui « trouvent leur plaisir » ou « affectionnent les choses de l’esprit » soit, l’inspiration divine.
Verset 6 : « Et l'affection de la chair, c'est la mort, tandis que l'affection de l'esprit, c'est la vie et la paix ; »
L’issue finale de ces deux choix opposés dans l’absolu est donc la mort ou bien, la vie et la paix. Mais ces conséquences finales sont aussi permanentes pendant la vie terrestre actuelle. L’affection de la chair engendre des problèmes charnels alors que l’affection des sujets divins procure aux élus la vie dans la paix divine.
Verset 7 : « car l'affection de la chair est inimitié contre Dieu, parce qu'elle ne se soumet pas à la loi de Dieu, et qu'elle ne le peut même pas. »
Ce verset démontre la suprématie de la loi de Dieu qui exige de ses élus qu’ils se soumettent à elle et lui obéissent. Pour ceux qui affectionnent la chair obéir à la loi divine est simplement impossible.
Paul souligne ici le fait que Dieu ne renonce pas à obtenir l’obéissance à ses lois dans la nouvelle alliance chrétienne. Selon l’opposition des contraires absolus, il suggère ici que la loi de l’esprit est aimé par Dieu parce qu’elle se soumet à ses lois.
Verset 8 : « Or ceux qui vivent selon la chair ne sauraient plaire à Dieu. »
Le message de Paul est plus subtil que son apparence suggère, car il oppose en réalité les deux conceptions religieuses de l’ancienne alliance et de la nouvelle alliance. La vie selon la chair concerne la vie de la lettre de la loi divine de l’ancienne alliance. Et Paul lui oppose la vie des rachetés élus chrétiens inspirée par l’esprit de Jésus-Christ.
En refusant la relation directe avec l’Esprit de Dieu, relation rendue possible en Jésus-Christ, les Juifs charnels ne pouvaient plus lui plaire et il ne pouvait que rompre son alliance établie avec leurs ancêtres, les patriarches et Moïse.
Verset 8 : « Pour vous, vous ne vivez pas selon la chair, mais selon l'esprit, si du moins l'Esprit de Dieu habite en vous. Si quelqu'un n'a pas l'Esprit de Christ, il ne lui appartient pas. »
Ce verset dénonce la fausse foi en confirmant que dans la vraie foi, l’Esprit de Dieu habite en ses élus rachetés. Or, si Dieu est présent, son fruit qui est l’obéissance à ses lois l’est aussi ; et ainsi quiconque méprise l’obéissance à sa loi prouve que l’Esprit de Dieu n’habite pas en lui. Et dans ce tragique cas, il ne lui appartient pas. Ce verset condamne ainsi depuis 1843, tous les Chrétiens observateurs du repos du dimanche romain instauré par Constantin 1er le 7 Mars 321. La condamnation divine sera rendue apparente seulement quand la loi rendant obligatoire le repos du dimanche interdira, aussi, le repos du sabbat sous peine progressive de « boycott commercial et social » et finalement, de mort. Mais la sentence de Dieu n’attend pas cette confirmation pour être activée ; elle est en vigueur depuis 1843 par le décret de Daniel 8:14. Et Dieu nous en donne la preuve, en ayant conduit les coupables catholiques et protestants à s’unir officiellement dans leur alliance « œcuménique » proposée par la religion catholique soumise à ses chefs terrestres successifs, les papes. A propos des papes, je rappelle que le premier pape de l’histoire imposé comme chef de l’église catholique romaine ne fut pas l’apôtre Pierre qui n’a eu en commun avec Rome que le fait d’y mourir en martyr sur les ordres du sanguinaire et démoniaque empereur Néron. Non, le premier pape fut imposé par l’empereur Justinien et il ne fut pas élu comme ses successeurs, mais imposé par l’empereur ; ce qui révèle la vraie nature de ce titre et de ses pouvoirs temporels. Le premier pape avait pour nom Vigile, et c’est par l’intrigue et sa relation avec la danseuse prostituée nommée Théodora, épousée par l’empereur Justinien 1er, qu’il obtint cette nomination. Son règne papal commença réellement en l’année 538, car il dut attendre depuis 533, année de sa nomination, l’année 538 où le général Bélisaire chassa les Ostrogoths qui occupaient Rome. Ainsi, l’association de Vigile et Justinien restaurait l’ancien pouvoir des empereurs romains, à la fois, chefs religieux et chefs civils au titre de « Souverain Pontife » soit, en latin, « Pontifex Maximus ». La Rome païenne impériale, affaiblie et disparue vers 395, s’est ainsi succédé à elle-même, en mettant en œuvre le régime papal en 538. Ce relai du pouvoir païen romain est suggéré par Dieu dans sa prophétie de Daniel 7 et 8 dans lesquels le même symbole « petite corne » désigne successivement dans Daniel 7, le régime papal, et dans Daniel 8, la Rome républicaine en croissance vers son statut impérial.
Le jugement des masses humaines sur Rome est faussé à cause de son étiquette chrétienne ; car il s’agit bien d’une simple étiquette collée sur un produit diabolique sulfureux. Pour satisfaire Dieu et lui plaire, il ne suffit pas de se réclamer de lui en invoquant ses divers noms, souvent d’ailleurs recomposé et transformés par les faux adeptes. « l’Eternel, Jéhovah », sont de ce nombre. Et je le rappelle, Dieu ne permet pas à ses créatures qu’elles lui imposent un nom, car c’est sa prérogative divine qui l’interdit. C’est le supérieur qui attribue un nom à l’inférieur. Nous lisons dans Genèse 2:19 : « YaHWéH Dieu forma de la terre tous les animaux des champs et tous les oiseaux du ciel, et il les fit venir vers l'homme, pour voir comment il les appellerait, et afin que tout être vivant portât le nom que lui donnerait l'homme. » Je relève que « l’homme », image prophétique du Christ donne des noms aux créatures qui lui sont inférieures avant que Dieu forme de sa côte, son « aide » féminine. Il incarne à ce moment la parfaite image de Dieu. Et signe de sa supériorité et de son autorité, selon le verset 23, l’homme donne le nom « femme » à l’« aide » formée. En hébreu, « isch », l’homme, nomme « ischa », la femme : « Et l'homme dit : Voici cette fois celle qui est os de mes os et chair de ma chair ! On l'appellera femme, parce qu'elle a été prise de l'homme. » La « femme » va « aider » « l’homme » à procréer et à multiplier sa descendance, de même que, l’assemblée des élus, « l’Elue », épouse du Christ, « aide » son divin et humain « Epoux » à augmenter la croissance en nombre de ses rachetés qu’il sélectionne divinement. L’Esprit dit au verset 24 : « C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère, et s'attachera à sa femme, et ils deviendront une seule chair. » Ces paroles soulignent un double message : l’image de devenir « une seule chair » prophétise le but final que Dieu obtiendra à la fin des épreuves programmées pour 6000 ans. Mais en même temps, cette union charnelle de l’homme et de la femme a pour conséquence une rupture de relation privilégiée avec le père et la mère. Ne faisant « qu’une seule chair », Adam et Eve s’unissent pour le pire, pas pour le meilleur, puisqu’ensemble, ils vont pécher et rompre le lien de bénédiction qui les relie au divin Père.
Dans la prophétie Apocalypse, « la femme » désigne « l’Elue » du Christ, mais sa concurrente, son ennemie mortelle, est aussi une « femme », mais une prostituée nommée « Babylone la Grande ». Cette image de « prostituée » est conforme à la réalité historique, puisque le régime papal doit son existence à « la prostituée » nommée Théodora, la femme épousée par l’empereur oriental de l’empire romain, nommé Justinien. L’intrigant Vigile et l’empereur Justinien sont les deux victimes séduites par la prostituée Théodora, la séduisante manipulatrice. Ces faits sont conformes à l’avenir spirituel de la religion catholique prétendue chrétienne qu’ils prophétisent. Il n’est donc pas étonnant que dans ce moment entre 533 et 538, Dieu a fait entrer successivement en éruption deux très grands volcans qui ont « enténébré » l’atmosphère terrestre, ce qui a provoqué un froid anormal mortel et des épidémies dévastatrices sur une grande partie de la terre ; les deux volcans étant situés sur l’Equateur, l’un en Indonésie, l’autre au Salvador en Amérique centrale.
La séduction du catholicisme romain repose sur son adoration des personnages concernés dans l’incarnation de Jésus-Christ. Mais les honneurs rendus à ces créatures que furent Marie, Joseph et les apôtres du Christ, et autres saints du catholicisme, prennent la forme de l’adoration ; ce qui transforme une église chrétienne en assemblée païenne idolâtre.
Le temps actuel confirme les paroles de Jésus disant « sans moi, vous ne pouvez rien faire ». Comment comprendre, en effet, la vérité que Dieu bénit et qu’il bénit uniquement ? L’aspect religieux occidental est confus et cette confusion atteint des sommets à cause de la représentation de toutes les religions du monde venues dans cet Occident séduisant, riche et prospère. Dans ce mélange nauséabond, la religion chrétienne est engluée, affaiblie, presque noyée dans la masse des populations. Cette confusion a été favorisé par le temps favorable aux échanges mondiaux, mais ce mondialisme n’a fait que préparer la ruine de peuples que la colère de Dieu va livrer à leurs féroces ennemis du « septentrion et du midi ». Comment identifier l’ennemi sans Jésus-Christ ? Impossible de le faire sinon en trouvant les réponses de Dieu dans ses prophéties de Daniel et Apocalypse. Ces deux livres prophétiques incarnent l’image de la vraie foi qui prend en compte les enseignements complets de la sainte Bible, l’ancien et le nouveau témoignage de Dieu. Le premier verset d’Apocalypse 1, donne sens en les confirmant, aux paroles de Jésus : « Sans moi vous ne pouvez rien faire », car l’Esprit dit : « Révélation de Jésus-Christ, que Dieu lui a donnée, pour montrer à ses esclaves, les choses qui vont arriver bientôt et qu’il a fait connaître, par l’envoi de son ange, à son esclave Jean, … ».
Si, seule, la prophétie divine permet de comprendre le sens de la vie actuelle et de trouver le chemin de la vérité, le mépris qui lui est témoigné, par les prétendus chrétiens des divers dénominations et groupes jusque dans sa dernière institution bénie, confirme ces paroles consternantes dites par Jésus-Christ dans Luc 18:8 : « …Mais, quand le Fils de l'homme viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? » Cette question posée par Jésus-Christ, ne serait-elle pas aussi sa réponse ?
Alors si telle est la situation pour les croyants, qu’en est-il des incroyants et des incrédules séduits par la science moderne et ses prodiges techniques ? Tous se trompent au sujet des valeurs et des raisonnements à tenir. Ils ont inversé les normes établies et recommandées par Dieu au point qu’ils appellent « bien » ce que Dieu nomme « mal » et « mal » ce que Dieu nomme « bien », confirmant ainsi la malédiction divine qui pèse sur leurs têtes, selon Esaïe 5:20 : « Malheur à ceux qui appellent le mal bien, et le bien mal, qui changent les ténèbres en lumière, et la lumière en ténèbres, qui changent l'amertume en douceur, et la douceur en amertume ! »
M36- Ce Dieu qui ne change pas
Et oui, contrairement à toutes les fausses divinités inventées par ses créatures démoniaques célestes et terrestres, le vrai Dieu, lui, ne change vraiment pas ; il représente la stabilité la plus parfaite imaginable, mais bien réelle. Au contraire de lui, et heureusement pour nous, nous, ses créatures, nous avons été créées par lui dotés de la faculté de pouvoir changer en toute chose : aspect physique, gros ou mince, carnivore ou végétarien, opinion religieuse, opinion politique. Cette possibilité de changer nous a été donnée par Dieu parce qu’il nous a réellement créées libres. Mais aussi parce qu’étant imparfaites, nous, ses créatures, nous avons besoin d’obtenir de lui le changement nécessaire pour lui ressembler ; ceci parce qu’il représente le modèle de la perfection universelle que ses élus doivent reconstruire dans leur vie avec son soutien.
La stabilité est à la base de la fidélité et du repos de l’esprit et de la santé du corps entier. A l’inverse, l’instabilité est la cause des difficultés relationnelles des êtres humains entre eux. Alors que les rachetés élus progressent dans la stabilité et la fidélité envers Dieu, les autres hommes et femmes terrestres et les anges rebelles célestes restent versatiles et inconstants. Comme les nuages poussés par le vent ou le navire en perdition dans un océan démonté tumultueux, ils n’ont pas d’ancre pour se fixer et trouver l’équilibre mental. Celui qui marche avec Dieu découvre l’existence d’un repos de l’esprit qui n’est disponible qu’en lui.
Cette prise de conscience, cette découverte du Dieu reposant, est ignorée par les faux chrétiens et les faux croyants monothéistes ou polythéistes. Les démons qui les séduisent, sans qu’ils en soient conscients, ne peuvent leur faire partager que leur agressive imperfection et c’est ainsi que les anges rebelles et les humains rebelles partagent la même réprobation divine et la même condamnation qui les conduira à subir le même châtiment final.
Les créatures de Dieu qui n’ont pas l’amour de sa vérité et ne sont pas habitées par son Esprit se ressemblent et partagent cette particularité de n’entendre que ce qui leur est agréable. De même que l’abeille se porte vers la fleur pour extraire son pollen et la mouche vers le sucre et l’acidité, ces gens choisissent dans la vie tout ce qu’ils aiment avec passion, et méprisent tout le reste. C’est ce comportement qui est à la base de l’aspect pris par nos sociétés occidentales. Et le résultat de ce comportement apparaît dans le principe de la spécialisation des métiers et des diverses activités de la vie terrestre. Or, cette spécialisation forme des gens hautement performants, mais uniquement dans le domaine de leur spécialité, car pour tous les autres sujets, ils se montrent aussi ignorants et aussi stupides que les gens de basse condition. Comme les chevaux auxquels Dieu les compare symboliquement dans Apocalypse 6 et 9, ils ont des œillères, et se montrent incapables de juger des choses concernant de multiples domaines de la vie humaine. Et bien sûr, leur carence la plus nuisible est leur mépris pour le sujet religieux ; ceci tout particulièrement dans mon pays, la France.
Je propose cet exemple. En France, l’Etat donne la même valeur à toutes les religions. Pour nos hommes et femmes politiques, christianisme, islam et judaïsme sont semblables. Aussi vais-je me permettre de rappeler ces quelques différences notables.
Dans la religion chrétienne, le Dieu créateur veut conduire ses rachetés vers la perfection du caractère, vers la pureté parfaite, et la fidélité dans l’obéissance à ses commandements et ses ordonnances sanitaires et morales. Pour gagner le cœur de ses élus, ce Dieu créateur s’est dédoublé et il a pris forme charnelle en Jésus-Christ. Pour achever son ministère terrestre, Dieu a offert en sacrifice sa vie en Jésus-Christ qui a été crucifié par les soldats romains le 3 Avril 30 de notre calendrier romain. Après trois jours de 24 heures, il est apparu vivant, s’étant ressuscité comme il l’avait annoncé à ses apôtres avant de donner sa vie. Il a ainsi pu expliquer en détail, le sens de son sacrifice expiatoire pour les péchés de ses rachetés élus. Ils ont bénéficié alors du pardon de Dieu et leur foi sincère est récompensée par l’octroi divin de la vie éternelle. La part de Dieu au salut des élus a été ainsi accomplie et Dieu offre à tout homme intelligent de bénéficier de son offre de pardon, quelle que soit sa couleur, sa race, son origine, ou son héritage religieux naturel. Dieu appelle à son salut tout homme prêt à remettre en cause ses faux préjugés et son héritage religieux national traditionnel. C’est là que la faculté de changer devient pour l’homme pécheur, précieuse et vitale.
Que propose pour sa part, l’islam ? Logiquement, rien de ce qui vient d’être dit au sujet du christianisme avec lequel il partage uniquement la croyance en un Dieu unique. Son pardon n’exige rien de particulier si ce n’est la fidèle pratique journalière des cinq prières, et l’observation des cinq piliers de l’islam, parmi lesquels, le pèlerinage à la Mecque, obligatoire une fois dans la vie. Et pour ne pas allonger de trop sa description, je retiens uniquement ce détail qui à lui seul, confirme l’incompatibilité des deux religions et la preuve que leur instauration sont dues à deux divinités différentes ; ce qui contredit la prétention à la religion monothéiste par l’islam. Dans l’islam, le zèle des hommes repose sur la promesse de Mahomet qu’ils trouveront dans le paradis de Dieu soixante-douze jeunes femmes éternellement vierges. Voici donc une motivation qui contraste particulièrement avec la pureté parfaite exigée par le Dieu unique du christianisme et du judaïsme qui l’a précédé et préparé. Ce détail délivre un message pour «ceux qui ont des oreilles » placées à l’écoute du vrai Dieu : l’instauration du régime papal de Rome précède en 538 dans le même VIème siècle, la naissance de Mahomet, et son instauration de l’islam à partir de 610. Ce VIème siècle prend donc un aspect particulièrement nuisible pour l’humanité entière. Dans le code divin biblique, le chiffre 6 est le symbole de l’ange placé entre le 7 de Dieu et le 5 de l’homme. Et le premier ange créé est devenu après sa rébellion contre Dieu et ses valeurs, Satan le diable, le calomniateur et l’ennemi des élus et de Jésus-Christ.
Je rappelle cette expérience vécue en Egypte par Moïse et Aaron. Devant les magiciens du pharaon, le bâton d’Aaron fut changé en serpent. Voyant cela, les magiciens obtinrent l’apparition de deux serpents, mais ils furent vite épouvantés en voyant le serpent d’Aaron avaler les deux serpents des magiciens. De même, en la veille de la Pâque juive, Dieu a suscité la religion chrétienne et sa vérité biblique apostolique. Ensuite au VIème siècle, le diable organise deux religions agressives ennemies du vrai christianisme et ennemies entre elles. Et Jésus-Christ les détruit l’une après l’autre, « au temps de la fin » marqué par la « sixième trompette » qui précède son retour en gloire fixé au jour du printemps 2030.
Et que dire du Judaïsme ? Il représente la perfection de la lettre divine, dans le sens où Dieu parle à Moïse directement et dirige son organisation de son peuple Israël. Le Judaïsme est la base de tout l’enseignement religieux prescrit par Dieu. Son problème n’est pas son enseignement, mais le comportement des Juifs enseignés. C’est celui de gens rebelles qu’au titre d’échantillon de l’humanité globale, l’Israël national charnel représente. Son comportement prophétise donc celui de l’humanité entière. Son rejet du Christ sera imité jusqu’à son retour divin glorieux par le reste de l’humanité incroyante ou incrédule.
La conséquence de ne s’intéresser qu’à ce qu’ils aiment, conduit les faux chrétiens à imputer au Dieu créateur uniquement les normes de caractère qu’ils apprécient personnellement. En tête du palmarès, viennent l’amour, le pardon, la compassion. Le problème de ces gens est qu’ils se construisent eux-mêmes, le Dieu créateur qu’il désire et peuvent apprécier ; ce qui revient à construire une idole au dépens du vrai Dieu. Car s’il est vrai que Dieu a sublimé en Jésus-Christ l’amour, le pardon, et la compassion, il est tout aussi vrai et nécessaire de retenir que son sacrifice répond à une nécessité imposée par son sens de la parfaite justice.
En fait, l’homme superficiel est trompé par le caractère évident et apparent des deux alliances volontairement séparées par Dieu. Dans l’ancienne, Dieu se révèle en Dieu de la justice, établissant ses règles et ses lois, et à l’opposé, dans la nouvelle, il met le comble à son amour en le présentant à un peuple formé par sa précédente alliance. De la sorte, le Juif de l’Israël charnel découvre Dieu sous ses deux aspects justice et amour. Et le résultat de cette préparation de l’ancienne alliance est la fidélité des apôtres choisis par Jésus.
A y regarder de plus près, les deux aspects complémentaires, justice et amour de Dieu sont rendus perceptibles dès la sortie d’Egypte ; ceci, par l’aspect de la colonne de feu que Dieu se donne pour bloquer l’armée de pharaon, et la nuée qu’il présente du côté où se tient son peuple Israël. Dès cette image, le lecteur de la Bible est tenu responsable pour son ignorance des aspects justice et amour du Dieu créateur. Et ces valeurs sont vraiment complémentaires et non opposées comme en témoigne sa délivrance d’Israël de l’esclavage égyptien. Cette démarche est autant justifiée par son amour que son sens parfait de la justice.
Nous pouvons ainsi comprendre que la séparation des œuvres des deux alliances a nui aux croyants superficiels des deux alliances. Dans l’ancienne, le cœur humain méchant n’a pas vu l’amour du sacrifice de Jésus-Christ, et il n’a vu que la redoutable puissance du Dieu créateur. A l’opposé, dans la nouvelle alliance, le même homme superficiel ne voit que l’amour de Dieu dont il profite et abuse, parce qu’il n’a pas vécu les scènes terrifiantes de l’ancienne alliance.
Le Dieu créateur est ainsi capable du meilleur et du pire selon que sa justice parfaite l’exige. Et il a constamment agi ainsi tout au long de l’histoire terrestre. Sa première démarche révèle à Adam et Eve son amour qu’il prouve en les plaçant dans le jardin de l’Eden, le jardin des délices. Puis à cause du péché, il les en chasse et les frappe de mort et de terribles malédictions. Puis il revient présenter son amour et sa compassion, en revêtant leurs corps nus de vêtements de peaux qui prophétisent le sacrifice de Jésus-Christ « l’agneau de Dieu » qui viendra recouvrir leur honte due au péché, en les couvrant par sa justice divine parfaite. Le mal dominant toute l’humanité, le Dieu de justice intervient et ordonne le déluge d’eaux qui noie tous les habitants non entrés dans l’arche de Noé. Et là encore dans cette action, le Dieu amour se révèle à Noé et aux sept personnes qui partagent sa vie dans l’arche. L’histoire d’Abram, renommé Abraham par Dieu, témoigne encore de son amour pour lui et ses serviteurs et aussi de son action justicière dans laquelle il détruit Sodome et Gomorrhe, les villes des pécheurs irréductibles. Après lui, toute l’histoire de l’Israël national n’est qu’une suite de témoignages alternatifs d’amour et de justice, jusqu’à la déportation à Babylone en – 586. Les leçons présentées par l’ancienne alliance sont alors à leur comble. Le retour de la captivité n’enseignera rien de nouveau jusqu’au temps du ministère terrestre de Jésus-Christ.
Dans sa démarche sélective, l’homme superficiel, faussement croyant, attribue les bonnes actions à Dieu et les actions punitives jugées par lui, méchantes, au diable et ses démons. La situation réelle véritable est ainsi déformée car Dieu revendique ouvertement les actions punitives qu’il suscite contre ses ennemis rebelles. La part que Dieu laisse au diable et ses mauvais anges est beaucoup plus réduite que les chrétiens le croient. Le diable n’a que la puissance que Dieu veut bien lui accorder quand son jugement divin le juge nécessaire et utile pour tromper les gens sans foi et sans fidélité. Le diable n’est pas un dieu, mais une simple créature angélique céleste, un condamné à mort sursitaire laissé en liberté dans l’unique dimension terrestre. Avec ses démons aussi rebelles que lui, ils se concentrent sur la terre, là où vivent les uniques êtres vivants humains, les cibles de leurs manigances malfaisantes qu’ils trompent pour exprimer leur haine de Jésus-Christ, travaillant à rendre son offre de salut inefficace et impossible.
Le choix de la spécialisation nuit aux hommes pas seulement sur le plan religieux mais également, pour les mêmes raisons, sur le plan civil et profane.
En France, dans un contexte officiel de liberté, la population s’est laissé absorber par l’offre de la société de consommation. Individuellement chacun se passionne pour une chose ou une autre à laquelle il donne tout son intérêt. Pour certains c’est la chasse, la pêche, le sport, le jeu d’argent, la musique, la consommation de la drogue et encore pour certains pour leur métier, depuis l’ouvrier jusqu’au patron riche et ses actionnaires. Dans le même temps, la vie de tous est confiée à la gestion d’hommes politiques qui souvent ignorent la vie de la population de leur pays et surtout celle des plus pauvres. Seul, le modèle de la démocratie directe évite ce détachement du réel. Et la Suisse est le seul pays qui l’a adopté. En France, la confiance aveugle a été abusée, trompée, escroquée, en sorte que les victimes sont autant abusées et trompées par les hommes politiques qu’elles le sont, quand elles sont croyantes, par leurs enseignants religieux maudits par Dieu. Cette similitude est somme toute logique, puisque « les mêmes causes engendrent les mêmes effets ».
Il m’est difficile de comprendre ce qui se passe dans des têtes qui ne sont pas la mienne, et je ne comprends vraiment pas comment un être humain peut aussi facilement se désintéresser de son propre sort. C’est pour moi un mystère inexplicable. Je suis né dans la foi chrétienne protestante de l’enseignement darbyste et je n’ai jamais pu concevoir la vie sans Dieu. Mon engagement progressif a reposé sur la certitude que les prophéties divines bibliques révélaient des choses mystérieuses très importantes. Et lorsque les premières réponses sont arrivées, l’engouement pour ces études n’a fait que croître. Il a suffi pour Dieu de m’appâter en donnant sens par le problème du sabbat à l’évidente malédiction qui frappe l’ensemble des religions chrétiennes pour que je m’engage à son service par le baptême de Jésus-Christ et l’enseignement de la Bible entière. Mais ce qui a été efficace pour moi, ne l’est pas obligatoirement pour les autres.
Je tiens à témoigner des avantages retirés par cet engagement au service de Dieu. En réponse, mon intelligence a été ouverte et intensifiée, chose profitable à l’analyse des faits mondiaux. Car notre destin se construit chaque jour par des décisions d’hommes politiques situés dans tous les pays de la terre. Les informations mondiales sont traitées continuellement par les journalistes des télévisions spécialisées et tout va très vite, car aujourd’hui cette information est révélée en temps réel. L’intelligence donnée par Dieu est fondamentale et indispensable pour trier entre information et désinformation, car le monde sans Dieu n’a aucun scrupule et les journalistes ont tous des idées personnelles sur les sujets qu’ils traitent. L’objectivité réelle est rare pour cette raison. Et je pense que seul, un serviteur de Dieu peut faire preuve d’objectivité quand il juge des choses sur lesquelles il n’a aucun moyen d’agir et d’imposer son influence.
Ce que je décris là, correspond à ma situation d’homme averti par Dieu du malheur qui vient frapper l’humanité dans un temps imminent, devenu possible chaque jour, depuis le franchissement de la date du 8 Mai 2025. Les tergiversations des belligérants russes et ukrainiens plongent tour à tour le président américain Donald Trump dans l’espérance et la déception au sujet de la paix mondiale qu’il désire imposer et réussir à instaurer. Mais tout ce remue-ménage ne fait que tromper ceux que la prophétie de Daniel 11:40 n’a pas avertis. Le résultat des tentatives actuelles est déjà révélé dans ce message de Daniel. La décision de Dieu est irrévocable et non conditionnelle, la Russie envahira l’Europe occidentale, cible originellement chrétienne privilégiée de la colère du Dieu créateur où il est méprisé et ignoré.
En cette heure décisive, la faculté du changement donnée aux êtres humains par Dieu serait très utile aux élites européennes pour calmer la colère du géant russe. Mais au lieu de cela, quelques dirigeants européens, dont le président français Emmanuel Macron, étant encouragés par l’engagement agressif du nouveau chancelier allemand Mr Merz, s’endurcissent et font monter ensemble l’escalade qui va les conduire à l’affrontement avec la Russie, accomplissant ainsi, ce que Daniel 11:40 prophétise : « Au temps de la fin, le roi du midi se heurtera contre lui. Et le roi du septentrion fondra sur lui comme une tempête, avec des chars et des cavaliers, et avec de nombreux navires ; il s'avancera dans les terres, se répandra comme un torrent et débordera. ». Apparemment, ces grands personnages diplômés et honorés n’ont pas appris que, pour éteindre un feu, on ne jette pas sur lui de l’huile ou de l’essence, mais de l’eau. Et leurs différentes populations ne font pas preuve de plus d’intelligence ; ce qui me rappelle ce principe qui dit que « celui qui est enseigné ne sera jamais au-dessus de celui qui l’enseigne ».
Au-dessus de tout ce tumulte terrestre, dans sa stabilité divine, le « Dieu qui ne change pas » fait accomplir son programme qu’il a fait connaître et révélé à ses serviteurs, les prophètes.
J’ajoute que le mal principal des futures victimes se nomme indifférence, car ils se sont montrés indifférents envers le sort de leur pays quand, renonçant à leur indépendance nationale, leurs dirigeants se sont livrés avec leur population à l’autorité supérieure européenne. L’indifférence les a conduits à négliger des choses qui construisaient leur tragique avenir. Et de la même manière, la superficialité livre l’homme superficiel à l’escroquerie religieuse qui finit dans « l’étang de feu » pour « la seconde mort » d’Apocalypse 20:15 : « Quiconque ne fut pas trouvé écrit dans le livre de vie fut jeté dans l'étang de feu. »
Comment faut-il qualifier des gens qui acceptent d’entrer dans une alliance européenne dans laquelle au titre de pays riches ils vont devoir financer les aides données à des pays pauvres entrants qui vont, par leur concurrence, tuer leur pays économiquement ?
Une opération dentaire qui coûte en France environ 1000 euros est réalisée en Espagne pour 100 Euros. Qu’est-ce donc que cette alliance européenne dont tous les pays membres sont placés sous la même valeur monétaire de l’Euro, mais dont les disparités de niveau de vie sont énormes et favorables uniquement aux pays les plus pauvres ? Il est vrai que cette alliance prend le nom d’Union et que l’union fait la force, mais malheureusement pour ses membres, cette union a surtout favorisé son comportement « arrogant ». L’Union Européenne a donc fait preuve de cette « arrogance » continuelle que Dieu relève et dénonce dans Daniel 7, et Apocalypse 13, chez son instigatrice Rome, la ville prétendue éternelle, cible de toute sa divine juste colère. Et l’heure approche pour son châtiment et celui de ses filles, puisque Dieu dit à son sujet, dans Apocalypse 17:5: « Sur son front était écrit un nom, un mystère : Babylone la grande, la mère des impudiques et des abominations de la terre. ».
M37- Terminator
Qui est ce Terminator que je donne pour titre à ce message ? C’est un état d’esprit partagé par l’humanité rebelle qui avance vers la fin du monde. Nous avons derrière nous 5995 années de comportement rebelle de l’humanité pour laquelle la rébellion est sa seconde nature. Mais le modèle actuel contemporain en constitue l’apogée. L’esprit rebelle est démontré par les successeurs terrestres « d’Adam et Eve » dont leur premier fils nommé « Caïn » ; et Dieu annonce déjà la norme de l’humanité du « temps de la fin » en décrivant le comportement d’un successeur de « Caïn » nommé « Lémec », dans Genèse 4:23-24 : « Lémec dit à ses femmes : Ada et Tsilla, écoutez ma voix ! Femmes de Lémec, écoutez ma parole ! J'ai tué un homme pour ma blessure, et un jeune homme pour ma meurtrissure. Caïn sera vengé sept fois, et Lémec soixante-dix-sept fois. »
Dieu accorde à « Caïn » une preuve de sa divine et exclusive miséricorde, en protégeant sa vie, après l’assassinat de son jeune frère « Abel ». La cause de cette compassion se trouve dans la cause de l’action meurtrière : la jalousie religieuse. Car ce premier meurtre n’est pas du type du droit commun ; « Caïn » n’est pas un tueur né, un homme qui prend plaisir à tuer. Il n’a tué son frère que parce que Dieu a dédaigné son sacrifice, alors qu’il a béni et honoré celui de son frère « Abel ». Et la venue du Christ, et sa mort expiatoire au titre de « l’agneau de Dieu qui ôte les péchés du monde », nous permet de comprendre pourquoi, pour Dieu, l’offrande animalière « d’Abel le berger » était plus appréciable que les fruits et légumes présentés par « Caïn le laboureur ». Le malheureux « Caïn » n’avait pas l’explication et se sentait injustement traité par Dieu. Ne pouvant s’en prendre directement à lui, il a porté sa colère sur son jeune frère privilégié.
Le cas de « Lémec » est très différent de celui de « Caïn ». Il est de nature rebelle, méchant, meurtrier et railleur ; un maître dans la moquerie dirigée contre Dieu. Sa description nous donne une idée de ce qu’à pu devenir, l’humanité détruite par les eaux du déluge universel en 1655 depuis Adam. La méchanceté de l’être humain ne peut pas frapper Dieu physiquement, puisqu’il est Esprit et invisible, et elle se manifeste par la moquerie chez « Lémec » comme chez l’incroyant moqueur du type occidental français actuel. Cette hardiesse s’est construite sur des siècles d’histoire et surtout sur la victoire apparente et momentanée des sans-Dieu révolutionnaires de 1793. Le régime républicain français s’est construit sur la domination spirituelle de la « raison ». Pour ces gens, croire à l’existence d’un Dieu invisible était simplement « irraisonnable ». Et si l’on se fonde uniquement sur le principe visuel, il est difficile de leur prouver qu’ils se trompent. Ce type d’incroyant ne tient compte d’aucun héritage historique et rejette les témoignages du passé. Sa fierté se fonde sur son individualisme et sa liberté qu’il revendique et exploite selon sa seule volonté. L’expérience des autres ne vaut rien pour lui, car il ne considère que sa propre expérience. Notre société occidentale française est aujourd’hui à cette image. Les gens qui la composent ne sont d’accords sur rien, excepté qu’ils se reconnaissent libres et égaux en droits et parfois, en devoirs.
La longue paix établie depuis 1945, a consolidé ces traits de caractère, car dans la paix, l’âme humaine s’enracine et s’endurcit dans sa nature libertaire. La paix favorise le commerce, et le commerce rassasie l’âme envieuse qui convoite, le plaisir, les biens, et la nourriture. Les talents individuels sont doués pour produire toutes ces choses convoitées. Et depuis les années 1843, un développement technique a permit à l’Occident d’imposer sa domination à tous les pays de la terre jusqu’à imposer leur colonisation. Cette phase a été voulue par Dieu pour préparer des rancœurs et des haines inextinguibles qui devaient être et sont réveillées « au temps de la fin » pour venger les humiliations du temps passé. L’exploiteur oublie tout ; l’exploité, lui, n’oublie rien.
La préparation de « Terminator » remonte donc à cette période de 1840 où en Orient, la guerre des Occidentaux a écrasé la domination turque et a marqué le début des grandes colonisations. Dans ces guerres, l’Occident s’est imposé grâce à son armement en fusils, en mitrailleuses et en canons contre lesquels les lances et les flèches des peuples vaincus ne pouvaient que faiblement résister. Disant cela, je pense aux peuples africains particulièrement. Car la Turquie disposait elle-aussi d’armes à feu et la victoire fut obtenue par l’Occident avec plus de victimes dans ses combattants. L’islam fut ainsi momentanément écrasé par les peuples chrétiens occidentaux qui se partagèrent les terres conquises, en Afrique, en Orient et en Asie, jusqu’à l’Extrême-Orient.
Jusqu’à la fin du monde, la supériorité de l’armement va faire le vainqueur. En 1914, la Guerre éclate entre l’Allemagne et la France après une réaction en chaîne provoquée par l’assassinat du Duc d’Autriche à Sarajevo. Les deux armées ont le même type d’équipement militaire, et la conséquence, c’est l’enlisement du conflit sur un front mouvant fixé sur une zone formée de tranchées prises et reprises par les deux camps qui s’affrontaient. Des canons de plus en plus gros envoyaient des obus de charges explosives de plus en plus fortes qui enterraient vivants, dans leurs tranchées, les soldats un moment épargnés par la mitraille de l’ennemi. C’est au cours de cette guerre, que les premiers aéroplanes sont apparus et ont révélé leur gros avantage de survoler le pays de l’ennemi ; le renseignement aérien permettait de viser des cibles stratégiques dont l’emplacement était identifié.
En 1939, l’Allemagne d’Adolf Hitler dispose d’un grand stock d’armement préparé dans le secret. En France, de justesse, victorieuse puisque l’Allemagne fut la première à demander et signer l’armistice avec la France le 11 Novembre 1918, l’armement était resté celui de 1918 et les chefs militaires français étaient très fiers de disposer de leurs petits chars d’assauts construits sur la fin de la première guerre mondiale. Et en 1940, cette fierté injustifiée fut payée par la défaite devant l’Allemagne équipée de chars d’assauts de 30 tonnes et plus qui écrasèrent la forêt des Ardennes pour entrer en France en évitant la ligne fortifiée nommée ligne « Maginot ». En plus, l’Allemagne s’était dotée d’une aviation performante composée d’avions de chasse dont les sirènes terrorisaient les cibles humaines, les terribles « stukas ». Supérieure en tout, l’Allemagne ne pouvait que vaincre la France qui n’avait que peu évolué. L’Angleterre eut la chance d’être une île séparée du continent européen. Et son aviation et ses mythiques « Spitfire » brisèrent l’attaque aérienne de l’Allemagne qui connut ainsi son premier revers militaire. Déjà, à ce moment, les Anglais ont bénéficié de deux facteurs avantageux pour l’époque : Il disposait du « radar » qui repérait la présence de la chasse allemande bien avant qu’elle atteigne l’Angleterre ; un second privilège fut sa capacité à décoder les codes secrets allemands et japonais cryptés par la machine électronique nommée « Enigma ». Mais, l’Allemagne disposait aussi d’une flotte de sous-marins « U-Boot » qui menacèrent longtemps la victoire du camp allié atlantique. Malgré tout son équipement, l’armée allemande va s’épuiser sur de nombreux fronts et se briser sur le front russe, vaincue par le général « Hiver » qui tua, par un froid extrême, 500 000 soldats allemands en décembre 1941 devant Moscou. Le débarquement des alliés en Normandie, a profité du désarmement partiel allemand de ces lieux ; ceci à cause d’une intox organisée par les Alliés. Un cadavre avait été déposé près de la côte espagnole et il était porteur d’une serviette en cuir dans laquelle se trouvaient des documents attestant le projet du débarquement allié en Bretagne. Les services espagnols remirent ce document aux services secrets allemands. Et après quelques hésitations compréhensibles, ils le considérèrent authentique et organisèrent leurs forces armées en conséquence. Le subterfuge marcha parfaitement et les chars du maréchal Rommel n’étaient pas sur le lieu du vrai débarquement. Au début de 1945, sur le front Est, la réorganisation russe repousse les combattants allemands survivants jusqu’à Berlin, où la Russie s’impose en Avril 1945. A cette époque, l’armée américaine est bloquée par le froid hivernal dans les Ardennes, les troupes allemandes résistent encore un peu. Puis, les soldats U.S. ont repris l’offensive jusqu’à Berlin où ils sont arrivés après les Russes.
Parlons un peu de ce général « Hiver » qui a vaincu la grande armée de Napoléon 1er lorsqu’il attaqua, en premier, la Russie. Vaincue par le froid hivernal et la faim, l’armée impériale fut décimée au cours de sa retraite et sa traversée de la Bérézina, fleuve glacé dans lequel beaucoup périrent noyés et gelés, et de plus, constamment harcelés par des résistants russes. Ce général « Hiver » est au service du Dieu créateur et il est parfaitement prévisible. Qui n’en tient pas compte, le fait parce que Dieu l’aveugle momentanément pour préparer sa chute. Car il en est ainsi de toutes les guerres ; c’est Dieu qui les programme et les met en action au moment qu’il choisit pour le faire. Et ayant obtenu l’hécatombe nécessaire, il organise les conditions de l’arrêt de la guerre ; ceci jusqu’à la prochaine.
Il ressort de cette deuxième guerre mondiale, la naissance d’une nation puissante qui vient de découvrir son impressionnante capacité militaire et sa production industrielle dopée par sa production d’armes, d’avions, de navires, de sous-marins et de toute chose utile ou inutile. Car l’Amérique de la société de consommation vient de naître avec son espérance de domination hégémonique universelle. La chenille est devenue un papillon aux ailes déployées prête à accomplir les désirs de son père spirituel, « le prince de la puissance de l’air » qui voit en elle, le destin d’une nouvelle Rome qui imposera sa domination à toute chair et esprit humain.
La seconde Guerre Mondiale s’est achevée comme elle a commencé, par l’incontestable avantage de la supériorité de l’attaque aérienne. Déjà, dans la guerre du général Franco en Espagne, sa victoire fut obtenue par l’intervention des « stukas » allemands qui décimaient les forces communistes internationales. Et en 1945, les terribles bombardements aériens et les cannonades de Berlin ont fait de la ville dominatrice un lieu sinistre de bâtiments en ruine. Comme les Russes, les Anglais ont rendu au double, ce que Londres avait subi de la part des Allemands de 1940 à 1942. L’Allemagne vaincue a été mise en partage par les vainqueurs russes, américains, anglais, et par faveur, la France. Mais pour hériter du titre de première puissance mondiale, le peuple américain a eu recours à l’utilisation de deux bombes atomiques qui ont stoppé net la résistance japonaise. Et là encore, je peux dire que la fin de la Deuxième Guerre Mondiale prophétise la norme de la Troisième qui devait inévitablement lui succéder.
Il est important de le comprendre, pour Dieu, sa « sixième trompette » tient le rôle d’un déluge d’eaux partiel. J’ai longtemps espéré qu’un avertissement solennel serait diffusé pour prévenir les habitants de la terre du drame qui vient les frapper. Mais le temps a passé sans que l’avertissement soit donné. J’en déduis donc, que l’humanité actuelle est à ce point endurcie que Dieu n’estime pas nécessaire de la prévenir de son intention de la détruire. Et je vais donner cette explication. Pour obtenir la délivrance d’Israël, Dieu fait présenter sa demande à Pharaon trois fois auxquelles il répond négativement. Le texte biblique précise alors que « Dieu endurcit le cœur de pharaon » en sorte qu’il allait refuser jusqu’à « la mort de son premier-né » ; sort partagé par tous les premiers-nés des Egyptiens.
En analogie, l’Europe occidentale a été livrée à la guerre deux fois, en 1914 et 1939. Le Troisième message adressé par Dieu est venue sous la forme du virus contagieux Covid-19, puis, sous l’aspect de la guerre que se livrent les Russes et les Ukrainiens ; officiellement depuis le 24 Février 2022. Mais non, car imitant les Pays Baltes déjà membres de l’Union Européenne depuis 2004, les discriminations ukrainiennes envers les ukrainiens d’origine russe ont commencé dès 2013 par le renversement du président russe légitimement élu. Et des persécutions individuelles des résistants russophiles auxquelles seule la Russie à donné de l’importance. Les dirigeants de l’U.E. n’ont retenu de ces faits que l’intervention militaire russe sur le sol de l’Ukraine le 24 Février 2022. La Russie a bel et bien transgressé le droit territorial édité par les Occidentaux, mais elle n’a jamais reconnu ces droits occidentaux et ne retient de l’affaire qu’une trahison ukrainienne qu’il convient de discipliner ou d’anéantir. Ces valeurs défendues par la Russie sont aussi les valeurs que Dieu apprécie, lui qui est victime de la trahison des nations chrétiennes occidentales.
Dans l’histoire humaine ce cas de figure s’est déjà présenté avec la domination impériale de Rome. Dans Daniel 8, Dieu rappelle les trois phases successives de la croissance de cette petite ville de la péninsule italienne qui a fini par diriger son empire couvrant toutes les côtes de la mer Méditerrannée et au-delà, au Nord et à l’Est. Or, en notre époque, derrière le voile de l’U.E. c’est encore elle qui dirige les esprits des décideurs politiques occidentaux. Sans être pour autant « éternelle », cette ville semble indestructible, puisque tel le phœnix, oiseau mythique, elle renaît de ses cendres pour prolonger sa néfaste domination. La guerre de l’Ukraine dure déjà depuis trois ans complets et par elle, Dieu vient de donner à l’Europe la possibilité de choisir son destin en prenant parti pour l’Ukraine ou la Russie : elle a choisi l’Ukraine et le clame très haut et très fort ce qui confirme son engagement cobelligérant associé à sa guerre. En effet, les vendeurs non-cobelligérants agissent en commerçants prêts à vendre des armes aux deux camps s’ils sont demandeurs. Or, l’U.E. ne cache pas sa haine ressentie envers la Russie et son président très particulier. En 1990, le peuple russe s’est trouvé sans chef livré à l’anarchie et aux oligarques russes peu scrupuleux. Cette dure épreuve justifie sa préférence pour la prolongation d’une autorité stable et efficace. Sur ces points, Vladimir Poutine les satisfait, n’en déplaise à nos rebelles Européens occidentaux. L’Ukraine, ex-grenier à blé de la Russie soviétique était un pays de l’Est, un pays slave comme la Russie et ses autres républiques actuelles. Et voilà que depuis le 24 Février 2022, pour les Occidentaux, l’Ukraine est devenue une terre occidentale que les « méchants » russes privent de sa liberté nationale. Ainsi, l’Occident a sa lecture très personnelle des faits accomplis. Il a fait son choix en fonction de ses propres valeurs, lois et règles. Dieu n’attendait que ça, son instrument de séduction a rempli son rôle et l’Occident qu’il a maudit est tombé sous cette séduction. Dès lors, compromis envers la Russie pour défendre la cause de son alliée l’Ukraine. Il ne reste à Dieu désormais plus qu’à livrer l’Europe à la Russie animée du désir de venger ses morts tués par des armes occidentales perfectionnées et très précises.
L’avertissement religieux ne viendra pas, parce que l’Occident jouit de la liberté religieuse qui autorise quiconque le désire à recevoir dans son esprit l’enseignement de Dieu écrit dans sa sainte Bible, disponible et parfois offerte, rédigée et traduite en de multiples langues étrangères.
Notre époque est semblable à celle de Noé, il n’est écrit nulle part que Noé lançait des appels vers ses contemporains rebelles. La Bible nous révèle seulement le choix que Dieu fit parmi les antédiluviens et qui le conduisit à faire une alliance spécifique personnelle avec Noé. A la place des prédications devenues inutiles, Noé avertissait son entourage par sa construction d’un bateau gigantesque au milieu des terres, loin de la mer la plus proche. Et au lieu de tirer profit de son intime conviction confirmée par son action, les gens rebelles se moquaient de lui, le prenant pour un fou, un insensé, privé de sa raison.
J’ai déjà témoigné, en rappelant l’expérience de mes 5 conférences prophétiques présentées à Valence sur Rhône, dans une salle louée à un hôtel local. Après élimination des 25 premiers curieux et de gens qui ne ratent pas une occasion pour débattre publiquement pour s’offrir l’occasion d’exposer leurs propres idées, ce qui fut le cas pour la première présentation, lors de la présentation suivante 8 personnes seulement se sont présentées. Et j’ai tout de suite établi le rapport avec les 8 personnes entrées dans l’arche construite par Noé et ses fils. J’en ai conçu un message ayant pour titre : « Il en sera comme au temps de Noé ».
En effet au temps de l’esprit « Terminator », aucun bateau n’est nécessaire car aucun déluge d’eaux n’est programmé par Dieu. Par contre, l’apôtre Pierre prophétise un déluge de feu dans 2 Pierre 3:7. Ce message nous est particulièrement adressé ; ceci, au point de justifier son étude verset par verset du verset 1 au verset 8 :
V.1 : « Voici déjà, bien-aimés, la seconde lettre que je vous écris. Dans l'une et dans l'autre je cherche à éveiller par des avertissements votre saine intelligence, »
Et selon la volonté de Dieu ses serviteurs « intelligents » du « temps de la fin » vont le relever, parce qu’ils se sentent directement et personnellement concernés.
V.2 : « afin que vous vous souveniez des choses annoncées d'avance par les saints prophètes, et du commandement du Seigneur et Sauveur, »
La foi invite les élus « à se souvenir » des témoignages écrits dans la sainte Bible. De même, dans le décalogue, le quatrième commandement de Dieu concernant le repos du septième jour ou sabbat commence ainsi : « Souviens-toi du jour du repos pour le sanctifier… »
V.3 : « enseigné par vos apôtres, sachant avant tout que, dans les derniers jours, il viendra des moqueurs avec leurs railleries, marchant selon leurs propres convoitises, »
Nous voici, dans ces derniers jours entourés, en effet, de multitudes de gens « moqueurs et railleurs » qui « marchent dans la vie selon leurs propres convoitises » et se passionnent pour leurs idoles du cinéma, du sport ou de la musique ; les nouvelles idoles adorées et servies dans la société occidentale.
Rappel : Quand les disciples de Jésus pleuraient au pied de sa croix, ses ennemis se moquaient de lui, l’invitant à se sauver lui-même puisqu’il se prétendait être le Sauveur des hommes.
V.4 : « et disant : Où est la promesse de son avènement ? Car, depuis que les pères sont morts, tout demeure comme dès le commencement de la création. »
Ces propos étaient déjà tenus par les incrédules de la nation juive qui justifiaient la mort de Jésus-Christ en lequel ils ne voyaient qu’un homme, donc, pour eux, un usurpateur. Ils attendaient bien l’avènement de Dieu mais sous la forme puissante divine qu’il prenait au mont Sinaï. Ils n’avaient aucune conscience du problème du péché que le sang animal était incapable d’expier à cause du fait que l’homme a été créé par Dieu à son image, ce qui n’est pas le cas des animaux, même ceux qui sont classés « purs » par Dieu.
Les moqueurs actuels reprennent ces arguments les jugeant encore plus justifiés après deux mille ans de religion chrétienne.
V.5 : « Ils veulent ignorer, en effet, que des cieux existèrent autrefois par la parole de Dieu, de même qu'une terre tirée de l'eau et formée au moyen de l'eau, »
L’Esprit qui inspire les paroles tenues par Pierre présente bien l’ignorance comme un choix humain qui les culpabilise : « ils veulent ignorer ». Pour un esprit humain rationnel et incrédule, croire au miracle est très difficile sinon impossible. En effet la réalité de Dieu ne donne aucune place à l’argument rationnel. La croyance au vrai Dieu créateur exige d’accepter l’idée de l’illimité car tout ce qui reste impossible pour un homme reste possible pour Dieu créateur des normes du possible et de l’impossible. Dans notre vie terrestre, l’eau est indispensable étant même à l’origine de la dimension terrestre, le premier élément créé par Dieu. L’argile du potier ne peut être travaillée que par sa teneur en eau qui lui donne sa souplesse et sa nature pâteuse modelable.
V.6 : « et que par ces choses le monde d'alors périt, submergé par l'eau, »
Les vies des antédiluviens rebelles et pécheresses sont dissoutes dans l’eau l’élément de la vie dans laquelle ils ont été créés par Dieu. Par cette action du déluge, Dieu renvoie les vies inutiles dans l’élément d’où elles sont sorties.
V.7 : « tandis que, par la même parole, les cieux et la terre d'à présent sont gardés et réservés pour le feu, pour le jour du jugement et de la ruine des hommes impies. »
Dieu a fait promesse à Noé de ne jamais plus détruite la vie terrestre par le moyen du déluge d’eaux. Mais ce verset nous apprend qu’après les eaux, le feu viendra couvrir la terre. L’étude d’Apocalypse 20 permet de situer cette action rattachée au jugement dernier, pour la fin du septième millénaire où le magma en fusion souterrain viendra recouvrir toute la surface de la terre, détruisant ainsi les mers et les océans actuels. Il s’agit là du processus qui détruira les hommes impies au jour du jugement dernier.
Mais avant ce temps du jugement dernier, le feu va tenir un grand rôle destructeur dans la Troisième Guerre Mondiale qui précède le retour final glorieux de notre Seigneur Jésus-Christ. Le feu est cité plusieurs fois dans le thème de la « sixième trompette » qui la prophétise dans Apocalypse 9:17 : « Et ainsi je vis les chevaux dans la vision, et ceux qui les montaient, ayant des cuirasses couleur de feu, d'hyacinthe, et de soufre. Les têtes des chevaux étaient comme des têtes de lions; et de leurs bouches il sortait du feu, de la fumée, et du soufre. » Le verset 18 suivant confirme avec insistance : « Le tiers des hommes fut tué par ces trois fléaux, par le feu, par la fumée, et par le soufre, qui sortaient de leurs bouches. » Des « bouches » humaines dirigeantes sortent des ordres que les subordonnés mettent en œuvres. Dans ce verset, « le feu » prophétise la destruction ; « la fumée » est l’image prophétique des prières religieuses adressées à Dieu mais reçues par le diable ; et « le soufre » évoque le magma souterrain des volcans, mais aussi le feu nucléaire qui porte la matière au même degré de fusion que le magma terrestre. Le mystère de cette « sixième trompette » concerne cet usage du feu nucléaire, c’est ce qui fait d’elle, un événement exceptionnel prophétisé par Dieu par ce symbole de « sixième trompette ». Le chiffre « 6 » est lui-même symbolique de l’ange céleste dont le premier créé par Dieu fut l’actuel Satan, le diable.
V.8 : « Mais il est une chose, bien-aimés, que vous ne devez pas ignorer, c'est que, devant le Seigneur, un jour est comme mille ans, et mille ans sont comme un jour. »
Pierre était loin de se douter que sa formule allait constituer une clé prophétique uniquement utile aux derniers vrais adventistes servant Dieu en Jésus-Christ. Cette clé confirme l’analogie des sept jours de la semaine avec les sept mille ans du projet global préparé par Dieu.
V.9 : « Le Seigneur ne tarde pas dans l'accomplissement de la promesse, comme quelques-uns le croient ; mais il use de patience envers vous, ne voulant pas qu'aucun périsse, mais voulant que tous arrivent à la repentance. »
Cette explication a permis à Pierre d’expliquer l’attente imposée aux élus. Mais son argument ne tient plus depuis la compréhension de la signification symbolique prophétique de la semaine de sept jours. Jésus-Christ ne devait revenir qu’à la fin des 6000 premières années de l’histoire terrestre, et en aucun cas, avant ce moment.
V.10 : « Le jour du Seigneur viendra comme un voleur ; en ce jour, les cieux passeront avec fracas, les éléments embrasés se dissoudront, et la terre avec les œuvres qu'elle renferme sera consumée. »
Jésus confirme cette image du « voleur » dans Apocalypse 3:3 : « Rappelle-toi donc comment tu as reçu et entendu, et garde et repens-toi. Si tu ne veilles pas, je viendrai comme un voleur, et tu ne sauras pas à quelle heure je viendrai sur toi. » Mais ce critère ne concerne que des chrétiens qu’il tient pour « morts » alors qu’ils sont encore « vivants » soit, des chrétiens engagés mais infidèles et rebelles. Ses vrais élus ne sont donc pas concernés et confirmant cette idée ; depuis 2018, il leur a fait connaître la date exacte de sa venue soit, le jour du printemps 2030.
L’idée de venir « comme un voleur » suggère que son retour ne sera pas précédé par des débats et une concertation publique de ce sujet. Ce que confirme, le silence actuel qui le concerne. L’humanité va s’inquiéter de plus en plus, mais pas au sujet du retour de Jésus-Christ, car ces sujets d’inquiétudes sont terrestres et uniquement terrestres : ruine économique, guerre contre la Russie, cohabitation multiethnique problématique, assassinats islamiques ; et ceci, sans oublier son réchauffement climatique constaté sur toute la planète.
Dans 5 ans, Jésus reviendra, inaugurant le premier jour du septième millénaire. Ce jour-là, ses élus rachetés entreront dans la vie céleste éternelle et sur la terre, toute vie humaine et animale vivra ses derniers jours.
Le dernier conflit vécu et animé par l’esprit « terminator » s’accomplit dans un contexte unique très particulier de partage d’information jamais encore égalé jusqu’à lui. La paix qui lui a précédé, a favorisé ces échanges rendus possibles par les inventions des Etats-Unis d’Amérique du Nord ; et en premier le réseau « internet », inventé pour l’usage militaire, puis abandonné au service public. Ce qui en fait l’hameçon d’une démarche guerrière conquérante. En quelques décennies, tous les pays de la terre ont été reliés par ce réseau qui échappe aux frontières nationales. Au même moment, les USA ont aussi promu le commerce international mondialisé visant à favoriser les échanges de toutes les productions terrestres. En investissant leurs finances dans les entreprises où la main d’œuvre est la moins chère, ils ont augmenté de manière exponentielle leur fortune. Mais cette politique favorisait les pays pauvres étrangers comme la Chine et l’Inde, mais elle faisait aussi disparaître les emplois des travailleurs américains ; l’Amérique s’est ainsi appauvrie et endettée. En l’imitant, les pays européens ont perdu également leurs emplois et leurs activités productives industrielles nationales. Les uns après les autres, ils sont devenus dépendants des importations chinoises.
C’est dans ce contexte déplorable, que Dieu a frappé l’humanité « terminator » par le virus meurtrier nommé Covid-19. Et en cette même année, un autre virus « terminator » a été élu président de l’Ukraine. Sa guerre menée contre les russophiles du Donbass a excité la colère du président de la Russie. Jusqu’à son intervention sur le sol ukrainien le 24 Février 2022. Le président Poutine a pris la décision de présenter sa guerre sous le nom « opération spéciale » et ce nom n’est pas usurpé mais bien justifié par le caractère particulier de ce conflit. Justifié oui, mais pas forcément favorable et je vais dire pourquoi, éclairé par l’actualité de cette guerre.
Le contexte actuel est celui d’une vraie guerre dure et impitoyable que se livrent deux populations longtemps réunies dans la Russie soviétique. Il s’agit donc d’une guerre civile devenue nationale depuis la prise d’indépendance de l’Ukraine. Les frères russes se combattent atrocement à cause du désir de liberté des partisans ukrainiens. En donnant à cette guerre le nom « opération spéciale », le président russe a voulu préserver des relations commerciales avec les peuples occidentaux qui soutiennent aussi l’Ukraine. Et ce lien maintenu vient d’être exploité subtilement par l’Ukraine qui a fait transporter en Russie dans des remorques spécialement conçues par ses génies techniques, des drones tueurs, qui depuis la Russie ont détruit des avions stratégiques qui stationnaient sur leur site d’envol très loin de l’Ukraine. On parle de 40 appareils détruits ou endommagés et d’autres actions sont actuellement conduites contre des appareils russes sur le sol russe par des drones guidés par des agents infiltrés ou par télécommande téléphonique. Cette guerre à laquelle la Russie refuse de donner ce nom favorise ces infiltrations. Dans le passé, quand deux pays se faisaient la guerre, tout commerce entre les deux cessait officiellement, précisément pour empêcher les infiltrations ennemies. La sécurité des deux belligérants reposait sur un contrôle renforcé de la zone frontalière qui devenait souvent le front militaire, le terrain du combat. Cette séparation complète est aujourd’hui indispensable pour la Russie qui doit réaliser qu’elle fait face à une guerre civile interne et que des Ukrainiens hostiles se trouvent dans sa population. C’est d’ailleurs, par une initiative d’épuration ethnique que l’Ukraine a commencé, sur son territoire, son combat contre les russophiles, la Russie, et sa culture.
Mais la méthode utilisée dernièrement par les Ukrainiens va avoir une conséquence non prévue : désormais, tout transport commercial en remorque et camion ou container va devenir suspect. Tout ennemi voulant faire du mal, va pouvoir imiter l’Ukraine et faire transporter ses drones ou ses bombes explosives chez son adversaire par le moyen du prétexte commercial. Le commerce mondial risque donc d’en être massivement affecté. Rien qu’à cause de ses initiatives imposées même à ses alliés occidentaux, le camp ukrainien mérite bien ce nom de « Terminator » ; destruction des gazoducs russes et maintenant suspicion sur les transports commerciaux. Cet allié ne peut être que celui de gens « fous à lier » et réellement « faux alliés » qui seront bientôt les victimes de la colère russe allumée par leur allié échappé du camp de l’Est.
Depuis trois ans, les journalistes français attendent et espèrent une fin de cette guerre par une négociation qui apparaît de plus en plus impossible. Ils sont confrontés, sans le savoir, à l’action du Dieu tout-puissant, qui inspire en bien et en mal tous les esprits de ces créatures, car il utilise le diable et ses démons qui ne font que ce qu’il les autorise à faire. Dieu revendique ce pouvoir absolu en inspirant ces paroles citées dans Amos 3:6 : « Sonne-t-on de la trompette dans une ville, sans que le peuple soit dans l'épouvante ? Arrive-t-il un malheur dans une ville, sans que YaHWéH en soit l'auteur ? » L’Esprit dit aussi dans Lamentations 3:37-38 : « Qui dira qu'une chose arrive, sans que le Seigneur l'ait ordonnée ? N'est-ce pas de la volonté du Très Haut que viennent les maux et les biens ? »
La guerre actuelle de l’Ukraine contre la Russie se déroule dans un contexte où l’information circule en temps réel sous le jugement de milliards d’êtres humains ayant chacun son avis sur le sujet. Ce contexte particulier donne à ce conflit son caractère particulier et nouveau, car jamais vécu dans ces conditions avant lui. Et le monde occidental a tort de montrer son admiration pour les prouesses accomplies par ce petit pays que représente l’Ukraine qui n’est d’ailleurs pas si petit que ça. En fait, nous retrouvons dans ce conflit le principe du combat qui opposa le jeune adolescent David contre le géant philistin Goliath. Sauf que ce David ne bénéficie pas de la bénédiction de Dieu car il incarne aujourd’hui l’image même du rebelle type que Dieu déteste et condamne.
Les réussites de l’Ukraine reposent précisément sur l’inégalité des deux combattants au niveau de leur équipement militaire. Ne disposant pas de navires de guerre, la Russie ne peut pas rendre à l’Ukraine les coups qu’elle porte à ses gros navires de la mer noire ; si gros qu’ils représentent précisément une cible immanquable pour des drones ou des missiles téléguidés. Car, ce qui est nouveau et fondamental dans ce conflit, c’est l’avancée de la technologie téléguidée qu’aucune autre guerre avant lui n’a bénéficié. Déjà, Goliath était imbattable dans un combat rapproché et David le tua en utilisant une fronde soit, une arme de jet qui tue à distance. Et puis, il est bon de le rappeler, aucun pays aussi puissant soit-il, tel que la France, l’Angleterre, les USA, et l’URSS, n’a réussi à vaincre ses ennemis colonisés en raison même de la petitesse des groupes combattants qui prennent le maquis et harcèlent continuellement par des attaques les armées qui disposent d’armes puissantes modernes, comme les chars d’assauts et les hélicoptères de chasse. En Afghanistan, la résistance équipée de lance-roquettes fournis par les USA, détruisait les hélicoptères russes à la fois redoutables mais très vulnérables. La preuve a été ainsi, plusieurs fois donnée que le petit peut être avantagé contre un plus gros que lui. Et que nous enseigne la vie ? L’homme n’est-il pas menacé de mort par des piqûres de guêpes, de frelons ou de moustiques, ou par des serpents au venin mortel ? Ou, plus petits encore, par des microbes et des virus invisibles au regard humain ? Dans le cas de l’Ukraine, la Russie est retenue pour plusieurs raisons. Bien que séparée de l’Ukraine par une frontière, un lien ethnique existe et justifie le choix du président Poutine de nommer son combat « opération spéciale » car il donne à son action un but punitif, gardant l’espérance de ramener dans son camp, le peuple ukrainien et son territoire. Mais le conflit change maintenant de nature à cause de l’engagement occidental ouvertement hostile et favorable à l’Ukraine. Le président russe constate comme chacun peut le faire, que le soutien donné à l’Ukraine dépasse la seule démarche commerciale et prend depuis longtemps une forme de co-belligérance masquée et désavouée. Le nom « Opération Spéciale » contredit les accusations portées par certains occidentaux contre la Russie qu’il accuse d’avoir préparé une guerre contre eux et contre l’OTAN. Des femmes journalistes disent des inepties qui démontrent leur peu d’intelligence : je choisis cet exemple : « Poutine ne reconnaît que la force, c’est pourquoi, il faut le combattre et lui faire peur ». Je réponds : « Sur quels exemples ces propos se fondent-ils ? Quand et dans quelles circonstances, la Russie a montré que la force de son ou ses ennemis la faisait plier et renoncer à ses actions ? Encore, à ce jour, jamais ». En Afghanistan, ce n’est pas la peur qui a vaincu sa puissance militaire mais les roquettes fournies par les USA. Un seul homme armé d’un lance-roquettes est plus dangereux pour un hélicoptère ou un char d’assaut qu’une armée équipée de fusils.
Une guerre directe contre l’Occident prendra une forme très différente, car la Russie sera délivrée de toutes ses retenues dont l’Ukraine bénéficie encore actuellement. De plus, dans la guerre contre la Russie, les navires occidentaux seront aussi vulnérables aux attaques des drones que les navires russes de la mer Noire. Mais nous attendons de voir comment la Russie va punir l’outrage que l’Ukraine vient de lui infliger, sur son territoire russe, où les drones ukrainiens sont venus frapper, et plus ou moins détruire, une quarantaine de bombardiers stratégiques russes irremplaçables. L’Ukraine vient aussi de frapper, avec de simples drones, des rampes de lancement de missiles installées sur la terre Russe près de Briansk. La mouche piquante harcèle le taureau qui, plus que jamais, voit rouge. Déçu et résigné, le président Trump se prépare à se retirer du problème de la guerre européenne.
Dans quelques temps, les peuples occidentaux vont découvrir combien ce dicton est vrai : « Le temps perdu ne se rattrape jamais » ; et je me permets de préciser qu’il en est de même pour « les occasions perdues ».
M38- Pas la paix mais l’épée
Ces paroles dites par Jésus-Christ, dans Matthieu 10:34 à 36, vont prendre en notre temps une application littérale véritablement guerrière : « Ne croyez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre ; je ne suis pas venu apporter la paix, mais l'épée. Car je suis venu mettre la division entre l'homme et son père, entre la fille et sa mère, entre la belle-fille et sa belle-mère ; et l'homme aura pour ennemis les gens de sa maison. » Ces propos tenus par Jésus ont toujours été interprétés uniquement pour justifier les persécutions religieuses qui ont frappé ses vrais disciples. Et en citant « les gens de sa maison », le texte semble effectivement confirmer cette démarche. Et allant encore plus loin dans ce sens, Jésus déclare ensuite dans les versets 37 et 38 : « Celui qui aime son père ou sa mère plus que moi n'est pas digne de moi, et celui qui aime son fils ou sa fille plus que moi n'est pas digne de moi ; celui qui ne prend pas sa croix, et ne me suit pas, n'est pas digne de moi. » Je relève que dans ces gens de la maison, Jésus ne cite pas « sa femme ». La raison est spirituelle, car Dieu se sacrifie lui-même en Christ par amour de « son Epouse » qui désigne l’assemblée de ses élus. Et comme Dieu l’a fait lui-même, en Christ, l’homme choisit son épouse, alors qu’il ne choisit pas son père et sa mère et encore moins ses frères et ses sœurs. Mais malgré cette cause spirituelle, la femme choisie par l’homme peut devenir une pierre d’achoppement pour lui et elle n’a pas, pour l’homme, la priorité sur Dieu.
La concurrence entre Dieu et l’un des deux conjoints est cause de perte de salut pour des multitudes d’hommes et de femmes. Bien que créé pour réagir charnellement, l’être humain doit prendre conscience que le modèle de l’élu est asexué, comme le sont les anges créés en premier par Dieu. Or, le grand projet du salut mis en œuvre par Dieu finira comme il a commencé soit, avec des créatures humaines élues transformées et formées selon le modèle des anges. Les élus se distinguent des déchus par leur aptitude à privilégier les valeurs divines sur les valeurs terrestres charnelles.
La conséquence de ces choix humains que Dieu veut libres lui permet de sélectionner ses élus et de condamner les autres créatures indifférentes ou rebelles. Et pour cette autre catégorie d’êtres humains, le mépris de Dieu et de sa vérité se paie par des guerres meurtrières dont la cause religieuse n’est pas apparente ou apparemment absente. C’est pourquoi, il est essentiel de comprendre que Dieu est l’organisateur de toutes les formes de guerres, civiles, ou internationales qui ont, pour lui, l’unique but d’éliminer des créatures qu’il juge indignes de vivre. C’est ce qu’il déclare en disant dans Romains 9:20 : « O homme, toi plutôt, qui es-tu pour contester avec Dieu ? Le vase d'argile dira-t-il à celui qui l'a formé : Pourquoi m'as-tu fait ainsi ? Le potier n'est-il pas maître de l'argile, pour faire avec la même masse un vase d'honneur et un vase d'un usage vil ? Et que dire, si Dieu, voulant montrer sa colère et faire connaître sa puissance, a supporté avec une grande patience des vases de colère formés pour la perdition, et s'il a voulu faire connaître la richesse de sa gloire envers des vases de miséricorde qu'il a d'avance préparés pour la gloire ? »
La religion du vrai Dieu est opposée dans l’absolu à la pensée humaniste qui a conquis les esprits des humains occidentaux. Cet humanisme se substitue à l’amour que le Dieu créateur soit, le vrai « Père » de toute vie céleste et terrestre mérite d’obtenir au titre de simple gratitude. C’est pour que les humains comprennent ce désir de Dieu, qu’il les a créés capables de procréer et de donner vie à des enfants. Le père terrestre apprend l’affliction et la souffrance imposées injustement à Dieu, quand ses propres enfants lui désobéissent. Ainsi pour les mêmes raisons, Dieu et les hommes souffrent chacun à leur échelle ; humaine pour ses créatures, et divine pour l’unique Esprit du Dieu créateur.
La frustration subie par Dieu est immense, incommensurable et injuste à sa dimension. Cette situation expose donc les ingrats à sa juste colère. Il est vrai que Dieu laisse l’homme libre de l’aimer ou de l’ignorer, mais ce choix n’est pas sans conséquences, car en réponse, Dieu n’offre que son amour incomparable ou sa colère vengeresse. Or nous sommes entrés depuis l’année 2020 dans le cycle de son châtiment final. L’humanité occidentale a bénéficié de longues années de paix favorables à l’étude de sa vérité révélée dans toute sa sainte Bible. Mais ce temps propice à la conversion n’a été utilisé que pour apprécier les inventions techniques humaines, et comme Jésus l’a annoncé, des multitudes de gens ont été séduits par les prodiges réalisés par les scientifiques, les nouveaux dirigeants des corps, et des esprits humains occidentaux. Les libres-penseurs des siècles passés ont réussi à libérer les gens de « l’opium » religieux, mais ils n’ont en fait que livré ces personnes à « l’opium » culturel humaniste et scientifique, et pour certains, politique ou économique. Car selon l’inspiration de Jésus-Christ : « Tout homme est esclave de ce qui triomphe de lui ».
J’ai le bonheur et l’avantage de ne pas avoir suivi cette voie de perdition, ceci depuis l’an 1980 où le sabbat 14 Juin, j’ai paraphé mon alliance avec Dieu en Jésus-Christ en recevant son baptême. Or, j’écris ce message, en ce jour du sabbat 14 Juin 2025 que l’actualité marque par le déclenchement d’une guerre totale depuis que le 13 Juin à 2 heures 15, Israël a lancé une attaque aérienne contre l’Iran, accusée de préparer des bombes atomiques. Cette accusation rappelle celle que les USA ont porté contre l’Iraq du président Saddam Hussein et qui a servi, injustement, de prétexte pour l’attaquer et le renverser. Sauf que cette fois, l’accusation n’est pas fausse, et qu’Israël voit dans cette préparation de l’arme nucléaire par l’Iran, un risque existentiel majeur reconnu par ses alliés occidentaux. Pour les Israéliens, l’expérience est douloureuse et la première conséquence est l’empêchement de se rendre dans les synagogues pour honorer le sabbat du Dieu créateur. Car frappés par les missiles iraniens, ils sont contraints à rester dans les abris par ordonnance des dirigeants de l’Etat.
La coïncidence des dates me porte à interpréter cette nouvelle étape de la guerre que se livre Israël et l’Iran chiite musulman, comme un signe du Dieu créateur qui me souhaite, à sa manière, un bon anniversaire, puisque j’ai aujourd’hui au titre de nouvelle naissance : 45 ans. Et pour bien comprendre cette logique, il faut savoir que le sujet de la troisième Guerre Mondiale a été l’unique objet de mes certitudes prophétiques. J’ai successivement pensé la voir s’accomplir en 1983, puis en 1993. Après cette date, je ne pouvais plus la dater. Et c’est le développement de l’actualité mondiale qui lui a redonné un sens le 24 Février 2022 quand la Russie est entrée sur le sol de l’Ukraine.
Il faut comprendre que dans Daniel 11:40 à 45, l’Esprit décrit la stratégie de la Troisième Guerre Mondiale, au moment où la Russie va envahir et dévaster l’Europe occidentale de la Rome papale. Mais ce temps fort ne décrit que la partie de cette guerre qui révèle le but que Dieu lui donne, en présentant à ses élus l’Europe papale, la cible de sa colère. Ce moment fondamental est précédé par des guerres préparatoires en Ukraine et à Gaza, et l’action conduite aujourd’hui par Israël contre l’Iran marque la dernière phase de cette préparation. Car cette attaque va porter des conséquences mondiales tant pour les Occidentaux que pour le président de la Russie qui voit Israël attaquer et tenter de détruire, l’Iran, son fournisseur de drones. L’action guerrière d’Israël touche donc ses intérêts et condamne toute chance d’accord avec les USA, les parrains d’Israël. Le projet de paix recherché par Donald Trump devient ainsi irréalisable. Et de son côté, le président russe Vladimir Poutine voit désormais Israël comme un fer de lance du camp occidental qui attaque l’Iran son allié. Ceci permet de comprendre son occupation d’Israël qu’il va envahir selon Daniel 11:41 : « Il entrera dans le plus beau des pays, et plusieurs succomberont ; mais Édom, Moab, et les principaux des enfants d'Ammon seront délivrés de sa main. »
Ce combat qui s’engage entre Israël et l’Iran est d’autant plus important que l’Iran est le pays dans lequel est apparu l’islamisme soit, l’islam agressif depuis le renversement du « shah » par l’ayatollah Khomeini. Et je crois nécessaire de le rappeler, c’est dans sa propriété de Neauphle-le-Château, qu’en France, ce vieillard a préparé sa révolution islamique. Une fois de plus, l’implication de la France dans les événements majeurs du monde est confirmée. Je me trouve donc bien dans le lieu stratégique qui permet de comprendre les faits mondiaux et mon ministère prophétique au service de Dieu trouve ainsi son sens et sa justification. Le nouveau régime démocrate républicain est apparu en Europe, en France, où il a remplacé le régime permanent monarchique. La France porte ainsi la lourde responsabilité et la culpabilité d’être entrée en rébellion contre Dieu et elle porte aussi la responsabilité des autres nations qui l’ont ensuite imitée. Le meneur est le principal coupable, et dans notre actualité, les déclarations du président Macron portent de grosses conséquences. La France est un triste exemple de duplicité et d’opportunisme. Et je pense que c’est pour ce type de comportement que Dieu la fait exister. Collaboratrice de l’Allemagne nazie, elle s’est retrouvée grâce au Général de Gaulle et au Premier ministre anglais Winston Churchill, parmi les quatre pays vainqueurs de la Seconde Guerre Mondiale. Et aujourd’hui, le président Macron incarne cette nature française par ses déclarations multiformes par lesquelles il cherche à tirer un profit personnel dans toutes les situations. Mais soyons justes, il n’a guère le choix, car le pays dont il a pris la présidence, est constitué de gens représentants des idées très opposées ; et contenter des penseurs opposés est une gageure, la certitude de l’impossibilité. Pour leur malheur, ses collègues européens voient en lui, le chef d’un pays doté de l’arme nucléaire, sans laquelle, son avis serait ignoré et méprisé. Alors que les mélanges ethniques des sociétés européennes contraignent les dirigeants à accepter des compromis, l’ordre divin exige, lui, la fidélité et l’unité. Les deux modèles sont totalement incompatibles parce que, opposés dans l’absolu. Le projet de Dieu s’accomplit, il peut ainsi démontrer le fruit que porte l’humanité qui se sépare de lui.
Les humains frappés de malédiction tombent dans le piège de leurs multiples contradictions, et le résultat est le suivant : ils exaltent la liberté mais leur posant de plus en plus de problèmes, ils s’activent à la réduire. En France, la devise nationale proclame l’égalité, mais la liberté des riches rend le pays très inégalitaire. Toujours en France, ils exaltent la fraternité, mais se déchirent et se combattent idéologiquement. Ce résultat n’est même pas condamnable, tant il est simplement logique et inévitable. J’entends sur les ondes télévisées, des gens qui recherchent sincèrement des solutions pour résoudre les problèmes qui se présentent ; mais je n’entends que des, « il faut … y’a qu’à … », qui raisonnent comme des cymbales musicales sans jamais porter d’effet concret ; et ceci, pour la simple raison que les problèmes qui apparaissent sont causés par une situation construite au fil du temps qui devient à un certain niveau, irréparable.
Dieu a laissé les hommes organiser leur vie à leur guise et ne tenant pas compte de sa sagesse unique, ils ont construit des situations problématiques insolubles, dont le pire exemple est précisément ce mélange ethnique qui constitue la cause des plus graves dangers nationaux. Et à ce sujet, le modèle français est encore en tête à cause de son passé colonial dans des pays de religion musulmane. Toutes ces colonisations se sont achevées dans des guerres qui ont laissé chez les colonisés des souvenirs amers inoubliables et pour certains, impardonnables.
Il faut relever le fait que dans ses déclarations publiques, Jésus-Christ ne traitait que du seul sujet spirituel ; il ne remettait en cause que l’injustice commise envers Dieu, rappelant que sur terre, l’injustice toucherait perpétuellement les pauvres. Richesse et pauvreté sont les conséquences de la vie sans Dieu qui n’est pas responsable de la méchanceté et de l’égoïsme de ses créatures. Ayant fait la démonstration de ces valeurs injustes, le monde pécheur qui n’a pas su profiter de « la paix » va maintenant être livré à « l’épée » pour sa destruction. En fait, cette « épée » est remplacée dans notre époque par « le couteau » que des enfants utilisent pour tuer d’autres enfants ou des adultes. C’est le cas de ce jeune Français de 14 ans qui a tué Mélanie, une surveillante scolaire âgée de 31 ans. Ce comportement meurtrier des enfants révèle le niveau de malédiction atteint dans nos sociétés occidentales coupées de Dieu mais livrées aux réseaux d’internet. Ce fruit prouve que Dieu les livre aux démons diaboliques et qu’à tout moment, le pire peut se produire. Ces fruits meurtriers confirment l’accomplissement de ces paroles citées dans Apocalypse 9:13-14 : « Le sixième ange sonna de la trompette. Et j'entendis une voix venant des quatre cornes de l'autel d'or qui est devant Dieu, et disant au sixième ange qui avait la trompette : Délie les quatre anges qui sont liés sur le grand fleuve Euphrate. »
Ces quatre anges sont les démons célestes aussi invisibles pour les êtres humains que Dieu peut l’être. Mais leur invisibilité n’occulte pas leur capacité de nuire. Et chaque créature humaine sait qu’elle est composée d’un corps et d’un esprit. Nous avons-nous aussi, les êtres humains, un corps visible et un esprit invisible. La seule différence, entre nous, créatures terrestres et les anges célestes, concerne la nature de notre corps. Et la foi religieuse commence avec cette reconnaissance de l’existence d’anges célestes dotés d’un corps céleste invisible. Or, pour entrer en contact avec les êtres humains, les esprits démoniaques ne demandent aucune permission, aucune autorisation ; ils entrent dans l’esprit humain partout où les anges de Dieu ne les empêchent pas de le faire. Cette situation fait que l’humanité entière ou presque peut comprendre qu’elle est possédée par des esprits invisibles qui mêlent leurs pensées et leurs idées à nos pensées humaines. Notre résistance à cette influence commence avec notre prise de conscience de cette situation, sans laquelle, nous sommes déjà conquis, lié et soumis à ses esprits supérieurs invisibles. Et notre vulnérabilité à leur actions nécessite absolument une relation privilégiée avec Dieu qui seul peut délivrer ses créatures de leur désastreuse influence. Et ce que Dieu peut faire de mieux pour ses élus, c’est d’ouvrir leur intelligence sur la situation réelle à laquelle ils sont exposés. Et ceci pour confirmer ce vieux dicton populaire : « un homme averti en vaut deux ». Dans ses messages, l’apôtre Paul dit : « Résistez au diable et il fuira loin de vous ». Ces propos prouvent que le diable peut entrer en action dans les esprits des élus eux-mêmes ; et il leur appartient de savoir lui résister ; il en est de même pour tous les démons qui n’ont aucun pouvoir sur les humains en dehors du fait de leur faire ignorer leur interférence dans leurs pensées humaines.
Le combat spirituel se gagne au niveau de notre esprit, car c’est en lui, que le combat contre les influences démoniaques s’effectue. Les démons savent que l’être humain est lui-même très faible au niveau de son corps physique. Et ce fut précisément par l’attrait et la convoitise gourmande d’un fruit que le diable prit la domination sur l’esprit d’Eve. Depuis ce jour du premier péché, les démons savent que le corps humain est la porte d’entrée du péché qu’ils veulent susciter dans l’âme humaine. Le témoignage vécu par Eve met tous les élus de Dieu en garde contre ce danger. Et ce témoignage renforce la nécessité de respecter la norme du « pur et impur » prescrite par Dieu à leur intention dans la sainte « loi de Moïse ». Il n’est pas dans la Bible un seul sujet, sur lequel Dieu a exposé son avis, qui mérite d’être ignoré. Les démons s’activent à convaincre leurs victimes humaines du contraire, mais les élus le savent et ils ne se laissent pas convaincre par cette invitation injuste.
Après « la paix » mal utilisée, les injustes sont livrés à « l’épée » remplacée par des couteaux, des armes à feu, des balles, des obus, des missiles et des bombes atomiques. Mais l’intérêt spirituel de ce mot « épée » ne doit pas être ignoré. Car ce même, terme « épée » symbolise « la parole de Dieu », selon Hébreux 4:12 : « Car la parole de Dieu est vivante et efficace, plus tranchante qu'une épée quelconque à deux tranchants, pénétrante jusqu'à partager âme et esprit, jointures et moelles ; elle juge les sentiments et les pensées du cœur. » Ce n’est pas sans raison que le châtiment des Juifs de l’ancienne alliance a été accompli par les troupes des Romains. En effet, la description de l’épée d’Hébreux 4:12, est celle du glaive romain que la parole de Dieu utilise pour châtier son peuple juif coupable d’infidélité et d’incrédulité. Et cette action donne sens aux paroles de Jésus qui est « venu apporter la paix ou l’épée » soit, la paix avec lui ou bien, le châtiment et la mort donnés par l’instrument humain de sa vengeance, le fruit logique de sa parfaite justice.
Notre connaissance de Dieu exige de prendre en considération les deux aspects opposés de sa nature divine. L’homme est capable du meilleur comme du pire ; et Dieu l’a créé à son image ; il revendique ainsi son droit à l’action la meilleure et la pire, les deux étant évaluées selon ses valeurs morales et la conception de sa parfaite justice. Malheureusement pour l’humanité, le feu du ciel ne tombe pas instantanément sur toute personne qui déforme la pensée et le jugement de Dieu. Si l’homme plonge sa main dans le feu, la douleur immédiatement ressentie le conduit à la retirer promptement, mais rien de tel ne protège l’humanité du mensonge, si ce n’est le témoignage vécu par Adam et Eve dont le péché fut immédiatement suivi par la déchéance et l’accès à la mortalité et à toutes les autres malédictions révélées et imposées par Dieu au couple coupable. On paie en effet très cher le temps qui s’écoule entre le moment de la faute et celui de ses conséquences. L’incrédule et l’incroyant ignorent l’existence des deux phases, mais éclairés par de nombreux témoignages bibliques historiques, les élus sont conscients de ce principe. De même que le corps physique est déformé finalement par une mauvaise attitude trop longtemps renouvelée, l’esprit humain s’endurcit et se renforce quand son jugement n’est pas remis en cause. C’est là, le rôle de la révélation biblique. Dieu la charge de révéler les vraies valeurs divines que ses élus doivent adopter et honorer après avoir remis en cause leur héritage reçu aveuglément par la transmission humaine. « L’épée de Dieu », ou « épée de l’Esprit », est activée constamment par Dieu, pour tailler les bons arbres afin qu’ils portent du bon fruit, ou pour entailler et abattre le tronc de l’arbre qui ne porte pas du bon fruit. Concrètement, cette année, dans mon petit jardin, j’ai dû abattre trois jeunes pêchers victimes d’une maladie qui s’intensifie chaque année et deux autres plus gros, également atteints, occupent inutilement le sol. Cette épreuve terrestre, Dieu la vit à son échelle céleste en constatant l’ingratitude de toutes les créatures qui naissent et vivent sur sa terre. Comme je l’ai fait à regret, il va devoir, lui aussi, abattre les arbres ingrats dont les fruits sont pourris, sans espérance d’amélioration et de conversion salutaire.
De jour en jour, la menace de la Guerre Mondiale se précise et sous peu de temps, plus personne ne doutera de son existence. A peine envisageable au début des troubles, aujourd’hui sa menace est brandie de plus en plus souvent, mais pour ceux qui partagent avec moi le privilège de connaître le projet prophétisé par Dieu, cette Guerre Mondiale est une certitude comme peut l’être un jugement divin incontournable. Un acte de justice divine va s’accomplir. Mais en ce qui les concerne, les incrédules et les incroyants athées ne vont voir en ce conflit que les causes humaines apparentes soit, des rivalités au sujet de territoires, en Ukraine comme en Israël. Et l’Iran islamique n’a jamais accepté de reconnaître la légitimité de l’occupation de la Palestine par les Israéliens actuels. En fait, ils n’ont pas tort, puisque leur installation a été imposée par les USA sortis victorieusement de la Deuxième Guerre Mondiale. Mais pour des gens qui se disent religieux et serviteur du Dieu unique, les Iraniens devraient comprendre que ce retour des Juifs a été favorisé par la volonté de cet Allah qu’ils déclarent « grand ». Mais ou bien Dieu est grand et seule sa volonté est accomplie sur la terre, celle-ci concernant le retour des Juifs, ou bien, Dieu n’est pas aussi grand qu’ils le disent. Or, les faits témoignent par eux-mêmes, que Dieu n’a pas empêché les Juifs de revenir s’installer sur une partie du sol de leur ancienne nation. Les Iraniens devraient donc accepter de se soumettre à la volonté d’Allah le Dieu unique ; ceci d’autant plus que le mot islam signifie soumission. Mais ce n’est là qu’un paradoxe qu’on peut relever dans cette religion créée par Dieu pour la dispute et la malédiction du monde rebelle séparé de lui et de sa suprême autorité.
Nous le voyons, l’implication directe guerrière de l’Iran contre Israël, rappelle comme un lien toutes les étapes de la malédiction divine venue sur le monde occidental chrétien, mais infidèle. Longtemps, les Palestiniens ont subi l’injustice de perdre leur sol national et leur combat était motivé pour cette seule raison. Mais depuis que l’Iran est devenu une « république islamique » en Février 1979, le choix religieux s’est ajouté à la cause nationaliste palestinienne et son combat est devenu individuellement celui de tous les Musulmans ou presque ; car en réalité, seuls les plus agressifs des Musulmans s’engagent concrètement dans ce combat. Car le 26 Mars 1979, le traité de paix signé entre l’Egypte et Israël, laissait espérer le règlement des problèmes du Moyen-Orient. Mais l’islamisation de l’Iran a remis cet espoir de paix en cause et l’a condamné comme l’actualité de 2025 le démontre. Jusqu’à ce jour, la Jordanie exceptée, les autres pays arabes ont soutenu la cause musulmane sans toutefois participer aux activités terroristes mais ils sont indignés par l’injustice commise contre leurs frères palestiniens.
La sainte Bible, elle-seule, prépare l’âme humaine à comprendre et accepter les décisions de Dieu qui favorisent les uns au détriment des autres. Cette acceptation repose sur la reconnaissance de sa souveraine volonté. Car pour un observateur incrédule, l’extermination des Cananéens au profit de l’Israël de Dieu peut paraître totalement injuste et inacceptable. Et que peut-il penser en voyant ce même Israël être livré à ses ennemis et déporté à Babylone en Chaldée ? Seule la vraie foi nourrie par le témoignage biblique peut comprendre la signification de ces actions imposées par Dieu, à son peuple et à ses ennemis. Or, l’islam se nourrit du Coran de Mahomet, son prophète, et non de la sainte Bible écrite par Moïse sous la dictée de Dieu.
Ismaël, le patriarche des peuples arabes actuels, a servi le vrai Dieu au titre de fils aîné d’Abraham. Mais la concurrence avec Israël a conduit sa descendance vers l’idolâtrie païenne. Et c’est seulement au début du VIIème siècle que Mahomet a reçu l’inspiration des écrits de son Coran. La religion du Dieu unique était alors représentée exclusivement par le Judaïsme et le Catholicisme romain ; les deux étant frappés par la malédiction divine. C’est donc dans ce temps de grandes ténèbres spirituelles confirmées par des ténèbres provoquées par deux volcans entre 533 et 538, que l’islam a été imposé par Mahomet par la force de l’épée, en fait, le sabre arabe ; détail qui le rend incompatible avec la douceur et le martyre des élus du vrai christianisme.
Avec raison, la sainte Bible invite les humains à « éprouver les esprits pour savoir s’ils sont de Dieu » dans 1 Jean 4:1-2 : « Bien-aimés, n'ajoutez pas foi à tout esprit; mais éprouvez les esprits, pour savoir s'ils sont de Dieu, car plusieurs faux prophètes sont venus dans le monde. » Visiblement, Mahomet a ignoré cette prudence, mais pour connaître cet avertissement, il eut fallu qu’il lût la sainte Bible que le catholicisme enseignait partiellement en langue latine à quelques privilégiés instruits. Jean dit ensuite au verset 2 : « Reconnaissez à ceci l'Esprit de Dieu : tout esprit qui confesse Jésus Christ venu en chair est de Dieu; » Attention ! Ce critère cité par Jean ne fut vrai que pour son époque, car après sa disparition, le diable est entré en possession de l’église catholique romaine qui « confessait Jésus venu en chair » et n’a cependant jamais été le modèle du vrai disciple de Jésus-Christ, n’ayant, depuis son origine, jamais été reconnue par Dieu.
La sainte Bible est l’unique protection que Dieu offre à ses élus pour qu’ils repoussent et rejettent les fausses revendications religieuses des faux christs et autres faux prophètes. Et à ce sujet, le conseil de Jean reste valable : « Bien-aimés, n'ajoutez pas foi à tout esprit ; mais éprouvez les esprits, pour savoir s'ils sont de Dieu, car plusieurs faux prophètes sont venus dans le monde. » Et le critère de l’identification reste aujourd’hui la conformation au modèle construit par l’enseignement biblique de l’ancien et du nouveau témoignage ; et depuis 1844, et 1994, par l’observance du sabbat et la compréhension des prophéties de Daniel et Apocalypse. Mais au-dessus de ces critères utiles aux hommes pour identifier ses vrais serviteurs, Dieu, qui sonde les cœurs et les pensées de toutes ses créatures célestes et terrestres identifie, sans se tromper, tous ceux qui lui appartiennent, en esprit et en vérité.
Israël donne à son action contre l’Iran le nom anglais « rising lion » ce qui signifie le réveil ou le lever du lion. Son dirigeant actuel reprend le symbole du « lion » que Dieu impute à la tribu de « Juda » dans Genèse 49:9 : « Juda est un jeune lion. Tu reviens du carnage, mon fils ! Il ploie les genoux, il se couche comme un lion, comme une lionne : qui le fera lever ? » Ce message a été placé par Benjamin Netanyahou dans une fente des rochers de l’ancienne muraille du temple contre lesquels les Israélites viennent prier et pleurer et déposer les messages qu’ils adressent au Dieu créateur. Par sa démarche, le chef d’Israël veut associer le Dieu créateur à son action. Et malgré sa malédiction, qu’il ignore, il est possible et probable que Dieu lui donne momentanément la victoire contre l’Iran dont l’engagement religieux musulman est encore plus maudit et moins légitime qu’Israël, son « premier-né » incrédule et rebelle. Le message biblique dont Israël se réclame dans cette action présente un Israël imbattable, parce qu’il est soutenu par la force du vrai Dieu créateur, mais son destin reste funeste puisqu’il sera, comme l’Europe occidentale, envahi et meurtri par les combattants russes. Mais ce sera précisément sur les montagnes d’Israël que les dernières forces russes seront finalement exterminées, selon Daniel 11:45 : « Il dressera les tentes de son palais entre les mers, vers la glorieuse et sainte montagne Puis il arrivera à la fin, sans que personne lui soit en aide. »
Nul doute que ce verset de Genèse 49:10 donne au chef actuel d’Israël beaucoup d’espoir : « Le sceptre ne s'éloignera point de Juda, ni le bâton souverain d'entre ses pieds, jusqu'à ce que vienne le Schilo, et que les peuples lui obéissent. »
Le seul problème pour Israël, c’est que « le Schilo » cité s’est présenté sous la personne nommée Jésus-Christ dont le sacrifice expiatoire a été refusé et rejeté par sa nation. Et ce terme hébreu signifie : Celui à qui appartient. On relève là, tout le paradoxe de la démarche de l’actuel Israël guerrier actuel, mais ceci permet aussi de ne pas douter du sort final que Dieu lui prophétise dans Daniel 11:45.
M39- Les questions qui tuent ou délivrent
En dotant ses créatures de l’intelligence, le grand et unique Esprit créateur leur a donné le moyen de comprendre le sens qu’il donne aux choses de la vie. Car la vie présente l’aspect que Dieu a voulu lui donner pour le bien, comme pour le mal ; le mal qui est utile pour permettre d’apprécier le bien. Car depuis l’héritage du péché et de la mort qui le révèle et le punit, nous naissons tous porteurs du mal et nous en payons tous et toutes les désagréables conséquences.
Dans ce parcours de vie triste et décevante, un verset de la sainte Bible nous parle et nous dit, exprimant toute la sagesse du Dieu créateur, dans Ecclésiaste 7:14 : « Au jour du bonheur, sois heureux, et au jour du malheur, réfléchis : Dieu a fait l'un comme l'autre, afin que l'homme ne découvre en rien ce qui sera après lui. » Et cette ignorance concernant son destin peut logiquement l’inquiéter. Or, c’est précisément ce sentiment d’inquiétude qui conduit l’homme à se questionner. Ne trouvant pas de réponse en lui, il lui faut les chercher ailleurs. C’est là, que le témoignage humain religieux propose ses réponses. Mais, quelle religion faut-il choisir tant l’offre est grande ? Là, le choix est favorisé pour certains et pas du tout pour d’autres. Mais, la connaissance a beaucoup augmenté sur toute la terre et déjà, l’Occident et le Moyen-Orient sont marqués par la religion du Dieu unique. Or, sur toute la terre, Dieu a choisi et formé un peuple descendant d’Abraham, l’homme avec lequel il a fait alliance, entre 2000 et 1900 avant notre ère. Abram, selon son nom originel, était un habitant d’Ur en Chaldée. Et il est pour toutes les religions monothéistes, le patriarche fondateur sur lequel elles font reposer leur légitimité.
C’est alors que le témoignage de la sainte Bible écrite par Moïse revêt toute son importance. Car, il est et reste le seul moyen de trouver le chemin qui mène à Dieu. Sa supériorité sur le Coran musulman est immense, car Dieu a dicté à Moïse ce qu’il devait écrire et ce divin témoignage est marqué par le miracle. Les vrais écrits dictés par Dieu ou inspirés plus tard par son Esprit, présentent des figures numériques infalsifiables et inimitables que le mathématicien russe Yvan Panin a mis en évidence. Je n’entrerai pas ici dans une démonstration, mais la chose existe et prouve que la sainte Bible n’est pas un livre ordinaire. Dans la logique de la vérité historique révélée dans la sainte Bible, l’alliance de Dieu s’est transmise dans la lignée légitime née de Sarah, la femme d’Abraham, tenue stérile jusqu’à l’âge de cent ans. Cette descendance passe par leur fils unique nommé Isaac, puis par son fils Jacob que Dieu a renommé Israël. Et pour confirmer cette alliance-là, Dieu la livre à l’Egypte d’où il est venu l’arracher à l’esclavage imposé par un nouveau pharaon hostile envers les émigrés hébreux étrangers. Depuis le début du VIIème siècle, l’islam se revendique du Dieu d’Abram en tant que descendance de son fils né de la servante de Saraï. Mais cette descendance n’a aucune légitimité, ni biblique, ni historique, car cette naissance fut la conséquence d’un manque de compréhension du projet de Dieu ; Abram et Saraï étant alors âgés de près de cent ans. Leur rencontre avec le Dieu créateur, pour lequel rien n’est impossible, n’avait pas encore produit la foi et la confiance totale dans ses annonces. Mais l’islam va très loin dans sa revendication, puisqu’il impute à Ismaël le fils illégitime, l’offrande en sacrifice demandée par Dieu ; ce que la sainte Bible et la logique humaine réfutent, car ce fut, bien sûr, son fils légitime Isaac, qu’Abram lia sur l’autel et sur lequel il leva son couteau de pierre, prêt à l’égorger. Dieu l’arrêta et lui fournit un bélier qu’Abram sacrifia. Cet acte de foi va conduire Dieu à renommer Abram, Abraham et Saraï son épouse devient Sarah. Ce changement de nom constitue le plus fort témoignage donné par Dieu à Abraham. Agissant ainsi, Dieu confirme son alliance avec lui et sa descendance légitime ; ce que l’islam conteste depuis le VIIème siècle, où il est apparu ; alors que l’offre du bélier pour épargner la vie d’Isaac a été suivie par la délivrance des Hébreux de sa descendance de l’esclavage égyptien. De plus, ces deux actions prophétisaient le sacrifice expiatoire de Jésus-Christ qui devait expier les péchés de ses seuls élus rachetés, sauvés de la « seconde mort » comme Isaac fut sauvé de la première mort.
En évoquant le peuple égyptien, je rappelle que ce peuple dont Dieu a fait l’image type du péché selon le comportement rebelle du Pharaon de l’Exode, était adorateur du « soleil » divinisé sous le nom « Ré, ou Ra ». Ce culte rendu au soleil condamne encore aujourd’hui des multitudes de Chrétiens qui l’honorent inconsciemment, par un héritage religieux séculaire. Ce péché égyptien confirme encore aujourd’hui la condamnation par Dieu de sa pratique, car le projet du salut organisé par Dieu est un modèle de parfaite cohérence. Et à cause de cette cohérence, je propose à ces adorateurs du soleil inconscients qu’ils se posent cette question : Dieu peut-il avoir consacré 15 siècles de vie humaine pour former l’homme type juif de son peuple, pour abandonner ce modèle, parce que Jésus-Christ est mort crucifié avant de se ressusciter ? Où sont la logique et la cohérence du Dieu qui agirait de la sorte ?
Par ces questions, je soulève un sujet d’une exceptionnelle gravité, car en agissant ainsi, l’homme qui se réclame de Dieu et de son salut en Jésus-Christ, impute à Dieu un comportement incohérent et illogique qui le déshonore au plus haut point. Celui qui répond correctement à cette question est capable de retrouver le chemin béni par Dieu. Celui qui ne répond pas correctement se perd et anéantit son espérance de vie éternelle.
Dieu est la source de toute perfection, il le revendique et il en est légitimement fier. C’est pourquoi, déformer, sa nature, son caractère, son image, constitue des outrages qu’il punit de mort, et de mort terrible.
A l’origine du drame humain, Eve a commis cette faute, victime des fausses insinuations présentées par le « serpent » possédé par Satan, le diable. Je rappelle ses propos cités dans Genèse 3:4-5 : « Alors le serpent dit à la femme : Vous ne mourrez point ; mais Dieu sait que, le jour où vous en mangerez, vos yeux s'ouvriront, et que vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le mal. » Eve lui avait cité les paroles de Dieu disant : « Mais quant au fruit de l'arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a dit : Vous n'en mangerez point et vous n'y toucherez point, de peur que vous ne mouriez. » Les propos tenus par Eve restituent et révèlent le doute qui l’anime dans sa nature personnelle. Et le terme hébreu utilisé exprime l’idée du doute. Mais, Dieu ne laisse pas planer de doute quand il donne des ordres. Et dans Genèse 2:16-17, je lis : « L'Éternel Dieu donna cet ordre à l'homme : Tu pourras manger de tous les arbres du jardin ; mais tu ne mangeras pas de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras. » La forme de l’ordre donné par Dieu a donc été changée et interprétée par Eve, l’ordre de Dieu ayant été plus précis et tranchant voulant dire avec affirmation : « sinon vous mourrez. ». Le diable n’a eu qu’à exploiter le doute naturel d’Eve, et il ne lui reste qu’à lui dire que Dieu lui a menti, lui, Satan, « le père du mensonge », selon Jésus-Christ, pour la faire pécher contre Dieu.
Ce comportement d’Eve prophétise celui de tous les gens animés du même esprit du doute et notre société française actuelle en présente un modèle type comme le prouve le sens donné à l’adverbe « certainement » qui, affirmant une certitude, est interprété massivement comme une simple possibilité du genre « peut-être ». Pour retrouver le chemin qui mène vers Dieu, l’être humain doit partager son sens de l’absolu, c’est pourquoi, dans Matthieu 5:37, Jésus a donné cet ordre à ses disciples : « Que votre parole soit oui, oui, non, non ; ce qu'on y ajoute vient du malin. » Les relations entre les humains et celles de l’homme avec Dieu reposent sur des mots, des noms et des verbes qui ont originellement un sens précis, qu’avec le temps, l’esprit humain pervertit et peut même aller jusqu’à les inverser. La bonne précision du sens est donc impérative pour une bonne lecture de la sainte Bible. Et en ce qui concerne l’ancienne alliance, la Torah juive, écrite en Hébreu carré depuis le séjour d’Israël en déportation à Babylone en Chaldée, restitue le texte exact de l’hébreu archaïque originel utilisé par Moïse. Le problème des inexactitudes vient des versions traduites dans les différentes langues parlées sur la terre. Et ceci dès la version des « septante » traduite en grec par des savants hébreux réunis à Alexandrie environ deux siècles avant Jésus-Christ. Le Dieu de vérité a répondu à ces problèmes d’erreurs en dirigeant ses élus vers le texte hébreu original et vers les manuscrits écrits en grec reproduits d’après les textes originaux. Ces comparaisons permettent de découvrir des rajouts, des modifications ou des suppressions de mots injustifiés qui changent le sens du message originel et ne délivrent que des interprétations humaines des textes originaux.
L’exigence de la précision n’a fait que croître avec le temps. Au temps de la Réforme protestante, les disciples de Jésus-Christ n’avaient guère le choix, car ils devaient apprécier les rares saintes Bibles imprimées à leur époque, en laquelle exceptionnellement, les exigences de Dieu ont été réduites, comme le confirment ces versets d’Apocalypse 2:24-25 : « A vous, à tous les autres de Thyatire, qui ne reçoivent pas cette doctrine, et qui n'ont pas connu les profondeurs de Satan, comme ils les appellent, je vous dis : Je ne mets pas sur vous d'autre fardeau ; seulement, ce que vous avez, retenez-le jusqu'à ce que je vienne. » A l’époque, le « fardeau » exigé par Dieu était la reconnaissance de la sainte Bible dont la possession était punie de mort, ou d’emprisonnement. Et dans leur lecture de cette sainte Bible, les vrais élus trouvaient le salut par la foi enseigné par Jésus-Christ et ses apôtres. Ces bases religieuses devaient donc être conservées jusqu’à son retour par ses vrais élus rachetés ; mais à ces choses retenues, de nouveaux « fardeaux » allaient être rajoutés et exigés par Dieu, dans les époques suivantes symbolisées sous les noms « Sardes, Philadelphie et Laodicée » dans Apocalypse 3. Le maintien de la bénédiction divine dépend de la prise de connaissance et de la conformation à ces nouveaux « fardeaux » exigés par Dieu ; les identifier devient donc vital et salutaire.
Quels sont donc ces nouveaux « fardeaux » ou nouvelles exigences divines ? Très logiquement, ils concernent des vérités et des pratiques injustement, illégalement et illégitimement, abandonnées, pendant la domination monarchique du catholicisme papal romain ; ce qui justifie sa non reconnaissance par Dieu. Comme son nom l’indique, la Réforme protestante ouvre la voie du temps où les élus de Dieu doivent « reformer » l’Evangile éternel déformé par la religion catholique. Le libre accès à la sainte Bible est donné par Dieu pour permettre à ses serviteurs fidèles de reconstruire son « Evangile éternel ». Ce mot grec signifie : « bonne nouvelle ». Mais pour que la nouvelle reste bonne, Dieu a fixé ses conditions auxquelles les religions protestantes officielles ne répondent pas ou ne répondent plus. Ce nom « Evangile éternel » apparaît dans Apocalypse 14:6 où il désigne l’œuvre de l’achèvement de la Réforme confiée par Jésus-Christ à ses derniers élus rachetés par sa mort expiatoire et rassemblés en 1873 dans l’œuvre « adventiste du septième jour » : « Je vis un autre ange qui volait par le milieu du ciel, ayant un Évangile éternel, pour l'annoncer aux habitants de la terre, à toute nation, à toute tribu, à toute langue, et à tout peuple. »
Pour reformer et réparer « l’Evangile éternel », nous devons l’identifier à la forme que lui donnaient Jésus-Christ et ses saints apôtres. Qui étaient-ils tous ? Des Juifs formés et enseignés dans la loi de Moïse. C’est pourquoi, ils incarnaient, le type de l’élu digne du salut, aboutissement du long processus historique de la formation donnée dans l’ancienne alliance. Que représente, aujourd’hui la religion chrétienne ? Qui sont ceux qui la revendiquent ? Pas des Juifs, mais des païens qui se disent convertis. Sont-ils réellement convertis ? Leurs œuvres témoignent que ce n’est pas le cas, puisqu’elles ne sont pas conformes aux œuvres des apôtres qui tenaient compte, eux, de toute la loi de Moïse.
La religion monothéiste se compose aujourd’hui et depuis 1844, de multitudes de gens qui se réclament d’un salut que leur comportement, jugé par Dieu par leurs œuvres, ne mérite pas. « L’Evangile éternel », le vrai, prescrit les droits et les devoirs des élus, et les faux religieux méprisent ou ignorent le respect des pratiques ordonnées par Dieu, dans la loi de Moïse, qui les condamne et les rend indignes de la grâce proposée par Dieu au nom de Jésus-Christ.
Dans son plan du salut, Dieu a prescrit, dans la loi de Moïse, toutes les normes de ses valeurs qui construisent l’homme parfait. Donc en théorie, l’homme qui met en pratique parfaitement tout ce que Dieu a enseigné est un homme parfait. Mais même dans cet état de perfection, il est digne de mort à cause du péché originel hérité. Cette situation place l’homme dans l’impossibilité d’être sauvé, c’est pourquoi, l’intervention du Christ céleste parfaitement et divinement pur, porteur du nom Micaël, devient nécessaire pour payer dans la chair, la rançon du péché imputé à ses élus rachetés, et à eux seuls : Apocalypse 22:21 : « Que la grâce du Seigneur Jésus Christ soit avec tous les saints. » Car la grâce de Jésus-Christ ne profite pas à tous ceux qui s’en réclament, mais uniquement, à ce que Dieu en juge dignes et considère comme étant les vrais saints. Ce que confirme Apocalypse 3:4 : « Cependant tu as à Sardes quelques hommes qui n'ont pas souillé leurs vêtements ; ils marcheront avec moi en vêtements blancs, parce qu'ils en sont dignes. » Et Dieu évoque cette « dignité » pour l’imputer à ses élus « adventistes » sélectionnés entre 1843 et 1844, dans les deux attentes du retour de Jésus-Christ annoncées pour ces dates.
En conséquence de l’indignité des autres « croyants », juifs, chrétiens ou musulmans, la religion prend l’image de multiples femmes qui veulent prendre un homme pour époux et rivalisent entre elles sans se préoccuper de ce que l’homme en question pense d’elles. Les religions monothéistes sont toutes tombées dans le même comportement, revendiquant un salut, sans en être « dignes ». C’est vrai, pour le Judaïsme, le Christianisme et l’Islam. Le Judaïsme rejette le Messie Jésus, le Christianisme méprise la loi de Moïse, et l’islam méprise les deux. Le chemin qui mène à Dieu, vers sa bénédiction, est trouvé uniquement par les humains qui se posent des questions et exigent des réponses qui plaisent à Dieu, en premier. Car trouver des réponses qui satisfont ce que l’humain souhaite ne favorise pas la relation avec Dieu, mais au contraire, le sépare de lui.
La vraie religion exige de l’homme qu’il s’adapte aux normes divines et à ses ordonnances, car Dieu ne s’adapte pas, lui, aux normes et valeurs humaines. La fausse religion chrétienne commet l’erreur de prendre le paganisme pour modèle de base, alors que ce modèle est originellement juif. Il n’est donc pas étonnant, que ce faux christianisme se distingue du vrai par son observation du repos hebdomadaire du premier jour instauré par l’empereur romain Constantin 1er depuis le 7 Mars 321. C’est à cette date que Dieu a créé cette « marque » qui désigne et caractérise la fausse foi chrétienne idolâtre héritière du paganisme de la religion romaine. Rebaptisé ensuite « dimanche », ce qui signifie, « jour du Seigneur », ce repos du premier jour, de l’ordre divin de la semaine, identifie tout le christianisme rebelle : catholique romain, orthodoxe, anglican et protestant, et depuis 1995, à cause du mépris de la prophétie, l’adventisme institutionnel qui partage leur alliance et leur malédiction.
Faute de pouvoir contester la loi divine écrite en hébreu, pour justifier leur désobéissance envers le Sabbat, les adorateurs du dimanche vont se donner bonne conscience en donnant à cette pratique le prétexte de se démarquer des Juifs condamnés pour leur refus du messie Jésus.
Dieu a donné à ses créatures l’intelligence et le raisonnement pour leur permettre de peser le pour et le contre en toute situation et leur donner ainsi le désir de se tourner vers lui. Car même en restant invisible, Dieu est l’unique réponse aux multiples questions que l’existence de la vie implique et suggère à notre réflexion humaine. La vie est bien trop complexe et à la fois ordonnée pour être le fruit d’une construction hasardeuse. Et il se trouve que le Dieu créateur révélé dans la Bible, et historiquement, par l’homme nommé Moïse, est justement attaché à l’ordre. Même l’apparent chaos est organisé et ordonné. Car ce que nous jugeons chaotique ne l’est pas pour Dieu qui donne à chaque chose un rôle complémentaire dans son infinie création, terrestre, pour ce qui nous concerne actuellement ; puisque la création céleste garde encore pour nous tout son mystère.
La foi au Dieu créateur n’est pas un opium comme le prétendent les sans dieu (étant sans Dieu). C’est au contraire la prise en compte d’un témoignage rendu par des êtres humains qui nous ont devancés pour vivre sur notre même terre. Et si pour Dieu, selon 2 Pierre 3:8, « mille ans sont comme un jour et un jour comme mille ans », il est pour nous raisonnable de partager avec lui, cette conception de l’existence. Car la vie terrestre s’inscrit dans une succession de nuits et de jours, selon l’ordre réel du temps, qui doit se prolonger pendant le temps de la perpétuité qui n’est pas l’éternité. En lisant le témoignage écrit par Moïse environ 3500 années avant mon époque, je découvre et revis les expériences qu’il rapporte. Je fais miennes ses expériences et construits ainsi ma foi au Dieu créateur qu’il servait. 3500 ans avant moi ou hier, où est la différence ? Pour moi, il n’y en a pas ; car le témoignage laissé par un homme reste valide éternellement. Dans ses écoles laïques publiques, l’enseignement scolaire apprend aux jeunes français l’histoire de leur pays, révélant des détails accomplis pendant plus de 2000 ans. Gaulois à l’origine, et soumis aux Romains, nous sommes devenus français par le règne du roi Clovis 1er. Si nous devons croire à ce témoignage, pourquoi ne pas croire au témoignage rendu par les premiers chrétiens qui ont été les apôtres choisis par Jésus-Christ lui-même, environ 500 ans avant le roi Clovis ? Serait-ce à cause de la nature miraculeuse des expériences témoignées ? Si c’est le cas, pourquoi refuser la notion du miracle, alors que la procréation des espèces repose sur de continuels miracles ? Ta vie, ma vie et toutes les vies sont les fruits d’un authentique miracle réalisé par le grand Dieu créateur, l’Esprit du Dieu vivant. Il a créé la vie en la plaçant sous des principes dit naturels, par opposition aux miracles qui désignent et concernent des faits surnaturels qu’il est seul à maîtriser. Cependant, dans un but stratégique, il autorise le diable à faire usage de ses pouvoirs surnaturels, comme en témoigne l’expérience vécue par le malheureux Job, martyre de la foi avant l’heure, que Dieu tenait pour le « bienheureux » type, avant que Jésus apparaisse. Tous les atomes de la création obéissent à l’ordre que Dieu leur donne. Avant notre temps scientifique, Jésus-Christ a pris l’exemple de nos « cheveux » au sujet desquels, il déclare dans Luc 12:6-7, à ses seuls vrais élus : « Ne vend-on pas cinq passereaux pour deux sous ? Cependant, aucun d'eux n'est oublié devant Dieu. Et même les cheveux de votre tête sont tous comptés. Ne craignez donc point : vous valez plus que beaucoup de passereaux. »
L’absence de foi véritable est explicable par le droit donné à chacun de choisir le chemin qu’il veut suivre. Mais ce que Dieu condamne et punit le plus sévèrement, c’est la trahison de ceux qui le confessent par la bouche, mais le déshonorent par leurs œuvres. C’est à leur intention, qu’il multiplie dans Apocalypse 2 et 3, l’expression ; « je connais tes œuvres ». Agissant ainsi, il dénonce la fausse foi ou présomption de foi que les faux croyants ne relient pas à leurs œuvres. Ils montrent par là, le mépris qu’ils témoignent envers la sainte Bible, dans laquelle l’apôtre Jacques, frère de Jésus-Christ, déclare au verset 14 du chapitre 2 de son épître : « Mes frère, que sert-il à quelqu'un de dire qu'il a la foi, s'il n'a pas les œuvres ? La foi peut-elle le sauver ? » Il développe le sujet et expose dans les versets 17 à 26 son argumentation parfaite à l’image de l’Esprit divin qui l’a inspiré. Et dans Romains 2:13, l’Esprit exprime encore par l’apôtre Paul cette même pensée au sujet des « œuvres » de la vraie foi : « Ce ne sont pas, en effet, ceux qui écoutent la loi qui sont justes devant Dieu, mais ce sont ceux qui la mettent en pratique qui seront justifiés. »
Enfin, après 2000 ans de vie et d’expérience religieuse chrétienne, l’être humain est inexcusable, quand il refuse de prendre le nom de Jésus-Christ comme étant celui d’un authentique personnage historique. Ceci, d’autant plus, que ce nom de Jésus-Christ marque le temps de toutes les vies des habitants de l’Europe depuis l’adoption du calendrier établi dans le VIème siècle, par le moine catholique Denys-le-petit, qui a voulu le fonder sur la date de la naissance de Jésus-Christ. Ses erreurs sur la date exacte ne justifient en rien ceux qui se montrent indifférents envers le personnage historique qu’il a été et envers l’œuvre que son nom « Jésus » porte. Jésus signifie : YaHWéh sauve. C’est pourquoi dans notre époque moderne finale, l’expression « avant Jésus-Christ », qui désignait le temps qui a précédé sa naissance, a été abandonnée dans la pratique générale de la société laïque française, pour mieux effacer le souvenir de son nom et de son œuvre.
Les êtres humains ne comprennent pas les voies et les jugements de Dieu parce que de lui seul viennent le bien et le mal. C’est pourquoi, dans les fausses religions on cherche à favoriser une séparation claire entre le Dieu du bien et le dieu du mal soit Satan pour les religions chrétiennes et musulmanes. Les Occidentaux reproduisent ainsi la séparation franche et nette du « Ying et du Yang » de la pensée philosophique chinoise et orientale. Mais cette imitation n’est pas conforme à la vérité de l’existence. Il n’y a qu’un seul Dieu créateur inventeur de tout ce qui est : le bien et le mal, son opposé absolu.
En lisant la sainte Bible, nous découvrons Dieu, qui prend de multiples aspects qui commencent par une puissance d’amour inouïe et finit par une justice implacable, meurtrière sans miséricorde. Et c’est normal car je le précise, son amour est pour ses bien-aimés rachetés élus et sa justice exécutoire, pour ses ennemis haineux, méchants, ou ingrats par leur indifférence au sujet de ce qui le concerne. Et le jugement de Dieu est difficile voire incompréhensible si l’on se base uniquement sur ce que l’on constate. Dieu livre à la mort le méchant rebelle, mais il a livré aussi à la mort sa propre vie en Jésus-Christ, puis avant et après lui, ses prophètes, ses apôtres et ses disciples sont morts en martyrs. Mais entre le martyre de la vraie foi et le châtiment des rebelles, l’être humain a de la difficulté à faire la différence. Disons donc que le fruit constaté ne permet pas de juger les victimes frappées. C’est là, que la révélation biblique devient indispensable, car c’est seulement l’éducation divine offerte par la sainte Bible qui permet de comprendre qui est châtié et pourquoi il est châtié ; il en est de même pour les martyres de la vraie foi : ou la victime est dans la vraie foi et sa mort est bien celle d’un martyr ou témoin de Dieu, ou la victime n’est pas dans la vérité exigée en son temps par Dieu, et dans ce cas, sa mort a le statut du châtiment divin.
Les œuvres sont donc trompeuses et seule la révélation divine prophétique permet de comprendre le jugement perpétuel du Dieu vivant. L’étude des prophéties n’est pas un sujet secondaire, c’est un sujet primordial vital, car sans sa lumière, l’humain est trompé par des jugements spirituels dépassés non actualisés sur lesquels son esprit s’est arrêté. Comme les programmes de nos ordinateurs, nos esprits esclaves de Jésus-Christ doivent constamment être mis à jour. Car la vérité évolue constamment, et ce qui importe pour nous, c’est d’identifier, « la vérité présente », celle que l’Esprit inspirateur révèle à ses élus, ses rachetés prophètes, une « vérité présente » qui devient exigible, dès qu’il la révèle.
Le titre de cet ouvrage m’a été vraiment divinement inspiré, par ce que dans mon expérience adventiste du septième jour, Dieu m’a instruit, me faisant découvrir de nouvelles vérités spirituelles, ce que fut exactement l’expérience des Hébreux pendant leur séjour au désert de 40 ans. Ayant été baptisé en 1980, mes 40 années d’éducation religieuse se sont achevées en 2020 soit, l’année en laquelle Jésus-Christ a commencé à châtier la fausse foi occidentale et la rébellion du paganisme mondial par le moyen du virus mortel contagieux, le Covid-19, ainsi nommé parce qu’il est apparu en Chine populaire communiste en 2019.
M40- L’aigle royal et la taupe
Les explications présentées dans ce message vont parfaitement justifier la comparaison de « l’aigle royal » aux Etats-Unis d’Amérique du nord, et la taupe, à la République Islamique d’Iran.
Ces comparaisons sont autant justifiées sur le plan civil que sur le plan religieux. Je rappelle en premier que le symbole de l’aigle est pour les civils l’emblème type de l’impérialisme ; ce que personne, sur la terre ou dans le ciel, ne refuserait d’attribuer à la puissance des USA, en marche vers le pouvoir hégémonique terrestre, depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale. La victoire militaire a favorisé son influence mondiale qui lui donne le pouvoir de régler et diriger les grands échanges commerciaux terrestres. De plus, son régime capitaliste libéral absolu lui a permis d’exploiter les talents trouvés sur la terre entière. Et il suffit pour s’en convaincre de nous rappeler que dès 1945, après la victoire des Alliés sur l’Allemagne nazie, l’Amérique a accueilli à bras ouverts tous les « cerveaux » scientifiques allemands dont le célèbre Von Braun auquel elle doit ses succès et ses voyages spatiaux jusqu’à la Lune. Ainsi, la paix instaurée, les USA sont devenus comme l’ancienne Rome impériale, le nouveau paradis de l’espérance de l’enrichissement personnel. Ainsi est née l’expression du « rêve américain » qui s’est cependant pour des multitudes achevé en forme de « cauchemar » tant le régime est dur envers les pauvres désargentés. Sa monnaie nationale, le Dollar, adopté en étalon mondial, témoigne de son culte rendu à « Mammon » la divinité païenne de l’argent. Sur le plan civil, tout est dit ou presque.
Sur le plan religieux, dans la sainte Bible, et dans Apocalypse 12:14, Dieu, lui-même, se donne l’image d’un « grand aigle » : « Et les deux ailes du grand aigle furent données à la femme, afin qu'elle s'envolât au désert, vers son lieu, où elle est nourrie un temps, des temps, et la moitié d'un temps, loin de la face du serpent. » Dieu reprend ici ce symbole de « l’aigle » qu’il s’attribue dans Exode 19:4 : « Vous avez vu ce que j'ai fait à l'Égypte, et comment je vous ai portés sur des ailes d'aigle et amenés vers moi. » Dieu prend donc pour symbole de sa puissance suprême illimitée, « l’aigle » qui place son nid au sommet des hautes montagnes et qui vole aux altitudes les plus élevées, bien au-dessus des autres espèces d’oiseaux. Il n’est donc pas étonnant que ce symbole, déjà utilisé par l’Empire Romain, soit revendiqué par de nombreuses nations terrestres ambitieuses très déterminées. Et depuis 1945, le pays qui mérite le plus ce symbole d’aigle c’est bien celui des USA. Car, sur le plan religieux, construit sur des bases chrétiennes protestantes, après l’Europe, ce pays est devenu le nouveau « lieu du désert », où Dieu a « nourri la femme », son Eglise en Christ, formée par ses seuls élus. C’est en effet dans ces USA que Dieu a organisé ses deux premières épreuves de foi adventistes au printemps 1843 et en automne, le 22 Octobre 1844. Et je le rappelle, ce sont ces adventistes sélectionnés par Dieu qui ont eu le privilège de restaurer « l’Evangile éternel » enseigné par les apôtres de Jésus-Christ. Selon le témoignage donné par Ellen White, 50 personnes seulement, sur environ 30 000 participants, ont reçu cet « Evangile éternel » et ont été bénies par le Dieu créateur. 50 petits « aiglons » sont à l’origine de l’œuvre des adventistes répandue dans tous les pays de la terre, partout où la chose était possible. Mais le « désert » est un lieu d’épreuve dans laquelle l’institution adventiste elle-même est tombée, prophétiquement depuis l’année 1994 qui a marqué la fin des « cinq mois » prophétiques, soit 150 années réelles, prophétisés dans Apocalypse 9:5 et 10 : « Il leur fut donné, non de les tuer, mais de les tourmenter pendant cinq mois ; et le tourment qu'elles causaient était comme le tourment que cause le scorpion, quand il pique un homme …/…Elles avaient des queues semblables à des scorpions et des aiguillons, et c'est dans leurs queues qu'était le pouvoir de faire du mal aux hommes pendant cinq mois. » L’institution adventiste a mondialement célébré en 1994, le 150ème anniversaire de son mouvement ; hélas pour elle, en refusant tout lien avec les « cinq mois » cités dans Apocalypse 9:5 et 10. La raison de ce refus est apparue plus tard, lorsque mon frère Joël dit Jean a découvert dans un livre que l’institution adventiste avait décidé le 22 Octobre 1991 d’entrer officiellement dans l’alliance protestante. La chose fut mise en action et révélée aux membres, en 1995.
« L’aigle » américain est donc parfaitement justifié sur le plan religieux, comme sur le plan civil. Seulement, dans le temps, la situation des USA a changé. Comme je viens de le rappeler, sur le plan religieux, l’adventisme est un échec confirmé par son adhésion à l’alliance protestante depuis 1995. Car subtilement, mon décryptage d’Apocalypse 9, qui révélait la malédiction du protestantisme global depuis 1843-1844, concernait également l’institution adventiste elle-même ; ce que j’ignorai totalement entre 1980 et 1991, date de ma radiation par les instances dirigeantes de l’organisation adventiste. Mon annonce du retour de Jésus-Christ pour l’année 1994 cachait un message qui anticipait le jugement divin qui va s’accomplir au temps du vrai retour de Jésus-Christ, désormais attendu par ses vrais élus depuis 2018, pour le jour du printemps 2030.
Le changement imposé par le temps révèle qu’en fait « d’aigle royal », précisément l’aigle américain, nommé « pygargue » ou « pyrargue », est plutôt digne du symbole du « vautour » mangeur de cadavres et de charognes. Car sa puissance économique est construite par l’imposition de « boycott » à tous ses adversaires, les autres ayant été combattus impitoyablement au prix de multitudes de gens morts sans avoir cependant obtenu la victoire. Constatant ses échecs successifs, le pouvoir américain est aujourd’hui représenté par un apôtre de la paix élu sans qu’il le sache pour favoriser la guerre contre l’Europe ; la cible principale de la colère divine avec laquelle son pays, les USA, partage l’héritage de la malédiction divine.
La puissance militaire de l’aviation américaine, supérieure à tout autre pays, justifie encore son symbole d’aigle. Les cosmonautes américains ont marché sur la Lune avant tout autre pays. Leurs avions furtifs sont sans concurrence, en version de chasse ou de bombardiers. Leur stratégie guerrière est celle du bombardement depuis une très haute altitude ; ce qui réduit au maximum le risque pour les avions et leur équipage. Tel est l’aigle américain impliqué dans les grands problèmes nationaux actuels. Dans son désir obsessionnel de paix, Mr Donald Trump affaiblit le camp européen qui soutient la cause et la guerre de l’Ukraine contre la Russie. Mais au Moyen-Orient, la situation l’implique aujourd’hui par des actions de bombardements extrêmement destructeurs versés sur des cibles nucléaires stratégiques de l’Iran que je symbolise par « la taupe ».
L’Iran est lui aussi un pays que la « taupe » représente en toute justice et constatation. Ce pays est à l’origine du combat islamique dirigé contre tout l’Occident chrétien impérialiste. C’est lui qui est à l’origine de la stratégie de l’enterrement, de la creusée de tunnels réalisés sous Gaza par le groupe islamique du Hamas. Et c’est encore lui, qui a construit ses usines d’enrichissement d’uranium à des profondeurs inatteignables par des bombes aériennes. Les bombes américaines, aussi performantes soient-elles, ne peuvent pas traverser la masse terrestre rocheuse montagneuse de dit-on, 1600 mètres pour la centrale la plus basse et plus profonde. « L’aigle » a la maîtrise du ciel, mais la « taupe » a celle de la profondeur terrestre. Les stratégies sont opposées dans l’absolu. Et il est vrai que dans ses tunnels souterrains, dans la vie animale, la taupe n’a rien à redouter d’un aigle. Il est visible que Dieu a organisé ces deux pays pour que leur affrontement ne donne la victoire à aucun des deux. Et une guerre engagée entre les USA et l’Iran ressemblerait comme à deux gouttes d’eau à l’expérience vécue par Israël et le Hamas palestinien. L’aigle des USA peut détruire les infrastructures de surface du pays de la « taupe » et ajouter des ruines aux ruines, mais le danger souterrain sera prolongé. Rien ne peut faire disparaître la haine éprouvée par l’Iran contre le « grand Satan » américain. Et on peut déjà le comprendre, seul l’anéantissement de sa population par le feu nucléaire y mettra fin.
Sur le plan spirituel, donc religieux, la « taupe » iranienne est aussi « aveugle » que la vraie taupe animale. Jésus-Christ a nommé « aveugles » les Pharisiens et les Sadducéens hébreux qui voyaient ses œuvres et refusaient de l’identifier au messie promis et annoncé par leurs saintes Ecritures. Les Musulmans agissant de même envers lui, leur « aveuglement » les rend dignes du symbole imagé de « la taupe ». Le plus subtil dans la situation qui les oppose, c’est que l’aigle et la taupe se réclament tout deux de la bénédiction du Dieu créateur ; et ceci, en vain pour les deux. Mais ceci ne doit plus t’étonner, car hormis le tout petit « reste » des élus adventistes de cœur et d’esprit, toute l’humanité est placée sous la colère vengeresse du Dieu vivant, le Dieu de vérité qui a tracé en Jésus-Christ, et dans ses révélations prophétiques, l’unique chemin qui conduit à lui et à la vie éternelle.
J’ai déjà évoqué l’idée que la Troisième Guerre Mondiale vient reprendre le conflit au niveau où celui de la « seconde » a pris fin. Je vais donc apporter des explications qui vont confirmer cette analyse.
En 1945, les USA faisaient face à une résistance japonaise fanatique. Car les Japonais faisaient appels à des « Kamikazes » qui jetaient leurs avions chargés de bombes et d’essence sur les navires américains. La méthode était si efficace, que leurs navires sombrant les uns après les autres, les Américains allaient perdre leur guerre contre le Japon. Aussi, est-ce dans une situation désespérée que le président américain de l’époque, Harry Truman, fit accélérer la préparation de l’arme nucléaire qui a scellé le sort des Japonais, finalement vaincu après les bombardements atomiques d’Hiroshima et de Nagasaki.
Il se trouve que dans la guerre engagée par la Russie contre l’Ukraine, mais en réalité due à l’hostilité ukrainienne envers la Russie, l’usage des drones télécommandés a reproduit les effets des Kamikazes japonais, mais cette fois, sans perte humaine pour l’attaquant. L’Ukraine ayant fait grand usage en première de ces drones, la Russie s’est retrouvée, dans les années 2022 et 2023 dans la situation du puissant aigle américain de 1945. Et ses navires qui régnaient dans la mer Noire ont été coulés, détruits par de nouveaux kamikazes électroniques volants ou flottants.
A son tour, équipée en drones par l’Iran, la Russie a réussi progressivement à résister à l’Ukraine, puis à reprendre le dessus sur elle, très difficilement et très lentement. La victoire est rendue difficile pour les deux camps à cause de l’usage des drones par les deux ; ce qui réduit à néant l’efficacité des chars d’assaut des deux premières guerres mondiales. Les aviateurs, anciens maîtres du ciel dans les combats aériens, se trouvent menacés aujourd’hui par des machines volantes pensantes très réactives. Ils combattent aujourd’hui contre des moustiques destructeurs terrifiants par leur efficacité. Il faut l’avouer humblement, personne de vivant sur la terre n’avait prévu les effets de ces nouvelles armes guerrières. En première, l’Amérique avait utilisé des drones pour exécuter une cible humaine stratégique hostile envers elle et ses intérêts. Mais le 24 Février 2022, le président Joe Biden ne proposa au président ukrainien Zelensky élu depuis 2019, que de l’évacuer du pays et non de résister à la Russie. Cette dernière a donc payé le prix de la démonstration de l’efficacité des drones qui renverse toute la stratégie de la guerre moderne. Et bientôt, lorsque le grand conflit mondial opposera des navires et des avions, on assistera à une hécatombe de ces grands moyens détruits par des drones volants ou flottants.
Or, ce commencement par des drones images des kamikazes japonais implique la même nécessité de vaincre par l’usage de l’arme nucléaire, comme en 1945, contre le Japon. La victoire finale sera donc obtenue par le pays qui a déjà vaincu par l’utilisation des bombes atomiques en 1945. Sous l’inspiration divine et démoniaque, les retenues manifestées actuellement au sujet de cet usage nucléaire disparaîtront. La guerre est un engrenage qui tourne comme une vis sans fin : la mort appelle la vengeance et crée la haine qui donne la mort. Les esprits humanistes d’aujourd’hui évolueront et l’humanité n’aura plus que la haine en partage. C’est seulement dans un tel accomplissement que nous allons découvrir pourquoi Dieu a organisé et suscité des religions monothéistes différentes. C’est le fait d’avoir des mobiles religieux qui caractérise cette troisième guerre Mondiale ; ce qui lui donne un caractère particulier qui la distingue des deux grandes guerres mondiales précédentes. Et c’est la raison pour laquelle, cette guerre religieuse trouve sa place dans des prophéties écrites dans la sainte Bible. Pour Dieu, le temps est venu de redemander aux humains qui le frustrent de sa légitime gloire qu’ils rendent comptes pour leurs outrages, « impudents et arrogants ».
Son programme s’inscrit sur la date finale des épreuves terrestres qui est celle du jour du printemps 2030. La seconde partie de l’année 2029 étant réservée aux châtiments divins des « sept derniers fléaux de sa colère », les derniers affrontements nucléaires vont s’effectuer entre la fin 2028 et le début 2029.
Dans un premier temps la guerre va rester strictement conventionnelle, et les grandes puissances vont voir leurs stocks d’armes et de munitions se réduire progressivement. Et lorsque les tanks, les avions, les missiles, auront disparu ou presque, la haine vengeresse s’exprimera par des affrontements humains directs comme au début des premières guerres où les armes étaient la massue, la hache de pierre ou de fer, la lance ou les couteaux, sans oublier l’arme de jet, l’arc et ses flèches acérées.
Comme le confirme l’obsession de paix du président Donald Trump, les USA ne prendront part à la guerre qui va frapper l’Europe que très tardivement ; stratégiquement, ils frapperont de l’arme nucléaire la terre russe pendant que ses armées seront dispersées pour occuper les pays de l’U.E. A l’époque de Daniel, l’existence du continent américain était ignorée, et dans la prophétie de Daniel 11 :40 à 45, le verset 44 suggère son intervention contre la terre russe : « Des nouvelles de l'orient et du septentrion viendront l'effrayer, et il partira avec une grande fureur pour détruire et exterminer des multitudes. » Je note que le comportement du chef russe change subitement en apprenant des nouvelles concernant son pays, précisément situé à « l’Orient » de l’Europe soit, à l’Est, et au « septentrion » d’Israël, la deuxième cible de la colère divine désigné au verset 41 par l’expression : « le plus beau des pays » qui désigne également Israël dans Ezéchiel 20:15 : « Dans le désert, je levai ma main vers eux, pour ne pas les conduire dans le pays que je leur avais destiné, pays où coulent le lait et le miel, le plus beau de tous les pays, … » C’est cette expérience vécue au « désert » de l’Arabie par Israël pendant 40 ans qui donne à ce mot « désert » son sens punitif repris dans Apocalypse 12:14. En fait, en 313, l’abandon de « l’Evangile éternel » pur et parfait, tel que les apôtres de Jésus-Christ l’enseignaient, conduit Dieu à punir ce nouveau christianisme paganisé. Pour ce faire, à partir de 538, il le livre au régime papal catholique romain qui persécute tous ses opposants jusqu’en 1798, date de la fin de son règne de 1260 années réelles, diversement exprimées en jours, en mois, et en années, prophétiques : « 1260 jours » ; « 42 mois » ; « un temps, des temps et la moitié d’un temps ». Pour Dieu, l’utilisation de ces formes différentes a le but d’égarer les lecteurs non bénis de ses prophéties. De plus, ces formes différentes apparaissent dans des chapitres différents, et il est ainsi difficile d’établir un lien entre elles. Tout est fait pour égarer l’impie, et seul l’Esprit inspire à ses élus la bonne interprétation ; car c’est uniquement à eux qu’il adresse ses divines Révélations, comme il l’indique dès le premier verset du livre Apocalypse : « Révélation de Jésus Christ, que Dieu lui a donnée pour montrer à ses esclaves les choses qui doivent arriver bientôt, et qu'il a fait connaître, par l'envoi de son ange, à son esclave Jean,… » Je précise que je remplace ici le mot « serviteur » par le mot « esclave » du texte grec de référence. Ce terme « serviteur » ne rend pas et ne confirme pas le statut de l’élu qui prend Jésus-Christ pour son Maître et son Seigneur. Car ce divin Maître a sur ses « esclaves », le droit de mort et de vie, comme l’ancien régime esclavagiste le concevait. Aujourd’hui, un « serviteur » est autorisé à contester les ordres de son maître ; ce que Jésus n’autorise absolument pas à ses élus rachetés. Traduire « esclave » par « serviteur » a pour conséquence d’affaiblir le devoir d’obéissance exigé par Dieu de la part de ceux qui se réclament de son salut. C’est pourquoi, la pensée divine et son jugement sont devenus de plus en plus inaccessibles pour les êtres humains de notre époque. Car ils transportent dans leur application religieuse les principes qui prévalent dans l’humanité laïque ou païenne dans laquelle ils sont nés et ont grandi.
La première chose que le candidat attiré par la vie éternelle doit faire, c’est comprendre que Dieu ne reconnaît aucune évolution, aucun changement dans sa manière de juger, contrairement à ce que témoigne le comportement des gens faussement religieux. Il le dit et le proclame dans Malachie 3:6 : « Car je suis YaHWéH, je ne change pas ; et vous, enfants de Jacob, vous n'avez pas été consumés. » Je l’ai déjà dit mais le rappelle, l’affirmation « vous n’avez pas été consumés » était valable uniquement au temps de Malachie et jusqu’au ministère terrestre de Jésus-Christ, car dans Daniel 8:23, Dieu a ensuite prophétisé la « consumation » de l’Israël incrédule livré aux flammes allumées par les soldats romains en l’an 70 : « A la fin de leur domination, lorsque les pécheurs seront consumés, il s'élèvera un roi impudent et artificieux. » Ainsi, conformément à cette annonce prophétique, après la destruction de l’Etat d’Israël en 70, en 538, le roi papal « impudent et artificieux » est apparu et son régime catholique est entré dans son règne séculaire prophétisé par l’Esprit du vrai Dieu créateur.
Jusqu’à la fin du monde, les stratégies de l’aigle et de la taupe vont se prolonger selon que chacun choisit le moyen de se soustraire aux attaques de l’ennemi qui l’agresse. Les élus de Dieu en Jésus-Christ adoptent eux-aussi sagement le comportement de la taupe, préférant l’obscurité à la lumière humaine parce qu’ils bénéficient de la vraie lumière divine qui illumine leur esprit et les comble. L’humanité ne reconnaît que ceux qui lui donnent raison et déteste, logiquement, ceux qui contestent ses valeurs humaines terrestres. Je rappelle que dès le commencement de l’Evangélisation, lorsque Jésus a envoyé deux par deux ses apôtres témoigner pour lui de la bonne nouvelle auprès de la population juive, il leur a donné un modèle de pacifisme absolu qu’ils devaient reproduire : la vérité ne s’impose pas, elle se propose ; et tout être humain a le droit de la rejeter ou de s’en saisir. Mais il doit la prendre sous sa forme complète et entière sans lui apporter le moindre changement : la vérité est selon l’expression de notre époque : à prendre ou à laisser ; avec toutes les conséquences portées par ces deux choix contraires dans l’absolu ; aussi en toute justice, la réponse qui sera donnée par Dieu à ces deux choix sera elle aussi en opposé absolu ; la vie éternelle pour l’élu, et la mort définitive absolue pour le déchu non bénéficiaire de la grâce offerte exclusivement par Dieu en Jésus-Christ.
Le problème des gens du type « taupe » est leur aveuglement. Note que la vraie taupe ne souffre pas de ce handicap pas plus que les élus quand ils adoptent la stratégie de la taupe pour des raisons de sécurité. Mais pour un être humain que Jésus déclare « aveugle » alors qu’il voit, cet aveuglement est présenté comme un diagnostic mortel qui conduit l’accusé à la « seconde mort ». Beaucoup de gens, en réalité les multitudes des adorateurs du monothéisme, ignorent tout du projet final concernant le juste jugement de Dieu de toutes ses créatures. Les plus superficiels se considèrent en règle avec Dieu et ne redoutent pas de lui le moindre jugement que la croyance en l’âme immortelle rend caduque et impossible de comprendre. Or, c’est précisément pour leur faire découvrir que leur âme est mortelle, que Dieu a prévu son jugement dernier, auquel vont participer, ressuscités pour le découvrir, toutes les créatures formées par lui au cours des 6000 ans de l’histoire du péché terrestre. Toutes sont appelées à découvrir l’existence du vrai Dieu créateur, la récompense de ses élus et son jugement des coupables. Et dans ce moment terrible, Dieu fera démonstration de sa parfaite justice, en imposant à tous le sort de la « seconde mort », faisant néanmoins une juste différence entre l’incroyant pacifique et le faux croyant juif ou chrétien engagé persécuteur.
Le Dieu de justice établit une échelle progressive de la culpabilité, envers lui et envers ses saints élus. Dans « le feu de la seconde mort », le temps et l’ampleur de la souffrance imposée seront proportionnels à la culpabilité individuelle des damnés condamnés. Et pour des gens qui ont ignoré l’offre de la grâce, pour des raisons excusables, Dieu les détruira en un instant sans souffrance. C’est Jésus qui révèle ces choses dans Apocalypse 19 :20 et 21 : « Et la bête fut prise, et avec elle le faux prophète, qui avait fait devant elle les prodiges par lesquels il avait séduit ceux qui avaient pris la marque de la bête et adoré son image. Ils furent tous les deux jetés vivants dans l'étang ardent de feu et de soufre. Et les autres furent tués par l'épée qui sortait de la bouche de celui qui était assis sur le cheval ; et tous les oiseaux se rassasièrent de leur chair. » Dans ce verset, Dieu désigne les deux cibles principales de sa colère en Jésus-Christ : les religions, catholique et protestantes.
J’apporte ici une précision. Dieu est le Maître du temps et dans la présentation de sa révélation, il anticipe la mise en œuvre du jugement dernier qui s’accomplira réellement seulement à la fin du septième millénaire. Il annonce ainsi le sort final des hommes au moment de leur dernier combat terrestre conduit contre les derniers élus adventistes de Jésus-Christ. Car frappés par la mort à son retour en gloire, au début du septième millénaire, ces morts déchus ne seront ressuscités que pour le jugement dernier, à la fin de ce septième millénaire. Pour ces gens déchus, le septième millénaire aura été totalement ignoré puisqu’ils seront morts sans survie de leur âme. Ils apprendront alors que la mort est un anéantissement complet de tout ce qui représente la vie, comme l’enseigne Salomon, l’image de la sagesse, dans Ecclésiaste 9, et ils apprécieront aussi que les peines de l’enfer ne soient pas éternelles comme la fausse religion catholique puis protestante l’a enseigné.
Sur la terre, l’humanité pervertie a conçu le concept de la neutralité et beaucoup de gens pensent pouvoir bénéficier de ce statut envers Dieu « s’il existe ». On les entend dire, « je ne lui ai fait ni bien ni mal, il saura bien le reconnaître ». Le problème pour ces gens est que pour sa part, pour leur offrir la possibilité du salut et la vie éternelle, en Jésus-Christ, Dieu s’est imposé de terribles souffrances pour révéler à toute l’humanité la puissance de son amour pour ses créatures qui s’en montrent dignes. Car son offre de grâce doit, elle-aussi, être méritée pour être obtenue. Dieu s’est imposé 6000 ans de contestations humaines terrestres uniquement pour se donner la possibilité de sélectionner un certain nombre d’élus quantitativement très réduit en proportion de toutes les créatures humaines créées au cours des 6000 ans. A ce sujet les paroles de Jésus s’appliquent. Il déclare dans Matthieu 22:14 : « Car il y a beaucoup d’appelés mais peu d’élus. » Dieu insiste sur la notion de « reste » au sujet de son Israël et au sujet des élus chrétiens adventistes des derniers jours dans Apocalypse 12:17 : « Et le dragon fut irrité contre la femme, et il s'en alla faire la guerre au reste de sa postérité, à ceux qui gardent les commandements de Dieu et qui ont le témoignage de Jésus. »
Dans notre actualité, obsédé par la paix, « l’aigle » vient paradoxalement d’ordonner des bombardements sur l’Iran parce qu’il redoute par-dessus tout que l’Iran détienne l’arme nucléaire. Et sa crainte est justifiée parce que son fanatisme islamique est du type du japonais kamikaze. Et nombreux sont les « djihadistes » morts en martyrs pour l’islam intégriste. Il ne fait aucun doute que mourir pour mourir, ils apprécieraient de le faire en obtenant un nombre considérable de victimes du camp occidental ennemi. Mais en dehors de ce sujet, aucun argument ne fera dévier Donald Trump de son désir de soustraire son pays aux affrontements guerriers, au sujet de l’Ukraine ou pour toute autre cause.
M41- Car le salut vient des Juifs
Beaucoup de gens lisent les saintes Ecritures de l’exclusive sainte Bible, mais peu nombreux sont, parmi eux, ceux qui profitent réellement de cette lecture ; ceci, tout simplement, parce qu’ils ne vont pas au bout de ce que leur lecture leur impose. Pour être bénéfique, la lecture de la sainte Bible, parole écrite du Dieu vivant, doit être marquée par une analyse que seule l’intelligence spirituelle permet de faire. Or, ce supplément d’intelligence spécifique est uniquement donné par Dieu à ses élus déjà identifiés par les choix faits par leur intelligence basique humaine ; ceci, conformément au principe cité par Jésus-Christ, dans Matthieu 13:12 : « Car on donnera à celui qui a, et il sera dans l'abondance, mais à celui qui n'a pas on ôtera même ce qu'il a. ». Nous trouvons dans Apocalypse 17:9, cette indication donnée par l’Esprit divin de Jésus-Christ : « C'est ici l'intelligence qui a de la sagesse : les sept têtes sont sept montagnes, sur lesquelles la femme est assise. » Selon ce verset, c’est « la sagesse » donnée par Dieu qui fait de l’intelligence humaine une « intelligence » spécifique spirituelle. Et seule cette intelligence de la nature divine permet aux élus d’entrer dans la compréhension de la pensée divine. Cette « intelligence » fonctionne comme un sas placé entre l’humain et le divin. Et c’est au nom de cette « intelligence » qui ouvre l’accès au mystère divin, comme une clé ouvre une serrure, que je viens aujourd’hui présenter ce sujet qui me paraît être la clé qui fait toute la différence entre l’élu juif ou chrétien et le déchu également juif ou chrétien et que cette expression sortie de la bouche de Jésus-Christ exprime dans Jean 4:22 : « Vous adorez ce que vous ne connaissez pas ; nous, nous adorons ce que nous connaissons, car le salut vient des Juifs. »
Jésus a tenu ces propos en s’adressant à la femme Samaritaine, et ce peuple samaritain était une image prophétique des gens d’origine païenne désirant servir le Dieu des Juifs. Les Samaritains étaient donc l’image prophétique des élus chrétiens arrachés par Dieu au paganisme transmis par les traditions religieuses héritées par les différents peuples de la terre.
Ce verset de Jean 4:22 est plein de richesse au-delà de ce que le lecteur commun peut lui attribuer. Et la preuve que ce verset est incompris apparaît dans le mépris témoigné par les multitudes chrétiennes envers la « loi de Moïse » et les livres des prophètes de l’ancienne alliance.
Déjà une question s’impose : peut-on adorer ce qu’on ne connaît pas ? En disant oui, il faut admettre que cette adoration a très peu de chance, et réellement aucune, de présenter la forme exigée par le Dieu adoré. La réponse la plus logique est donc, un non absolu. Et c’est alors qu’apparaît la justification de « la loi de Moïse » qui, lui, servait et connaissait le Dieu créateur, le Tout-puissant. Et c’est en le servant pendant quarante ans qu’il a appris à le connaître. Et je le rappelle, car ceci doit être bien compris, mais étant nommée « la loi de Moïse », cette loi est en réalité « la loi de Dieu » qui témoigne des expériences vécues par le peuple hébreu au cours de sa formation spirituelle étendue sur 40 années de dépendance totale envers Dieu, dans le désert sec et aride de l’Arabie dans lequel rien ne pousse ni ne germe.
Relève dans la bouche de Jésus-Christ ce pronom personnel « nous » par lequel Jésus affirme et revendique spirituellement sa judaïté : « … ; nous, nous adorons ce que nous connaissons ; car le salut vient des Juifs ». Et « le salut », c’est lui, Jésus, qui le porte et l’apporte à son peuple juif, prioritairement. Les Chrétiens qui aspirent à être sauvés par le Dieu créateur doivent être bien conscients que « le salut » proposé est juif de A à Z, soit de « l’alpha à l’oméga », selon Apocalypse 1:8 : « Je suis l'alpha et l'oméga, dit le Seigneur Dieu, celui qui est, qui était, et qui vient, le Tout Puissant. »
Ainsi, la judaïté est la norme divine du « salut » et ne peut donc que rester perpétuellement juive. Et la perfection divine de Jésus-Christ repose sur sa parfaite conformité à cette loi nommée « loi de Moïse » ; car déjà, avant son incarnation, ce fut l’esprit divin de Jésus-Christ qui conduisit le peuple hébreu dans sa formation au désert, pendant quarante années. Et c’est encore lui qui, après sa résurrection a conduit et va conduire ses élus jusqu’au jour de son grand retour final glorieux et justicier.
Dans son épître adressée aux Romains, dans le chapitre 11, l’apôtre Paul a correctement présenté la situation spirituelle des chrétiens de la nouvelle alliance qui d’origine païenne sont greffés sur la racine du judaïsme construit sur la promesse faite par Dieu à Abraham, son élu fidèle. Il dit dans les versets 17 à 22 : « Mais si quelques-unes des branches ont été retranchées, et si toi, qui était un olivier sauvage, tu as été enté à leur place, et rendu participant de la racine et de la graisse de l'olivier, ne te glorifie pas aux dépens de ces branches. Si tu te glorifies, sache que ce n'est pas toi qui portes la racine, mais que c'est la racine qui te porte. » La logique à suivre et la menace divine sont ensuite évoquées : « Tu diras donc : Les branches ont été retranchées, afin que moi je fusse enté. Cela est vrai ; elles ont été retranchées pour cause d'incrédulité, et toi, tu subsistes par la foi. Ne t'abandonne pas à l'orgueil, mais crains ; car si Dieu n'a pas épargné les branches naturelles, il ne t'épargnera pas non plus. Considère donc la bonté et la sévérité de Dieu : sévérité envers ceux qui sont tombés, et bonté de Dieu envers toi, si tu demeures ferme dans cette bonté ; autrement, tu seras aussi retranché. » Depuis leur volonté d’être séparés des Juifs, les faux chrétiens ont donc été « retranchés » du salut proposé en Christ par Dieu. Mais malgré son avertissement précis, sa mise en garde contre « l’incrédulité », son enseignement est ignoré et méprisé par le faux christianisme. Et Paul ajoute aux versets 23 et 24 au sujet des Juifs incrédules : « Eux de même, s'ils ne persistent pas dans l'incrédulité, ils seront entés ; car Dieu est puissant pour les enter de nouveau. Si toi, tu as été coupé de l'olivier naturellement sauvage, et enté contrairement à ta nature sur l'olivier franc, à plus forte raison eux seront-ils entés selon leur nature sur leur propre olivier. » La judaïté du plan du salut est encore ainsi confirmée par la nécessité pour un Juif incrédule retrouvant la foi, d’être regreffé sur sa racine juive originelle. Dieu ne propose son salut qu’en le plaçant, exclusivement, sur la seule racine juive en accomplissement de la promesse faite à Abraham. Et la culpabilité des faux christs et faux chrétiens est grande, immense, parce qu’ignorant les mises en garde de Paul et de Jésus-Christ, les faux chrétiens ont approuvé le décret de Constantin 1er promulgué le 7 Mars 321 pour séparer les Chrétiens des Juifs par le « repos du premier jour » ; les Juifs étant identifiés à l’observance du « repos du septième jour » renommé « jour du sabbat ». Dans ce décret, l’empereur ordonne aux chrétiens de l’empire « de ne plus judaïser » en participant au repos du sabbat.
Aucun des textes de la sainte Bible n’invite les Chrétiens à se séparer des Juifs. Et je trouve même un exemple concret contraire dans Actes 15:21 où l’apôtre Jacques évoque la possibilité pour un païen converti d’apprendre « la loi de Moïse » en se rendant dans les synagogues où chaque sabbat les Juifs se rassemblent : « Car, depuis bien des générations, Moïse a dans chaque ville des gens qui le prêchent, puisqu'on le lit tous les jours de sabbat dans les synagogues. » La loi fut ainsi attribuée à « Moïse » qui écrivit les choses que Dieu lui ordonnait d’écrire.
Dans ces synagogues juives, les païens convertis rencontraient des Juifs incrédules, mais ils ne venaient pas pour écouter leurs avis religieux humains, mais, uniquement, pour découvrir les vraies paroles de la sainte Bible concernant l’ancienne alliance. Et en ce commencement, seul ce témoignage existait ; ce qui prouve ainsi que les premiers chrétiens, comme les derniers, doivent construire leur formation spirituelle sur le canon biblique de l’ancienne alliance. La justification de la norme de la nouvelle alliance reposait exclusivement sur l’étude des Ecritures de l’ancienne alliance.
Ce texte de Zacharie 8:23 est également mal interprété par les théologiens chrétiens jusqu’à ce jour : « Ainsi parle YaHWéH des armées : En ces jours-là, dix hommes de toutes les langues des nations saisiront un Juif par le pan de son vêtement et diront : Nous irons avec vous, car nous avons appris que Dieu est avec vous. » Ce passage de Zacharie prophétise l’évolution du plan du salut accompli en Jésus-Christ le « Roi des Juifs » et Juif lui-même. Dans cette image, l’expression « un juif » désigne exclusivement Jésus-Christ ou l’un de ses élus rachetés transformé à son image donnée en modèle pour être imité et reproduit. Le vêtement de Jésus-Christ symbolise sa justice, sa vie parfaite exemplaire. Et « saisir le pan de son vêtement » signifie revendiquer le droit à sa « justice éternelle ». Le pluriel utilisé ensuite dans la phrase « nous irons avec vous » désigne l’assemblée des élus chrétiens dont Christ est le Chef, le Seigneur et le Maître. Ce verset vient à son tour confirmer l’exclusivité juive du salut offert par Dieu aux pécheurs repentants sincères, en provenance de toutes les origines ethniques et religieuses, prêts à se convertir au nom de Jésus-Christ.
Le projet salvateur de Dieu repose donc sur une constante qui, étant la norme du caractère des élus, n’est que sa conformité au caractère du Dieu créateur. Seule cette conformité, justifie pour Dieu, son sacrifice mortel en Jésus-Christ. Dans ce projet divin, il ne faut pas placer le moyen au-dessus du but recherché ; le moyen étant le rachat par Jésus-Christ et le but étant la conformité au caractère de Dieu. Ainsi le pécheur véritablement gracié vient chercher en Jésus-Christ le modèle du caractère qui plait à Dieu afin de l’imiter et de le partager en le reproduisant dans l’esprit de sa chair humaine.
La priorité du but sur le moyen est relevable dans le fait que les premiers élus sélectionnés par Dieu sur la terre, ignoraient tout du salut offert en Jésus-Christ. Ils aimaient Dieu sans connaître son projet salvateur et le servaient dans la fidélité pour lui témoigner leur amour. Le rachat des péchés obtenu par la mort de Jésus-Christ devait favoriser les conversions des multitudes païennes, mais aussi les fausses conversions, comme celle de la religion catholique romaine « mère », depuis l’année 313, et celles de ses « filles » dites « réformées » depuis le XVIème siècle et officiellement condamnées par le décret de Daniel 8:14 depuis 1843-1844.
Pendant toute l’histoire de la terre, Dieu a justifié sa sélection d’élus sur le constat de leurs œuvres obéissantes. Car l’expérience terrestre a précisément pour but de régler définitivement le problème de la désobéissance produit par ses créatures angéliques puis, secondement, par ses créatures humaines terrestres. De Genèse jusqu’à Apocalypse 22, la norme de la loi divine est la parole ordonnée par Dieu. Orale, dans un premier temps, avant le déluge et l’Exode des Hébreux, elle est devenue avec Moïse une loi écrite qui établit la norme parfaite de la judaïté. Pour tous les êtres humains, la sainte Bible perpétue la connaissance des valeurs approuvées par Dieu.
Ecoutons parler le « Roi des Juifs » ; que dit-il dans Matthieu 5:17-18 : « Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes ; je suis venu non pour abolir, mais pour accomplir. Car, je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu'à ce que tout soit arrivé. » J’imagine aujourd’hui, la confusion que vont ressentir au jour du jugement dernier, mais déjà à l’heure de son retour glorieux au jour du printemps 2030, tous ceux qui lui imputent un démenti de ses propos par leurs œuvres et leur conception de la religion chrétienne. Car les paroles de Jésus-Christ sont précises et donnent des preuves infalsifiables qui prouvent que, pour son jugement divin, la loi de l’ancienne alliance ne peut en aucune manière être changée ou modifiée : « le ciel et la terre sont encore » ; donc la loi divine reste elle-aussi inchangée et inchangeable.
A son sujet, je rappelle que l’écriture hébraïque a connu une modification depuis le séjour du peuple juif déporté à Babylone en Chaldée. Mais seule la forme archaïque du dessin des signes de l’alphabet hébreu a été remplacé par la nouvelle forme chaldéenne de l’alphabet hébreu dit « carré ». Le nom des lettres et leur nombre est resté le même. De plus, originellement, les lettres se succédaient toutes sans les intervalles vides qui séparent aujourd’hui, les mots, les noms, les articles, les verbes et les prépositions. Et à ce sujet, la judaïté écrite est marquée par le miracle divin d’une manière infalsifiable et non imitable. Les versets se composent de lettres qui ont aussi valeur de chiffres. Et dans sa forme écrite en hébreu, la Bible construit des figures numériques inimaginables pour un cerveau humain limité. Utilisant encore le même principe, à leur tour dans la nouvelle alliance, les épîtres écrites par les Evangélistes et les autres vrais témoins de Jésus-Christ présentent eux aussi, même en version grecque, miraculeusement, des constructions de figures numériques qui attestent de leur droit « canon » exclusif. C’est en tenant compte de ce caractère spécifique que les livres conformes au « canon » divin sont reconnus et que les autres sont rejetés et nommés « apocryphes » et reconnus uniquement par les chrétiens « hypocrites » du catholicisme romain. La qualification apocryphe ne rend pas inutile le document concerné qui reste le témoignage d’un historien humain utile, voire indispensable, comme ceux qu’a laissé derrière lui, l’historien juif nommé « Joseph », contemporain de la première révolte juive contre les Romains (66-70).
Seuls des esprits humains superficiels peuvent approuver l’idée de vouloir séparer la religion chrétienne du judaïsme au prétexte que les méchants Juifs ont crucifié Jésus. Aucun élu ne peut adhérer à une telle démarche, ceci, parce que prévoyant cette option religieuse utilisée comme prétexte pour détourner les chrétiens de la loi divine et particulièrement, du repos sabbatique du septième jour, Jésus-Christ a dit à ses apôtres, dans Jean 10:17-18 : « Le Père m'aime, parce que je donne ma vie, afin de la reprendre. Personne ne me l'ôte, mais je la donne de moi-même ; j'ai le pouvoir de la donner, et j'ai le pouvoir de la reprendre : tel est l'ordre que j'ai reçu de mon Père. » Et disant, « personne ne me l’ôte », Jésus enlève à quiconque toute possibilité d’accuser les Juifs à ce sujet ; il ne leur reproche pas lui-même de le faire mettre à mort, mais condamne leur incrédulité qui les conduit à cette terrible, parce qu’injuste, décision.
Il est donc clair que le salut vient bien des Juifs, mais uniquement, parce que Dieu a fait de ce peuple, momentanément, son peuple, parmi tous les peuples de la terre, pour des raisons prophétiques. En créant Israël, Dieu a voulu signaler à l’humanité son intention de sélectionner en elle des êtres humains capables de l’aimer comme il le demande. Mais cet amour n’a de valeur qu’en étant libre de toute contrainte ; ce que l’Israël transmis par l’héritage de la chair était et reste encore aujourd’hui, incapable de réaliser. C’est pourquoi, dès sa création, après avoir été délivré de l’esclavage égyptien, cet Israël charnel a été caractérisé par des rebellions fréquentes contre Moïse et Aaron, son frère, le souverain sacrificateur. Ils représentaient les deux autorités mises en service par Dieu. Cette attitude rebelle témoignait de l’imperfection de cette organisation terrestre vouée à l’échec ; ce que son histoire a confirmé.
Le salut vient bien des Juifs, mais uniquement du Juif parfait nommé Jésus. Ce qui fait sa perfection, c’est précisément sa conformité absolue à la loi divine écrite par Moïse sous la directive de ce même Jésus, avant son incarnation dans l’Israël charnel. Et après le ministère terrestre de Jésus-Christ, le rôle de l’Israël imparfait ne pouvait que prendre fin, et être remplacé par un Israël spirituel composé, cette fois, de gens capables d’aimer Dieu comme il le demande. Dieu a pu ainsi donner forme et existence à son projet salvateur prophétisé par l’Israël charnel imparfait.
Le premier souverain sacrificateur portait sur sa poitrine un pectoral sur lequel étaient enchâssées douze pierres précieuses. Elles symbolisaient l’aspect précieux que ses élus rachetés représentaient pour Dieu en Jésus-Christ, le vrai Souverain sacrificateur céleste. Aujourd’hui encore, les pierres précieuses ne se trouvent pas sur le sol terrestre à la vue des hommes. On ne les trouve qu’en creusant la terre, en déplaçant des tonnes de terre et de pierres ordinaires, et encore dans des lieux précis et rares. Aujourd’hui, des terres dites « rares » contenant des matériaux indispensables pour la construction des « téléphones mobiles » ont encore plus de valeur pour l’humanité. Les élus de Dieu sont à cette image, aussi rares que ces terres rares. Et la chose se comprend très bien, parce qu’ils marchent à contre-courant des valeurs de leur société contemporaine pour rester en conformité avec les normes divines parfaitement stables. Leur sélection par Dieu est donc logique et automatique parce qu’il constate le fruit de leurs œuvres.
Depuis la Révolution française du 14 Juillet 1789, jusqu’à ce 14 Juillet 2025 qui se présente dans deux jours, en France, la liberté individuelle n’a fait que croître jusqu’à la construction de l’Europe de Maastricht pour laquelle la France a renoncé à son indépendance. Ceux qui ont agi ainsi n’aimaient pas leur pays. Qu’étaient-ils capables d’aimer ? La liberté les a rendus égoïstes et leur seule préoccupation consistait à préserver cette liberté individuelle égoïste. Cet égoïsme individuel les a conduits à renoncer au privilège national et à tomber sous la dépendance de la gouvernance européenne et son autorité. Les Français ont donc perdu collectivement et individuellement une partie de cette liberté chèrement acquise entre 1789 et 1798. La liberté a produit l’égoïsme confirmé par l’incapacité des couples à prolonger leur vie ensemble. En Occident premièrement, et maintenant sur la terre entière, le nouveau compagnon est le téléphone mobile et le mal concerne autant les hommes que les femmes. Ce nouveau compagnon mobilise toutes les attentions qui devraient se porter vers le prochain, l’être humain, le semblable devenu le concurrent, voire l’adversaire, dont il faut se méfier et qu’il faut combattre. Un tel état d’esprit rend les élus de Dieu plus rares que jamais. Et chacun peut constater la disparition de la foi dans ce pays de France où elle a été le plus attaquée. Devant un tel résultat, Dieu ne peut que livrer cette nation rebelle à ses ennemis, comme il l’a fait en son temps, à son Israël charnel rebelle et dernièrement, pour le rappeler, par la « solution finale » mis en œuvre en 1942 contre les Juifs par les Nazis allemands.
La leçon de cette étude nous met donc en garde contre deux comportements diamétralement opposés : la recherche du lien fraternel avec les Juifs rebelles et le désir de la séparation entre les Juifs et les Chrétiens. Les deux démarches sont illégitimes, car les seules choses transmises par l’Israël charnel restées utiles et indispensables sont : la « loi de Moïse » et le « Roi des Juifs » nommé Jésus-Christ. Aussi, dois-je également te mettre en garde contre la mauvaise interprétation de ce verset cité dans Romains 10:4 : « car Christ est la fin de la loi, pour la justification de tous ceux qui croient. » Dans ce verset, les deux choses importantes présentées par Dieu sont mises en opposition, mais cette opposition ne concerne que leur rôle « justificatif » des élus de Dieu. Car loin d’être opposés, la loi divine et Jésus-Christ sont inséparables ; « la loi de Moïse » étant l’expression du caractère divin de Jésus-Christ, et « Jésus-Christ » étant l’incarnation humaine de la sainte loi divine. La « loi de Moïse » et « Jésus-Christ » ne s’excluent pas mutuellement, mais au contraire, ils se renforcent l’un et l’autre. Dans ses explications, l’apôtre Paul oppose les deux alliances divines, uniquement, sur le plan chronologique qui les place avant Christ ou après lui. Et bien sûr, la venue du Messie rend par sa mort les pratiques sacrificielles animales inutiles ; ce qui concerne et s’applique également, aux fêtes religieuses qui prophétisaient sa venue et le fruit de ses œuvres. Et dans la nouvelle alliance, la « loi de Moïse » prolonge son accusation de péché qu’elle impute à tous les hommes qui la transgressent. Elle les conduit ainsi vers la grâce divine proposée par le rachat des péchés effectué par Jésus-Christ, par l’offrande volontaire de sa vie humaine terrestre irréprochable, comme en a témoigné le cruel Procurateur Romain de Judée Ponce Pilate. L’apôtre Paul compare le rôle de la « loi de Moïse » à celui du « pédagogue » grec qui accompagnait l’enfant à l’école chargée de l’instruire. Dans son grand plan du salut mis en œuvre au cours de l’histoire de la terre, la « loi de Moïse » liée à l’ancienne alliance juive a ainsi conduit l’humanité mise en relation avec le Dieu créateur jusqu’au Messie nommé Jésus-Christ. Et cette même « loi de Moïse » est utilisée par Jésus pour présenter à ses élus rachetés par son sang versé sur la croix, le modèle de vie qu’ils doivent représenter pour que Dieu les juge dignes de son offre de vie éternelle vécue dans sa très sainte présence.
Nous l’avons vu dans ce message, Jésus-Christ a déclaré : « Je ne suis pas venu pour abolir, mais pour accomplir ». Il a annoncé ainsi qu’il n’apportait pas un nouvel enseignement, mais qu’il est venu, simplement, pour valider les pratiques sacrificielles animales qui ont précédé prophétiquement son propre sacrifice mortel rédempteur. Le rôle des deux alliances successives est ainsi établi et leurs enseignements se fondent et se prolongent pour instruire les vrais élus rachetés jusqu’au temps du retour glorieux de Dieu en Christ ; retour attendu pour le jour du printemps de l’année 2030.
Après la trompeuse paix religieuse instaurée par l’empereur romain Constantin 1er en 313 par son décret de Milan, ville de sa résidence, le christianisme tomba. Depuis le 7 Mars 321, victimes de son décret impérial imposant le repos du premier jour dédié au culte du soleil divinisé, décret visant à déjudaïser la religion chrétienne, des multitudes de gens ont vainement pensé être sauvées par leur foi placée en Jésus-Christ. Les fatales conséquences de cette mesure se prolongent encore aujourd’hui, en ce sabbat du 12 Juillet 2025 avec la même efficacité affermie par l’héritage religieux séculaire. En approchant de l’heure du châtiment, l’offre de la grâce du Christ perd en même temps son attrait et ses adeptes. La moisson de la terre est proche, mais le châtiment des coupables est lui, imminent. L’actualité porte nos regards sur la nation juive restée sous son statut rebelle à cause de son opposition au Christ Jésus qu’elle considère encore comme un « imposteur ». Ainsi, les premiers pécheurs de l’Israël de l’ancienne alliance sont utilisés par Dieu pour exciter la colère des peuples musulmans contre les nations chrétiennes occidentales infidèles. Ces Juifs-là n’apportent pas le salut mais la guerre et la mort. Toutefois, le simple fait de les mettre en évidence témoigne en faveur du Dieu créateur qui a donné existence à leur peuple.
Ce message est en parfaite conformité avec les explications données par l’apôtre Paul qui le confirme en disant dans Romains 2:28-29 : « Le Juif, ce n'est pas celui qui en a les dehors ; et la circoncision, ce n'est pas celle qui est visible dans la chair. Mais le Juif, c'est celui qui l'est intérieurement ; et la circoncision, c'est celle du cœur, selon l'esprit et non selon la lettre. La louange de ce Juif ne vient pas des hommes, mais de Dieu. »
M42- Le rôle de l’intelligence
Etant un petit enfant, nous avons tous, du moins je l’espère, reçu de nos parents des avertissements du genre : « Tiens-toi loin du feu ! Autrement, tu vas te brûler ! ». Nous avons alors appris l’existence du mot « brûler », mais nous ne savions pas ce que ce verbe signifiait concrètement, et pour le comprendre, nous avons un jour commis l’erreur de toucher quelque chose de brûlant. Nous avons alors appris combien la brûlure peut-être douloureuse et combien l’avertissement donné par nos parents témoignait de leur amour pour nous, leur enfant.
Quel a été le rôle de notre intelligence dans cette expérience ? Nous lui devons de retirer une leçon cuisante mais combien salutaire. Ainsi, tant que le mot « brûler » n’a pas été expérimenté, il n’est resté qu’un mot vide de sens et totalement inefficace. Et pourquoi ce résultat ? Parce que nous avons construit notre personnalité sur nos propres expériences, étant tous incapables de profiter de l’avertissement donné par nos parents. Dans notre esprit, cet avertissement ne trouvait pas sa justification et c’est uniquement la « brûlure » due à notre désobéissance qui nous a révélé ce que veut dire le verbe « brûler ».
L’expérience que je viens de décrire est à l’image de celle que Dieu offre à vivre à toutes ses créatures. Nous apprenons des autres, mais ne donnons intérêt réel qu’à ce que nous construisons et vérifions nous-mêmes. Il faut accepter ce principe, puisque nous lui sommes tous soumis. Et c’est à ce principe que nous devons le fait que Dieu juge chacune de ses créatures individuellement, car chacun de nous construit son existence par des choix individuels, personnels. Nous avons tous la liberté de tenir compte d’un avertissement ou de ne pas en tenir compte. Ceci, en sachant bien que nous aurons à porter chacun, individuellement, toutes les conséquences bonnes ou mauvaises de notre choix. De même que « toucher le feu brûle douloureusement », tout comportement imprudent porte des conséquences douloureuses. Ce principe vaut autant pour l’enfant que l’être humain adulte.
Mais revenons à notre expérience enfantine. Après avoir découvert que l’avertissement de nos parents était justifié, qu’allons-nous faire, lors d’un autre avertissement du même genre ? L’enfant intelligent sait maintenant combien les avertissements donnés par ses parents sont justifiés et sagement, il en tient compte et obéit à la mise en garde ou à l’interdiction ; ceci pour l’enfant intelligent dont l’esprit est animé, comme chez les animaux, mais avec l’intelligence, de l’esprit de conservation. Que doit cet enfant à son intelligence ? Il lui doit d’éviter de nombreuses occasions de souffrir des conséquences de la désobéissance. Passons maintenant au cas de l’enfant rebelle. Les avertissements donnés par les parents s’enchaînent et sont tous, les uns après les autres, ignorés et rejetés par l’enfant désobéissant. Il subit alors les conséquences de sa désobéissance et souffre de multiples douleurs et contrariétés qui aigrissent encore plus son caractère déjà naturellement irrité.
L’enfant intelligent est à l’image des appelés élus sélectionnés par Dieu en Jésus-Christ ; et l’enfant rebelle est, lui, l’image des appelés et des incroyants déchus et condamnés par Dieu à l’anéantissement final de la « seconde mort ». Entre ces deux destins, l’intelligence ou son absence a fait la différence.
Mais de quelle intelligence parlons-nous ? Car le plus insensé des hommes reçoit une forme d’intelligence qui le place au-dessus des animaux. Et peut-être que pour mieux comprendre le sujet, une étude de la vie animale s’impose. Nous les voyons dans la nature vivre et se reproduire par couples, mâle et femelle. Nous entendons les sons que chaque espèce émet, mais que disent-ils par ces sons si différents ? Ils manifestent des signaux qui concernent la vie à son niveau le plus simple. Chaque cri poussé par ces animaux permet à leur progéniture de les identifier. Et la vie animale n’est animée que du souci de survivre en chassant pour manger et en se reproduisant pour perpétuer leur espèce. Les plus féroces mangent les plus petits qu’eux, sur la terre, comme dans les Océans, les mers, les lacs, les fleuves, les rivières et les étangs. Dieu les a programmés pour offrir à ses créatures humaines des sons variés à l’extrême qui vont du grognement jusqu’au piaillement aigüe des petits oiseaux. Ils ne sont pas concernés par la démonstration d’amour que Dieu organise sur la terre ; mais ils profitent inconsciemment de cet amour qui leur a donné vie.
Contrairement aux animaux, la sainte Bible le rappelle dans Ecclésiaste 3:11 où, parlant de Dieu, Salomon dit : « Il fait toute chose bonne en son temps ; même il a mis dans leur cœur la pensée de l'éternité, bien que l'homme ne puisse pas saisir l'œuvre que Dieu fait, du commencement jusqu'à la fin. » En effet, cette « pensée de l’éternité » est le privilège donné à l’homme, parce que Dieu l’a créé à son image. Bien que créés inférieurs aux anges célestes, nous bénéficions de la même liberté et capacité d’esprit qu’eux. Nos analyses et raisonnements valent les leurs. Et leur nature céleste ne les a pas protégés contre l’esprit de la rébellion. Et c’est en connaissance de Dieu et de son caractère juste et amour, que suivant Satan, des multitudes d’anges ont fait le choix de contester les valeurs et les normes de vie divines.
L’intelligence donnée par Dieu à ses créatures formées à son image les responsabilise totalement. Sans cette intelligence, les animaux ne raisonnent pas et sont incapables de tenir un raisonnement spirituel. A l’opposé, les anges et les hommes ont eu reçu la capacité de raisonner et de construire des idées très élaborées. Ayant beaucoup reçu de Dieu, ces créatures supérieures lui sont beaucoup plus redevables et Dieu attend de chacune un sage et bon emploi de son intelligence individuelle personnelle. Et précisément, cette supériorité des créatures faites à son image se retourne contre la créature ainsi dotée, à cause de sa capacité de contester et de préférer suivre des choix différents de ceux que Dieu approuve et exige.
L’expérience terrestre révèle ce qui est arrivé dans la vie céleste angélique. Jésus Christ a révélé ce qui en est de la situation spirituelle terrestre disant dans Matthieu 22:14 : « Car il y a beaucoup d'appelés, mais peu d'élus. ». Ce qui est vrai, pour la sélection terrestre, a autant de raison d’être vrai pour la sélection célestes des anges. Car ce résultat que Jésus révèle est la conséquence de la création de vies libres, et le chemin suivi par le diable, Satan, et ses partenaires angéliques, atteste pour le moins du fait qu’ils ont bien fait usage d’une entière liberté. Et comme l’enfant rebelle de mon exemple, leur liberté les a conduits à la mort ; ce qu’ils n’avaient pas voulu croire quand Dieu les a prévenus. Ils ne sont pas encore morts, étant seulement dans l’attente de leur destruction par Jésus-Christ lors de son retour en gloire. Mais ces morts en sursis savent depuis la victoire de Jésus-Christ contre le péché et son salaire, la mort, que leur condamnation est absolument certaine.
L’expérience céleste éclaire notre expérience spirituelle terrestre. La vie céleste du royaume de Dieu a été, en première, purifiée. Librement des anges rebelles ont pu suivre le chemin qu’ils ont choisi et par la victoire de Jésus-Christ, leur condamnation a été officiellement prononcée et suivie d’un effet concret que nous révèle Apocalypse 12:7 à 9 : « Et il y eut guerre dans le ciel. Michel et ses anges combattirent contre le dragon. Et le dragon et ses anges combattirent, mais ils ne furent pas les plus forts, et leur place ne fut plus trouvée dans le ciel. Et il fut précipité, le grand dragon, le serpent ancien, appelé le diable et Satan, celui qui séduit toute la terre, il fut précipité sur la terre, et ses anges furent précipités avec lui. » Dans ce verset, Jésus-Christ reprend son nom céleste « Micaël » qu’il porte en Chef des anges célestes. Le nom « Micaël » est traduit par le prénom « Michel ». Je relève que dans sa révélation, l’Esprit masque le nombre des mauvais anges, préférant préciser qu’ « ils ne furent pas les plus forts ». En effet dans le conflit céleste qui oppose les bons anges aux mauvais anges, le critère de la victoire n’est pas le nombre, mais « le plus fort », le plus puissant ; ce qui donne à Dieu l’assurance et la certitude de la victoire contre tous ses ennemis célestes ou terrestres. Et en révélant ces choses, c’est bien le but que Dieu donne à sa démarche ; il veut rassurer ses bien-aimés élus, afin qu’ils sachent qu’il vaincra leurs ennemis terrestres, comme il a vaincu ses ennemis célestes. Et en ce qui me concerne, sa démarche a atteint son but ; et je n’attends plus que le jour du printemps 2030, jour de son retour glorieux pour être comblé dans mon attente.
En entrant dans la vie, avec l’intelligence basique, chacun de nous reçoit de multiples talents dont certains vont rester ignorés jusqu’à notre mort et d’autres vont être découverts dans des circonstances diverses. L’intelligence est elle-même un talent que l’ange et l’homme peuvent exploiter ou mépriser. Car dans nos vies, l’intelligence entre en concurrence avec des qualités et des défauts de caractères tels que l’entêtement, l’esprit contestataire, la méchanceté, et le pire de tous, l’orgueil. Ce type de caractère étouffe l’intelligence, comme les chardons et les mauvaises herbes étouffent la végétation et les plantes cultivées par un jardinier. Un homme orgueilleux est incapable d’exploiter utilement son intelligence. Car peut-on trouver plus stupide que le fait de choisir un chemin qui conduit à la mort ? L’orgueilleux n’est pas suicidaire et devant un risque de mort concret, il fait tout pour ne pas risquer sa vie. Cependant, étant attaché à sa vie, il refuse de perdre la face devant ses contradicteurs ou ses soutiens, et plutôt que d’admettre son erreur, il s’engage encore plus loin pour justifier son choix. Cette description est celle de l’expérience du premier ange créé par Dieu ; son premier vis-à-vis. D’autres anges ont reproduit son comportement et sur la terre, à leur tour, les êtres humains les ont imités en multitudes.
Sur notre terre, l’association de la liberté avec l’orgueil a produit des fruits explosifs. Car ces deux critères s’autoalimentent : l’orgueilleux exige toujours plus de liberté, ce qui le conduit à « l’arrogance », et le libertaire s’enflamme d’orgueil. La nature totalement insoumise de mes contemporains occidentaux témoigne de ces principes qui les stigmatisent. C’est l’orgueil et l’esprit libertaire qui sont la cause des innombrables divorces des couples jeunes jusqu’aux gens âgés. L’amour et la fidélité sont des valeurs battues en brèche. Le héros de notre temps est épouvantablement hideux par son caractère, froid, cynique, injuste, méprisant et méchant jusqu’à la cruauté.
Cette méchante nature est aujourd’hui amplifiée par l’apparition des réseaux d’internet. Chacun peut assouvir et ainsi prolonger ses fantasmes par le moyen virtuel. Des jeux vidéos de guerres formatent l’esprit des adeptes et font d’eux de futurs combattants impitoyables tant ils ont vu le sang humain couler dans ces jeux virtuels. La violence et la sexualité peuvent ainsi devenir une norme habituelle qui transforme la nature des adeptes et les tient dans la dépendance absolue. Où est donc l’intelligence de ces créatures humaines robotisées ? Elle est kidnappée par l’intelligence artificielle qui la dirige de plus en plus chaque jour.
Les humains l’appellent le progrès parce qu’il évolue dans un sens progressif. Mais paradoxalement, ce progrès est si néfaste qu’il constitue une régression ; régression de la moralité, de la mentalité, de la qualité de la vie, des valeurs qui élèvent l’âme au lieu de la rabaisser.
Âgé de 81 ans, j’ai suivi cette évolution technique depuis l’apparition des premiers transistors produits au Japon. Cette invention a ouvert une voie infernale vers la miniaturisation de l’électronique. Aujourd’hui, une carte téléphonique contient des milliers de transistors et l’hyper-miniaturisation permet la réalisation de mini-drones de la taille de gros insectes volants. Car utilisée pour le plaisir dans ses débuts, l’électronique, et l’informatique qui s’est ajoutée, ont ensemble rendu possible la réalisation de ces armes redoutables, les drones, capables de détruire, des fantassins, des chars, des camions, des canons, des avions et des navires, et en Ukraine, des villes et leurs habitants. Ces drones tuent, avec précision, les cibles pour lesquels ils sont programmés ou dirigés à distance par un pilote humain.
L’intelligence artificielle exploite toutes les données humaines entrées dans le réseau internet. Elle ne peut donc que produire des pensées humaines et reprendre des jugements humains. Le monde des humanistes a ainsi trouvé son chef, un chef virtuel totalement humaniste dont le rôle, de plus en plus exploité aujourd’hui, va brutalement se fracasser dans la destruction nucléaire qui vient dans l’année 2028.
Je l’ai souvent dit et le rappelle encore dans ce message consacré au rôle de l’intelligence que ce mot est injustement relié à l’instruction. Ceci fausse complètement le jugement que nous devrions porter sur nos sociétés occidentales gérées et dirigées uniquement par des gens très instruits mais totalement dépourvus de la véritable intelligence. Sous le vernis apparent, se cachent des esprits corrompus uniquement intéressés par le gain et les honneurs. Nos sociétés sont ce que les gens riches en ont fait, car les pauvres n’ont aucune influence politique, économique ou artistique. Ce sont toujours les riches qui décident et favorisent la reconnaissance du modèle qu’ils approuvent. « Vanité ! Tout n’est que vanité et poursuite de vent » déclare le sage roi Salomon dans Ecclésiaste 1:2 et 14 : « Vanité des vanités, dit l'Ecclésiaste, vanité des vanités, tout est vanité. …/…J'ai vu tout ce qui se fait sous le soleil ; et voici, tout est vanité et poursuite du vent. » Partageant pleinement cet avis, je vais ici lui donner une explication concrète en prenant pour exemple le domaine de l’Art. Dans l’antiquité, n’était reconnu que le vrai talent des peintres et surtout des sculpteurs dont on retrouve dans les musées des œuvres admirables. Car je ne tiens pour admirable que la perfection ou ce qui l’approche, et ceci dans tous les sujets de la vie. Je suis bien conscient de ne pas être moi-même parfait, mais c’est, précisément, la raison de mon admiration pour la perfection. Il n’est donc pas étonnant que le modèle parfait qu’est Jésus-Christ me fascine et m’émerveille. Mais parmi les hommes honorés pour leur talent de peintres ou sculpteurs, je ne vois de légitimes que quelques grands noms tels Léonard de Vinci, Michel-Ange, parce que, pour moi, le vrai peintre, c’est celui dont l’œuvre reproduit la vie avec la précision d’une photographie. En dehors de ce talent-là, de nombreux peintres sont honorés, selon moi, injustement, pour des œuvres marquées par leur personnalité et leur incapacité de produire ou d’approcher la perfection. Dans notre temps pervers, il suffit qu’un tableau soit estimé très cher pour que le peintre entre dans la célébrité. Et si seule la personnalité de l’œuvre compte, je dis que tout être humain, même enfant, peut se prétendre peintre. Pour justifier l’honneur rendu à des peintres sans réel talent, les spécialistes ont inventé l’art figuratif qui peut prendre toutes les formes imaginables délirantes jusqu’à celles qu’a présenté le peintre espagnol Pablo Picasso. Dieu a favorisé mon admiration pour la perfection en me faisant rencontrer, en 1974, dans l’activité de guitariste musicien de cabaret, un homme perfectionniste au double talent de musicien pianiste et peintre dessinateur. J’avais 30 ans et lui environ 50 avec une solide expérience musicale. Il était Italien, précisément de Rimini. J’ai vu, peinte de sa main sur une plaquette de bois, une grappe de raisin noir qui semblait sortir de la plaquette tant la précision des reflets de la lumière sur chaque grain et chaque feuille lui donnaient du relief. Un de ses dessins au crayon reproduisait une image plus grande avec une telle perfection que son travail ressemblait à une réduction obtenue par un photocopieur. J’ai été frappé d’étonnement à la vue de ces choses que je n’oublierai jamais. Giordano Mosco, c’était son nom, était un véritable artiste digne de toute mon admiration, mais après avoir vu ses œuvres, je ne peux que mépriser celles que le monde vante sans réelle justification. Et le vrai succès du tableau du Louvre, la Joconde de Léonard de Vinci, atteste que mon jugement est partagé par des multitudes de gens qui admirent le seul vrai talent. La perversité a marqué aussi l’art lyrique. Autrefois on disait chanteurs, des gens dont le talent était évident et peu imitable. De superbes et puissantes voix parfaitement maîtrisées témoignaient du vrai talent de chanteur ou chanteuse. La perversion américaine a créé le mythe de la star populaire. Le physique de la star a été exploité pour amplifier les ventes des enregistrements chantés. Et dans cette démarche, des acteurs du cinéma deviennent des chanteurs à succès et l’inverse est aussi vrai ; la popularité des chanteurs et chanteuses est exploitée ; ils sont engagés pour des rôles d’acteurs de cinéma ou de la télévision. Ce que je dis ici, révèle combien les valeurs de nos sociétés occidentales modernes sont illusoires et artificielles. Mais cette multiplication de faux talents a son explication : l’orgueil humain qui pousse des hommes à revendiquer le droit au talent qu’ils n’ont pas, parce que le désir d’être reconnu et admiré les motive.
Alors que je prends pour modèle la vie du temps passé et dépassé, selon ce monde, je réalise que la société d’aujourd’hui s’est construite sur 80 longues années depuis 1945. Ce sont donc plusieurs générations d’hommes et de femmes qui se sont succédé en se construisant sur un modèle de moins en moins religieux. En 1975, Dieu m’a gratifié d’une vision qui prophétisait mon futur engagement adventiste pour une mission prophétique. L’année 1975 marquait le début de la seconde épreuve de 50 ans au cours de laquelle la foi chrétienne allait fondre comme la neige au soleil. Dans la première partie, pendant 30 ans, entre 1945 et 1975, la France était restée conservatrice et religieuse, et la dernière année de ces 30 ans fut marquée par la malédiction de l’élection du populiste Giscard d’Estaing et du choc pétrolier de 1974 qui brutalement provoqua une augmentation du prix de la vie de 40 % soit, l’augmentation du prix du pétrole passé aux mains des émirats arabes. La paix européenne tenait alors depuis 29 ans. Mais à partir de cette date, le jugement céleste de Dieu allait s’appesantir sur la France, son économie, et sa population, livrée à la cohabitation avec l’ennemi algérien favorisé par les accords signés à Evian par le général de Gaulle en 1962. En 1976, déjà bien installés en France, les travailleurs algériens ont obtenu par la loi du regroupement familial, le droit d’être rejoints par leur famille sur le sol français. De ce jour, une épine douloureuse a été plantée dans le pied de la France. L’hostilité algérienne allait pouvoir se prolonger sur le sol français. Et cette autorisation relève de la débilité la plus intense après l’expérience de l’expulsion des Français du sol algérien. Mais le choix insensé est l’une des armes utilisées par Dieu contre son ennemie laïque et largement athée, la France. Si l’intelligence était au pouvoir, les populations vivraient heureuses et paisiblement, mais le fruit du désordre et des contestations atteste que ce n’est pas le cas de ce pays livré à une cohabitation ruineuse de gens, d’idéologies et de religions incompatibles ; les voitures incendiées et les prisons surchargées témoignent de cette irrémédiable incompatibilité. Mais de cette manière, le Dieu créateur humilié par ce pays, se venge et exprime concrètement sa malédiction qui le frappe. Car dans son programme, les problèmes ne doivent que s’intensifier jusqu’au pire.
Et le pire se présente à nous en ce mois de Juillet 2025. Le vendredi 11 Juillet, dans un discours étoffé et précis, le chef d’Etat-Major de l’armée française a officiellement déclaré que la Russie tenait la France pour sa principale cible. Ce discours a pour but évident de tenter de convaincre les Français de s’unir pour soutenir le budget de l’armement qui est actuellement très en dessous du besoin dans le cas d’une attaque russe de la France. Car, préparant sa destruction par la Russie, Dieu a aveuglé pendant 40 ans les dirigeants politiques français qui ont préparé eux-mêmes leurs derniers problèmes. La paix leur a fait croire que le risque de guerre était définitivement écarté ; en conséquence, la France a été partiellement désarmée ; plus d’armée d’appelés mais que des soldats de métier. Les budgets militaires ont été réduits et la production d’obus et bombes quasiment abandonnée. Ce 11 Juillet, on sonne le tocsin, dans un réveil paniquant face à l’évidente désastreuse situation. Mais le 14 Juillet arrive, et il ne faut pas encore affoler de trop la population. Le président Macron veut encore jouir des honneurs que l’armée et le pays lui rendent en cette solennelle occasion. Mais la situation reste angoissante, car en ce lundi 14 Juillet, le président Trump doit faire une déclaration sur la Russie, mais celle-ci a été précédée par l’annonce de son intention de frapper l’Europe de 30 % de frais de douane à partir du 1er Août qui vient. Je pourrai donc préciser ces choses demain, écrivant ces choses en ce « jour du soleil » du 13 Juillet 2025 et je le précise, le soleil frappe en effet très fort, l’air surchauffé prend l’aspect d’une fournaise qui sèche les plantes et les tue. Avec le décalage horaire, le président Trump devrait s’exprimer après le défilé du 14 Juillet français. La perspective d’une guerre commerciale opposant l’Europe aux USA donne à ce défilé glorieux une teinte d’amertume que le président Macron aura du mal à cacher pendant la cérémonie officielle. Pense donc ; une crise avec les USA au moment où la Russie prend pour cible la France, qui connaît aussi un moment de grande tension avec l’Algérie ; quelle autre problème va arriver ? Peut-on imaginer une plus sinistre situation ? Des commentateurs des médias relèvent l’accumulation des problèmes qui frappent l’Europe occidentale, le camp de la France ; mais aucun d’eux n’impute ces choses au Dieu créateur, totalement absent et inexistant dans leurs paroles et leurs pensées.
Pourtant, c’est en lui que se trouve l’explication de tout ce qui s’accomplit dans le ciel et sur la terre. C’est pourquoi, connaissant son projet révélé, je ne suis pas influencé par les revirements trompeurs de la situation mondiale, et notamment, au sujet de cette guerre de l’Ukraine dont la résistance et le soutien par les Européens qui l’arment n’a de but que celui d’intensifier la haine et la colère russe contre eux. Dans Apocalypse 9:13 à 21, la guerre décrite est ordonnée par le Dieu Jésus-Christ qui exige la mort du « tiers » de la population européenne héritière du péché catholique romain symbolisés l’un et l’autre par le « grand fleuve Euphrate » (EU comme Europe Unie) et « Babylone la grande ». Ces petits jeux d’esprit utilisés par Dieu ne sont compréhensibles que par des enfants ; ses enfants fidèles obéissants. Et Dieu reste constant dans son comportement, selon qu’il est écrit dans Matthieu 19:14 : « Et Jésus dit : Laissez les petits enfants, et ne les empêchez pas de venir à moi ; car le royaume des cieux est pour ceux qui leur ressemblent. » Le royaume des cieux n’est pas aux petits enfants ignorants mais aux adultes instruits dans sa vérité « qui leur ressemblent », au niveau de la simplicité et de la confiance qu’ils placent spontanément dans les adultes qui les enseignent. Pourquoi ce « tiers » frappé par la mort. Déjà, parce que le châtiment de la « sixième trompette » ne doit pas anéantir l’humanité ; car après elle, vient le temps de la grande épreuve universelle annoncée dans Apocalypse 3:10 : « Parce que tu as gardé la parole de la persévérance en moi, je te garderai aussi à l'heure de la tentation qui va venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants de la terre. » Et cette dernière période terrestre est celle des « sept derniers fléaux de la colère de Dieu » décrit dans Apocalypse 16. La deuxième raison de la mention de ce terme « tiers » se comprend à la lumière de ce texte de Zacharie 13:8 et 9 : «Dans tout le pays, dit YaHWéH, Les deux tiers seront exterminés, périront, Et l'autre tiers restera. Je mettrai ce tiers dans le feu, Et je le purifierai comme on purifie l'argent, Je l'éprouverai comme on éprouve l'or. Il invoquera mon nom, et je l'exaucerai; Je dirai: C'est mon peuple ! Et il dira: YaHWéH est mon Dieu ! » Dans Ezéchiel 5:1 et 2, ce « tiers » symbolise des châtiments mesurés et partiels successifs : « Et toi, fils de l'homme, prends un instrument tranchant, un rasoir de barbier ; prends-le, et passe-le sur ta tête et sur ta barbe. Prends ensuite une balance à peser, et partage les cheveux. Brûles-en un tiers dans le feu, au milieu de la ville, lorsque les jours du siège seront accomplis ; prends-en un tiers, et frappe-le avec le rasoir tout autour de la ville; disperse-en un tiers au vent, et je tirerai l'épée derrière eux.» L’explication est donnée au verset 12 : « Un tiers de tes habitants mourra de la peste et sera consumé par la famine au milieu de toi ; un tiers tombera par l'épée autour de toi ; et j'en disperserai un tiers à tous les vents, et je tirerai l'épée derrière eux. »
Dans Apocalypse, ce « tiers » apparaît dans les quatre premières « trompettes » et dans la « sixième ». Le terme n’est pas cité dans la « cinquième », parce ce que ce thème est un châtiment spirituel ; en lui, Dieu révèle la malédiction qui frappe, successivement, en 1844, le Protestantisme et en 1994, l’Adventisme du septième jour institutionnel infidèle et incrédule. L’un et l’autre sont successivement livrés au diable par Dieu. Avec la « sixième trompette », le récit reprend l’évocation des vrais combats meurtriers qui caractérisent les quatre premières « trompettes ».
Dans l’apparence de la construction prophétique, le terme « tiers » suggère un lien relationnel entre la « quatrième trompette » et la « sixième ». Un lien qui existe et que confirme Apocalypse 11:14 : « Le second malheur est passé. Voici, le troisième malheur vient bientôt. » Alors que « la bête qui monte de l’abîme » décrite depuis le verset 7 désigne la « quatrième trompette », l’Esprit lui donne le nom de « second malheur » qui concerne réellement la « sixième trompette » selon Apocalypse 8:13 : « Je regardai, et j'entendis un aigle qui volait au milieu du ciel, disant d'une voix forte : Malheur, malheur, malheur aux habitants de la terre, à cause des autres sons de la trompette des trois anges qui vont sonner ! »
Pour Dieu, la raison de cette subtilité est de dire à ses élus que l’esprit humaniste et incrédule des derniers jours a sa cause dans l’athéisme national français instauré au cours de la Révolution française.
Il est évident que l’intelligence qui permet de comprendre ces subtilités divines n’est pas l’intelligence basique, mais une intelligence spirituelle donnée par Dieu à ses prophètes, ses saints derniers élus ; ceci, en réponse et récompense pour le bon emploi de leur intelligence basique qui commence avec le désir de chercher Dieu et de vouloir comprendre ses mystères révélés.
Dans l’actualité, la Russie fait de la France la cible de sa colère. Il est important de se rappeler que ces deux pays ont expérimenté, chacun en son temps, la gouvernance nationale athée qui a tué la foi chrétienne et leur vaut encore aujourd’hui, la malédiction de Dieu. Car l’athéisme national change durablement les esprits humains. Même quand il cesse de dominer et d’être imposé, l’athéisme arrache aux âmes humaines, la vraie crainte de Dieu produite initialement, avant son apparition. Dieu dénonce cette influence néfaste de l’athéisme, en disant dans Apocalypse 11:9-10 : « Des hommes d'entre les peuples, les tribus, les langues, et les nations, verront leurs cadavres pendant trois jours et demi, et ils ne permettront pas que leurs cadavres soient mis dans un sépulcre. Et à cause d'eux les habitants de la terre se réjouiront et seront dans l'allégresse, et ils s'enverront des présents les uns aux autres, parce que ces deux prophètes ont tourmenté les habitants de la terre. » Les deux prophètes sont les deux témoins bibliques de l’ancien et du nouveau témoignage. Il est vrai que la Bible prophétise « les tourments de la seconde mort » qui anéantira les êtres humains non sélectionnés par Dieu. Mais le contexte de l’accusation cible l’église catholique romaine qui a pris prétexte de ces avertissements pour assurer sa domination sur les esprits des populations chrétiennes occidentales qu’elle menaçait toujours des peines éternelles de « l’enfer », reprenant ainsi, toute la forme et la conception d’une croyance grecque païenne.
Le 14 Juillet, comme attendu, Donald Trump s’est exprimé au sujet de la Russie et de l’Ukraine. Mais sa réponse ne satisfait vraiment personne. Il est visiblement irrité contre la Russie, mais lui accorde encore 50 jours avant d’appliquer à ses alliés et partenaires commerciaux 100 % de taxe douanière. Comme l’avaient dit des journalistes bien informés, il est prêt à fournir à l’OTAN des armes que les pays européens du traité devront financer 100 % des achats pour équiper l’Ukraine. Il pense ainsi justifier auprès de ses électeurs, ce retournement en faveur de l’Ukraine.
Bien au-dessus de tous ces revirements terrestres, notre puissant Seigneur Jésus-Christ, construit son œuvre punitive dans le temps qu’il s’est donné pour le faire. Sachant ces choses, je suis plus avantagé que toutes ces élites mondaines bardées de diplômes et de titres, manipulées par les circonstances très changeantes de la vie occidentale maudite par Dieu en Jésus-Christ, et du reste du monde, également maudit par lui.
En synthèse de tout ce qui vient d’être dit dans ce message et ceux qui le précèdent, je propose cette définition de la véritable intelligence : Est intelligente uniquement la créature angélique ou humaine qui agit de manière à être aimée de Dieu et qui y parvient. En dehors de cette application, l’intelligence humaine n’a guère plus de valeur que l’instinct de l’animal dont l’incrédule finira par partager le sort final.
L’absence de l’intelligence même basique se traduit par l’expression de la méchanceté qui la remplace. Je relève cette méchanceté chez tous les gens qui prennent parti pour l’Ukraine et se montrent plein de haine et de rancœur envers la Russie et son président, Vladimir Poutine, mais aussi paradoxalement à Donald Trump auquel ils ne peuvent pas s’empêcher d’attribuer des pensées et des mobiles cachés. Une rumeur lui a imputé des propos tenus à Vladimir Poutine selon quoi, il aurait menacé de frapper Moscou ; ce qu’il vient aujourd’hui de dénoncer comme étant faux. Les gens qui ont pris parti veulent à tout prix, le rattacher à l’un des deux camps qui s’opposent en Ukraine. Sa réponse est pourtant claire : « Je ne prends parti pour personne, ce que je veux c’est que les massacres cessent ». Cette attitude est plus que raisonnable, elle est humaine. Mais le chef des USA ignore que ces massacres sont exigés par Dieu en Jésus-Christ dont il ignore tout. Son engagement religieux est plus que superficiel tant sa nature est marquée par l’activité commerciale. Et la perspective d’enrichir les USA en vendant des armes aux Européens le console de ses échecs dans ses tentatives et ses efforts d’instaurer la paix mondiale ; un désir contraire à celui du Dieu tout-puissant, mais il l’ignore. Cet esprit commercial fait bien de lui le chef des « marchands de la terre » cités dans Apocalypse 18:11 et 15 : « Et les marchands de la terre pleurent et sont dans le deuil à cause d'elle, parce que personne n'achète plus leur cargaison, …/…Les marchands de ces choses, qui se sont enrichis par elle, se tiendront éloignés, dans la crainte de son tourment; ils pleureront et seront dans le deuil, … »
M43- Le bilan des multiples trahisons
La première trahison a été religieuse et s’est produite dans le monde céleste créé par Dieu. Le premier traître de l’histoire fut le premier ange créé. Après cette trahison, celui qui s’appelait « astre du matin » fut renommé par Dieu : « Satan », nom hébreu qui signifie : l’ennemi, l’adversaire, le calomniateur ; mot traduit en grec par « diabolos » soit, « le diable ». Il fut jugé parfait par Dieu après avoir été créé jusqu’au jour où selon Ezéchiel 28:15, l’iniquité s’est manifestée en lui : « Tu as été intègre dans tes voies, depuis le jour où tu fus créé jusqu'à celui où l'iniquité a été trouvée chez toi. » Triste conséquence de son usage de sa parfaite liberté, cette première trahison ne devait pas être la dernière, mais au contraire, après lui, des multitudes d’anges et d’êtres humains ont suivi son choix et son chemin.
La trahison est la pire des choses ; si
bien que ne s’intéressant qu’au meilleur et au pire, Dieu ne donne importance
et son intérêt qu’à la fidélité parfaite et la trahison absolue. Note que
connaissant jusqu’au moindre détail les actions et les pensées de toutes ses
créatures célestes et terrestres, Dieu vit dans un esprit de résignation le
temps des 6000 ans au cours desquels il récolte sa moisson d’âmes fidèles
rachetées par lui, en Jésus-Christ. Il a donc prophétisé de temps à autres ce
que serait l’avenir pour l’humanité. Un sage proverbe ou dicton populaire
dit : « un homme averti en vaut deux ». Les élus de Dieu, ses
fils bien-aimés, partagent cet avis, et ils le
prouvent concrètement en montrant leur intérêt pour toutes ses révélations
bibliques ou naturelles, car Dieu s’exprime aussi par les actions qu’il fait
faire par les éléments de toute sa création terrestre. Il dose la chaleur du
soleil qui réchauffe, chauffe, ou brûle, selon sa sainte volonté. En amassant
de sombres nuages de grêle, il voile le soleil et sa lumière, plongeant ainsi,
les pécheurs terrestres dans l’ambiance angoissante des terribles orages et
tempêtes où éclairs aveuglants et grondements de tonnerres se succèdent. Et
pour marquer des dates importantes, comme les années 533 et 538, qui étaient,
respectivement, celle du décret de Justinien 1er et celle de
l’installation à Rome du premier pape en titre nommé Vigile, il a fait appel
aux moyens terrifiants des éruptions volcaniques ; deux explosions
gigantesques successives en 535 et 536 aux antipodes l’une de l’autre sur la
ligne de l’équateur. La première en Indonésie et la seconde en Amérique
centrale, les deux ainsi réparties ont recouvert toute l’atmosphère de leur
cendre poussiéreuse, jusque dans les deux pôles nord et sud. Des multitudes de
gens ont été décimées par les maladies engendrées par la disparition de la
lumière et de la chaleur solaire sur toute la terre, et sur le royaume de
l’empereur Justinien 1er particulièrement ciblé par la puissance
divine. Mais ce que tu dois savoir et comprendre, c’est que c’est Dieu lui-même
qui a inspiré au diable cette instauration du régime papal de l’intrigant nommé
Vigile. La mort par laquelle, en Dieu créateur, il marqua son instauration,
n’avait pour but que de révéler la nature réelle de son statut spirituel. Dieu
a organisé le camp de cette malédiction papale romaine pour lui « livrer » le christianisme tombée
dans l’apostasie, depuis que par son décret de Milan, en 313, l’empereur
Constantin 1er a fait cesser les persécutions qui martyrisaient les
disciples fidèles de Jésus-Christ. En effet, nous lisons dans Daniel
7:25 et 8:12 : « Il
prononcera des paroles contre le Très Haut, il opprimera les saints du Très
Haut, et il espérera changer les temps et la loi ; et les saints seront livrés entre ses mains pendant un temps, des
temps, et la moitié d'un temps. …/…L'armée
fut livrée avec le sacrifice perpétuel, à cause du péché ; la corne
jeta la vérité par terre, et réussit dans ses entreprises. »
C’est bien connu, « l’enfer est pavé de bonnes intentions » et ce fut le cas pour les intentions venues de cet empereur très autoritaire. Puisqu’après les avoir libérés des persécutions, cet « ami » des chrétiens leur a fait adopter son repos romain du « jour du soleil », instaurant ainsi le repos du premier jour qui a remplacé le repos du septième jour de l’Evangile éternel de la vérité divine enseignée par les apôtres et les disciples fidèles, jusqu’au moment de ce changement daté au 7 Mars 321. Et à ce sujet, là encore Dieu m’a révélé le vrai sens de cette action qui visait à regrouper le faux christianisme sous le premier jour de la semaine, afin de révéler leur indignité de son repos sabbatique. Et sachant que ce repos du septième jour prophétisait le septième millénaire dans lequel seuls les élus sélectionnés par Dieu entreront vivants et pour l’éternité, cette marque séparatrice s’imposait très logiquement.
La chose n’est pas absolue, car il existe des cas spéciaux d’héritages trompeurs, mais en règle générale, le sabbat du septième jour est une arche de Noé, un écrin précieux, dans lequel Dieu fait entrer les « perles » précieuses qui symbolisent ses plus fidèles élus de l’œuvre adventiste finale. Apocalypse 21:12 et 21 mettent cet enseignement en scène et en image : « Elle avait une grande et haute muraille. Elle avait douze portes, et sur les portes douze anges, et des noms écrits, ceux des douze tribus des fils d'Israël : …/…Les douze portes étaient douze perles ; chaque porte était d'une seule perle. La place de la ville était d'or pur, comme du verre transparent. »
Il y a des leçons à retirer de la manière dont Dieu prophétise les deux mille ans du temps de l’ère chrétienne. Sans entrer dans les détails de l’histoire, il nous présente et prophétise un temps de 1260 années de temps de persécutions dues à « l’arrogante » domination papale romaine. Ce long règne persécuteur est prophétisé dans Daniel 7:25 sous la forme annuelle de trois ans et demi soit, « un temps, des temps et la moitié d’un temps ». Mais selon son code révélé dans Ezéchiel 4:5-6, ces trois ans et demi représentent des années composées de jours-années. La prophétie annonce donc un règne papal romain long de 1260 années réelles. Ainsi désigné, le catholicisme romain incarne sur la terre, le premier régime faussement chrétien. Mais l’histoire du christianisme commence par la trahison des chefs religieux de l’Israël national occupé par les troupes romaines. Israël était dans l’attente de son Messie, car déjà la naissance de Jésus avait provoqué chez Hérode la haine contre ce concurrent et il donna ainsi l’ordre de massacrer les petits-enfants mâles dont l’âge était de deux ans et au-dessous. La présence des Romains rendait encore plus forte l’espérance de la venue du Messie capable de les chasser de la terre juive. Car c’était ce type de messie que le clergé et le peuple juif attendaient pour l’introniser. La première cause du rejet de Jésus-Christ fut donc de ne pas répondre à l’attente charnelle des Juifs d’Israël. Les plus endurcis restaient insensibles face à ces bonnes œuvres et ses miracles. Et cette première expérience humaine de Jésus-Christ nous prévient que notre compréhension des actions divines peut être fausse et exige de nous, l’humilité qui permet la remise en cause devant la révélation concrète donnée par Dieu.
Le deuxième et bien connu traître est bien sûr le douzième apôtre de Jésus-Christ nommé Judas Iscariot. Cette fois, la traîtrise apparaît dans le groupe des douze apôtres engagés par Jésus-Christ lui-même. Car ce traître était un élément essentiel du plan du salut préparé par Dieu. Il incarne à lui seul toute la culpabilité de l’Israël national par sa conception erronée du rôle du messie attendu. Jésus le savait également voleur et lui avait cependant confié la trésorerie du groupe. Le vol était bien peu de chose en comparaison de son acte final de trahison. Bien que le mot traître soit imputé à Judas par Jésus lui-même que dit l’Ecriture à son sujet ? Je lis dans Jean 6:70-71 : « Jésus leur répondit : N'est-ce pas moi qui vous ai choisis, vous les douze ? Et l'un de vous est un démon ! Il parlait de Judas Iscariot, fils de Simon ; car c'était lui qui devait le livrer, lui, l'un des douze. » Dans ma mémoire trompée par des paroles déformées que le cinéma fait dire à ses acteurs qui jouent le rôle de Jésus-Christ, je pensais trouver le mot traître, le verbe trahir ou le mot trahison. Et aucun des quatre Evangiles ne le mentionne, car le seul verbe qui est utilisé est le verbe « livrer ». J’ai alors compris que Dieu relate les faits en voulant indiquer que c’est lui qui « livre » le Messie Jésus aux pécheurs pour qu’il soit « livré » à la mort de la crucifixion. Ce verbe « livrer » est déjà utilisé par Dieu dans Daniel 7:25 et 8:12, au sujet des disciples infidèles dans le but de se voir imputer la décision de l’action. Cette part divine du rachat des péchés est entièrement portée et assumée par le grand Dieu créateur. Celui qui « livre » en toute situation, c’est lui, et il le fait dans toute sa puissance et sa souveraineté suprême inégalables. Alors que les faits constatés reposent sur une authentique trahison de la part de Judas, Dieu rapporte les faits en dirigeant la responsabilité de l’action sur lui seul. C’est ce que Jésus s’est efforcé de faire comprendre à ses apôtres auxquels il avait dit, dans Jean 10:17-18 : « Le Père m'aime, parce que je donne ma vie, afin de la reprendre. Personne ne me l'ôte, mais je la donne de moi-même ; j'ai le pouvoir de la donner, et j'ai le pouvoir de la reprendre : tel est l'ordre que j'ai reçu de mon Père. » Il n’est pas question pour lui de se faire enlever la gloire de cette offrande volontaire qui constitue l’apogée de son plan du salut. En disant de Judas qu’il est un démon, Jésus ne peut le décrire plus durement, et l’action de Judas est inspirée par le diable, lequel fait, sans le savoir, l’œuvre que Dieu lui inspire de faire.
Ce sujet de la trahison a concerné et culpabilisé des Chrétiens protestants que Dieu nomme après les Catholiques, les « hypocrites » ; ce qui décrit bien le faux comportement religieux qui se montre infidèle par ses œuvres. En 1844, l’imperfection protestante a été collectivement lâchée par Dieu et abandonnée au diable et ses démons célestes. Puis pour le même mépris témoigné pour ses révélations prophétiques, en 1994, l’adventisme du septième jour a été à son tour rejeté par Dieu. Ces adventistes rejetés ont rejoint l’alliance protestante confirmant ainsi le juste jugement prophétique divin révélé.
J’en viens donc maintenant à la trahison qui stigmatise les instances politiques de la France, cas que je connais le mieux étant français de naissance et d’héritage familial.
La France a perdu l’amour de sa population et de ses élites politiques. Chacun peut constater alors que les jugements portés par Jésus-Christ s’appliquent autant dans le domaine religieux que celui de la vie profane. Jésus a déclaré dans Matthieu 6:24 : « Nul ne peut servir deux maîtres. Car, ou il haïra l'un, et aimera l'autre; ou il s'attachera à l'un, et méprisera l'autre. Vous ne pouvez servir Dieu et Mamon. » Mamon étant le Dieu de l’argent, ce verset condamne clairement l’esprit mercantile du président Trump. Mais plus largement, son principe explique les échecs de la France qui a lutté contre Dieu qu’elle ne veut pas pour Maître et qu’elle rejette officiellement dans sa position dite « laïque ». Livrés à eux-mêmes et aux multitudes démoniaques, les gens politiques et la population subissent des attaques incessantes qui font échouer toutes les promesses de réussite de ses présidents successifs.
Dans les années d’insouciances, le chanteur populaire à succès nommé Michel Sardou a composé un chant sur l’abandon du paquebot de croisière nommé France. Son chant disait : « Ne m’appelez plus jamais France, la France m’a laissé tomber, ne m’appelez plus jamais France, c’est ma dernière volonté ». Ce chant prophétisait le destin sombre et funeste du pays ainsi nommé. Au Havre, j’ai connu le batteur de l’orchestre de ce navire prestigieux et son fils, batteur comme son père, jouait avec nous dans le cabaret qui nous employait. J’ai donc été marqué particulièrement par ce navire qui restait alors visible dans le port de la ville. Ce navire a été ensuite vendu et exploité par un pays étranger. Au même moment, des pourparlers mettaient en place les bases du marché commun européen et l’alliance ainsi réalisée arrachait à la France l’amour particulier de ses élites politiques et en partie de sa population. Progressivement, la France indépendante a renoncé à son indépendance et à beaucoup de choses pour plaire à ses associés étrangers. La France et les intérêts réels de sa population ont été bel et bien abandonnés, comme le disaient les paroles du chant de Michel Sardou. Le marché commun est devenu l’Union européenne et les six pays d’origine se retrouvent aujourd’hui au nombre de 27. D’abandons en concessions, la France a fermé ses productions textiles, puis sidérurgiques, se privant ainsi de nombreux emplois et des entreprises nationalisés qui faisaient sa richesse et son indépendance. Le bateau France était en train de sombrer. Cédant aux directives américaines, le pays a été mis en concurrence avec les productions chinoises qui sont devenues avec le temps les seules sources des équipements français et européens. Aujourd’hui, Jésus dirait : « Nul ne peut servir et aimer en même temps son pays et l’Europe. Car il aimera l’un et n’aimera plus suffisamment l’autre. » Et cette disparition de l’amour du sol natal est indiscutablement constatable, puisque la France prend ses ordres à Bruxelles, auprès de la direction du commissariat européen et des députés européens. La France est aujourd’hui ruinée et endettée, mais son sacrifice a été bon pour l’Europe qui elle, se porte bien. Et qu’en est-il de la population française ? Avec le temps qui s’est allongé sur 50 ans depuis 1975, des générations de jeunes gens ont grandi sous le régime européen qui est pour eux une normalité. Ils n’ont pas vécu l’époque où la France était glorieusement riche et indépendante ayant, par son indépendance, évité les excès de la politique capitaliste des USA ; les services communs les plus indispensables étaient tous nationalisés. La France produisait et vendait ses productions, profitant ainsi elle-même du travail réalisé sur son sol par sa population. Les hommes politiques se penchaient alors sur les problèmes vécus par les Français, dans leur pays. Les prix du commerce étaient contrôlés et régulés. La jeunesse actuelle n’a aucune idée de ce que la France a été. Et c’est là son drame, car elle ne peut favoriser les normes anciennes qu’elle n’a pas expérimentées. Face au désastre économique actuel, les jeunes sont désorientés et incapables de présenter un modèle réparateur de la situation ; ceci d’autant plus que les directives sont imposées par Bruxelles. A l’image du président Macron, cette jeunesse et les élites actuelles se montrent incapables d’envisager l’avenir autrement que dans l’alliance des pays européens. Et il faut le réaliser, c’est à cause de ce rassemblement de forces nationales européennes, que l’esprit européen s’est enflé et s’est cru capable d’imposer sa volonté à la Russie, s’appuyant alors, en Février 2022, sur le soutien du peuple américain et de ses armes.
Pour un jeune français actuel, la seule autorité prise au sérieux est celle de Bruxelles. La pensée de l’appartenance à l’Europe a supplanté l’intérêt pour leur nationalité natale. Quand j’étais jeune, j’ai vu que la jeunesse se rassemble et remet en cause les valeurs parentales du moment. Et toutes les générations des jeunes ont agi de même, s’adaptant ainsi aux nouvelles valeurs, comme une pièce de fonderie prend la forme du moule qui lui donne sa forme. Que peuvent aimer ainsi des générations de gens déracinés pris entre les deux autorités nationales et européennes ? Aimant insuffisamment leur pays natal, ils se retrouvent dans une sorte d’errance et face à la difficulté, leur refuge sera dans la recherche de l’union des peuples ; cette union qui fait la force.
Il est très intéressant de relever le fait que les mêmes problèmes affectent aujourd’hui les USA, le modèle initial, et l’U.E. Ceci, parce que le même type de société produit les mêmes problèmes. Car en Europe, l’origine nationale n’a pour les jeunes pas plus d’importance que les Etats aux USA. Les deux sociétés souffrent des mêmes maux et la trahison n’y choque plus personne. L’intérêt individuel justifie toutes les formes de la trahison : dans le couple, dans l’activité professionnelle, dans les jeux collectifs, et fatalement, dans les engagements d’assistance militaire. Si ces deux pays souffrent les mêmes maux, c’est parce que le deux ont adopté successivement le régime démocrate de la liberté. Mais c’est en France, que la liberté a été le plus poussé dans l’extrême, portant un fruit désastreux de violence et de férocité. L’esprit des révolutionnaires était loin de l’humanisme actuel. Marchant dans le sang répandu en abondance, jamais l’humanité n’a autant ressemblé à des fauves tueurs. La liberté fut arrachée aux royalistes à ce prix sanglant. Et aujourd’hui encore, en 2025, c’est pour défendre la liberté de l’Ukraine et des Européens, selon les paroles du président Macron, que l’Europe est invitée par Bruxelles et lui, à s’armer pour lutter contre la Russie.
Sans la forte attache de l’amour national, cette société est flottante, et elle est totalement inadaptée pour les valeurs stables absolues exigées par le Dieu créateur. On peut au mieux espérer des remises en cause individuelles de la part des vrais élus qu’elle retient encore dans ses valeurs toxiques. La guerre mondiale qui vient va secouer l’humanité entière, et en Europe, l’écroulement des murs et des maisons fera peut-être aussi écrouler les influences néfastes des fausses espérances.
Si la trahison n’est plus identifiée en Occident, c’est à cause du développement de l’individualisme et de l’égoïsme favorisés par la norme du régime capitaliste. L’acte de trahison est considéré comme un choix légitime de l’intérêt personnel individuel. Il n’en a pas toujours été ainsi, car au cours des deux premières guerres mondiales et avant elles, les traîtres étaient systématiquement haïs et tués. Les nazis allemands ont pendu vivants, à des crocs de bouchers, les officiers qui avaient pris part à la tentative de l’assassinat d’Adolf Hitler. La trahison était impitoyablement frappée et punie de mort. Et l’insensibilité, pour l’acte de la trahison des peuples occidentaux d’aujourd’hui, témoigne d’une transformation irrémédiable des esprits, précisément, fruit des actions du diable et de ses partenaires célestes et humains.
Jésus ne nomme pas « la trahison » mais il énumère ses fruits dans Apocalypse 22:15, en disant : « Dehors les chiens, les enchanteurs, les impudiques, les meurtriers, les idolâtres, et quiconque aime et pratique le mensonge ! » Jésus dit « Dehors », il expulse ainsi de son Elue des faux chrétiens qui trahissent ses valeurs divines, qui sont l’inverse de celles qu’il nomme et condamne soit, la pureté, le pacifisme, la fidélité, et l’amour de la vérité. Il fait sortir de l’engagement chrétien, des Chrétiens infidèles, comme il avait chassé deux fois du temple de Jérusalem les marchands qui s’y étaient installés. Et les derniers sont aussi, des marchands qui sacrifient toutes les valeurs divines sur l’autel du commerce international.
Je n’exagère rien en dénonçant la perte de sensibilité pour la trahison dans l’Occident, car dans la dérive perverse des valeurs, je relève que le jeune président Macron, élu en 2017 et réélu en 2022, a, de sa bouche, témoigné qu’il aime les gens cyniques, se reconnaissant, lui-même, cynique.
A l’opposé du modèle occidental, le peuple russe est très conservateur et moins libéré, étant resté sous des régimes durs, les esprits sont encore très disciplinés et peu rebelles envers leurs autorités nationales. Ils ont donc conservé la sensibilité à l’acte de trahison puni systématiquement de mort. Et c’est particulièrement le cas dans le milieu mafieux de Saint Petersburg duquel est sorti le président Vladimir Poutine. Les commentateurs d’une chaîne info télévisée le rappellent à souhait et devraient dans ce cas, comprendre sa sensibilité envers la trahison. Mais ce n’est pas le cas, parce que eux, la trahison, ils ne la relèvent pas et ne l’identifient pas. Et je le rappelle, en Occident, la trahison cause d’innombrables divorces tant elle est devenue légitime.
Mais la Russie n’est pas seule à condamner la trahison, car ce comportement normal est aussi celui de tous les peuples dits sous-développés. La trahison prend ainsi valeur de critère de la société occidentale dite développée et progressiste, si fière de son modèle de civilisation, et ce n’est pas à sa gloire et encore moins, à la gloire de Dieu. Car la trahison est partout, dans la religion comme dans la vie politique dans laquelle, pour obtenir un poste de ministre, des députés rejoignent ceux qu’ils ont combattus ; ceci, sans état d’âme, ni honte, ni scrupule.
Les mots ont un sens, et celui de « trahison » porte un sens péjoratif qui inspire un profond dégoût lorsqu’il est évoqué, et il représente la chose la plus abjecte qui puisse se concevoir. Mais comme tout autre péché, la trahison peut être pardonnée si elle est suivie du fruit de repentance évident et indéniable. Même ceux qui par aveuglement ne la discernent pas et ne l’identifient pas éprouvent de la répugnance lorsqu’il est évoqué. Et bien sûr, son application la plus odieuse est celle que l’homme commet contre Dieu, c’est pourquoi, Judas Iscariot est resté dans toutes les pensées chrétiennes l’image du traître absolu, l’abomination du genre humain. Mais il y a de multiples façons de trahir Dieu très différentes de l’action de Judas qui vendit Jésus aux autorités juives pour trente deniers que dans Zacharie 11 :12-13 Dieu prophétise disant : « Je leur dis : Si vous le trouvez bon, donnez-moi mon salaire ; sinon, ne le donnez pas. Et ils pesèrent pour mon salaire trente sicles d'argent. YaHWéH me dit : Jette-le au potier, ce prix magnifique auquel ils m'ont estimé ! Et je pris les trente sicles d'argent, et je les jetai dans la maison de YaHWéH, pour le potier. »
Nous lisons dans Matthieu 27:3 à 5 : « Alors Judas, qui l'avait livré, voyant qu'il était condamné, se repentit, et rapporta les trente pièces d'argent aux principaux sacrificateurs et aux anciens, en disant : J'ai péché, en livrant le sang innocent. Ils répondirent : Que nous importe ? Cela te regarde. Judas jeta les pièces d'argent dans le temple, se retira, et alla se pendre. » Il est bien dit « Judas se repentit », mais son comportement dévalorise cette repentance. Car il a commis une deuxième faute en revenant chercher le pardon auprès des autorités juives ; il aurait dû s’en remettre directement à Dieu. Son repentir ne fut pas confirmé par le bon fruit de repentance et ce choix l’a conduit à se donner la mort pour deux raisons : le sentiment de la culpabilité, et la désespérance de l’échec de ses projets politiques de serviteur du roi des Juifs. Et finalement, l’utilisation des trente sicles d’argent prophétisée est confirmée dans les versets 6 à 8 : « Les principaux sacrificateurs les ramassèrent, et dirent : Il n'est pas permis de les mettre dans le trésor sacré, puisque c'est le prix du sang. Et, après en avoir délibéré, ils achetèrent avec cet argent le champ du potier, pour la sépulture des étrangers. C'est pourquoi ce champ a été appelé champ du sang, jusqu'à ce jour. » Le mot potier est resté lié à la mort de Jésus-Christ puisque près de son tombeau donné par le riche Joseph d’Arimathée, se trouvait une activité de potier dont les traces sont encore présentes dans le « Jardin de la tombe » à Jérusalem à l’extérieur des remparts de l’ancienne ville.
Aujourd’hui, en 2025, et depuis l’an 313, le faux christianisme trahit Jésus en ne portant pas les fruits qui témoignent de la puissance de sa grâce. La réconciliation avec Dieu, par son sang versé à Golgotha, n’est légitime et réelle qu’en produisant ce fruit de repentance. Il est écrit dans Romains 5:20-21 : « Or, la loi est intervenue pour que l'offense abondât, mais là où le péché a abondé, la grâce a surabondé, afin que, comme le péché a régné par la mort, ainsi la grâce régnât par la justice pour la vie éternelle, par Jésus Christ notre Seigneur. » Ce verset oppose bien, « le péché » et « la grâce » obtenue par la vraie foi en Jésus-Christ. Or, en comparant les définitions des mots « péché et grâce », des contraires absolus, « le péché » étant la transgression de la loi divine, selon 1Jean 3:4, « la grâce » est donc le pardon divin qui produit l’obéissance à cette loi de Dieu. Car Jean dit : « Quiconque pèche transgresse la loi, et le péché est la transgression de la loi. Or, vous le savez, Jésus a paru pour ôter les péchés, et il n'y a point en lui de péché. Quiconque demeure en lui ne pèche point ; quiconque pèche ne l'a pas vu, et ne l'a pas connu. » Et celui qui pèche le trahit, s’il se réclame de sa grâce. Les faux chrétiens transforment l’intention divine citée, « pour ôter les péchés » qu’ils remplacent dans leur esprit par « ôter » la condamnation divine du « péché ». Mais cette approche légaliste n’exprime pas entièrement le but recherché par Dieu qui consiste à obtenir l’amour parfait de la part de ceux qu’il sauve.
Ainsi, après la soumission à la loi divine, vient la démonstration de la preuve de l’amour qui lui est rendu. Et c’est là, que l’intérêt pour la parole prophétique prend tout son sens. Il ne s’agit plus là, d’une soumission légale, mais d’une recherche, par l’élu, de lien profond et sincère avec Dieu, qui témoigne du fait que Dieu est réellement traité comme un être vivant, en lequel l’élu véritablement racheté fonde toute son espérance. Or, c’est en péchant par ce manque d’intérêt, que la dernière Eglise institutionnelle nommée « Adventiste du septième jour » reconnue et fondée par Dieu en 1863 et entrée en mission universelle en 1873, est tombée en 1994, après la religion protestante, tombée pour les mêmes raisons, en 1843 et 1844.
Quel est donc le bilan final des multiples trahisons ? Pour les faux chrétiens, un rendez-vous, avec le Dieu de vérité, manqué. Et pour tous les autres incroyants, la souffrance et l’ignorance du chemin conduisant au vrai bonheur éternel qu’ils recherchent néanmoins, constamment, tout le long de leur vie.
M44- Les limites d’une démocratie
La malédiction de Dieu qui frappe particulièrement la France se traduit dans l’actualité de la semaine du 18 au 25 Juillet par des témoignages très éloquents. Une pétition signée par près de deux millions de signataires dénonce auprès de l’Assemblée Nationale, un vote par lequel les députés ont majoritairement adopté l’autorisation demandée par un sénateur agriculteur, permettant l’utilisation d’un pesticide agricole qui tue les insectes qui s’attaquent aux betteraves et autres productions. En avance sur la décision européenne, la France avait interdit l’usage de ce produit. Des écologistes se sont insurgés ulcérés par ce vote effectué sans discussion et avis de spécialistes. Déjà je relève que dans le même esprit que celui des Mèdes et des Perses pour lesquels, leur loi écrite était immuable, nos représentants politiques français viennent de déclarer que la loi adoptée ne pouvait pas être remise en cause par les députés de la chambre nationale. Cette situation témoigne que la loi n’est pas faite pour l’homme mais à l’inverse, c’est l’homme qui est fait pour obéir à la loi. Cette conception de la loi est paradoxalement celle de gens dont les esprits sont particulièrement rebelles. Et ce respect irraisonnable de la loi républicaine rend leur mépris pour la loi divine encore plus condamnable. Le premier ministre confirme ce caractère impossible de retour en arrière, et interviewé à son tour le ministre de l’intérieur, Mr Bruno Retailleau a témoigné de la même manière, expliquant que selon les scientifiques, le produit n’était pas identifié comme étant cancérigène. Cet argument est très révélateur, car ces gens politiques, représentant l’élite française, considèrent que le poison qui tue l’insecte peut en même temps être inoffensif pour l’être humain. Dans ma logique, le poison qui tue l’insecte tue également l’homme, sous condition d’augmenter la dose absorbée. Or, la généralisation de ces poisons chimiques inventés par les scientifiques, dont les premiers furent américains après la fin de la Deuxième Guerre Mondiale ; eux qui mirent au point le DDT, est à l’origine du « cancer ». Cette maladie est causée par le dérèglement du métabolisme humain naturel et le cancer se fixe sur l’organe le plus faible de la victime humaine. Etant tous différents, nos points de faiblesses le sont également. C’est pourquoi, le cancer se développe dans les poumons, le cerveau, le sang ou n’importe quel organe du corps humain. La confiance aveugle des incrédules pour leurs scientifiques est à la hauteur de leur mépris pour les valeurs sanitaires prescrites par Dieu. Je compare cette déconnexion des lois de la vie naturelle aux exigences présentées par Dieu à ce sujet. Pour Dieu, le poison commence par l’aliment qu’il juge impur. Et pour l’homme sans Dieu de l’élite moderne, le poison doit être identifié par un scientifique. Mais qu’est-ce qu’un scientifique ? C’est un homme ou une femme qui s’affranchit des raisonnements moraux et ne reconnaît de valeur qu’à ce que ses yeux et son esprit constate comme une réalité indéniable. Les chercheurs scientifiques de la chimie travaillent sur le réel, et construisent des molécules en combinant diverses matières. Ils ne voient aucune logique à restreindre le champ d’application de leurs travaux. Je précise qu’ils portent la responsabilité de toutes les dérives morales de l’Occident constatées depuis 1945 année de la première utilisation historique du feu nucléaire par les USA contre le Japon. La science a remplacé la religion dans les esprits humains et elle a repris à son compte toute l’influence que la religion avait sur les masses populaires humaines. Le constat d’une telle différence de raisonnement révèle les deux chemins présentés par Dieu devant les pas de l’homme : la vie qui conduit à la vie et la mort qui entraîne vers la mort. Car, la production de la chimie humaine est incontestablement le premier pas de la marche vers la mort. La nature créée par Dieu n’a pas été créée capable de résister au dérèglement de son principe naturel. La preuve apparaît dans nos vies où la faute qui agresse notre vie naturelle se paie par la maladie plus ou moins grave.
Dans la journée du Jeudi 24 Juillet, le ministre de l’intérieur s’est permis de faire une déclaration concernant le président Macron, disant aux journalistes, que le « macronisme finira avec Macron, président jusqu’en 2027. Car le macronisme ne repose pas sur une doctrine mais uniquement, sur l’homme nommé Macron. »
Ce jeune président qui donne tous les signes d’un homme autiste par son comportement autoritaire et entêté est aussi un authentique caractériel qui ne supporte ni l’humiliation ni la contradiction à laquelle il a répondu à l’époque du virus Covid-19 à l’intention des Français « gaulois réfractaires » en disant je vais les « en…der», mot que je ne peux pas reproduire à cause de sa vulgarité. Le fruit de cette contrariété est apparu dans la soirée du même jour ; le président a déclaré officiellement sa décision de faire reconnaître par le France, l’Etat de la Palestine en Septembre prochain devant l’ONU.
Le président nous montre ainsi combien il supporte très mal la situation dans laquelle il se trouve actuellement et depuis sa décision de dissoudre l’assemblée nationale dans laquelle il disposait d’un nombre de députés favorables important. Ainsi, malgré, les grands pouvoirs que la 5ème Constitution lui confère, le président, sans majorité législative ne dispose plus du moyen légal pour faire appliquer ses volontés. La 5ème République avait donc un tendon d’Achille qui la rendait vulnérable et l’adoption du quinquennat venu remplacer le septennat n’a pas permis d’éviter le piège de la perte de la majorité. Et, il faut le reconnaître, ce piège était inévitable, car personne ne peut garantir la prolongation du soutien politique donné par des êtres humains libres et changeants. Et les hommes changent parce que les conséquences de leurs jugements erronés font changer la situation générale dans laquelle ils évoluent. Selon son expression, Dieu fait retomber leurs œuvres sur leurs têtes. Par leurs députés, les Français ont détruit leur pays et l’ont ruiné. C’était le prix à payer pour développer une fausse fraternité avec leurs concurrents européens. Et en parallèle, l’accueil des immigrés musulmans a pour conséquence la cohabitation des vrais français avec les ennemis d’hier et de demain. Car le mot le plus entendu depuis des années est le mot insécurité. Des crimes, des assassinats, sont commis par des jeunes engagés au service de barons de la drogue. Qui sont ces barons ? Des jeunes maghrébins qui trouvent dans ce commerce illicite, le moyen de s’enrichir sans avoir recours aux diplômes de la France détestée depuis toujours. Le colonialisme a laissé derrière lui des blessures qui ne cicatrisent pas.
Cette semaine, cette funeste réalité marque encore la différence entre le président Macron et le ministre de l’intérieur Bruno Ratailleau. Les deux hommes font face au même problème, mais ils pensent le régler de manière opposée dans l’absolu. Mr Ratailleau ne voit que la réponse ferme et active pour réprimer les actes d’incivilités perpétrés par les immigrés hostiles. C’est aussi, ce qu’il préconise pour répondre à l’hostilité des dirigeants de l’Algérie. A l’inverse, Mr Macron adopte la politique de celui qui n’entend pas ou fait semblant de ne pas entendre. Cette absence de réponse favorise la croissance du mal qui finira par devenir insupportable et conduira à un affrontement final inévitable. Dans sa réponse ferme, Mr Ratailleau prend le risque d’un affrontement immédiat prévisible, ce qui donne aux deux choix, le même résultat. En repoussant à plus tard, Mr Macron prolonge le comportement de tous ses prédécesseurs qui ont, pendant des décennies, eux aussi, préféré » faire le gros dos » pour éviter l’affrontement direct contre leurs ennemis de l’extérieur et ceux de l’intérieur, Refusant longtemps de stigmatiser les jeunes immigrés musulmans, les médiats les ont désignés par l’expression « les jeunes ». Ce masque trompeur les a empêché d’identifier leur vrai problème. Il s’agissait bien de jeunes, mais de jeunes maghrébins de religion musulmane, conscients de vivre dans le pays combattu par leurs pères et frères nationaux de leurs différentes origines soit, la Tunisie, l’Algérie et le Maroc.
C’est donc avant tout, pour calmer sa colère et assouvir son désir de briller au niveau international que l’imprévisible Emmanuel Macron a fait sa déclaration au sujet de sa reconnaissance de l’Etat de la Palestine. Il était bloqué au niveau intérieur politique de la France, et a voulu donner à ses adversaires internes une preuve de son autorité qui les engage, avec toute la nation et sa population. Mais malheureusement pour ses électeurs, la décision de faire une déclaration de ce genre va avoir des conséquences fâcheuses. Car ce partisan du « en même temps » s’engage officiellement dans une voie hostile envers les Israéliens, se montrant favorables aux Palestiniens dont il devient un soutien pour leur cause. Déjà, dans le problème de l’Ukraine, après avoir tenté une conciliation entre l’Ukraine et la Russie, se sentant humilié par la Russie, Mr Macron s’est officiellement rallié à la cause de l’Ukraine. Pour ces choses, le « en même temps » n’a qu’un temps, car la neutralité n’était plus possible depuis l’engagement officiel de la présidente de la Commission européenne en faveur de l’Ukraine soutenue alors par les USA.
Le mois d’Août qui nous sépare du mois de septembre va donc être vécu dans une grande impatience par les partisans des Palestiniens, en France comme à Gaza ou en Cisjordanie et partout où vivent des Palestiniens émigrés. Les députés de la gauche française reprochent au président français de ne pas rendre sa décision officielle immédiatement et ne sont donc pas contents bien que la décision prise soit favorable à leur prise de position. Et à l’opposé, les députés de la droite suffoquent d’indignation par cette déclaration hostile à Israël qu’ils soutiennent largement dans sa lutte contre les extrémistes palestiniens du Hamas. Mais le groupe Hamas n’est que le successeur des terroristes de la cause palestinienne qui est à l’origine du réveil belliqueux musulman en Iran et dans de nombreux pays musulmans du Moyen-Orient et de l’Orient asiatique.
Chaque jour, des mauvaises nouvelles s’imposent aux Occidentaux qui découvrent ainsi, leur long aveuglement tant ils ont investi dans le projet de paix. En apparence seulement, rien ne semblait pouvoir entraver le développement de leur modèle de société envié dans les pays de l’Est par une partie des populations ; les pays Baltes, la Pologne et l’Ukraine étaient de ce nombre et ont profité de l’affaiblissement de l’Union Soviétique, pour rejoindre le camp européen après 1990-1991. En premier, l’Allemagne de l’Est et la Pologne données à la Russie soviétique comme dommage de guerre, avaient une légitimité à retrouver leur place dans ce camp européen. Mais les pays Baltes et l’Ukraine n’ont pas cette légitimité car ils étaient dans le camp russe depuis longtemps. Le rideau de fer qui séparait le camp occidental du camp de l’Est était vraiment un rideau qui marquait en esprit la séparation de deux conceptions de vie opposées à l’extrême. La Russie socialiste a combattu la religion et a réussi à imposer son modèle dans tous les territoires placés sous sa domination. La Révolution russe de 1917 a reproduit dans l’Est, ce qu’en France Dieu a fait accomplir sous le nom symbolique de « la bête qui monte de l’abîme » dans Apocalypse 11:7. La négation de l’existence de Dieu y a produit le même fruit de violence et de mort : en France les Révolutionnaires contre les royalistes ; en Russie, les russes rouges contre les Russes blancs. Sous sa domination tyrannique, le régime soviétique a imposé à ses populations un comportement docile et soumis ; la menace de la mort étant constante dans des pays au climat rude et froid. Et ce climat qui rend la vie dure et difficile favorise l’esprit de soumission des êtres humains. La pauvreté réduit le risque de l’insurrection et les peuples concernés apprennent à se contenter du minimum. Depuis Vladimir Poutine, la religion chrétienne dite « orthodoxe » de l’héritage romain de l’empire chrétien oriental a repris vie et influence. Mais la Russie doit s’accorder avec des populations musulmanes. Elle a dû réprimer sévèrement les soulèvements des Tchétchènes et depuis, les autres pays musulmans restent religieusement libres et restent membres de l’alliance russe. Ces alliances contre nature n’ont rien d’étonnant pour un serviteur de Dieu éclairé par son jugement révélé dans ses prophéties bibliques. En fait, malgré leurs différences relevables, les deux « bêtes montées de l’abîme » ont laissé après leur disparition le même type de mélange impur de faux croyants chrétiens ou musulmans et de gens athées ; tous marchant vers « l’abîme », soit, l’anéantissement de toute vie rebelle non conforme aux valeurs représentées par l’homme juif nommé Jésus-Christ.
L’ignorance de cette exigence divine rend les faux croyants incapables de discerner, le vrai du faux, le bien du mal. Et le fruit de leur aveuglement spirituel se traduit par de fausses illusions, de fausses conceptions concernant Dieu et ses œuvres. Et Dieu étant le juge suprême de toutes ses créatures angéliques célestes et humaines terrestres, le pire pour un être humain est de mal interpréter son jugement. En Occident, chacun peut librement le découvrir en lisant la sainte Bible qui révèle avec son jugement, le caractère de Dieu. Dans leur imperfection, les faux croyants imputent au Dieu créateur leur propre caractère. Acceptant le principe du compromis, il le légitime religieusement. Ils oublient qu’étant dit « sans péché », Jésus-Christ n’a jamais cédé au moindre compromis et que ses fidèles élus, les vrais, s’efforcent de faire de même. Or, les relations humaines des populations occidentales chrétiennes par leur origine ne fonctionnent que sur l’acceptation du compromis. Aussi, ces gens considèrent et jugent les vrais « fils de Dieu » comme étant, religieusement, des êtres fanatiques incapables de s’accorder avec les autres gens humains qui constituent leur normalité.
En France, le modèle républicain est exalté et promu au titre de pays de droit. Ceci signifie que la vie collective de la population repose entièrement sur la reconnaissance de la légitimité des lois édifiées par le parlement des députés et promulguées par le président de la République. L’autorité de la lettre est ainsi interprétée comme base fondamentale du vivre ensemble. Mais ce que les Républicains ont sous-estimé, c’est l’importance de l’adhésion à ce principe de la part des individus qui composent cette société. C’est cette adhésion qui permet sa réussite ou provoque son échec. C’est si vrai que dans les vraies dictatures, la nécessité de l’adhésion conduit le régime du dictateur à imposer par la contrainte des esprits et des corps sa population ; n’hésitant pas à tuer les résistants. Après de gros bains de sang dans le temps de sa mise en place, le régime républicain s’est adouci. Très adouci, tant il a à se faire pardonner, il n’est plus imposé par la force mais recherche le soutien et l’adhésion volontaire. Pour la France d’aujourd’hui et déjà depuis 1995, la Constitution de la 5ème République a en face d’elle deux concurrentes : l’assemblée européenne et son commissariat, et la loi islamique. Car sa population immigrée primitivement et majoritairement maghrébine se montre très religieuse. Et ne t’en étonne pas, car là où n’est pas la vérité enseignée et portée par Jésus-Christ, le diable ne retient pas …il pousse et incite l’être humain dans le fanatisme religieux. Car la simple idée de vouloir contraindre une personne à se convertir religieusement ne tient pas compte de la raison pour laquelle Dieu a créé dans le ciel et sur la terre des vis-à-vis qu’il laisse en libre choix, choisir de marcher avec lui ou pas. Contrairement à ce qu’enseignent les fausses religions, le projet de Dieu n’est pas d’obtenir l’obéissance de toutes ses créatures dans notre temps de vie actuel. Son projet concerne l’éternité qui va s’ouvrir pour ses élus dans cinq années, au jour du printemps 2030. Notre temps de vie actuel n’est utile pour lui que pour sélectionner les élus qui viennent librement vers lui ; ce qui nécessite une parfaite compréhension de son offre de salut. Cette offre est présentée de manière continuelle dans des conditions qui sont, elles, très différentes. La vie tribale, le régime monarchique et celui de la République sont très différents et ont peu de choses en commun, si ce n’est cette offre de salut proposé par Dieu au nom de Jésus-Christ. Mais il s’agit bien d’une proposition et non d’une obligation. Chaque choix étant suivi par ses conséquences, Dieu propose la vie ou la mort qui vont prendre finalement une forme éternelle. Même la mort peut être dite éternelle dans le sens où son action destructrice de la vie est irréversible et définitive pour l’éternité. Mais dans ce cas, ce terme éternel ne peut s’appliquer qu’à la « seconde mort » du jugement dernier évoqué et révélé dans Apocalypse 20. Car ce que les gens incrédules ou athées ignorent, c’est que la « première mort » considérée par les humains comme naturelle ne fait que prophétiser la « seconde mort » imposée à tous les gens rebelles et les incroyants par Dieu, au jour du jugement dernier inévitable et incontournable pour eux. Et c’est un sort différent réservé pour ses élus qui conduit Jésus à dire dans Jean 5:24 au sujet de ceux qu’il est venu sauver : « En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole, et qui croit à celui qui m'a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie. »
L’offre de la vie éternelle proposée par Dieu est soumise à condition. Dans ce verset de Jean 5:24, Jésus en présente deux qui confirment l’importance des deux alliances proposées successivement par Dieu au cours de l’histoire humaine des dernières 4000 années de son temps fixé. Concernant la nouvelle alliance, Jésus dit : « celui qui écoute ma parole » ; et évoquant l’ancienne alliance et ses instructions religieuses, il dit : « et qui croit à celui qui m'a envoyé ». En présentant ces choses dans cet ordre, Jésus adresse ses paroles aux nombreux païens qui vont se convertir pour bénéficier de son offre de grâce divine, et qui vont montrer leur croyance à « celui qui l’a envoyé » en recevant le témoignage biblique de l’ancienne alliance. C’est pour confirmer cette démarche, que Jésus évoque sans cesse, le « Père céleste » qui reste immuablement rattaché aux lettres de la loi divine donnée aux Hébreux. Et l’offre de salut accomplie en Jésus-Christ est présente sous forme symbolique dès le commencement de l’histoire de cet Israël arraché par Dieu à l’esclavage égyptien. Car sous la forme de l’archange nommé Micaël, le vrai Dieu et chef des anges, c’était Jésus-Christ qui a agi et a déjà conduit son peuple vers la liberté réelle, très différente de la conception actuelle de ce mot. Car Dieu ne propose en réalité que le choix entre deux esclavages. C’est en effet, au titre d’esclaves que les élus choisissent librement de se placer au service de Dieu pour une vie éternelle ; et l’autre choix consiste à rester esclave du péché et à subir son salaire final : la mort.
En ne condamnant pas David quand, ayant faim, il mangea avec ses partisans les pains de proposition présentés dans le temple hébreu, Dieu révèle sa vraie nature constituée d’une bonté inégalée en recherche d’amis et d’amour. Dans ce témoignage il a donné la preuve de la supériorité de l’affection contre le principe de l’obéissance servile à la lettre qui dans ce cas, tue et ne sauve pas.
Le régime républicain démocrate du type français s’achoppe sur ce sujet. Il n’est pas conscient que la lettre de la loi ne sert qu’à démontrer l’impossibilité de la voir respecter parfaitement par tout le monde. Or, c’est cette impossibilité que la loi divine de l’ancienne alliance avait pour but de démontrer. L’obligation échouant, Dieu utilise la séduction de son offre de grâce en Jésus-Christ pour attirer ses élus vers lui. La démonstration est ainsi faite et témoignée que seuls le libre choix et la libre adhésion obtiennent le résultat parfait souhaité et désiré.
Dans sa démarche, la démocratie, se confronte à de multiples choix totalement incompatibles entre eux. Comment concilier la loi républicaine laïque et l’exigence de la loi islamique. Et si je cite cette loi islamique, je dois aussi rappeler que le simple fait de respecter le vrai modèle enseigné par Jésus-Christ serait lui aussi totalement incompatible avec la loi dite laïque. En fait, en France le principe dit laïc ne prend pas la forme qu’il devrait présenter, précisément parce que les défenseurs du principe laïc ne supportent pas la différence exigée par les comportements religieux. Et je devrais préciser, ne supporte plus et de plus en plus, car pendant des décennies, les gens laïcs ont toléré et accepté les différentes formes religieuses exprimées dans le pays. Il faut dire que l’agressivité est venue du monde musulman, ses représentants reprochant aux Français, leur attitude irréligieuse et leur passé colonialiste. Pour les Français, un « bras de fer » s’est donc engagé avec un adversaire musulman bien plus résistant que le faux christianisme prêt à accepter tous les compromis.
La formation religieuse dans la vérité du vrai Dieu créateur, unique et inimitable, ouvre les yeux de ses serviteurs en leur permettant de voir l’existence comme elle doit être vue. A l’opposé, les gens irréligieux ou faussement religieux regardent la vie dans un miroir qui la déforme et s’adapte à leurs souhaits et désirs jusqu’à ce que, rencontrant trop d’obstacles, ils préfèrent la quitter, en se suicidant ou en l’exposant au risque mortel, comme l’engagement guerrier ou l’exploit sportif téméraire.
Eclairé par sa connaissance biblique, l’élu de Dieu est préparé à accepter l’existence d’un camp rebelle destiné à la « seconde mort ». A l’inverse, dans ce camp, les gens sans Dieu ne se résolvent pas à accepter l’échec et ils pensent toujours qu’ils vont trouver la solution qui obtiendra la réussite. Ce dicton populaire le confirme en disant ; « Tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir ». C’est vrai pour les élus qui cherchent la vérité divine dans sa parole, là où elle est, mais pour les autres, le prolongement de vie et l’espérance sont voués à l’échec. C’est pourquoi, endurcis, les esprits de ces gens rebelles ne sont pas convertibles.
Quand l’homme est ainsi destiné à la perdition, il ne peut plus changer son destin et se retrouve dans la situation du pharaon hostile à l’ordre donné par Dieu : « laisse mon peuple sortir pour se recueillir dans le désert ». Dans la vie des Pharaon, jamais de tels ordres n’avaient été présentés qui plus est, par un Dieu invisible, favorable aux Hébreux. Jusque-là, Pharaon avait obtenu l’obéissance de tous ses sujets dont ses prêtres religieux par lequel, le diable lui assurait sa domination en répondant à ses désirs. Sa confrontation avec le vrai Dieu allait lui être fatale comme lorsque le pot de fer heurte le pot de terre. Hélas pour lui, le Pharaon rebelle et obstiné pensait être lui-même un pot de fer, aussi est-il allé jusqu’au bout de son entêtement aveugle qui l’a conduit à la mort dans la mer Rouge. Ainsi nommée, cette mer avait vocation à recueillir le sang des Egyptiens, les ennemis de Dieu et de son peuple Israël. Ce premier sort subi par les Egyptiens rebelles ne constituait qu’un solennel avertissement divin, qui venait renouveler celui que Dieu avait donné, par le déluge, au temps de Noé. Cette expérience égyptienne prend la forme d’une leçon révélée dans la vision de l’Apocalypse reçu par l’apôtre Jean. Les acteurs de cette mise en scène sont Dieu et ses élus qui remportent la victoire contre Satan et ses suppôts célestes et terrestres avec pour résultat la victoire du camp de Dieu déjà obtenue au niveau de la vie de la dimension céleste, selon Apocalypse 12:7 à 9 : « Et il y eut guerre dans le ciel. Michel et ses anges combattirent contre le dragon. Et le dragon et ses anges combattirent, mais ils ne furent pas les plus forts, et leur place ne fut plus trouvée dans le ciel. Et il fut précipité, le grand dragon, le serpent ancien, appelé le diable et Satan, celui qui séduit toute la terre, il fut précipité sur la terre, et ses anges furent précipités avec lui. » L’issue finale du dernier combat terrestre à motivation spirituelle est aussi prophétisée dans Apocalypse 19:19 à 21 : « Et je vis la bête, et les rois de la terre, et leurs armées rassemblés pour faire la guerre à celui qui était assis sur le cheval et à son armée. Et la bête fut prise, et avec elle le faux prophète, qui avait fait devant elle les prodiges par lesquels il avait séduit ceux qui avaient pris la marque de la bête et adoré son image. Ils furent tous les deux jetés vivants dans l'étang ardent de feu et de soufre. Et les autres furent tués par l'épée qui sortait de la bouche de celui qui était assis sur le cheval; et tous les oiseaux se rassasièrent de leur chair. » En citant « l’étang ardent de feu et de soufre », ces versets font plus que prophétiser le dernier combat terrestre accompli au retour de Jésus-Christ ; il prophétise en synthèse également le résultat de la toute dernière confrontation entre, Dieu et ses élus rachetés, et les divers sortes de gens déchus, dans le contexte final du « jugement dernier » qui s’accomplira à la fin du septième millénaire ; moment où les déchus seront à leur tour ressuscités par Dieu pour subir leur dernière et « seconde mort ».
Dans ces versets, Dieu révèle son sens parfait de la justice qui tient l’enseigné agressif plus coupable que l’ignorant pacifique, ou pas. La culpabilité est donc châtiée en proportion de la connaissance disponible et méprisée par les accusés, en leurs diverses époques. Les Chrétiens adventistes condamnés par Dieu sont à ce titre plus coupables que tous les autres, parce qu’ils ont rejeté les vérités les plus importantes que Dieu leur a fait présenter, par mes travaux, entre 1980 et 1991. 1994 a scellé leur funeste destin. Ils ont été les derniers à rejoindre le camp du faux prophète cité dans ces versets et qui désigne la religion protestante prétendue réformée entrée dans l’alliance œcuménique organisée sous la tutelle religieuse catholique romaine. C’est donc, ce catholicisme papal romain que Dieu désigne en l’appelant « la bête ». Car le catholicisme se compose d’une autorité religieuse, le pape et son clergé constitué de Cardinaux, d’Evêques, de prêtres et de diacres, auquel s’ajoute le soutien populaire des gens baptisés catholiques, parmi lesquels, les chefs terrestres, tels les rois et les présidents des Républiques démocratiques. Le témoignage historique le prouve, le mépris de la vérité divine dirige et prépare l’être humain à finir par combattre Dieu lui-même et ses élus véritablement rachetés par le sang parfaitement innocent de Jésus-Christ.
Dans leur compréhension faussée, les gens démocrates pensent, en France, trouver dans la position laïque une situation de neutralité religieuse qui n’existe pas. Ignorant la condamnation divine révélée, ils imputent à Dieu leur propre manière de juger, soit injustement et de manière inique. Ils s’auto-justifient et se pardonnent, eux-mêmes, les fautes qu’ils commettent. Mais ce temps de trompeuse illusion va bientôt prendre fin et le funeste destin que Dieu leur a préparé leur sera imposé, provoquant chez ces gens imprudents et superficiels, selon leurs caractères et natures individuels, les pleurs et les grincements de dents, étant incapables d’échapper aux châtiments du Dieu amour et justice méprisé. Et selon sa justice annoncée, le mépris finit par retomber sur la tête des coupables.
Pour en finir avec ce sujet, je souligne ici, le rôle néfaste du développement des contacts par les réseaux d’internet. Nos démocraties sont confrontées à une concurrence d’influence médiatique d’un niveau jamais atteint. Car des multitudes de gens se mettent en valeur sur leur blog personnel et s’habituent de la sorte à exprimer leurs idées sur tous les sujets, entrant ainsi en concurrence avec les spécialistes médiatiques et politiques officiels qui perdent du coup une partie de leur influence et de leur efficacité sur la gestion de leur pays. En France, le résultat de ce grand changement est l’éclatement des partis politiques, et l’insatisfaction des individus ne fait que croître rendant la gouvernance encore plus difficile. L’utilisation intensive des réseaux d’internet discrédite les hommes politiques que chacun peut critiquer publiquement dans un grand partage national et international. Internet rend les gens exigeants et peu patients envers ce qu’il désapprouve, personnellement. Les prises de positions sont si nombreuses et différentes d’une personne à l’autre que la norme du parti politique traditionnel ne réussit plus à satisfaire les choix exprimés. Déjà rebelle de manière naturelle, la population française l’est encore davantage, depuis l’utilisation des réseaux sociaux. Ceci, au point qu’internet est bien l’outil type par lequel la séduction des humains des derniers jours s’effectue en confirmation des annonces prophétiques faites par Jésus-Christ dans Matthieu 24 et dans Apocalypse 13:13 : « Elle opérait de grands prodiges, même jusqu'à faire descendre du feu du ciel sur la terre, à la vue des hommes. » Ce verset prophétise le feu atomique de 1945 et internet est le dernier prodige séducteur qui assure aux USA leur domination sur tous les esprits humains séduits par cette invention de l’armée américaine. Le réseau et son service ont été ensuite abandonnés et livrés par l’armée à l’usage collectif civil pour une exploitation commerciale finale très lucrative pour « les marchands de la terre » américains.
Je souligne à ce sujet ; le rôle d’internet dans la vente par correspondance qui détruit, par sa concurrence et ses avantages, tous les commerces locaux des nations européennes. Par internet, les USA détruisent les économies des pays libres occidentaux européens qui sont contraints d’accepter progressivement de plus en plus, les conditions commerciales imposées par les USA. Dans l’actualité, ce dimanche 28 Juillet, une rencontre directe entre Donald Trump et la présidente de la Commission européenne est prévue en Ecosse, ceci en vue de s’accorder ou pas sur les taxes douanières qui doivent être adoptées par les deux puissances. Mais au sein de l’Europe, les intérêts personnels divisent les partenaires et concurrents européens ; l’avantage est donc donné à Donald Trump, l’homme d’affaires immobilières devenu président des USA ; car : diviser, c’est régner.
En France, et en Europe, le service internet a été encouragé par les dirigeants politiques nationaux et dans la concurrence lancée entre les différents fournisseurs d’accès, les prix ont baissé et le service a été vendu en format de forfait ; ce qui a considérablement augmenté l’usage d’internet au point de produire un effet maladif de dépendance par son utilisation. Avant internet, le prix des communications téléphoniques payé à la seconde d’utilisation empêchait tout abus d’utilisation du réseau téléphonique national. Et ainsi, l’usager était protégé contre la dépendance actuelle constaté pour l’utilisation d’internet et celle du téléphone mobile numérique pris en main constamment par habitude sans réel besoin. La dépendance d’internet n’est pas seulement individuelle, elle est devenue nationale depuis que tous les services publics nationaux sont gérés par le réseau internet. Nos pays modernes sont devenus dépendants de ce réseau et je n’ose imaginer la conséquence d’une grave panne de son fonctionnement ; ce qui en fait, pour une situation de guerre, un objectif stratégique prioritaire à détruire chez l’ennemi ; les câbles sous-marin et les satellites deviennent donc des cibles d’attaques privilégiées.
Je dois encore signaler cette autre particularité qui caractérise les nations démocrates de l’Union Européenne. Sur ce territoire, les peuples ont été traumatisés par les nombreuses morts causées par la première et la deuxième Guerre Mondiale, et par réaction, ils se sont fortement attachés à l’attitude pacifique et humaniste. Convaincus de la valeur de leur modèle, ils se sont efforcés de convertir à ce pacifisme humaniste les peuples placés sous leur colonisation. Ainsi est né le devoir de l’intervention dans les affaires des autres dont le cas de la guerre des Balkans est un exemple type. Se prenant toujours comme modèle, les peuples démocrates ont tenu pour responsables de leur problèmes avec leur peuple, tous les dirigeants des pays arabes tenus par une main de fer par des chefs du type dictateur. Ce que les gens démocrates n’ont pas compris à cause de leur mépris témoigné pour le Dieu créateur, c’est que les peuples de la terre sont tous marqués par une personnalité qui n’est que le fruit de l’œuvre divine qui les construit en fonction du rôle qu’ils vont tenir dans son programme historique. Construit sur son héritage séculaire de l’islam, l’Arabe n’est pas comme l’homme occidental. Nos histoires respectives nous ont rendu très différents. La liberté, plusieurs fois réprimée, a conduit les Français vers une gouvernance de style apaisé qui fait le caractère de nos démocraties. Et ce modèle n’est pas systématiquement adoptable par les peuples musulmans au sujet desquels Dieu a prophétisé sur Ismaël leur ancêtre commun un caractère agressif belliqueux largement démontré par l’histoire et l’actualité. J’oserai donc cette image comparative, après Dieu qui a prophétisé « un âne sauvage » dans Genèse 16:11-12 : « L'ange de YaHWéH lui dit : Voici, tu es enceinte, et tu enfanteras un fils, à qui tu donneras le nom d'Ismaël ; car YaHWéH t'a entendue dans ton affliction. Il sera comme un âne sauvage ; sa main sera contre tous, et la main de tous sera contre lui ; et il habitera en face de tous ses frères. » : Ces paroles ont été tenues par « l’ange de YaHWéH », soit, par Dieu lui-même sans ange intermédiaire. Aussi cette prédiction du rôle qu’il va donner à « Ismaël » et sa descendance est des plus importantes à connaître en notre époque du « temps de la fin ». En synthèse des différentes citations bibliques, « un âne sauvage » est déjà, indomptable et il vit « à l’écart de ses frères ». En règle générale, l’Arabe est nomade et vit sous des tentes dans le désert. L’Esprit dit même, dans Job 11:12 : « L'homme, au contraire, a l'intelligence d'un fou, Il est né comme le petit d'un âne sauvage. » Un chien de combat tel le pit-Bull ne doit pas avoir pour maître un être faible et craintif. Il lui faut un maître capable de le tenir en laisse et de lui inspirer de la crainte et de l’obéissance. Aussi, faut-il le comprendre, pour son caractère impulsif, et agressif, l’Arabe ne peut obéir qu’à un dictateur capable d’employer la force pour se faire obéir et craindre. Dans l’époque des révoltes arabes successives appelées le printemps des Arabes par les démocraties, j’ai vu comment dans un aveuglement total, les Occidentaux se sont réjouis en ajoutant leur aide en voyant les pays arabes renverser l’un après l’autre tous leurs dictateurs ; le dernier ayant été le président de la Syrie, Bachar Al-Assad. Il ressort de ce comportement paradoxal que nos démocraties se sont bêtement réjouies de la chute de ceux qui dans les faits les protégeaient contre la violence arabe, maintenant et plus que jamais, relâchée et active. Les affrontements futurs qui se préparent feront regretter aux Occidentaux leurs erreurs de jugement. Mais ces comportements et ces actions ne sont que les œuvres organisées secrètement par Dieu contre ses ennemis et ceux de ses fidèles élus rachetés.
M45- Dieu et la Révolution française
La Révolution française qui a commencé traditionnellement à Paris le 14 Juillet 1789 est entièrement une œuvre divine.
Je relève déjà dans cette date des signes symboliques qui confirment cette main divine ; la date 1789 présente 2 fois le nombre 17 qui symbolise le jugement dans Apocalypse 17, et le jugement de « Babylone la grande » soit, la religion catholique papale romaine. 1789 = 17 et 8+9 = 17. Cette date présente aussi l’aspect d’un lancer croissant divin : 1 =Dieu 789 = lancer progressif. A l’inverse la date 321, année de l’abandon du sabbat par le décret imposé par l’empereur romain Constantin 1er et donc, année de l’instauration du péché du repos du premier jour fut, elle, décroissante, marquant ainsi un compte à rebours. Vers quelle autre date cette date 1789 conduit-elle ? 1798, année où devaient s’achever le règne papal romain catholique persécuteur de 1260 années réelles prophétisées en formes symboliques, « un temps, des temps et la moitié d’un temps ; quarante-deux mois ; 1260 jours, soit, en années, en mois, et en jours.
La comparaison des deux alliances divines permet de retrouver dans Lévitique 26, concernant Israël, des châtiments annoncés par Dieu analogues à ceux que prophétisent les « six » premières « trompettes » dans Apocalypse. Ainsi, Dieu dit dans Lévitique 26:23 à 26 : « Si ces châtiments ne vous corrigent point et si vous me résistez, je vous résisterai aussi et je vous frapperai sept fois plus pour vos péchés. Je ferai venir contre vous l'épée, qui vengera mon alliance; quand vous vous rassemblerez dans vos villes, j'enverrai la peste au milieu de vous, et vous serez livrés aux mains de l'ennemi. Lorsque je vous briserai le bâton du pain, dix femmes cuiront votre pain dans un seul four et rapporteront votre pain au poids ; vous mangerez, et vous ne serez point rassasiés. »
Je précise que, moi qui vit en France dans le département porteur du nombre 26 et qui sert Dieu en mission prophétique 26 siècles après Daniel, je constate avec bonheur que les dernières perles révélées par Dieu se trouvent encore dans Lévitique 26. Car pour une perle, c’en est bien une, car sans cette perle, je ne pourrai pas écrire aujourd’hui ce message au sujet de la Révolution française. Car pendant longtemps et encore aujourd’hui pour des multitudes de gens trompés et spirituellement ignorants, Dieu est le bon Dieu incapable de faire du mal à ses créatures méchantes dont il subit toutes les formes violentes de la méchanceté ; une méchanceté et une violence que ces gens imputent exclusivement au diable, quand ils croient à son existence et à celle de Dieu.
Renversant cette croyance, je démontre que Dieu est l’auteur des plus terribles châtiments qui ont frappé et frapperont encore l’humanité superficielle qui se montre incapable de le prendre au sérieux. Et dans Lévitique 26 et Apocalypse 8:12 et 11;7, « le quatrième » des châtiments de Dieu a pour rôle de « venger son alliance » Dieu précise dans sa suprême autorité : « Je ferai venir contre vous l'épée, qui vengera mon alliance ». Et à partir du 14 Juillet 1789, il a mis son projet prophétisé en œuvres concrètes. « L’épée » a été trouvée dans la force de la population de Paris. Et nous devons bien comprendre pourquoi cette « épée » frappe la monarchie française. Derrière le roi la reine et les royalistes se tient l’enseignement catholique imposé par le papisme romain. Le régime papal doit au premier roi de France, Clovis 1er, un soutien militaire auquel il doit sa réussite à travers tous les siècles qui ont suivi ce début. C’est pourquoi reconnaissante envers la France, la religion catholique a donné à la France le nom spirituel de « fille aînée de l’église ». Evidemment, dans son ignorance spirituelle, Clovis 1er ne savait pas qu’il aidait un régime diabolique que Dieu compare à une « prostituée » à laquelle il donne le nom « Babylone la grande ». Cette Babylone symbolique est calquée sur la ville chaldéenne qui portait ce nom au temps du prophète Daniel. Et sous cette ville, la traversant de part en part, se trouvait le « fleuve Euphrate » qui va ainsi, lui-aussi, symboliquement, désigner dans Apocalypse 9:14, la population catholique internationale et déjà, romaine.
Tout au long de l’histoire de France, les habitants de Paris ont défendu le catholicisme papal et royal. Beaucoup de sang a été versé dans cette ville, dont à la Saint-Barthélemy, en 1572, le sang des Protestants dont les chefs étaient réunis au Louvre, pour les fiançailles d’Henri de Navarre, le futur Henri IV, avec la princesse Marguerite. Bien sûr, la présence de ces chefs Protestants dont le chef Henri faisant alliance avec une princesse catholique n’est pas à la gloire de Dieu et Dieu le leur a fait payer par un massacre de leur vie. Mais dans cette action le catholicisme a fait montre de sa félonie, sa traitrise absolue, qui révèle sa nature réelle, purement satanique alors qu’elle ose dire à sa gloire « hors de l’église point de salut ». Cette époque des guerres de religions, qui a commencé après la publication des thèses du moine réformateur allemand Martin Luther en 1517, a été marquée par l’horreur des massacres commis pour des causes religieuses. Et Dieu nous le rappelle dans Apocalypse 11:3 : « Je donnerai à mes deux témoins le pouvoir de prophétiser, revêtus de sacs, pendant mille deux cent soixante jours. »
Dans ce verset, Dieu détourne notre attention qui porte sur les hommes qui font les œuvres pour la diriger sur ses « deux témoins » qui désignent l’écriture biblique de ses deux alliances. Car depuis son impression et sa diffusion, sa sainte Bible est la base du jugement qu’il porte sur les hommes, selon le comportement qu’ils montrent et adoptent envers elle. Et en plus du massacre de ses lecteurs protestants, le régime royal catholique français ajoute son combat contre la lecture de la Bible et sa seule, possession. C’est pourquoi, dans son récit prophétique, Dieu dirige nos regards sur le sort donné à la sainte Bible au fil du temps.
Pour sa part le catholicisme persécute la sainte Bible jusqu’au règne des rois Louis XIV et Louis XV ; l’apogée de cette lutte est atteint sous Louis XIV, le dit « roi soleil », au long règne, pendant lequel le climat a été rendu par Dieu, froid, glacial et ténébreux, marqué par des famines et par la peste.
Officiellement, les persécutions catholiques diminuent et cessent à la fin du règne du roi Louis XV car le nouveau roi, Louis XVI ne voulait pas être roi et ce sont les circonstances de la mort de l’héritier royal qui l’ont mené sur le trône de France. C’était un roi pacifique mais tout de même un roi, qui jouissait comme ses prédécesseurs d’énormes privilèges dont celui de ne jamais manquer de nourriture ; ce qui n’était plus le cas pour le peuple de France livré à la disette et la famine, parce que ruiné par les guerres de LouisXIV et les orgies coûteuses organisées par Louis XV. La guerre qui se déroulait en Amérique entre les colons entrés en insurrection contre la couronne anglaise était grandement financée par la France ; Louis XVI trouvait là, le moyen d’affaiblir l’ennemi perpétuel anglais.
Le peuple manquait donc de ce « pain quotidien » que l’homme demande à Dieu, en reprenant les paroles de la prière royale enseignée par Jésus-Christ. Or, il est bien question de « pain » dans le message donné par Dieu pour son 4ème châtiment de Lévitique 26:26 ; je cite : « Lorsque je vous briserai le bâton du pain, dix femmes cuiront votre pain dans un seul four et rapporteront votre pain au poids ; vous mangerez, et vous ne serez point rassasiés ».
Cette dernière précision, « vous mangerez, et vous ne serez point rassasiés », suggère une action miraculeuse faite par le Dieu créateur, car en règle normale, » manger suffisamment permet d’être rassasié ». Mais rien n’est impossible au Dieu créateur qui a créé l’homme et ses réactions naturelles. Déjà, Adam avait découvert la honte à cause de sa nudité uniquement après avoir péché contre Dieu. Et là, l’homme mange mais ne parvient plus à satisfaire son besoin, ne parvenant plus à être rassasié. Et déjà, je relève cette analogie avec ce peuple de France de l’année 1789. Lui-aussi, souffre de la faim qui le tenaille et le pousse à la révolte contre son roi privilégié.
En évoquant ce mot « privilège », je découvre que Dieu utilise la famine pour dénoncer lui-même les privilèges injustes que les monarques se sont donnés et ont imposé à leur population. Car, ce qu’ont ressenti en plus de la faim, les Révolutionnaires de Paris, c’était l’injustice. Leurs yeux s’ouvraient sur une réalité qui s’était imposée à eux et qui était devenue une norme naturelle acceptée par toutes les classes humaines et ceci depuis toujours, en Europe et partout dans le monde, excepté en Israël, où sous la direction de Dieu, Israël a expérimenté une vraie divine justice. Au nom de quelle justice, peut-on justifier l’existence des privilèges ? Pas celle de Dieu, mais celle des hommes inspirés par le diable qui voulut bénéficier en premier des privilèges exclusivement réservés au Dieu créateur et à lui seul.
Or, en 2025, je regarde autour de moi et que vois-je ? Des monarchies et des régimes républicains démocrates qui ont tous conservé ou rétabli des privilèges pour certaines catégories de professions ou de classes. Le fruit de l’inspiration diabolique ne pouvait pas facilement disparaître. Il est encore là, bien visible, sous nos yeux. L’inégalité des hommes est criante, elle n’a fait que croître même en France où la devise nationale est : « liberté, égalité, fraternité ». Ce serait possible, mais uniquement sous une gouvernance divine. Car, sous la gouvernance du diable, en France la vraie devise est devenue « esclavage, inégalité, hostilité ». Oui, bien sûr, personne en France ne vit dans des chaînes de maillons de fer, mais si l’on compare le sort de l’ouvrier payé au minimum syndical national, au salaire obtenu par des présidents de groupes commerciaux, nous retrouvons l’écart abyssal qui sépare le plus pauvre du plus riche, à cause des privilèges injustes acceptés. Ces privilèges sont les fruits portés par la méchanceté humaine qui oblige Dieu à détruire bientôt sur la terre l’humanité entière.
En 1917, c’est aussi à cause de la faim, que la population russe s’est soulevée contre son Tsar Nicolas II. Là aussi, beaucoup de sang a été versé, et ensuite comme en France où la Révolte a conduit à l’athéisme, en Russie, le communisme a imposé son athéisme. Et pour la dernière fois de l’histoire humaine, la sainte Bible, les « deux témoins » de Dieu, a été victime de la violence communiste. Après l’effondrement du régime soviétique dans les années 1989-1990, soutenue par Vladimir Poutine et son ami Kiril, la religion orthodoxe a été rétablie, mais pas le respect pour la vérité précise enseignée dans la sainte Bible. Car le naturel humain ne reconnaît que l’aspect magique de la religion et les icônes russes sont des objets vénérés et adorés, en transgression du deuxième commandement de Dieu.
Le modèle que Dieu désigne pour notre enseignement est celui de la Révolution française de 1789 qui, bien compris, peut permettre de comprendre la Révolution russe de 1917. Car la France a été dans l’ère chrétienne, la première nation officiellement athée. Et cet héritage est encore bien visible dans la France de 2025. En France nous bénéficions de cette expérience cruelle et sanglante vécue entre 1789 et 1798. Sous Adolphe Thiers, la Commune a été cruellement matée au prix d’une extermination ou presque des révoltés. Les Français sont ainsi devenus naturellement soumis et ont accepté les règles et les lois de leur Républiques successives.
Mais c’est le début de la Révolution qui mérite notre attention ; le début avant de tomber dans les excès de fureur. Car en dénonçant les privilèges des aristocrates, des pensées sublimes sont apparues chez les révoltés. Je dis sublime parce qu’un désir d’égalité réelle apparaissait ; et avec ce désir, celui d’une justice réelle qui punit celui qui profite injustement de privilèges. Ce sont ces choses qui intéressaient les humains entrés en Révolution et Dieu ne pouvait que les approuver dans sa parfaite justice. Mais ces gens ne comprenaient pas la véritable signification de l’événement qu’ils accomplissaient. Ce Louis XVI sur lequel retombaient sa colère et celle du peuple ne subissait pas ces choses d’eux pour la même raison. Il était bien trop tôt pour le comprendre, ils étaient engagés dans un feu collectif et renaissaient chaque jour porteurs de plus grandes espérances ; la République était en construction. Or, pour sa part, Dieu ne reprochait à Louis XVI que d’être un successeur de Clovis 1er et de Louis XIV, en passant par François 1er, le premier persécuteur des Protestants de la Réforme. Les héritiers du symbole royal de la fleur du Lys partageaient tous la culpabilité d’être de la religion catholique romaine. Et c’est le reproche que Dieu mentionne dans Apocalypse 2:20 : « Mais ce que j'ai contre toi, c'est que tu laisses la femme Jézabel, qui se dit prophétesse, enseigner et séduire mes serviteurs, pour qu'ils se livrent à l'impudicité et qu'ils mangent des viandes sacrifiées aux idoles. » Ce reproche est adressé par Dieu pour l’époque de François 1er à Louis XIV marquée par les guerres de religions. En montant sur le trône, Louis XVI ignore ce reproche divin, mais il hérite de sa pratique par la tradition de la transmission du trône royal. Et nous assistons à ce paradoxe voulu par Dieu, Louis XVI le débonnaire pacifique paie à Dieu les outrages monstrueux accomplis par ses prédécesseurs. Mais ce pacifisme est apprécié par les hommes et pour sa part Dieu lui fait payer sa soumission au catholicisme papal romain ; et pour cette faute, sa tête tombe sous la guillotine des Révolutionnaires en 1792. La tête papal ne tombera pas sous la guillotine mais le châtiment de Dieu va tomber sur lui et il mourra en 1799 détenu prisonnier dans la citadelle de ma ville, Valence dont le numéro postal de mon quartier est, encore : 26000.
Ainsi en parfaite logique, après avoir
présenté son reproche contre la soumission à « Jézabel », l’église
catholique papale romaine, Dieu dit dans les versets 21 à 23 qui suivent :
« Je lui ai donné du temps, afin
qu'elle se repentît, et elle ne veut pas se repentir de son impudicité. Voici, je vais la jeter sur un lit, et
envoyer une grande tribulation à ceux qui commettent adultère avec elle, à
moins qu'ils ne se repentent de leurs ses œuvres. Je ferai
mourir de mort ses enfants ; et toutes les Églises connaîtront que je
suis celui qui sonde les reins et les cœurs, et je vous rendrai à chacun selon
vos œuvres. »
Après le reproche, vient l’annonce du châtiment de la monarchie par la Révolution Française. Et ce témoignage a une application perpétuelle, ce qui signifie que jusqu’au retour de Jésus-Christ, où la situation religieuse trompeuse cessera, la justice de Dieu condamne encore et toujours « ceux qui commettent adultère avec elle », monarchistes ou républicains des démocraties.
Ayant connu la religion chrétienne par l’enseignement protestant darbyste pratiqué par mon oncle et ma tante paternels, je sais comment raisonnent les Protestants. Ils sont bien conscients de l’illégitimité de la religion catholique et se considèrent eux-mêmes comme d’authentiques disciples de Jésus-Christ qui revendiquent et obtiennent sa grâce. Et il est vrai que depuis le début de la Réforme qui a commencé, réellement en 1170, par le ministère de Pierre Vaudès dit Valdo ouvrit littéralement la voie de la remise en cause de la religion catholique, éclairé par sa traduction de la version latine de la sainte Bible, en sa langue provençale. Les premiers Réformateurs furent ces Vaudois installés dans le Piémont italien dans le Canton actuel de Vaux. Ils furent aussi les premiers Réformateurs persécutés et chassés par les armées royales soumises au catholicisme papal romain. Et ce que tout Protestant doit savoir, c’est que ces Vaudois ont respecté, à cette époque, l’Evangile Eternel, car ils ont mis en action la loi de Moïse, respectant les lois sanitaires alimentaires et le repos du sabbat du Septième Jour. Après ce quasi parfait modèle, les nouveaux Réformateurs apparaissent pendant le règne de François 1er. Ce roi de France fut séduit par la culture italienne et il importa en France l’Art de la Renaissance, son épouse Catherine de Médicis et le peintre sculpteur de génie, Léonard de Vinci. Cependant à cette époque, Dieu exigeait, lui, une Renaissance spirituelle rendue possible par la lecture de la sainte Bible qui commençait à être disponible, étant traduite en différentes langues européennes. Le roi François 1er prit en haine ces lecteurs de la sainte Bible et les fit massacrer par ses soldats. Il lança ainsi la première des guerres de Religions qui allaient se prolonger jusqu'à la mort de Louis XIV, le ténébreux « roi soleil ».
Ignorant le jugement de Dieu révélé dans sa prophétie de Daniel 8:14, les Protestants ignorent la nature exacte de leur statut spirituel, depuis la fin des 2300, soir-matin, soit, 2300 jours-années cités dans ce verset. La date 1843, déterminée par la fin de cette durée prophétisée, permet aux élus de découvrir, le jugement divin caché, ignoré par les multitudes. On se souvient combien Jésus exhortait ses apôtres et ses disciples à « veiller ». En 1843, cette « veille » a permis à Dieu de procéder à une purification de son église et de sa doctrine si déformée par l’enseignement catholique romain. Les fausses annonces du retour de Jésus-Christ organisées aux USA par Dieu successivement, en 1843, 1844 et en France en 1994, n’avaient toutes pour lui, qu’un seul but : mettre en évidence ses vrais élus, dignes de son amour et de sa grâce, à cause de leur vraie foi témoignée par leurs œuvres ; l’attention, l’intérêt et la foi dans la parole prophétique de la sainte Bible.
Parallèlement au décret de Daniel 8:14, dans Apocalypse 14:7, Dieu présente son exigence de la restauration de la pratique du repos du sabbat du septième jour : Versets 6 et 7 : « Je vis un autre ange qui volait par le milieu du ciel, ayant un Évangile éternel, pour l'annoncer aux habitants de la terre, à toute nation, à toute tribu, à toute langue, et à tout peuple. Il disait d'une voix forte: Craignez Dieu, et donnez-lui gloire, car l'heure de son jugement est venue ; et adorez celui qui a fait le ciel, et la terre, et la mer, et les sources d'eaux. »
Heureux est l’homme ou la femme qui réalise la solennité divine de cette ordre caché dans ce petit livre prophétique qui décrit la vision reçue à Patmos par l’apôtre Jean. Etant rattachée au 12ème et dernier apôtre de Jésus, cet enseignement referme sur lui, le canon de la sainte Bible. A l’heure de sa mort, parlant des œuvres du salut, Jésus a dit « Tout est accompli ». Et par sa vision donnée à l’apôtre Jean, par son Apocalypse, sa Révélation, il nous dit : « Tout est dit et révélé ». De même que la paresse physique caractérise l’homme qui n’aime pas travailler, la paresse spirituelle caractérise l’homme qui n’aime pas la vérité. Repoussée pour son aspect énigmatique incompréhensible par ces paresseux spirituels, l’Apocalypse est le support idéal pour garder les vérités cachées divines les plus importantes. Cette Révélation est un jardin secret dans lequel ne peut pénétrer que celui que Jésus-Christ autorise à le faire.
Pour les Protestants, le fait de ne pas répondre depuis 1843 à l’exigence du respect de son sabbat du septième jour les disqualifie et les rend indignes de sa grâce accordée en Jésus-Christ. N’obéissant pas au repos du septième jour, ils pratiquent le repos du premier jour hérité de Constantin 1er et de la Rome papale catholique romaine. Ce repos témoigne contre eux et les Catholiques comme étant la « marque de la bête », le signe de l’autorité humaine diabolique qui conteste comme son père, le diable, l’autorité du seul et unique Dieu créateur. Il est important de tenir compte du fait que pendant tout son ministère terrestre, Jésus ne prêchait que la gloire du Père céleste au service duquel il se présentait. Ce principe donne à son ministère une continuité de l’ancienne alliance au cours de laquelle, Dieu était aussi invisible. En fait, visible ou pas, Dieu ne présente à ses rachetés terrestres que sa parole transmise en images ou en paroles écrites ou audibles. Ainsi les propos tenus par Dieu dans Daniel, Apocalypse, et tout autre livre de la sainte Bible, sont aussi importants que ses ordonnances des dix commandements présentées sur le mont Sinaï de l’Arabie dans un contexte et une ambiance qui terrorisaient les Hébreux rassemblés pour l’entendre. L’œuvre divine qui a commencé par des exploits surnaturels qui ont frappé les Egyptiens s’est poursuivie par des déclarations directes qui épouvantaient les Hébreux. Ensuite, sous une apparence humaine Dieu a visité l’humanité en Jésus-Christ. Il a témoigné par sa parole et ses œuvres et a offert sa vie en sacrifice expiatoire volontaire. Après cela, en Saint-Esprit, Jésus-Christ a prolongé sa relation avec ses saints élus rachetés par des visions, des messages codés, secrets et cachés ; son action prenant alors la forme du murmure. Il n’a plus rien à faire entendre, ayant déjà tout dit. C’est pourquoi, notre époque se trouve en 2025, marquée par sa mise en œuvre du plus gros châtiment de l’histoire humaine. En silence, dans l’ignorance de tous ses ennemis, il organise par sa maîtrise absolue sur toute vie terrestre et céleste, leur imminente ou prochaine ruine ou destruction. Car le divin Maître, le « Roi des rois et Seigneur des seigneurs », combat toute vie terrestre qui « commet adultère avec Jézabel, la fausse prophétesse », catholique, papale, et romaine avant tout.
Il se trouve que s’étant soustraite à la domination religieuse catholique royale, la France laïque actuelle a hérité du dimanche romain maudit par Dieu. Elle partage donc la malédiction qui lui est rattachée. Et ceci prouve que le jour de repos n’est pas seulement le sujet d’un choix laissé à l’homme, il est avant tout le signe visible du camp auquel il appartient. En se séparant de la religion, les gens agnostiques irréligieux qui peuplent les démocraties républicaines appartiennent au même camp que les fausses religions chrétiennes, catholique et protestantes et des autres religions et idéologies philosophiques terrestres.
Les démocraties ont eu sur la terre beaucoup de pouvoir et de réussites momentanées mais elles n’ont pas le pouvoir de se sauver et d’échapper à la colère du juste jugement du Dieu qui leur donne la vie.
M45- L’Europe entre le marteau et l’enclume
Depuis le partage de Yalta en 1945, l’Europe et ses habitants se sont retrouvés au centre du monde, placé entre deux influences politiques et sociales de natures opposées dans l’absolu : le capitalisme et le communisme, totalement inconciliables. Aussi, en fonction de leurs expériences individuelles, les nations de cette Europe occidentale ont adopté l’un ou l’autre de ces deux modèles selon que leur dépendance de l’Amérique est restée forte ou faible.
Partagée et découpée par les chefs alliés victorieux, l’Allemagne vaincue a été mise sous tutelle. Berlin Est et son territoire sont revenus à la Russie au titre de dommage de guerre. Les USA ont pris sous leurs ailes la zone occidentale de Berlin partagée avec les Anglais et les Français. Et durant des décennies jusqu’à la destruction du mur élevé par les Russes soviétiques, l’Allemagne a été ainsi séparée et chaque partie a grandi sous l’influence politique de son dominateur. A l’heure de son regroupement, la nouvelle Allemagne formée était majoritairement capitaliste et sa population composée de riches industriels a profité de la main d’œuvre docile de l’Est offerte par l’occasion, pour l’exploiter et se rendre encore plus riche. Il est difficile de parler de fraternité dans ce type de situation. Des décennies d’endoctrinements diamétralement opposés avaient séparés les frères allemands. Et dans ce cas, comme toujours, c’est le riche qui profite le mieux de la situation. L’Allemagne ainsi formée n’avait, depuis 1945, aucunement le droit de se réarmer. Son budget national était ainsi avantagé, puisque n’ayant pas de charge militaire à financer, toute son énergie et son activité étaient engagées dans le développement technique et commercial.
En 1981, le secrétaire général du Parti socialiste français, Mr François Mitterrand, est élu président de la France. Il était, de profession, avocat ; donc très doué pour séduire son auditoire par de beaux discours. Cet homme très libéral, au parcours politique des plus variés, membre de la Francisque d’extrême droite, et chef de sécurité à Alger, s’est retrouvé chef du parti socialiste qui n’était pas le parti communiste, mais rassemblait des petits patrons, des plus gros, et des professions libérales telles que les médecins, les avocats, les journalistes, les artistes…etc. Son offre de former un front commun de gauche rallia les suffrages de beaucoup d’ouvriers jusque là communistes. Et le nouveau parti socialiste allait, de succès en succès, avaler le parti communiste, dont il ne reste aujourd’hui qu’une faible représentation.
Sous la direction de ce parti majoritairement libéral, les intérêts des ouvriers sont devenus secondaires et les nouveaux dirigeants favorisaient les riches industriels et les puissances financières. Dans ces contacts, Mr Mitterrand a rencontré le chancelier allemand Helmut Kohl, et les deux hommes se sont accordés pour donner existence à L’Union Européenne qui était formée à son origine de six pays que l’Angleterre a ensuite rejoints. Pleins d’illusions, les deux fondateurs de l’amitié franco-allemande ne savaient pas qu’ils scellaient là, la première pierre du tombeau des Européens.
Il a fallu attendre, en effet, le 24 Février 2022, pour obtenir la preuve de la malédiction européenne. Jusqu’à cette date, tout semblait être en faveur de cette union européenne ; voyages sans frontières pour tous, vieux et jeunes à l’intérieur de l’Europe de Schengen et libre circulation des marchandises. En réalité déjà de nombreux problèmes lui étaient dus, mais les dirigeants des nations s’adaptaient et faisaient semblant de les ignorer, en attendant la relève électorale. Ceci, d’autant plus, qu’une fois liées par leur alliance européenne, il semblait impossible à ces nations de s’en délier. La première vraie malédiction de la création européenne est due à sa forme intensifiée et son élargissement qui regroupe aujourd’hui 27 nations membres ; toutes étant soumises aux directives données par les commissaires européens. Les Européens se sont donc retrouvés gérés par deux autorités législatives ; l’européenne et la nationale. Or selon le symbolisme divin des chiffres, le chiffre « 2 » est le chiffre de la malédiction. La logique et l’expérience européenne le confirment ainsi que ce dicton populaire : « entre deux chaises on s’assoit parterre ». Quand deux autorités gouvernent, on ne sait plus qui gouverne réellement. En conséquence, les députés nationaux se défaussent sur les députés européens car ils ne savent plus très bien ce qui relève de leur compétence et ce qui ne l’est pas. De ce fait, la nation n’est plus gouvernée comme elle a besoin de l’être et dans ce désintérêt, son malheur se construit. Ce que je dénonce ici n’est que le constat de choses que le Dieu créateur a fait construire par ses ennemis.
Dans notre actualité, l’Europe Occidentale se retrouve plus que jamais prise entre le marteau et l’enclume. Dans le rôle du marteau, la Russie prête à prendre sa faucille de l’époque soviétique. Et dans le rôle de l’enclume, les USA de Mr Donald Trump, contre lequel toute autorité occidentale se brise ainsi que ses illusions. Et entre les deux, se trouve l’Europe « Guignol » qui prend des coups de bâton successivement par l’un et par l’autre. La malheureuse et maudite Europe est frappée de taxes douanières par Mr Trump et elle se sent maintenant réellement menacée de guerre par Mr Poutine et ses soutiens politiques et médiatiques. Sous cette menace, elle ne peut pas se permettre d’entrer dans une guerre commerciale contre les USA sur lesquels elle compte pour l’armer. Elle est bien prise au piège, par un adversaire invisible redoutable : Dieu en Jésus-Christ.
Ce piège la place devant des choix qui exigent l’unité des nations membres de l’U.E. Seulement, les nations de cette alliance n’ont pas les mêmes intérêts, ayant chacune des expériences et des situations économiques particulières. Et à ce sujet, l’Allemagne et la France ont des intérêts très différents qui les opposent, face à ces taxes douanières de 15 % sur les importations aux USA des productions européennes. Sans aucun scrupule moral, Mr Trump profite abominablement de la situation pour faire payer par les Européens le recul économique des USA dû à leur niveau de vie très élevé. Leurs productions deviennent trop chères et ne peuvent plus concurrencer les produits importés depuis l’Europe et le reste du monde, dont l’Asie et la Chine. Mais je précise que cette situation est aussi celle de la France devenue consommatrice des produits chinois et asiatiques ; sa propre production étant réduite au strict minimum, car elle ne peut pas concurrencer la production chinoise, à cause de son trop haut niveau de vie, comme pour les USA.
Je m’amuse beaucoup de voir revenir ces taxes douanières dont j’ai longtemps critiqué la disparition. C’est comme si Dieu rétablissait sur la terre la normalité naturelle des échanges commerciaux internationaux. Car qu’est-ce que la taxe douanière ? C’est, en image, l’écluse qui permet de relier ensemble deux cours d’eau de niveaux différents. Car, c’est un fait, autant de pays il y a sur la terre, autant de niveau de vie les différencient. Et selon ce modèle et cette logique, l’Union Européenne est une anormalité. Puisque dans son sein, les pays sont soumis aux mêmes règles et mêmes devoirs, à la même monnaie, l’Euro, et à la même obéissance aux lois Européennes, tout en étant, de niveau de vie très différents. De plus, les nations riches se ruinent pour financer les subventions données à leurs concurrents économiques que sont les nations membres les plus pauvres comme je l’ai déjà dit. A l’intérieur de l’Europe, des taxes douanières devraient protéger les pays riches des pays pauvres ; ce qui peut apparaître étonnant et paradoxal mais absolument nécessaire. L’absence de ces écluses conduit à la sinistre situation connue actuellement par les USA, qui révèlent ainsi le résultat de leur expérience personnelle. Ne pouvant plus enrichir son pays par ses exportations, Donald Trump veut l’enrichir en encaissant les taxes douanières imposées à tous les pays à des taux individuels particuliers différents. Et ce qui affole et épouvante nos dirigeants technocrates européens, dont les Français, n’est que le fonctionnement normale des relations commerciales établies depuis des siècles entre des pays indépendants concurrents et libres. Dans une première époque, après 1945, les USA ont beaucoup combattus avec des armes et beaucoup de morts pour tenter de préserver leur zone d’influence politique ; partout, contre l’influence communiste, en Corée, au Vietnam. Ils ont ensuite combattu pour le contrôle du pétrole, l’Iraq de Saddam Hussein, puis en Europe, ils ont bombardé la Serbie pour réduire l’influence communiste, et enfin, ils ont combattu en Afghanistan les Musulmans menés par le chef Bin Laden. Toutes ces guerres ont été perdues ou peu bénéfiques, aussi, fatiguée de la guerre, l’Amérique trouve en Donald Trump l’homme qui incarne le mieux son expérience par sa détestation de toute forme de guerre.
La taxe douanière est l’arme la plus pacifique qui permet néanmoins de protéger une nation contre l’inondation de produits importés moins chers qui rend nulle toute chance de développer, localement, sa propre production. Pour une nation, cette inondation est aussi mortelle qu’une inondation d’eau. Car une nation ne vit pas d’amour et d’eau fraiche, mais par sa production propre qui assure son indépendance maximale dans tous les domaines fondamentaux de l’existence. Mais aujourd’hui, leurs intérêts vitaux étant si différents, l’Allemagne et la France vont avoir beaucoup de difficultés pour conserver une même expression représentant la pensée européenne.
Ce lien avec l’Allemagne venue séduire la France par son projet européen nous rappelle combien sous Charlemagne, celle qui s‘appelait la Germanie a été combattue et a longtemps résisté aux attaques menées par le roi Franc. Mais, Charlemagne eut la joie de voir son ennemi germain de toujours accepter de se convertir, librement, à la foi catholique papale romaine, que je rappelle, faussement chrétienne. C’est sous son règne qu’est né le saint-empire romain germanique dont Charlemagne fut le premier défenseur et déjà, il favorisa la Germanie en choisissant de trôner à Aix-la-Chapelle, aujourd’hui située en Allemagne. Notre Europe actuelle est une sorte de réalisation du désir de Charlemagne. De plus, son nom était Carlos Magnus ce qui signifie Charles le Grand. Et ce nom évoque curieusement, ce grand homme nommé Charles de Gaulle le fondateur de notre dernière 5ème République, surnommé : le Grand Charles. En récompense des conversions nombreuses obtenues néanmoins par l’épée et la menace de mort, le pape de l’époque a sacré empereur ce premier Charles le Grand en l’an 800. Ainsi des siècles plus tard, notre U.E. actuelle est aussi rattachée à la Rome papale catholique romaine et à sa gloire dominatrice. Le saint-empire romain germanique a donc été renouvelé et confirmé. La différence entre les deux époques ne concerne que la disparition de l’autorité meurtrière, le principe de la liberté interdisant, depuis ce début, la contrainte et la violence. Mais à part cette particularité, sur le plan spirituel, ce nouveau saint-empire romain germanique porte la malédiction originelle et reste dirigé par l’Allemagne représentée par la présidente du Commissariat européen, Mme Ursula Von Der Leyen.
L’alliance entre la France et l’Allemagne subit aujourd’hui la conséquence de leurs deux natures très différentes. Nourrie et formée par les USA, l’Allemagne recherche le profit et l’enrichissement, sautant sur l’occasion qui se présente comme le lion sur sa proie. Jusqu’à ce jour, elle n’était plus nationaliste, ayant été écrasée par les Alliés en 1945. A l’inverse de ces normes, la France est restée très cocardière mais paradoxalement, elle a pris en haine le nationalisme sous la forme d’un parti politique. Elle a gardé en mémoire, les fascismes Italien, Allemand et Français qui ont collaboré pendant la deuxième guerre mondiale. Ce traumatisme mental a produit des effets contraires irréversibles et le Front National devenus Rassemblement National en paie encore le prix. Chez certains, cet effet contraire atteint un niveau néfaste qui fait haïr la pensée nationale. Et ces gens ont trouvé dans l’idéal européen et sa pensée universaliste le modèle de leur souhait. Ils sont ainsi capables de sacrifier leur pays, ayant en vue un modèle mondialiste utopique, pour l’instant. L’esprit cocardier partagé par presque tous les Français se concentre sur la nécessité de sauver le caractère humaniste de la nation française. C’est apparemment leur seule et unique préoccupation, et ce manque d’amour pour leur pays les empêche de voir que l’U.E. le ruine lentement, mais sûrement. L’intérêt pour notre prochain est louable chez un vrai chrétien qui aime les âmes et désire les conduire à Dieu par Jésus-Christ. Mais celui des gens humanistes est extrêmement trompeur, car l’humaniste peut, quand il est contrarié, devenir méchant, violent et persécuteur. Les grands rassemblements humanistes dénonçant les avortements, produisent aux USA des violences meurtrières, d’autres ciblent les bouchers en défendant le végétarisme. L’amitié humaine est fluctuante et très changeante car elle dépend de nombreux facteurs circonstanciels. Et c’est ce type d’amitié qui unit aujourd’hui mais pour encore peu de temps, la France, l’Allemagne et leurs autres partenaires européens.
Mais les faits qui s’accomplissent produisent leurs effets, car j’entends sur les chaînes info, des gens confirmer mes propos : les peuples n’ont pas d’ami, mais que des partenaires du moment et des concurrents. Et si certains doutent encore de ce principe, qu’ils regardent Donald Trump et ses mesures commerciales agressives imposées aux pays partenaires de son alliance de l’OTAN.
Beaucoup de gens européens conservent des USA, l’image des sauveteurs venus les délivrer de l’Allemagne nazie. C’est vrai, mais l’humanisme les aveugle et les empêche de leur imputer d’autres pensées moins louables qui ont été en réalité, la cause de leur engagement guerrier. Pour preuve, je rappelle que les USA ne sont entrés en guerre qu’après le 7 Décembre 1941, jour du bombardement de Pearl-Harbour par les avions chasseurs nippons. Jusqu’à cette date, ils s’enrichissaient en fournissant à l’Angleterre les produits et les matériaux dont elle avait un urgent besoin étant en lutte contre l’Allemagne. De plus, l’Amérique aspire à dominer le monde ; ce que la prophétie biblique confirme dans Apocalypse 13:11 à 18. L’Esprit prophétise au verset 17, pour les tous derniers jours, sa domination universelle et sa stratégie du « boycott » envers les résistants ; stratégie que nous voyons déjà appliquée dans les sanctions prises contre la Russie et avant elle, contre l’Iraq et l’Iran. En fait, les USA évitent maintenant de s’engager dans une guerre, mais ils sont néanmoins prêts à le faire si leurs intérêts vitaux sont menacés ; et leur domination mondiale est dans ces intérêts vitaux. C’est ce qui les conduira à intervenir dans la guerre qui va s’étendre sur toute l’Europe et dans le monde. La victoire des Russes sur les Européens va conduire la Russie à une domination si élevée que sa destruction entière par l’arme nucléaire apparaîtra comme une nécessité ; et le « feu du ciel », cité dans le verset 13, tombera dans une puissance multipliée sur la Russie entière, comme il est tombé en 1945, plus faiblement, sur Hiroshima et Nagasaki, les deux villes martyrs japonaises.
Pendant longtemps, entre le marteau et l’enclume, l’Europe a présenté un modèle équilibré comparativement à ces deux extrêmes opposés. Si le choix du capitalisme a été dominant, le caractère social de l’Est a été néanmoins préservé. Et en France, ce modèle social a pris un caractère permanent très élevé. Cependant, entre riches et pauvres, la lutte n’a jamais cessé. Les Politiques de droite cherchant toujours à retirer des mesures sociales qui leur paraissent injustes.
En France, les mesures douanières imposées par Mr Trump et l’engagement guerrier de la Russie, ont conduit, Mr Macron à dire que notre époque est celle des « Carnivores et des Végétariens » ; il place Mr Trump et Mr Poutine dans le camp des Carnivores et tel l’innocent agneau, il présente sa France et l’U.E. dans celui des Végétariens. Pourtant, dans la guerre des Balkans menée contre la Serbie, où étaient les Végétariens ? Je retrouve dans cette démarche, dans laquelle la France se donne un rôle d’agneau alors qu’elle raisonne et réagit comme un dragon, l’image que Dieu impute au dernier régime mondialiste universel dirigé par les survivants des USA, selon Apocalypse 13:11 : « Puis je vis monter de la terre une autre bête, qui avait deux cornes semblables à celles d'un agneau, et qui parlait comme un dragon. » Le sens le plus important de ce verset est bien sûr sa forme spirituelle car dans cette image, l’Esprit présente les survivants de l’Amérique des USA faussement chrétienne et des survivants européens. D’obédience chrétienne, cette nation aux origines protestantes se met à parler comme « le dragon » soit, comme les empereurs romains et les papes catholiques romains que ce symbole désigne dans Apocalypse 12:3 et 16. En fait, le mot « dragon » désigne l’impérialisme agressif, persécuteur et meurtrier. Ces choses caractérisaient les empereurs romains et leurs imitateurs religieux successeurs : les papes ; et leur « père » inspirateur, à tous, « le diable », selon Apocalypse 12:9 : « Et il fut précipité, le grand dragon, le serpent ancien, appelé le diable et Satan, celui qui séduit toute la terre, il fut précipité sur la terre, et ses anges furent précipités avec lui. »
Les nations de l’Europe occidentale ont été les élèves des cours délivrés par les USA qui portent ainsi la culpabilité principale du fruit porté par les Européens. Pour ces derniers, l’Amérique était le pays image du grand frère que son cadet imite ou cherche à imiter. L’Amérique était ouverte à tous, alors que la Russie se cachait derrière son « rideau de fer » impénétrable. La séduction américaine a opéré avec succès par ses incessantes inventions techniques successives continuelles. Aujourd’hui, en en ce début d’Août 2025, toutes les nations occidentales dépendent de l’utilisation de son système de communication numérique appelé internet ; non seulement à titre privé, mais aussi, à titre collectif ; tous les services des Etats étant sur ce réseau incontournable. Je vois dans cette situation l’image d’un grand filet dans lequel les USA font une pêche miraculeuse ; le filet étant rempli et débordant ; tous les poissons se sont jetés dedans. Il faut vraiment être habité par Dieu pour porter un sage jugement sur ce que les aveugles spirituels nomment le progrès. Il y a bien eu progrès au sens d’une progression technique permanente, mais la technique a détruit sur sa route beaucoup de valeurs héritées au fil des siècles. L’individualisme et l’égoïsme ont remplacé les anciennes valeurs familiales. Les nombreux divorces dissuadent les humains de se marier et de vivre dans la fidélité réciproque. Les couples se forment et se séparent, à l’image du papier jetable vendu en rouleaux. Et de dérives en dérives mentales, la société occidentale entière a remis en cause l’existence unique du couple homme et femme, parce que la chirurgie sexuelle et l’utilisation des hormones permet à l’homme de prendre l’apparence d’une femme et à une femme de prendre l’apparence de l’homme ; c’est là, le fruit de l’avancement scientifique. Les savants, ces apprentis sorciers, synthétisent les molécules de la vie humaine, animale, et végétale et transforment ainsi tout ce que Dieu a originellement créé. Dans ce monde où tout est payant, s’enrichir est devenu la nécessité absolue. Dans l’exercice de son métier, l’être humain est en concurrence et pour remporter le succès il doit se battre jusqu’à écraser ses concurrents. Ce fruit est détestable, mais il présente ce que dans son programme Dieu a voulu démontrer à toutes ses créatures célestes et terrestres. Ce fruit est le résultat de l’application des valeurs approuvées par le diable et ses compagnons, les démons angéliques célestes.
Nos sociétés occidentales se distinguent des autres types de société du monde en ce qu’elles ont conservé un résidu de leur vie religieuse faussement chrétienne. Seules les sociétés occidentales reconnaissent les bases religieuses du bien et du mal, sous la norme de l’enseignement du faux christianisme catholique romain. Les autres sociétés ne donnent pas au bien et au mal les mêmes significations.
En Occident, l’abandon de la religion donne pour résultat nos sociétés humanistes dont la France est le modèle d’avant-garde et son phare universel. Elle a été pendant des siècles, très religieuse, étant soumise à la foi catholique imposée nationalement par ses rois successifs. Elle a été le théâtre de la démonstration de l’intolérance religieuse en persécutant cruellement les Réformateurs protestants que Dieu a vengé, en livrant la monarchie et les prêtres catholiques à la guillotine de la Révolution française de 1789. Et aujourd’hui, voulant oublier ce passé terrible, elle ne veut adorer que la « Liberté » sur son piédestal républicain. Il n’y a plus que pour elle, si elle est menacée, que la France peut de nouveau accepter de combattre.
Qu’est-ce donc précisément que cet humanisme ? C’est la pensée qui place l’homme en priorité sur tout. Dieu en est exclu. Mais paradoxalement, son héritage catholique, partiellement biblique, lui fait conserver les bases de la culture chrétienne ; ses normes du bien et du mal transmises de génération en génération. Cependant, étant séparé et coupé du vrai Dieu, cet humanisme ne peut pas porter le fruit de ces valeurs divines et en paradoxe absolu, chaque individu transgresse et se donne le droit de transgresser les valeurs qu’il prône collectivement. Un exemple concret apparaît avec le président Macron en poste depuis 2017 ; année marquée du sceau du jugement symbolisé par le nombre 17. Il incarne parfaitement l’image de cet humanisme de notre temps. Dans ses confidences, il dit apprécier le cynisme qui le caractérise personnellement de manière évidente indiscutable. Exemple concret : Dans l’époque des manifestations des « gilets jaunes », il déclare aux chefs d’entreprises français : « Que ceux qui le peuvent donnent à leurs salariés une prime de cent Euros ». C’est gentil pour ceux qui vont les recevoir ces cent Euros, mais qu’en est-il pour ceux qui ne les recevront pas ? Visiblement, le jeune arriviste ne fait pas de cette injustice son problème. Il multiplie également des propos vexatoires adressés à ceux qui l’interpellent et il a reçu un jour de la part de l’un d’eux une gifle bien méritée, que Dieu a suscité afin que son jugement sur l’homme soit révélé à ses enfants de lumière.
Mais bien plus grave est le fruit de cet humanisme cynique dans son incidence sur son positionnement en faveur de l’Ukraine contre la Russie. Sa motivation est la défense des valeurs occidentales dont le droit souverain national. Un regard sur l’histoire du monde nous montre que les frontières ne cessent d’être déplacées et sont remises en questions au prix de guerres entre les pays frontaliers, sur la terre entière. Seulement, Mr Macron est né en Europe, dans l’U.E. rassemblée par des accords qui résistaient au temps et aux épreuves. Les conditions de la vie européenne n’étaient pas universelles, mais seulement occidentales. Or l’Ukraine n’était pas de cet Occident mais de l’Est, de l’alliance russe ; cette Russie qui ne partageait pas les valeurs occidentales bien que présente dans la représentation de l’ONU. Hélas, pour lui, le jeune Macron est né dans une Europe qui prétend vouloir donner à sa norme une autorité universelle, comme en témoigne son tribunal de la Haye qui a cette vocation à juger tous les crimes et délits transgressant ses valeurs occidentales. L’intention existe mais pour la rendre applicable il faut pouvoir l’imposer et donc disposer dune armée puissante contraignante. Or, l’Europe n’a pas cette armée nécessaire et elle s’est toujours appuyée sur la puissante force militaire des USA qui l’ont soutenue dans la guerre du Kosovo livrée aux Serbes. Cependant les USA, eux-mêmes ne reconnaissent pas l’autorité universelle du tribunal de la Haye. C’est pourquoi, le jugement du problème ukrainien a été faussé dans l’esprit du jeune humaniste cynique nommé Emmanuel Macron. Dans son esprit, l’Europe et les USA ne faisaient qu’un et le soutien donné par Joe Biden à l’Ukraine confirmait cette pensée et l’a induit en erreur. Il s’est donc engagé avec son pays la France dans une démarche de soutien au droit national ukrainien qui n’était pas le droit occidental, mais celui des pays slaves de l’Est. Les règles européennes et américaines ne s’appliquaient pas pour un pays de l’alliance de l’Est qui avait déjà laissé partir avec beaucoup de patience, depuis la crise russe, l’Allemagne de l’Est, la Pologne, et les Pays Baltes qui lui étaient rattachés, pour l’Allemagne et la Pologne, depuis 1945, et pour les pays Baltes, depuis toujours.
Fallait-il que les Européens soient aveuglés par Dieu, pour ne pas réaliser le danger que représentait cet exode massif de pays venus de l’alliance russe. Et cet aveuglement était nécessaire pour que le programme du Dieu créateur s’accomplisse comme il l’a annoncé. La colère de la Russie a été réveillée et excitée, afin que soit accompli son rôle punitif prophétisé contre l’Europe infidèle dans Daniel 11:40 à 45, où elle est « le roi du septentrion » envahisseur. Sa position à l’extrême nord du continent Euro-asiatique justifie ce titre de « roi du septentrion », autant pour l’Europe occidentale que pour Israël, la deuxième cible de la colère divine concernée par l’invasion russe.
Le titre de ce message, l’Europe entre le marteau et l’enclume, trouve dans cette prophétie de Daniel 11:40 à 45 une autre interprétation. Si la Russie reste encore le marteau et la faucille, par contre, dans le rôle de l’enclume, nous trouvons, nommés « roi du midi », les pays musulmans islamistes remplis de haine envers l’Europe colonisatrice et avant cela, l’Europe des Croisés persécuteurs. Cette prophétie nous permet de comprendre la raison de l’existence de la religion musulmane suscitée par Dieu, après l’instauration du régime papal romain de 538, pour être utilisée comme instrument punitif, vengeur de son alliance chrétienne transgressée et violée. Avec la Russie orthodoxe, et les islamistes, Dieu dispose de deux instruments pour châtier l’infidélité chrétienne et l’infidélité juive. Sa lumière divine s’est prolongée successivement par la religion protestante et finalement par l’adventisme du septième jour qui définit une norme de sainteté, plus que l’institution de ce nom qu’il a « vomie » officiellement, en 1995.
Visiblement, la colère de Dieu porte finalement principalement sur l’humanisme qu’est devenue la fausse foi chrétienne tombée dans l’apostasie. Dieu reproche aux humanistes le fait d’inverser ses valeurs divines, comme le prophétise ce verset cité dans Esaïe 5:20 : « Malheur à ceux qui appellent le mal bien, et le bien mal, qui changent les ténèbres en lumière, et la lumière en ténèbres, qui changent l'amertume en douceur, et la douceur en amertume ! » Et le « malheur » vient bien, selon Apocalypse 9:11 à 21, sous la forme de la « sixième trompette » qui est le « second malheur » du verset 12 : « Le premier malheur est passé. Voici il vient encore deux malheurs après cela. » Apocalypse 11:14 confirme disant : « Le second malheur est passé. Voici, le troisième malheur vient bientôt. » Dans Apocalypse 11, subtilement, l’Esprit décrit la Révolution française et son athéisme ciblant ainsi la source historique de l’humanisme châtié par la « sixième trompette » décrite, parallèlement, dans Daniel 11:40 à 45, l’authentique « second malheur » pour les populations européennes occidentales de notre « temps de la fin » cité dans Daniel 11:40 : « Au temps de la fin, le roi du midi se heurtera contre lui. Et le roi du septentrion fondra sur lui comme une tempête, avec des chars et des cavaliers, et avec de nombreux navires; il s'avancera dans les terres, se répandra comme un torrent et débordera. » Ceux qui espèrent encore aujourd’hui, voir la Russie être vaincue par l’Ukraine et les Européens trouvent ici un démenti qui enlève toute légitimité à leur espérance et la rend nulle. Cette connaissance du projet prophétisé par Dieu constitue donc bien, un témoignage de la vraie foi chrétienne qu’Apocalypse 19:10 nomme « le témoignage de Jésus » : « Et je tombai à ses pieds pour l'adorer ; mais il me dit : Garde-toi de le faire ! Je suis ton compagnon de service, et celui de tes frères qui ont le témoignage de Jésus. Adore Dieu. Car le témoignage de Jésus est l'esprit de la prophétie. » Je dois préciser que ce verbe « adorer » est d’origine latine romaine et que dans l’original grec, le verbe est « se prosterner » ; ce que confirme l’action décrite « je tombai à ses pieds pour me prosterner ». Cette forme de prosternation, justifiée et exigible quand l’homme prie Dieu, a été, par son abandon, le premier signe visible de l’apostasie chrétienne des multiples formes et groupes de la religion protestante, dont le dernier à les rejoindre a été celui de l’adventisme officiel, depuis 1995.
L’apostasie religieuse a été ainsi produite par l’influence progressive de la libre pensée promue par les écrivains, tels Voltaire, Rousseau et d’autres, auxquels l’humanité rebelle a, outrageusement envers Dieu, donné le nom de « lumières » ; confirmant ainsi, concrètement par les œuvres, le reproche divin prophétisé dans Esaïe 5:20 : « qui changent les ténèbres en lumière, et la lumière en ténèbres ». Avec la perte du sens du sacré, l’humanisme se développe au gré de l’intérêt du moment. Sans racine, ni principe autre que la liberté, il peut justifier tout et n’importe quoi, jusqu'au pire, dans ses excès.
Dans la prophétie Apocalypse ce qui marque la différence entre la 4ème trompette et la sixième du vrai « second malheur » c’est le comportement des survivants de leurs grandes tueries d’êtres humains. Ceux qui survivent à la Révolution française retrouvent la crainte de Dieu selon Apocalypse 11:13 : « A cette heure-là, il y eut un grand tremblement de terre, et la dixième partie de la ville, tomba; sept mille hommes furent tués dans ce tremblement de terre, et les autres furent effrayés et donnèrent gloire au Dieu du ciel. ». A l’opposé, ceux qui survivent à la vraie « sixième trompette » ne se repentent plus et ne retrouvent pas la crainte de Dieu, selon Apocalypse 9:20-21 : « Les autres hommes qui ne furent pas tués par ces fléaux ne se repentirent pas des œuvres de leurs mains, de manière à ne point adorer les démons, et les idoles d'or, d'argent, d'airain, de pierre et de bois, qui ne peuvent ni voir, ni entendre, ni marcher ; et ils ne se repentirent pas de leurs meurtres, ni de leurs enchantements, ni de leur impudicité ni de leurs vols. »
Dieu présentant seulement les résultats finals des deux expériences, on peut espérer que durant la « sixième trompette », de tardives conversions réelles se produisent en faveur de vrais élus qui découvriront la vérité bénie par Dieu en Jésus-Christ. Mais, la chose n’étant pas révélée, le sujet ne reste qu’une espérance.
Dans mon commentaire sur l’actualité, je dois évoquer l’ultimatum présenté à la Russie par le président américain Donald Trump. Son échec personnel dans sa tentative de lui faire renoncer à combattre l’Ukraine a considérablement changé son comportement. Critiquant longtemps Vladimir Zelensky et l’ayant même humilié publiquement à la Maison Blanche, voilà qu’il le soutient maintenant, et l’encourage dans sa lutte contre la Russie. Un tel changement n’est que la conséquence de son égo personnel humilié par le refus de la Russie pour sa proposition de paix. Mais souvenons-nous que sa propre analyse du problème ukrainien donnait tort à l’Ukraine autant qu’à la Russie. Et je pense que son opinion n’a pas changé sur ce sujet. Il reste que son orgueil est durement éprouvé et qu’il le sera encore davantage ce vendredi 8 Août qui vient et qui sera le jour de la fin du délai donné à son ultimatum avant de mettre en action des sanctions secondaires prises contre la Russie et les pays qui achètent son pétrole et son gaz. Notons, toutefois, que Mr Trump affiche publiquement son doute sur l’efficacité de ces nouvelles mesures punitives. Et il a bien raison d’en douter, car moi, je n’ai pas de doute à ce sujet, j’ai des certitudes : La Russie ne variera pas dans son comportement et elle prolongera sa lente conquête de la terre des oblasts annexés par elle. Par contre, toute mesure prise contre elle ou ses alliés qu’elle ne supportera pas la conduiront à intensifier son combat contre l’Ukraine et l’Europe occidental de l’U.E. maintenant composée aussi de pays sortis de la domination russe qui l’ont rejointe et se montrent les plus hostiles envers la Russie.
Quelle sera donc la décision occidentale prise contre la Russie et insupportée par elle au point de la conduire à se lancer dans une guerre directe contre les puissances européennes ? Car pour Dieu, c’est le but de la guerre déclenchée en Ukraine. A ce jour, je ne sais pas encore, mais ce mois d’Août peut apporter la réponse. L’homme orgueilleux vexé rumine sa vengeance et exulte son déplaisir en imposant ses taxes douanières aux Européens, créant ainsi dans l’Europe des causes de ruptures de relation tant les intérêts sont différents pour chaque pays membre.
La seule chose qui soit certaine, à l’heure présente c’est que les USA ne peuvent pas perdre leur place de premier pays du monde, le plus briche et le plus puissant. Or, c’est bien parce que cette domination mondiale est menacée par la puissance chinoise et l’Inde, que les USA remettent en cause les équilibres libres construits par la libre circulation des marchandises obtenue par le commerce mondialiste ; Toutefois, Donald Trump a conservé un libre accès chez ses concurrents européens tout en taxant à 15 % les produits européens importés aux USA. Il est le plus fort, le plus indispensable, et en profite.
Personne ne pense à ce scénario, mais à vouloir isoler à tout prix la Russie, c’est l’Occident entier qui prend le risque d’être isolé. Car le camp des BRICS peut se passer des Occidentaux. Ils disposent de l’énergie, des matières premières, du potentiel industriel et de la production alimentaire, toutes choses favorables à leur indépendance.
J’ai relevé l’intérêt d’une révélation signalant la mise au point par la Russie d’un drone naval. Il navigue en surface contrôlé à distance par une caméra, puis plonge sous l’eau comme une torpille à proximité de sa cible. Il porte une charge de mille kilos d’explosifs. Cette arme nouvelle est, selon moi, une bien- mauvaise nouvelle pour les marines de guerres occidentales, car elle laisse peu de chance au navire ciblé.
J’apprends que face à la menace de Donald Trump, l’Inde annonce son intention de ne pas renoncer à son approvisionnement du pétrole russe ; un premier signe annonciateur de l’échec de ces nouvelles sanctions. Et en ce jour, pour sa part, en joueur de poker, Donald Trump tente d’effrayer les Russes en annonçant le déplacement de deux sous-marins nucléaires vers la Russie. Que d’illusions vaines et trompeuses pour les observateurs ukrainiens et européens qui ne cessent d’espérer un engagement militaire total des Américains ! Car l’unique raison du changement relevé chez Donald Trump, c’est son orgueil piqué à vif, par l’échec de ses offres faites au président russe Vladimir Poutine. L’Américain raisonne en commerçant et homme d’affaire et il rencontre en Mr Poutine, un homme nationaliste idéologue. Il n’y a aucune chance pour que ces deux personnalités s’entendent. De plus je le relève, l’orgueil tient un rôle fondamental dans tout ce qui arrive depuis le 24 Février 2022. Tous les chefs d’Etat impliqués sont des êtres orgueilleux, très instruits, mais dépourvus d’intelligence. Exemple, Mr Trump tient Mr Macron pour un « homme intelligent », dit-il, il montre en cela, lui-même son manque d’intelligence. Car peut-on dire intelligent l’homme qui entraîne son pays et son camp dans une voie dévastatrice semée de nombreux morts ? Un être réellement intelligent, prend le temps d’évaluer la puissance réelle de celui dont il va se faire l’ennemi. Et comme le Seigneur Jésus-Christ l’a enseigné, l’intelligence réelle conseille de rechercher la paix et l’accord autant qu’il est possible de notre part. Or, dans le cas de l’Ukraine, derrière les présidents de la chambre des députés et de la commission européenne, tel un jeune bouc, Mr Macron a foncé tête baissé, yeux fermés, dans le piège tendu par Dieu, par l’appel au secours lancé par le président ukrainien Volodymyr Zelensky. Et pour un homme qui n’hésitait pas en artiste comique obcène à se déculotter sur les scènes, Zelensky fait preuve aujourd’hui d’un sacré culot, en demandant aux membres de l’U.E. de prendre en charge le budget des salaires de ses soldats engagés dans sa guerre.
M46- Les Empires : du meilleur au pire
Ce titre résume la leçon que Dieu présente à ses enfants de lumière dans sa dernière explication des prophéties bibliques de Daniel et Apocalypse.
Cette leçon fut présentée, en premier, au roi empereur chaldéen nommé Nébucadnetsar II, ou selon d’autres traducteurs, Nabuchodonosor II. Dieu lui présenta cette leçon sous la forme imagée d’un grand « colosse aux pieds d’argile et de fer ». Le corps était composé de matériaux qui, commençant par « la tête » allait du plus précieux et du plus maléable, « l’or », jusqu’au moins précieux et le plus dur, « le fer ». Les deux matériaux intermédiaires étaient successivement, « l’argent et le bronze ». Cette dégradation progressive de la qualité humaine au fil du temps confirme le titre donné à ce message : les Empires : du meilleur au pire. Rattaché à l’Empire Grec, le bronze, obtenu par un mélange de cuivre et autre métaux est l’image de l’impureté soit, celle du « péché ». L’histoire confirme la grande influence de la culture grecque qui s’est prolongée jusqu’à nous, en imprégnant ses normes dans les fausses religions chrétiennes : dogme de l’immortalité de l’âme, dogme des enfers, adoration des images taillées et des divinités spirituelles, partagées par les Catholiques, mais aussi, par les Protestants.
L’histoire humaine est jalonnée et construite sur ces successions d’empires sur toute la terre : aux Amériques, les empires Aztèques et Incas, à l’Extrême- Orient, l’Empire Nippon du soleil levant ; en Asie méridionale, l’Empire Chinois ; en Asie septentrionale, l’Empire Mongol ; et au Moyen-Orient, l’Empire Egyptien aux multiples dynasties. Et en dernier, en Occident, l’Empire Romain aux nombreuses dynasties également. Quelque soit le nombre de leurs dynasties, tous ces Empires ont à l’origine de leur construction un homme, un grand conquérant auquel Dieu a donné la réussite et la victoire contre ses ennemis ; ce qui ne signifie pas qu’il le bénit ou le sauve.
Cependant, sa révélation cible uniquement les Empires qui se sont succédé sur la terre, en ayant une influence sur son peuple témoin nommé Israël. Ce témoin de Dieu étant installé au Moyen-Orient, son histoire est marquée par les Empires successifs, Chaldéen, Mèdes et Perses, Grec et Romain et à la fin du monde, au retour du Christ symbolisé par une « pierre » qui frappe « les pieds de la statue », l’histoire humaine terrestre prend fin ; ce que signifie l’image de la désintégration de « la statue » de la vision reçue successivement par le roi Nébucadnetsar, puis par Daniel, qui put ainsi donner au roi l’explication du songe qu’il désirait obtenir, en vain, de ses sages païens. Déjà, je relève une leçon dans cette expérience : la compréhension d’une prophétie réellement divine n’est donnée qu’à l’homme qu’il choisit pour le faire, et son choix se porte sur celui qui agit avec fidélité envers lui ; chose en quoi, Daniel est un parfait modèle, ainsi que ses trois compagnons cités.
Le quatrième Empire, l’Empire Romain, se trouve en Occident et c’est sous sa domination qui commence avec Octave, le neveu de Jules César mort assassiné, dans le temps de la naissance du messie Jésus de Nazareth appelé par les Grecs, Jésus-Christ. L’Israël spirituel de la nouvelle alliance se déplace donc de l’Orient vers l’Occident où se trouve la ville impériale de Rome.
Ainsi la prophétie ne présente que la succession de quatre Empires qui commencent par l’Empire Chaldéen et finit par l’Empire Romain. Cependant après les jambes de fer du symbole de cet Empire Romain, Dieu prophétise le temps symbolisé par les pieds et les orteils de la statue qui sont faits d’un mélange d’argile et de fer. Ce que nous pouvons en déduire, c’est donc que Rome conserve en rôle jusqu’au retour du Christ. Et puisque le sujet de la statue est la succession d’Empires, les pieds et les orteils désignent eux-aussi, en Empire, mais il s’agit d’un Empire religieux, faussement chrétien soit, l’Empire du catholicisme papal romain. Cette idée est confirmée par la présentation des Rome païenne et faussement chrétienne par le même symbole d’une « petite corne ». Ainsi, depuis l’année 538, les peuples Occidentaux constituent un Empire, mais un Empire religieux, spirituel, donc « différent » des quatre Empires qui l’ont précédé. Cette différence est révélée dans Daniel 7:24 : « Les dix cornes, ce sont dix rois qui s'élèveront de ce royaume. Un autre s'élèvera après eux, il sera différent des premiers, et il abaissera trois rois. »
De 538 à 2030, Dieu n’annonce pas de succession terrestre à cet Empire papal Romain. Cependant, dans Apocalypse 13, il prophétise l’apparition de deux régimes faussement religieux qui, reliés au symbolisme des mots « mer » et « terre », désignent, successivement, le régime papal Romain et le régime protestant américain, le dominateur de l’heure, associé au catholicisme papal Romain, dans l’extrême fin du « temps de la fin ».
Nos sociétés occidentales n’ont pas conscience de constituer un Empire unifié par la religion catholique romaine, mais paradoxalement tout en croyant être libres et indépendantes, les nations occidentales se comportent comme le font les puissances impériales, puisqu’elles trouvent normal, leur droit d’imposer aux autres peuples leur conception de la vie et la norme de toutes leurs valeurs.
Ce sujet est important pour comprendre ce qui s’accomplit actuellement dans notre monde, sur toute la terre. En Occident, des nations libres et indépendantes ont fait des alliances qui unissent leurs forces. Selon le dicton bien connu, « l’union fait la force », cette union se donne une autorité supérieure qui la conduit à trouver normal et juste d’imposer son modèle aux autres nations de la terre. Et ce que l’Occident fait actuellement, c’est ce que tous les Empires ont fait avant lui. Les œuvres accomplies par cet Occident orgueilleux et téméraire témoignent de son caractère impérial. Et si le temps des monarchies européennes a fait perdre de vue cette nature impérialiste, depuis le 16ème siècle, redécouverte, la terre des USA actuels a bien donné naissance à ce régime démocrate américain qui revendique un statut impérial, dans ses armoiries nationales et dans son expression vocale. Et ce pays d’origine « protestant » est grandement peuplé aujourd’hui de gens catholiques d’origine hispanique. Son histoire confirme le message prophétisé par Dieu dans Apocalypse 13:11 à 18, qui le concerne et le désigne. Actuellement jusqu’à nous, nous avons connu l’Amérique du symbole « agneau » par lequel Dieu la symbolise. Cependant déjà dans notre actualité de l’année 2025, un homme différent de ses prédécesseurs, a été élu pour la seconde fois, président des USA. Et sa différence est énorme, parce qu’il remet en cause, tous ce que ses prédécesseurs ont instauré et approuvé. Ce n’est pas un homme politique mais un commerçant qui entre en politique et utilise son pouvoir, sa puissance, son autorité. Il est totalement imprévisible, étant à la fois, franc, simple, orgueilleux, et vindicatif. Dans l’action, ce commerçant réagit en commerçant ; il est incapable d’agir autrement. Mais contrarié, ce commerçant sait qu’il dispose d’une puissance militaire redoutable, mais pour l’heure, il refuse de l’employer tant il déteste la guerre et l’idée de la guerre. Son intervention contre l’Iran où il a fait bombardé et détruire des lieux concernés par la construction de l’arme atomique ne contredit pas sa haine de la guerre mais au contraire, cette action la confirme. Car il ne doute pas, qu’équipée de la bombe atomique, l’Iran l’utiliserait et une guerre effroyable se produirait ; ce qu’il a voulu éviter en la bombardant dans les lieux ciblés concernés.
L’orgueil est à la base et le symptôme de l’état d’esprit de tous les impérialistes, depuis le chef jusqu’au plus petit du peuple dominateur. Est-ce l’orgueil qui bfait l’Empire ou l’Empire qui fait l’orgueil ? Les deux sont possibles mais le résultat nous est présenté comme une référence dans Daniel 4 :30 avec ces paroles dites par le roi Nébucadnetsar : « le roi prit la parole et dit : N'est-ce pas ici Babylone la grande, que j'ai bâtie, comme résidence royale, par la puissance de ma force et pour la gloire de ma magnificence ? » Le reproche de Dieu est finalement confessé par le roi revenu au bon sens après avoir été abêti pendant sept ans, selon le verset 37 final : « Maintenant, moi, Nebucadnetsar, je loue, j'exalte et je glorifie le roi des cieux, dont toutes les œuvres sont vraies et les voies justes, et qui peut abaisser ceux qui marchent avec orgueil. »
Avant de subir ce châtiment de Dieu, le roi avait été prévenu par une vision divine, selon le verset 17, il lui fut dit : « Cette sentence est un décret de ceux qui veillent, cette résolution est un ordre des saints, afin que les vivants sachent que le Très Haut domine sur le règne des hommes, qu'il le donne à qui il lui plaît, et qu'il y élève le plus vil des hommes. »
Ce message présenté à Nébucadnetsar, le puissant roi empereur des Chaldéens, porte un caractère universel, car il donne des explications qui rendent vaines et inutiles de nombreuses questions chez ses créatures : et pourquoi ceci, et pourquoi cela ? Que de pourquoi inutiles ! L’homme doit savoir que la vie entière est dirigée par Dieu, quelque soit la cause de son étonnement. Ensuite une compréhension plus fine des choses est donnée par Dieu à ceux qui le servent fidèlement ; et Daniel est donné en exemple à imiter et reproduire.
Après cet avertissement de la vision divine, Daniel dit encore au roi, dans le verset 27 : « C'est pourquoi, ô roi, puisse mon conseil te plaire ! Mets un terme à tes péchés en pratiquant la justice, et à tes iniquités en usant de compassion envers les malheureux, et ton bonheur pourra se prolonger. »
Ce que Daniel décrit là, Jésus-Christ va l’incarner et le pratiquer dans sa perfection divine et humaine, pendant toute sa vie sur la terre, il sera, « sans péché », et le demandant à Nébucadnetsar, Dieu demande à tous les hommes de « mettre un terme à leurs péchés ». Il témoignera ainsi, concrètement, que Dieu est « justice » et « compassion » soit, amour dans son sens parfait le plus noble.
Au verset 30, Dieu relie le nom « Babylone la Grande » au fruit porté par « l’orgueil » du roi. Et ce n’est pas sans raison que l’apôtre Pierre nous dit dans 1 Pierre 5:13 : « L'Église des élus qui est à Babylone vous salue, ainsi que Marc, mon fils. » Disant ces paroles, Pierre se trouve à Rome, qu’il compare donc à « Babylone », la ville du roi Nébucadnetsar. Mais en plus, il dit au verset 5 : « De mêmes, vous qui êtes jeunes, soyez soumis aux anciens. Et tous, dans vos rapports mutuels, revêtez-vous d'humilité ; car Dieu résiste aux orgueilleux, Mais il fait grâce aux humbles. » Cette dernière phrase rappelle l’expérience vécue par le roi Nébucadnetsar qui finit par se convertir à Dieu et à le servir fidèlement.
Au cours de l’ère chrétienne, la ville de Rome va devenir à son tour une ville impériale dominatrice dirigée par un homme orgueilleux, Octave dit Auguste qui fut le premier empereur Romain qui a succédé à son oncle, le puissant conquérant et dictateur Jules César. Plusieurs dynasties vont ensuite lui succéder jusqu’à l’empereur Justinien 1er. Sous son règne, « Vigile », ami de son épouse « Théodora », obtient de lui, de devenir le chef unique sur l’ensemble des groupes religieux chrétiens de l’Empire, par un décret signé en 533 et mis en application en 538 quand Rome étant libérée de l’occupation des ostrogoths, Vigile peut s’installer et trôner à Rome dans le palais du Latran. A cette occasion, l’évêque en poste élu par les chrétiens romains, nommé Sylvère, a été écarté et exilé. Dès cette action, la représentation officielle du christianisme devient purement païenne. Abandonnée momentanément par les empereurs Romains depuis Constantin 1er le grand, Rome reprend la domination universelle sous l’aspect religieux faussement chrétien du catholicisme papal romain. L’humanité va dès lors se prolonger victime de la plus incroyable des usurpations ; celle d’une revendication de représentant de Dieu sur la terre ; et cette prétention est écrite sur la tiare, la coiffure portée par les papes : en latin « vicarivs filii déi » ce qui en chiffres donne le nombre 666 et signifie « Remplaçant du Fils de Dieu ».
Cet abandon du christianisme au paganisme de 538 trouve sa cause dans l’apostasie généralisée apparue en 313 à cause de l’arrêt des persécutions des Chrétiens ordonnée par l’empereur Constantin 1er par son Edit de Milan. Les fausses conversions ont été majoritaires au point qu’en 538, pour clarifier la situation spirituelle, Dieu a livré, ce faux christianisme à la domination païenne despote et cruelle du chef papal intronisé. Egalement pour confirmer la malédiction divine qui pesait sur ces apostats, Dieu les a soumis par Constantin à l’obéissance de la pratique du repos hebdomadaire du premier jour que le papisme a ensuite rebaptisé « dimanche » soit « jour du Seigneur » en désignant le jour de la résurrection du Seigneur. Or, déjà, ce premier jour ne fut pas le jour de la résurrection de Jésus-Christ mais seulement, celui où, pour la première fois, après sa mort et son séjour au tombeau, il est apparu vivant à ses disciples et ses apôtres. L’enseignement de l’église catholique est donc construit sur un nombre élevé de fausses conceptions religieuses ; ce qui justifie pour Dieu de ne pas la reconnaître comme représentante de sa vérité chrétienne. Le long règne des papes successifs qui se prolonge encore de nos jours, ne se justifie qu’à cause de l’ignorance des vérités divines écrites dans la sainte Bible. Et il a fallu attendre l’an 1170 pour que sa lecture devienne possible. La Bible était rédigée en latin jusqu’à cette date et sa lecture entière était rendue impossible, même aux moines qui la reproduisaient à la main, feuille par feuille. Mais en 1170, le fils de la riche famille lyonnaise des Vaudès, nommé Pierre, a consacré sa richesse et son temps à la traduire en langue provençale. Il décida de la mettre en pratique et présenta alors un modèle de foi conforme au modèle des apôtres de Jésus-Christ. Sous le nom Pierre Valdo, il créa le groupe des Vaudois pourchassé par les forces catholiques. Au 16ème siècle, son expérience est oubliée et ignorée par les nouveaux protestants qui sont très loin de son exemple parfait. Car, la religion des Vaudois était l’image de ce que Dieu exige des Adventistes depuis 1843-1844.
Il est vital, pour l’être humain désireux de servir Dieu et bénéficier de sa grâce offerte en Jésus-Christ, de tenir compte des témoignages construits dans l’histoire par les œuvres qu’il a fait accomplir. Le témoignage donné par Pierre Valdo, révèle le niveau de l’exigence de la vérité par Dieu de la part de ceux qu’il sauve. Chaque étape de cette histoire apporte une leçon qui doit être relevée et mise en application. Et toutes ces leçons confirment que Dieu exige depuis 1844, la restauration de toute sa vérité, telle qu’elle a été enseignée et comprise par ses premiers apôtres. Son programme s’est étendu sur les, presque, 20 siècles de notre ère et la date 1843, aboutissement des « 2300 soir-matin » du décret de Daniel 8:14, marque le début des restaurations finales de sa vérité doctrinale biblique chrétienne.
L’humanité de notre époque s’est rendue coupable de mépris, d’indifférence, envers des révélations divines présentées exclusivement dans sa sainte Bible. On ne peut en aucune manière, les trouver ailleurs que dans cette sainte Bible, n’en déplaise à ceux à qui la chose ne plait pas. Le salut proposé à l’homme pécheur depuis le premier, nommé Adam, a été construit sur l’expérience témoignée par le peuple hébreu, héritier charnel de l’homme Abram choisi par Dieu en son temps éloigné soit, environ 4000 ans avant la fin du monde. Tout être humain, où qu’il se trouve, où qu’il vive, où qu’il soit né, doit diriger son attention sur des faits concernant ce peuple Israël, puisque c’est à cette fin que Dieu l’a suscité et organisé.
Je précise que le témoignage rendu en œuvres pratiquées par Pierre Valdo prouve que la vérité apostolique était compréhensible en 1170 soit, bien avant les décryptages des prophéties de Daniel et Apocalypse réalisés très partiellement à partir de 1843. De nombreux Catholiques n’ont aucune compréhension du rôle et du statut religieux du protestantisme et encore moins de ceux de l’adventisme apparu après lui. Mais le catholicisme n’étant pas reconnu par Dieu, ce constat n’a rien d’étonnant, il est simplement logique. Le cas du protestant est différent, parce que Dieu a reconnu ce protestantisme imparfait entre le 16ème siècle et l’année 1843. A cette date, les épreuves adventistes n’avaient pour but, pour Dieu, que celui de sélectionner des élus capables de réaliser une restauration complète de toutes ses vérités bibliques plus ou moins abandonnées ou incomprises, jusqu’à sa présentation des explications aux témoins qu’il choisi. Et ce principe se prolonge jusqu’à la fin du monde marquée, au printemps 2030, par le retour en gloire de Jésus-Christ.
La cause de l’aveuglement spirituel et charnel des sociétés occidentales est donc l’orgueil qui s’est emparé des esprits des gens de ses populations, parce qu’ils se sont sentis les maîtres du monde et de nombreux peuples qu’ils ont soumis et exploité pendant un temps allongé sur des siècles. Cette réussite séculaire a reconstruit en eux le syndrome de l’expérience de Nébucadnetsar : « N'est-ce pas ici Babylone la grande, que j'ai bâtie, comme résidence royale, par la puissance de ma force et pour la gloire de ma magnificence ? » Le même orgueil les a aveuglés et les a conduits à se croire invincibles et à penser que tout leur était permis. Dieu n’intervenant pas pour les arrêter, ils ont ainsi annexé des terres et des pays, mis les peuples Noirs en esclavages, et repoussé en dernier les normes du bien et du mal, en légalisant l’homosexualité et ses dérives abominables transsexuelles. Et avec l’Ukraine, ils veulent élargir leur frontière au détriment de l’alliance russe.
Il a fallu attendre l’année 2025, pour que leurs illusions vacillent et tombent en se découvrant ciblés par la menace destructrice de l’ennemi russe, qu’ils avaient, jusque là, bien à tort, sous-estimé. Et ce comportement « arrogant » qui caractérisait le roi Nébucadnetsar, était causé par le sentiment d’impunité et de puissance qu’ils ont fondé sur la protection américaine témoignée envers l’Europe depuis 1945.
Or, en 2025, appliquant les paroles citées dans Daniel 4:17, « afin que les vivants sachent que le Très Haut domine sur le règne des hommes, qu'il le donne à qui il lui plaît, et qu'il y élève le plus vil des hommes », Dieu ramène au pouvoir suprême des USA, Mr Donald Trump, un homme au caractère « hideux », sans scrupule, le type même de l’homme « vil », parce que la chose lui « plaît », dans le sens où il peut tenir le rôle de l’allié maudit, qui cause la malédiction de l’Europe également maudite et la deuxième cible de sa colère, après l’Israël des Juifs charnels.
La trahison est plusieurs fois présente en actions dans les années comprises entre le 24 Février 2022 et l’année 2025. La première concerne celle de l’Ukraine envers la Russie et remonte réellement à l’année du putsch de Maïdan en 2014 à Kiev. Et Dieu a signé la fin du développement des Occidentaux en frappant la terre entière par le virus mortel du Covid-19 en 2020. Entre 2020 et 2022, l’économie occidentale a été bloquée et sa force a été ainsi fragilisée. Ensuite, Dieu a livré pendant trois ans ces sociétés affaiblies à la dépense des aides données à l’Ukraine attaquée par la Russie. C’est alors que devant l’urgence et la nécessité de financer cette guerre de plus en plus coûteuse, un pays comme la France découvre sa ruine financière ayant une dette de 3000 milliards d’Euro, et sa fragilité militaire conventionnelle réelle.
Les incrédules, les incroyants athées, les libres penseurs, tous ont été vaincus par le Dieu créateur invisible. Il les a aveuglés, les a laissés construire leurs illusions, et alors même qu’ils croyaient être délivrés de ses menaces et de ses châtiments, buvant, mangeant, faisant la fête, aveuglés, ils construisaient, eux-mêmes, par des choix politiques et économiques désastreux et suicidaires, la ruine économique qui va les livrer à leur puissant ennemi russe pour leur destruction. Ceci, à cause de la trahison de la puissance de leur allié de toujours, le pays des USA, le vainqueur occidental de la Seconde Guerre Mondiale.
L’erreur des Occidentaux est d’avoir oublié que tous les Empires terrestres de l’histoire sont contestés et menacés par des chefs que Dieu porte au pouvoir selon son divin programme qui nous échappe parce qu’il est universel. La terre entière portait des chefs, des rois, des empereurs, à côté de ceux que la Bible suit et évoque. Et aujourd’hui, à l’heure de la mondialisation médiatique, d’innombrables populations se réjouissent de la crise qui frappe les Occidentaux. Les anciens esclaves sont en droit de se réjouir en voyant les fils de leurs anciens maîtres durs, insensibles et cruels pour certains, s’affaiblir au point de pouvoir être détruits. Et ces Occidentaux se sont tellement regardés eux-mêmes entre eux, qu’ils ont sous-estimé la puissance du nombre de ceux qui les entouraient, dans le reste du monde. L’actualité du moment et celle qui va venir vont rendre plus visible la proportion d’êtres humains hostiles à la domination Occidentale. Et je pense que ceux qui voulaient isoler la Russie par des sanctions économiques sont moins nombreux que ceux qui les haïssent sur la terre entière. Et donc que dans un proche avenir, ce sont les auteurs de ces sanctions qui vont se retrouver isolés, condamnés par le reste de l’humanité qui comprend la Chine, l’Inde, les pays musulmans, l’Afrique et deux grands pays de l’Amérique du Sud.
Dans leurs commentaires, les médias occidentaux expriment plus ce qu’ils souhaitent et pensent que ce qu’ils constatent. Je donne cet exemple, beaucoup répètent les uns après les autres, je cite : « Poutine balade Trump ». Ils espèrent sans doute que Mr Trump va se sentir humilié par la Russie et va vouloir se venger en apportant son aide militaire à leur cause européenne. Mais que dit la réalité ? En quoi, Mr Poutine peut-il être accusé de vouloir « balader Mr Trump », alors qu’il n’est pas demandeur de la paix et maintient ses conditions pour accorder à Mr Trump la paix qu’il réclame et exige par ses pressions en paroles et en actions.
Je relève dans Apocalypse 13:4 ces paroles : « Et ils adorèrent le dragon, parce qu'il avait donné l'autorité à la bête ; ils adorèrent la bête, en disant : Qui est semblable à la bête, et qui peut combattre contre elle ? »
Il nous faut déjà comprendre que, dans ces propos, Dieu impute des paroles et des pensées aux multitudes de gens catholiques, non parce qu’ils les disent ou les pensent, mais parce qu’il traduit leurs œuvres par cette formule. Car les Catholiques n’ont jamais consciemment voulu ou souhaité « adorer le dragon ». En fait Dieu révèle une conséquence fâcheuse et mortelle : Quiconque « adore la bête », « adore le dragon », soit, le diable. Le message nous dit aussi, chose encore plus subtile, que l’adoration de la bête religieuse catholique prolonge l’adoration de la bête précédente citée dans Apocalypse 12:3 qui désigne la Rome impériale païenne par le symbole du « dragon rouge feu ». Par ce moyen, Dieu dénonce la nature païenne de la religion catholique papale romaine qui ne fait que prolonger la domination de la Rome impériale, mais le fait sous le vernis religieux faussement chrétien. Dieu révèle son jugement à ses élus : pour lui, les deux formes successives du régime romain se valent, elles partagent un statut païen.
Ce comportement explique le comportement du camp occidental dominateur jusqu’à notre époque et jusqu’à la fin du monde : « Qui est semblable à la bête, et qui peut combattre contre elle ? » Ces paroles sont tenues ou imputées à des gens qui s’appuient sur la force ; ce qui confirme toute mon analyse présentée dans ce message. Pour obtenir la force, ils se sont unis par des « alliances humaines ». Mais prophétisant leur échec final, Dieu dit à leur sujet, dans Daniel 2:43 : « Tu as vu le fer mêlé avec l'argile, parce qu'ils se mêleront par des alliances humaines ; mais ils ne seront point unis l'un à l'autre, de même que le fer ne s'allie point avec l'argile. » Dans notre actualité, les peuples rebelles européens le découvrent avec l’hostile indépendance du président Donald Trump.
Les chiffres attribués à ce verset d’Apocalypse 13:4 transmettent ce message : « 13 » : soit « 7 + 6 » soit, « Dieu + le diable » soit, la fausse religion chrétienne des faux christs réprouvés et condamnés par Dieu. « 4 » : symbole du caractère universel. Ce verset évoque donc un principe universel permanent qui concerne les adorateurs des deux « bêtes » successivement présentées dans ce chapitre 13. Et ce principe est l’adoration de la force contraignante.
Dans la succession des Empires cités par Dieu, le meilleur fut celui du roi Nébucadnetsar, et le pire va venir avec « la bête qui monte de la terre » présentée dans Apocalypse 13:11. Sensée sortir de la première « bête qui monte de la mer », selon l’image présentée dans Genèse 1:9-10, cette « bête qui monte de la terre » symbolise la religion Réformée et plus précisément, le régime universel dirigé par l’Amérique protestante des survivants de la Troisième Guerre mondiale qui est, elle-même, désignée comme « sixième trompette » d’Apocalypse 9:11 à 21, ou encore, guerre du « temps de la fin » décrite dans Daniel 11:40 à 45 ; mais aussi, thème des prophéties d’Ezéchiel 38 et 39.
« L’Europe » est donc ciblée par Dieu en raison de sa religion catholique romaine. Et son nom est d’origine grecque qui signifie : celle qui glisse ; la Grèce étant porteuse de l’image du « péché » prophétisé et symbolisé dans Daniel 2 et 7, en troisième Empire et dans Daniel 8, en deuxième Empire.
M47- Cette Création qui nous parle
Toute la Création porte des messages qui prouvent que l’intelligence du Dieu créateur est à son origine.
Déjà, en premier, quand Dieu a créé l’univers de notre dimension terrestre, il a créé la terre en lui donnant une forme sphérique qui est l’unique forme que peut prendre une matière liquide soumise à la même pression extérieure dans toutes ses directions. Ce qui était le cas du vide absolu qui entourait la terre. Et aujourd’hui, dans les voyages spatiaux et leurs séjours dans les stations orbitales satellites, les astronautes découvrent qu’en absence de pesanteur terrestre, le liquide qu’ils doivent boire prend la forme d’une bulle qui flotte dans le vide dans leur compartiment. Il fallait donc, l’intelligence de Dieu pour penser et créer ces lois que sont la pesanteur terrestre et les autres lois gravitationnelles. Et je trouve dans la loi géométrique du calcul de la circonférence d’une sphère, ce miraculeux nombre pi approximatif, « 3,1416… », par lequel le diamètre du cercle doit être multiplié, les chiffres 3 et 14 qui désignent respectivement la perfection et le la double sanctification. Ce nombre pi est en réalité beaucoup plus long et comprend 48 chiffres de plus, indiqués ci-après :
3,141592653589793238462643383279502884197169399375105.
Le nombre pi entier est donc de 51 chiffres. Il suggère le message de l’infini comme le sont pour Dieu, sa puissance, son intelligence et son pouvoir illimités.
A l’origine de la vie, Dieu a créé les corps physiques du plus simple au plus compliqué. En fait, tout commence avec l’atome de l’Oxygène et l’atome de l’hydrogène dont la combinaison H2O donne la molécule de l’eau. Ce que nous nommons la pesanteur terrestre est une force qui s’exerce sur toute sa surface venant de sa masse centrale et qui crée l’attraction terrestre que la masse de notre atmosphère gazeuse amortit et réduit jusqu’à disparaître dans l’espace de la stratosphère. S’ajoute à cette réduction de la force interne, la force centrifuge obtenue par la rotation de la terre. Mais, le miracle est là ; la terre est si grande que partout où se trouve l’homme, il ne voit qu’un sol plat qui est en réalité un arc de cercle très faiblement apparent.
Nous ne connaissons la terre que sous son aspect actuel où elle est inclinée sur son axe sur un angle de 23 degré. C’est donc uniquement par la foi que nous devons reconnaître qu’il n’en était pas ainsi quand Dieu l’a créée. Et je vais démontrer que ce sujet est vraiment un sujet de foi, car ces changements qui sont survenus sont les conséquences du péché d’Adam et Eve, les premiers humains créés par Dieu pour peupler la terre.
Dans l’état originel de pureté, la terre n’est pas inclinée, mais tourne sur un axe à 90 degré en parfaite verticalité; ce qui offre à Adam et Eve des longueurs de nuits lunaires et de jours ensoleillés successifs parfaitement égales. La vie éternelle pourrait ressembler à cette condition, sauf que, déjà, l’existence de la nuit prophétisait un avenir sombre pour l’humanité. Car dans la vie éternelle où le mot fatigue n’a pas de sens, la nuit est inutile et la vie parfaite est placée constamment dans la lumière, sans dépendre pour autant d’un astre lumineux, comme c’est le cas dans notre dimension terrestre.
La dimension terrestre a été créée par Dieu pour offrir au diable et ses démons rebellés contre son autorité, un terrain sur lequel Dieu pourrait les combattre, les vaincre, et régler définitivement, le problème créé par la liberté donnée momentanément à toutes ses créatures célestes et terrestres. Je dis momentanément, parce qu’après la destruction et l’anéantissement des rebelles, c’est volontairement que les saints élus rachetés survivants se placent sous l’autorité indiscutée par eux sous la domination aimante et juste du Dieu vivant.
A la résurrection de Jésus-Christ, dans le ciel, le tri a été fait, et les bons anges ont effectué ce choix de rester soumis au Dieu créateur. Et à l’opposé, les mauvais anges restés rebelles ont été chassés du ciel et jetés sur la terre et sa dimension qui sont devenues pour eux l’antichambre de la mort et l’unique milieu de vie. Ce fait est révélé dans Apocalypse 12 :7 à 11 : « Et il y eut guerre dans le ciel. Michel et ses anges combattirent contre le dragon. Et le dragon et ses anges combattirent, mais ils ne furent pas les plus forts, et leur place ne fut plus trouvée dans le ciel. Et il fut précipité, le grand dragon, le serpent ancien, appelé le diable et Satan, celui qui séduit toute la terre, il fut précipité sur la terre, et ses anges furent précipités avec lui. Et j'entendis dans le ciel une voix forte qui disait: Maintenant le salut est arrivé, et la puissance, et le règne de notre Dieu, et l'autorité de son Christ; car il a été précipité, l'accusateur de nos frères, celui qui les accusait devant notre Dieu jour et nuit. Ils l'ont vaincu à cause du sang de l'agneau et à cause de la parole de leur témoignage, et ils n'ont pas aimé leur vie jusqu'à craindre la mort. C'est pourquoi réjouissez-vous, cieux, et vous qui habitez dans les cieux. Malheur à la terre et à la mer ! Car le diable est descendu vers vous, animé d'une grande colère, sachant qu'il a peu de temps. »
Je relève avec joie, que les bons anges nomment « nos frères », les rachetés élus de Jésus-Christ, et c’est si vrai, puisque les élus vont partager leur nature angélique céleste éternelle, comme Jésus l’a annoncé dans Matthieu 22:30 : « Car, à la résurrection, les hommes ne prendront point de femmes, ni les femmes de maris, mais ils seront comme les anges de Dieu dans le ciel. ».Voilà un message qui n’est pas fait pour plaire aux Musulmans, ni aux détraqués charnels sexuels de tous genres. Je note aussi que le diable a la connaissance approximative du temps qui lui est accordé en sursis, par Dieu, pour pouvoir agir encore librement. Car, aucune de ses créatures célestes ou terrestre n’a eu connaissance du projet des sept mille ans masqué et prophétisé par l’organisation de la semaine de sept jours de 24 heures. Dans les années 70, n’étant pas encore baptisé adventiste, j’avais relevé l’accélération technique du développement humain constaté depuis le milieu du XIXème siècle. J’ignorais également, à ce moment là, l’existence de la date charnière du 22 Octobre 1844 et celle du printemps 1843 avant elle. Mais j’étais déjà convaincu par ce constat que l’an 2000 serait marqué par le retour glorieux de Jésus-Christ, 2000 ans après sa naissance présumée.
Du fait que la terre fut inclinée sur un angle de 23 degrés sur son axe Nord-Sud au moment de la chute d’Adam et Eve, le cycle des saisons est apparu : printemps, été, automne hiver devaient se succéder pendant les 6000 ans où l’homme allait habiter sur la terre. Relève l’intérêt du message imagé par cette chute de la terre qui s’incline et témoigne du péché humain encore de nos jours.
La terre étant ainsi inclinée, la première saison désignée comme commencement est le printemps. Dieu confirme ce choix, et il en fait un ordre adressé à ceux qui veulent lui obéir, dans Exode 12 : 2 : « Ce mois-ci sera pour vous le premier des mois ; il sera pour vous le premier des mois de l'année. »
Dans la succession des saisons de l’année je
relève la norme croissante de la chaleur et de la lumière solaire qui concerne
le printemps et l’été et la norme décroissante de cette chaleur et de cette
lumière des saisons suivantes, l’automne et l’hiver. Or, sur le plan
spirituel, le projet de Dieu n’est qu’ascendant comme l’indique ce verset dans
Proverbe 4:18 : « Le sentier
des justes est comme la lumière resplendissante, dont l'éclat va croissant
jusqu'au milieu du jour. » ce milieu du jour est marqué comme l’heure
de « midi », moment où le soleil atteint son point de zénith, soit où
il brille et chauffe le plus, en projetant sur la terre ses rayons lumineux à
un angle de 90 degrés. Donc, dans sa croissance progressive, le soleil témoigne
pour Dieu de son intention de révéler à ses élus fidèles de manière progressive
sa lumière qui restera cachée aux autres êtres humains frappés par sa
malédiction. Or ce point du zénith de la lumière spirituelle sera atteint au
jour du retour de Jésus-Christ qui va revenir pour prendre ses élus avec lui.
Sa lumière les aura progressivement éclairés et préparés comme le prophétise en
image Apocalypse 12 :18 : « Et le dragon fut irrité contre la femme, et il s'en alla faire la
guerre au reste de sa postérité, à ceux qui gardent les commandements de Dieu
et qui ont le témoignage de Jésus. ».
Cette préparation est réalisée par la lumière que représente le « témoignage
de Jésus » ; une lumière spécifique qui éclaire ses
prophéties bibliques, selon Apocalypse 19:10 : « Et je tombai à ses pieds pour me prosterner devant lui l'adorer ;
mais il me dit : Garde-toi de le faire ! Je suis ton compagnon de service, et
celui de tes frères qui ont le
témoignage de Jésus. Adore Prosterne-toi devant Dieu. Car le témoignage de Jésus est l'esprit de
la prophétie. »
Le retour glorieux de Jésus-Christ est donc lui-même imagé par la norme de l’été ; moment où la lumière solaire et la lumière spirituelle divine atteignent leur niveau maximum. En effet, si le moment du printemps est celui où la nature s’éveille, celui où les bourgeons sortent et apparaissent pleins d’espérance, le moment de l’été est celui de la production des fruits soit, celui où les bourgeons atteignent leur maturité en forme de feuilles ou de fruits mûris par la chaleur solaire ; et sur le plan spirituel, celui où la préparation des élus du Christ est achevée. Ils sont prêts pour être enlevés au ciel, par lui, à son glorieux retour.
Mais ces deux saisons peuvent aussi marquer les deux phases terrestre et céleste du projet salvateur de Dieu. Le printemps couvrant le temps de la préparation terrestre et l’été, couvrant le temps de leur éternité qui va commencer au ciel puis va se prolonger sur la terre renouvelée. Ce qui est maintenant certain, c’est que le retour de Jésus s’effectuera bien le jour du printemps 2030 que le choix divin révélé dans Exode 12 :2, confirme et renforce.
Les six derniers mois de l’année sont à tous points négatifs : décroissance de la lumière solaire et de sa chaleur bienfaisante et marche croissante vers le froid, l’obscurité, et la mort imagée par l’hiver. Cette partie de l’année adresse aux êtres humains rebelles le message qui leur dit que la grâce divine n’est que momentanément accordée et qu’elle va prendre fin collectivement ou qu’elle a déjà pris fin individuellement pour eux. Car les deux situations sont possibles dans la justice divine du plan conçu par Dieu. Pour chaque créature terrestre, il y a, quand la chose est utile pour Dieu, une visitation divine qui invite à suivre le chemin qu’il indique. Mais si cette créature préfère ne pas répondre à l’offre divine inspirée, son sort est scellé, inexorablement, son destin final est la mort et la « seconde mort » liée à « l’étang de feu » selon Apocalypse 19:20 et 20:14 : « Et la bête fut prise, et avec elle le faux prophète, qui avait fait devant elle les prodiges par lesquels il avait séduit ceux qui avaient pris la marque de la bête et adoré son image. Ils furent tous les deux jetés vivants dans et l'étang ardent de feu de soufre. » ; « Et la mort et le séjour des morts furent jetés dans l'étang de feu. C'est la seconde mort, l'étang de feu. ».
L’automne est une saison triste, dans laquelle déjà raccourcis, les temps de lumière sont affaiblis par de grosses couches de nuages qui répandent la pluie qui, en abondance, fait pourrir les végétaux qui poussent sur la terre. Les feuilles mortes tombent des arbres sur le sol qui va les dévorer et les absorber et les branches nues des arbres entrent dans la saison morte de l’hiver. Si je parle ainsi des arbres, c’est parce que Dieu les utilise comme symbole des êtres humains dans ces messages prophétiques ; et ceci déjà, dans cette expérience de l’aveugle guéri par Jésus, relatée dans Marc 8:24 : « Il regarda, et dit : J'aperçois les hommes, mais j'en vois comme des arbres, et qui marchent. » En réalité cette comparaison a commencé dès la Genèse par le sens symbolique donné à « l’arbre de la vie » et « l’arbre de la connaissance du bien et du mal » évoqués dans Genèse 2:9 : « YaHWéH Dieu fit pousser du sol des arbres de toute espèce, agréables à voir et bons à manger, et l'arbre de la vie au milieu du jardin, et l'arbre de la connaissance du bien et du mal. »
Cette comparaison des hommes et des arbres est beaucoup plus justifiée qu’il n’y paraît, parce qu’ils sont parfaitement complémentaires, chacun d’eux trouve sa nourriture dans les déchets laissés par l’autre. L’arbre se nourrit du gaz carbonique produit par la respiration des hommes et des animaux à sang chaud, comme lui, et à l’inverse, l’homme et ces animaux respirent l’oxygène que l’arbre et la verdure produisent et leur offrent. La survie des deux familles animales et végétales dépend donc de la survie des deux, car la disparition de l’une entraîne la disparition de l’autre. Et Jésus-Christ exploite dans ses enseignements cette grande ressemblance en disant au sujet des « faux prophètes » dans Matthieu 7:15 à 20 : « Vous les reconnaîtrez à leurs fruits. Cueille-t-on des raisins sur des épines, ou des figues sur des chardons ? Tout bon arbre porte de bons fruits, mais le mauvais arbre porte de mauvais fruits. Un bon arbre ne peut porter de mauvais fruits, ni un mauvais arbre porter de bons fruits. Tout arbre qui ne porte pas de bons fruits est coupé et jeté au feu. C'est donc à leurs fruits que vous les reconnaîtrez. » Dans ces versets, le mot « arbre » apparaît « 5 » fois, et le mot « fruits », « 7 » fois. Le mot important est donc le mot « fruits » car c’est pour Dieu ce qui est le plus important dans sa comparaison de « l’arbre » avec « l’homme » qui sont soumis sur la terre aux mêmes dangers mortels : le feu destructeur, le vent violent qui arrache l’arbre du sol et le déracine, la forte sécheresse, et les pluies violentes et abondantes qui noient le sol et font se décomposer les végétaux dont l’homme se nourrit.
Le symbole de l’arbre de vie de la Genèse trouve son explication dans Apocalypse 22:2 : « Au milieu de la place de la ville et sur les deux bords du fleuve, il y avait un arbre de vie, produisant douze fois des fruits, rendant son fruit chaque mois, et dont les feuilles servaient à la guérison des nations. » Ce message utilise des symboles et des images qui illustrent le rôle salvateur de Jésus-Christ. Son offre de vie éternelle est imagée par les fruits de l’arbre de vie produits chaque mois pendant douze mois, soit continuellement ou éternellement. La guérison concerne la maladie du péché que le vêtement de justice du Christ, imagé par les feuilles de l’arbre, guérit chez tous ses rachetés élus.
Note que l’arbre de vie est placé au milieu de la place de la ville, la Nouvelle Jérusalem formée par l’assemblée des élus rachetés, comme il était situé au milieu du jardin de Dieu selon Genèse 2:9 : « YaHWéH Dieu fit pousser du sol des arbres de toute espèce, agréables à voir et bons à manger, et l'arbre de la vie au milieu du jardin, et l'arbre de la connaissance du bien et du mal. » Cet emplacement du milieu du jardin et de la place de la ville est réservé au Roi des rois victorieux et glorieux. De même, symbolisé par le soleil dans sa création terrestre, le Christ Dieu est aussi, « au milieu » donc, au centre, des « sept églises ou sept chandeliers » d’Apocalypse 1:13 : « et, au milieu des sept chandeliers, quelqu'un qui ressemblait à un fils d'homme, vêtu d'une longue robe, et ayant une ceinture d'or sur la poitrine. » Cette place centrale lui donne, comme à l’axe des aiguilles d’une horloge, le contrôle permanent de toute chose dans tous les temps marqués par l’aiguille de l’horloge pendant le temps de son offre de grâce.
Nous sommes actuellement en été et nous subissons, anormalement, des excès de chaleur dont la cause est strictement divine. Quel homme a la possibilité d’influencer la chaleur produite par le soleil ? Aucun. Cependant, cette intensification de l’activité solaire a bien été relevée par les scientifiques qui observent et mesurent ces choses. Je constate également, la reproduction de ce fléau naturel depuis plusieurs années récentes et je sais par ailleurs que Dieu a engagé une activité hostile et punitive contre l’humanité depuis l’année 2020, en laquelle il a suscité le virus mortel du « Covid-19 » à partir d’un laboratoire franco-chinois installé en Chine à Yuan. On assiste, depuis cette année 2020, à des dérèglements climatiques brutaux et désordonnés, comme si la nature entrait en conflit avec l’homme. Mais la nature étant l’arme que Dieu utilise, c’est bien lui qui combat et inflige à l’humanité de plus en plus incrédule et perverse, les maux que sa conduite mérite : excès de chaleur, et quand vient la saison automnale ou printanière, excès de pluies ravageuses qui créent des inondations mortelles. Ces fléaux attestent que nous sommes bien entrés dans un temps particulier où le normal agréable disparaît remplacé par l’anormal désagréable et nocif. Et le climat n’épargne personne, les « fils de Dieu » sont touchés comme les « fils du diable » par le même soleil agressif destructeur. Mais les « fils de Dieu » ont, eux, la consolation de savoir pourquoi et par qui ces fléaux les frappent, tandis que les incrédules et les incroyants s’accordent pour imputer, de manière irraisonnable, la causalité de la chaleur à la pollution produite par la technologie humaine. Celle-ci existe bien, mais elle est loin d’être du niveau des quelques 210 explosions atomiques réalisées à titre d’essais, depuis 1945, par les pays détenteurs de cette arme nucléaire,. Et actuellement, les bombardements effectués sur l’Ukraine et sur la Russie ont des effets bien supérieurs aux dégâts causés par la production chimique d’usage civil. Mais personne ne semblent réaliser ce problème, et au contraire, comme des pompiers incendiaires, chaque jour les hommes construisent des bombes explosives incendiaires pour alimenter ce fléau qui n’a lui, rien de naturel.
Pendant des milliers d’années depuis Adam et Eve, les êtres humains témoignaient leur reconnaissance quelques rares, envers le vrai Dieu créateur et en multitudes innombrables, envers de fausses divinités, pour les bontés qu’ils leur accordaient, en nourritures et autres bienfaits terrestres ou célestes tels la pluie et le soleil qui seuls permettent à l’homme de manger des fruits et des légumes ; sans oublier ces précieuses céréales, l’épeautre, le sarrazin, le blé, l’orge, l’avoine, le seigle, le riz et le maïs qui constituent après préparation, le pain quotidien des divers habitants de la terre. Au moins, cette humanité, même païenne avait conscience d’être dépendante de forces invisibles qu’elle divinisait. Aujourd’hui, l’homme ne trouve plus de raison de se sentir dépendant de quiconque, parce que sa grande connaissance et sa capacité de produire des machines bien plus performantes que lui, le porte à se diviniser lui-même. A ce stade, il est prêt pour rencontrer le diable quand il se présentera à lui comme un extra-terrestre auquel la pensée moderne l’a préparé à concevoir leur existance. Avant que les civils se prennent eux-mêmes pour des dieux, l’humanité occidentale a été livrée à la puissance redoutable des papes du catholicisme romain qui ont prétendu représenter Dieu, le vrai, sur la terre. Et sous cette influence diabolique, les humains étaient encouragés à rendre grâce au vrai Dieu pour les bienfaits offerts par sa nature. Cependant, pratiquant les œuvres du catholicisme, leurs actions de grâce n’étaient pas recueillies par le vrai Dieu, mais par le diable, Satan, qui se substituait à lui et retirait le bénéfice des bontés réelles divines.
Je peux témoigner de la chose, en voyant dans mon petit jardin, un minuscule coin de terre, les salades, les courges et les pieds de tomates et leurs feuilles, sécher, étant frappés par un soleil brûlant plus que chauffant ; la meilleure saison est incontestablement le printemps, et je ne vois que lui de positif et d’agréable, sauf que cette année, ce temps agréable est devenu désagréable en étant marqué par une chaleur excessive précoce au moment où les plantes doivent se former et croître. Pendant longtemps, le printemps était d’abord frais et pluvieux, propice à la levée des semences et la chaleur solaire montait graduellement de jour en jour, jusqu’au début de l’été, puis la grosse chaleur apparaissait donnant lieu à des orages vers la fin de l’été. Après cette norme, la chaleur étouffante de la canicule est venue brûler les végétaux, fruits et légumes. J’ai relevé la température de 34 degrés centigrades sous abri, ce qui fait environ 40 à 45 degrés en plein soleil vers 14 heures, l’heure qui désigne son vrai niveau de zénith, compte-tenu de l’horaire d’été qui est décalée de deux heures sur l’heure solaire véritable. Je le sais bien, ces désagréments ne sont que les prémices de désagréments beaucoup plus graves et sérieux. Mais déjà, depuis son invisibilité pour l’homme, Jésus-Christ, s’active à provoquer des tempêtes et des orages terribles en certains lieu et à imposer la sécheresse, au même moment dans d’autres lieux de la terre ou du même pays ; lui qui ordonna à la tempête de se calmer, et auquel elle obéit instantanément quand ses disciples le réveillèrent croyant que leur embarcation allait couler dans le lac qu’il traversait en Judée. Ce témoignage biblique est aujourd‘hui très précieux, car il permet d’identifier l’organisateur des désordres climatologiques constatés par tous, sur toute la terre ; des désordres que les humains sans-Dieu imputent aux pollueurs humains de toute sortes. Ce que j’ai pu, personnellement, également constater, c’est la rareté des insectes volants polinisateurs, phénomène favorisé par la violence du vent qui rend leur vol difficile, dans mon secteur rhodanien de la France, mais aussi parce que leur nombre décroît, car les poisons insecticides chimiques les déciment. Ne vivant que le temps d’une saison, ces espèces de polinisateurs sont beaucoup plus sensibles à ces poisons chimiques fabriqués par les savants scientifiques humains que les êtres humains eux-mêmes. Pourtant, cette vérité s’impose : ces polinisateurs volants ou marchants sont nos alliés très utiles, nos partenaires sans lesquels la fleur ne devient pas un fruit. Ce drame se développe d’autant plus, qu’en Occident, les populations sont devenues largement citadines, et vivent éloignées des règles de la culture des végétaux alimentaires. Les fruits et les légumes sont achetés dans les supermarchés commerciaux de grandes surfaces ou sur des petits marchés locaux, ou encore dans des petites boutiques, mais dans cette vente dépersonnalisée, personne ne les met en garde contre la menace qui peut finir par provoquer des famines meurtrières.
Dieu a comparé la nourriture terrestre et la nourriture spirituelle. Et l’homme a méprisé son offre de nourriture spirituelle, comment s’étonner dès lors, qu’il décide, à son tour, de le priver de nourriture charnelle ? N’est-ce pas cette menace qui transparaît dans ce rappel cité par Jésus-Christ, dans Matthieu 4:4 : « Jésus répondit : Il est écrit : L'homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu. » Et ces paroles furent premièrement adressées aux Hébreux, selon Deutéronome 8:3. Ainsi, lorsque l’homme méprise la parole qui sort de la bouche de Dieu, en réponse, ce Dieu juste prive l’homme de la nourriture charnelle qui entre dans sa bouche ; et ce fléau prendra bientôt des formes énormes dramatiques. En apparence, le choix chimique est un choix humain, mais en réalité, il n’est que la conséquence de l’inspiration maudite autorisée par Dieu contre ses ennemis méprisants.
La saison du printemps est celle où la semence mise en terre suscite chez le semeur l’espérance d’une heureuse et abondante récolte. En apportant aux hommes, la connaissance de son plan du salut, Dieu a vécu la même expérience ; excepté le fait qu’il n’a rien ignoré au sujet du nombre d’élus, les fruits, qu’elle allait porter et qu’il allait récolter. Jésus a multiplié cette annonce qui peut être qualifiée de pessimiste : « car il y a beaucoup d’appelés mais peu d’élus » ; il a aussi comparé en image, le chemin du salut à « une porte étroite » que peu d’humains trouvent et franchissent et aussi, à un « chemin resserré » que peu empruntent pour y marcher. Celui qui travaille et sème en terre apprend que cette semence va exiger des soins continuels ; des apports d’eau réguliers et l’arrachage des plantes sauvages parasites. Comment s’étonner de ce que la vie spirituelle nécessite les mêmes continuels entretiens qui permettent aux élus de croître dans leur connaissance du programme préparé, par Dieu, pour eux et pour les autres ? L’abandon des campagnes par des multitudes de gens venus vivre dans les villes leur a fait perdre le sens de leur dépendance du ciel et de sa bonté compassionnelle. Pourtant, même en ville, ils lui doivent cet emploi qui leur permet de vivre, car il suffit qu’il le décide, pour qu’un pays se ruine et perdent ses emplois, livrant sa population à un chômage, à la faim, et à la famine mortifère.
Je le dis et le répète, le plus dur est encore devant nous, car nous ne faisons qu’assister à la mise en place des conditions mondiales qui vont conduire les peuples à s’affronter, non seulement en Europe, la cible principale, avec Israël, de sa colère vengeresse, mais aussi, sur toute la terre. De même qu’une grande sécheresse provoqué par une canicule soudaine peut détruire entièrement les récoltes non ramassées parce que pas assez mûres, une guerre nucléaire peut éliminer des centaines, voire des milliards d’êtres humains non couverts par la grâce de Jésus-Christ ; et ce désastre est programmé par Dieu pour l’année 2028.
Depuis l’année 2020, le message porté par les saisons est devenu confus et trouble. Car ce qui était clair et ordonné est devenu chaotique. En effet, le printemps lui-même est marqué par un grand désordre climatique comme l’été qui le suit. Et si l’automne permet par ses pluies de retrouver la possibilité de cultiver les salades et autres légumes cultivables en cette saison, l’être humain se voit néanmoins privé partiellement des fruits de l’été qui devenant rares voient leurs prix de vente se renchérir continuellement.
L’été qui à l’origine prophétisait le fruit qui apporte finalement à Dieu, le plaisir et le bonheur d’accueillir dans son éternité des élus dans lesquels il a reconstruit son image, prophétise aujourd’hui la triste déception causée par le fruit de l’humanité orgueilleuse, méprisante et indépendante, qu’il doit conduire à la destruction et la mort. Cette mort vient ensuite, étant confirmée par la saison de l’automne qui met en image l’agonie des victimes condamnées par Dieu. Et après l’automne, l’hiver stérile où la terre elle-même ne donne plus de nourriture ou presque, surtout sous un manteau neigeux, présente l’image parfaite de la mort des ennemis de Dieu.
Dans cette semaine du sabbat 2 Août 2025, des incendies énormes ont consumé des milliers d’hectares de bois et de végétations dans l’Aude département de la France. Selon les témoins spécialisés, il ne s’est pas produit de feu aussi grand depuis 1949. Ainsi, avant que tombent les bombes lâchées par les forces aériennes humaines, le sol de la France est meurtri par des incendies naturels ou intentionnels, sachant que la forte chaleur et un vent violent constituent un mélange qui favorise et alimente l’incendie allumé. Et dans ce cas, là encore, l’action divine naturelle s’associe au crime ou à l’accident involontaire pour occasionner de graves dommages à l’humanité rebelle qui méprise Dieu et ses appels au salut.
M48- Vers la rupture décisive
J’apprends ce soir du vendredi, donc début du sabbat du 9 août 2025, la décision de l’Espagne de renoncer à son achat d’avions américains F-35 pour favoriser un achat européen. Dans un dernier message, j’évoquais le risque que, par son intransigeance et son abus, l’imposition des taxes douanières finisse par provoquer l’isolement de l’Amérique, rejetée par tous les pays que Mr Trump a voulu fortement taxer. Ce mécanisme semble se mettre en marche et on dit qu’en France 50 % des Français sont en faveur de boycotter les produits américains, dans ce pays frappé comme les autres Européens de 15 % de taxe douanière. Cette démarche remet en cause le choix de la présidente de la commission européenne, Ursula Von Der Leyen, qui a accepté et conclu l’accord sur les taxes passé avec le président Trump.
Visiblement, l’accord passé n’est pas accepté par les populations européennes et certains sont en faveur de boycotter individuellement les produits fabriqués par les Américains. Si la chose se développe et s’élargit en Europe et dans le monde, la contrainte exercée par Mr Trump va se retourner contre lui, car les populations ont un grand pouvoir en tant que consommateurs. La vente des produits européens va être affaiblie par le refus des Américains de payer 15 % plus cher leurs produits importés, et à ceci s’ajoute la boycott volontaire individuel des produits américains par des Européens ; autant dire que le commerce et les échanges de part et d’autre de l’Atlantique devient impossible. La rupture totale sera donc inévitable vu l’endurcissement de l’orgueil des chefs décisionnaires du moment.
Cette révolte populaire étrangère va mettre en échec le projet d’enrichissement élaboré et imposé par Mr Trump qui veut le faire financer par ses fournisseurs mondiaux. Ainsi isolé économiquement, l’Américain humilié ne peut que se retirer des problèmes guerriers européens et peut-être, israéliens.
Je pense que Mr Trump a imposé ses taxes trop tôt, parce que les populations européennes ne sont pas suffisamment effrayées par les menaces russes. Et dans la situation actuelle, elles ne voient que la cupidité américaine qui veut les ruiner et détruire leur équilibre économique. La conséquence de cette erreur américaine va être une rupture totale entre l’Amérique et l’U.E. Ce sera donc une cause financière qui va séparer pour de bon et pour le pire, les pays alliés et réunis dans l’alliance de l’OTAN. Mais ce temps est celui de la franchise, du culot, qui favorise la tombée des masques diplomatiques qui œuvrent constamment pour masquer les honteuses démarches économiques activées entre tous les pays. Au début de sa formation, l’union européenne des six nations avait été signataire des accords du GAT ; des accords scandaleux signés par des commissaires corrompues, ces accords étant trop favorable aux Américains qui imposaient aux Français de mettre en jachère des terres productives pour favoriser des achats de céréales américaines. La trahison des intérêts français venait de commencer et n’a fait que se développer au fil du temps ; car la ruine actuelle a une cause : la gouvernance de la commission européenne dont les choix consistent à enrichir les riches en favorisant l’accueil de pays pauvres qu’ils peuvent ainsi légalement au sein de l’U.E. exploiter à souhait. Et je le rappelle en faisant payer les aides données en subvention à ses pays pauvres entrants par les pays dits riches comme la France qui paie ainsi très cher, sa réputation ancienne de quatrième puissance mondiale ; ce qu’elle n’est plus depuis sa soumission à l’alliance européenne.
Comme le corbeau de Jean de La Fontaine, la France s’est laissé séduire par l’apparente amitié de l’Allemagne formée au modèle capitaliste par les Américains qui l’ont longtemps prise en charge et occupé. Dans leur pensée humaniste les Français se sentent flattés par le fait de réussir un rétablissement de relation amicale avec l’ancien ennemi mortel : l’Allemagne de Guillaume II et celle d’Adolf Hitler. Et comme le corbeau de la fable, la flatterie provoque sa ruine. Et le pire est que la chose arrive au pays où a vécu l’auteur de ces fables nommé Jean de la Fontaine. Mais déjà à son époque, ses critiques imagées par des animaux échappaient à la vigilance du roi Louis XIV qu’elles ciblaient particulièrement. L’aveuglement semble donc être une maladie héréditaire française.
L’Amérique a constamment fait la pluie et le beau temps imposant systématiquement ses décisions à ses « vassaux » européens subjugés par sa puissance et son énorme richesse. Il faut retenir le fait que les nouveaux partenaires venus se joindre à l’Europe des six nations originelles sont venues pour se placer sous le bouclier américain sensé les protéger de la menace russe. Et le paradoxe consiste dans le fait que ces Américains ont eux-mêmes pris la décision de faire entrer la Chine dans l’Organisation Mondiale du Commerce. Et qu’avec les années écoulées, cette Chine rivalise aujourd’hui avec les Américains, étant devenue ce qu’ils en ont fait : le pays fournisseur de l’Europe et d’une grande partie du monde, parce que le coût de sa production est imbattable par les anciennes grandes puissances dites riches ; mais de moins en moins.
En Occident, le prix de la vie n’a fait que croître pour satisfaire la cupidité des riches cupides etv répondre en même temps aux augmentations de salaires successivement accordées aux travailleurs occidentaux. Le niveau de vie est en Occident très élevé, mais cette richesse est trompeuse parce les pays occidentaux ont laissé détruire leurs emplois en sacrifiant leur fabrication au profit de la Chine. Avec un niveau de vie plus bas, la Chine résolument communiste a profité de son énorme nouvelle richesse pour produire des armes modernes perfectionnées massivement. Ce régime communiste donne à l’Etat les moyens financiers pour financer cet équipement. Mais maintenant bien armée, sur terre, mer et ciel, la Russie ne se laisse plus diriger par ses parrains américains ; elle leur résiste et concurrence avantageusement leurs offres commerciales qui perdent leur marché. Il faut remarquer que cette situation est la même pour l’Europe et les USA, parce que ces anciens pays riches sont incapables de produire moins cher que la Chine. Leur haut niveau de vie devient désavantageux et peut causer chez eux une ruine totale. Conscient de cette situation, Donald Trump a remis en cause le système qui a enrichis quelques Américains investisseurs et ruiné en même temps la richesse de l’Etat américain, l’économie industrielle et commerciale américaine. Les victimes sont en Europe et aux USA, les travailleurs des entreprises et des emplois du secteur privé que la situation prive de leurs emplois, créant, chez eux, le doute et l’insécurité. Réagissant en commerçant qui voit ses ventes se réduire, Mr Trump a compris avant les hommes politiques, les technocrates politiciens, la cause de cet affaiblissement. Il tente donc d’y remédier en faisant entrer la richesse par le moyen risqué des taxes douanières. Et après avoir célébré glorieusement le passage de minuit, heure de l’entrée en application des nouvelles taxes douanières et s’être publiquement réjouit par les millions de dollars qui entraient dès lors dans le trésor américain, il va surement promptement déchanter, si la résistance européenne rejette ses taxes et ses accords et boycotte ses productions avec d’autres pays taxés.
Une autre cause va prochainement provoquer la rupture décisive entre l’U.E. et les USA. Cette semaine doit avoir lieu une rencontre entre les présidents américains et russe ; la présence du président ukrainien étant exclue et catégoriquement refusée par le président russe. Et bien sûr, ses alliés européens sont également écartés de cette rencontre. Mettons-nous à la place du chef américain ; et posons-nous cette question, dans la situation actuelle, qu’ai-je à redouter le plus ? La Russie ou l’Ukraine. La réponse s’impose : la Russie, puisque je tiens dans ma main le sort de l’Ukraine et de l’Europe trop désarmée pour être dangereuse. La Russie a peut-être bien un PIB inférieur à celui des Européens mais à l’inverse d’eux, elle est puissamment équipée d’armes redoutables. Un conflit contre elle est donc à exclure dans la mesure du possible.
De son côté, le président russe qui n’est pas le demandeur de la paix et qui se trouve stratégiquement avantagé sur le terrain de la guerre a peu de concessions à faire. On peut ainsi comprendre la difficulté pour le chef américain de lui arracher des conditions de paix. Et de même qu’il profite de son avantage pour taxer les exportations des autres pays, de son côté, le président russe entend bien tirer avantage de sa position stratégique en lente mais constante domination sur le terrain. Il est donc facile de prévoir que si un accord est obtenu, entre les chefs russe et américain, ce sera aux dépens de l’Ukraine qui devra accepter des conditions terribles ou s’en remettre à ses alliés européens pour poursuivre sa guerre avec leurs aides matérielles, financières et en offre d’armes. Mais dans ce cas, comment vont réagir les Européens, déjà irrités par les taxes que le chef des USA leur impose ? La colère est mauvaise conseillère car elle fait prendre des décisions dont les conséquences ne sont pas mesurées. Et pour accomplir le programme de Dieu, il est probable que des actions téméraires vont être lancées par les pays de l’Europe les mieux armés : la France, la Pologne, l’Allemagne et l’ex-membre de l’U.E., l’Angleterre. A défaut d’action offensive, les offenses verbales vont se multiplier au sujet de la Russie et des USA. Face à ces deux géants guerriers, les pays européens ont tout intérêt à unir leurs forces et prendre des décisions communes. Mais en sont-ils capables ? On peut légitimement en douter. En fait, pour justifier l’attaque du roi du septentrion contre l’U.E., il suffit d’un seul facteur qui se construit actuellement et qui est la rupture entre l’U.E. et les USA. Assuré, dans ce cas que les USA ne viendront pas soutenir l’U.E. pour la protéger, Le président Poutine pourra alors venger les trahisons successives des Allemands de l’Est, de la Pologne, des pays-Baltes et de l’Ukraine. Et dans son combat, il n’oubliera pas la France non protégée par son armement nucléaire contre une attaque d’armes conventionnelles. Car, la Russie tient maintenant la France pour son principal ennemi, selon les paroles officielles tenues par les Russes.
Mais au même moment, dans notre actualité, le chef d’Israël prévient de sa décision de prendre le contrôle complet de la bande de Gaza ; décision qui met en fureur les chefs de l’U.E. déjà irrités par Mrs Trump et Poutine. Et il faut bien le reconnaître, avec le problème de l’Ukraine, et celui de Gaza, Dieu a réussi à provoquer deux problèmes insolubles pour l’humanité partagée en camps opposés car le sort subi par les Palestiniens divise autant que l’Ukraine les Européens dont les dirigeants se sentent concernés par les deux conflits.
Le conflit ouvert depuis l’attaque du 7 Octobre 2024 du Hamas palestinien contre des Israéliens est aussi grave que la guerre de l’Ukraine pour deux raisons : la première est le statut religieux historique d’Israël qui lui donne une authentique valeur biblique. La seconde raison est plus terrestre : Israël est soutenu par les USA qui ont fait de ce petit pays, un poste avancé porteur de leur valeur économique capitaliste depuis 1948. Ils ne peuvent pas renoncer à cet intérêt stratégique et il en sera de même pour la Corée du Sud, installée entre la Chine et la Corée du Nord communistes. Mais vu le contexte actuel, cette Corée du Sud est réellement menacée en tant qu’ennemi mortel de la Corée du Nord communiste détentrice comme la Chine de l’arme nucléaire. Leur séparation remonte au temps de l’après guerre, moment où les vainqueurs de Yalta russe et américain se sont séparés porteurs de deux idéologies diamétralement opposées et totalement incompatibles. Le jeune dictateur de la Corée du Nord Kim Young Un a doté son pays de l’arme nucléaire et il s’est solidement allié avec la Russie qu’il soutient en lui fournissant des bombes et des soldats pour sa guerre contre l’Ukraine. Je ne serai donc pas étonné si un troisième conflit s’engageait contre la Corée du Nord, ce poison occidental capitaliste implanté dans cette zone communiste de la terre. Confirmé par la sainte Bible dans laquelle Dieu donne au chiffre « 3 » la valeur de la perfection, un dicton dit : « Jamais deux sans trois ». Alors ce troisième conflit est plus que possible puisque bibliquement logique. Et son intérêt sera, s’il éclate, d’entraîner les USA sur un problème qui réduira leur influence à la fois en Europe et à Gaza. Dans cette perspective, l’U.E. va se retrouver seule face à la Russie et à la colère arabe musulmane grandement irritée par les actions d’Israël imposées au petit peuple palestinien.
Depuis son retour en 1948 sur sa terre nationale longtemps abandonnée, Israël est devenu pour tous les peuples de la terre, une pierre d’achoppement, un sujet de discorde et de guerre ; c’est sa vocation dans le programme conçu par Dieu. Ce minuscule gouvernail dirige le destin du monde entier. Jésus-Christ a mis ses contemporains en garde contre le levain des Pharisiens, mais aujourd’hui c’est Israël entier qui en forme nationale est devenu un levain capitaliste qui enflamme les pays de la terre depuis que ses habitants sont devenus dépendants les uns des autres. Et le développement du commerce mondialiste favorisé par le réseau internet n’a fait qu’accentuer cette dépendance internationale qui empêche néanmoins des réactions plus agressives dans beaucoup de pays où les intérêts sont en jeu. Et si l’intérêt donné à l’enrichissement favorise la paix qu’arrive-t-il quand la pauvreté remplace cette richesse ? L’inverse soit, la colère et la guerre. Et c’est précisément vers l’appauvrissement que les anciens dominateurs du monde se dirigent tant en Europe qu’aux USA. Leur affaiblissement va favoriser le désir de vengeance conservé par les anciennes victimes de ces dominateurs. Et dans cette perspective, selon Daniel 11:40, le soulèvement du « roi du midi » musulman et Noir- africain contre l’U.E. affaiblie retrouve son sens, sa logique et donc sa possibilité. Et l’attitude agressive d’Israël à Gaza en serait la cause principale explosive ; et ceci, d’autant plus si son projet de prendre le contrôle de la Cisjordanie est mis en œuvre. Les chefs des pays prennent des décisions, mais la force active repose sur la détermination des peuples, du plus grand au plus petit dans la population. L’exemple de la réaction individuelle de certains Européens, qui décident de boycotter les produits importés des USA qui les taxent, en donne la preuve.
Depuis 1945, des relations internationales construites sur des alliances stables se sont prolongées jusqu’à notre époque. Mais depuis la seconde élection du président Trump et sa décision de favoriser uniquement son pays l’Amérique les intérêts individuels brisent les alliances des peuples et la situation des relations mondiales est devenue confuse et fragile. Tout est remis en cause et va l’être de plus en plus dans le temps qui est devant nous. L’actualité fait découvrir à beaucoup ce que je répète depuis longtemps dans mes messages : les peuples n’ont pas de peuples amis mais que des concurrents soucieux de préserver leurs intérêts personnels. Et les grands discours d’amitié n’ont pour but que celui d’endormir les craintes légitimes des populations humanistes trompées et trahies par leurs élites gouvernantes. Les Français doivent aujourd’hui et demain en payer le prix maximum : la ruine et la mort.
C’est parce qu’il connaît ce risque, ayant dans son expérience professionnelle connu plusieurs situations de faillite que Mr Trump veut redonner à son pays l’Amérique sa sécurité financière qui a fait sa force, sa puissance, et sa réputation mondiale de premier rang, au-dessus de tous les autres pays. Mais après avoir profité de l’investissement en Chine, l’Amérique en a expérimenté les conséquences désastreuses pour ses propres fabrications de produits divers. Que faire contre une Chine besogneuse à souhait, porteuse maintenant d’un savoir faire avant-gardiste, totalement indépendante et auto-suffisante, car elle n’a besoin de rien, si ce n’est du pétrole et du gaz que la Russie lui vend à un prix réduit ? Elle vend et équipe les pays sur toute la terre et sa concurrence imbattable lui assure la conservation de ses clients mondiaux devenus dépendants de ses exportations. De plus, devenue très riche, elle consacre sa richesse à la fabrication d’armes nouvelles, tels les drones et les canons de précisions ; elle s’équipe de toutes ces choses et de nouveaux avions modernes performants ressemblant au « Mirage » français ; le fleuron de l’aviation de guerre française. Elle construit des sous-marins et dispose d’un porte-avion et de quelques 200 bombes nucléaires. Elle a fait entrer l’IA dans sa gestion nationale, contrôle toute sa population par des drones et d’innombrables caméra installées partout. Et pour finir ce sombre tableau, elle ne cache pas son intention de reprendre l’île de Taïwan, l’ancienne Formose qui a choisi le régime capitaliste et qui fournit aux Occidentaux les puces électroniques les plus réduites en taille et les plus performantes ; des produits indispensables pour la construction des armes modernes sophistiquées et extrêmement précises. Après une telle description, tu peux comprendre, combien Mr Trump a des raisons d’être préoccupé par l’existence de la Chine, qui je le redis, peut se passer des productions américaines. Et ce point est capital, car la décision de Mr Trump de taxer tous les pays clients et fournisseurs a reposé sur sa certitude qu’ils ne peuvent pas se priver de ses produits de pointe fabriqués ou vendus exclusivement par l’Amérique. Pour certains, son raisonnement tient, mais pour d’autres tels les pays formant les BRICS, son espérance est fausse. De plus, par réaction à ses taxes, d’autres pays peuvent décider de rejoindre le camp des BRICS. Et tous ces facteurs vont contribuer à isoler l’Amérique de plus en plus.
Je vois ainsi, l’Amérique de Mr Trump se replier sur elle-même, boudeuse comme un enfant mal aimé. Et dans cet état d’esprit, le ciel pourra bien tomber sur la tête des Européens, comme Ponce Pilate, il s’en lavera les mains et laissera agir les Russes envahisseurs, sans venir à leur secours. L’Amérique a la chance d’être située entre l’océan Atlantique et l’océan Pacifique, loin de l’Europe et ses problèmes insolubles. Cette implantation prophétise même son destin et sombrement celui des Européens livrés par Dieu à la Russie pour le temps de leur destruction ; celui de la Troisième Guerre Mondiale qu’Apocalypse 9:11 à 21 prophétise sous le nom symbolique de la « sixième trompette ». Ce n’est que la « sixième » sur un nombre total de « sept » ; ce qui prouve que cette guerre ne fait que préparer les conditions de la fin du monde. Car entre la « sixième » et la « septième », Dieu va organiser la dernière expérience terrestre qui va mettre à l’épreuve la foi de ses serviteurs, très nombreux à le prétendre, parce qu’ils ignorent tout du jugement de Dieu, révélé dans Daniel et Apocalypse, à ses vrais serviteurs élus et véritablement rachetés par le sang juste versé par Jésus-Christ. Le programme de la fin a été révélé. Sur une proposition américaine, les survivants mondiaux de la Troisième Guerre Mondiale s’unissent pour se placer sous un gouvernement unique universel. Ils décrètent ensemble l’adoption d’un seul jour de repos et désigne le premier jour, notre dimanche romain actuel que Dieu symbolise dans son Apocalypse par « la marque de la bête ». Le choix individuel d’accepter ou rejeter la mesure ayant été fait, Dieu verse sur les humains qui honorent le dimanche, les uns après les autres, « les sept derniers fléaux de sa juste et divine colère ». Fortement irrités et meurtris, les derniers rebelles transportent leur fureur sur les résistants qu’ils rendent responsables de la colère divine. La punition prévue pour ces résistants, qui restent fidèles au sabbat du septième jour sanctifié par Dieu, a commencé par un simple boycott économique et social. Mais le 5ème fléau subi vient sous la forme du « soleil qui brule sept fois plus fort », et ce détail est important car Dieu châtie ceux qu’il tient pour adorateurs du soleil à cause de l’origine du dimanche romain qui est le jour consacré par les païen romains à l’adoration du « dieu Soleil Invaincu ». Ce fléau est si terrible que la haine éprouvée envers les résistants réfractaires atteint son apogée. On décrète alors la mise à mort de ces irréductibles opposants, et une date est fixée pour exécuter la sentence. C’est alors que, comme au temps de Mardochée menacé d’être pendu par Haman, la situation est renversée par l’apparition glorieuse de Jésus-Christ et la sentence prononcée est exécutée, mais appliquée aux derniers rebelles, dès que les élus vivants ou ressuscités en nature d’anges on été transportés au ciel, dans la demeure céleste du Père. Les élus sont devenus des anges pour l’éternité et sur terre, les déchus sont devenus poussières ou cadavres étalés sur le sol car il n’y a plus personne pour les enterrer ou les mettre dans des luxueux tombeaux de marbre.
Je répète souvent ces choses, parce qu’elles représentent l’essentiel de la Révélation divine. Les multiples expériences terrestres convergent toutes vers ce moment final où pour la dernière fois, le sort des élus et des déchus sera définitivement scellé et réglé, sans retour en arrière possible. Le temps terrible marqué par une guerre mondiale épouvantable, qui est devant nous, doit être utilisé pour affermir nos certitudes que seules les études approfondies des Révélations divines peuvent construire avec son aide et l’approbation de Jésus-Christ.
M49- Qui est réellement Israël ?
Cette question que je pose peut étonner beaucoup de gens convaincus d’avoir la réponse : Qui est réellement Israël ? Tout lecteur de la Bible a son avis à ce sujet : c’est évident, c’est ce peuple hébreu que Dieu a libéré de l’esclavage égyptien ; ces pauvres gens qui ont refusé de reconnaître Jésus-Christ parce qu’ils sont trop attachés à la tradition héritée de leur pères, diront les Chrétiens. Toutes ses réponses ne transmettent que des réponses d’hommes, mais pas la réponse du Dieu créateur. Et pourtant sa réponse a été exprimée clairement dans la sainte Bible de manière simple et évidente. Mais comme toute chose simple, il fallait y penser. En fait, pour Dieu Israël, c’est Israël, ce Jacob fils d’Isaac et Rébecca, auquel Dieu a lui-même donné ce nom « Israël » qui signifie « vainqueur avec Dieu ». En quoi consiste cette victoire ? Dans Apocalypse 3:10, Dieu la symbolise par la « couronne » promise et imputée aux vainqueurs : « Je viens bientôt. Retiens ce que tu as, afin que personne ne prenne ta couronne. » Ainsi en toute personne ou église collective auxquelles Dieu impute une couronne se trouve la norme nommée Israël. Car depuis Jacob, rebaptisé par Dieu, Israël, le nom Israël est spirituellement devenu un « sceau », une norme, par lequel Dieu authentifie ses élus. Mais ceux-ci doivent reproduire la norme du caractère de Jacob, sans quoi leur appartenance à l’Israël de Dieu est infondée et non reconnue par Dieu, étant dans ce cas, totalement trompeuse et indigne. Il existe ainsi, trompeusement, un peuple qui a hérité de ses pères, par la chair, de ce nom Israël, mais spirituellement, il ne l’est plus depuis son refus du Messie Jésus de Nazareth.
Le véritable Israël doit être agréable à Dieu et donc être un modèle de foi rendu indiscutable par le témoignage de ses œuvres. Alors il nous faut étudier à la loupe la vie de ce personnage nommé Jacob donné par Dieu comme le modèle idéal de la foi humaine ; modèle auquel il donne le nom « Israël » : Vainqueur avec Dieu. Et ce terme « avec » consacre une alliance authentifiée par lui avec son élu, son serviteur agréable.
Comme beaucoup, victime des préjugés humains, j’ai été longtemps perplexe dans mon jugement sur ce Jacob dont je n’appréciais pas beaucoup, ses ruses et ses tromperies envers son frère Esaü et son père Isaac. Aujourd’hui, mon esprit découvre une logique à laquelle je n’avais pas pensé, bien que Dieu nous ait dit dans Esaïe 55:8-9 : « Car mes pensées ne sont pas vos pensées, et vos voies ne sont pas mes voies, dit YaHWéH. Autant les cieux sont élevés au-dessus de la terre, autant mes voies sont élevées au-dessus de vos voies, et mes pensées au-dessus de vos pensées. »
Alors, qu’est-ce que Dieu trouve de bien dans la vie de Jacob ? La réponse est simple et nette : la vraie foi. En lui, Dieu trouve dans la chair, le type parfait des « violents qui s’emparent du royaume des cieux », que Jésus cite dans Matthieu 11:12 : « Depuis le temps de Jean Baptiste jusqu'à présent, le royaume des cieux est forcé, et ce sont les violents qui s'en s'emparent. » Il est vrai que confirmant son nom, Jacob est un trompeur, un supplanteur, un arnaqueur, mais il donne à ces actions une motivation exclusivement spirituelle. Et c’est ce détail qui motive le juste jugement que nous devons porter sur lui. Car avant nous, Dieu a apprécié chez lui, la motivation de ses actions.
Son premier « méfait », en fait, acte de foi, consiste à obtenir de son frère aîné son droit d’aînesse, en profitant d’un moment de faiblesse de celui-ci. Revenant de la chasse fatigué et dépité, peut-être bredouille, Jacob marchande son droit d’aînesse pour le prix d’un savoureux plat de lentilles. Déjà, le prix payé révèle le peu d’intérêt qu’Esaü donnait lui-même à son droit d’aînesse. Et là, il nous faut comprendre ce qu’était ce droit d’aînesse pour tirer profit de ce récit.
Dans la sainte Bible, la mention de ce droit d’aînesse n’apparaît, en premier, que dans Genèse 25:33-34 : « Et Jacob dit : Jure-le moi d'abord. Il le lui jura, et il vendit son droit d'aînesse à Jacob. Alors Jacob donna à Ésaü du pain et du potage de lentilles. Il mangea et but, puis se leva et s'en alla. C'est ainsi qu'Ésaü méprisa le droit d'aînesse. » On le trouve confirmé dans Genèse 43:33 : « Les frères de Joseph s'assirent en sa présence, le premier-né selon son droit d'aînesse, et le plus jeune selon son âge ; et ils se regardaient les uns les autres avec étonnement. » Et Dieu le confirme dans sa loi donnée à Moïse selon Deutéronome 21:17 : « Mais il reconnaîtra pour premier-né le fils de celle qu'il n'aime pas, et lui donnera sur son bien une portion double ; car ce fils est les prémices de sa vigueur, le droit d'aînesse lui appartient. »
Dans la vie d’Abraham, les choses se passent différemment, puisque Dieu écarte Ismaël le premier-né illégitime, en disant à Abraham dans Genèse 22:2 : « Dieu dit : Prends ton fils, ton unique, celui que tu aimes, Isaac ; va-t'en au pays de Morija, et là offre-le en holocauste sur l'une des montagnes que je te dirai. » Note que Dieu a promis à Agar, la servante égyptienne de Sarah l’épouse légitime d’Abraham, de bénir et multiplier sa descendance. Cependant il n’est pas question d’alliance passée entre lui et Dieu dans Genèse 17:20 : « A l'égard d'Ismaël, je t'ai exaucé. Voici, je le bénirai, je le rendrai fécond, et je le multiplierai à l'infini ; il engendrera douze princes, et je ferai de lui une grande nation. » Alors que Dieu dit au sujet d’Isaac son fils unique légitime dans le verset 21 qui suit : « J'établirai mon alliance avec Isaac, que Sara t'enfantera à cette époque-ci de l'année prochaine. »
« Le droit d’ainesse » fut donc inspiré par Dieu à la descendance d’Abraham en raison de son projet salvateur dans lequel, dans la chair, il incarnerait en Jésus-Christ, son rôle de fils aîné détenteur du « droit d’aînesse ». Et Israël a hérité de génération en génération de ce principe qui donne une autorité supérieure au fils aîné chez les Hébreux.
Désireux de plaire à Dieu, Jacob voyait dans ce droit d’ainesse, une bénédiction divine supérieure qu’il convoitait, tant son désir de le servir et d’être reconnu par lui était grand. Ce droit faisait de lui le représentant de Dieu dans sa famille. Jacob était né spirituel contrairement à son aîné Esaü, et avec la complicité de sa mère, la belle et intelligente, Rébecca, par la ruse, il obtient ce droit d’aînesse tant désiré. Cependant, Jacob réalise que son frère, qui n’est pas spirituel, va lui en vouloir terriblement de l’avoir trompé, lui, par mépris de son droit d’aînesse, mais surtout, pour s’être fait bénir par leur père Isaac en se faisant passer pour lui, Esaü. Alors, il prend peur et s’enfuit et se retrouve chez son oncle. Là, devenu gardien des brebis de son oncle, Jacob s’en remet à Dieu pour qu’il réponde à sa foi. Il pense qu’en mettant des branches rayées devant les yeux des brebis « grosses » prêtes à donner vie à leurs agneaux ou agnelles, ceux-ci vont naître porteurs de rayures sur leur pelage. Et là encore, miraculeusement, Dieu exauce son attente : des agneaux naissent porteurs de rayures. En accord avec son oncle, les brebis rayées sont pour lui. Dieu les multiplie et enrichit ainsi son serviteur Jacob. Victime trompée par son oncle, Jacob doit épouser Léa avant de pouvoir épouser 7 ans plus tard la belle Rachelle, la plus jeune des filles de Laban, son oncle, qu’il aimait et voulait épouser depuis le début.
Là je m’arrête un instant, car par cette expérience, Dieu prophétise sa propre expérience. En effet, depuis le commencement de son programme du salut qui a commencé par la création des anges, Dieu a prévu l’expérience terrestre sur laquelle, il allait venir en Christ régler définitivement le problème du péché rendu inévitable à cause de la liberté donnée à ses créatures. Et dans ce programme, il a prévu deux alliances successives, l’ancienne et la nouvelle. De même que Jacob n’obtient l’amour souhaité qu’en deuxième noce, dans son plan du salut, Dieu n’obtient l’amour de ses élus en grand nombre qu’en deuxième alliance en Jésus-Christ. Ce texte d’Esaïe 54 :1 témoigne en faveur de cette explication : « Réjouis-toi, stérile, toi qui n'enfantes plus ! Fais éclater ton allégresse et ta joie, toi qui n'as plus de douleurs ! Car les fils de la délaissée seront plus nombreux que les fils de celle qui est mariée, dit YaHWéH. » « La délaissée » était Léa, image prophétique de la nouvelle alliance ouverte aux païens ; et « celle qui était mariée » était Rachel, image symbolique de l’ancienne alliance de l’Israël charnel qui a partagé avec sa mère l’attrait des idoles. En effet, en quittant sa famille, Rachel emporta les idoles appartenant à son père Laban. Elle était comme son père, idolâtre et rendue stérile par Dieu ; et dans Ezéchiel 8:10, dans une vision, Dieu montre à son prophète l’intérieur du temple de Jérusalem, et il témoigne ainsi : « J'entrai, et je regardai ; et voici, il y avait toutes sortes de figures de reptiles et de bêtes abominables, et toutes les idoles de la maison d'Israël, peintes sur la muraille tout autour. » Et c’est par ces abominations que l’ancienne alliance acheva la première partie de son ministère qui l’a conduite en déportation à Babylone pendant 70 années prophétisées dans Jérémie 25:11 : « Tout ce pays deviendra une ruine, un désert, et ces nations seront asservies au roi de Babylone pendant soixante-dix ans. »
Sur le chemin du retour vers le pays de son frère, Jacob prend peur de sa colère, il est terrorisé craignant pour sa vie et celle de sa famille, deux femmes, douze fils et une fille nommée Dina. Il se produit alors une chose qui a dépassé ses espérances ; dans le lieu du gué de Jabbrok, sous l’apparence d’un homme, Dieu se présente devant lui et le défit, selon Genèse 32:24-25 : « Jacob demeura seul. Alors un homme lutta avec lui jusqu'au lever de l'aurore. Voyant qu'il ne pouvait le vaincre, cet homme le frappa à l'emboîture de la hanche ; et l'emboîture de la hanche de Jacob se démit pendant qu'il luttait avec lui. » Et c’est là que Jacob est présenté en modèle d’homme de la vraie foi ; tout repose sur cette déclaration qu’il adresse à Dieu : verset 26, c’est Dieu qui parle : « Il dit : Laisse-moi aller, car l'aurore se lève. Et Jacob répondit : Je ne te laisserai point aller, que tu ne m'aies béni. » Jacob n’a pas su toute de suite qu’il luttait avec Dieu, mais le combat se prolongeant, Dieu a utilisé sa force divine en frappant la hanche de Jacob. Comprenant alors que Dieu est devant lui, il veut lui arracher sa bénédiction, comme il a arraché le droit d’aînesse de son frère. Peut-on trouver un exemple de violent spirituel plus grand que lui ? Dieu a toute raison d’apprécier sa farouche volonté d’obtenir sa bénédiction et il lui donne ce qu’il désirait le plus au monde : l’assurance de son élection spirituelle qui le rend digne de la vie éternelle. Dieu lui parle dans les versets 27 et 28 suivants : « Il lui dit : Quel est ton nom ? Et il répondit : Jacob. Il dit encore : ton nom ne sera plus Jacob, mais tu seras appelé Israël ; car tu as lutté avec Dieu et avec des hommes, et tu as été vainqueur. » C’est donc dans cette expérience, et en elle seule, que nous pouvons comprendre qui est Israël. Cette explication condamne et élimine les autres formes portant le nom Israël. Le vrai Israël ne peut qu’être « vainqueur avec Dieu », et en aucun cas, être rejeté ou condamné par lui. Cette vérité n’empêchera pas le faux Israël de revendiquer la bénédiction attachée à ce nom, mais ce sera en vain et sans efficacité pour échapper au juste jugement de Dieu. A son tour, Jacob questionne Dieu. Nous lisons encore les versets 29 et 30 : « Jacob l'interrogea, en disant : Fais-moi je te prie, connaître ton nom. Il répondit : Pourquoi demandes-tu mon nom ? Et il le bénit là. Jacob appela ce lieu du nom de Peniel : car, dit-il, j'ai vu Dieu face à face, et mon âme a été sauvée. »
Je discerne dans ce verset une leçon subtile donnée par Dieu qui, à la question, « quel est ton nom ? » Répond : « Pourquoi demandes-tu mon nom ? » Il répond ainsi à la question par une question, ce qui suggère que le questionneur doit lui-même trouver et connaître la réponse à sa question. Le raisonnement qui s’impose est le suivant : Pourquoi Dieu aurait-il besoin d’un nom, alors qu’il est l’unique vrai Dieu créateur ? En quoi est utile un nom ? Pour distinguer une créature ou une chose, d’autres créatures et d’autres choses semblables et ressemblantes. Or, ces critères ne sont pas imputables au Dieu créateur unique et inimitable. Ainsi, en répondant par une question, Dieu nous dit qu’une telle question concernant son nom ne lui convient pas : il est le Dieu Tout-puissant et il n’en existe aucun autre comme lui. Dans sa rencontre avec Moïse, il finira par accepter que ses serviteurs l’appellent YaHWéH, mais la leçon donnée par sa question mérite d’être comprise et appliquée. Dieu sonde nos pensées, en sorte qu’il contrôle le processus de nos raisonnements et de nos opinions en toutes choses. Et contrairement aux fausses divinités païennes démoniaques, il ne veut pas être servi comme elles, en paroles et en formules magiques. Contrairement à ces idoles, il est en toute chose logique, autant que peut l’être un être vraiment vivant et il est aussi à ce titre entièrement réactif. Ainsi, lui demander son nom, c’est le situer parmi d’autres divinités qui n’existent pas et sont simplement inventées sous l’inspiration des anges démoniaques.
Retenons de l’expérience de Jacob que si Dieu n’a pas répondu à sa question, il l’a néanmoins béni. Il est donc moins grave de lui demander son nom que de lui en attribuer un qu’il n’a pas choisi. Car l’inférieur ne doit pas donner un nom au supérieur. Le faire constitue un outrage envers Dieu. C’est pourquoi, je ne donne à Dieu que les noms bibliques qu’il a choisis lui-même de se donner : YaHWéH, Micaël, Jésus-Christ.
Depuis cette expérience de Jacob renommé Israël, par Dieu, en face à face, soit, depuis environ 3700 années, le vrai Dieu a donné aux hommes le moyen d’être certains qu’ils le servent, lui, et ne sont pas victimes d’une tromperie satanique démoniaque. Ce moyen est infaillible parce que Dieu en assure lui-même le contrôle : je parle de la sainte Bible et de tous ses témoignages qui commencent avec la « loi de Moïse » et finit par sa prophétie « Apocalypse ». Celui qui reçoit toutes ces choses et les met en pratique, en les identifiant comme la « Parole de Dieu écrite » est sûr que Dieu sait que sa créature reconnaît sa divinité unique. La vraie religion a du contenu, de la logique et des effets réels. A l’opposé des faux dieux, le vrai Dieu n’est pas permissif et ne déroge pas à ses principes de compassion et de justice. Mais en Dieu vivant et sensible, il ne se laisse pas priver de sa liberté par nécessité d’obéir à la lettre de la loi. Dieu sait mieux que quiconque que toute loi écrite étouffe et limite l’application de la liberté. C’est pourquoi, sa conception de la vie est une vie sans loi ; mais ce principe nécessite une sélection de créatures capables d’approuver et de partager toutes ses valeurs morales ou autres, et c’est là, le but de sa sélection d’élus étendue sur 6000 années.
La leçon trouvée dans le nom Israël m’a permis de mieux comprendre le sens du jugement divin révélé dans la parabole de l’économe et du maître riche présentée dans Luc 16:1 à 12. Dans cette parabole, Jésus met en scène un économe que son maître va licencier. Pour s’assurer le soutien d’amis pour les jours où il sera sans emploi, il réduit les dettes que des créanciers ont envers son maître. Et apprenant la chose, le maître apprécie la prudence de son économe. L’exemple est immoral et la leçon des versets 11 et 12 confirme ce jugement : « Si donc vous n'avez pas été fidèle dans les richesses injustes, qui vous confiera les véritables ? Et si vous n'avez pas été fidèles dans ce qui est à autrui, qui vous donnera ce qui est à vous ? » L’exemple donné par Jésus est celui de la vie mondaine et il présente dans le rôle de l’économe, un homme rusé, et « prudent ». Jésus exhorte ainsi son auditoire à agir avec cette même « prudence », en l’appliquant d’une manière spirituelle. Il dit aux hommes riches de trouver des amis spirituels, parce que leur richesse passera et que la valeur spirituelle se prolonge dans l’éternité. Mais il rappelle, en insistant, que Dieu exige la « fidélité » de la part de ses serviteurs engagés dans la voie spirituelle du salut éternel, en disant deux fois « si vous n'avez pas été fidèles », dénonçant ainsi le comportement « infidèle » de ceux qui l’écoutent.
A la lumière de cette définition du nom Israël, nous pouvons comprendre qui est concerné dans ces versets Romains 11:25-26 dans lesquels l’apôtre Paul dit: « Car je ne veux pas, frères, que vous ignoriez ce mystère, afin que vous ne vous regardiez point comme sages, c'est qu'une partie d'Israël est tombée dans l'endurcissement, jusqu'à ce que la totalité des païens soit entrée. Et ainsi tout Israël sera sauvé, selon qu'il est écrit : Le libérateur viendra de Sion, et il détournera de Jacob les impiétés ; » Paul confirme que l’Israël spirituel, qui doit être conforme à la norme de Jacob selon ce message, sera constitué d’élus sélectionnés dans les deux alliances successives. Sa formule « tout Israël » désigne les deux origines différentes juive ou païenne des élus rachetés sauvés. Mais la norme de la sélection reste dans tous les cas, celle que Dieu a bénie en Jacob.
Finalement, c’est par l’image de la Nouvelle Jérusalem illustrée par des symboles dans Apocalypse 21 que Dieu confirme la vraie nature de son Israël perpétuel et éternel. Les deux symboles retenus sont présentés dans les versets 12 à 14 : « Elle avait une grande et haute muraille. Elle avait douze portes, et sur les portes douze anges, et des noms écrits, ceux des douze tribus des fils d'Israël : à l'orient trois portes, au nord trois portes, au midi trois portes, et à l'occident trois portes. La muraille de la ville avait douze fondements, et sur eux les douze noms des douze apôtres de l'agneau. »
Le verset 12 respecte la chronologie des faits historiques et présente en premier la muraille dont le fondement est l’Eglise des douze apôtres de Jésus-Christ. Mais ce court temps de perfection chrétienne a été suivi par le long règne ténébreux du christianisme romain pendant lequel cette perfection originelle a disparu. Ce temps est symbolisé par la « haute muraille » composée de pierres de « jaspe » selon le verset 18 : « La muraille était construite en jaspe, et la ville était d'or pur, semblable à du verre pur ». Or, « le jaspe » concerne Dieu en personne dans Apocalypse 4:3 : « Celui qui était assis avait l'aspect d'une pierre de jaspe et de sardoine ; et le trône était environné d'un arc-en-ciel semblable à de l'émeraude. » Ce partage du jaspe par Dieu et ses élus rachetés en Christ révèle leur partage du caractère de Dieu qui est aussi la norme de son Israël définie par celui de Jacob. A noter que pendant les temps ténébreux, les élus ne respectent pas la loi divine dans sa doctrine parfaite et que leur sélection repose uniquement sur leur amour pour Dieu et la fidélité démontrée envers lui dans tout ce qu’ils comprennent et connaissent. A la base de toute la construction se trouve les douze fondements des douze apôtres que Dieu symbolise par différentes pierres précieuses dans les versets 19 et 20 : « Les fondements de la muraille de la ville étaient ornés de pierres précieuses de toute espèce: le premier fondement était de jaspe, le second de saphir, le troisième de calcédoine, le quatrième d'émeraude, le cinquième de sardonyx, le sixième de sardoine, le septième de chrysolithe, le huitième de béryl, le neuvième de topaze, le dixième de chrysoprase, le onzième d'hyacinthe, le douzième d'améthyste. » Par cette diversité de pierres précieuses dont la première est encore « le jaspe » qui le représente, Dieu illustre les différents caractères des « douze apôtres » qui l’ont tous aimé passionnément jusqu’à leur mort en martyr soit, en « témoins fidèles véritables ». Etant le « fondement » de l’Eglise, leur connaissance doctrinale était parfaite. Cette diversité est annoncée par Jésus dans Matthieu 13:47 : « Le royaume des cieux est encore semblable à un filet jeté dans la mer et ramassant des poissons de toute espèce. »
Pour illustrer, la religion chrétienne dans laquelle il restaure toute sa vérité doctrinale à partir du crible adventiste de 1843 et 1844, Dieu prend pour symboles « douze portes » orientées vers les quatre points cardinaux ; ce qui leur donne un statut universel. Dieu rend à son Elue adventiste, cette norme universelle à laquelle prétendent faussement les religions catholique et orthodoxe. Il symbolise cet adventisme par « douze perles » en raison de la perfection doctrinale restaurée. C’est aussi et principalement, parce que ces « portes » conduisent au vrai retour de Jésus-Christ, moment où les élus adventistes rachetés vont obtenir « la perle de grand prix », citée dans Matthieu 13:45-46, pour laquelle ils ont combattu et vaincu le diable et le péché : « Le royaume des cieux est encore semblable à un marchand qui cherche de belles perles. Il a trouvé une perle de grand prix ; et il est allé vendre tout ce qu'il avait, et l'a achetée. »
Les symboles présentés imagent donc le « royaume des cieux », et on peut ainsi comprendre que ce mot « royaume » ne désigne pas un lieu, ni un régime, mais le rassemblement de Dieu en Jésus-Christ avec ses élus rachetés au cours de l’ère chrétienne pendant 2000 ans depuis sa mort sur la croix romaine. Ce royaume est donc composé d’un roi, le « Roi des rois », et ses frères rachetés par son sang versé volontairement, pour les racheter, en payant à leur place par sa mort, le prix de leurs péchés.
Si les symboles des images présentées illustrent uniquement l’expérience chrétienne, n’oublions pas que la mort de Jésus a aussi validé le salut obtenu par les élus de l’ancienne alliance et ceux qui l’ont précédée depuis Adam et Eve. Chaque sacrifice animalier offert par ces élus, et reçu agréablement par Dieu, n’avait besoin que de la mort de Jésus-Christ pour être validé et leur ouvrir les portes du royaume des cieux, au retour en gloire de Jésus-Christ qui vient au jour du printemps 2030. Et l’image des « douze tribus » de la Nouvelle Jérusalem spirituelle permet de relier le passé de l’Israël de l’ancienne alliance avec sa dernière forme chrétienne présentée par l’adventisme depuis 1843 et 1844, jusqu’au retour de Jésus-Christ au début de l’année 2030.
Enfin, le choix de Dieu d’illustrer sa dernière Eglise chrétienne par le symbolisme des « douze tribus d’Israël » confirme la norme établie par le caractère amoureux « violent » de Jacob qui a « vu Dieu face à face » ; Dieu qui a changé son nom en « Israël » pour confirmer sa victoire spirituelle ; ce nom signifiant : vainqueur avec Dieu.
M50- Les mots dits par les maudits
Si la parole est d’argent, le silence est d’or, selon le proverbe bien connu de tous. Or, le silence n’est pas à la mode en notre temps de la fin. Car loin de rester silencieux l’homme moderne grandement informé a logiquement son avis sur beaucoup de choses et les réseaux sociaux d’internet lui permettent d’exprimer et de faire partager ses idées par un plus ou moins grand nombre de personnes. C’est un fait, il y a de moins en moins de gens qui apprécient le silence. Nous vivons maintenant dans l’ambiance continuelle des émissions radiodiffusées ou télévisées, livrant ainsi notre pauvre tête aux matraquages des spots publicitaires répétés à plaisir, parfois deux fois de suite, entre de vains bavardages et de la musique. Mais l’homme qui vit dans cette dépendance, peut-il encore lui-même réfléchir et produire ses propres idées ? Rien n’est moins sûr. Car, nos idées se construisent sur la pensée exprimée par d’autres que nous, et ce que nous pensons n’est que le fruit d’une assimilation de la pensée des autres. Il faut vivre en Hermite, isolé, loin de tous et de tout bruit inutile pour retrouver notre propre pensée ; et encore faut-il que ce ne soit pas celle du diable ou d’un démon, ou à l’opposé, cette fois pour notre bonheur, celle de Dieu ou l’un de ses bons anges qui veille et protège les élus. Déjà le seul fait d’être conscient de ces différentes possibilités constitue un avantage certain. Car, le Maître et Seigneur Jésus-Christ a exhorté ses disciples à la plus grande prudence, car nos ennemis les plus redoutables sont invisibles, inodores, incolores, n’étant que des esprits décharnés qui vivent dans des corps célestes.
Toutes les relations humaines reposent sur des échanges de mots. Et certains mots lâchés mal à propos peuvent susciter des situations qui vont du pénible au drame. Les mots peuvent être touchants, heurtants, provocateurs, blessants, cruels, et faire à ceux auxquels ils sont adressés du bien ou du mal. Le ton utilisé pour les exprimer augmente ou réduit leur intensité. Mais dans ce message, je prends pour cible, ceux que les méchants disent parce qu’ils sont sous la malédiction de Dieu qu’ils ignorent ou méprisent.
Dans les messages précédents, j’ai souvent dénoncé le cynisme qui est particulièrement à la mode dans notre époque du temps de la fin. Et ses formes sont remarquablement paradoxales tant elles paraissent incohérentes. Notre société française que je suis parce que j’en suis, cumule tous les paradoxes. Ce pays chargé d’histoire et de culpabilité est composé par tous les types humains imaginables. L’héritage historique l’a construit et on trouve chez lui, de plus en plus rares, de fervents catholiques qui suivent le pape « partout où il va » dans le temps où les élus adventistes suivent Jésus-Christ « partout où il va » selon Apocalypse 14:4-5 : « Ce sont ceux qui ne se sont pas souillés avec des femmes, car ils sont vierges ; ils suivent l'agneau partout où il va. Ils ont été rachetés d'entre les hommes, comme des prémices pour Dieu et pour l'agneau ; et dans leur bouche il ne s'est point trouvé de mensonge, car ils sont irrépréhensibles. » Je précise que l’expression « ceux qui ne se sont pas souillés avec des femmes » ne doit pas être comprise au sens littéral mais au sens spirituel symbolique. Ces « femmes » sont des églises chrétiennes apostâtes rejetées et condamnées par Dieu pour leur diverses pratiques héritées du paganisme grec ou romain, pour le catholicisme depuis ses origines, et pour le protestantisme, depuis 1843. En précisant « et dans leur bouche il ne s'est point trouvé de mensonge », Dieu évoque le type de mot qui fait le plus de mal à l’humanité entière : le mensonge. Or, dans notre temps, le mensonge ne choque plus personne car les gens de notre temps sont « blindés » et « vaccinés » soit, devenus capables de tout admettre, de tout reconnaître, tant que leur liberté n’est pas remise en cause. Le mensonge est entré dans les mœurs et ne dérange plus personne, sauf aux USA où, témoignage de l’héritage du puritanisme bien pensant américain, le mensonge est interdit et condamné chez le premier d’entre eux, le président de la nation. En France ce n’est pas le cas et depuis très longtemps, au point que le président Chirac a été élu porteur du surnom « Super-menteur » en 1995. La date est à relever, car elle coïncide avec celle de la chute officielle de l’adventisme institutionnel après une épreuve de foi accomplie dans ce pays, à Valence, le plus vieux fief adventiste de France. Le lien n’est pas injustifié puisque ceux qui n’ont pas l’amour de la vérité restent séduits par le mensonge et sont ses victimes volontaires.
Les mots des menteurs sont appréciés par les masses populaires qui aiment entendre des choses agréables ; même si elles sont suivies de conséquences désagréables, voire, désastreuses ; ce qui n’apparaît que plus tard, après le temps de la séduction. Les mots des menteurs promettent le bonheur, la réussite qui ne sont jamais obtenus, mais qu’importe, le peuple veut y croire.
On trouve en France de belles âmes selon le format humaniste ; des gens qui donneraient généreusement leur chemise pour couvrir celui qui a froid ou donneraient leur repas à ceux qui ont faim, mais curieusement, pour Dieu et ses élus, ces belles âmes se referment et se transforment en forteresses qui ne se laissent pas prendre. Dès que le vrai Dieu est concerné, ces gens se referment comme des moules ou changent de comportement et deviennent agressifs et violents. Avant l’action brutale, leurs mots deviennent durs et tranchants. En eux, sans qu’ils en soient conscients, les esprits démoniaques réagissent et expriment leur haine du Dieu qui les a condamnés à mort, n’étant plus qu’en sursis.
Le cynisme de l’époque est très varié. Et j’ai entendu récemment des journalistes le reconnaître, car le cynisme est présent dans toutes les couches de la société et principalement dans le domaine politique. Il faut en effet être cynique pour être politicien, car celui qui s’engage dans cette profession, doit être prêt à promettre tout ce qu’il sait qu’il n’obtiendra pas et ne pourra pas donner. Et je réalise à l’instant même, que tout compte fait, le cynisme n’a rien de nouveau, il a toujours existé autant en politique qu’en religion. Et ce qui nous le fait ressentir davantage aujourd’hui, c’est seulement le fait que le rôle de l’information a considérablement augmenté avec la radio, la télévision, mais surtout avec internet et ses réseaux sociaux. Aujourd’hui, l’information nous envahit de la tête aux pieds. Les activités du président Macron sont suivies en temps réel constamment, heure par heure, minute par minute. Mr Macron reste constamment sous le phare de l’information et de ce fait, nous relevons davantage ses travers, ses défauts, et ses qualités que j’aurais personnellement de la peine à identifier. Ma nature spirituelle m’empêche d’avoir de la haine pour quiconque, car je considère mon prochain comme une victime qui mérite d’être plainte. Ceci parce que je préfère mon sort au sien. C’est donc avec un regard totalement objectif que je regarde le monde et les gens qui le représentent. Je relève les incohérences des propos que j’entends dans ces informations télédiffusées et radiodiffusées qui présentent les commentaires des journalistes et des consultants spécialisés. Et ce que je remarque, chez tout le monde, c’est que nous avons tous une personnalité qui nous différencie des autres et qui semble inaltérable, inchangeable, quelques soient les arguments justifiés qui devraient nous ébranler et conduire à une remise en cause. Je n’entre pas dans ce comportement, le prouvant par mon adaptation à la lumière que je reçois de Dieu. Mais il s’agit bien d’un comportement universel qui concerne tous les êtres humains destinés à la perdition. Le cynisme ne peut conduire personne au royaume des cieux proposé par Dieu en Jésus-Christ.
J’ai déjà présenté cette idée, mais selon moi, le cynisme donne au caractère humain, cet aspect froid et insensible qui fait ressembler de plus en plus, l’être humain aux robots mécaniques et informatiques qu’il construit par sa grande maîtrise de l’électronique numérique. Et le rôle de plus en plus grand qu’il donne à l’IA, l’Intelligence Artificielle, n’est pas rassurant, car cette démarche ne va pas faire disparaître le cynisme humain mais au contraire, elle ne peut que l’amplifier et le vulgariser : Bienvenue dans le monde cinoque des cyniques !
Le caractère cynique produit un fruit sans goût sans saveur, ni odeur en sorte qu’il ne reste du fruit que son apparence, son habillage. Exemple, dans ses choix politiques et économiques le président Macron est responsable des conséquences que son peuple va subir. Au sujet de la guerre en Ukraine, il ne cesse de dire qu’il veut préserver la paix et paradoxalement adopte une conduite agressive envers la Russie en donnant des armes à l’Ukraine. Et ce choix est fait pour défendre un droit territorial obtenu par l’Ukraine depuis les années 90 seulement. Un jeune peuple est né en profitant de la crise russe pour prendre son indépendance. Et après Joe Biden, l’ennemi des Russes, le jeune Mr Macron a volé au secours de l’Ukraine putschiste soumises à ses héros nazis du groupe Azov. Seul un jeune homme qui a revendiqué lui-même par sa bouche « son inexpérience et son immaturité » pouvait commettre de telles erreurs. Ceci le concerne, mais le plus étonnant est le large soutien que ses choix obtiennent chez les députés et les journalistes français. Et cette unanimité est suspecte, elle n’est pas normale et donc elle est le fruit visible de la « puissance d’égarement » que Dieu annonce pour conduire à leur destruction, ceux qui n’ont pas l’amour de sa vérité selon 2 Thessaloniciens 2 :11-12 : « Aussi Dieu leur envoie une puissance d'égarement, pour qu'ils croient au mensonge, afin que tous ceux qui n'ont pas cru à la vérité, mais qui ont pris plaisir à l'injustice, soient condamnés. » Les incohérences humaines ne sont donc que les conséquences visibles de cette puissance d’égarement » imposée par Dieu. Qui pourrait, après cela, faire entendre raison à ces gens maudits dont les esprits sont soumis à cet aveuglement? Ni moi, ni mes frères et sœurs en Christ, personne. Et dans le passé de l’histoire d’Israël, avec l’exemple de Pharaon au temps de Moïse, Dieu a montré ce que produit sa « puissance d’égarement » ; l’entêtement jusqu’à la mort. Il est donc à la fois vain et trop tard pour voir les gens changer d’opinion et de comportement. Sauf en ce qui concerne les élus rachetés par Jésus parce qu’il les connaît, sait où ils se trouvent, et les conduit vers sa vérité à l’heure qu’il choisit pour chacun d’eux et d’elles.
Dans notre société humaniste bien pensante qui pense être un modèle exportable et imposable, je remarque des hommes et des femmes chez lesquels la haine envers Vladimir Poutine transpire et éclate au grand jour. Ce sont des gens qui défendent les valeurs de la paix, de la liberté, des droits de l’homme et se montrent haineux de manière horrible et terrifiante. De la part des Ukrainiennes qui témoignent, la chose n’a rien d’étonnant, mais le plus surprenant, c’est l’engagement de certains Français pour cette cause qu’ils défendent comme s’ils étaient eux-mêmes ukrainiens. Et dans ce comportement, nous avons en premier notre jeune chef d’Etat, Emmanuel Macron. En ce qui le concerne, cet homme est plus né européen que français. Je le redis, son expérience professionnelle dans la banque Rothschild lui a donné une norme mondialiste. Et la France n’a été pour lui que le cheval qu’il a enfourché pour ouvrir son chemin politique. Bien que jeune, il n’a fréquenté que les milieux aisés de la haute finance et se situe sur une orbite satellitaire qui tourne au-dessus du monde terrestre. Son orgueil naturel est flatté chaque fois qu’il s’exprime en longs discours devant les assemblées européennes, françaises, ou ses collègues présidents des nations européennes et mondiales. Les mots dits par ce maudit sont souvent répréhensibles mais personne ne le reprend. Le « roi » républicain a parlé, l’auditoire dit : Amen. Et tous ces mots menteurs, ces mots trompeurs, sont lancés pour captiver d’autres gens maudits, séduits et hypnotisés, par les mots et les yeux du serpent séducteur.
En France, la situation sociale se détériore de jour en jour, lentement, mais sûrement. L’unité du peuple est brisée et des trois valeurs nationales, « liberté égalité fraternité » qui faisaient son enseigne, seule « la liberté » reste effective ; mais chacun lui donnant un sens différent personnelle, elle devient la cause des dissensions et des possibles affrontements. « Liberté, égalité, fraternité » : que ces trois mots sont beaux et suscitent l’espérance du bonheur parfait ! Depuis deux siècles, c’est ce à quoi les Français ont cru, et ils se retrouvent aujourd’hui en 5ème République, sous un régime semi-dictatorial à caractère monarchique, soumis à deux chambres législatives concurrentes nationale et européenne qui les privent l’une et l’autre, chaque jour un peu plus de leurs droits individuels et collectifs acquis dans la violence et dans le sang.
Les mots alimentent la haine quand ils viennent des gens haineux et je plains ces multitudes de créatures qui se laissent instruire et formater par l’information des médias. Je rappelle encore au sujet de l’Ukraine, que sa guerre contre la culture et l’ethnie russe avait commencé dans ce pays dès 2014, dans l’indifférence des masses européennes. Seules quelques chaînes info télévisées suivaient et informaient de ce qu’il s’y passait. Ce pays s’était fait remarquer pour son incroyable niveau de corruption qui concernait tous ses dirigeants politiques. Ce fait n’a rien d’étonnant en soi, puisque l’Ukraine s’est formée en quittant une Russie livrée à une semblable corruption à tous niveaux. La suite du développement des deux pays diverge parce qu’en Russie, Vladimir Poutine a repris énergiquement la direction de la Russie en mettant au pas, les oligarques russes corrompus. Dans le même temps, en Ukraine la corruption se prolongeait et s’intensifiait de présidence en présidence. Dans ce désordre sont apparues les « Fémen » qui ont écrit les mots de leurs slogans sur la chair de leur corps complètement dénudés. Ce comportement lascif témoignait du niveau moral atteint en Ukraine et elles ont ainsi scandalisé par leurs exhibitions beaucoup de peuples orientaux, mais pas en France où elles ont été accueillies sans réserve morale. Dans le même temps, en France, le mariage pour tous, gay, lesbiennes, homosexuels et transsexuels des deux sexes, était légalisé avec le soutien du président François Hollande. En Ukraine la corruption financière faisait renverser les présidences élues successives et son dernier président en 2013 était russophile. Ce n’est qu’en 2013, à l’heure du putsch populaire qui a renversé son président russe que j’ai découvert l’existence du groupe Azov officiellement et publiquement reconnu et soutenu par le régime de l’Ukraine. Ce fut pour moi une découverte capitale, car ne m’intéressant pas à l’Ukraine, j’ignorai qu’une telle chose fusse encore possible sur le sol européen oriental. Car, en Occident, la chasse aux anciens nazis était la norme approuvée par tous les politiques. Quelle fut la cause du soulèvement populaire de 2013 ? Une pression populaire exigeait l’entrée de l’Ukraine dans le camp européen occidental de l’U.E. En fait, comme dans un jeu de dominos, les pièces tombent les unes après les autres, attirées par le désir de prendre part à la richesse et la vie sociale et économique de l’U.E. Les premières pièces tombées et accueillies par l’U.E. soit, l’Allemagne de l’Est, la Pologne et les pays Baltes, suscitait l’envie de les rejoindre aux Ukrainiens hostiles à la Russie. Et en Ukraine, la haine des Russes est une vieille histoire déjà matée mortellement par le dictateur russe Staline. Il est des haines qui ne s’éteignent jamais complètement, il en est ainsi pour les vrais Ukrainiens envers les Russes et pour les Algériens envers la France. Les deux ayant eux une cause identique : l’invasion coloniale dominatrice. En Ukraine, le groupe nazi Azov était le fer de lance historique de cette haine contre les Russes. Selon les méthodes nazies, ils ont tués en Ukraine leurs opposants russophiles profitant du chaos politique. Et dès 2014 ils ont conduit leur combat contre les habitants du Donbass situé à l’Est vers la frontière de la Russie. Ces gens de l’Est ont résisté en trouvant des armes locales et en Russie. Une guerre civile a opposé à partir de ce moment des Ukrainiens nationalistes à des Ukrainiens russophiles. Il n’est jamais bon de mettre son nez dans la guerre civile d’un pays, sauf si on s’appelle Rome et que ce pays est la Grèce où l’Etolie et l’Achaïe s’affrontent. Elle a payé l’aide romaine en devenant une colonie de Rome environ deux siècles avant Jésus-Christ. Mais, l’Ukraine c’est aujourd’hui, et sa guerre civile est soutenue par deux camps qui arment leurs protégés : l’Occident pour les nationalistes, la Russie pour les russophiles. Et depuis 2022, en entrant dans la terre ukrainienne, l’armée russe a tenté d’intimider le camp nationaliste. En d’autres temps, la chose aurait eu de l’effet, mais nous sommes en 2022, et cette fois, ce conflit a pour Dieu le but d’enflammer le sol européen entier en l’impliquant dans cette guerre. C’est cette connaissance qui donne tout son sens aux événements que l’actualité nous transmet. Les mots prennent une grande importance dans cette guerre où les gens politiques s’expriment dans les deux camps opposés par des messages transmis par les médias. Et ces mots enveniment une situation insoluble en créant une escalade verbale suivie d’une escalade d’actions guerrières. Qui peut-dire que les mots ne sont que du vent ? Toutes les déclarations publiques contribuent à exciter le camp ennemi. Lorsque les chefs se sont impliqués publiquement par leurs déclarations intempestives, leur propre orgueil les empêche de revenir en arrière et les contraint à la surenchère. C’est là, le piège de la surinformation médiatique de notre temps de la fin dans lequel, l’orgueil, l’égo des hommes, tient un rôle destructeur de premier plan.
Au sujet de l’orgueil, Mr Trump, est particulièrement concerné. Il est entré en politique comme un éléphant dans un magasin de porcelaine, brutal, menaçant, vindicatif et paradoxalement, désireux de mettre le monde en paix ; mission impossible, mais il l’ignore et fait tout ce qu’il peut pour réussir à obtenir cette paix. Le marchand de profession marchande les conditions de la paix, sauf que ses deux interlocuteurs n’ont rien de ressemblant à des marchands. Poutine et Zelensky sont deux hommes aussi nationalistes l’un que l’autre et se comprennent si bien que seule la victoire de l’un d’eux peut régler provisoirement la guerre. Mr Trump et son désir de paix est hors jeu, hélas l’aide militaire reçue par l’Ukraine repose essentiellement sur lui ; soit en aide directe, soit par la vente intermédiaire aux Européens.
Les mots sortis de la bouche du Trump maudit par Dieu ont eu de graves conséquences pour les pays du monde entier qui importent leurs produits en Amérique. Ces mots son devenus des chiffres qui fixent les taxes douanières qui vont avoir deux effets négatifs pour les deux pays, le fournisseur et le client importateur. Le fournisseur va voir ses exportations baisser ainsi que ses profits, et l’importateur va contraindre ses consommateurs à payer plus cher, le produit importé. Les deux sont perdants à cause de la dépendance créée par la mondialisation du commerce devenue libre et sans taxe. Avant cette norme, chaque pays produisait l’essentiel de ses besoins et n’importait que ce qu’il ne produisait pas, souvent des produits de luxe soit, du superflu payé avec de fortes taxes sans problèmes par les acheteurs riches.
Une rencontre est maintenant fixée en Alaska par Mr Trump qui va y recevoir Mr Poutine. Des rumeurs et des souhaits occidentaux exprime le vœu que Mr Zelensky soit présent dans cette rencontre. La décision repose sur Mr Poutine qui doit y consentir ou pas. Mais nous ne saurons ce qu’il en est seulement ce vendredi 15 Août qui vient, jour prévu pour la rencontre. Or, ce 15 Août est en Europe le jour religieux ou l’on fête, par un jour férié, le jour mythique de l’Assomption de la Vierge Marie de la religion catholique papale romaine. J’avoue que je me demande encore quelle forme Dieu va-t-il donner à cette rencontre en un tel jour ? Echec des négociations ou réussite provisoire trompeuse, telles sont les deux possibilités. Mais que de mots inutiles vont encore être échangés dans cette rencontre au plus haut sommet terrestre ! Car le programme de Dieu est fixé et va s’accomplir indifférent au tumulte confus qui règne entre les grandes puissances terrestres.
Bien que n’étant pas concernés par ce contexte actuel, je trouve dans Daniel 11:27, ce verset qui imagerait bien la rencontre de vendredi en Alaska : « Les deux rois chercheront en leur cœur à faire le mal, et à la même table ils parleront avec fausseté. Mais cela ne réussira pas, car la fin n'arrivera qu'au temps marqué. » Cet autre verset cité dans Apocalypse 16:13-14 conviendrait également : « Et je vis sortir de la bouche du dragon, et de la bouche de la bête, et de la bouche du faux prophète, trois esprits impurs, semblables à des grenouilles. Car ce sont des esprits de démons, qui font des prodiges, et qui vont vers les rois de toute la terre, afin de les rassembler pour le combat du grand jour du Dieu tout puissant. » Mais ce n’est là qu’un jeu de ma part, car ces versets ont un sens précis, situé dans l’histoire. Et si Daniel 11:27 s’est accompli par la rencontre du roi grec séleucide Antiochos IV Epiphane et son neveu lagide Ptolémée VI, le verset d’Apocalypse ne s’accomplira, lui, qu’à l’approche du printemps 2030, moment où en Jésus-Christ, Dieu paraîtra pour enlever ses élus fidèles et détruire les derniers rebelles terrestres et céleste, Satan excepté. Car un sort particulier lui est réservé, il va devoir rester seul entièrement isolé sur la terre stérile privée de toute forme de vie pendant les « mille ans » du septième millénaire qui est devant nous et commencera le jour du printemps 2030.
Il est bien vrai que la haine aveugle le jugement humain et le type de relation qui sépare aujourd’hui la France de la Russie est grandement la conséquence d’un héritage remontant à l’époque de la « guerre froide » pendant laquelle un mur véritable a été dressé par les Russes à Berlin pour isoler son quartier Est. Mais un mur invisible nommé frontière séparait bel et bien l’alliance russe soviétique du reste de l’Europe occidentale. Et déjà, se sentant à l’abri du bouclier américain, l’allié libérateur de 1844, les Occidentaux Français sont restés hostiles envers la Russie. De plus, la crise russe de 1990 a eu sur les Européens la fâcheuse conséquence de faire croître leur arrogance : les Russes explosent et nous les Européens nous réussissons. Les Français sont restés sur cette vision de la Russie ruinée et chaotique. Beaucoup n’ont pas réalisé que Vladimir Poutine l’avait relevée. La haine de la Russie est donc restée un héritage particulièrement chez les militaires de carrière, les généraux et les officiers marqués par l’histoire. Je retrouve cette haine dans tous ces généraux qui sont invités à titre de consultants sur les chaînes info française.
Cette haine des Russes habitait le cœur de Joe Biden et le massacre de Boutcha en Ukraine n’a fait qu’intensifier sa haine naturelle. Or, cette haine ne se trouve pas chez Mr Trump qui n’entre pas en politique avec le même héritage. Je trouve une autre raison qui favorise le désir d’une relation apaisée entre ces deux hommes, Mr Poutine et Mr Trump, simplement : leur âge. Ils sont tous deux d’âge mûr et très différent des jeunes gens tels Mr Macron et Mr Zelensky qui partagent par leur âge encore très jeune cette inexpérience et cette immaturité que Mr Macron a reconnu ne pas avoir en venant au pourvoir.
J’ai dit plus haut, que la haine aveugle le jugement des Français et des adversaires de Mr Poutine et les faits le prouvent. Ils le dépeignent comme un monstre, un voyou de Saint Petersburg, un méchant ancien colonel du KGB. Toutes ces choses sont vraisemblables mais qui est Mr Vladimir Poutine aujourd’hui ? Un homme vieilli sous le harnais de la responsabilité de la vie de son peuple. Peut-on éternellement reprocher à un homme ce qu’il fut dans sa jeunesse ? D’autre part, il retient et mesure ses paroles contrairement à nos jeunes coqs occidentaux. Il n’injurie personne et a, aujourd’hui, l’aspect extérieur d’un vieux sage en lequel les Russes ont toute raison de voir un nouveau Staline, un nouveau « petit père du peuple ». Pour les Russes, il incarne la force tranquille qui veille sur eux et les protège contre l’avidité dominatrice des Occidentaux. Et les faits historiques lui donnent raison. Il suffit de regarder la carte de l’URSS au partage de Yalta de 1945 et regarder ce qu’elle représente aujourd’hui, sans les pays Baltes, la Pologne et l’Allemagne de l’Est ; et pour peu, si elle ne réagit pas en 2022, sans l’Ukraine. Dans son objectivité sincère et honnête, le président Trump a reconnu le tort de l’Occident dans cette démarche conquérante constante qui a grignoté la part russe du partage de Yalta.
Si je pose la question qu’y a-t-il de commun entre Joe Biden et Donald Trump ? J’imagine le nombre de réponses que je vais entendre et qui seront toutes fausses. Car la réponse c’est : Dieu. Car c’est lui qui a porté au pouvoir ces deux hommes opposés dans l’absolu, en politique en économie et même en religion. C’est aussi lui qui leur a fait faire ce qu’ils ont fait, chacun d’eux, dans un excès maximum. Ce sont en effet les actions engagées par Joe Biden qui provoquent chez Mr Trump des mesures inverses qui aujourd’hui impactent le camp de l’U.E., la cible de Dieu. Et c’est ainsi qu’il ruine l’U.E. pour la rendre faible afin de la livrer à la colère allumée dans la Russie entière, et pas seulement dans l’esprit de son président.
M51- La sentence divine collective
C’est un fait, l’unique Dieu n’est pas seulement notre créateur, il est aussi notre juge suprême. Beaucoup de peuples païens actuels sont restés païens pour deux raisons. L’une est leur lien à leur tradition des pères, leurs ancêtres, et l’autre, c’est qu’ils ne voient pas l’utilité d’un Dieu créateur puisque les hommes se reproduisent en couples apparemment uniquement par des lois physiques charnelles. C’est pourquoi en dehors des trois religions monothéistes, les autres religions orientales relèvent plus de la philosophie que de la religion, au sens sacré occidentale.
Le refus de la lumière
Cest en ces termes que Dieu présente sa
sentence de mort à tous ceux que le sang de Jésus-Christ ne sauvera pas par sa
divine grâce. Mais s’il n’y a qu’une seule sentence, il y a par contre, de
multiples manières de commettre cet outrage envers lui.
Pourquoi tous les habitants de la terre sont-ils accusés de refus de lumière ? Certains peuvent refuser cette accusation arguant le fait que la religion monothéiste n’a pas été présentée partout sur la terre. Ils se trompent, car l’information des réseaux internet met en notre époque tous les pays de la terre et leurs habitants en possibilité d’étudier les bases des différentes religions terrestres. Et le témoignage de la sainte Bible y est disponible en toute langue comme sur nos sites internet. Pendant que l’Extrême-Orient, loin des Occidentaux, honorait ses religions philosophiques, d’empire en empire, et de dynastie en dynastie, l’Occident honorait lui-aussi des religions purement païennes, comme la religion celtique. Tous ignoraient les choses qui se passaient au Moyen-Orient, or c’est sous cette latitude de la terre de Canaan que le vrai Dieu agissait pour mettre en œuvre son programme salvateur qu’il propose à tout homme ou femme de bonne volonté, prêt à se conformer à ses conditions. Depuis Adam et Eve beaucoup de choses se sont passées jusqu’à Abram que Dieu appelle à Ur en Chaldée. Mais les premières civilisations formées après le déluge du temps de Noé, on attesté l’existence de ce déluge. C’est le cas des Akkadiens dont le roi Gil Gamesh a écrit des textes dans lesquels il témoigne de ce déluge et nomme « ancien des jours » soit, Outa Napistin, celui qui a traversé ce temps génocidaire. Aujourd’hui, toute l’humanité est comptable de cette reconnaissance du déluge confirmé par le témoignage de ce roi Akkadien. Les Akkadiens sont les pères d’un grand nombre de peuples et une branche de cette humanité engendrée par l’un des quatrec couples humain qui ont traversé en vie le déluge dans l’arche construite sur l’ordre de Dieu. Ce déluge révélé dans la sainte Bible et confirmé par un roi Akkadien est une pierre du fondement du programme accompli par Dieu, sur la terre. Car le déluge culpabilise tous ceux qui sur terre, refusent de croire à sa réalité historique. Le fait même que les créatures se reproduisent impose l’idée d’un commencement mis en marche par un premier couple, et il en est ainsi, pour les humains et tous les animaux qui vivent sur la terre, dans le ciel, et dans les mers et les Océans. Ce raisonnement est irréfutable. La question qui divise les humains concerne alors l’origine de ces premiers couples, et seule la sainte Bible a apporté et apporte encore la réponse qui explique cette existence : la création effectuée par le Dieu créateur. Mais comment et pourquoi l’humanité se voit-elle responsabilisée par le témoignage de la sainte Bible ? Comment ? Parce que Dieu a ordonné à Moïse d’écrire sur un rouleau de parchemin tout ce qu’il lui ordonnait d’écrire. Pourquoi ? Parce que ce témoignage avait vocation à être connu de tous les êtres humains dispersés sur toute la terre. Car chaque peuple actuel peut trouver dans la sainte Bible, ce témoignage divin qui répond à toutes les questions que l’être humain peut légitimement se poser.
Les faits témoignés par Moïse sont uniques sur toute la terre. Dieu a accompli en Egypte des œuvres miraculeuses d’une puissance inégalable. Les dix plaies consécutives par lesquelles il a frappé l’Egypte et son pharaon rebelle et obstiné sont un témoignage qui culpabilise toute créature qui conteste son authenticité et commet ainsi l’outrage d’un refus de lumière divine. Car la lumière divine repose en grande partie sur des œuvres ; il en est donc de la lumière comme de la foi, les deux reposent sur le témoignage des œuvres. Et celles que Dieu fait responsabilisent les êtres humains qui ne peuvent les nier, sans commettre l’outrage du refus de la lumière.
La terre, elle-même, confirme le témoignage biblique, en présentant dans ses couches supérieures des fossiles marins qui confirment la réalité historique du déluge survenu l’an 1755 après Adam et Eve. La Bible et la terre se rendent donc réciproquement, témoignage. Comment expliquer la présence de ces fossiles marins sur une terre originellement stérile et sans aucune forme de vie, comme en témoigne le récit de Genèse 1:9 à 12 : « Dieu dit : Que les eaux qui sont au-dessous du ciel se rassemblent en un seul lieu, et que le sec paraisse. Et cela fut ainsi. Dieu appela le sec terre, et il appela l'amas des eaux mers. Dieu vit que cela était bon. Puis Dieu dit : Que la terre produise de la verdure, de l'herbe portant de la semence, des arbres fruitiers donnant du fruit selon leur espèce et ayant en eux leur semence sur la terre. Et cela fut ainsi. La terre produisit de la verdure, de l'herbe portant de la semence selon son espèce, et des arbres donnant du fruit et ayant en eux leur semence selon leur espèce. Dieu vit que cela était bon. » Ainsi, à la fin du troisième jour, il n’y a encore aucune vie ou forme de vie, ni dans la mer, ni sur la terre. Et pour ceux qui refusent ce témoignage biblique, comment peuvent-ils expliquer la présence de fossiles marins sur la terre, jusque sur les montagnes ? Refuser l’explication biblique constitue un refus de la lumière présentée et proposée par le vrai et unique Dieu créateur.
Cette culpabilité de base condamne donc tous les peuples de la terre qui ne tiennent pas compte du témoignage légué par Dieu et son serviteur hébreu Moïse, à toute l’humanité jusqu’à la fin du monde.
Le premier niveau du refus de la lumière est logiquement celui dont la nation Israël s’est rendue coupable en tant que peuple dépositaire de la lumière divine depuis Moïse, et ceci, en tant qu’héritier charnel de la promesse faite à Abraham. Détenteur de la vérité biblique la plus pure et plus complète, ce peuple devient devant Dieu très responsable de ce qu’il en a fait. Car sa lumière était authentique, il lui manquait une seule chose : l’amour de la vérité. Son patrimoine religieux était parfait, Dieu lui ayant annoncé le temps de la venue du Messie, dans Daniel 9:25 : « Sache-le donc, et comprends ! Depuis le moment où la parole a annoncé que Jérusalem sera rebâtie jusqu'à l'Oint, au Conducteur, il y a sept semaines et soixante-deux semaines, les places et les fossés seront rétablis, mais en des temps fâcheux. » Ce que la lumière adventiste a pu expliquer et comprendre en 1844 était compréhensible par les Hébreux à l’époque où Jésus s’est présenté. Les explications étaient toutes contenues dans la Bible, et il suffisait qu’un être humain aime la vérité et cherche à comprendre ce mystère prophétisé, pour que Dieu l’aide et le conduise à la réponse désirée. S’il ne l’a pas fait, pour éclairer le clergé hébreu, c’est parce que ce clergé n’était plus digne de porter sa lumière : la religion juive a apostasié avant le christianisme apostat. Elle a ouvert la voie de la perdition religieuse et les témoignages des quatre Evangiles permettent de comprendre ce que fut cette apostasie. L’institution religieuse était représentée par des êtres orgueilleux, injustes, et méchants, caractères opposés dans l’absolu au caractère amour et justice du Dieu vivant. Ce clergé était déjà l’image prophétique du régime catholique papal romain persécuteur. Les prêtres juifs aimaient le luxe et la richesse et constituaient une classe supérieure qui méprisait la population. A l’inverse, se présentant à eux, Jésus de Nazareth, ne faisait pas de différence entre les pauvres et les riches, bénissant et guérissant ceux qui souffraient et venaient à lui, seuls ou conduits par d’autres, pour être guéri.
Ensuite, nous avons un troisième niveau de refus de la lumière divine chez ceux qui reconnaissent le Dieu créateur, mais ne tiennent pas compte de son témoignage biblique. L’islam est concerné par cette faute, car rejetant l’autorité de la sainte Bible, elle lui substitue un autre livre écrit par son prophète Mahomet. Ce livre est appelé le Coran. Paradoxalement, l’islam, dont la signification est soumission, s’attache à détourner ses adeptes de la source d’enseignement religieux proposée par Dieu qui est uniquement sa sainte Bible, dans laquelle, sous le nom d’ancien testament, que je nomme ancien témoignage, on retrouve les textes hébreux écrits avant et jusqu’à Jésus-Christ. L’islam est incapable de définir le péché puisque les Musulmans ignorent la loi divine des Hébreux qui le produit par sa désobéissance. Sur cette base déformée, les Musulmans ne peuvent pas non plus comprendre le rôle salvateur de Jésus-Christ puisqu’ils ignorent leur condamnation divine originelle qui rend nécessaire sa grâce exclusive offerte et proposée gratuitement à toutes ses créatures humaines.
Un quatrième niveau concerne la religion catholique qui est la forme la plus incroyable de la mystification de la vie religieuse. Suscitée par Dieu pour rassembler des âmes humaines rebelles et superficielles, cette religion incarne les pires paradoxes. Dirigée par le diable, elle prétend lutter contre lui. Justifiant son existence d’Eglise chrétienne, elle adore Jésus mais seulement quand il est tenu dans les bras de sa mère qui est leur confidente et l’objet de leur véritable vénération ; Marie ceci, Marie cela, le catholicisme est vraiment la religion qui adore la Vierge et la divinise autant que Dieu lui-même. Dieu a organisé ces choses afin que ses vrais fidèles les voient, les condamnent, et entrent en Réforme. Et pour rendre les choses encore plus évidentes pour ses élus, Dieu lui a fait multiplier ses actions abominables.
L’église catholique romaine papale ne tient pas sa légitimité de l’héritage des apôtres. Sa forme autoritaire ne remonte qu’à l’année 538. Et à cette date, le premier pape Vigile n’a fait que prendre le contrôle de la religion païenne romaine restaurée par un habillage chrétien. Depuis 313, la paix de Milan a eu pour conséquence l’apostasie généralisée de la religion chrétienne reconnue par l’empereur Constantin 1er, qui a vu en elle une forme parallèle à son adoration du dieu Soleil. Ce syncrétisme religieux a produit la religion catholique romaine. Et la fusion a été achevée le 7 Mars 321 car l’empereur a imposé à tous son jour de repos dédié le premier jour de la semaine à l’adoration de son dieu Soleil, en interdisant parallèlement le repos du sabbat du septième jour juif. Il ignorait le fait que Dieu a sanctifié son sabbat deux fois : au début, au moment de la création, à l’heure de sa sanctification originelle, puis en faisant de sa pratique, le quatrième de ses dix commandements présentés par lui au peuple hébreux terrorisé, depuis le Sinaï de l’Arabie transformé en fournaise.
Comme l’islam le fera après elle, elle substitue un livre appelé le Missel et interdit la lecture de la sainte Bible sous peine de châtiments cruels jusqu’à causer la mort de l’accusé torturé. Le modèle de ce catholicisme est mauvais de A à Z. Il n’a rien de chrétien, si ce n’est sa fausse revendication. Et c’est leur refus de tenir compte de la lumière biblique défendue par les protestants qui a rendu les Catholiques rebelles traditionalistes coupables du refus de la lumière divine.
Un cinquième niveau de refus de la lumière a condamné les Protestants depuis 1843. Les Protestants reconnaissent la Bible entière et sont encouragés à la lire entièrement. Cependant, ils sont tombés en pensant que les ordonnances divines alimentaires et sanitaires étaient réservées exclusivement pour les Juifs. Partant de ce postulat, ils ont avancé dans cette voie jusqu’à reconnaître la légitimité du jour du repos du premier jour, ignorant souvent que son origine est due à un décret impérial païen daté du 7 Mars 321. Les Protestants sont en généralité des gens superficiels qui connaissent les déclarations de Dieu mais n’en tiennent pas compte. Dieu a choisi le test prophétique pour éprouver leur foi en 1843 et 1844. Offrant une chance à tous, Dieu a fait annoncer le retour de Jésus-Christ, deux fois : au printemps 1843 et le 22 Octobre 1844. Le but de ce test de foi était de séparer le bon grain de l’ivraie : le bon grain aime la vérité, l’ivraie aime le mensonge. Par ces fausses annonces, Dieu a mis à l’épreuve les protestants et les Catholiques, peu nombreux aux USA à cette époque, en donnant à tous la possibilité de rendre visible l’effet produit sur eux par ces annonces, par leur comportement, et donc, par leurs œuvres. Dieu a révélé à sa messagère Ellen White, que dans ces deux épreuves de foi, Dieu n’a retenu en les jugeant dignes de son salut, que 50 personnes. Celles-ci sont devenues les pionnières de l’adventisme du septième jour, organisé officiellement en institution en 1863. La cause de la condamnation de la religion protestante est donc double : désintérêt pour la parole prophétique qui annonce le retour en gloire de Jésus-Christ ; et refus de procéder au remplacement du dimanche par le repos sanctifié du samedi, le seul vrai septième jour du calendrier compté par Dieu depuis le début de sa création terrestre. Par ces refus, les Protestants ne font que confirmer eux-mêmes leur indignité de bénéficier de la grâce de Jésus-Christ. Le refus de la lumière adventiste proposée, depuis 1863, aux USA et 1873, dans le reste du monde, leur est fatal.
En sixième niveau, vient le cas de l’adventisme institutionnel « vomi » prophétiquement par Jésus-Christ en 1994 ; et là encore, à cause du refus de la lumière que le Seigneur m’a révélée entre 1980 et 1991, date de ma radiation officielle de l’œuvre. Sous le titre la Révélation de la septième heure, j’ai présenté un ouvrage polycopié proposant un décryptage complet des livres Daniel et Apocalypse. Les autorités adventistes se sont inquiétées par cette présentation dans laquelle j’annonçais, très convaincu, le retour de Jésus-Christ pour l’année 1994 qui désignait le véritable an 2000 depuis le vrai moment de la naissance de Jésus-Christ. Dans ma pensée, 1994 était donc l’an 6000 depuis Adam et Eve. L’Esprit de Dieu m’a conduit à lire le livre d’Ellen White ayant pour titre : Ministère Evangélique. Ce livre était adressé aux instructeurs religieux de l’œuvre adventiste, et mon attention a été retenue sur un chapitre intitulé : le refus de la lumière. Je conseille à tous les adventistes de lire ces sérieuses mises en garde divines adressées aux pasteurs de l’œuvre. Un colporteur local de l’œuvre qui m’avait fourni un deuxième exemplaire de la Tragédie des Siècles d’Ellen White devait transmettre mon livre à une assemblée de pasteurs réunis au siège de la Fédération adventiste sud de la France. Je lui ai demandé de lire à ces pasteurs ce chapitre intitulé « le refus de la lumière », avant d’étudier mon livre, car dans ce chapitre, Dieu met en garde les pasteurs qui empêchent la lumière de parvenir aux membres de son Eglise : je cite, page 291 : « Il est dans les intentions de Dieu de donner à son peuple, déjà ici-bas, toujours plus de lumière. Il n’y a qu’un seul chemin pour aboutir à cette connaissance. Nous ne pouvons comprendre la Parole de Dieu que si nous sommes éclairés par l’Esprit même qui l’a donné aux hommes. » ; page 297 : « Le Seigneur châtiera ceux qui barrent la route et empêchent la lumière d’apparaître clairement à son peuple … Que personne ne courre le risque de s’interposer entre le message du ciel et le peuple de Dieu ». Pas moins de sept pages sont consacrées à citer de riches exhortations à l’ouverture d’esprit pour accueillir la lumière nouvelle. L’examen a eut lieu précédé par la lecture que j’avais recommandé de faire. J’ai ensuite été contacté par un jeune pasteur posté momentanément dans ma ville de Valence en Drôme. Il s’est présenté chez moi, et m’a signalé que le comité réuni n’avait rien contre mon livre si ce n’est la proclamation du retour de Jésus-Christ pour 1994, la seule chose à laquelle les responsables de l’œuvre me demandaient de renoncer. La lecture des mises en gardes divines, n’avait donc servi à rien. Ces gens n’étaient pas les serviteurs de Dieu, mais les gendarmes d’une œuvre humaine soucieuse d’éviter les troubles et les controverses.
Devais-je mettre la lumière sous le boisseau parce que les autorités adventistes me le demandaient ? Impossible, parce que la lumière divine a priorité sur toute autorité humaine. Nous étions en 1991, et après une entrevue avec le pasteur local de Valence qui ne s’est pas très bien passée, son orgueil ayant été touché, un comité local m’a traduit devant les membres adventistes pour me donner l’occasion de me rétracter sans quoi je devais être radié de l’institution adventiste du septième jour. J’ai donc été radié de cette église à cause de la date 1994 que le calcul prophétique construisait et imposait. L’église officielle n’imaginait pas que cette date ne faisait que fixer l’année de son vomissement officiel par Jésus-Christ. C’est pourquoi son adhésion à la Fédération protestante entre le 22 Octobre 1991 et le 22 Octobre 1994, déclarée ouvertement et officiellement aux membres seulement en 1995, est venue confirmer son abandon par Dieu, définitivement, depuis le 22 Octobre 1994.
Au milieu d’un flot de lumière, d’un écrin de multiples perles, cette date 1994 refusée par l’église adventiste était à elle seule, la lumière divine dont le refus a conduit Dieu à rompre son alliance actée depuis 1843-1844. Dieu l’avait lancé dans une mission universelle depuis l’année 1873 construite dans Daniel 12:12. En fait, Daniel la bénissait et Apocalypse 9:5-0 a provoqué sa chute en prophétisant les « cinq mois » ou 150 années réelles de son alliance bénie.
L’alliance entre Dieu et les Juifs nationaux d’Israël a pris fin à cause de Daniel 9. Et à son tour, l’alliance passée avec les Adventistes officiels a cessé à cause d’Apocalypse 9. Or, les Juifs ont relevé que, dans leur histoire, la date du 9 Av était plusieurs fois marquée par de grosses catastrophes ; ce fut un 9 Av que Dieu apprit aux Hébreux qu’ils n’entreraient pas sur la terre de Canaan et que la génération coupable mourait dans le désert ; ce fut aussi un 9 Av que les soldats du roi Nébucadnetsar ont détruit Jérusalem et son premier temple en les livrant au feu. C’est aussi un 9 Av que les soldats romains ont détruit Jérusalem et son deuxième temple en l’an 70. Cette malédiction semble donc être, aussi, fatale au peuple adventiste tombée dans l’apostasie. Les dates du 9 Av sont donc à redouter par les Juifs et les Chrétiens maudits. Cette année, en 2025, le 9 Av était le dimanche 3 Août. L’an prochain, en 2026, le 9 Av se présentera le Jeudi 23 Juillet et en 2027, le jeudi 12 Août.
Les Juifs et l’adventisme partagent la chaîne prophétique construite sur la prophétie de Daniel 9 qui fixe le temps de la venue du Messie : les Juifs étaient avertis par les « 70 semaines » de Daniel 9:24 ; et la mission adventiste était prophétisée et datée par la fin des « 2300 soir-matin » de Daniel 8:14. Dans Daniel, Dieu prophétise les deux moments de pleine lumière de l’ère chrétienne : En l’an 26, le début du ministère de Jésus-Christ, mort et ressuscité au printemps 30 ; et l’adventisme du septième jour final, en 1844, en institution universelle de 1873 jusqu’en 1994 où elle est « vomie » par Jésus-Christ, et en dissidence, de 1994 à 2030.
La sentence collective du jugement du Dieu créateur est effectivement prononcée et elle est définitive et inévitable. La certitude de l’accomplissement de ce jugement divin révélé est comparable à la trajectoire d’une météorite dont on connaît l’orbite et la vitesse et dont on peut fixer la zone de son impact terrestre. Les scientifiques savent établir ce type de calcul avec précision. Et pour leur part bénie, les « fils de Dieu » ont eux la connaissance des œuvres que Dieu fait accomplir jusqu’à la fin du monde. Ils ont eux-aussi obtenu cette connaissance par des calculs proposés par Dieu dans ses révélations prophétiques de la sainte Bible.
Jésus a déclaré dans Jean 17:3 : « Or, la vie éternelle, c'est qu'ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus Christ. » La connaissance de Dieu n’est pas qu’une formule, c’est une capacité à comprendre une partie du mystère qui entoure toute sa personnalité. Car pour beaucoup de faux chrétiens trompés et séduits, Jésus-Christ reste perpétuellement le Jésus de la compassion qui guérissait miraculeusement les malades et les infirmes. C’est si vrai, que dans la religion catholique, le Christ adulte disparaît derrière son image de « Fils de Marie » ; une Marie adorée dans des cloîtres par des « sœurs » spécialisées dans les œuvres de bienfaisance. On y rappelle souvent qu’il était aussi le fils de Joseph, ce qui n’est pas, charnellement, la réalité, puisque Jésus est né miraculeusement conçu par le Dieu Esprit ; et ces habitudes religieuses éclipsent le vrai « Fils de Dieu » qui est lui-même Dieu. Là, les gens ordinaires et simples me disent : Il est Dieu ou Fils de Dieu ? Je réponds : Il est Dieu comme son Père. On me dit alors : il y a donc deux Dieux ? Je réponds : Non il n’y en a qu’un seul qui tient les rôles successifs de « Père, Fils et Saint-Esprit ». Comprends l’importance de cette unicité : Etant unique, Dieu a une autorité souveraine qu’il ne partage avec personne. De plus, son caractère reste immuablement, perpétuellement et éternellement, le même.
Chacun des rôles tenus par Dieu est marqué par des œuvres différentes complémentaires : En Dieu Père, il crée la vie et la matière, en Dieu Fils, il vient sur la terre prouver en œuvre sa compassion pour ses créatures victimes de l’héritage du péché qui les mène à la mort. Et en Saint-Esprit, le Dieu Fils retrouve sa puissance divine infinie pour prolonger sa relation avec ses rachetés élus. Ainsi, ces trois rôles tenus par le même Dieu Esprit accomplissent le salut du projet programmé par Dieu avant sa création des anges célestes.
Il faut ainsi comprendre pourquoi Jésus-Christ ne pouvait pas utiliser sa puissance divine pour contraindre et vaincre ses ennemis terrestres. Il se privait volontairement de cette puissance dont il disposait en Dieu Père. Son ministère terrestre devait vaincre le péché comme un simple homme mortel, pour racheter la faiblesse et la défaite d’Adam, le premier homme. Par sa victoire dans une condition humaine identique à la nôtre, Jésus nous ouvre le chemin de la vie éternelle en nous prouvant que la victoire contre le péché est possible pour l’être humain mâle ou femelle.
Depuis sa résurrection, Jésus-Christ a retrouvé toute sa gloire et sa puissance de Dieu Père et sa place en chef des anges restés fidèles, pour lesquels il est « Micaël ». C’est ce que confirme Apocalypse 12:7 à 9 : « Et il y eut guerre dans le ciel. Michel et ses anges combattirent contre le dragon. Et le dragon et ses anges combattirent, mais ils ne furent pas les plus forts, et leur place ne fut plus trouvée dans le ciel. Et il fut précipité, le grand dragon, le serpent ancien, appelé le diable et Satan, celui qui séduit toute la terre, il fut précipité sur la terre, et ses anges furent précipités avec lui. » « Michel » est le nom francisé « Micaël » hébreu cité dans Daniel. Ce verset nous prouve que Jésus-Christ est devenu un chef de guerre impitoyable, redoutable pour ses ennemis célestes ou terrestres assurés d’être vaincus par lui. Ayant purifié le ciel en en chassant les mauvais anges et Satan expulsés sur la terre, Jésus est entré dans un ministère d’intercession qui ne bénéficie qu’à ses seuls rachetés élus. Il n’intercède pas pour le monde rempli de gens incrédules faussement religieux. Il est pour ces gens, le grand Juge qui attend l’heure d’être leur bourreau. Et ce jour viendra pour eux comme il est venu pour les mauvais anges et Satan leur chef, tous étant devenus des condamnés à mort sursitaires. Les vrais élus bénéficient de toute sa lumière qu’il leur donne en rôle de Saint-Esprit. Et ils ne viennent pas en jugement parce qu’ils sont réellement en Christ comme le dit dans Jean 5 :24 : « En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole, et qui croit à celui qui m'a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie. » Etre en Christ c’est répondre positivement aux conditions prescrites dans ce verset qui mérite d’être disséqué tant il est important et riche, pour notre connaissance de Dieu. Déjà, Jésus la présente en disant « En vérité, en vérité », ce qui en fait une vérité religieuse fondamentale. Ensuite, la première condition est d’écouter sa parole, mais ce que Dieu appelle écouter suppose et exige une conformation pratique à ce qu’il dit. Car la foi vivante entend et met en œuvres ce qu’elle entend. La deuxième condition est la croyance au Dieu Père qui s’est envoyé en Dieu Fils sur la terre. Ainsi, dans son apparence terrestre rendue volontairement faible, Jésus place son ministère sous l’autorité du Dieu Père Tout-puissant et illimité dans sa force et tous ses pouvoirs. Jésus dit : « et qui croit à celui qui m’a envoyé. » Il minimise son rôle et montre le Père détenteur de l’autorité. Cette précision donnée par Jésus confirme la valeur de tous les écrits de l’ancienne alliance inspirés par lui, en Dieu Père. La religion chrétienne prend ainsi sa base sur celle de l’ancienne alliance dont les enseignements ne font que préparer l’être humain pécheur involontaire à recevoir la grâce offerte par le Dieu Père au nom du sacrifice qu’il a accompli en Dieu Fils.
De même qu’en Micaël, Jésus-Christ a séparé son camp céleste du camp du diable devenu la terre, dans son Eglise, il a séparé le bon grain de l’ivraie. Et cette séparation s’est effectuée en trois phases. Une première séparation a été accomplie par l’œuvre protestante de la Réforme engagée au XVIème siècle quand la sainte Bible imprimée a été diffusée en multiples langues. La seconde, plus importante pour Dieu, a été suscitée par les annonces prophétiques du retour de Jésus-Christ pour 1843 et 1844. Le bon grain a pris alors pour nom : « Eglise Adventiste du Septième Jour ». En 1994, est arrivée la troisième séparation. A cause du rejet officiel de la lumière que je lui ai présentée au nom de Jésus-Christ, disant ainsi, « qu’elle n’a besoin de rien », l’institution adventiste a été vomie, rejoignant ainsi, l’ivraie protestante. Et mon ministère d’adventiste du septième jour dissident est béni par toujours plus de lumière divine comme il convient de le faire au « bon grain » destiné à entrer au royaume des cieux de Dieu.
C’est donc en chef de guerre que Jésus-Christ demande la mort « du tiers » des habitants de l’U.E. dans le message de sa « sixième trompette » présenté dans Apocalypse 9, encore le signe du 9 Av, dans les versets 13 à 21 : versets 13 à 15 : « Le sixième ange sonna de la trompette. Et j'entendis une voix venant des quatre cornes de l'autel d'or qui est devant Dieu, et disant au sixième ange qui avait la trompette : Délie les quatre anges qui sont liés sur le grand fleuve d'Euphrate. Et les quatre anges qui étaient prêts pour l'heure, le jour, le mois et l'année, furent déliés afin qu'ils tuassent le tiers des hommes. »
Le jugement de Jésus-Christ prend ici la forme d’une séparation définitive pour « le tiers des hommes tués » ; un tiers symbolique, qui peut être en réalité, plus élevé. Et là je dois préciser ceci : Le mot avertissement est compris par les êtres humains comme une mise en garde au caractère conditionnel. Dans Apocalypse, « les trompettes » symbolisent bien des avertissements prophétisés par Dieu, mais ne ils sont pas, eux, conditionnels ; ils représentent des faits certains d’être accomplis et n’ont rien de conditionnel. Dans sa prophétie, par des images et des symboles, Dieu annonce ce qui s’accomplira comme il le déclare dans Apocalypse 1:1 : « Révélation de Jésus Christ, que Dieu lui a donnée pour montrer à ses serviteurs les choses qui doivent arriver bientôt, et qu'il a fait connaître, par l'envoi de son ange, à son serviteur Jean, » Présenté comme l’ange de Jésus-Christ, l’ange envoyé vers Jean est Gabriel, celui qui fut envoyé vers Daniel, selon Daniel 8:16 : « Et j'entendis la voix d'un homme au milieu de l'Ulaï ; il cria et dit : Gabriel, explique-lui la vision. » Ce fut lui qui fit à Marie l’annonce qu’elle allait porter et mettre au monde pour Dieu, le Messie nommé Jésus, selon Luc 1:19 : « L'ange lui répondit : Je suis Gabriel, je me tiens devant Dieu ; j'ai été envoyé pour te parler, et pour t'annoncer cette bonne nouvelle. »
Ainsi, après la « bonne nouvelle » de l’offre du Messie, le Sauveur, vient sous peu de temps, le temps de la « mauvaise nouvelle » ordonnée par le même Jésus-Christ. Et ceci sur la base parfaite de la justice divine qui applique sur les êtres humains et les églises collectives le principe appliqué au roi Beltschatsar qui vit une main écrire sur un mur les mots traduits en français : compté, compté, pesé, divisé : un début, une fin, un jugement et la sentence de mort est ordonnée par Dieu en Jésus-Christ.
La « sixième trompette » vient donner la mort aux « faux prophètes » protestants et adventistes concernés par le message de la « cinquième trompette ». Ainsi se confirme l’importance de ce détail cité dans la « cinquième trompette » dans Apocalypse 9:5 : « Il leur fut donné, non de les tuer, mais de les tourmenter pendant cinq mois ; et le tourment qu'elles causaient était comme le tourment que cause le scorpion, quand il pique un homme. »
Le premier « compté » est la date 1844 en laquelle Dieu relève le résultat des deux annonces prophétiques du printemps 1843 et du 22 Octobre 1844.
Le deuxième « compté » est la date 1994 terme des cinq mois prophétiques cités ; date en laquelle Jésus vomit l’adventisme institutionnel.
« Pesé » : Jésus-Christ juge les coupables dignes de mort. Jésus autorise les faux christs « à tuer » leurs ennemis.
« Divisé » : Jésus-Christ ordonne la mort donnée par la « sixième trompette ».
Les « tourments » cités sont ceux que causera la « seconde mort » que Dieu réserve aux gens rebelles séduits par les faux-prophètes entre 1844 et 1994 ; et après ces dates prophétisées, jusqu’au retour de Jésus-Christ.
En utilisant ce mot « tourment », Dieu révèle le reproche qu’il fait aux « faux-prophètes » qui utilisent odieusement les menaces du jugement dernier marqué par les peines de l’enfer qu’ils disent « éternelles », pour convertir et christianiser les êtres humains qu’ils conduisent au baptême. Jésus n’est pas venu annoncer les peines de la « seconde mort » mais il est venu pour présenter l’amour de Dieu sous son aspect le plus attirant, pour obtenir des disciples et en faire si possible, des élus. Cette accusation concerne déjà le faux protestantisme qui utilise mal la sainte Bible, les « deux témoins » de Dieu d’Apocalypse 11:3 dans le thème de la « bête qui monte de l’abîme » symbole de la Révolution française et son athéisme national. La religion chrétienne est construite sur la révélation de la sainte Bible. Son mauvais usage tel les menaces des peines « éternelles » de l’enfer par les religions catholique et protestante est condamné par Dieu et subtilement dénoncé dans ce verset d’Apocalypse 11:10 : « Et à cause d'eux les habitants de la terre se réjouiront et seront dans l'allégresse, et ils s'enverront des présents les uns aux autres, parce que ces deux prophètes ont tourmenté les habitants de la terre. »
Ceux qui font un mauvais usage de la sainte Bible portent la responsabilité de créer une mauvaise opinion de la religion chrétienne qu’ils construisent ; ayant produit un fruit désastreux, ils portent donc une grande culpabilité envers Dieu. Et cette culpabilité supérieure particulière les destines à être jetés vivants dans l’étang de feu de la seconde mort selon Apocalypse 19 :20 : « Et la bête fut prise, et avec elle le faux prophète, qui avait fait devant elle les prodiges par lesquels il avait séduit ceux qui avaient pris la marque de la bête et adoré son image. Ils furent tous les deux jetés vivants dans l'étang ardent de feu et de soufre. »
Dans ce verset, « la bête » désigne la religion catholique persécutrice soutenue par les monarchies jusqu’à la venue de l’athéisme national français de « la bête qui monte de l’abîme ». Et le « faux-prophète » désigne la religion protestante qui utilise injustement la sainte Bible. Apocalypse 13 présente ces deux religions sous les symboles de « la bête qui monte de la mer » suivie par « la bête qui monte de la terre » qui symbolise le dernier régime universel. Il sera dirigé par l’Amérique protestante, depuis la fin de la « sixième trompette » jusqu’au retour de Jésus-Christ et sa « septième trompette ».
Ce qu’il faut comprendre, c’est que ne recevant pas de Dieu sa lumière, les faux chrétiens sont incapables de porter le fruit amour des élus de Dieu. La norme de leur amour n’est que de la sensiblerie et du sentimentalisme humaniste aussi changeants que superficiels. Comme il est écrit dans 1 Corinthiens 13, l’amour, ou plus précisément, le charisme donné par Dieu, « se réjouit de la vérité » ; ce qu’ils ne savent pas faire et en témoignent par leurs œuvres, en honorant « les mensonges » hérités du catholicisme romain.
Je précise encore ce détail : le programme préparé par Dieu repose sur sa durée de 6000 années, quel que soit le résultat final obtenu. Désolé pour les optimistes, mais il n’y aura jamais de conversion de tous les habitants de la terre et à l’opposé, je rappelle que Jésus a dit dans Luc 18:8 : « Je vous le dis, il leur fera promptement justice. Mais, quand le Fils de l'homme viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? »
M52- A la poursuite de la paix
Je reprends, pour titrer ce message, le nom donné par l’équipe Donald Trump à la rencontre organisé à Anchorage en Alaska, vers 14 h entre Mr Poutine et Mr Trump et leurs équipes de travail, ce vendredi du 15 Août 2025, soit en Europe, au début du sabbat à 21 h30.
Déjà ce que je peux dire au terme de cette rencontre, c’est que ceux qui en ressortent déçus ont simplement fait l’erreur de trop en espérer.
Le titre de la rencontre, en anglais « Pursuing Peace » qualifie parfaitement cette poursuite effrénée de la paix qui semble courir plus vite que ceux qui veulent l’obtenir. Elle fuit devant eux, tel un mirage dans un désert de sable. A la colère des Ukrainiens et des Européens, Mr Poutine a été reçu par Mr Trump avec tous les égards dus à un puissant et honorable chef d’Etat. A son apparition, Mr Trump a applaudi l’arrivée de Mr Poutine, chose que les médias américains ont vite coupé dans les images diffusées. Mr Poutine s’est montré à l’aise, très décontracté, et visiblement heureux de rencontrer Mr Trump qui était dans le même état d’esprit. Les pourparlers se sont correctement passés, mais aucune décision n’a été prise. Les officiels concernés évoquent de grands progrès dans la préparation d’une autre rencontre qui pourrait avoir lieu à Moscou, selon l’offre présentée par Mr Poutine.
Le choix de l’Alaska, pour cette rencontre, a été judicieux. D’abord par que l’Alaska a été vendue par les Russes aux Américains en 1867. Et comme l’a rappelé le président Poutine, les Américains sont dans ce Nord extrême, les plus proches voisins de la Russie. L’autre intérêt de ce lieu a été d’échapper à toute tentative des Ukrainiens et des Européens d’intervenir d’une manière ou une autre, pour faire échouer la rencontre ou l’influencer. Les plus durs d’entre eux regrettent amèrement que Mr Trump n’en ait pas profité pour arrêter Mr Poutine pour le traduire devant le tribunal Européen prétendu universel. Hélas pour eux, les USA n’ont jamais reconnu la validité de ce tribunal, pas plus que la Russie.
Le jour choisi a été le vendredi du 15 Août qui célèbre l’assomption de la Vierge Marie du catholicisme et que les Russes orthodoxes fêtent également, mais le 28 Août. Apparemment, Marie n’a pas pu faire de miracle, et offrir aux Européens, ce qu’ils espéraient soit, que Mr Trump impose sa volonté et ses conditions à Mr Poutine, car je le répète, aucun accord n’a été signé ou obtenu.
Dans la semaine précédente, Mr Trump avait dit en public, parlant de Mr Poutine, je cite : « Avec moi, il ne fera pas le malin ». Or, les deux chefs d’Etat se trouvent sous l’influence et la malédiction du « Malin » en chef, Satan, le diable. Mais dans ce jeu qui les confronte, le malin n’a pas son mot à dire, car c’est Jésus-Christ qui tient tout le monde entre ses mains et dirige les faits qui s’accomplissent. Dans le mot « malin » se trouve la racine « mal » ; le malin est donc celui qui fait le mal. Et nos deux chefs d’Etat russe et américain font le mal que Dieu condamne et sont donc eux-mêmes soumis au « malin » céleste.
Mon analyse me dit que Mr Trump a peur de Mr Poutine et il n’a pas tort car un affrontement direct entre les Russes et les Américains donnerait peut-être la victoire aux Américains, mais à quel prix ! Au prix de millions de vies américaines détruites avec leurs villes. En fait, celui qui fait le malin devant ses partenaires occidentaux et devant les médias, c’est lui, Mr Trump. Car en face de lui, Mr Poutine est un modèle de maîtrise politicienne. Il reste courtois, poli, jamais injurieux, et parfaitement stable dans sa détermination concernant son projet appelé « opération spéciale ».
Ce que ne comprennent pas les Européens et les Ukrainiens qui nient la vérité, c’est que Mr Trump justifie la réaction de la Russie contre les Ukrainiens qui, dans une guerre civile engagé par les putschistes nazis depuis 2013, luttaient férocement contre les Ukrainiens du Donbass restés favorables à la cause russe. Mr Trump n’a pas caché sa reconnaissance du fait que l’Occident avait eu tort de prendre à la Russie de plus en plus de terre, en avançant toujours plus vers l’Est. Et cette pensée personnelle explique sa politique différente de celles de ses alliés de l’OTAN et de l’U.E.
Les Européens se moquent beaucoup de ce Mr Trump qui avait maintes fois répété qu’élu, il réglerait le problème de la guerre de l’Ukraine en 24 heures. Je suis certain qu’il croyait la chose possible, parce qu’il imputait sa propre nature à Mr Poutine et lui imputait également la conduite qu’il adopterait à sa place. Et il pensait que tout se règle par l’argent et l’intérêt matériel, en modèle type de l’Américain affairiste. Depuis son élection, il se heurte à la réalité de la situation. Mr Poutine n’est pas Mr Trump et leurs expériences individuelles justifient leur goût et leurs réactions différentes comme le sont les expériences historiques de leur deux pays. Les pays slaves ont hérité de « l’ Esclavonie » nom ancien donné aux peuples slaves de l’Est. Ils ont longtemps vécu dans le servage soumis aux riches aristocrates russes et aux Tsars successifs. Leur Révolution bolchevique de 1917 leur a fait adopter le régime du communisme qui place les humains dans une pauvreté partagée par tous ; les apparatchiks gouvernementaux du régime exceptés. Et en 1989, la fin de l’URSS a pris la forme d’une catastrophe pour la population russe. Dans la nouvelle liberté totale instaurée, la pire des corruptions a gangréné le pays. Les apparatchiks russes se sont emparés des services nationaux et se sont encore plus enrichis aux dépens des pauvres du pays. La liberté a pris ainsi pour toute la masse populaire un goût amer détestable. Et c’est cette expérience amère qui a justifié ensuite leur appréciation et leur soutien au régime imposé par Mr Poutine qui assure depuis 1990, la stabilité politique dans le pays et a soumis à son autorité les Russes injustement enrichis. En toute justice, ils ont condamné les dérives morales de cet Occident dépravé, arrogant, avide et cupide. Le pire étant ce « vokisme » apparu aux USA récemment. Le pire parce que dans ses excès, la liberté dite « voke » condamne et détruit les normes de l’ancienne culture au nom d’une égalité ethnique et féminine revendiquée. La légalisation de l’homosexualité est regardée depuis l’Est, avec raison, comme une abomination occidentale qui accentue la nécessité de conserver l’Ukraine comme frontière pour protéger les populations russes de l’influence diabolique néfaste de l’Europe occidentale. Et pour assurer ce rôle de frontière, l’Ukraine doit rester, pour le moins, neutre et ne pas adhérer à l’OTAN ou à l’U.E.
Avec un tel enjeu et une telle motivation, il n’est pas étonnant que le peuple russe apprécie la détermination stable de son président Vladimir Poutine porteur, à 70 ans, d’une longue expérience politique.
En Occident, la situation est opposée à l’extrême. Les chefs d’Etats changent fréquemment en sorte que des changements d’options politiques empêchent la stabilité des choix européens collectifs. Et l’heure est propice pour faire le bilan des choix réalisés. Quelle est la situation des peuples occidentaux ? Ils sont ruinés et ont perdu toute crédibilité envers les pays qu’ils ont dominés. La cupidité et l’enrichissement facile basé sur l’investissement en bourse des plus riches a eu pour conséquence l’abandon des productions industrielles les plus importantes au profit de la Chine et des pays asiatique de l’Orient sur lesquels les investissements en actions ont été placés. Pour reprendre l’image ; « il n’y avait plus de pilote dans l’avion ». La concurrence entre les gestions nationales et les gestions européennes a produit cet effet. Il n’y avait plus personne pour maintenir la production industrielle locale. Et la cause de cette situation était américaine ; c’était le libre échangisme mondial des produits pour le commerce, comme il l’était en même temps devenu, sexuellement, pour les couples mariés ou pas. L’abandon des taxes douanières était en cause, comme l’abandon des valeurs morales pour les couples humains.
Le mal est donc venu de l’Amérique, et c’est aussi en Amérique que ce mal est combattu par le président Trump. Après l’excès libéral, ce pays tombe dans l’excès des taxes douanières qui remet en cause et aggrave, considérablement, la situation financière des pays européens et des autres pays du monde clients et fournisseurs de l’Amérique. Je relève l’avantage de l’indépendance totale de l’Amérique. Victime de son incapacité à concurrencer les prix des importations, Mr Trump a recours à la taxe douanière pour récolter de l’argent. Note que l’U.E. s’est trouvée dans la même situation financière, étant elle-aussi, comme l’Amérique, victime des importations chinoises qui l’ont grandement affaiblie en provoquant la fermeture de ses grandes entreprises industrielles. Mais liées par les règles des accords européens, les nations de l’U.E. n’ont plus l’indépendance qui leur permet de réagir pour sauver leurs intérêts nationaux locaux. Ainsi l’Alliance européenne révèle combien elle est une malédiction pour toutes ses nations membres dites riches, car les derniers entrant venus de l’Est, les plus pauvres, eux n’ont fait que bénéficier des aides européennes et ne peuvent donc que la bénir.
Dans la situation industrielle désastreuse qu’il relève dans son pays, le président Trump ne voit que la paix pour lui permettre de l’enrichir en imposant des taxes douanières à tous les pays étrangers fournisseurs. Son obstination à obtenir la paix est justifiée uniquement par ce but financier qui n’a rien à voir avec l’humanisme de certains Européens. La paix enrichit, la guerre ruine, tel est son raisonnement logique et vrai. Et cette pensée ne fait que confirmer le but que Jésus-Christ s’est fixé, en chef de guerre résolu à livrer l’Europe occidentale au chaos destructeur créé par la guerre ; sa cible principale restant l’Europe des « dix cornes » catholiques de Daniel 7:25 soumises à Babylone soit, Rome dont les deux traités européens successifs portent le nom.
Pour Donald Trump obtenir la paix est devenu, pour lui et son pays, une nécessité vitale ; et il a raison, car s’il ne réagit pas, l’Amérique disparaît économiquement et financièrement avalée par la Chine et l’Inde, les nations les plus peuplées de la terre qui sortent de la misère et deviennent des géants industriels et économiques. Je confirme cette pensée qui veut qu’entre les grandes guerres meurtrières et destructrices, les peuples se combattent par la guerre commerciale et industrielle aux conséquences ruineuses et graves pour les perdants. Et je le répète, les peuples n’ont pas d’amis, mais que des concurrents, et Mr Trump lui l’a bien compris et c’est pourquoi il combat avec son arme maîtresse, sa puissance mondiale héritée par sa victoire dans la Seconde Guerre Mondiale. Qui, mieux que l’Amérique, peut provoquer la Troisième Guerre Mondiale, simplement par ses décisions, et sans attaquer personne ? Aujourd’hui, il lui suffit de se retirer du problème ukrainien pour livrer les Européens et l’Ukraine à la vengeance russe. Et c’est ce qu’il va désormais faire, en favorisant sa relation avec la Russie, parce qu’il convoite la possibilité de favoriser avec elle des échanges commerciaux avantageux pour les deux pays. Quand la Russie envahira l’U.E. pour la ruiner et s’emparer de ses richesses, Mr Trump verra toutes ses espérances s’écrouler et il en voudra terriblement à Mr Poutine et à la l’armée russe qui combat sous ses ordres. Mais sans qu’il le sache, cette destruction accomplira la sentence de Dieu concernant l’U.E. Celle-ci étant occupée et brisée, Dieu convaincra Mr Trump de détruire la Russie par une attaque nucléaire soudaine et imprévue par les Russes. Le rêve de paix de Mr Trump va le conduire à prendre la décision la plus paradoxale qu’on puisse imaginer ; puisqu’il va décider de détruire des millions de vies russes et faire détruire par les bombes nucléaires russes, les vies de ses propres alliés et d’une partie des habitants de son pays. Cette action est subtilement suggérée dans la description de Daniel 11:44 qui prophétise ce pire moment funeste de l’ultime Guerre Mondiale : « Des nouvelles de l'orient et du septentrion viendront l'effrayer, et il partira avec une grande fureur pour détruire et exterminer des multitudes. » Nous devons mettre en rapport la décision prise et la cause qui la provoque. Celui qui est effrayé au plus haut niveau est le « roi du septentrion » lui-même. La nouvelle qui l’effraie concerne son pays, la Russie qui est détruite, alors qu’il occupe par ses armées, l’Europe et Israël. Je le rappelle les mots « Orient et septentrion » situent le territoire russe par rapport à la position de l’Europe occidentale occupée par les forces armées russes ; car la Russie est bien au Nord-Est de l’Europe occidentale. De plus elle se trouve depuis l’Europe à l’Est, et depuis Israël également occupé, au Nord.
Le mystère facile à comprendre en notre époque concerne le pays qui provoque la colère du roi russe. Il est évident que seule l’Amérique peut frapper la Russie, l’Europe, son alliée, étant occupée et prête à être dévastée et détruite. La destruction de la Russie rendue inhabitable par un puissant bombardement nucléaire est la seule explication qui puisse justifier l’ampleur de l’action destructrice russe des pays européens : « il partira avec une grande fureur pour détruire et exterminer des multitudes ». Cette interprétation est encore confirmée dans le verset 45 où Dieu dit : « Il dressera les tentes de son palais entre les mers, vers la glorieuse et sainte montagne Puis il arrivera à la fin, sans que personne lui soit en aide. » Son palais national du Kremlin de Moscou n’est donc plus habitable.
Pour justifier l’imminente attaque de l’Europe par la Russie, nous devons trouver des causes graves qui existent actuellement. Et je retiens le fait que les banques européennes retiennent captif un capital d’argent russe énorme atteignant 200 milliards d’Euros. Or, en Europe, les plus irrités préconisent d’utiliser cet argent pour le donner à l’Ukraine. Jusqu’à ce jour, la crainte des conséquences commerciales qui retomberaient sur les banques européennes a empêché de prendre cette décision. Seuls les intérêts de ces dépôts russes sont confisqués pour aider l’Ukraine. Mais déjà, ce vol ne peut qu’irriter la Russie et la conduire à se rembourser en s’emparant de l’Europe et ses richesses. L’offre aux Ukrainiens de ce capital entier serait pour les Russes insupportable et motiverait de manière certaine leur agression contre l’Europe de l’U.E.
Irrités de plus en plus par le lâchage des USA, il est possible que la colère que l’ont dit « mauvaise conseillère » puisse conduire les Européens à commettre l’irréparable en commettant ce vol du capital entier déposé par les Russes, pour le donner à l’Ukraine. L’agression de l’Europe, par des Russes illégalement volés, serait ainsi clairement motivée et justifiée. Mais des actions imprévues soudaines peuvent encore justifier et provoquer cette attaque prophétisée par Dieu, donc inévitable.
Si la prophétie de la « sixième trompette » d’Apocalypse 9:13 relie la liberté d’action donnée par Dieu aux mauvais anges à la guerre menée contre l’Europe, il nous faut tenir compte que dans la réalité de la vie, les événements se construisent progressivement ; un fait en provoque un autre. Et depuis le 24 Février 2022, nous avons assisté et participé en tant qu’Européens à des escalades guerrières successives qui n’ont fait que rendre plus terrible la guerre de la Russie contre l’Ukraine. En s’élevant progressivement, ce niveau prend de plus en plus un aspect mondial qui va aboutir à l’attaque des Russes contre l’Europe. On peut donc considérer le fait que jusqu’à cette action terrible, la paix et le désir de paix auront retenu les forces armées européennes faibles et mal préparées pour ce scénario qui la conduit à affronter directement une attaque russe. C’est là toute l’ambigüité de la situation des Européens qui alimentent en armes un feu qu’ils aimeraient éteindre. Il est trop tard, pour revenir en arrière, l’engagement en faveur de l’Ukraine les a définitivement impliqués et culpabilisés dans la pensée des Russes. Aussi, la paix et le désir de paix vont ensemble disparaître et cesser comme disparaît un mirage. Dans le monde invisible qui nous entoure, des multitudes d’anges au service de Jésus-Christ construisent par leur influence sur les esprits humains les situations inextricables qui lient les humains et les contraignent à accomplir, malgré eux, les choses que Dieu veut obtenir.
Tout a commencé, historiquement par l’arrogance humaine de Rome qui a voulu imposé sur toute l’Europe et la gaule son joug impériale et sa « pax romana » soit, sa paix protégée offerte aux peuples soumis à son impérialisme. Et je dois dire, que dans l’actualité les actions de Donald Trump s’inspirent de cet exemple romain. Plus tard, c’est sous la forme du papisme que Rome a imposé sa paix religieuse n’hésitant pas à combattre cruellement ceux qui osaient contester son autorité exclusive. Pour favoriser la paix, en son temps, le roi Henri IV avait dit : « Paris vaut bien une messe ». Il abjura officiellement sa foi protestante et se convertit au catholicisme et il obtint ainsi des Parisiens, la possibilité de devenir le roi de France en épousant la princesse Marguerite catholique comme tous les Catherine de Médicis épousée par François 1er ; le premier persécuteur des protestants.
La paix religieuse a disparu à cause des « guerres de religions » et le catholicisme a réussi à s’imposer en France et dans tous les pays du Sud de l’Europe. Et dans ce chaos ingérable, la paix civile et la sécurité des populations ont disparu également. Dans les campagnes des provinces, des groupes de brigands tuaient pour les voler ou les rançonner les voyageurs et ils dévalisaient les paysans, volant leurs animaux et leurs produits cultivés pour se nourrir. Il en a toujours été ainsi et seul notre temps moderne compris entre 1945 et 2025 contraste avec cette norme d’insécurité séculaire.
C’est pourquoi, je crois que ce verset d’1 Tessaloniciens 5 :3 commence à s’accomplir avec le temps de la « sixième trompette » : « Quand les hommes diront : Paix et sûreté ! Alors une ruine soudaine les surprendra, comme les douleurs de l'enfantement surprennent la femme enceinte, et ils n'échapperont point. » De manière imparfaite, on peut dire que la paix et la sûreté ont été relativement obtenu parles habitants de l’Europe occidentale depuis 1945 jusqu’à notre temps actuel. Et je fais remarquer que la guerre actuelle de l’Ukraine trouve sa cause dans l’accueil des premiers pays de l’Est libérés par la chute de la Russie soviétique. C’est en effet, l’accueil dans l’U.E. de l’Allemagne de l’Est, de la Pologne et des pays Baltes qui a excité le désir des Ukrainiens de rejoindre à leur tour l’U.E. et l’OTAN ce qui a conduit les Ukrainiens à renverser par un putsch populaire le président russe établi légalement par le vote de ses habitants.
L’U.E. a aussi encouragé les révoltes des populations musulmanes arabes contre leurs présidents dictateurs. Elle a ainsi sacrifié la paix de ces populations pour obtenir la satisfaction de les voir adopter ses valeurs et son style de vie démocrate. Et dans toutes ces expériences, elle s’est fait des amis immédiats et des futurs ennemis. Car les ennemis se manifestent plus facilement quand la situation de leur adversaire devient défavorable pour lui. Et justement, cette haine musulmane va se traduire par des actions de pillage dans « l’Egypte » occupée par la Russie, selon Daniel 11:43 : « Il se rendra maître des trésors d'or et d'argent, et de toutes les choses précieuses de l'Égypte ; les Libyens et les Éthiopiens seront à sa suite. » Le pays nommé « Egypte » est clairement concernée, mais subtilement, Paris reçoit de Dieu le nom symbolique « Egypte », dans Apocalypse 11:8. Ainsi, en plus du pays nommé « Egypte », ce nom peut désigner symboliquement le camp du péché représenté dans Daniel 11:40 à 45, par l’Europe occidentale, l’U.E. des traités de Rome dont les pays du Sud où se trouve Paris sont particulièrement peuplés de Musulmans haineux prêts à piller les pays occupés par la Russie, comme la véritable « Egypte ». Car les noms « Lybiens et Ethiopiens » désignent plus que ces pays qui sont les sources historiques originaires des habitants maghrébins et des Noirs des peuples africains. Et je le rappelle, le pillage de l’Egypte par les Maghrébins et les Noirs africains place cette Egypte dans le camp occidental qu’elle n’a rejoint que par l’alliance passée avec Israël, sous contrôle américain, à camp David, en 1979.
M53- Les fourberies occidentales
Dans une atmosphère mielleuse et trompeuse, les événements se succèdent sur la terre en cette seconde partie du mois d’Août 2025.
Le 15 Août Vladimir Poutine a rencontré Donald Trump en Alaska. Les deux hommes se sont bien entendus et apparemment apprécié, selon les images de leur rencontre. Mais cette impression est trompeuse, car cette apparente entente cache de grosses déceptions ressenties par Donald Trump que la résistance du Russe commence à exaspérer, a-t-on appris par une confidence. Et là pour mieux comprendre comment il réagit, il nous faut regarder Donald Trump comme un enfant capricieux, « un gosse de riche » habitué à obtenir ce qu’il désire. Et son grand âge n’y change rien ; un tel homme reste comme il a toujours été. Il a deux points de faiblesse qui sont : l’orgueil et la cupidité ; deux tares qui en font un homme très vulnérable et très manipulable, lui qui est aussi, très manipulateur. Et notre actualité nous permet d’en avoir la preuve. Je ne peux affirmer s’il est cupide ou si son désir d’argent n’est que pour son pays, lourdement endetté et en perte d’influence mondiale. Etant déjà lui-même très riche, je pense qu’il agit ainsi, principalement, pour sa nation.
Voyant le lien qui se formait entre Trump et Poutine, 7 représentants des directions européennes ont décidé d’accompagner Volodymyr Zelensky à la Maison-Blanche où le président américain l’avait convoqué pour le lundi 18 Août. En fin de soirée, tout le monde se félicitait de cette rencontre disant que c’était un grand succès. Et à en juger, par la satisfaction de Donald Trump, c’était vraiment ce qu’il pensait. Mais il y a une explication qui justifie sa bonne humeur dans toute cette rencontre. En voici la cause :
Tout repose sur l’ordre chronologique des rencontres effectuées au cours de cette journée du Lundi 18. Vers 18 heures, en premier et seul, Zelensky a rencontré Donald Trump et il ne lui a pas caché son impossibilité d’accepter de renoncer à la zone de Donetsk que les armées ukrainiennes contrôlent et défendent ; c’est une condition imposée par la Russie. Mais dans le prolongement de la discussion, Zelensky a dit à Trump qu’un marché de 90 milliards de Dollars serait obtenu par lui pour équiper en armes, munitions, tout matériel de défenses et d’attaques son pays l’Ukraine. Zelensky a vendu à Trump 90 milliards que paieraient les Européens ses alliés. Ce sont donc ces 90 milliards de Dollars qui ont mis en joie, notre Donald Trump qui les voit déjà entrer dans son trésor national américain. A partir de ce moment, la rencontre général ne pouvait que se dérouler sous les meilleurs hospices. Car ce n’est qu’après cette rencontre, que Donald Trump a reçu les émissaires européens ; il ne voyait pas des êtres humains mais les milliards de dollars que chacune des sept êtes présentes représentait. Et là, la Maison-Blanche est devenue la galerie des glaces de Versailles et Donald Trump, un Louis XIV dans un jour de bonne humeur. Chacun des courtisans en présence s’est vu gratifié d’un petit compliment flatteur, et notre président Macron a tellement été étonné de celui qui l’a concerné qu’il n’a pas pu s’empêcher de dire, je cite : « ce n’est pas souvent que ça m’arrive ». Donald Trump a rappelé que la première rencontre présidentielle de son premier mandat fut avec Macron qu’il a apprécié et a tout de suite « aimé ». On comprend la réaction de Macron plutôt mal aimé en France, dans son pays. Zelensky a si bien préparé le terrain, que le refus de l’Ukraine de céder des terres n’a même pas été évoqué, car pour leur part, les Européens n’ont fait que demander à Trump d’établir avec eux des conditions de garanties de sécurité pour l’Ukraine mises en place après que la paix avec la Russie soit instaurée.
L’affection que Mr Trump éprouve envers Emmanuel Macron a une explication biblique. Déjà, je le rappelle, dès son élection pour son premier mandat, Mr Trump a été invité en hôte d’honneur par Mr Macron pour partager notre fête nationale du 14 Juillet. Et le défilé militaire l’a tellement séduit qu’il a instauré une fête nationale du même type aux USA, mais sur le jour de son anniversaire. Macron lui a déroulé le tapis rouge et l’a suprêmement honoré, ce qui ne pouvait que lui plaire. Mais la raison principale de leur bon entente est que Macron maîtrise parfaitement la langue anglaise et américaine, et que ce type de partage favorise énormément le lien qui s’est construit entre les deux hommes ; lesquels sont faits pour s’entendre, étant aussi vaniteux et cyniques l’un que l’autre. Ce sujet de la langue parlée est la clé qui justifie la séparation des peuples par Dieu depuis Babel. Et c’est dans ce but que Jésus-Christ dit dans Apocalypse 10:11 : « Puis on me dit : Il faut que tu prophétises de nouveau sur beaucoup de peuples, de nations, de langues, et de rois ». Cette description est celle du monde occidental infidèlement chrétien, en effet, séparé par les barrières des « langues ». Ce qui justifie également ce que dit Daniel 2:43 : « Tu as vu le fer mêlé avec l'argile, parce qu'ils se mêleront par des alliances humaines ; mais ils ne seront point unis l'un à l'autre, de même que le fer ne s'allie point avec l'argile. » Les deux matériaux concernent, pour « le fer », Rome, et pour « l’argile », la religion protestante désignée sous le nom « terre » dans Apocalypse 10:2 : « Il tenait dans sa main un petit livre ouvert. Il posa son pied droit sur la mer, et son pied gauche sur la terre ; » L’ordre de la présentation respecte la chronologie historique du catholicisme et du protestantisme. Cependant le « pied gauche » posé sur « la terre » souligne la culpabilité supérieure du protestantisme qui, ayant eu et ayant encore libre accès à la sainte Bible, ne bénéficie d’aucune circonstance atténuante; 12:12 : « C'est pourquoi réjouissez-vous, cieux, et vous qui habitez dans les cieux. Malheur à la terre et à la mer ! Car le diable est descendu vers vous, animé d'une grande colère, sachant qu'il a peu de temps. » 13:11 : après l’évocation de « la bête qui monte de la mer » du verset 1, le verset 11 nous dit : « Puis je vis monter de la terre une autre bête, qui avait deux cornes semblables à celles d'un agneau, et qui parlait comme un dragon. » L’association de « l’agneau et du dragon » est analogue à celle de « l’argile et du fer » « des pieds et des 10 orteils de la statue » de Daniel 2.
Avec sa subtilité divine, Jésus-Christ souligne donc le rôle séparateur des « langues » parlées qui divisent les peuples occidentaux et les empêchent de réaliser une authentique union. Or, ce qui n’est pas authentique est une fourberie funeste pour les derniers jours dans lesquels nous sommes entrés.
Interrogé après la rencontre par des journalistes, Macron a confirmé le fait que pendant tous leurs échanges, la question des 90 milliards de Dollars n’avait pas été évoquée, ni abordée. Zelensky s’est donc fait de Trump un ami en l’achetant avec l’argent des Européens ; et là, je pense à plusieurs volatiles, tels que le corbeau victime de la flatterie du renard ou les pigeons, voyageurs comme nos émissaires européens. Les multiples remerciements adressés par tous à Trump ne pouvaient que satisfaire son orgueil, et la perspective de vendre aux Européens des équipements militaires pour des milliards de Dollars a rassasié son besoin financier pour satisfaire ses électeurs. Ainsi, totalement satisfait par cette rencontre dite « historique », que je dirai plutôt « hystérique » par son aspect répugnant de fausseté, Trump a retenu ses hôtes pour un repas pris en commun à la Maison-Blanche.
Voilà donc comment 90 milliards de Dollars ont réussi à faire oublier les idées principales du conflit engagé entre l’Ukraine et la Russie.
Détail important, pendant leurs échanges, les Européens étant isolés avec Trump pour débattre avec lui, Trump a appelé Poutine au téléphone. L’échange a duré 40 minutes ; c’est très long et fatiguant pour deux hommes âgés ; les risques de fausses interprétations des mots existent. Et il semble que dans son euphorie, Trump confonde ce qu’il souhaite obtenir avec la réalité. Très fier et heureux, il a annoncé à ses visiteurs que Poutine était d’accord pour une rencontre bilatérale entre lui et Zelensky dans les quinze jours, dans l’attente d’une rencontre trilatérale avec lui, Donald Trump. Mais ce qu’il n’a pas dit ou pas compris a été précisé ce matin du mardi 19 par Mr Lavrov le ministre des affaires étrangères russes. Il reconnait la proposition russe d’élever dans une rencontre le niveau des représentations officielles russes et ukrainiennes, dans le but de préparer des rencontres directes bilatérales des chefs d’Etat. Il semble donc que notre Trump ait tendance à prendre ses rêves pour des réalités tant est fort et grand son optimisme …et son désir d’obtenir le prix Nobel de la paix ; ce qui explique son désir d’accélérer les négociations.
Quel est donc le bilan de ces rencontres successives ? Les Européens ont réussi à faire apprécier Zelensky par Trump, mais au prix de milliards d’Euros et Dollars qu’ils devront lui payer. Pour autant, Trump ne s’engage toujours pas à soutenir militairement la guerre européenne. Le quiproquo concernant la rencontre bilatérale apparaîtra bientôt dans les quinze jours du délai évoqué par Trump. Et jusque-là, la Russie va poursuivre ses attaques au Donbass et dans toutes les provinces de l’Est partiellement reconquises.
Notre jeune président français blanchit sous le harnais présidentiel, et il est maintenant très conscient du risque de voir la Russie attaquer un pays de l’Otan et de l’U.E., sans exclure ce risque pour la France. Ses efforts constants et publics en vue de former une armée européenne avec des pays volontaires sont connus des Russes qui font maintenant de la France la cible principale de leur colère vengeresse. Mr Macron est un homme de principe qui se retrouve plongé dans un monde de brutes. Je l’ai déjà dit, mais c’est déjà cette loi du plus fort qui a permis à l’Europe d’attirer à elle beaucoup de pays qui voulaient bénéficier de sa réussite économique. Et l’U.E. et la France n’ont été fortes et redoutées qu’en bénéficiant de l’aide armée américaine. Et sans cette aide, elles ne sont que le résultat de l’union de leur faiblesse individuelle ; une union qui n’existe que pour une cause économique commerciale déjà faussée. Car chaque pays membres choisit la valeur des impôts imposés aux entreprises commerciales qui s’installent chez lui, sur son sol national. Et celles-ci se sont massivement implantées en Irlande où les taxes sont les plus faibles, presque inexistantes. L’Irlande a remplacé dans ce rôle attractif, le Portugal, le pays le plus pauvre du marché commun européen originel choisi pour ce faire, par la Commission européenne de l’époque.
Les échanges et les pourparlers internationaux sont tous animés par la même fourberie diplomatique. Dans ce grand ensemble dans lequel des peuples ont été réunis pour le pire, nous retrouvons tous les ennemis de Jésus-Christ et ils le prouvent, parce que soumis aux malheurs qu’il leur impose, aucun d’eux ne regarde à lui, pour témoigner qu’il identifie ses malédictions. Pour la civilisation européenne actuelle, Dieu n’existe pas ou il n’existe que le dimanche pour quelques rares croyants héritiers d’une tradition religieuse séculaire. Ils sont tous transformés par cette technologie qui a changé leur vie et leurs habitudes. Comme si la transformation des matières naturelles rendait l’existence de Dieu impossible. La France, pays où je vis, a été le premier pays qui a adopté l’athéisme en forme nationale, et cet héritage transparaît dans son comportement actuel. Et les fruits qui s’y développent et l’envahissent sont, des meurtres, des vols, des viols, toutes sortes de violences produites par la méchanceté humaine. Les esprits humains y deviennent anarchistes, car ils ne supportent plus les limites que les règles démocratiques leur imposent. La loi de la majorité est insupportée par des minorités qui préfèrent user de la violence pour imposer leur loi. Et il est vrai que les démocraties ne fonctionnent sans trop de problème que si les citoyens acceptent de se conformer à ses règles. Or, le propre d’un esprit rebelle est de s’opposer aux règles et aux lois qu’on lui impose. Quand l’être humain agit en rebelle envers Dieu, il est prêt à le faire également envers l’ordre imposé par son pays. Et la pauvreté qui le gagne rend ce pays encore plus victime du mécontentement, de la jalousie, de l’envie et de la haine, qui conduisent à la violence. La fourberie n’est que l’un des comportements produit par l’être humain séparé de Dieu. Et pour de tels gens, tromper son prochain n’est que le moyen de survivre dans une jungle humaine impitoyable. Les riches bien-nantis s’inquiètent-ils des besoins des pauvres ? Nullement, les lois les couvrent et protègent leur individualisme égoïste.
Dans ce tableau horrible, je n’exagère pas les choses. Il est vrai, que chacun de nous entre dans sa villa, son appartement, ou sa caravane, en vivant seul ses problèmes à l’abri des autres. Mais je pense à ce Dieu créateur qui voit toute chose car son regard perce les toits, les murs, les chairs humaines et sonde l’esprit humain ; 8 milliards d’êtres humains sont ainsi sondés par lui et que voit-il ? L’horreur, l’abominable, tout ce qui lui déplait et qu’il condamne. Il enregistre dans sa divine mémoire illimitée, chaque mensonge, chaque parole ou acte de méchanceté venant de tout humain sur la terre.
Pour bien comprendre le sens des choses qu’il va mettre en œuvres, nous devons regarder l’humanité de notre temps comme ayant atteint le niveau de corruption de l’humanité du temps de Noé. Ne nous laissons pas tromper par les différences de niveau des technologies développées dans ces deux époques différentes. La technologie ne devrait pas causer l’incroyance en Dieu. Je l’utilise beaucoup personnellement et je ne vois en elle qu’un développement de connaissances techniques qui n’explique en rien, la raison de notre existence. En toute époque, quel que soit le niveau scientifique, l’existence de l’homme n’a pour explication que celle que Dieu a révélée dans sa sainte Bible. Aussi, vais-je renverser la célèbre expression « je pense donc je suis » et la changer par « je pense donc Dieu est ».
La méchanceté et la fourberie n’ont pas encore atteint le sommet qu’elles peuvent atteindre. Il y a encore sur la terre et partout, des gens simples qui vivent sans Dieu ou croient vivre avec Dieu, mais ne sont pas reçus par lui ; des gens qui ne sont pas méchants, mais qui ne veulent à aucun prix remettre leur situation actuelle en cause. L’incrédule se dit bien comme il est, et comme l’adventisme infidèle « vomi » par Jésus-Christ, des foules de gens religieux refusent de changer leur conception religieuse jugeant qu’ils n’ont « besoin de rien ». Jésus a prophétisé dans Matthieu 8:11-12 le comportement des êtres humains soumis au « feu de la seconde mort » et que dit-il ? « Or, je vous déclare que plusieurs viendront de l'orient et de l'occident, et seront à table avec Abraham, Isaac et Jacob, dans le royaume des cieux. Mais les fils du royaume seront jetés dans les ténèbres du dehors, où il y aura des pleurs et des grincements de dents. » Qui sont ces « fils du royaume » ? Les Juifs, les héritiers naturels de la religion du Dieu vivant, dépositaires de ses oracles. Jésus prophétise leur déchéance et leur condamnation causées par leur manque de foi, parce qu’ils ne reconnaissent pas en lui, leur Messie annoncé par leurs Ecritures saintes. Au début du verset, Jésus prophétise la conversion des païens, dont le centenier romain qui se présente à lui, animé d’une grande foi, est l’image prophétique. Mais la leçon dans laquelle Jésus prend pour exemple les Juifs vaut autant pour les païens convertis appelés « chrétiens ». Car Dieu condamne le manque de foi dans ses deux alliances successives. L’expression « des pleurs et des grincements de dents » prophétise deux sortes de caractères opposés d’êtres humains livrés au « feu de la seconde mort », les doux, les pacifiques, et les durs, les méchants et les violents. Le comportement pacifique d’une créature humaine ne compense pas le tort que son incrédulité fait subir à Dieu. Et beaucoup de gens se trompent dans leur jugement sur eux-mêmes. Car ils pensent qu’étant pacifiques, Dieu ne peut que les reconnaître. « Les pleurs » prophétisés par Jésus prouvent le contraire.
La nature perverse de l’humanité transparaît dans l’expression théâtrale de sa culture reconnue au titre d’art. Dans sa pièce intitulée les fourberies de Scapin, l’auteur comédien Molière a exploité le comportement fourbe pour faire rire ses spectateurs. La fourberie est-elle un sujet qui prête à rire ? Oui, dans l’humanité dont les valeurs sont perverties. La fourberie est sœur du mensonge ; et les deux causent le malheur et la souffrance de ceux et celles qui en sont victimes. Quelque part, le théâtre et son divertissement prolongent les spectacles offerts par Néron dans ces arènes sanglantes. Le niveau des deux n’est pas égal, mais la motivation des deux est la même : offrir à l’homme des sensations agréables par des scènes et des actions condamnées par Dieu, parce qu’elles sont opposées à ses valeurs. Dieu exalte la droiture, la franchise, l’honnêteté, l’obéissance, la bonté, la serviabilité. Molière, le théâtre, le cinéma, la télévision exaltent-ils ces valeurs appréciées par Dieu ? Aucunement, ils exaltent, la tromperie, la ruse, l’infidélité, l’injustice, les adultères, la cruauté, la violence ; tout ce que l’humanité produit naturellement. Et je dois reconnaître que j’ai moi-même aimé suivre les films policiers qui n’existent qu’en raison du besoin de retrouver les responsables des crimes, des meurtres, des assassinats. Toutefois, je ne m’intéresse qu’à la recherche de la solution, comme je le fais pour les prophéties divines bibliques. Et je réalise que par cette accoutumance régulière, l’homme s’habitue à ces horribles choses qui prennent peu à peu une sorte de normalité dans notre esprit vulnérable qui absorbe tout facilement comme une éponge.
La télévision est un instrument redoutable que le diable utilise pour faire accepter la dégradation des mœurs. Depuis la légalisation du mariage des hommes et des femmes homosexuels, j’ai relevé dans le scénario de simples films policiers télévisés que des officiers de police étaient eux-mêmes, homme et femme homosexuels. Cette démarche favorise le changement des jugements humains sur ce sujet que Dieu condamne au titre de mortelle « abomination ».
L’Occident n’a pas le monopole de la fourberie qui est une chose universelle, mais celle de l’Occident prend pour toute la terre une importance majeure parce que c’est sur l’Occident que le nom de Jésus s’est répandu, attirant ainsi sur lui, par son infidélité, son attention particulière et les fruits de sa colère. Pour bien comprendre ce principe, nous avons l’exemple de la terre d’Israël, l’ancienne Canaan devenue la terre du peuple témoin de Dieu, les Juifs, dont l’incrédulité a conduit Dieu à les chasser de leur sol national et à faire de la terre sainte un désert peuplé par des arabes nomades pendant des siècles, jusqu’en 1948.
Et à son tour, après Israël, l’Occident est devenu la terre sainte où la foi en Jésus-Christ a été manifestée de manières déformées au point d’être frappée par la colère de Dieu par les châtiments successifs de ses « sept trompettes » les cinq premières étant accomplies, « la sixième » vient et la « septième » suivra le retour glorieux de Jésus-Christ au printemps 2030.
La fourberie politicienne occidentale n’est que le fruit de la grande fourberie religieuse représentée par l’église catholique romaine papale. Quand l’impie rebelle devient chef de l’église du Christ, le comble est atteint, on ne peut faire mieux dans le genre. Car à travers son pape, c’est Satan qui trône en maître sur le siège du Vatican. Où trouver un meilleur exemple de situation fourbe ?
Mais la fourberie est évoquée par Dieu qui la décrit en ces termes dans Esaïe 5:20 : « Malheur à ceux qui appellent le mal bien, et le bien mal, qui changent les ténèbres en lumière, et la lumière en ténèbres, qui changent l'amertume en douceur, et la douceur en amertume ! » Ce comportement est celui des gens fourbes qui changent le jugement naturel et divin des choses. Il est des gens qui vivent leur vie réelle comme un jeu virtuel, en sous-estimant la vraie valeur de leurs actions. Ils traversent la vie comme le papillon éphémère et ne sont pas conscients que leur destin final est en jeu.
La main invisible de Dieu dirige les êtres humains vers un camp dans lequel ils retrouvent ceux qui leur ressemblent. Ceci est vrai pour son camp et pour celui du diable, puisque ce sont là, les deux seuls chemins que Dieu place devant le choix humain. Il est intéressant de relever que par ce principe, Dieu révèle son jugement. Dans l’Eden, « deux arbres » marquaient ces deux chemins opposés par « l’arbre de la vie et l’arbre de la connaissance du bien et du mal ». Depuis 1843-1844, le camp de Dieu de « l’arbre de la vie » s’identifie au respect du « sabbat du septième jour » et depuis 1994, à la connaissance du décryptage intégral « des prophéties » de « Daniel et Apocalypse ». Avec le respect du « sabbat », Dieu ajoute le « témoignage de Jésus » qui « est l’esprit de la prophétie », selon Apocalypse 19:10. Le sabbat est inséparable de la prophétie, puisqu’il prophétise lui-même le septième millénaire au début duquel Jésus-Christ va revenir glorieux et triomphant dans sa puissance divine.
« L’arbre de la connaissance et du mal » de l’Eden a lui-aussi aujourd’hui, un signe d’appartenance à son camp diabolique, le repos du « premier jour » instauré et imposé par l’empereur romain païen Constantin 1er le grand ; ceci par un décret signé et daté, le 7 Mars 321. Et ce qui rend ce premier jour encore plus détestable pour Dieu, c’est qu’en ce jour, Constantin et d’autres Romains païens adoraient le dieu solaire, « le Soleil invaincu ». Le jugement de Dieu apparaît ainsi lumineux de clarté, simple à comprendre, donc mis à portée des plus humbles créatures de la terre. Sa révélation prend ainsi l’aspect inverse de la fourberie qu’il condamne à juste titre. Le dimanche est le fruit de la fourberie religieuse absolue. Il joue le rôle du jour de repos agréable à Dieu, et ne l’est pas, puisque Dieu lui décerne pour le désigner, le terme « marque », comme celle que les animaux reçoivent au fer rouge sur leur pelage par les fermiers éleveurs. Dans la monarchie, les condamnés à mort recevaient de cette manière, « la marque de la flétrissure » qui était une fleur de lys, l’emblème de la royauté française. Et à l’inverse, en signe de sa sanctification personnelle, Dieu donne à son sabbat du septième jour, le symbole glorieux de son « sceau » royal.
Au fil du temps, le jugement de Dieu change sur des dates prophétisées dans la sainte Bible dans les prophéties de Daniel et Apocalypse. Cette base de vérité est donc indiscutable et condamne à juste raison, ceux qui contestent cette autorité prophétique biblique. Les dates ainsi construites marquent les étapes de la croissance de la vérité révélée par Dieu à ses rachetés en Christ, ses bien-aimés élus. Il ne fait partager sa lumière qu’à ceux qui l’aiment, et la recherchent avec passion et patience. Dans sa moisson, Dieu ne retient que le bon blé pour lui ; il laisse les mauvais grains et l’ivraie aux soins du diable et des autres démons célestes.
La fourberie est entrée dans l’humanité en même temps que le péché, puisque c’est en se montrant fourbe et séducteur, que Satan a gagné, pour sa perte, la confiance de la malheureuse Eve séduite et convaincue par l’aspect et les arguments qui sortaient de la bouche du serpent. Si nos pensées restent cachées pour nos semblables humains, il n’en est pas de même pour Dieu qui nous sonde, et nous analyse. Mais cet isolement de chaque individu favorise la fourberie. Une personne crédule et naturellement confiante est une victime idéale pour les gens fourbes, séducteurs et trompeurs dont en premier, le diable et ses suppôts.
Le jeu de dupe animé par Dieu va donc se poursuivre avec ses alternances de faux espoirs et ses échecs successifs, jusqu’à l’heure du drame prophétisé.
Les accords des fourbes
Se faisant la guerre entre eux, les Européens ont adopté des règles signées et acceptées au nom des accords de Genève. Selon ces accords, les populations civiles ne doivent pas être tuées dans ces combats. Les femmes et les enfants doivent aussi être protégés, prioritairement. Ces accords peuvent se comprendre en raison du partage religieux du catholicisme dominateur, la religion protestante ne concernant que l’Allemagne, et l’Angleterre, plus précisément dite « anglicane ». Les autres pays protestants sont des monarchies situées au Nord de l’Europe. Mais depuis le Concordat instauré par Napoléon 1er, les relations entre les Catholiques et les Protestants sont apaisées et même, très hypocritement, les deux religions ennemies sont liées par l’alliance dite « œcuménique » grâce à laquelle le catholicisme papal romain a retrouvé une trompeuse légitimité. Les accords de Genève n’ont été reconnus que par les peuples occidentaux et certains peuples qui dépendaient d’eux en Afrique et au Moyen-Orient. Mais l’Occident étant dominateur sur tous les autres pays de la terre, ces valeurs occidentales ont prévalu jusqu’à notre époque. La victoire américaine dans la Deuxième Guerre Mondiale a donné à l’Occident l’occasion d’imposer ses valeurs aux colonies anglaises, françaises, et belges, principalement. Mais, séparé par un rideau de fer mental et rendu concret par des frontières très contrôlées, la Russie soviétique était l’autre vainqueur, arrivé en premier à Berlin pour vaincre les nazis allemands. L’Occident et l’Est ont vécu ainsi dans un équilibre basé sur les menaces réciproques des deux camps. Et les deux se sont combattus à travers des intermédiaires favorables à l’une des deux idéologies représentées par ces deux camps : le capitalisme libéral et le socialisme communiste.
Dans les années 90, le communisme s’est effondré livrant la Russie à un terrible chaos politique. Ce fait est fondamental pour comprendre le changement du comportement des Européens depuis cet événement. L’équilibre gardé jusque là était rompu. En l’absence d’un ennemi redoutable, les Européens se sont sentis devenir les ma îtres du monde, étant alliés avec les puissants USA. C’est en France qu’est apparu le droit d’ingérence humanitaire qui n’était que le fruit du changement de l’état d’esprit des Européens. Avec les USA, les Européens sont donc intervenus dans des problèmes étrangers pour y imposer leurs valeurs et leurs droits. Beaucoup de gens ont alors méprisé la Russie, incapable d’aider son alliée la Serbie dans les guerres de Bosnie et du Kosovo. Les Occidentaux ont à l’époque humilié la Serbie en arrêtant son chef Slobodan Milosevic, en le traduisant devant les juges du tribunal de La Haye considéré abusivement comme tribunal international, alors qu’il n’est qu’Européen. La Serbie s’est vu imposer l’enlèvement de son territoire du Kosovo injustement donné à l’immigration albanaise. Ainsi soutenu par les USA, les Européens ont vraiment cru être les maîtres du monde et ils sont restés dans cet état d’esprit lorsque la Russie est entrée en guerre contre l’Ukraine, parce que le président du moment, Joe Biden, était encore favorable envers eux. Ils ont ignoré que Dieu leur a préparé un piège : le piège Donald Trump. A son sujet, je viens de relever chez lui un témoignage de grande humilité. Présentant en public une photo envoyée par Mr Poutine sur laquelle ils paraissent tous les deux, il ne tarit pas d’éloge sur Vladimir Poutine qu’il trouve bien alors qu’en ce qui le concerne, il dit que ce n’est pas terrible. Ce détail peut paraître insignifiant, mais il a une réelle valeur car il permet de mieux définir le caractère de cet homme déconcertant tant on relève chez lui de nombreux paradoxes. Très riche, et ayant exercé une activité professionnelle dans la télévision, il est parfaitement à l’aise en public, comme en privé. C’est un des rares hommes politiques actuels qui peut afficher sa véritable nature, car il ne joue pas un autre rôle que le sien. Il est transparent et ne masque ni ses intentions, ni ses doutes. C’est en cela, qu’il contraste avec ses collègues politiciens actuels américains ou européens, tous plus ou moins fourbes. De même que l’aiguille aimantée pointe systématiquement vers le Nord, chez lui, revient automatiquement son désir de paix qu’il voudrait imposer sur toute la terre. Et cette pensée serait louable, si au même moment, Dieu, ne voulait pas, lui, la guerre et des multitudes de morts. C’est là, tout le problème de l’humanisme séparé du Dieu vivant. Pour ce type de chrétien superficiel, Dieu ne peut que désirer la paix puisqu’il est le bon Dieu. Il oublie ou ignore que Dieu proclame et prouve son amour, sa compassion mais qu’il ne tient pas le coupable pour innocent au nom de la vraie justice. C’est cet aspect justice que seuls ses élus évaluent à sa juste valeur, parce qu’ils lisent la sainte Bible entière du début à sa fin soit, comme le suggère Jésus dans Apocalypse 1:8, de A à Z, et en grec, de « l’alpha à l’oméga » : « Je suis l'alpha et l'oméga, dit le Seigneur Dieu, celui qui est, qui était, et qui vient, le Tout Puissant. »
Depuis le début de la guerre de l’Ukraine, alors qu’il n’était pas encore élu pour son second mandat, Donald Trump n’a fait que dire que cette guerre n’était pas sa guerre et il continue à le proclamer à tous. Aussi, soyons certains que ce ne sera pas sa guerre et qu’il abandonnera sous peu les Européens à leur triste sort. Ceci, parce que Dieu en Jésus-Christ le veut ainsi.
L’impréparation des Européens pour la guerre n’est pas due au hasard. Et il est évident que cette situation a été dirigée par Dieu afin de livrer ses ennemis, les « dix cornes » de Daniel 7 et Apocalypse 13 à la fureur russe. Sur la chaîne info télévisée que je suis régulièrement, tous les jours depuis le début de la guerre de l’Ukraine, des journalistes et des consultants de l’armée française et de l’Ukraine commentent ce sujet brûlant. Le retrait américain les rend aujourd’hui très perplexes, car ils n’avaient jamais imaginé un tel scénario. Seul, Jean de La Fontaine l’avait prévu dans sa fable de « la cigale et la fourmi ». A l’heure où l’armée russe reprend l’offensive contre les Ukrainiens, l’impréparation européenne apparaît dans toute son ampleur : Dans le meilleur des cas, le réarmement prendrait des années et énormément d’argent que l’urgence va donner à Mr Trump pour acheter ses armes afin de les donner à l’Ukraine ; c’est en tous cas, le projet actuel. Mais, qui leur dit que Mr Poutine va attendre des années pour les attaquer ? Il faudrait qu’il soit bien sot, pour agir ainsi. Ainsi, après avoir lavé les cerveaux de nos journalistes français pendant trois ans, les consultantes ukrainiennes répètent et cette fois avec raison, que Mr Poutine ne se contentera pas de prendre l’Ukraine mais qu’il vise toute l’U.E. et prioritairement, les pays-Baltes. Or, je le rappelle, il n’en était pas ainsi en Février 2022. L’U.E. achetait le gaz russe et la Russie était satisfaite de cette relation commerciale. Elle n’avait alors aucune animosité envers l’U.E. Mais en venant à l’aide de l’Ukraine de jour en jour et d’année en année, la relation entre la Russie et l’U.E. est passée de la nature commerciale à la nature vindicative, jusqu’à la haine absolue. Et je constate l’aveuglement des occidentaux qui donnent encore valeur à leur conception occidentale des règles de la guerre ; notamment, au sujet de la cobelligérance. Car l’arme fournie par l’Occident tue le soldat russe autant que le soldat ukrainien qui, sans arme, ne tue personne. La situation est comparable à celui qui paie un tueur et que la loi tient pour autant responsable que le tueur, lui-même. Pourquoi Mr Poutine devrait-il raisonner comme les gens de l’U.E. qui s’auto-justifient et se dédouanent en se prétendant non cobelligérants, tout en donnant armes et argent à l’Ukraine ? Son raisonnement est simple et beaucoup plus logique : celui qui arme le bras de l’Ukraine est son ennemi, la cible de sa vengeance programmée et prophétisée par Dieu de plusieurs manières dans les prophéties de sa sainte Bible.
M54- Les dates historiques
Dès l’école primaire, comme tous les enfants, j’ai dû apprendre par cœur les dates des grands événements de l’histoire de France. Et certaines me restent encore en mémoire. Grâce à ces dates, j’ai retenu, dans ma mémoire, le développement chronologique de l’histoire de mon pays. Et en cela, l’utilité des dates est évidente et confirmée.
En construisant ses prophéties, Dieu a annoncé des événements accomplis en grande partie dans l’histoire du christianisme, dans notre Europe occidentale. Déjà, donner une date à un événement permet de le confirmer comme une réalité accomplie dans la vie humaine. C’est pourquoi, les révélations prophétisées par Dieu reposent toutes sur des dates qui authentifient leur réalité historique. Dans cette démarche, la foi devient concrète, puisqu’elle s’appuie sur des dates de l’histoire vécue ou de celle qui reste à vivre. Les révélations prophétiques prennent ainsi le rôle d’une nourriture spirituelle qui va faire croître notre foi. Deux mots justifient la foi : le témoignage et l’affirmation. C’est sur cette base que la foi basique se construit. Croire à l’existence historique de Jésus-Christ exige un minimum de confiance dans le témoignage de notre et nos prochains. Celui qui doute, est en droit de douter autant de l’existence de Jésus-Christ que de celle des divers rois de France qui se sont succédé sur le trône. Car nous ne pouvons contrôler et prouver l’existence, ni de l’un ni des autres. Seuls des écrits laissés par des témoins ou des chercheurs attestent de ces existences qui prennent alors la force d’une réalité que nous prenons en compte par la confiance qui devient en religion, la foi.
Dans notre attitude, nous pouvons nous contenter de reconnaître l’existence des personnages historiques, mais il est aussi possible d’étudier leur vie, en nous investissant dans des études plus approfondies. Et ceux qui agissent ainsi témoignent du grand intérêt qu’ils donnent au sujet étudié.
Il est évident que Dieu, notre Créateur et à ce titre notre Père céleste, exige de ses élus qu’ils prouvent en œuvres leur intérêt pour lui. C’est à cette fin, qu’il présente dans sa sainte Bible, à côté des ordonnances et des témoignages historiques, des textes prophétiques dans lesquels il annonce, par ses prophètes, l’avenir, le destin qu’il a préparé pour l’humanité entière.
Des prophètes ont ainsi été inspirés par Dieu pour dire et laisser en écrits des choses qu’ils ne comprenaient pas. Et à mon tour, en prophète choisi par Dieu, je viens éclairer ces choses sans en annoncer des nouvelles. Mes travaux spirituels traitent du réel accompli ou restant à accomplir. Mon activité consiste à décrypter des messages prophétisés dans la sainte Bible par des images et des symboles dont les clés d’interprétations sont et doivent être trouvées uniquement dans la sainte Bible, elle-même ; selon qu’il est écrit dans 2 Pierre 1:20-21 : « sachant tout d'abord vous-mêmes qu'aucune prophétie de l'Écriture ne peut être un objet d'interprétation particulière, car ce n'est pas par une volonté d'homme qu'une prophétie a jamais été apportée, mais c'est poussés par le Saint Esprit que des hommes ont parlé de la part de Dieu. »
Et pour te convaincre de l’importance que Dieu donne à ses révélations prophétiques il a inspiré aussi le verset précédent, le verset 19 dans lequel il nous dit par la main et l’esprit inspiré de l’apôtre Pierre : « Et nous tenons pour d'autant plus certaine la parole prophétique, à laquelle vous faites bien de prêter attention, comme à une lampe qui brille dans un lieu obscur, jusqu'à ce que le jour vienne à paraître et que l'étoile du matin se lève dans vos cœurs ; » Une telle déclaration ne laisse après elle que deux possibilités : l’obéissance et la désobéissance avec leurs conséquences respectives.
Jusqu’à moi, beaucoup de chercheurs bibliques ont présenté des études sur Daniel ou Apocalypse et parfois, les deux, mais aucun d’eux n’a présenté ces sujets avec le souci de la parfaite cohérence et de la rigueur de la méthode, et d’une manière aussi complète, que ce que Dieu m’a fait réaliser. J’ai eu le privilège de comprendre le livre de Daniel en entier, dont le chapitre 12, resté ignoré par les théologiens de l’adventisme du septième jour officiel institutionnel victimes des interprétations héritées de ses pionniers. Ce chapitre 12 m’était destiné, car son message confirmait la bénédiction originelle de cet adventisme du septième jour et son décryptage n’a été permis par Dieu qu’à l’heure de sa déchéance qui venait en 1994. Pendant 150 années cette prophétie est restée secrète et scellée pour l’église que Jésus-Christ a « vomie » à la fin de cette durée prophétisée sous la forme de « cinq mois » dans Apocalypse 9:5-10 : « Il leur fut donné, non de les tuer, mais de les tourmenter pendant cinq mois ; et le tourment qu'elles causaient était comme le tourment que cause le scorpion, quand il pique un homme. …/… Elles avaient des queues semblables à des scorpions et des aiguillons, et c'est dans leurs queues qu'était le pouvoir de faire du mal aux hommes pendant cinq mois. »
Cette date 1994 a été la dernière date proposée par les prophéties de Daniel et Apocalypse. Les « cinq mois » prophétisés constituent une durée présentée par Dieu sur la base du code d’Ezéchiel 4:5-6, dans lequel un jour vaut un an réel : « Je te compterai un nombre de jours égal à celui des années de leur iniquité, trois cent quatre-vingt-dix jours; tu porteras ainsi l'iniquité de la maison d'Israël. Quand tu auras achevé ces jours, couche-toi sur le côté droit, et tu porteras l'iniquité de la maison de Juda pendant quarante jours ; je t'impose un jour pour chaque année. » Dieu avait déjà fait usage de ce code pour les Hébreux qui ont refusé d’entrer en Canaan, selon Nombres 14:34 : « De même que vous avez mis quarante jours à explorer le pays, vous porterez la peine de vos iniquités quarante années, une année pour chaque jour ; et vous saurez ce que c'est que d'être privé de ma présence. »
Devant
ces témoignages, je réalise que toutes les durées chiffrées des prophéties
divines finissent mal pour les croyants juifs ou chrétiens concernés. Tous ces
délais successifs s’achèvent par la déchéance des croyants jugés par Dieu. Le
mot qui revient 4 fois dans ces deux versets est : iniquité et il doit
être bien compris : est inique celui qui rend un jugement faux en ayant
des données justes. Visiblement, par ce mot, iniquité, Dieu désigne le mauvais
emploi de la « loi de Moïse »
et des Evangiles ainsi que les épîtres du nouveau témoignage. Car notre
relation humaine avec Dieu repose sur des textes exprimant des ordonnances et
des témoignages. Ou ces choses sont respectées ou elles ne le sont pas, et Dieu
condamne le coupable pour sa non conformation à son exigence qu’il nomme
« iniquité ». Vérifions ce principe, en commençant par les
Juifs de l’ancienne alliance. Je lis dans Daniel 9:5 : « Nous avons péché, nous avons commis l'iniquité, nous avons été méchants et rebelles,
nous nous sommes détournés de tes commandements et de tes ordonnances. »
Pour eux, selon le verset 24, le délai donné est de « 70
semaines » soit 483 années réelles. Ainsi après « l’iniquité »
qui les a conduits en déportation à Babylone en Chaldée, au terme des « 70
semaines », « l’iniquité » renouvelée a justifié,
en 70, la destruction par les Romains des signes de l’alliance soit, « Jérusalem et la sainteté » qui
désigne le clergé et le temple bâti par Zorobabel, selon le verset 26 :
« Après les soixante-deux semaines,
un Oint sera retranché, et il n'aura pas de successeur personne pour lui. Le peuple d'un chef
qui viendra détruira la ville et le sanctuaire la sainteté, et sa fin
arrivera comme par une inondation ; il est arrêté que les dévastations dureront
jusqu'au terme de la guerre. » Ainsi, l’un après l’autre, à cause de l’iniquité
du peuple et de ses chefs religieux, les deux temples bâtis successivement par
Salomon et Zorobabel ont été détruits, respectivement, en –586 et en 70. En –
168, entre ces deux destructions, le temple fut souillé et « profané »
par le roi séleucide grec Antiochos IV Epiphane, comme le prophétise Daniel
11:31 : « Des troupes se
présenteront sur son ordre ; elles
profaneront le sanctuaire, la forteresse, elles feront cesser le sacrifice
perpétuel, et dresseront l'abomination du dévastateur. »
A la fin des 70 semaines, l’ancienne alliance cesse remplacée par la nouvelle alliance basée sur le sang versé par Jésus-Christ, le Messie annoncé par Dieu que les Juifs rejettent en exigeant des Romains qu’ils le crucifient. Cette première venue du Christ sur la terre était déjà une épreuve adventiste qui a provoqué la fin de l’ancienne alliance juive.
Réveillé ce « Soldi » (dimanche catholique) à 4 heures du matin, mon esprit a été inspiré par Dieu pour donner au texte d’Esaie 61:2 une nouvelle interprétation qui ne remet pas en cause l’interprétation habituelle présentée jusque là. Voici donc ce verset : « Pour publier une année de grâce de YaHWéH, et un jour de vengeance de notre Dieu ; pour consoler tous les affligés ; » Ce sont là, les paroles que Jésus devait lire dans la synagogue de Nazareth. Cependant, il cessa sa lecture avant les paroles, « et un jour de vengeance de notre Dieu ». Dans une première interprétation, ce « jour de vengeance » était attribué au jour de sa seconde venue ; mais une autre interprétation peut le rattacher à sa première venue et dans ce cas, « la vengeance de Dieu » s’est portée sur la nation juive rebelle livrée aux Romains en 70 comme Daniel 9:26 le prophétise. En tenant compte des mots de ce verset d’Esaie 61:2, « l’année de grâce » désigne l’an 30 à partir du 3 Avril jour de la mort de Jésus-Christ. La grâce accordée en son nom est proposée à la nation juive jusqu’à l’automne 33, moment où en lapidant le diacre Etienne, la nation refuse officiellement et définitivement de reconnaître la messianité de Jésus de Nazareth. Dès ce moment, Dieu prépare « sa vengeance » contre la nation juive ; elle prendra une forme concrète en l’an 70, par la destruction de « Jérusalem et la sainteté » qui la caractérise : le clergé juif et le temple. Esaie 61:2 précise ensuite, « et pour consoler les affligés ». Souviens-toi de ces paroles tenues par Jésus dans Jean 14:16 : « Et moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre consolateur, afin qu'il demeure éternellement avec vous, l'Esprit de vérité, que le monde ne peut recevoir, parce qu'il ne le voit point et ne le connaît point ; mais vous, vous le connaissez, car il demeure avec vous, et il sera en vous. » Il dit ensuite dans Jean 14:26 : « Mais le consolateur, l'Esprit Saint, que le Père enverra en mon nom, vous enseignera toutes choses, et vous rappellera tout ce que je vous ai dit. » Et il dit encore dans Jean 15:26-27 : « Quand sera venu le consolateur, que je vous enverrai de la part du Père, l'Esprit de vérité, qui vient du Père, il rendra témoignage de moi ; et vous aussi, vous rendrez témoignage, parce que vous êtes avec moi dès le commencement. » Dans les deux derniers versets, Jésus prophétise l’inspiration des témoignages des quatre Evangiles et des épîtres du canon de la nouvelle alliance inspirés par le Saint-Esprit, le Consolateur : « et vous rappellera tout ce que je vous ai dit ». Ce Consolateur, c’est Jésus-Christ qui, retrouvant sa complète nature divine céleste, répand son Esprit saint dans les esprits de ses seuls élus rachetés par son sang ; ceux qu’il reconnaît dignes de son salut.
Au début de son ministère, dans sa lecture
d’Esaie 61, Jésus ne lit pas « et un
jour de vengeance de notre Dieu », parce que seule la demande finale
de sa mort justifiera « ce jour de
vengeance de Dieu ». Et ce « jour
de vengeance » est bel et bien prophétisé dans Daniel 9:26 où la bonne
traduction est nécessaire pour comprendre la cause du châtiment annoncé pour « Jérusalem,
la ville et la sainteté ». C’est pourquoi, je rappelle ce verset
si important : « Après les
soixante-deux semaines, un Oint sera retranché, et il n'aura pas de
successeur personne pour lui. Le
peuple d'un chef qui viendra détruira la ville et le sanctuaire la sainteté,
et sa fin arrivera comme par une inondation ; il est arrêté que les
dévastations dureront jusqu'au terme de la guerre. » J’ai rayé les
fausses traductions présentées par Louis Segond et le plus étonnant, c’est que
dans ses annotations de marge, il a écrit : « littéralement :
personne pour lui ». Quand au terme « sanctuaire », il est faux,
car le mot « qodesh » du texte hébreu signifie sainteté. Et le terme
sanctuaire de la même racine est en hébreu « miqdash ». Cette
traduction imprécise déformait le message de Dieu, c’est pourquoi il m’a dirigé
pour effectuer ces rectifications indispensables et nécessaires. La
compréhension parfaite de sa vérité l’exigeait. Avec d’autres références
bibliques placées sous le nombre 26, tel Lévitique 26, ce verset 26 de Daniel 9
m’était destiné, car je vis en France dans le département porteur du numéro 26.
Et ce nombre 26 est le nombre du nom hébreu de Dieu « YaHWéH »
désigné par les quatre lettres « Yod Hé Wav Hé » dont les valeurs
sont : 10 + 5 + 6 + 5. Le nombre 26 va encore, je pense, révéler sa
sainteté en l’année 2026 en laquelle se présentera le nouveau « jour de vengeance de Dieu » contre
ses ennemis juifs et chrétiens infidèles. Le premier « jour de vengeance de Dieu » se
présenta donc en l’an 70, et le
suivant devrait se présenter en 2026 ;
et en dernier, le grand « jour de
vengeance de Dieu » viendra avec le retour en gloire de Jésus-Christ,
au jour du printemps 2030. Je pense
également que le choix de Dieu des dates 70
et 2026 est spirituellement
justifié. Je m’explique : en l’année 70,
Dieu punit les Juifs pour l’incrédulité témoignée envers la prophétie des 70 semaines de Daniel 9:24. Et en 2026, Dieu punit l’incrédulité manifestée
dans le département 26 de la Drôme
où les prophéties de Daniel et Apocalypse entièrement décryptées et expliquées
ont été méprisées par la représentation adventiste du septième jour officielle
locale et par les responsables français de la Fédération Sud de l’œuvre ;
ainsi qu’à l’île Maurice où le message a été également présenté et rejeté.
Mais ce « jour de vengeance » peut encore se présenter dans l’automne 2025 ; l’automne étant spirituellement, dans la sainte Bible, pour les Hébreux, le temps des fêtes liées au thème du « péché ». Notamment, la fête du « jour des expiations » qui prophétisait l’enlèvement de la condamnation du péché pour les croyants élus bénéficiaires de la grâce offerte par Jésus-Christ. Le « jour de vengeance » attendu viendrait alors châtier ceux qui, refusant la grâce du Christ, sont restés porteurs de leurs péchés et doivent eux-mêmes expier leur culpabilité.
Dans Daniel 9:26, Dieu dit : « Le peuple d'un chef qui viendra détruira la
ville et le sanctuaire la sainteté, et
sa fin arrivera comme par une inondation ; il est arrêté que les dévastations dureront jusqu'au terme de la guerre. »
Ce « terme de la guerre » va venir avec la « sixième
trompette » d’Apocalypse que Daniel 11:40 à 45 décrit, disant au
verset 40 : « Au temps de la fin, le
roi du midi se heurtera contre lui. Et le roi du septentrion fondra sur lui
comme une tempête, avec des chars et des cavaliers, et avec de nombreux navires
; il s'avancera dans les terres, se
répandra comme un torrent et débordera. » Dans ce verset, le « roi du septentrion » inonde l’Europe chrétienne infidèle
qu’il envahit, comme les Romains ont « inondé » Jérusalem
en 70, en l’envahissant. Le premier et le dernier châtiment de Dieu prennent le
même aspect dévastateur et destructeur. Cependant le dernier châtiment
d’avertissement frappe, non une ville, mais l’Europe des « dix
cornes », entière avec ses extensions et les pays alliés sortis de
l’alliance de l’Est.
Ce sujet étant traité, je reprends ce thème de l’iniquité reprochée par Dieu à l’ancienne alliance juive. Et cette fois, l’iniquité va être imputée à la religion chrétienne par Jésus-Christ qui déclare dans Matthieu 7:21 à 23 : « Ceux qui me disent : Seigneur, Seigneur ! N'entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais celui-là seul qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux. Plusieurs me diront en ce jour-là : Seigneur, Seigneur, n'avons-nous pas prophétisé par ton nom ? N'avons-nous pas chassé des démons par ton nom ? Et n'avons-nous pas fait beaucoup de miracles par ton nom ? Alors je leur dirai ouvertement : Je ne vous ai jamais connus, retirez-vous de moi, vous qui commettez l'iniquité. » Dans ce message Jésus condamne ceux qui se réclament de son salut alors qu’il les juges indignes d’en bénéficier. Et ce reproche concerne les faux chrétiens jusqu’au jour de son retour glorieux final. Jésus dénonce l’existence de la fausse foi chrétienne puisque ceux qu’il condamne l’appellent Seigneur. Sont ainsi concernés par ce reproche de « commettre l’iniquité », tous les Catholiques depuis 313, tous les Protestants et les Anglicans depuis 1843, et tous les Adventistes du septième jour entrés dans l’alliance protestante depuis 1995.
Pour permettre à ses élus de suivre l’évolution de son jugement et le programme de son plan du salut, Dieu présente des durées de temps citées dans les prophéties de Daniel et Apocalypse ; durées qui permettent d’établir des dates marquées particulièrement par le jugement de Dieu. Ces durées de temps ont un début et une fin qui sont donc rattachés à deux dates. La première durée proposée par Dieu est celle des « 70 semaines » de Daniel 9:24. Le moyen de définir la date du début est révélé dans le verset 25 : « Sache-le donc, et comprends ! Depuis le moment où la parole a annoncé que Jérusalem sera rebâtie jusqu'à l'Oint, au Conducteur, il y a sept semaines et soixante-deux semaines, les places et les fossés seront rétablis, mais en des temps fâcheux. » L’ordre royal concerné se trouve dans Esdras 7:7 : « Plusieurs des enfants d'Israël, des sacrificateurs et des Lévites, des chantres, des portiers, et des Néthiniens, vinrent aussi à Jérusalem, la septième année du roi Artaxerxès. » Cette septième année du roi est l’an – 458. La tradition adventiste a adopté la date – 457, commettant ainsi une erreur d’une année. Mais je dois préciser que ces erreurs sont fréquentes et à vrai dire sans trop d’importance pour Dieu et ses serviteurs. Car les dates construites ont pour lui, uniquement le but de susciter des comportements humains qu’il juge en appliquant sa sentence divine ou sa bénédiction.
La date – 458 permet d’obtenir les dates concernant le ministère terrestre de Jésus-Christ, son baptême en l’automne 26, sa mort expiatoire volontaire le 3 Avril 30 au printemps, et la condamnation définitive de la nation juive à l’automne 33.
La même date – 458 constitue la base des « 2300 soir-matin » cités dans Daniel 8:14 ; ce qui permet d’établir la fin de cette durée de temps à la date 1843 et selon Esdras 7:9, au jour du printemps ou « premier jour du premier mois » cité : « il était parti de Babylone le premier jour du premier mois, et il arriva à Jérusalem le premier jour du cinquième mois, la bonne main de son Dieu étant sur lui. » Ceci est le bon calcul et la bonne date. Mais dans la réalité, William Miller a construit la date de son premier message adventiste par une autre méthode, tout en adoptant la bonne date du jour du printemps 1843. En découvrant la construction des « 2300 soir-matin » de Daniel 8:14, il a construit son second message adventiste, mais prenant pour base l’année – 457, il a donné à sa deuxième attente adventiste la date du 22 Octobre 1844 qui devrait être 1843.
En entrant, en 1980, dans mes études des prophéties, j’ai donc retenu cette date adventiste du 22 Octobre 1844 sur laquelle j’ai placé les « cinq mois » prophétiques d’Apocalypse 9:5-10. Désignant 150 années réelles, cette durée de temps m’a fait découvrir la date du 22 Octobre 1994.
Il apparaît ainsi clairement que Dieu a prophétisé par des durées chiffrées dans ses prophéties, uniquement les deux temps où la foi chrétienne a été correctement représentée soit, au temps des apôtres et au temps de l’adventisme d’où est né l’adventisme du septième jour. Dans Daniel, le temps de la Réforme est ignoré et dans Apocalypse 2:24 il est décrit comme étant incomplet et susceptible d’être complété par de nouveaux « fardeaux » que Dieu a exigés à partir de 1843 : « A vous, à tous les autres de Thyatire, qui ne reçoivent pas cette doctrine, et qui n'ont pas connu les profondeurs de Satan, comme ils les appellent, je vous dis : Je ne mets pas sur vous d'autre fardeau ; ». Et le verset suivant confirme une faveur exceptionnelle provisoire : « seulement, ce que vous avez, retenez-le jusqu'à ce que je vienne. » Le premier de ces « fardeaux » étant la démonstration de l’intérêt pour la parole prophétique qui a conduit William Miller à annoncer ses messages adventistes, terme qui désigne ses annonces du retour de Jésus-Christ, pour le printemps 1843, puis pour le 22 Octobre de l’automne 1844.
Ces deux dates marquant les deux premières expériences adventistes portent néanmoins des significations différentes. La première, 1843, marque la fin des « 2300 soir-matin » de Daniel 8:14 et l’heure de la première épreuve adventiste américaine. Elle marque aussi la fin de la faveur provisoire accordée par Dieu aux doctrines protestantes imparfaites. La seconde, 1844, marque l’heure de la seconde épreuve adventiste américaine et le début du scellage des élus par le « sceau du Dieu vivant ». Ce « sceau de Dieu » est le chiffre « 7 » qui désigne depuis Genèse 2:1 à 3, la sanctification du repos du sabbat du « septième jour » vers lequel Dieu dirige les élus qu’il a sélectionnés dans cette seconde épreuve de foi adventiste. Ce retour au sabbat est individuel et allongé dans le temps entre le mois d’Octobre 1844 et l’année 1863 où l’adventisme du septième jour est devenu officiellement une église institutionnelle américaine. Ceci explique pourquoi je retiens parfois 1843 et d’autres fois, 1844.
Cette chaîne prophétique qui conduit au Christ commence donc en – 458 et finit en 1994. La fin des 70 semaines nous conduit à la fin de l’ancienne alliance en l’automne 33 et la date 1994 marque la fin de l’approbation de Jésus-Christ pour l’adventisme institutionnel.
Une deuxième chaîne prophétique concerne la durée du règne catholique papal romain persécuteur des saints de Dieu. Daniel 7:25 et Apocalypse 11:2-3 et 12:6-14 lui attribuent 1260 années réelles présentées sous trois formes ; en années prophétiques, « un temps, des temps et la moitié d’un temps » ; en mois prophétiques, « 42 mois » ; et en jours prophétiques : « 1260 jours ». Le début de ce règne papal est indiqué par l’accusation portée par Dieu contre le papisme de lui enlever son perpétuel. Dans le texte hébreu, le mot sacrifice n’est pas cité volontairement par Dieu et son rajout injustifié par les traducteurs déforme le message donné par Dieu. Car ce perpétuel désigne le sacerdoce perpétuel de Jésus-Christ commencé dès son retour au ciel après sa résurrection. Ce sacerdoce perpétuelle désigne son intercession perpétuelle en faveur de ses seuls vrais élus rachetés ; ceux qu’il reconnaît pour siens. La perte de son sacerdoce est causée par l’instauration sur terre d’un être humain chef de l’église chrétienne. Ce titre de « chef de l’Eglise » n’appartient qu’à Jésus-Christ selon Ephésien 5:23 : « car le mari est le chef de la femme, comme Christ est le chef de l'Église, qui est son corps, et dont il est le Sauveur. »
L’enlèvement du « perpétuel » à Jésus-Christ est évoqué dans Daniel
8:11-12 : « Elle s'éleva
jusqu'au chef de l'armée, lui enleva le sacrifice perpétuel, et renversa
le lieu de son sanctuaire. L'armée fut livrée avec le sacrifice
perpétuel, à cause du péché ; la corne jeta la vérité par terre, et réussit
dans ses entreprises. » Ce terme perpétuel donne à l’intercession de
Jésus-Christ un rôle perpétuel qui couvre donc les 6000 ans de la vie terrestre
programmée par Dieu. La mort de Jésus est imputée en grâce au premier pécheur
repentis Adam, et aux autres élus jusqu’aux derniers, au temps de son retour en
gloire divine.
Dans Daniel 8 :13, les questions posées par les saints annonce l’intention de Jésus-Christ de reprendre son perpétuel sacerdoce dès la fin des « 2300 soir-matin » . Je dois te préciser que cette écriture « soir-matin » accordée au singulier respecte la forme présente dans le texte hébreu et sous cet aspect l’expression désigne le jour entier composé d’une nuit et d’une journée lumineuse, tel que le présente Genèse 1 pour chaque jour de la semaine de la création. Le choix de Dieu de cette expression « soir-matin » vise à mettre en évidence le lien qui relie l’œuvre adventiste au sabbat qui glorifie le Dieu créateur.
Pour finir la Révélation donnée à Daniel, le chapitre 12 nous propose une synthèse des messages révélés dans les chapitres 7 et 8, en citant la durée du règne papal au verset 6 et 7 : « L'un d'eux dit à l'homme vêtu de lin, qui se tenait au-dessus des eaux du fleuve : Quand sera la fin de ces prodiges ? Et j'entendis l'homme vêtu de lin, qui se tenait au-dessus des eaux du fleuve ; il leva vers les cieux sa main droite et sa main gauche, et il jura par celui qui vit éternellement que ce sera dans un temps, des temps, et la moitié d'un temps, et que toutes ces choses finiront quand la force du peuple saint sera entièrement brisée. »
Dans ces versets Jésus révèle le lien qui relie le destin final de l’adventisme au règne papal romain des 1260 années. Ce lien est le retour de l’intolérance religieuse despote et cruelle. Car le dernier régime universel terrestre va renouveler sous une domination protestante cette intolérance envers les derniers observateurs du sabbat du septième jour sanctifié par Dieu depuis le septième jour de sa création terrestre. Et ceci, en imposant sous peine de mort le respect du repos du premier jour instauré par l’empereur romain Constantin 1er puis imposé par le régime catholique papal romain. Derrière le nom religieux « jour du Seigneur », le dimanche cache sa souillure païenne originelle de l’adoration du « Soleil invaincu » servi et adoré par Constantin 1er et sa cour romaine. Et « les forces du peuple saint seront entièrement brisées » quand le décret de mort prophétisé dans Apocalypse 13:15 sera promulgué contre eux : « Et il lui fut donné d'animer l'image de la bête, afin que l'image de la bête parlât, et qu'elle fît que tous ceux qui n'adoreraient pas l'image de la bête fussent tués. »
Le deuxième message important de Daniel se trouve dans Daniel 8 où le verset 14 fixe la date 1844 qui marque le début de l’adventisme du septième jour encore non officiel et strictement américain. Dans Daniel 12 :11 et 12, Dieu va donner les durées chiffrées des « 1290 et 1335 jours » qui imputent deux dates où les questions sont posées par les saints dans Daniel 8 :13 ; ils sont situés l’un avant 1844 et l’autre après 1844. En effet, la fin des 1290 jours commencé en 538 année où le perpétuel est enlevé au Christ par le premier pape romain nommé Vigile, un intrigant ambitieux, s’achève en 1828. Et cette date prend son sens dans des rencontres adventistes organisées en Angleterre entre 1825 et 1830, à Albury Park, en présence de la reine. L’autre durée de 1335 jours s’achève en 1873 soit, dix ans après l’instauration institutionnelle de l’église adventiste du septième jour américaine. En 1873, Dieu la lance dans une mission universelle qui est évoquée dans Apocalypse 3:7 par l’époque adventiste nommée symboliquement « Philadelphie ». Le lien entre la date 538 et les deux dates 1828 et 1873 est justifié par le renversement des situations établies. Entre ces deux dates, depuis 1844, Jésus a repris son « perpétuel » au régime papal dénoncé et identifié comme usurpateur diabolique.
Dans les versets 11 et 12 du chapitre 12, Dieu dit à Daniel et à ceux qui comme son nom l’indique reconnaisse avoir Dieu pour leur juge :
« Depuis
le temps où cessera le sacrifice perpétuel,
et où sera dressée l'abomination du
dévastateur, il y aura mille deux cent quatre-vingt-dix jours. Heureux
celui qui attendra, et qui arrivera jusqu'à
mille trois cent trente-cinq jours ! »
La date de base qui doit être utilisée pour
les calculs proposés est celle où, dans Daniel 8:11-12, le « perpétuel »
a été enlevé au Christ intercesseur céleste par le pape romain Vigile soit, en
538, et sous l’autorité de l’empereur Justinien 1er. La deuxième
précision qui est rattachée à la première concerne « l’abomination du dévastateur »
que Daniel 9:26 et 27 impute à l’entité romaine : « …il est arrêté que les dévastations dureront
jusqu'au terme de la guerre …/…le dévastateur commettra les choses les
plus abominables, Et sous l’aile seront des abominations du
dévastateur jusqu'à ce que la
ruine et ce qui a été résolu fondent sur le dévastateur la désolée » « La désolée » : allusion à la
terre désolée pendant mille ans selon Apocalypse 20 : elle retrouve ainsi
son état nommé dans Genèse 1:2 : abîme.
Avant le règne papal, dans l’antiquité, dans Daniel 11:31, le type originel de l’abomination du dévastateur ou désolateur est représenté par le roi séleucide grec Antiochos IV Epiphane, son action contre les Juifs s’est accomplie en – 168 : « Des troupes se présenteront sur son ordre ; elles profaneront le sanctuaire, la forteresse, elles feront cesser le sacrifice perpétuel, et dresseront l'abomination du dévastateur. » Dans ce contexte antique de l’ancienne alliance le mot sacrifice absent dans le texte hébreu ne nuit pas à la bonne lecture du message.
Ces choses étant expliquées, tu peux mieux comprendre pourquoi Dieu évoque le règne papal de 1260 années réelles dans le verset 7 qui précède les versets 11 et 12 de Daniel 12. De la sorte, il confirme l’appui sur la date de 538 pour les trois durées de temps prophétiques citées dans ce chapitre 12 qui offre bien une synthèse, en citant des données importantes de Daniel 7, 8, 9, et 11.
Ma capacité de comprendre les mystères subtils divins repose exclusivement sur le don de Dieu du discernement spirituel. Nous sommes tous plus ou moins intelligents, mais l’intelligence humaine ne peut pas comprendre les secrets jalousement gardés par Dieu. Je rends donc grâce au Dieu vivant qui ouvre mon faible esprit et me fait partager ce qu’il y a de meilleur et le plus souhaitable : sa divine sagesse et sa lumière. En vérité !
M55- Suivre Jésus-Christ : une leçon divine d’amour
Dieu s’est incarné en Jésus-Christ qui est né sur la terre pour inviter ses vrais élus à le suivre. Même dans cette incarnation, Dieu tient tous les rôles. Il est à la fois, « l’agneau, le berger, la porte de la bergerie, le chemin, la vérité et la vie », et en même temps le grand « Juge » suprême dont le jugement ordonne la vie ou la mort.
Déjà, quand je cite ce mot mort, il faut bien comprendre que cette mort ne doit être mise en comparaison et opposition qu’à la vie éternelle et que cette mort doit être distinguée de la première mort ; ce que Dieu fait en la nommant « seconde mort » dans Apocalypse 20:14-15-16 : « Et la mort et le séjour des morts furent jetés dans l'étang de feu. C'est la seconde mort, l'étang de feu. Quiconque ne fut pas trouvé écrit dans le livre de vie fut jeté dans l'étang de feu. »
Alors que le témoignage biblique révélé par Dieu à Moïse, l’Hébreux, évoque la présence de deux arbres opposés présents dans le jardin, l’Eden, l’un étant « l’arbre de la vie » et l’autre « l’arbre de la connaissance du bien et du mal », pour l’extrême fin des sept mille années de l’expérience terrestre, Dieu présente le sort final de toute l’humanité. Le sort final de tous reposera sur le « livre de la vie » pour les élus dont le nom y est écrit et pour les déchus dont le nom n’y est pas inscrit. En conséquence, « la seconde mort de l’étang de feu » qui dévore et efface les vies est la part de ceux qui ont été séduits et ont été les victimes des attraits de « l’arbre de la connaissance du bien et du mal ».
A aucun moment de la vie terrestre, l’être humain a autant ressemblé à son maître, Satan que Dieu a comparé à cet « arbre de la connaissance du bien et du mal » qu’aujourd’hui ; ceci, parce que nous avons le privilège, en notre temps de bénéficier de la présentation du plan du salut dans une clarté, une logique, une cohérence jamais atteinte auparavant. De plus, de nos jours, dotée de l’ordinateur, l’humanité actuelle peut trouver sur internet des réponses sur toutes les questions qu’elle se pose, et sur tous les sujets et tous les domaines profanes ou religieux. Internet et ses réseaux de communication incarnent la plus haute connaissance détenue par toute l’humanité. Cet arbre de connaissances diverses offre des réponses pour tous les sujets mais précisément, c’est là son inconvénient, il ne fait que reproduire les pensées humaines les plus contradictoires ; en sorte que chacun peut y trouver, un appui pour son propre choix, sans discerner le moindre piège. La mise en garde contre les pièges de la vie ne peut venir que d’un être terrestre qui ouvre les yeux et le raisonnement de son prochain. Sans cette intervention humaine, chacun avance dans l’existence dans son individualisme d’opinion et de décision. Et l’être humain déchu se distingue des vrais élus sélectionnés par Dieu par son refus de tenir compte d’une opinion opposée à la sienne. Dans cet état d’esprit, rien ne peut empêcher son avancée vers la « seconde mort ».
Comment l’homme pourrait-il redouter la « seconde mort », alors qu’il n’a pas la connaissance de la cause de la première mort qui est acceptée comme une chose naturelle, normale, puisqu’elle frappe tous les êtres humains ? Il n’y a que dans la sainte Bible, révélée au peuple Hébreux, ses descendants et ses héritiers chrétiens, que Dieu révèle la cause de cette mort : le péché commis par Adam et Eve qui fut le péché de la désobéissance à cet ordre donné par Dieu et accompagné de sa conséquence : Genèse 2:17 : « mais tu ne mangeras pas de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras. ». Eve n’était pas une méchante personne, elle ne fut que séduite et trompée par la ruse de l’ange rebelle nommé Satan, le diable. C’est aussi, sans méchanceté, que le Dieu bon a mis en œuvre la menace présentée dans son ordre. Et ainsi, créés immortels, Adam et Eve sont devenus subitement par la volonté de Dieu, mortels ; et avec eux toute la création végétale et animale terrestre.
Dans cette expérience, sans perdre sa bonté, Dieu a appliqué sa justice qui punit systématiquement, la créature qui ne tient pas compte de ses prescriptions bibliques ou orales directes. Moïse fut le seul homme avec lequel Dieu parlait directement depuis Abraham et Jacob renommé par lui Israël. Après lui, c’est en Esprit que Dieu a révélé ses paroles par d’autres écrivains bibliques inspirés et choisis par lui, pour cette tâche. Puis en Jésus, il a pu de nouveau parler, et cette fois, en s’adressant à des multitudes d’hommes et de femmes contemporains de son ministère dans tout Israël.
C’est donc sur cette partie de son œuvre que ce message repose. Pour qu’ils le suivent, Jésus choisit douze disciples. Ce nombre « 12 » était celui du nombre des tribus d’Israël, d’après le nombre des fils de Jacob. Dieu choisit ce nombre 12 en raison de la construction symbolique des chiffres 7 et 5, qui désignent respectivement, pour 7, Dieu et pour 5, l’homme. Ce nombre total de 12 symbolise donc en image, l’homme relié à Dieu soit encore, l’homme qui suit Dieu dans son chemin spirituel de lumière. Et en raison de sa divinité, l’homme Jésus-Christ a incarné cette union parfaite entre l’humanité et la divinité. Avant son incarnation sur la terre, en Micaël, l’Esprit divin de Jésus-Christ dirigeait la vie des anges célestes au nom du Dieu Esprit. C’est donc déjà dans cette vie céleste, que de bons anges ont suivi la voie droite de l’obéissance à ce Micaël qui représentait le Dieu créateur pour eux. Ils ont librement choisi de lui rester fidèle et ont refusé de rejoindre les anges contestataires partageant les pensées du diable, leur chef spirituel. La cohabitation des bons et des mauvais anges s’est prolongée jusqu’à la résurrection de Jésus-Christ, selon Apocalypse 12:7 : « Et il y eut guerre dans le ciel. Michel et ses anges combattirent contre le dragon. Et le dragon et ses anges combattirent, mais ils ne furent pas les plus forts, et leur place ne fut plus trouvée dans le ciel. Et il fut précipité, le grand dragon, le serpent ancien, appelé le diable et Satan, celui qui séduit toute la terre, il fut précipité sur la terre, et ses anges furent précipités avec lui. »
Entre sa vie de Micaël et sa résurrection en Jésus-Christ, Dieu a combattu l’influence du diable sur la terre d’Israël pendant les 3 ans et six mois de son ministère terrestre. Celui qui vit dans le ciel est venu parmi les êtres humains pour éclairer leur intelligence au sujet de la vie céleste et de la vie terrestre. Car cette vie céleste étant invisible pour l’œil humain, seul le témoignage donné par un être céleste rendu visible et de condition humaine pouvait en révéler l’existence.
Pour les incroyants, il est déjà difficile de combattre l’opposition qui est visible, mais le faire contre une opposition invisible est perdue d’avance. C’est afin de changer les chances de la victoire, que Jésus a révélé l’existence de la vie céleste démoniaque à laquelle il imputait la responsabilité des maladies et des infirmités qui frappaient les Juifs d’Israël. Pourquoi, les choses seraient-elles explicables différemment aujourd’hui ? Des maladies nouvelles se sont ajoutées aux précédentes, mais les causes sont restées les mêmes ; elles se trouvent encore dans la puissante influence des inspirations démoniaques précipitées sur la terre depuis la victoire de Jésus-Christ. Et si la vie des êtres célestes fidèles s’est nettement transformée, depuis ce moment ; celle des habitants de la terre est devenue, proprement dit : infernale. Parce que c’est sur notre terre, que les hommes se tourmentent les uns les autres victimes des inspirations diaboliques. Et que pourrait-on attendre d’autre de la part d’esprits célestes que Dieu destine à « la seconde mort de l’étang de feu et de soufre », des actions de bonté ? Sur la terre, les hommes ou les animaux dangereux sont tués ou mis en détention, or ce n’est pas le cas de la vie céleste démoniaque qui s’active en toute liberté sur notre terre et ses habitants. Seule, la protection donnée par Jésus-Christ à ses élus, protégés par ses saints anges, peut limiter leur champ d’action contre eux ; l’humanité bénéficie aussi en partie de cette partielle protection et justement à cause de la présence des élus et de la construction du tabernacle spirituel qu’ils représentent collectivement. L’histoire terrestre n’est qu’une suite de temps de paix et de guerres alternatives. La paix rappelle l’offre de la paix divine et la guerre rappelle que la terre est le terrain sur lequel le diable poursuit activement son combat contre le plan de paix du salut de Dieu.
Dans notre Europe occidentale, nous venons de bénéficier d’un temps de paix exceptionnellement long : 80 années. Des générations se sont succédé sans se sentir concernées par le sujet de la guerre. Dieu a laissé croire à l’humanité rebelle que son analyse de l’existence était juste et bonne. En conséquence, toute l’Europe occidentale s’est désarmée, la France ayant simplement réduit la forme et le volume de son armée nationale. Le souci de l’enrichissement est devenu l’unique but de tous ses habitants soumis à l’esclavage économique qui fonctionne en temps de paix en forme de guerre perpétuelle. Le résultat obtenu est catastrophique et irréparable tant les transformations adoptées sont grandes et irrattrapables. La prospérité de l’Occident est une histoire continuelle héritée et transmise de génération en génération au fil de nombreux siècles. Et cette prospérité transmise s’explique par deux causes. La première c’est que Dieu a fait de l’Occident le terrain du développement de la religion chrétienne. La deuxième, c’est que le diable a conduit à l’apostasie cette religion chrétienne à laquelle il a donné tout son soutien, lui offrant ainsi, ce qu’il avait proposé à Jésus-Christ, selon qu’il est écrit dans Matthieu 4:7-8 : « Le diable le transporta encore sur une montagne très élevée, lui montra tous les royaumes du monde et leur gloire, et lui dit : Je te donnerai toutes ces choses, si tu te prosternes et m'adores. » Elle est là, la véritable raison qui justifie cette domination mondiale de l’Occident sur l’Orient et sur le midi. Car il est logique que les démons se soient rassemblés sur la zone terrestre où la religion chrétienne a été représentée, étant la seule qui a une légitimité pour Dieu. C’est donc elle qui est devenue la cible de toutes les attaques démoniaques. Car il suffit de suivre Jésus pour trouver sur son chemin, l’adversité démoniaque la plus active.
Jusqu’ici, je n’ai fait qu’évoquer la situation du monde qui n’a pas voulu suivre Jésus-Christ et où se sont développées en tombant dans l’apostasie complète tour à tour, la religion catholique romaine, l’orthodoxie qui est sortie d’elle, puis la religion Réformée qui s’est séparée d’elle à l’heure des « guerres de religions » cruelles et sanglantes depuis le XVIème siècle.
Portons notre attention, maintenant, sur l’invitation par Jésus à le suivre. Je prends donc pour début du thème de ce message, ces paroles que Jésus adresse à l’intention de ses élus dans Matthieu 16:24 : « Alors Jésus dit à ses disciples : Si quelqu'un veut venir après moi, qu'il renonce à lui-même, qu'il se charge de sa croix, et qu'il me suive. » Les paroles tenues par Jésus sont claires et ne prêtent pas à une fausse interprétation et cependant, il est évident que seuls ses vrais élus, rares et très peu nombreux, réalisent ce qu’impliquent ses propos. « Qu’il renonce à lui-même », une telle exigence est très loin de la religion héritée par un baptême d’enfants incapables de formuler un choix personnel. Pourquoi, l’élu doit-il renoncer à lui-même ? Parce que suivre Jésus signifie être mort à la vie mondaine, et conformément au statut des esclaves de son époque, l’esclave ne s’appartient plus mais il devient la propriété de son maître. Et pour qui suit Jésus, son Maître auquel il appartient, c’est Jésus-Christ. Or ce Maître divin se comporte de manière diamétralement opposée aux méchants maîtres du monde humain terrestre. Le méchant maître se fait servir par son esclave et parfois le rudoie injustement. Etonnamment, Jésus ne se fait pas servir mais sert ses esclaves parce qu’il est l’amour de Dieu incarné. Suivre Jésus-Christ, c’est s’engager sur un chemin rempli de paradoxes. Et juste avant d’être livré à la méchanceté humaine, Jésus lave les pieds de ses apôtres, lui, le Seigneur et le Maître. Ce comportement est dérangeant au point que l’apôtre Pierre s’est offusqué de voir Jésus agir ainsi. Pourquoi ? Parce que son esprit était encore celui du monde et de ses valeurs. Il lui paraissait inconcevable que celui qui a ordonne à la tempête de se calmer, puisse ainsi s’avilir par une besogne ingrate. Il y avait bien sûr dans ce lavage des pieds de ses disciples un message symbolique spirituel qui imageait l’enlèvement des péchés qu’il s’apprêtait à expier pour eux, par la pire des morts de l’époque : la crucifixion appliquée par la loi romaine païenne. Mais, à ce moment, aucun de ses apôtres ne parvenait à croire que Jésus allait mourir. Cette pensée n’entrait pas en eux, parce qu’ils regardaient tous Jésus comme le Roi des Juifs, et un tel roi ne peut pas mourir, il fait mourir ses ennemis et leur impose sa puissance et sa gloire. C’est pourquoi, tous les apôtres, les douze, ont été déconcertés par le renoncement de Jésus-Christ à se défendre lors de son arrestation quelques heures après qu’il leur a lavé les pieds et bu avec eux le jus de raisin de la Cène, par lequel il déclara ouverte la nouvelle alliance en son sang versé, imposée par Dieu.
Jésus a dit aussi : « qu’il se charge de sa croix ». Cette condition mérite toute l’attention de ceux qui veulent partager son éternité. Nous avons le témoignage que dix de ses apôtres sont morts en martyrs de la foi, dans des conditions terribles. Et après eux, d’autres martyrs anonymes sont morts dans les arènes des empereurs romains païens sanguinaires. D’autres encore sont morts torturés par les bourreaux de l’inquisition papale romaine et les bourreaux des rois qui la soutenaient.
Les douze qui avaient suivi Jésus-Christ se comportèrent
différemment selon leur nature et leur caractère personnel en voyant Jésus se
laisser arrêter sans protester. Judas, le démon engagé dans le groupe, voulait
contraindre Jésus à faire usage de sa puissance pour s’emparer du pouvoir,
pressé de devenir son ministre. Judas vendit Jésus en lui donnant un baiser qui
est devenu le symbole parfait de la trahison. Par ses œuvres, il a prophétisé
les trahisons des fausses religions chrétiennes qui embrassent Jésus, exaltent
son salut, et trahissent son attente en refusant de répondre à ses exigences de
sainteté. Et il n’était pas le seul à avoir cette pensée retenue secrète chez
d’autres disciples qui espéraient eux-aussi partager la gloire en servant le
Roi des rois ; mais pas au point de le forcer à agir. Pierre montra un
authentique courage, en sortant son épée et en frappant l’oreille de Malchus le
serviteur envoyé avec les gardes du temple pour arrêter Jésus, par le souverain
sacrificateur Caïffe. Jésus ne fut pas étonné par l’incapacité de ses apôtres à
entendre l’annonce qu’il allait donner sa vie et ensuite, la reprendre. Sept
siècles, plus tôt, il avait fait dire par l’ange Gabriel à Daniel, selon Daniel
9:26 : « Après les
soixante-deux semaines, un Oint sera retranché, et il n'aura pas de successeur personne pour lui… » Il est important de connaître la
véritable traduction de ce verset que je cite souvent en raison de son
importance. La compréhension exacte du plan du salut est restée secrète et
ignorée par tous les Juifs jusqu’à la venue de Jésus pour son ministère et
encore seulement quand, après avoir livré sa vie à la mort, ressuscité, il a pu
expliquer clairement à ses apôtres le sens des faits accomplis. Pourquoi le
courageux Pierre a-t-il pu nier son lien avec Jésus, trois fois ? Parce
que Dieu voulait donner une leçon à Pierre qui faisait trop confiance à sa
réelle force. Comme lui, j’ai été momentanément livré aux puissances
démoniaques, et dans cette situation on se voit agir différemment comme étant
dirigé par une puissance supérieure qui se substitue à la nôtre. Cette
expérience, assez désagréable est cependant réellement bénéfique, car elle nous
fait toucher du doigt la réalité de la vie démoniaque invisible qui nous
entoure constamment. Pierre avait comme moi, besoin de cette cruelle expérience
qui le plongeait dans la honte et le remord. L’ayant ensuite taquiné par le
rappel de son triple reniement, Jésus lui a totalement fait confiance au point
de lui confier le soutien de son Eglise spirituelle qui ne comprend que des
élus rachetés très obéissants. N’importe qui peut revendiquer n’importe quoi,
et c’est ce que l’église catholique romaine et papale a fait au cours des
siècles de son règne ténébreux en prétendant que le pape de son régime est le
successeur de Pierre. A ceci près que Pierre fut un modèle d’obéissance béni
par Dieu et que le papisme est son opposé absolu.
Après le rappel de ses trois reniements, Dans Jean 21:18, Jésus annonça à Pierre, en subtile allusion, que sa vie s’achèverait en martyr de la foi : « En vérité, en vérité, je te le dis, quand tu étais plus jeune, tu te ceignais toi-même, et tu allais où tu voulais ; mais quand tu seras vieux, tu étendras tes mains, et un autre te ceindra, et te mènera où tu ne voudras pas. » Au verset suivant nous lisons : « Il dit cela pour indiquer par quelle mort Pierre glorifierait Dieu. Et ayant ainsi parlé, il lui dit : Suis-moi. » Cette annonce fut pour Pierre l’assurance qu’il ne trahirait plus jamais Jésus et qu’il accepterait de mourir en martyr. Les versets suivant font entrer l’apôtre Jean en scène : verset 20 : « Pierre, s'étant retourné, vit venir après eux le disciple que Jésus aimait, celui qui, pendant le souper, s'était penché sur la poitrine de Jésus, et avait dit : Seigneur, qui est celui qui te livre ? » Ce verset témoigne du fait que Jean entendait toutes les paroles prononcées par Jésus, il avait compris que Jésus annonçait sa mort mais ne comprenait pas pourquoi il acceptait cette mort. Les clés de ce comportement différent nous sont données dans ce verset lui-même : « le disciple que Jésus aimait » parce qu’il avait une oreille attentive à tous ce que Jésus disait.
Versets 21-22 : « En le voyant, Pierre dit à Jésus : Et celui-ci, Seigneur, que lui arrivera-t-il ? Jésus lui dit : Si je veux qu'il demeure jusqu'à ce que je vienne, que t'importe ? Toi, suis-moi. »
Dans sa réponse à Pierre, Jésus prophétisa le destin particulier qu’il réservait à l’apôtre Jean. Ainsi, subtilement, ce ne fut pas l’apôtre Jean qui vécut jusqu’à l’heure de son retour mais à l’inverse, dans sa vision de l’Apocalypse, Dieu a fait venir en anticipation le glorieux jour de son avènement final jusqu’à Jean, à la fin du premier siècle, selon Apocalypse 1:7 : « Voici, il vient avec les nuées. Et tout œil le verra, même ceux qui l'ont percé ; et toutes les tribus de la terre se lamenteront à cause de lui. Oui. Amen ! » De plus dans sa Révélation, le chapitre 22 s’achève par ces versets 20 et 21 : « Celui qui atteste ces choses dit : Oui, je viens bientôt. Amen ! Viens, Seigneur Jésus ! Que la grâce du Seigneur Jésus soit avec tous ! » Et je dois préciser que dans cette version de Louis Segond réalisée par Oltramare, une omission finale rend ce verset trompeur, car le texte grec originel précise « avec tous les saints » ; car seuls les vrais « saints » reconnus par Jésus-Christ lui-même peuvent bénéficier de sa divine « grâce ». Et les vrais saints sanctifient tout ce que Dieu a sanctifié ; en commençant par le sabbat de son septième jour et beaucoup d’autres choses prescrites dans la loi de Moïse de l’ancienne alliance, parce qu’elles sont restées légitimes et exigées par le Dieu créateur qui ne change pas, jusqu’à la fin du monde.
Ainsi, en raison d’un lien personnel supérieur avec Jésus, Jean a été rendu par lui immortel. Et après être sorti indemne d’un bac d’huile bouillante dans lequel les Romains l’avait jeté, ils l’ont isolé sur l’île de Patmos pour l’empêcher de témoigner de sa foi en Jésus-Christ. Ainsi, sept siècles après Daniel et ses trois compagnons, eux-aussi, rendus immortels par Dieu dans des épreuves mortelles, Jean a bénéficié du même amour protecteur de Dieu. Ces témoignages sont des encouragements à rivaliser d’amour et de fidélité envers le Dieu vivant qui est très sensible à ces choses.
Retrouvant sa divinité complète et son rôle inspirateur, en Saint-Esprit, Jésus-Christ a inspiré à l’apôtre Paul les sublimes paroles citées dans 1 Corinthiens 13: 1 à 13 et je cite le verset 12 : « Aujourd'hui nous voyons au moyen d'un miroir, d'une manière obscure, mais alors nous verrons face à face; aujourd'hui je connais en partie, mais alors je connaîtrai comme j'ai été connu. »
Alors que je m’apprêtais à évoquer l’image d’un miroir, je relève que Paul utilise ce terme dans ce verset 12. Mais je n’en fais pas le même usage que lui, car le miroir auquel je pense, c’est ce portrait robot de l’élu type parfaitement agréable à Dieu. En présentant cette description, Dieu présente clairement ses exigences envers ceux qui veulent vivre éternellement dans sa compagnie. Alors comme nous le faisons avec un miroir, regardons-nous et comparons-nous à l’image décrite. Et déjà, posons-nous ces questions : ai-je vraiment le désir de ressembler à ce modèle ? Cette norme de vie me convient-elle ? C’est par là qu’il faut commencer pour éviter une incontournable désillusion finale. Et se poser ce genre de question est tout à fait légitime car Dieu nous a donné une liberté entière pour définir et fixer nos choix. Cette démarche est d’autant plus logique qu’avant les humains, des anges célestes n’ont pas supporté de vivre selon les normes établies par Dieu et se sont rebellés contre lui et sa conception de la vie.
Jésus-Christ n’a pas donné sa vie dans de terribles souffrances pour contraindre des créatures à obéir à Dieu, mais au contraire, tel un berger, il se contente d’appeler ses brebis et celles qui lui font confiance répondent à son appel et le rejoignent.
Dans 1 Corinthiens 13, Jésus-Christ décrit l’amour parfait qu’il a incarné lui-même sur la terre. Qui veut le suivre doit donc connaître et approuver cette norme. Dans sa traduction présentée par Louis Segond, Oltramare, le vrai auteur de la version du Nouveau Testament, traduit le mot amour par charité. Trouvant ce terme trop déformé par le catholicisme romain, je lui préfère le mot charisme qui désigne le don donné par Dieu.
1Corinthiens 13 :
Verset 1 : « Quand je parlerais les langues des hommes et des anges, si je n'ai pas le charisme, je suis un airain qui résonne, ou une cymbale qui retentit. »
La terre actuelle est donc peuplée de 8 Milliards de gens qui sont de l’airain qui résonne, ou une cymbale qui retentit. Et ce mot airain symbolise le péché dans Daniel 2, dans l’image de la statue de la vision du roi Nébucadnetsar. Les hommes font beaucoup de discours vains sans aucune valeur et leur paroles ne sont que du bruit comme celui d’une cymbale frappée. Mais cette accusation divine vise principalement ceux qui adressent de longs discours à Dieu dans leurs interminables prières qu’il entend mais n’écoute pas, parce que ceux qui s’adressent à lui n’ont pas en eux le charisme exigé.
Verset 2 : « Et quand j'aurais le don de prophétie, la science de tous les mystères et toute la connaissance, quand j'aurais même toute la foi jusqu'à transporter des montagnes, si je n'ai pas la charité, je ne suis rien. »
Dans l’ancienne alliance, Dieu a pris des hommes comme prophètes qui s’acquittaient de leur tâche jusqu’au moment où l’épreuve de leur foi, les a condamnés à périr misérablement et sans gloire. La connaissance intellectuelle est possible pour quiconque apprend, mais sans le charisme, ce genre de croyant n’est pas sélectionné par Dieu pour son éternité.
Verset 3 : « Et quand je distribuerais tous mes biens pour la nourriture des pauvres, quand je livrerais même mon corps pour être brûlé, si je n'ai pas la charité, cela ne me sert de rien. »
Ce verset condamne les sociétés de bienfaisance dont les humanistes occidentaux sont si fiers. Il condamne aussi, les œuvres religieuses des « bonnes sœurs » catholiques romaines telle la célèbre mère Thérésa et bien d’autres qui ne voient la religion que par ce type d’œuvres. Ce verset enseigne que le charisme apprécié par Dieu n’est pas celui des œuvres de charité ; ce qui confirme mon rejet du mot charité. Il condamne aussi l’œuvre des faux martyrs que toutes les causes humaines peuvent susciter pour des raisons politiques ou religieuses. Le charisme exigé par Dieu n’est pas les choses évoquées dans ce verset.
Dans une logique parfaite, dans les trois premiers versets, Dieu révèle ce que le charisme n’est pas. Dans les versets suivants, il va décrire ce qu’il est.
Verset 4 : « Le charisme est patient, il est plein de bonté ; le charisme n'est point envieux ; le charisme ne se vante point, il ne s'enfle point d'orgueil, »
Les critères du charisme sont donc la patience, la bonté, le contentement, et la parfaite humilité. La patience parce que la foi est éprouvée ; la bonté parce qu’elle favorise le partage du bonheur ; le contentement, parce que Dieu donne à ses élus tout ce qui leur est nécessaire, en les protégeant du superflu. Tous les excès sont nuisibles. La parfaite humilité peut seule accepter la norme de vie proposée par Dieu. C’est par son orgueil que le diable est tombé.
Versé 5 : « il ne fait rien de malhonnête, il ne cherche point son intérêt, il ne s'irrite point, il ne soupçonne point le mal, »
Il doit donc être honnête, désintéressé, maître de lui-même, et naturellement confiant. Doté de ces caractères, l’élu ne sera pas une cause de trouble dans la sainte assemblée des élus de Dieu.
Versé 6 : « il ne se réjouit point de l'injustice, mais il se réjouit de la vérité ; »
L’amour de la justice est indispensable pour vivre avec Dieu. Car son sens de la justice est parfait et irrépréhensible. Mais en conséquence, ses châtiments doivent être approuvés et appréciés par tous ses vrais élus, sans quoi, l’élection reste impossible.
L’amour de la vérité est également indispensable et son absence est la cause de l’apostasie de toutes les églises institutionnelles de l’histoire chrétienne. Car Dieu ne maintien une relation qu’avec les humains capables de témoigner d’amour pour sa vérité. La vie spirituelle des élus dépend de cet apport perpétuel de nouvelles explications données par Dieu. La vérité divine est pour ses élus l’équivalence du pain quotidien comme le prophétisa la manne dans le désert de l’Arabie au temps de Moïse. Et dans Matthieu 4:4, Jésus a confirmé ce besoin vital de lumière en disant au diable qu’il est écrit, dans Deutéronome 8:3 : « …Car l’homme ne vivra pas de pain seulement mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu ». Cette nourriture terrestre n’est obligatoire et nécessaire que sur la terre et c’est pour cette dépendance vitale humaine que Dieu l’a imposée à ses créatures terrestres. Car les êtres célestes n’ont pas besoin de se nourrir pour survivre, leur vie ne dépend pas d’une nourriture mais uniquement du bon vouloir de Dieu. Aussi, sur la terre, les élus sont conscients de cette dépendance de Dieu et ils ne peuvent que chercher en lui, les conditions de leur survie.
Verset 7 : « il excuse tout, il croit tout, il espère tout, il supporte tout. »
A qui demande-t-on ces choses dans le monde ? A des esclaves soumis à leurs méchants maîtres. Et le Dieu bon exige de ses élus qu’ils acceptent ce statut d’esclaves et portent « le joug doux et léger » qu’en Dieu Amour il leur impose, pour leur plus grand bonheur.
En lisant ces choses, beaucoup trouvent là, une description de gens « naïfs » que les mondains méprisent. Et ils ont bien tort de les mépriser ces « naïfs » selon ce que Jésus a déclaré dans Matthieu 19 :14 : « Et Jésus dit : Laissez les petits enfants, et ne les empêchez pas de venir à moi ; car le royaume des cieux est pour ceux qui leur ressemblent. » La naïveté est imputée aux enfants qui ont tout à apprendre. Et l’élu de Dieu raisonne comme l’enfant, conscient qu’il a tout à apprendre du Dieu créateur dont l’intelligence et la sagesse sont illimitées.
Dans l’ordre du verset, l’élu porteur du charisme pardonne très facilement, il donne sa confiance, il est plein d’espérance, et apprend à supporter l’adversité quand le diable l’attaque par divers moyens par son entourage humain.
Verset 8 : « Le charisme ne périt jamais. Les prophéties prendront fin, les langues cesseront, la connaissance disparaîtra. »
Avec raison, l’Esprit de Dieu nous rappelle que contrairement à la connaissance intellectuelle des prophéties ou des sciences et des langues parlées multipliées par Dieu, toute chose qui vont prendre fin et importance quand la vie terrestre prendra fin au retour du Christ glorieux, le charisme béni exigé par Dieu héritera de la vie éternelle.
La description faite dans ces versets est celle que Jésus-Christ, le Dieu créateur incarné sur la terre dans une chair humaine, a présentée à ses douze témoins choisis par lui. La vie éternelle offerte par son sacrifice, exige des élus qu’ils lui ressemblent, car c’est la condition exigée par Dieu pour partager son éternité.
L’amour divin est un principe très fort qui n’a rien de commun avec la conception que l’humanité donne au mot amour. Pour l’homme, l’amour n’est qu’un sentiment qui fluctue et change dans le temps et les circonstances. L’amour divin est au contraire stable et permanent, autant que Dieu peut l’être dans son caractère et toute sa personnalité. Aussi, ses élus sont des humains au caractère fort et déterminé. C’est dans cette force et cette détermination qu’ils peuvent prospérer dans la foi et traverser victorieusement les épreuves qu’ils rencontrent au cours de leur vie terrestre.
Si le salut est offert gratuitement par Dieu, par contre, il n’est pas offert à n’importe qui et sous n’importe quelles conditions. Dans ce message, nous avons vu que Dieu ne se contente pas d’une étiquette chrétienne, mais qu’il exige le fruit d’une authentique conversion soit, d’un changement réel de conception de vie et il impose sa conception de la vie parfaite pour assurer à ses élus un bonheur éternel sans l’ombre d’un nuage ; une vie collective harmonieuse, agréable et enviable …sans diable.
M56- La perpétuelle justification par la foi
Ce message vient compléter ce sujet déjà évoqué dans le 1er Tome de cette « Manne », en page 83.
Le principe de la justification par la foi a été mis en application par Dieu depuis le péché commis par Adam et Eve. C’est sur lui que repose l’offre du salut et l’obtention du pardon de Dieu offert en grâce au nom du sacrifice accepté par Jésus-Christ dans sa chair humaine. A ce titre, la justification par la foi est la cause de la « bonne nouvelle » soit, de l’Evangile.
L’auteur de l’épître aux Hébreux a déjà dit ces choses dans son chapitre 11 consacré en entier à ce thème de la foi. Hébreux 10:35 à 39 le prépare : Les spécialistes n’imputent pas cette épître à l’apôtre Paul, constatant un style d’écriture différent du sien. Mais Paul a pu dans sa vieillesse et la maladie qui affectait ses yeux, confier cette rédaction à un scribe chargé de la présenter. Ce qui est sûr, c’est que le véritable auteur de cette épître est l’Esprit-saint de Jésus-Christ. Une autre cause de cet anonymat de cette épître est que Paul était haï par les Juifs et que le simple fait de savoir qu’il en était l’auteur les aurait conduits à refuser de lire son témoignage. Paul se met ainsi en retrait humblement pour donner à ses frères Juifs la chance de comprendre le rôle salvateur de Jésus-Christ.
Verset 35 : « N'abandonnez donc pas votre assurance, à laquelle est attachée une grande rémunération. »
L’Esprit reprend ici la définition de la foi, présentée au verset 1 : « Or la foi est une ferme assurance des choses qu'on espère, une démonstration de celles qu'on ne voit pas. »
Verset 36 : « Car vous avez besoin de persévérance, afin qu'après avoir accompli la volonté de Dieu, vous obteniez ce qui vous est promis. »
Avec intelligence, nous devons tenir compte que ce message est adressé spécifiquement aux Juifs comme son nom l’indique : « Epître aux Hébreux ». Ayant été préparés par la « loi de Moïse » à laquelle ils ont été soumis et formés, il ne reste plus aux Hébreux qu’à reconnaître en Jésus-Christ le messie que Dieu leur a annoncé dans leurs saintes écriture prophétiques, pour « accomplir la volonté de Dieu ». Toute la religion des Hébreux repose sur « la promesse de Dieu » faite à Abraham et sa descendance : Verset 13 : « C'est dans la foi qu'ils sont tous morts, sans avoir obtenu les choses promises ; mais ils les ont vues et saluées de loin, reconnaissant qu'ils étaient étrangers et voyageurs sur la terre. »
Verset 37 : « Encore un peu, un peu de temps : celui qui doit venir viendra, et il ne tardera pas. »
Voilà un message typiquement adventiste qui lui aussi existe depuis le commencement de la vie sur la terre.
Verset 38 : « Et mon juste vivra par la foi ; mais, s'il se retire, mon âme ne prend pas plaisir en lui. »
Ce verset reprend l’idée présentée dans Habakuk 2:2 à 4 : « YaHWéH m'adressa la parole, et il dit : Écris la prophétie : Grave-la sur des tables, afin qu'on la lise couramment. Car c'est une prophétie dont le temps est déjà fixé, elle marche vers son terme, et elle ne mentira pas ; si elle tarde, attends-la, car elle s'accomplira, elle s'accomplira certainement. Voici, son âme s'est enflée, elle n'est pas droite en lui ; mais le juste vivra par sa foi. »
Verset 39 : « Nous, nous ne sommes pas de ceux qui se retirent pour se perdre, mais de ceux qui ont la foi pour sauver leur âme. »
Là encore, ce verset s’applique pour les seuls Juifs qui naissent dans l’héritage de la promesse ; et pour eux, « se retirer » consiste à ne pas suivre le programme divin du salut jusqu’à son terme.
La justification par la foi est donc la justification des pécheurs dont le comportement et les œuvres restent conformes aux exigences de Dieu. Et le péché commis par Eve, puis, par Adam, consista à désobéir à un ordre donné par Dieu. En cela, ils manquèrent totalement de foi. C’est pourquoi tout acte de désobéissance aux ordres donnés par Dieu est le péché, l’opposé absolu de la foi.
Dans ses écrits, interrogée, Ellen White a tenu ces propos : « Ce que je sais, c’est que nos frères manquent de compréhension au sujet de la justification par la foi ».
Les adventistes du septième jour américains étaient majoritairement des protestants héritiers des doctrines religieuses protestantes, en ce qui la concerne, Ellen White était du groupe anglais nommé « les méthodistes ». Les autres frères et sœurs adventistes étaient anglicans, calvinistes, luthériens ou presbytériens. Or, leurs doctrines religieuses partageaient toutes la même erreur : elles ne rattachaient le sujet de la justification par la foi qu’à la reconnaissance du salut offert en grâce par Dieu au nom de Jésus-Christ. A l’époque de la Réforme du XVIème siècle, sortant du catholicisme qui enseignait le salut par les œuvres ordonnées par le régime catholique et ses papes successifs, les Réformateurs n’ont retenu que ce qui était le plus important : le salut offert en grâce au nom de Jésus-Christ qui condamnait et condamne encore aujourd’hui, les œuvres vaines d’expiation ordonnées par la doctrine catholique romaine et papale à ses adeptes.
Animés de cette seule certitude découverte dans la sainte Bible, les élus de cette époque ténébreuse se sont montrés fidèles en risquant leur vie et en acceptant de mourir en martyrs. Leur amour pour Dieu était sincère et absolu et Dieu se contenta, momentanément, de cette restauration de son perpétuel Evangile. Cependant, il acceptait lui-même, la frustration de voir pleins d’autres vérités ne pas être restaurées. Et après la démonstration de la foi parfaite de Pierre Vaudès dit Valdo en 1170, la Réforme partielle du XVIème siècle était réellement frustrante pour lui.
Après les épreuves adventistes de 1843 et 1844, les adventistes devaient réaliser que la justification par la foi ne s’applique pas uniquement à la foi placée sur Jésus-Christ, mais aussi, pour tous les ordres donnés par Dieu dans la « loi de Moïse » qui seule prescrit la norme de la sainteté exigée par Dieu.
En favorisant leur lecture des écrits de la nouvelle alliance, tous les groupes protestants et beaucoup d’adventistes n’ont pas réalisé que les Evangiles et les épîtres étaient adressés à des juifs convertis à Jésus-Christ et non à des gens héritiers du paganisme. Et la différence est énorme dans ses effets et ses conséquences. Le piège de cette démarche est cependant bien connu et enseigné en ces termes populairement : « Tout texte pris hors de son contexte n’est que prétexte ». Hélas pour eux, mais Dieu condamne le prétexte et ne donne valeur qu’à sa vérité.
Le fait que les Evangiles et les épîtres ont été écrits par des Juifs convertis change toute la lecture de leurs déclarations. Car ayant été formés dans la « loi de Moïse », celle-ci est si naturelle et normative pour eux, qu’ils ne la citent pas. Je donne cet exemple de ce que dit Paul dans 1 Corinthiens 10:31 : « Soit donc que vous mangiez, soit que vous buviez, soit que vous fassiez quelque autre chose, faites tout pour la gloire de Dieu. »
Voici comment le Juif formé par la « loi de Moïse » lit ce message :
Le contexte du discours est la nourriture souillée par la présentation aux divinités païennes. Paul tient ces divinités pour vaines puisqu’elles n’existent pas, dans ce cas, l’exposition aux rites diaboliques n’a aucun effet nocif sur les aliments eux-mêmes. Rendue forte par cette connaissance, sa foi le conduit à manger de tout, sans problème de conscience sur ce sujet de souillure païenne. Lisant « faites tout pour la gloire de Dieu », Paul sait comme tout autre Juif comment lui rendre gloire ; il lui suffit de ne pas consommer ou boire ce que Dieu condamne et classe comme « impur » dans Lévitique 11. Relève le fait que ces choses ne changent pas de normes à cause de la venue du messie.
Voici, maintenant, comment un païen actuel, faussement converti, lit ce verset :
Le péché étant le manque de conviction, moi, j’ai la conviction que ce que je mange et bois ne subit aucun dommage par les fausses divinités. Ma foi soit, ma conviction, glorifie Dieu et je peux manger tout ce que je veux : du porc, des crustacés, et tout ce que l’homme cultive, chasse ou pêche.
La lecture du Juif converti est conforme au principe de la justification par la foi, tandis que la lecture du païen converti ne l’est pas. Car le sujet de la foi n’a de valeur qu’en tant que déclaration faite par Dieu et ne pas tenir compte de son classement pur et impur révélé dans lévitique 11 est le contraire de la foi, donc le péché volontaire qui rend celui qui le commet digne de mort et doc, indigne de la grâce du Christ.
Voici un autre verset qui piège les païens faussement convertis :
Actes 16:30 à 32 : Le geôlier de la prison demanda à Paul et Silas : « Seigneurs, que faut-il que je fasse pour être sauvé ? » « Paul et Silas répondirent : Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé, toi et ta famille. » Mais le verset suivant précise : « Et ils lui annoncèrent la parole du Seigneur, ainsi qu'à tous ceux qui étaient dans sa maison. » Cette famille ne fut baptisée qu’après avoir été enseignée des bases de la « loi de Moïse », « la parole du Seigneur ». Après cette expérience, elle allait apprendre auprès de Juifs, les détails de cette divine loi. C’est ainsi que les païens convertis étaient greffés sur la racine du Judaïsme hébreu. Ceci conformément à l’enseignement d’Actes 15:19 à 21 : « C'est pourquoi je suis d'avis qu'on ne crée pas des difficultés à ceux des païens qui se convertissent à Dieu, mais qu'on leur écrive de s'abstenir des souillures des idoles, de l'impudicité, des animaux étouffés et du sang. Car, depuis bien des générations, Moïse a dans chaque ville des gens qui le prêchent, puisqu'on le lit tous les jours de sabbat dans les synagogues. » En disant « Moïse », l’apôtre Jacques évoque, « la loi de Moïse », la base doctrinale des Hébreux que Dieu présente comme norme de sa vérité au monde entier. En faisant du peuple hébreu, le dépositaire de sa divine loi, Dieu fait d’Israël le modèle que son salut en Christ peut sauver. Cependant, seul Jésus-Christ n’a pas transgressé cette « loi de Moïse » en sorte qu’Israël n’est pas lui-même, le modèle à imiter, mais seulement, l’image du peuple préparé pour le salut. Cependant cette préparation doctrinale n’a pas empêché son manque de foi qui lui a fait rejeter le Messie qui s’est présenté à lui, avec de puissants miracles et un témoignage de vie irrépréhensible, en Jésus de Nazareth qui était bien Jésus-Christ soit, Jésus le messie.
La justification par la foi concerne aussi l’intérêt pour la parole prophétique comme l’indique le verset d’Habakuk 2:3 : « Car c'est une prophétie dont le temps est déjà fixé, elle marche vers son terme, et elle ne mentira pas ; si elle tarde, attends-la, car elle s'accomplira, elle s'accomplira certainement. »
La nation juive a traversé le temps de son alliance soit, environ 15 siècles, dans l’attente du messie annoncé et promis par Moïse selon Actes 3:22-23 : « Moïse a dit : Le Seigneur votre Dieu vous suscitera d'entre vos frères un prophète comme moi ; vous l'écouterez dans tout ce qu'il vous dira, et quiconque n'écoutera pas ce prophète sera exterminé du milieu du peuple. » Le texte originel se trouve dans Deutéronome 18:15 et 18-19 où Dieu dit à Moïse : « Je leur susciterai du milieu de leurs frères un prophète comme toi, je mettrai mes paroles dans sa bouche, et il leur dira tout ce que je lui commanderai. Et si quelqu'un n'écoute pas mes paroles qu'il dira en mon nom, c'est moi qui lui en demanderai compte. »
Et de quelle manière Dieu fait-il rendre compte à ceux qui n’écoutent pas ses paroles ? Il les livre à leurs ennemis : Nébucadnetsar en – 586 ; Vespasien et Titus, les Romains en 70 ; le pape Vigile en 538 ; les guerres de religion au XVIème siècle ; l’athéisme révolutionnaire en 1793 ; Deux guerres mondiales en 1914 et 1939 et la Russie de Vladimir Poutine en 2026.
Plus précisément pour l’ère chrétienne, Dieu fait rendre des comptes par les nations chrétiennes rebelles en les frappant par les châtiments de ses « sept trompettes » d’Apocalypse 8, 9, 10 et 11, mais je précise que seules les « six » premières ont un but d’avertissement car la « septième » n’avertit plus, elle juge, sépare les élus et tue les derniers survivants humains dispersés sur la terre.
La dernière phrase de ce verset trouve son application prophétique et historique dans l’annonce de Daniel 9:26 du texte hébreu, ici correctement traduite : « Après les soixante-deux semaines, un Oint sera retranché, et il n'aura personne pour lui. Le peuple d'un chef qui viendra détruira la ville et la sainteté, et sa fin arrivera comme par une inondation ; il est arrêté que les dévastations dureront jusqu'au terme de la guerre. »
Frappé également par la malédiction de Dieu, le faux christianisme ne vit pas dans une relation avec lui. Les faux chrétiens se contentent de se réclamer d’un salut révélé dans la sainte Bible. Cependant, la religion véritable consiste à entrer en relation avec le Dieu vivant et à l’entretenir déjà sur la terre actuelle. Une telle relation exige une confiance et un désir de partage réciproque de Dieu et de sa et ses créatures. Et pour que cette relation fonctionne, l’intérêt des rachetés pour la parole prophétique de la sainte Bible est indispensable. La chose est confirmée dans 2 Pierre 1:19 à 21 : « Et nous tenons pour d'autant plus certaine la parole prophétique, à laquelle vous faites bien de prêter attention, comme à une lampe qui brille dans un lieu obscur, jusqu'à ce que le jour vienne à paraître et que l'étoile du matin se lève dans vos cœurs ; sachant tout d'abord vous-mêmes qu'aucune prophétie de l'Écriture ne peut être un objet d'interprétation particulière, car ce n'est pas par une volonté d'homme qu'une prophétie a jamais été apportée, mais c'est poussés par le Saint Esprit que des hommes ont parlé de la part de Dieu. »
Mes messages reviennent souvent sur ces versets clés de Daniel 9 ou 2 Pierre 1:19 à 21, mais c’est normal, car leur mépris cause la mort spirituelle des faux chrétiens tout au long de l’ère chrétienne depuis l’an funeste 313, l’heure où le chandelier à 7 lampes suggéré par cette figure numérique est enlevé par Dieu à son Eglise, et jusqu’à la fin du monde fixée pour le printemps 2030.
Dans ce message, j’ai démontré que la justification par la foi a trois applications principales fondamentales : la foi au Christ, la foi en la parole de Dieu écrite dans toute la sainte Bible entière, et enfin, la foi spécifiquement placée sur les annonces des prophéties bibliques des deux alliances. Ces trois aspects et sujets de la foi sont complémentaires et inséparables et ils permettent de comprendre les causes des échecs religieux successifs de l’histoire humaine.
Les premiers, les antédiluviens ne croient pas au déluge annoncé par Noé. Conséquence : le déluge les noie et les tue.
Les seconds sont les Hébreux de l’ancienne alliance. Ils ne croient pas les prophètes tel Jérémie qui annonce leur exil en déportation à Babylone en Chaldée. Conséquence : en – 586, leur nation attaquée pour la troisième fois est détruite par les armées du roi Nébucadnetsar qui les déporte en Chaldée pendant 70 années conformes à l’annonce du prophète Jérémie. Plus tard en l’an 30, il exige la mort de Jésus-Christ qu’ils tiennent pour un usurpateur qui prétend faussement être le messie. Conséquence : la prophétie de Daniel 9:26 s’accomplit en l’an 70. Les armées romaines viennent et détruisent Jérusalem, son clergé, sa population et son temple. Le sol de la ville est labouré. Les Juifs survivants sont chassés de leur terre nationale et sont dispersés parmi les peuples et les nations du monde.
Prévenus par ces expériences de l’ancienne alliance, les dernières victimes coupables du non respect de la justification par la foi sont les faux chrétiens occidentaux européens que déjà deux guerres mondiales ont frappés entre 1914 et 1918 puis entre 1939 et 1945. Et la Troisième va les détruire entre 2026 et 2029, accomplissant ainsi les annonces des prophéties de Daniel, Ezéchiel, Zacharie et Apocalypse. A l’inverse des Juifs, les faux chrétiens revendiquent le salut de la grâce du Christ tout en affichant un mépris outrageux pour la loi de Moïse sensée les préparer pour recevoir la grâce et le salut divin. Et en ultime outrage, depuis 1994, l’adventisme officiel institutionnel a complètement apostasié en reniant les messages de préparation révélés par Jésus-Christ à sa servante fidèle Ellen White et mon dernier message présenté entre 1982 et Novembre 1991, date de ma radiation officielle. Ainsi ont été méprisées, successivement, la petite lumière du début appelée « cri de minuit », puis en 1991, la grande lumière prophétisées par Dieu dans sa première vision donnée à sa messagère.
Ces fautes commises par les chrétiens sont d’autant moins pardonnables par Dieu que les écrits de la nouvelle alliance multiplient les mises en garde contre la fausse foi et le mépris des révélations inspirées par le Saint-Esprit de Dieu en Jésus-Christ. Je lis en effet dans 1 Thessaloniciens 5:19 à 21 cet avertissement : « N'éteignez pas l'Esprit. Ne méprisez pas les prophéties. Mais examinez toutes choses ; retenez ce qui est bon ; abstenez-vous de toute espèce de mal. » Et malgré ces avertissements, ils ont éteint l’Esprit ; ils ont méprisé les prophéties ; et n’ont pas su reconnaître ce qui était bon quand ils ont examiné mes explications prophétiques. Ils ont ensuite commis le mal en rejoignant l’alliance protestante que Dieu a rejetée et dont il a fait sa deuxième ennemie depuis 1843.
M57- La malédiction coloniale
Dans le dixième de ses dix commandements, Dieu dit :
« Tu ne convoiteras point la maison de ton prochain ; tu ne convoiteras point la femme de ton prochain, ni son serviteur, ni sa servante, ni son bœuf, ni son âne, ni aucune chose qui appartienne à ton prochain. »
Dans ce verset, Dieu ne dit pas « ni la terre de ton prochain » et ceci pour la bonne raison que la terre reste sa seule et exclusive propriété, en dépit de ce que peuvent penser les êtres humains. Et je rappelle à ce sujet que dès les origines de la création, les êtres humains créés organisent leur vie collective en tribu soit en regroupement d’une famille composée de tous ses descendants. Et leur mode de vie est du type nomade. L’immensité terrestre est placée devant eux et au gré des saisons et du climat, ils se déplacent pour offrir à leurs troupeaux d’animaux domestiques et d’élevage, des terres verdoyantes nutritives.
Bien que Dieu n’ait pas précisé « ni la terre de ton prochain », l’esprit du commandement concerne la terre dans l’expression « ni aucune chose qui appartient à ton prochain » dans le temps où le droit de propriété terrestre a été adopté et reconnu par tous les êtres humains.
Je relève que ce dernier des dix commandements de Dieu est aussi celui qui permet d’éviter le drame final qui vient sur l’humanité du « temps de la fin », précisément marqué par les conséquences du colonialisme. Il prend ainsi un caractère prophétique. Car c’est bien parce qu’il a été ignoré et transgressé que le colonialisme a été instauré par les peuples occidentaux dominateurs. Mais ce colonialisme a aussi été favorisé par l’acceptation du statut de l’esclavage.
L’esclavage était admis et reconnu par l’humanité dominatrice des peuples païens de la terre. Héritiers de principes inspirés par les démons, la chose n’a rien d’étonnant et l’esclavage était la norme logique de l’existence organisée sur le principe de la loi du plus fort. Dans les arènes de Rome, les gladiateurs affrontaient des bêtes sauvages et des êtres humains en prenant le risque d’être eux-mêmes tués.
N’étant venu sur terre que pour accomplir le sacrifice de sa vie pour racheter les péchés de ses élus, Jésus n’est pas venu pour imposer un changement des règles de vie humaines. Il n’a pas cherché à remplacer le système diabolique par le sien. Mais il a clairement indiqué le type de comportement que Dieu bénit et approuve ; laissant libre, chacun et chacune de s’y conformer ou pas.
La méchanceté humaine apparaissait dans la norme de la vie de la civilisation romaine sur laquelle notre civilisation actuelle repose. Mais prendre Rome pour base ne suffit pas, car dans sa révélation prophétique de Daniel 2, après « la tête d’or » et « la poitrine et les bras d’argent » des dominations successives chaldéenne et Mède et Perse, Dieu stigmatise l’empire grec par le symbolisme du péché et de la dépravation sexuelle, par le symbolisme « du ventre et des cuisses » composés « d’airain » soit, du bronze constitué de mélange de métaux dont le cuivre. Dieu lui impute donc une immense « impureté » qu’il ne peut que condamner.
Ayant relevé cette leçon, nous pouvons en retirer une seconde qui prophétise la malédiction coloniale, titre de ce message. En effet, dans Daniel 8 :9, nous lisons : « De l'une d'elles sortit une petite corne, qui s'agrandit beaucoup vers le midi, vers l'orient, et vers le plus beau des pays. » Désignant Rome située à l’Occident, cette croissance du pouvoir romain vers l’Orient concerne la Grèce où Rome est intervenue militairement, étant appelée par la ligue Etolienne engagée en guerre civile contre la ligue Achéenne. Dans cette action, Rome a fait de la Grèce entière une colonie romaine et l’intérêt de cette révélation biblique montrée par Dieu est très grand parce qu’il révèle la cause du drame final vécu par l’humanité entière à cause de la domination occidentale coloniale.
A travers le comportement de Rome, Dieu désigne le comportement de l’Occident jusqu’à la fin du monde. Et ce qu’il faut relever, c’est que Rome avalait comme une éponge, les mœurs et les divinités des peuples colonisés. En sorte que ses colonisations augmentaient sa malédiction et préparaient des problèmes de cohabitations qui ont fini par détruire sa domination impériale. Car au fil du temps, l’ethnie romaine a fini par être minoritaire dans son propre empire. Rome était peuplée de gens venus de toutes les colonies conquises, et les rancœurs suscitaient des désirs de vengeance contre le colon romain. On peut en effet relever l’intérêt d’une telle leçon qui prophétise la malédiction coloniale des nations européennes du temps de la fin qui ont reproduit les œuvres de la Rome conquérante.
Il est donc intéressant de relever que la transgression du dixième des dix commandements porte en elle-même la punition du transgresseur. Je vais donc démontrer la chose par plusieurs exemples.
Pour l’Occident chrétien actuel les premières colonisations sont celles de l’Amérique du Sud par l’Espagne et le Portugal qui se sont partagé la terre sur un choix imposé par la papauté romaine. La religion chrétienne implantée sur ce continent fut donc celle du catholicisme conquérant persécuteur papal romain porteur de la malédiction divine. Ces conquêtes ont été réalisées par les « Conquistador » au prix du massacre de millions de gens qui peuplaient ces terres. Et la pratique de l’esclavage favorisait ce désir de conquête parce que le pays conquis offrait à la fois, des matières premières, des grandes richesses, mais aussi la main d’œuvre corvéable pour les exploiter et les travailler. C’est ainsi, qu’en Colombie, les occidentaux ont découvert le café mais aussi le tabac et la pratique de le fumer. Ces drogues ont intoxiqués les pays occidentaux dans lesquels elles ont une grande néfaste influence. Car l’usage de la drogue provoque le déclin de la civilisation humaine. On le considère comme une drogue douce, mais le café contient de la caféine qui est une authentique drogue qui rend l’usager totalement dépendant de sa consommation. La chose représente un grand intérêt pour les marchands de ces choses qui sont assurés de ne pas manquer de clients. Mais les drogues, même douces, ont des effets dévastateurs sur les esprits humains. Les indigènes païens vivant en Amérique du Sud avaient été rendus esclaves de la consommation de leurs diverses drogues trouvées dans les végétaux. Les uns fumaient le tabac, d’autres le mâchaient, de même que les feuille du cola. Et pour leur malédiction, les Occidentaux européens ont importé chez eux ces pratiques augmentant ainsi l’incidence de la mort et de la maladie, en dépit des divers progrès sanitaires réalisés au fil des derniers temps modernes. Au temps de Louis XIV et Louis XV, il était de bon goût de priser le tabac soit, d’humer son odeur et ses essences par le nez.
Marco Polo a offert à l’Italie papale, des liens commerciaux avec la Chine d’où il a importé la connaissance de la poudre explosive qui a changé la norme de la guerre dans tout l’Occident. Je relève là, une malédiction d’une énorme importance qui s’évalue aux millions de morts obtenus. Car équipés de l’arme à feu, les peuples occidentaux ont pu imposer leur force et leur puissance guerrière à tous les autres pays de la terre. Grace au mousquet, l’ancêtre du fusil, et du pistolet, l’homme disposait du pouvoir de tuer à distance plus longue que la portée des flèches des arcs, déjà augmentée par l’invention de l’arquebuse.
L’autre pays grand colonisateur est l’Angleterre dont les colonies se sont étendues vers l’Occident et vers l’Orient. Vers l’Occident ce pays a conquis toute l’Amérique du Nord dont l’immense Canada. Et vers l’Orient, l’Angleterre a colonisé l’immense Inde, ce qui en fait le plus grand des pays colonisateurs mondiaux. En 1948, l’Angleterre gérait la Palestine quand la nation Israël y a été réinstallée. Et aujourd’hui, les USA, première puissance économique et financière du monde n’est qu’une excroissance anglaise dissidente qui a pris par les armes son indépendance. Et sa langue parlée officielle est restée l’anglais.
En colonisant l’Inde, l’Angleterre a découvert le thé vert qui, comme le café, est une drogue douce qui contient de la théine. Son pouvoir pour créer la dépendance est constatable et rendu incontestable quand on considère l’importance donné dans ce pays au « thea time », l’heure du thé fixée à 17 heures nationalement. Et la drogue douce ne fait que préparer la voie de l’usage de la drogue dure que l’Angleterre a trouvé en Chine avec l’opium. Le dernier comptoir anglais chinois a été Hong-Kong à partir duquel, l’Angleterre a envahi le marché européen par ses importations chinoises avant que la Chine entre dans l’OMC pour devenir progressivement le géant économique industriel et militaire actuel. Il a fallu 2 siècles pour que les colonisations de l’Angleterre portent leurs fruits de malédictions finales. Car, après leur prise d’indépendance, ces pays anciennement colonisés par l’Angleterre ont conservé des relations privilégiées par le partage de la langue anglaise, et de nombreux habitants de ces pays ont choisi d’émigrer vers l’Angleterre. En effet, la communauté hindoue est fortement représentée à Londres et partiellement dans le reste du pays. La population de Londres reflète par sa composition le passé colonial de l’Angleterre. Et ce mélange de peuples différents crée des problèmes racistes locaux que l’autorité nationale doit réduire au maximum. Le même problème concerne les pays colonisateurs du sol européen : la Belgique, la France, le Portugal, et l’Italie.
Ces pays ont principalement colonisé des peuples africains.
La France et l’Italie ont colonisé le Maghreb musulman, et la Belgique et la France ont colonisé les peuples de l’Afrique centrale y apportant la religion chrétienne dans tous ses différents aspects. Le temps de la décolonisation est venu après 1945 et comme pour l’Angleterre, le sol du pays colon a reçu une immigration venant des anciens pays colonisés. Pour leur malheur, la religion de l’islam et ses soutiens fanatiques a été installée en totale opposition à la norme de vie locale héritée du catholicisme papal romain. Pour sa part, la France actuelle a noué des relations privilégiées avec le Maroc. En conséquence, pour sa malédiction, sa population est livrée à l’usage du cannabis importé massivement du Maroc.
Ainsi, toutes les nations qui ont transgressé le dixième des dix commandements de Dieu en convoitant des terres étrangères en subissent tôt ou tard la conséquence qui est la malédiction divine. Car Dieu ne fait qu’exploiter la situation terrestre pour la retourner contre ceux qu’il tient pour coupable. Ainsi se confirme l’idée de ce dicton français populaire : « Qui crache en l’air, sur son nez ça lui retombe ».
Mais il ne faut pas oublier que ces comportements colonisateurs maudits ne sont que les conséquences de la malédiction religieuse incarnée dans l’église catholique romaine dont Vigile, le premier chef papal, a convoité en premier le ministère d’intercession qui appartient exclusivement à Jésus-Christ : la convoitise s’applique donc, en premier, à la religion divine, elle-même, contre Dieu. Ensuite, la convoitise prend toute son importance quand on réalise qu’elle conduit l’homme à transgresser les cinq commandements de Dieu qui la précèdent. En effet, la convoitise conduit l’homme à ne pas honorer son père et sa mère, à assassiner, à commettre l’adultère, à voler, et à mentir en portant de faux témoignages contre son prochain. Au sujet du premier de la liste, c’est la convoitise qui a conduit des héritiers royaux à tuer leur père ou leur mère. De simples particuliers peuvent agir de même pour hériter du patrimoine détenu par leurs parents. Et nous devons relever le fait que nos sociétés modernes actuelles produisent le fruit de la transgression de tous ces autres commandements de Dieu. Et ce résultat est le fruit de la convoitise suscitée par la publicité et son matraquage de spots multiplement répétés. Je relève le fait que l’homme qui doit normalement manger pour vivre est aujourd’hui exploité et apprécié uniquement pour son rôle de consommateur. Les autorités nationales encouragent les naissances pour obtenir plus de consommateurs. Et ce renversement des valeurs des choses témoigne du niveau de perversité atteint dans nos sociétés occidentales modernes, victimes du mal qu’elles n’ont ni su, ni voulu, ni pu, combattre. Comme le Cancer, le mal défini par Dieu les a gagnées, vampirisées et gangrénées. Dans l’actualité, l’exaspération provoquée par l’arrivée constante de nouveaux étrangers immigrés soulève en Angleterre, des Anglais qui manifestent en brandissant le drapeau anglais. L’immigration est un poison lent comme l’arsenic ; il tue à petites doses constantes renouvelées. Et je le rappelle, l’immigration contredit le choix de Dieu de séparer les peuples par sa création des langues différentes dans l’expérience de la tour de Babel. Il faut bien comprendre que par cette initiative, Dieu a voulu protéger les peuples contre sa propre fureur et son châtiment mortel. C’est pourquoi, la forte immigration venue en Europe révèle sa malédiction. Dans le temps de la fin, reproduisant le modèle des USA, l’Europe restaure l’esprit de Babel, mais cette fois, Dieu ne dispose plus de l’arme des langues pour les séparer ; ce qu’il ne cherche pas à faire, laissant les choses se faire. Car il sait, ce que cette immigration insupportée va provoquer ; des heurts, des violences, des vols, des crimes, des combats de plus en plus meurtriers ; toutes choses que la séparation des peuples par le moyen des langues devait permettre d’éviter. Nous ne devons jamais oublier que Dieu a créé la terre et sa dimension pour y révéler la nature des conceptions de la vie rebelle revendiqué par Satan et les autres mauvais anges. L’humanité terrestre actuelle est le fruit final porté par ce régime diabolique ; Dieu ne fera donc plus rien désormais pour l’apaiser et l’adoucir.
On peut le constater, ce n’est qu’après 1843 que le progrès technique s’est développé avec les différentes énergies successives : moteur à vapeur, à explosion, jusqu’au moteur électrique. L’homme est devenu dépendant de ces sources énergétiques que sont, le pétrole, le gaz, l’uranium et l’électricité obtenue par l’hydraulique, les éoliennes ou les capteurs solaires. Et depuis 1945, en Occident, les USA ont séduit continuellement les Occidentaux et leurs colonies par leurs inventions renouvelées. Ceci est très important et suffisamment pour que Dieu le révèle et le signale dans ses prophéties annoncées par Jésus-Christ, directement lui-même ou dans ses révélations à ses prophètes, dont Jean le réceptionnaire de son Apocalypse. Nous lisons dans Matthieu 24:24 : « Car il s'élèvera de faux Christs et de faux prophètes ; ils feront de grands prodiges et des miracles, au point de séduire, s'il était possible, même les élus. » Il se peut que cette annonce concerne encore le temps final qui est encore devant nous, mais déjà nous trouvons aux USA et en Europe, dans la religion protestante des groupes évangéliques dans lesquels des manifestations du parler en langue et des miracles sont déjà présentes et relevées. Et je le reconnais, ces « prodiges » et ces « miracles » sont plus spirituels qu’industriels. Mais, Dieu dit au sujet de l’Amérique protestante dans Apocalypse 13:13 : « Elle opérait de grands prodiges, même jusqu'à faire descendre du feu du ciel sur la terre, à la vue des hommes. » Cette fois, ce feu du ciel désigne la désintégration nucléaire de la matière qui est bien un prodige technique. Et personne sur la terre ne peut aujourd’hui contester le fait que les USA ont été les premiers utilisateurs de la bombe atomique dont les villes japonaises de Hiroshima et Nagasaki furent les malheureuses victimes en 1945. Et ce haut fait d’arme a valu aux USA la possibilité de s’imposer sur toute la terre comme première puissance économique, technique, scientifique, politique, du monde. C’est ce pays qui a construit le modèle de nos civilisations qui rassemblent des consommateurs. Car ses élites ont compris en premier l’intérêt d’exciter la convoitise des peuples, et de les assujettir économiquement, plutôt que militairement. L’usage de la force prend un coût élevé en argent et en vies humaines, tandis que susciter la demande et la convoitise des peuples ne coûte rien, sinon des frais publicitaires.
Dans le long temps de paix compris entre 1945 et 2025, dans l’actualité le marchand intraitable Donald Trump le rappelle et le confirme, les USA ont imposé des accords commerciaux à leurs clients mondiaux et européens. Cette obligation d’achat signée par des traités officiels était nouvelle, une vraie première dans l’histoire humaine. Les Américains ont voulu sécuriser leur rente commerciale et ils sont aussi les inventeurs de l’emprunt à crédit qui assure au prêteur une rente sûre et régulière. Puis le système a créé les assurances qui procurent également des rentes régulières ; je relève néanmoins que faire payer par les gens prudents les dégâts faits pat les imprudents n’est pas très moral en soi, ce serait même tout le contraire, mais ceux qui ont instauré ces choses ne sont pas les enfants de Dieu, mais ceux du diable. Le pouvoir séducteur commercial des USA repose donc uniquement sur son aptitude à susciter la convoitise chez ses clients mondiaux, et ils disposent pour y parvenir d’armes très efficaces ; le cinéma, la télévision, la diffusion des disques vinyles, des K7, des CD, et des ordinateurs personnels et pour finir, des téléphones numériques portables. Pour parachever leur réussite finale, ils ont pris dans le filet internet tous les habitants de la terre qui réussissent à l’utiliser. Leurs grandes centrales d’achats ont pour clients tous ceux et celles qui sont utilisateurs d’internet. Et dans les nations occidentales, le grand et le petit commerce font faillite et ferment leurs entreprises sous les yeux aveuglés des dirigeants politiques.
Ce que je viens de décrire est semblable à l’image d’un serpent dont les yeux hypnotisent une souris qu’il paralyse jusqu’à ce qu’il l’avale et la digère.
Ainsi le pays auquel le diable donne les royaumes du monde bénéficie de tous les avantages : il est religieusement protestant et glorifie officiellement la sainte Bible ce qui lui donne l’image symbolique de « l’agneau a deux cornes » depuis que dans ce pays protestant, la religion catholique a été implantée à cause des immigrations hispaniques mexicaines, cubaines et autres. Le pays n’est pas encore entré dans son dernier rôle symbolisé par le mot dragon dans Apocalypse 13:11 : « Puis je vis monter de la terre une autre bête, qui avait deux cornes semblables à celles d'un agneau, et qui parlait comme un dragon. » Cependant, déjà avec la forte autorité du nouveau président réélu en 2025, Donald Trump, le discours américain se fait déjà pressant et autoritaire. Ses dernières actions punitives menées contre l’Iran et les narcotrafiquants nous montrent l’homme qui est prêt à utiliser l’arme atomique pour détruire la Russie, afin d’obtenir la « chère paix agréable à son cœur ». Mais, il n’agira pas ainsi, avant que Dieu le lui permette, parce qu’avant de disparaître, la Russie doit détruire les puissances européennes des « dix cornes » de Daniel 7:7-24 et Apocalypse 17:3 : « Il me transporta en esprit dans un désert. Et je vis une femme assise sur une bête écarlate, pleine de noms de blasphème, ayant sept têtes et dix cornes. »
Dans la prophétie, Dieu ne parle pas des guerres mondiales parce qu’il garde constamment pour cible privilégiée, cette terre européenne où la religion catholique romaine a persécuté ses saints fidèles. Elle était sa cible en 1914, l’était encore en 1939, et l’est encore en 2022, quand attaquée par la Russie, l’Ukraine demande son aide à l’Europe, qui s’engage à ses côtés en lui fournissant des armes et des munitions, attirant ainsi sur elle la haine et la colère vengeresse russe.
La convoitise apparaît aussi dans ce désir croissant d’extension de l’Europe de l’U.E. qui accueille, sans se soucier des conséquences, des pays qui se sont séparés du pacte de l’Est. Le moindre désir d’Occident formulé par ces pays est aussitôt fortement encouragé par les dirigeants européens pris dans une sorte de fièvre expansionniste. Quelle est la cause de cette témérité audacieuse ? La conviction qu’ils sont protégés par la toute puissante Amérique des USA qui a sur les Européens le même effet dominateur que l’ancienne Rome conquérante. Dans la suite du temps, la Rome païenne a été remplacée par la Rome papale, mais Rome restait la souveraine des nations monarchiques catholiques des « dix cornes » européennes. Aussi, dans la prophétie, c’est elle que Dieu garde pour cible, jusque dans l’Europe de l’U.E. actuelle dont les deux alliances successives portent son nom : les deux traités de Rome. Ainsi, païenne ou papale, Rome reste Rome comme l’enseigne le symbole de la « petite corne » qui désigne l’une et l’autre dans Daniel 7:8 et Daniel 8:9. Pour l’homme profane qui la visite en touriste aujourd’hui, Rome présente les vestiges partiellement détruits de son passé puissant et victorieux. Dieu voit aussi les mêmes choses mais il regarde surtout, l’Etat du Vatican où siège son ennemi séculaire : le pape et son clergé maudit. Car contrairement aux Romains du passé, cette Rome papale s’active encore chaque jour et j’apprends en ce jour qu’elle s’apprête à canoniser un jeune enfant mort, en raison de son témoignage, car il visitait les pauvres et s’efforçait de réveiller la foi de ses parents et amis. Nulle doute que cette action va plaire et séduire des foules de gens aveugles et maudits par Dieu qui exige de ses vrais saints, la démonstration d’amour de toute sa vérité révélée ; car les bonnes œuvres catholiques ne font que masquer la glorification du mensonge païen romain.
Pour ce qui est de la fascination de l’Europe quand elle regarde l’Amérique des USA, nous pouvons comprendre déjà ce que sera l’avenir et nous pouvons confirmer la forme du gouvernement universel que les survivants de la « sixième trompette » adopteront. En effet, déjà actuellement, l’U.E. regarde l’Amérique puissante comme un bouclier protecteur étant en cela déjà dans l’esprit de « la bête » qu’Apocalypse 13:4 décrit en ces termes : « Et ils adorèrent le dragon, parce qu'il avait donné l'autorité à la bête ; ils adorèrent la bête, en disant : Qui est semblable à la bête, et qui peut combattre contre elle ? »
Si je traduis le message de ce verset, je dis : « et ils adorèrent la Rome impériale païenne, parce qu’elle avait donné l’autorité à la bête du catholicisme papal romain. » Dieu révèle ici la conséquence de la succession des deux Rome ; impériale païenne en 313, puis papale faussement chrétienne en 538. Et nous trouvons la fascination de la puissance hégémonique du catholicisme papal : « Qui est semblable au régime papal romain et qui peut combattre contre lui ? » La question étant posée, la réponse est présentée dans Apocalypse 11:7 : l’athéisme révolutionnaire français symbolisé par « la bête qui monte de l’abîme » en 1793. Perdant son autorité suprême, le catholicisme guéri retrouve en Europe et ailleurs son prestige mais pas son ancienne puissance. Car elle est remplacée par la religion protestante dominante en Amérique et désignée au verset 11, où elle est symboliquement : « la bête qui monte de la terre ». Mais elle tiendra ce rôle uniquement après la fin de la « sixième trompette » ou Troisième Guerre Mondiale qui vient et dans laquelle l’Europe va affronter la Russie et sera écrasée par elle. Son comportement « dragon »se révèlera au cours de la dernière épreuve de foi terrestre basée sur l’imposition du repos du dimanche sous peine de sanctions qui prendront finalement la forme de la condamnation à mort des gens réfractaires.
Et je rappelle à son sujet, l’importance des détails révélés par Jésus-Christ dans Matthieu 24:22 : « Et, si ces jours n'étaient abrégés, personne ne serait sauvé ; mais, à cause des élus, ces jours seront abrégés. » Le Seigneur pèse les mots qu’il emploie et chacun d’eux est une révélation divine. Voici donc l’explication de ce message : Le message est adressé à ses derniers élus auquel il a permis de comprendre que son retour est fixé au jour du printemps 2030. Ce jour se présente 14 jours avant la Pâque officielle du 4 Avril 2030, jour qui succède à celui de la mort de Jésus-Christ accompli le 3 Avril 30 soit, la veille de la Pâque du 4 Avril 30. Depuis la mort de Jésus, les derniers deux mille ans de l’ère chrétienne s’achèvent donc en cette veille de Pâque située 13 jours après le jour du printemps 2030. Cette date de la Pâque officielle de l’an 2030, ou celle de sa veille, sera choisie comme date butoir du délai de réflexion donné aux fidèles observateurs du saint sabbat de Dieu avant de les tuer. C’est donc la date où ils vont être mis à mort si Jésus n’intervient pas avant cette date pour les sauver. Or, dans Matthieu 24:4, Jésus annonce son intention « d’abréger les temps », précisément pour « sauver ses élus ». Ainsi, en intervenant au jour du printemps soit, 13 ou 14 jours avant leur exécution mortelle, à la fois, « il abrège les temps » et « il sauve ses élus fidèles » comme il l’a annoncé. Ainsi deux logiques entrent en action ; la logique du temps des 6000 années dont les débuts sont marqués par le printemps et la logique des deux mille ans qui séparent les deux Pâques de l’an 30 et de l’an 2030. Et très logiquement, Jésus revient au premier jour du printemps qui marque le début du septième millénaire prophétisé par son saint sabbat du septième jour « sanctifié » par Dieu dès la fin de la première semaine de sa création terrestre : Genèse 2:3 : « Dieu bénit le septième jour, et il le sanctifia, parce qu'en ce jour il se reposa de toute son œuvre qu'il avait créée en la faisant. » Ainsi, l’identité du septième millénaire étant cachée derrière le septième jour, pour saisir le message prophétique, il suffit de changer le temps du verbe « il se reposa » en adoptant le temps du futur, « il se reposera ».
En notre temps de la fin, la convoitise domine une société comblée de richesses et de biens de toutes sortes qui ont rendu les humains de plus en plus convoiteurs. Cette profusion de richesse a aussi ses inconvénients ; les hommes sont de plus en plus blasés et se lassent de plus en plus vite des choses qu’ils acquièrent, à des prix élevés plus ou moins élevés. Peu de gens savent se contenter du minimum utile et l’apôtre Paul a dit à ce sujet dans 1 Corinthiens 6:12 : « Tout m'est permis, mais tout n'est pas utile ; tout m'est permis, mais je ne me laisserai asservir par quoi que ce soit. » Il dit aussi dans 1 Corinthiens 10:23 : « Tout est permis, mais tout n'est pas utile ; tout est permis, mais tout n'édifie pas. » Nos sociétés modernes sont bien loin de ces valeurs spirituelles qui sont celles que le Dieu créateur approuve et bénit. Devenus capricieux et coléreux, les jeunes gens habitués à obtenir tout ce qu’ils demandent de leurs parents ou des Etats, deviennent violents quand ils n’obtiennent plus ce qu’ils convoitent. Et c’est certain que jamais au cours de l’histoire humaine la convoitise a pris une aussi grande ampleur qu’aujourd’hui. Ce dixième des dix commandements de Dieu cible bien notre temps de la fin.
M58- Le repos du septième jour
Alors que j’écrivais la fin du message précédent vers 21 heures le vendredi soir soit, dans le temps du sabbat du 6 Septembre 2025, le Seigneur YaHWéh Micaël Jésus-Christ m’a gratifié d’une importante découverte : une authentique perle de grand prix, puisqu’elle concerne « le repos du septième jour sanctifié » par lui dès sa création de notre monde et notre dimension terrestre.
A ma grande surprise, dirigé par l’Esprit pour effectuer une vérification dans le texte hébreu du verset de Genèse 2:3, je découvre une subtilité cachée dans le récit des six jours de la création terrestre de Genèse 1. Pour comprendre cette subtilité, il faut savoir que dans l’hébreu, langue originelle de la révélation divine, le temps présent n’existe pas ; deux temps principaux sont utilisés nommés, pour l’un, le parfait, qui désigne ce qui est accompli, et pour l’autre, l’imparfait, qui désigne ce qui reste à s’accomplir. Dans une traduction, ce mode de pensée doit être pris en compte. Et la présence du « yod » devant les verbes utilisés dans ces versets confirme leur conjugaison au temps de l’imparfait qui désigne donc une action non achevée qui reste à s’accomplir. La traduction en français de ce temps imparfait hébreu la plus logique est notre présent ou le futur simple ; notre présent faisant le lien entre le passé et le futur.
Je relève donc un paradoxe entre l’action évoquée qui est bien entièrement accomplie et le temps de la conjugaison des verbes qui désigne l’inachevé, ce qui reste à s’accomplir. De cette manière, Dieu suggère une double interprétation de son récit : Les paroles citées révèlent une action accomplie, mais le temps de l’imparfait révèle l’aspect prophétique non accompli du modèle présenté par les sept jours de la semaine de cette création terrestre. Et cette autre interprétation donne aux sept jours de la création l’image d’un modèle qui va être reproduit en forme de sept mille années. En fait, en ne respectant pas la précision du temps de conjugaison des verbes, les traducteurs de la sainte Bible déforment le message complet délivré par Dieu. Seul André Chouraqui respecte, dans sa traduction du texte hébreu, cette précision, en utilisant notre temps « présent » de la langue française. Pour Dieu, ce temps imparfait n’est pas un exercice de style mais le moyen de suggérer l’existence de son programme de sept mille années qu’il se donne pour régler définitivement et complètement le problème du péché dû à la liberté donnée à toutes ses créatures célestes et terrestres, les anges et les êtres humains.
En abordant Genèse 2, je constate le même emploi du temps imparfait pour les verbes cités dans les versets 1 à 3 pour lesquels je propose la traduction suivante : « V.1 : Et ils sont achevés le ciel et la terre et toute leur armée. V.2 : Dieu achève au septième jour son œuvre, qu'il a faite : et il se repose au septième jour de toute son œuvre, qu'il a faite. V.3 : Dieu bénit le septième jour, et il le sanctifie, parce qu'en lui, il s’est reposé de toute son œuvre qu'il avait créée pour la faire ».
Ainsi traduit, nous discernons mieux le message que Dieu nous adresse. Car les sept jours de sa création terrestre ne concernent que le « commencement », le premier mot de la sainte Bible, de son œuvre éternelle et en ce qui concerne l’humanité pécheresse rebelle, son œuvre perpétuelle programmée pour sept mille ans.
L’usage du temps présent donne à la bénédiction et la sanctification du septième jour un prolongement dans le temps des sept mille ans prophétisés. Et l’usage du temps parfait qui concerne le repos pris par Dieu, désigne l’accomplissement du premier sabbat hebdomadaire de l’histoire terrestre ; le modèle qui va être renouvelé tous les septièmes jours pendant 6000 ans, jusqu’à l’entrée dans le septième millénaire.
Dieu dit dans le verset 3 : « parce qu'en lui, il s’est reposé de toute son œuvre qu'il avait créée pour la faire » Ce verset contient toues les données que Dieu « sanctifie » : son « repos » n’a sens qu’en ce « septième jour » prophétique du septième millénaire. Et il précise qu’il fait ses œuvres en les « créant » ; ce qu’il a seul la possibilité de faire. C’est sur sa déclaration révélée dans ce verset que Dieu fonde toute sa légitime gloire exclusive de Dieu créateur. Ce verset 3 rassemble ainsi trois sujets inséparables qui sont : le septième jour, sa sanctification et la glorification du Dieu créateur. Ces trois choses vont être pour ses élus rachetés, les signes de leur appartenance à ce seul vrai Dieu qui a créé la vie et tout ce qu’elle contient jusqu’à la fin du monde.
Pour donner force à cette découverte, Dieu a tout prévu, en mettant, dans le verset 2, le « yod » devant « shavat » ; ce qui justifie son emploi en verbe et qui doit être traduit ici réellement par : « il se repose » : « Dieu achève au septième jour son œuvre, qu'il a faite : et il se repose au septième jour de toute son œuvre , qu'il afaite. »
Dieu me permet aujourd’hui de comprendre la raison de la présentation de ces deux versets 2 et 3 qui m’ont longtemps troublé en raison de l’apparence d’une répétition du même message. Ainsi, le verset 2 évoque le repos que Dieu prend le « septième jour », à la fin des « six jours » réels de sa création ; ces « sept jours » sont, aussi, prophétiquement, des millénaires. Ensuite le verset 3 donne sens à la « sanctification » de ce « septième jour » soit, son rattachement à un « repos » final qui est la raison pour laquelle Dieu le met à part et le tient personnellement pour précieux et pour sa divine et royale propriété.
Quelle est la conséquence de cette bonne traduction ? Dans le verset 3, le sujet principal est le septième jour auquel est rattaché le « repos » de Dieu. Et dans sa forme prophétique du septième millénaire, le septième jour offrira à Dieu et ses élus rachetés, le repos complet et parfait programmé par le premier sabbat terrestre et ceux qui vont lui succéder pendant 6000 ans.
Ici, s’ajoute un argument, car le verset 3 précise : « il s’est reposé de toute son œuvre qu’il a créée pour la faire ». Le terme « toute » indique ou suggère un dépassement du temps des sept premiers jours. Ce détail permet de comprendre le sens que Dieu donne à sa déclaration. Car les six jours de sa création terrestre ne mettent pas fin à son activité créatrice qui va se prolonger pendant encore 6000 ans et qui sera renouvelée pour la création du « nouveau ciel et de la nouvelle terre » ; choses prophétisées dans Apocalypse 21:1 : « Puis je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre ; car le premier ciel et la première terre avaient disparu, et la mer n'était plus. » Dieu est créateur dans sa nature divine et il est seul à posséder cette caractéristique, ce pouvoir ; il crée et donne forme et vie à tout ce qu’il désire obtenir, sur sa seule parole ou sa pensée. C’est là, ce que les incrédules ne parviennent pas à accepter et à comprendre tant la chose est énorme pour leur entendement. Le merveilleux divin reste à leurs yeux un imaginaire enfantin fabuleux.
Cette subtilité cachée jusqu’à ce jour ne devait pas être comprise avant maintenant où le symbolisme du septième jour est clairement compris par les derniers adventistes dissidents bénis et éclairés. Cette nouvelle lumière vient confirmer cette interprétation du « septième jour » comme étant l’image prophétique du septième millénaire. Et c’est pour renforcer cette idée que Dieu dit dans Apocalypse 14:11 et 13 : « Et la fumée de leur tourment monte aux siècles des siècles ; et ils n'ont de repos ni jour ni nuit, ceux qui adorent la bête et son image, et quiconque reçoit la marque de son nom. …/… Et j'entendis du ciel une voix qui disait : Écris : Heureux dès à présent les morts qui meurent dans le Seigneur ! Oui, dit l'Esprit, afin qu'ils se reposent de leurs travaux, car leurs œuvres les suivent. » Le sujet important de ces deux versets est le « repos » du « septième millénaire » évoqué pour les deux camps ennemis opposés soit, le seul et unique « repos » que Dieu a annoncé et programmé dès le commencement dans Genèse 2:2-3. Ce « repos » ne peut être obtenu qu’après sa victoire contre le diable et ses partisans soit, après le retour en gloire de Jésus-Christ, au jour du printemps 2030.
Les humains se fourvoient quand ils donnent à la mort le sens d’un repos. Car le repos n’est appréciable que par des créatures vivantes, et ce n’est pas le cas de ceux qui sont morts et qui, ayant été anéantis, n’ont plus de pensée. Dans la Bible, le mot « repos » ne peut que désigner le « repos éternel » donné aux élus rachetés en récompense de la qualité de leur foi, et ceci, uniquement à leur résurrection accomplie au jour du retour glorieux de Jésus-Christ ; ce qu’Apocalypse 20:5 nomme : « la première résurrection », qui est réservée exclusivement aux saints élus de Dieu en Jésus-Christ leur substitut anticipé depuis Adam et Eve : « C'est la première résurrection. Heureux et saints ceux qui ont part à la première résurrection ! La seconde mort n'a point de pouvoir sur eux; mais ils seront sacrificateurs de Dieu et de Christ, et ils régneront avec lui pendant mille ans. »
Au sujet de l’hébreu, je signale que son écriture et sa lecture sont inversées par rapport à notre écriture occidentale. L’hébreu s’écrit et se lit de droite à gauche et la croissance des pages se fait en tournant les pages de la gauche vers la droite. Pour un Européen, le début de la torah juive correspond à la fin de nos livres. Or, l’hébreu fut la langue par laquelle le Dieu créateur s’est révélé aux êtres humains. Par cette norme inversée pour notre écriture occidentale, Dieu se présente à nous comme étant celui qui connaît la fin, dès le commencement et qui vient vers nous. Le message subtil est encore mieux perceptible quand on sait que la Torah écrite par Moïse et ses successeurs les prophètes ont tous écrit leurs témoignages sur des rouleaux qui reproduisent l’image du temps infranchissable par les êtres humains. Le temps qui s’écoule de manière régulière et permanente est plus à l’image du rouleau que nos livres qui permettent de passer du début à la fin instantanément sans avoir à dérouler un long rouleau.
Le « septième jour » est présenté par Dieu comme premier bénéficiaire de sa sanctification personnelle. Quiconque touche une chose sanctifiée est sanctifié par elle, selon Lévitique 6:18 : « Tout mâle d'entre les enfants d'Aaron en mangera. C'est une loi perpétuelle pour vos descendants, au sujet des offrandes consumées par le feu devant YaHWéH : quiconque y touchera sera sanctifié. »
Dieu parle à notre intelligence et notre bon sens. Il n’est pas raisonnable de lui imputer des désirs capricieux, aussi, sa « sanctification du septième jour » mérite-t-elle toute notre attention et notre étude. Si l’on compare les deux sens donné au repos du sabbat, de manière évidente, son sens prophétique final de septième millénaire est infiniment plus grand qu’un repos attribué à une fatigue divine qui n’a jamais existé pour Dieu, après sa création de notre dimension terrestre. Nous pouvons ainsi en déduire que le prétexte du repos de la création masque le repos du septième millénaire où leurs ennemis étant détruits, Dieu et ses élus rachetés bénéficieront d’un repos parfait. Et finalement, le temps imparfait de l’hébreu prophétise, dans Genèse 2:3, la continuité éternelle du « repos » prophétisé par le premier sabbat de l’histoire terrestre.
Dans Exode 20: 8 à 11, « le repos du septième jour » fait l’objet du quatrième des dix commandements de Dieu : « Souviens-toi du jour du repos, pour le sanctifier. Tu travailleras six jours, et tu feras tout ton ouvrage. Mais le septième jour est le jour du repos de YaHWéH, ton Dieu : tu ne feras aucun ouvrage, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta servante, ni ton bétail, ni l'étranger qui est dans tes portes. Car en six jours YaHWéH a fait les cieux, la terre et la mer, et tout ce qui y est contenu, et il s'est reposé le septième jour : c'est pourquoi YaHWéH a béni le jour du repos et l'a sanctifié. »
Dans ce commandement, Dieu présente aux Juifs sa « sanctification » du « sabbat » uniquement cité sous le nom « septième jour » ; ce qui réduit sa forme réelle sabbatique et amplifie son sens prophétique de septième millénaire masqué par l’apparence du texte hébreu. Je relève l’importance de cette déclaration : «Mais le septième jour est le jour du repos de YaHWéH, ton Dieu ». Dieu rappelle que « le repos du septième jour » est sa propriété personnelle exclusive. Ce qui est la cause réelle de sa « sanctification » originelle, comme elle est révélée dans Genèse 2:2-3, et ici, reprise : « c'est pourquoi YaHWéH a béni le jour du repos et l'a sanctifié. ». Cependant, le texte donne à cette « sanctification » la cause de l’œuvre créatrice de Dieu : « Car en six jours YaHWéH a fait les cieux, la terre et la mer, et tout ce qui y est contenu, et il s'est reposé le septième jour ». Et cette fois, dans ce verset, le verbe « a fait » est bien conjugué au temps parfait qui désigne en hébreu l’action entièrement accomplie. De la sorte, ce quatrième commandement ne prend sens que pour rappeler aux Juifs charnels et spirituels la valeur perpétuelle du sabbat du septième jour et donc, sa valeur en tant que signe d’appartenance à Dieu son ordonnateur ; ce que confirme Ezéchiel 20:12-20 : « Je leur donnai aussi mes sabbats comme un signe entre moi et eux, pour qu'ils connussent que je suis YaHWéH qui les sanctifie. …/ … Sanctifiez mes sabbats, et qu'ils soient entre moi et vous un signe auquel on connaisse que je suis YaHWéH, votre Dieu. » Ce rappel du « repos du septième jour » présenté par Dieu dans ce quatrième de ses dix commandements, a pour but de diriger les esprits de ses serviteurs vers « la sanctification du septième jour » originelle révélée dans Genèse 2:3.
Dans ce commandement de Dieu, l’œuvre créatrice originelle de Dieu est rappelée, mais une lecture spirituelle doit tenir compte du fait qu’elle se prolonge éternellement jusqu’à ce qu’il obtienne pour lui et ses élus rachetés le vrai repos en détruisant ses ennemis qui entravent et empêchent ce repos, parce qu’étant vivants, les méchants rebelles les font souffrir.
Dans Ezéchiel 20:14-20, Dieu dit « sanctifiez mes sabbats… ». Cette forme plurielle donnée au sabbat, cible plus spécifiquement les Juifs de l’ancienne alliance dont les fêtes religieuses étaient marquées par « des sabbats » soit, des jours de repos sanctifiés imposés par Dieu. Bien que liés par leur sens, « ces sabbats » festifs doivent être distingués « du sabbat » présenté au singulier et que Dieu rappelle en première fête juive dans Lévitique 23:3 : « On travaillera six jours ; mais le septième jour est le sabbat, le jour du repos : il y aura une sainte convocation. Vous ne ferez aucun ouvrage : c'est le sabbat de YaHWéH, dans toutes vos demeures. » Dans Lévitique 23, cette fête est séparée des autres fêtes juives par le renouvellement de l’annonce des « fêtes de YaHWéH ». La cause de cette séparation est simple et logique, la pratique du sabbat est perpétuelle et exigée par Dieu de ses élus des deux alliances successives. Tandis que, parce qu’elles s’accomplissent en lui, les autres fêtes vont cesser avec la mort de Jésus-Christ à la fin de son ministère terrestre.
La restauration du sabbat en 1843-1844 ne fait que restaurer une pratique qui n’aurait jamais dû être abandonnée par les chrétiens. C’est pourquoi, dans Apocalypse 2 :24-25, Jésus-Christ révèle l’exceptionnelle offre de sa grâce qu’il accorde aux protestants du XVIème siècle jusqu’en 1843 date de la fin du délai fixé par le terme des « 2300 soir-matin » de Daniel 8:14, ainsi, correctement traduit : « Et il me dit : jusqu’à deux mille trois cents soir-matin ; puis la sainteté sera justifiée. »
Au sujet des rectifications que j’apporte aux textes bibliques, je rappelle à celui et celle qui me lit, que je relève uniquement ce que l’Esprit saint de Dieu me conduit à relever et à rectifier. Et que sa vérité qui juge et condamne se trouve dans les écrits hébreux et grecs originaux, et non dans les traductions que les religions et leurs autorités présentent dans les différentes traductions de la sainte Bible. Je suis, moi-même, insignifiant et tout ce que je découvre est dû au Dieu de vérité qui m’utilise, afin que dans ma faiblesse humaine, la gloire de sa lumière révélée lui revienne en priorité et en exclusivité.
Concernant le « repos du sabbat du septième jour » présenté comme une fête dans Lévitique 23:3, il faut comprendre ceci. La démarche entreprise par Dieu prolonge la forme qu’elle a prise pendant le ministère terrestre de Jésus-Christ. Il n’a contraint personne à le suivre par sa force et sa puissance divine. Mais au contraire, tel un semeur, il parlait et indiquait ce que Dieu tient pour agréable, offrant ainsi, à ses élus, le moyen de mettre en pratique les normes de vie qu’il bénit, approuve et aime. Le sabbat n’a rien d’obligatoire, parce que Dieu l’utilise simplement comme un signe d’appartenance à sa personne. Et c’est pourquoi, il a voulu que ses ennemis qui le méprisent ou le détestent soient, eux aussi, marqués par le choix du repos du premier jour connu sous le nom actuel « dimanche ». Et ce nom trompeur qui signifie « jour du Seigneur » n’est justifié qu’en partie seulement. Il faut l’interpréter comme étant effectivement, le jour où Jésus s’est montré vivant et ressuscité par lui-même, à ses apôtres et ses disciples. Mais ce choix du Christ d’apparaître en début d’une semaine ne faisait en vérité que confirmer son respect pour « le septième jour sanctifié par Dieu au repos ». Et pour les hommes, la mort étant la forme du repos absolu, cette apparence des choses n’était que pour les hommes, mais pas pour les saints anges, ses fidèles amis.
En respectant le repos du sabbat donné aux humains, Jésus a témoigné de la suprématie perpétuelle de la pratique du sabbat. Et afin de réduire les fausses revendications juives de cette pratique, dans Apocalypse 14:12, le Dieu créateur Jésus donne cette définition des derniers saints rachetés par son sang : « C'est ici la persévérance des saints, qui gardent les commandements de Dieu et la foi de Jésus. » Dans ce verset, l’Esprit révèle le lien qui relie les deux alliances successives passées avec ses élus sélectionnés au fil des siècles et des six millénaires de l’histoire terrestre du salut. Mais, si les mots peuvent encore tromper par de fausses revendications indignes, Dieu reste le seul juge pour sélectionner ses élus, sachant parfaitement ce qu’il exige d’eux. Pour lui, « garder les commandements de Dieu et avoir la foi de Jésus » signifie plus qu’une simple étiquette, car il exige la conformité aux deux modèles présentés ; et là, les fausses revendications deviennent vaines et se taisent.
Par la pratique « du sabbat du septième jour », Dieu propose à ses élus de fêter joyeusement, avec lui, le repos anticipé du septième millénaire dans lequel ils entreront en recevant l’éternité dans un corps céleste incorruptible. C’est pourquoi, la pratique du sabbat est inséparablement reliée au sacrifice mortel consenti par Jésus-Christ qui leur offre la grâce divine et le pardon de tous leurs péchés commis involontairement dans leur faiblesse charnelle.
Ainsi compris, « le repos du septième jour » tient le rôle d’un cordon rouge qui relie l’élu à son Dieu sauveur. Mais pour tenir ce rôle, « le repos du septième jour » doit être accompagné de l’indispensable « amour de la vérité », ce qui réduit le nombre des élus et justifie ces paroles tenues par Jésus-Christ dans Matthieu 22:14 : « Car il y a beaucoup d'appelés, mais peu d'élus. »
Sans être capables comme Dieu de sonder les pensées des esprits et des cœurs humains, ses élus peuvent identifier ceux que Dieu tient pour des « hypocrites » qu’il dénonce dans Daniel 11:34, car leur comportement témoigne de leur statut spirituel : « Dans le temps où ils succomberont, ils seront un peu secourus, et plusieurs se joindront à eux par hypocrisie. » Jésus dit aussi dans Matthieu 24:48 à 51 : « Mais, si c'est un méchant serviteur, qui dise en lui-même: Mon maître tarde à venir, s'il se met à battre ses compagnons, s'il mange et boit avec les ivrognes, le maître de ce serviteur viendra le jour où il ne s'y attend pas et à l'heure qu'il ne connaît pas, il le mettra en pièces, et lui donnera sa part avec les hypocrites : c'est là qu'il y aura des pleurs et des grincements de dents. » L’image présentée dans ces versets concerne la religion protestante éprouvée par un test d’intérêt pour la parole prophétique et dont le résultat décevant l’a fait condamner par Dieu depuis 1843. Le verdict prononcé par Dieu apparaît dans le message de « Sardes » dans Apocalypse 3:1 à 3 : « Écris à l'ange de l'Église de Sardes : Voici ce que dit celui qui a les sept esprits de Dieu et les sept étoiles : Je connais tes œuvres. Je sais que tu passes pour être vivant, et tu es mort. Sois vigilant, et affermis le reste qui est près de mourir; car je n'ai pas trouvé tes œuvres parfaites devant mon Dieu. Rappelle-toi donc comment tu as reçu et entendu, et garde et repens-toi. Si tu ne veilles pas, je viendrai comme un voleur, et tu ne sauras pas à quelle heure je viendrai sur toi. »
Le croyant hypocrite suit des règles religieuses sans mobiliser son cœur. Et en limitant au maximum son zèle religieux, il se dénonce lui-même comme étant un « hypocrite ».
A l’opposé de ce comportement, les élus se démarquent par le réel intérêt qu’ils témoignent pour toute forme de révélation divine. En agissant ainsi, ils prouvent naturellement qu’ils tiennent Dieu pour un être vivant avec lequel ils désirent construire une relation. Il est évident que ce type de relation n’est pas comparable à celle que tout humain peut construire et vivre avec son prochain qui lui ressemble et se présente bien visible à son regard. Mais ces deux types de relations ne sont pas comparables et d’un niveau disproportionné, parce que la relation établie avec Dieu porte des conséquences éternelles, alors qu’une mauvaise relation entre des humains peut faire perdre de vue et d’accès cette offre d’éternité de Dieu.
Un débat stérile a longtemps opposé doctrinalement « la foi et les œuvres » ; bien que les explications données par l’apôtre Jacques donnent la réponse claire et satisfaisante. « Sans les œuvres, la foi est morte » dit-il, dans Jacques 2:17 : « Il en est ainsi de la foi : si elle n'a pas les œuvres, elle est morte en elle-même. » Ainsi, le respect « du repos du septième jour » est « une œuvre » qui authentifie « la foi » de celui ou celle qui le met en pratique.
M59- Le discernement spirituel
Que signifie le verbe « discerner » ? C’est distinguer quelque chose qui n’est pas aperçu par tout le monde ; quelque chose qui est à peine visible et mal défini sur une trame trouble et confuse.
Appliqué au domaine spirituel religieux, le discernement spirituel est un don de Dieu indispensable pour le développement de sa vérité dans le camp de ses élus. Le monde vit dans de profondes et épaisses ténèbres mais il ne le sait pas parce qu’il ne le voit pas. Les samedis et les dimanches, des gens très religieux s’acquittent pensent-ils de leur devoir religieux en se rendant dans leurs synagogues, leurs églises et leurs temples. Là, ils écoutent les prêches de leurs officiants et adressent avec confiance leurs prières à Dieu. Puis après avoir rendu ce qu’ils appellent le culte à Dieu, ils regagnent leurs habitations individuelles et retrouvent les cadeaux et les luttes de l’existence humaine. Que sont-ils venus chercher dans leur maison religieuse ? Qu’ont-ils reçu pour nourrir leur foi et leur certitude religieuse ? Rien de plus que la semaine précédente et celles qui l’ont précédée. Les officiants les ont assurés qu’une place au paradis de Dieu leur était réservée et il en est ainsi chaque semaine.
Le discernement spirituel est certainement la meilleure définition du don prophétique pour lequel Dieu m’a appelé par une vision nocturne individuelle au printemps 1975. Dieu me permet en effet de voir ce que les autres ne voient pas, de distinguer et discerner des messages que les autres ne voient pas, ne distinguent pas, ne discernent pas. Et je ne fais là, que rappeler ce que mes écrits démontrent depuis 1980 l’année de mon baptême adventiste du septième jour, parce que la lumière concernant la restauration du repos du sabbat m’a donné, à 36 ans, des certitudes qui ont permis mon engagement total dans la cause de la vérité divine.
Depuis mon baptême, mon regard sur la vie et la parole de Dieu est devenu simple, clair, et évident. Je l’ai chanté et le proclame, la vérité est le plus simple et le plus évident, et ce qui obscurcit l’entendement des êtres humains c’est l’héritage religieux de l’incohérence et du mensonge approuvés par des foules de gens, des multitudes d’hommes et de femmes qui s’appuyant les uns sur les autres se confortent et prolongent ensemble leur pas vers la perdition finale.
Concrètement, le discernement spirituel c’est ceci. Dans le récit de sa création terrestre, au 4ème jour, Dieu crée les astres du jour et de la nuit. Autant, pendant le jour, la lumière du soleil s’impose avec puissance et exclusivité, autant quand tombe la nuit, la lune, l’astre des ténèbres renvoie faiblement la lumière solaire par laquelle il est éclairé. Mais cet astre est vide, sans aucune forme de vie, d’un gris lugubre à souhait et sur sa face visible chacun peut apercevoir des cratères géants formés par les impacts des météorites de différentes grosseurs qui s’abattent sur son sol. Dieu nous permet ainsi de réaliser la chance que nous avons sur la terre d’être protégés par la couche de notre atmosphère gazeux. Et cette différence révèle le soin que Dieu prend pour ses créatures terrestres formées originellement à son image, aujourd’hui, très abimée et très déformée.
Dans Genèse 1:4-5 Dieu dit : « Dieu voit que la lumière est bonne ; et Dieu sépare la lumière d'avec les ténèbres. Dieu appelle la lumière jour, et il appelle les ténèbres nuit. Ainsi, il y a un soir, et il y a un matin : c’est le premier jour. » Je précise que ces verbes conjugués au mode Imparfait de l’hébreu définisse des actions qui vont se prolonger dans le temps et que je traduis donc par le temps « présent » de la langue française.
Ainsi comme dans le message précédent, le récit divin a deux portées, deux histoires. La première concerne littéralement la lumière du jour et les ténèbres de la nuit. Le deuxième sens est symbolique et spirituel car la lumière va désigner les normes de vie déclarées bonnes par Dieu et en contraire absolu, les ténèbres vont désigner les normes de vies qu’il désapprouve et condamne à mort soit, à disparaître entièrement à la fin des 7000 ans programmés pour régler le problème du péché et des pécheurs célestes et terrestres.
En face du christianisme, le vrai et le faux, se trouvent des peuples de religion musulmane qui arborent avec fierté leurs drapeaux, leurs étendards qui portent le symbole du croissant de lune. Ils ne se doutent absolument pas du message que porte contre eux, cette revendication du croissant de lune. Leur livre religieux, le Coran, ne révèle pas cette norme du jugement de Dieu qui n’est révélée que dans la sainte Bible. Mais pour l’homme spirituel que je suis, leur symbole du croissant de lune les place dans le camp des ténèbres, ce qu’ils ne choisiraient pas s’ils avaient conscience de ce jugement divin. Si l’islam est vue par Dieu comme un croissant de la lune, par contre le monde occidental catholique romain a droit, lui, à la lune entière et d’une couleur rouge sang selon Apocalypse 6:12-13 : « Je regardai, quand il ouvrit le sixième sceau ; et il y eut un grand tremblement de terre, le soleil devint noir comme un sac de crin, la lune entière devint comme du sang, et les étoiles du ciel tombèrent sur la terre, comme lorsqu'un figuier secoué par un vent violent jette ses figues vertes. »
La première chose qu’il nous faut relever dans ces versets c’est l’utilisation par Dieu des éléments créés dans le récit de Genèse 1 ; le soleil, la lune, les étoiles. C’est là que le don du discernement devient précieux. D’autant plus que comme dans la Genèse, les choses évoquées reçoivent deux formes d’accomplissement, une bien visible, littérale, et l’autre décelable uniquement par le discernement spirituel, symbolique et accomplie sur des entités humaines. Pour être bien compris, j’explique ce double accomplissement.
Le tremblement de terre cité se produit à Lisbonne en 1755, la ville et ses habitants sont grandement détruits et toutes les 120 églises catholiques sont renversées par trois raz-de-marée successifs. La cible visée par Dieu est visiblement le catholicisme papal romain. Mais ce drame ne fait que prophétiser un drame encore plus grand qui détruit momentanément le catholicisme papal romain livré avec son soutien royaliste à la guillotine des Révolutionnaires français en 1793 pendant une année entière. Nous retrouvons son évocation symbolique dans Apocalypse 11:13 : « A cette heure-là, il y eut un grand tremblement de terre, et la dixième partie de la ville, tomba ; sept mille hommes furent tués dans ce tremblement de terre, et les autres furent effrayés et donnèrent gloire au Dieu du ciel. » « La dixième partie tombée de la ville » prend elle-aussi un double accomplissement ; le premier étant littéral et désignant la proportion des victimes tuées en France en 1793, et le second, parce que la France est l’une des « dix cornes » royales européennes citées et ciblées depuis Daniel 7:7-24. Elle tombe dans l’athéisme et ne se relèvera plus spirituellement jusqu’à la fin du monde.
Le deuxième sujet du verset de référence concernait « le soleil noir comme un sac de crin ». Relève le paradoxe, l’astre le plus aveuglant est rendu noir comme un sac de crin. C’est l’aspect sous lequel il est apparu aux habitants de l’Amérique en 1780. Le jour est resté aussi sombre que la nuit à cause d’une épaisseur de nuage d’encre qui a totalement rendu le soleil invisible. Et ce signe a été suivi dans le soir par l’apparition de « la lune teintée d’un rouge sang » Ces aspects donnés aux deux astres qui éclairent l’humanité terrestre illustraient la situation de l’Europe chrétienne gagnée par la France, à l’athéisme. Le soleil symbole de la lumière divine était éliminé et la coalition papiste et royale catholique représentaient le camp des ténèbres que la guillotine des Révolutionnaires aller décimer en 1793, dans des flots de sang incessants. Ainsi, les faits naturels constatés en 1755 et 1780 prophétisaient la tuerie de la « Terreur 1793 » de Paris.
Ces signes prophétiques n’ont été visibles qu’en Amérique alors que les faits prophétisaient des accomplissements en Europe. La raison est facile à comprendre, Dieu n’avait plus de serviteur sur le sol européen monopolisé ou presque par la royauté catholique européenne. Et c’est la même raison qui a conduit Dieu à organiser ses épreuves adventistes de 1843 et 1844 aux USA principalement protestants à cette époque.
Le troisième sujet du verset de référence concernait un chute d’étoile qui s’est elle-aussi accomplie littéralement en 1833, toujours, aux USA. Et là encore, le fait réel ne faisait que prophétiser le verdict prononcé par Dieu contre la religion protestante, dans Apocalypse 3:1à 3 où il dit : « Écris à l'ange de l'Église de Sardes : Voici ce que dit celui qui a les sept esprits de Dieu et les sept étoiles : Je connais tes œuvres. Je sais que tu passes pour être vivant, et tu es mort. Sois vigilant, et affermis le reste qui est près de mourir ; car je n'ai pas trouvé tes œuvres parfaites devant mon Dieu. Rappelle-toi donc comment tu as reçu et entendu, et garde et repens-toi. Si tu ne veilles pas, je viendrai comme un voleur, et tu ne sauras pas à quelle heure je viendrai sur toi. »
Afin de rafraichir la mémoire, et en raison de leur extrême importance, je vais reprendre l’explication complète de ces messages.
J’ai discerné le fait que les messages de ces versets sont conformes à la signification symbolique du numéro qui les désigne : Explication : verset 1 : Dieu se présente ; verset 2 : message d’imperfection ; verset 3 : message de perfection ; verset 4 : message universel ; verset 5 : message concernant l’homme ; verset 6 : message concernant l’ange ou le sujet céleste ; verset 7 : message de la sanctification.
Verset 1 : « Écris à l'ange de l'Église de Sardes : Voici ce que dit celui qui a les sept esprits de Dieu et les sept étoiles »
« Sardes » : signification principale : le filet de pêche qui caractérise parfaitement le temps où Dieu éprouve collectivement et individuellement la foi des chrétiens protestants rassemblés massivement aux USA.
Les « sept esprits » symbolisent le saint Esprit de Dieu en Jésus-Christ qui est donné ou retiré dans chacune des sept époques prophétisées par les noms des sept églises, littéralement portés par des villes de l’Asie, l’actuelle Turquiyé. Dans chacune des sept époques successives, « l’étoile » symbolise les serviteurs messagers de Jésus-Christ. Il y en a « sept », une pour chaque époque. Ceci, parce que, comme les « étoiles du ciel » de Genèse 1:17-18, ils éclairent la terre de la lumière révélée par Dieu : « Dieu les plaça dans l'étendue du ciel, pour éclairer la terre, pour présider au jour et à la nuit, et pour séparer la lumière d'avec les ténèbres. Dieu vit que cela était bon. » La teneur du message qui vient va confirmer la chute spirituelle des diverses formes de la religion protestante qui massivement testée en 1843 et 1844, témoigne d’un désintérêt total pour les annonces du retour de Jésus que prêche successivement pour ces dates le fermier William Miller appelé par Dieu pour une mission prophétique.
« Je connais tes œuvres ». Ce message prend au dépourvu la religion protestante qui a misé sur la seule foi, oubliant que l’apôtre Jacques déclare morte la foi sans les œuvres. Jésus-Christ confirme les paroles tenues par Jacques.
« Je sais que tu passes pour être vivant, et tu es mort. » Le verdict de Jésus-Christ est tranchant à l’image de l’épée à double tranchants qui symbolise la parole de Dieu dans Hébreux 4:12-13 : « Car la parole de Dieu est vivante et efficace, plus tranchante qu'une épée quelconque à deux tranchants, pénétrante jusqu'à partager âme et esprit, jointures et moelles ; elle juge les sentiments et les pensées du cœur. Nulle créature n'est cachée devant lui, mais tout est à nu et à découvert aux yeux de celui à qui nous devons rendre compte. » Pour les protestants, 1843 était l’heure fixée par Dieu pour lui rendre compte de l’apostasie de sa foi. Jésus sait que ce message ne sera reçu que par peu d’élus qui seront seuls à comprendre l’aspect trompeurs d’une fausse vie religieuse protestante qui va passer pour être vivante aux regards superficiels des multitudes et qui est cependant doublement mort. Ce jugement porté par Jésus-Christ doit être bien compris parce que pour les mêmes raisons il va condamner en 1994, la religion adventiste officielle institutionnelle qu’il va « vomir » à son tour.
Jésus-Christ donne des explications qui justifient son jugement. Il dénonce l’imperfection des œuvres des protestants américains et européens.
Verset 2 : « Sois vigilant, et affermis le reste qui est près de mourir ; car je n'ai pas trouvé tes œuvres parfaites devant mon Dieu. »
Ce qui s’est accompli entre 1843 et 1844 est d’une gravité extrême que je peux comparer à la fin du temps de grâce, sauf que cette fin de grâce concerne seulement la doctrine et le statut du protestantisme. Et le nombre des morts spirituels se compte en milliards d’individus. C’est l’enseignement que Dieu a voulu donné par la pluie d’étoiles constatée en 1833 aux USA. Cette chute continuelle des étoiles s’est prolongée de minuit à cinq heures du matin, soit le temps entier de la nuit ; ce qui illustre une condamnation entière et définitive pour la religion protestante. Le début situé à minuit impute aux protestants le comportement des « vierges folles » de « la parabole des dix vierges » ; les « folles » ne sont pas prêtes pour accueillir « l’époux ». Et en 1843 et 1844, une double démonstration confirme l’annonce prophétique de la parabole de Jésus-Christ. Ainsi, « le reste qui est près de mourir » concerne les héritiers de la religion protestante, depuis 1843 jusqu’au retour final de Jésus-Christ, au printemps 2030.
La subtilité de ce message repose sur l’exigence « d’œuvres parfaites » ; ce qui contraste avec « l’imperfection des œuvres » des protestants de l’époque « Thyatire » précédente, auxquels Jésus-Christ dit : « Je ne mets pas sur vous d’autre fardeau ; seulement ce que vous avez retenez-le jusqu’à ce que je vienne ». Pour expliquer ce changement de l’exigence de Jésus-Christ, il faut tenir compte du décret de Daniel 8:14 prévu pour entrer en application au printemps 1843 ; date de la fin des « 2300 soir-matin » du verset. Et à l’époque et jusqu’à moi, la fausse traduction de ce verset était : « Jusqu’à 2300 soir et matin et le sanctuaire sera purifié ». Cette « purification » concernait l’église chrétienne protestante héritière de nombreux dogmes et péchés catholiques romains, dont le repos du dimanche instauré le 7 Mars 321par Constantin 1er, l’empereur romain païen. En annonçant le retour de Jésus pour le printemps 1843, Dieu offre aux protestants une chance pour rester bénéficiaire de la grâce offerte par Jésus-Christ, s’ils s’en montrent « dignes ». Or, c’est Jésus-Christ lui-même qui condamne la fausse foi protestante qui méprise sa prophétie ; la condamnation prononcée est donc irréversible et définitive, puisqu’il lui retire le pardon de sa grâce dont elle bénéficiait jusqu’en 1843. Au verset 3 qui vient, Jésus rappelle en quoi consiste la perfection des œuvres de la foi vivante.
Verset 3 : « Rappelle-toi donc comment tu as reçu et entendu, et garde et repens-toi. »
Dans l’époque prophétique précédente, Jésus bénissait encore les protestants, malgré l’imperfection de leurs œuvres parce qu’ils témoignaient en faveur de sa sainte Bible selon le principe officiel « l’Ecriture seule » en latin « Sola scriptura ».
Le reproche présenté par Jésus est clairement l’oubli des paroles divines écrites dans la sainte Bible qui témoigne de l’annonce du retour final de Jésus-Christ ; ce qui condamne le mépris pour la parole prophétique biblique. Mais cet oubli n’est que la conséquence d’un état d’esprit religieux superficiel devenu pour beaucoup irréparable, sans aucun remède. Et seuls, quelques cas rares peuvent tenir compte de l’exhortation de Jésus qui les désigne dans le verset 4 qui vient bientôt. Jésus présente maintenant les conséquences de la foi morte. Mais en réalité, il adresse ce message à ses élus, puisque les déchus ne comprennent pas ces mystères, car en inversant la forme de son message, il dit à ses élus : « si tu veilles, tu sauras à quelle heure je viendrai pour toi ». Et j’ai su au printemps 2018, à quelle heure il va venir pour m’arracher à la mort : le jour du printemps 2030.
« Si tu ne veilles pas, je viendrai comme un voleur, et tu ne sauras pas à quelle heure je viendrai sur toi. »
Jésus-Christ renouvelle ici un message présenté dans Matthieu 24:48 à 51. Mais il est encore trop tôt pour en faire la lecture complète, car il va cibler, particulièrement, l’adventisme institutionnel rejeté en dernier, en 1994. : « Mais, si c'est un méchant serviteur, qui dise en lui-même : Mon maître tarde à venir, s'il se met à battre ses compagnons, s'il mange et boit avec les ivrognes, … »
La punition des faux chrétiens rejetés par Jésus-Christ lui-même consiste à ignorer la date exacte de son vrai retour final glorieux et d’être, dans ce contexte, regroupés dans le camp des adorateurs volontaires ou involontaires de l’autorité humaine romaine ; ce qui fera d’eux, les victimes du soutien de la « marque » de « la bête ».
Dans ce verset 4, Jésus montre les pionniers du futur adventisme universel.
Verset 4 : « Cependant tu as à Sardes quelques hommes qui n'ont pas souillé leurs vêtements ; ils marcheront avec moi en vêtements blancs, parce qu'ils en sont dignes. »
Dans les deux épreuves de foi successives organisées par Dieu en 1843 et 1844, il y a les vaincus que nous venons d’évoquer, et il y a les vainqueurs que ce verset désigne.
« quelques hommes qui n'ont pas souillé leurs vêtements »
Il s’agit de chrétiens dont le comportement a été approuvé par Dieu, ils conservent sur eux, intact et pur, le vêtement de justice que la grâce de Jésus-Christ leur impute.
« ils marcheront avec moi en vêtements blancs, parce qu'ils en sont dignes.»
C’est la récompense suprême ; la promesse de se tenir aux côtés de Jésus-Christ pendant le jugement céleste dans le royaume céleste de Dieu. C’est l’explication que le verset 5 suivant nous donne. Dans ce verset 5, Jésus désigne l’homme en qui l’image de Dieu, la sienne, a été restaurée dans toute sa pureté illustrée par les « vêtements blancs ».
Verset 5 : « Celui qui vaincra sera revêtu ainsi de vêtements blancs ; je n'effacerai point son nom du livre de vie, et je confesserai son nom devant mon Père et devant ses anges. »
Apocalypse 4:4 évoque ce temps du jugement céleste du septième millénaire et les juges des méchants morts sont les saints élus rachetés par Jésus-Christ et Jésus lui-même : « Autour du trône je vis vingt-quatre trônes, et sur ces trônes vingt-quatre vieillards assis, revêtus de vêtements blancs, et sur leurs têtes des couronnes d'or. » Dans le verset 6 qui vient, Jésus évoque l’Esprit céleste de Dieu, l’inspirateur des élus rachetés.
Verset 6 : « Que celui qui a des oreilles entende ce que l'Esprit dit aux Églises ! »
Ce sont ces oreilles qui entendent par le discernement spirituel qui expliquent aujourd’hui tous ces mystères révélés par Dieu en Jésus-Christ.
Ainsi, est né l’adventisme représenté le 23 Octobre 1844 par 50 personnes seulement. Ceux que Jésus tient pour vainqueurs ont dans leur cœur l’amour de la vérité divine. Et ces 50 personnes vont découvrir la vérité du sabbat et accepter d’honorer son « repos du septième jour », les unes après les autres, individuellement, chacune en son temps. Ces chrétiens forment ensemble le socle de la nouvelle institution qui va déposer ses statuts officiels aux USA en 1863, sous le nom : église adventiste du septième jour. Et en 1873, date de la béatitude fixée dans Daniel 12:12, l’œuvre adventiste du septième jour est lancée dans une mission d’évangélisation universelle.
L’église officielle des vainqueurs est composée de peu de membres mais la qualité compense l’absence de quantité. Elle est bénie par Dieu qui multiplie ses louanges, l’exhorte, l’encourage et la met en garde contre la routine et l’esprit de la tradition qui va finir par causer sa perte en 1994.
Le nom « Philadelphie » donné à son époque datée en 1873, signifie amour fraternel, c’est dire combien elle est habitée par l’Esprit de Jésus-Christ. Il obtient enfin depuis l’an 313, une église chrétienne purifiée de tous les mensonges hérités des deux Rome successives, impériale et papale aussi païennes l’une que l’autre en dépit des trompeuses apparences et des fausses revendications humaines. Le verset 7 qui vient évoque la sanctification de l’adventisme du septième jour qui représente deux vérités doctrinales au caractère perpétuel ; le retour de Jésus au début du septième millénaire prophétisé par le sabbat du septième jour. Ces deux vérités ont été annoncées par Dieu dès le début de sa création terrestre jusqu’à la fin du monde soit, de « l’alpha à l’oméga ».
Verset 7 : « Écris à l'ange de l'Église de Philadelphie : Voici ce que dit le Saint, le Véritable, celui qui a la clef de David, celui qui ouvre, et personne ne fermera, celui qui ferme, et personne n'ouvrira : »
Les noms par lesquels Jésus se présente suggèrent ce verset de Jean 17:17 : « Sanctifie-les par ta vérité : ta parole est la vérité. » Dieu dit dans Esaïe 22:22 : « Je mettrai sur son épaule la clé de la maison de David : Quand il ouvrira, nul ne fermera ; quand il fermera, nul n'ouvrira. » Cette « clé » est apparemment la lourde partie de la croix, une poutre nommée en latin « patibulum » que Jésus devait porter sur son épaule jusqu’au lieu de sa crucifixion. Mais s’écroulant sous ce poids, le nommé Simon de Cyrène l’a portée pour lui. Le pouvoir d’ouvrir et de fermer l’accès à sa grâce, Jésus l’a toujours eu depuis sa résurrection, mais dans Apocalypse, cette action est appliquée depuis le crible des tests de 1843 et 1844. La porte de la grâce, qui ouvre l’accès à l’éternité céleste, a été fermée pour les protestants jugés indignes et ouverte pour les protestants jugés « dignes » devenus les adventistes du septième jour. Le message des « portes ouvertes et fermées » confirme le changement de l’exigence de Dieu depuis 1843, date du décret de Daniel 8:14, selon lequel « le sanctuaire » soit, le peuple chrétien, devait être « purifié ». Et à partir du printemps 1843 jusqu’au 23 Octobre 1844, il a été « purifié » ; des multitudes de chrétiens protestants indignes ayant été abandonnées au diable par Jésus-Christ entre ces deux dates.
Verset 8 : « Je connais tes œuvres. Voici, parce que tu a peu de puissance, et que tu as gardé ma parole, et que tu n'as pas renié mon nom, j'ai mis devant toi une porte ouverte, que personne ne peut fermer. »
Jésus a constaté ses œuvres de foi vivante et il rappelle sa faiblesse d’église récemment créée. Jésus confirme cette foi vivante dont les œuvres sont cohérentes avec la revendication de la foi en son nom. Dans Apocalypse 12 :17 et 14 :12, il dit la même chose sous deux formes semblables : « Et le dragon fut irrité contre la femme, et il s'en alla faire la guerre au restes de sa postérité, à ceux qui gardent les commandements de Dieu et qui ont le témoignage de Jésus. …/ … C'est ici la persévérance des saints, qui gardent les commandements de Dieu et la foi de Jésus. » Et en conséquence il place devant elle, « une porte ouverte que personne ne peut fermer » qui porte un triple message. Le premier consiste en une mission évangélique universelle que personne ne peut empêcher. Le second désigne la porte du paradis céleste, le royaume de Dieu dans lequel personne ne peut empêcher un élu d’entrer. Et le troisième a une explication encore plus subtile et spirituelle : cette porte est la barrière que représente le changement de l’exigence de Dieu depuis 1843. Les vainqueurs des épreuves adventistes l’ont spirituellement franchie en répondant à l’exigence de Dieu.
Verset 9 : « Voici, je te donne de ceux de la synagogue de Satan, qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui mentent ; voici, je les ferai venir, se prosterner à tes pieds, et connaître que je t'ai aimé. »
Dans ce verset, Jésus dit aux Juifs selon la chair qu’il ne les tient pas pour Juif malgré le signe charnel de la circoncision et leur descendance d’Abraham. Il ne les cite que pour confirmer la restauration du sabbat du septième jour qui rend son église chrétienne apte à accueillir les Juifs selon la race et la chair ; ce qui était devenu impossible depuis l’abandon du sabbat le 7 Mars 321. Car, maudits pour leur refus du Christ, les Juifs restaient les témoins des commandements et de toutes les ordonnances scripturaires ordonnées par Dieu. En rétablissant le respect pour ces choses, l’église adventiste du septième jour a ouvert, aux Juifs fidèles non incrédules, l’accès au salut proposé par Dieu en Jésus-Christ.
Relève bien que selon Jésus-Christ, c’est aux Juifs de venir vers l’adventisme et non l’inverse. Le fait que ces conversions juives se produisent ou pas est secondaire, et ce qui est sûr et certain, c’est que des conversions s’accompliront à l’heure de la dernière épreuve de foi qui va précéder le retour en gloire de Jésus-Christ. Car c’est la fidélité des vrais adventistes devant la condamnation à mort qui sera le signe et la cause des dernières conversions juives. Ils reconnaîtront alors que Jésus-Christ le Dieu créateur incarné « a aimé » les chrétiens adventistes fidèles et ils les rejoindront dans la fidélité au repos du vrai septième jour.
Verset 10 : « Parce que tu as gardé la parole de la persévérance en moi, je te garderai aussi à l'heure de la tentation qui va venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants de la terre. »
Ce verset confirme les enseignements précédents : « la parole de la persévérance en moi », c’est l’observation « des commandements de Dieu et la foi de Jésus ». Et « l’heure de la tentation qui va venir sur le monde entier pour éprouver » la foi des « habitants de la terre », c’est l’épreuve de foi et la condamnation à mort des observateurs du sabbat, dont je viens de parler au verset précédent.
Cette dernière épreuve ne vise pas seulement à révéler la foi des élus. Elle a aussi, pour Dieu, le but de démasquer les chrétiens hypocrites en leur faisant prendre des décisions cruelles qui vont révéler leur véritable nature. Et parmi ces hypocrites, sont les protestants, et les derniers sont les adventistes qui les ont rejoints ayant été « vomis » par Jésus-Christ en 1994.
Verset 11 : « Je viens bientôt. Retiens ce que tu as, afin que personne ne prenne ta couronne. »
Cette mise en garde de Jésus-Christ ne fait que prophétiser le drame qui va la frapper dans le message suivant rattaché à l’époque « Laodicée ». Et déjà, nous avons toutes les données pour comprendre la cause de sa future déchéance. A l’époque « Laodicée », l’adventisme va produire des œuvres inverses à celles qui valent à « Philadelphie » toute sa bénédiction divine.
L’adventisme a tout pour lui en 1873, son amour de la vérité comble l’attente et l’exigence de Dieu, alors qui peut lui prendre sa couronne de vie symbole de sa victoire dans le combat de la foi ? Deux choses : le temps et les démons.
Verset 12 : « Celui qui vaincra, je ferai de lui une colonne dans le temple de mon Dieu, et il n'en sortira plus ; j'écrirai sur lui le nom de mon Dieu, et le nom de la ville de mon Dieu, de la nouvelle Jérusalem qui descend du ciel d'auprès de mon Dieu, et mon nom nouveau. »
Ce message exprime tous les signes de bénédiction que Dieu peut vouloir imputer à un peuple digne de son salut. Et c’est le but que Dieu se donne car assurément, l’adventisme de 1873 a représenté l’image de l’adventiste du septième jour sauvé par Jésus-Christ. Et ceux que Jésus sauvera à son retour final seront à cette image bénie par Dieu. Ce symbolisme qui est décrit parle assez clairement et l’idée principale est celle de l’image de Dieu reproduite dans celle de ses rachetés. Les symboles cités se fondent sur l’image des rachetés devenus célestes que Dieu compare à un temple, une ville décrite dans Apocalypse 21. Et dans Apocalypse, le peuple adventiste du septième jour est concerné dans trois chapitre du livre : les chapitres 7, 14, et 21 ; trois multiples du chiffre « 7 ». En évoquant le nom nouveau de Jésus, l’Esprit désigne la nature céleste que Jésus a retrouvée après sa résurrection, et à l’heure de son grand retour final, ses élus rachetés morts seront ressuscités et avec ceux qui seront restés vivants, ils recevront tous ce corps céleste incorruptible que Jésus leur promet.
Verset 13 : « Que celui qui a des oreilles entende ce que l'Esprit dit aux Églises ! »
Ce verset apparaît à la fin de chaque époque prophétisée. Il ne prend vraiment son sens que depuis 1994 soit, depuis que l’adventisme officiel a été vomi par Jésus-Christ. Jusqu’à cette date, le décryptage prophétique était incomplet. Et il a fallu attendre que le mépris pour la parole prophétique soit démontré en France à Valence, fief historique de l’adventisme français pour que mes explications soient complètes. Et la précision « ce que l’Esprit dit aux Eglises » prouve que Dieu exige de ses élus qu’ils comprennent les messages adressés dans ses prophéties à ses élus dans tout le temps couvert par la prophétie. La Révélation prophétique divine construite sur Daniel et Apocalypse est semblable à un très long train dans lequel il faut monter dès sa gare de départ pour ne pas perdre la moindre lumière qui la construit.
A ce sujet, je dois ici donner des explications concernant l’histoire de l’adventisme du septième jour. Ces explications sont indispensables pour comprendre ce qui est arrivé.
Les adventistes vainqueurs en 1844 ont attendu le retour de Jésus-Christ pour le 22 Octobre. Et très logiques envers leur situation, ils ont conservé cette date du 22 Octobre 1844 comme dernière date prophétique constructible par des durées bibliques. Ceci, les a conduits à imputer leur époque à la dernière des « sept Eglise » soit, « Laodicée ». Hélas, le temps passant, aucune mise à jour prophétique n’a été réalisée, malgré les décennies accumulées depuis 1844. Dans « la Tragédie des Siècles », Ellen White exhorte pourtant ses frères et sœurs adventistes à étudier de manière approfondie les prophéties de Daniel et Apocalypse, mais elle prêchait déjà dans le désert, car la foi déclinait rapidement, faute de nourriture nouvelle exaltante. La routine et l’esprit de tradition gagnait toute l’Eglise ; ceci, du Président mondial et des pasteurs, jusqu’au plus petit des membres de l’œuvre.
Or, en 1975, encore sans relation avec les adventistes, isolé, j’étudiais ce livre mystérieux Apocalypse, logiquement, sans aboutir à rien, ou vraiment peu de choses, après avoir lu la Bible en entier. Comment expliquer cet intérêt pour ces choses mystérieuses ? Je ne puis le dire mais j’ai appris dans la Bible ce que Dieu dit au sujet du Christ dans Zacharie 3 :9 : « Car voici, pour ce qui est de la pierre que j'ai placée devant Josué, il y a sept yeux sur cette seule pierre ; voici, je graverai moi-même ce qui doit y être gravé, dit YaHWéH des armées; et j'enlèverai l'iniquité de ce pays, en un jour. » C’est lui qui écrit dans l’âme de ses serviteurs comme il a écrit ses commandements sur des tables de pierre. Dieu prépare ceux qui le servent et il les dote des talents nécessaires pour leur mission. Pour moi, l’amour de la vérité est une chose naturelle que je n’ai pas à rechercher car il était en moi dès ma naissance.
Après mon baptême, en 1980, mon adhésion à l’œuvre adventiste m’ouvrait le chemin de la compréhension des mystères qui avaient captivé mon attention et mon intérêt. Ne prenant que la Bible pour source d’interprétation, les images prenaient formes et trouvaient leur accomplissement dans l’histoire religieuse. Le discernement spirituel donné par Dieu portait ses fruits lumineux. Mais dans l’œuvre adventiste mon action prophétique a rencontré l’indifférence, le mépris, et l’agressivité, et l’approbation de quelques frères et encore, momentanément. Mon annonce du retour de Jésus-Christ pour le 22 Octobre 1994 a fini par susciter la contrariété des pasteurs, ce qui a conduit à ma radiation officielle en Novembre 1991. Mon frère en Christ, Joël dit Jean, a découvert un détail qui explique le comportement des officiels adventistes. En réunion secrète, le 22 Octobre 1991, décision fut prise d’entrer dans l’alliance officielle protestante soit, dans une date anniversaire de la dernière épreuve de foi adventiste, datée du 22 Octobre 1844. Que personne n’ose penser attribuer une telle chose au hasard ! Le rattachement au protestantisme ne sera officiellement révélé aux membres adventistes qu’au début de l’année 1995.
A cette date 1991, l’Eglise officielle retenait encore pour explication prophétique officielle les interprétations héritées des pionniers de 1844. Et elle osait rejeter des explications nouvelles et irréfutables bibliquement. En sorte qu’elle excitait la juste colère de Jésus-Christ. Et là, je dois révéler un détail. L’Eglise se rendait coupable de mépris pour la prophétie en dépit de cette mise en garde écrite dans 1 Thessaloniciens 5:19 à 22 : « N'éteignez pas l'Esprit. Ne méprisez pas les prophéties. Mais examinez toutes choses ; retenez ce qui est bon ; abstenez-vous de toute espèce de mal. » Et il y a aussi cette exhortation citée dans 2 Pierre 1:19 à 21que je cite souvent, avec raison : « Et nous tenons pour d'autant plus certaine la parole prophétique, à laquelle vous faites bien de prêter attention, comme à une lampe qui brille dans un lieu obscur, jusqu'à ce que le jour vienne à paraître et que l'étoile du matin se lève dans vos cœurs ; sachant tout d'abord vous-mêmes qu'aucune prophétie de l'Écriture ne peut être un objet d'interprétation particulière, car ce n'est pas par une volonté d'homme qu'une prophétie a jamais été apportée, mais c'est poussés par le Saint Esprit que des hommes ont parlé de la part de Dieu. »
Ce mépris témoigné pour la parole prophétique s’est retourné contre les coupables. Car l’une des raisons principales du rejet de mes nouvelles lumières a été la tranquillité d’esprit des méprisants et des indifférents qui se fondait sur l’idée qu’ils étaient membres de la dernière Eglise du Christ, qui était donc, selon eux, intouchable, et sécurisée. Cette pensée leur a été fatale, car ils sont restés ignorants du fait que l’expérience des pionniers de 1844 est rattachée à la cinquième Eglise nommée « Sardes » et non à la septième appelée « Laodicée », comme ils l’ont cru et le croient encore en 2025.
Ainsi éclairé au sujet de toutes ces données, tu vas pouvoir comprendre le sens des propos tenus par Jésus à cette église adventiste qu’il vomit en 1994 date du message délivré à l’ange de « Laodicée » et surtout dernière date construite par des données bibliques de manière légitime et authentiquement approuvée par Dieu. La date marquée par la bénédiction d’une grande lumière prophétisée à Ellen White dans sa première vision reçue de Dieu et décrite page 14 dans son livre « Premiers Ecrits » et, en anglais, « Early Writtings ». La date qui devait marquer une bénédiction est devenue celle qui a causé sa chute et son abandon au camp du diable, juif, catholique et protestant.
Le nom « Laodicée » est composé de deux mots grecs : « laos » qui signifie peuple et « dikéia » qui désigne le jugement. Le nom « Laodicée » désigne donc l’époque où Dieu juge son peuple adventiste du septième jour instauré originellement en « Philadelphie ». En fait, ces deux noms confirment le principe du jugement montré au roi Beltchatsar le petit-fils du roi Nébucadnetsar, dans Daniel 5. Une main a écrit sous ses yeux sur un mur : « compté, compté, pesé, divisé ». Appliqué à l’Eglise adventiste officielle, le messager de Dieu, cela donne ; « Philadelphie », « compté » ; « Laodicée », « compté, pesé, divisé » soit, « vomi », comme indiqué au verset 16. Ces deux noms marquent « le début et la fin » de la dernière institution chrétienne reconnue par Jésus-Christ, soit son temps « alpha » et son temps « oméga », noms de la première et la dernière lettre de l’alphabet grec que Jésus s’attribue dans Apocalypse 1:8 : « Je suis l'alpha et l'oméga, dit le Seigneur Dieu, celui qui est, qui était, et qui vient, le Tout Puissant ». Entre 1873 et 1994, nous avons le temps de l’adventisme « du septième jour » institutionnel reconnu par Dieu. Mais la date de la bénédiction adventiste est établie par le décret de Daniel 8:14 soit, le printemps 1843, et l’automne 1844 où le 22 Octobre, les épreuves adventistes ont pris officiellement fin.
Verset 1 : « Écris à l'ange de l'Église de Laodicée : Voici ce que dit l'Amen, le témoin fidèle et véritable, le commencement de la création de Dieu : »
Pour comprendre la causalité de cette présentation de Jésus-Christ nous devons rattacher à cette date 1994, l’heure où la prophétie faite par Jésus dans Matthieu 24 entre en application. Dans ses propos Jésus louange le « serviteur fidèle et prudent » et il fustige et maudit le « méchant serviteur qui bât ses compagnons et boit avec les ivrognes ». Déjà, dans Matthieu 24:43 nous avons trouvé l’annonce concernant les protestants pour lesquels Jésus « vient comme un voleur » qui dévalise une maison non protégée, non gardée.
Cette fois le jugement de Jésus de 1994 bénit le « serviteur fidèle et prudent » adventiste du septième jour, dans le verset 45 : « Quel est donc le serviteur fidèle et prudent, que son maître a établi sur ses gens, pour leur donner la nourriture au temps convenable ? » Je suis ce serviteur que Jésus a appelé dans une vision nocturne au printemps 1975. Et « la nourriture que je donne au temps convenable » de l’attente de son retour fixé au jour du printemps 2030, c’est cette manne que j’écris jour après jour, au gré de son inspiration. Jésus dit encore à mon sujet : « Heureux ce serviteur, que son maître, à son arrivée, trouvera faisant ainsi ! Je vous le dis en vérité, il l'établira sur tous ses biens. » C’est là, la raison pour laquelle il se présente à « Laodicée » comme « le témoin fidèle et véritable ». En 1994, année où je retiens le « témoignage de Jésus » soit, son témoignage prophétique que je décrypte et fais partager à ses serviteurs. Je relève la continuité de cette époque avec la précédente en laquelle Jésus s’est présenté au titre du « Véritable ». C’est cette « nourriture donnée » par Jésus qui provoque la malédiction du « serviteur méchant » concerné au verset 48 : « Mais, si c'est un méchant serviteur, qui dise en lui-même : Mon maître tarde à venir, » : l’époque concernée cible la fin du temps de l’adventisme du septième jour, moment où le méchant serviteur s’impatiente et s’endurcit. - « s'il se met à battre ses compagnons, s'il mange et boit avec les ivrognes, » : l’image de « battre ses compagnons » s’est accomplie par ma radiation officielle des registres de l’œuvre adventiste, en Novembre 1991, et celle de « manger et boire avec les ivrognes » dénonce les tractations secrètes entreprises le 22 Octobre de la même année auprès de la fédération des Eglises protestantes. – « le maître de ce serviteur viendra le jour où il ne s'y attend pas et à l'heure qu'il ne connaît pas, » : Ce verset prophétise avec précision l’alliance passée entre les adventistes et le protestantisme puisqu’ils partagent l’ignorance du jour de la venue de Jésus-Christ. - « il le mettra en pièces, et lui donnera sa part avec les hypocrites : c'est là qu'il y aura des pleurs et des grincements de dents. » Commettant la même faute envers des prophéties divines à 150 années d’intervalle, les adventistes apostats partageront le châtiment réservé au protestantisme apostat désignés comme étant les « hypocrites ».
Le contexte qui justifie le message adressé à Laodicée est donc maintenant clairement expliqué et établi. Le premier nom que Jésus-Christ se donne est l’Amen. Ce terme araméen signifie : en vérité mais aussi, ainsi soit-il. Ce terme porte plusieurs messages paradoxaux et Jésus-Christ l’utilise souvent dans ses déclarations solennelles en début de sa déclaration et en le doublant : en vérité, en vérité, je vous le dis …Cependant les chrétiens l’utilisent pour marquer la fin de leur prière. Alors début ou fin ? Je crois que Dieu joue de cette ambigüité. Car, ce message de Laodicée a été historiquement interprété comme un début et une fin par les pionniers adventistes de 1844. Le sens du message n’avait aucun intérêt pour eux, mais pensant se trouver à l’heure de la fin du monde, ils ne pouvaient être représentés que par la dernière des sept Eglises d’Apocalypse 2 et 3. Et cette erreur a été conservée jusqu’en 1994, date où cette faute injustifiable a été expiée par l’adventisme apostat car Jésus-Christ l’a « vomi » à cette date 1994.
Personnellement, je reconnais dans ce nom Amen, en Jésus-Christ, le Dieu de vérité qui m’a fait découvrir toute la vérité concernant ses mystérieuses prophéties de Daniel et Apocalypse. Depuis 1994, la lumière prophétique n’a jamais été aussi grande, aussi complète, aussi parfaite. Et contrairement à l’adventisme et le protestantisme apostat, je sais à quelle heure Jésus viendra dans toute sa gloire divine.
Le troisième nom que Jésus se donne est « le commencement de la création de Dieu ». En message paradoxal, Jésus suggère le « temps de la fin » de la création terrestre divine. En 1994, un délai imprévu m’a été imposé jusqu’au vrai retour de Jésus-Christ dont je n’ai eu connaissance de sa date que depuis le printemps 2018. Ce qui est sûr, c’est qu’au titre de septième des sept Eglises, Laodicée est bien la dernière ; celle qui se prolonge jusqu’en 2030 où Jésus va venir dans la gloire de ses anges fidèles. Car, si le message condamne l’institution, par contre, l’œuvre adventiste se prolonge par les adventistes fidèles dissidents mais actifs. Ce rappel du « commencement de la création de Dieu » dirige ma pensée vers « la sanctification du sabbat du septième jour » par Dieu ; ce qui condamne, aujourd’hui comme en 1994, l’alliance adventiste faite avec les observateurs du dimanche romain, protestants et catholiques ; le dimanche étant honoré le premier jour de la semaine.
Verset 15-16 : « Je connais tes œuvres. Je sais que tu n'es ni froid ni bouillant. Puisses-tu être froid ou bouillant ! Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n'es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche. »
Pour que Jésus-Christ constate de la tiédeur spirituelle, il faut qu’un long temps se soit écoulé depuis le début de la bénédiction en lequel le comportement du messager est du type bouillant. Ce détail confirme la continuité adventiste depuis « Philadelphie » que je présente. Ensuite, cette tiédeur rend insupportable pour Jésus-Christ sa relation avec ce type d’adventiste. Depuis les apôtres, Jésus-Christ exige l’amour de la vérité de tous ceux que sa mort expiatrice sauve. Je fais remarquer que l’annonce de le vomir n’est pas conditionnelle ; elle est présentée comme une certitude prophétisée.
Verset 17 : « Parce que tu dis : Je suis riche, je me suis enrichi, et je n'ai besoin de rien, et parce que tu ne sais pas que tu es malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu, »
Jésus transforme en paroles les œuvres qu’il constate. Il décrit ainsi le comportement du rejet de sa nouvelle lumière prophétique : « Je n’ai besoin de rien ». Les adventistes apostats évaluent leur richesse spirituelle sur leur pratique du sabbat qui leur donne l’impression d’être irrépréhensibles. D’autres parmi eux se sentent riches en ayant « le témoignage de Jésus » qu’il attribue exclusivement aux écrits d’Ellen White. Ecoutons l’avis de Jésus sur ces sujets : « tu ne sais pas que tu es malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu ». Malheureux soit cible du malheur ; misérable soit, dans une misère spirituelle ; pauvre parce que l’héritage prophétique compris par Ellen White et les pionniers est dépassé et sans valeur en 1994, après 150 ans d’avancées de l’histoire humaine depuis 1844 ; aveugle, autant que peut l’être l’homme qui rejette la lumière divine ; nu et c’est le critère le plus grave, car celui que Dieu dit nu n’est pas couvert par le vêtement de justice offert en grâce par Jésus-Christ. A ce sujet, nous lisons dans 2 Corinthiens 5:2-3 : « Aussi nous gémissons dans cette tente, désirant revêtir notre domicile céleste, si du moins nous sommes trouvés vêtus et non pas nus. »
Verset 18 : « je te conseille d'acheter de moi de l'or éprouvé par le feu, afin que tu deviennes riche, et des vêtements blancs, afin que tu sois vêtu et que la honte de ta nudité ne paraisse pas, et un collyre pour oindre tes yeux, afin que tu voies. »
Le conseil donné par Jésus consiste à imiter ses œuvres ce qu’il exprime en disant « d’acheter de moi ». En évoquant les « vêtements blancs », il dirige les regards des adventistes vers les pionniers sélectionnés en 1843 et 1844 désignés dans le message de « Sardes » aux versets 4 et 5. Le collyre suggère l’onction du Saint-Esprit qui donne le discernement spirituel, titre de ce message. La vue obtenue permet de juger les arbres à leur fruit et de comprendre ce que Dieu fait à l’humanité qui le frustre de sa légitime gloire.
Verset 19 : « Moi, je reprends et je châtie tous ceux que j'aime. Aie donc du zèle, et repens-toi. »
Un délai de 35 années offre aux adventistes condamnés par Jésus-Christ la possibilité de se repentir individuellement. L’identité adventiste est confirmée par la précision « je châtie tous ceux que j’aime ». Car depuis 1844, aucun autre groupe chrétien n’est en situation d’être aimé et béni par Dieu.
Verset 20 : « Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu'un entend ma voix et ouvre la porte, j'entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi. »
Jésus reste fidèle à ce principe ; il ne contraint personne à honorer sa lumière. Il attend un signe d’ouverture venant de son racheté : l’étude des prophéties, l’aide de son Esprit pour comprendre et mettre en œuvre, selon le but qu’il donne à sa Révélation qui est la signification du mot Apocalypse dans Apocalypse 1 :3 : « Heureux celui qui lit et ceux qui entendent les paroles de la prophétie, et qui gardent les choses qui y sont écrites ! Car le temps est proche. » Cette béatitude bénéficie à « celui qui lit » soit, le messager qu’il a chargé, au titre de « serviteur fidèle et prudent », de décrypter et de faire partager aux autres élus, la mystérieuse prophétie divine concernant Daniel et Apocalypse. Car cette béatitude est la seconde que Dieu décerne à l’adventisme du septième jour ; la première se trouvant dans Daniel 12:12 : « Heureux celui qui attendra, et qui arrivera jusqu'à mille trois cent trente-cinq jours ! » Déjà, le Seigneur m’avait réservé l’exclusivité de la découverte et la présentation de la date 1873 définie comme terme de ces 1335 jours-années. Ses élus n’ont pas à reprendre des recherches pour comprendre les prophéties bibliques, puisque par mon travail, il leur livre la vérité entière de ce qui doit et peut être compris. Je dis ces choses sans y mettre le moindre orgueil, mais celui qui entreprend un travail que Jésus ne lui demande pas de faire, fait du tort et nuit à Jésus-Christ lui-même, le Chef de l’Eglise des élus sauvés et l’organisateur de son œuvre dans tout son accomplissement, jusqu’à son retour. Après mon travail, ses élus n’ont plus qu’à profiter de mon décryptage qui leur permet d’être « ceux » auxquels il est donné de « comprendre et de garder les choses qui y sont écrites ».
C’est ce partage de sa lumière révélée que Jésus présente sous l’image d’un repas spirituel, et particulièrement, celle d’un « souper », un repas pris dans un contexte de grandes ténèbres, comme ce terme souper le suggère. Et il est vrai que le mépris témoigné contre sa lumière, par les adventistes du septième jour depuis mes premières présentations en 1982, confirme cette atmosphère ténébreuse d’une nuit mortelle. Et en 2025, rien n’a changé, sinon la lumière que je reçois de Dieu et qui, elle, s’intensifie de jour en jour ; ce qui rend les ténèbres toujours plus sombres. C’est pour prêcher dans un désert que Jésus m’a appelé à le servir et le serviteur n’est pas plus grand que son Maître qui a connu le même échec pendant son ministère terrestre. Je sais que Jésus n’aurait pas mieux réussi à ma place, car il est à ma place m’ayant conduit depuis son appel. Les êtres humains qui aiment la vérité sont plus rares que les filons d’or sur notre terre. Et mon temps et celui de Jésus partagent cette triste vérité qui a fait dire à Jésus-Christ dans Luc 18:8 : « … Je vous le dis, il leur fera promptement justice. Mais, quand le Fils de l'homme viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? »
Un grand drame inimaginable est encore devant nous ; celui que vient accomplir la « sixième trompette » d’Apocalypse 9:11 à 21. Et il réalisera peut-être, le miracle de réveiller la foi endormie ; toutefois, si elle existe, « quand le Fils de l’homme viendra ».
Verset 21 : « Celui qui vaincra, je le ferai asseoir avec moi sur mon trône, comme moi j'ai vaincu et me suis assis avec mon Père sur son trône. »
La dernière récompense promise à celui qui vaincra est la plus grande de toutes celles qui l’ont précédée dans les six premières époques. Jésus fera asseoir avec lui sur son trône celui qui vaincra, message parallèle avec ses paroles « Je vous le dis en vérité, il l'établira sur tous ses biens » au sujet du « serviteur fidèle et prudent » de Matthieu 24 :47. Mais que sont « ses biens » ? Des valeurs spirituelles selon lesquelles le Seigneur se fait serviteur de ses esclaves et trouve son bonheur en agissant ainsi. Les ambitieux activistes tels Judas l’Iscariot vont être déçus, mais la palme céleste est réservée aux plus humbles et aux plus doux.
Verset 22 : « Que celui qui a des oreilles entende ce que l'Esprit dit aux Églises ! »
C’est sur cette septième et dernière citation qui caractérise le véritable racheté élu que s’achève cette nouvelle démonstration du don du discernement spirituel.
M60- Le second malheur vient
La vie entière fonctionne sur le principe : action – réaction – contre-réaction. Depuis qu’il allait créer une vie libre en face de lui, Dieu savait qu’il allait : ordonner, que sa créature lui désobéirait, et que son amour compassionnel le conduirait à prendre place parmi elles pour payer par une mort douloureuse le prix du rachat des élus qu’il allait sélectionner sur la terre créée après l’expérience céleste, dans ce but. En contre-réaction, Dieu a réagi de manière sublime et il a ainsi su régler le problème du bien et du mal, laissant ensuite ses créatures célestes puis terrestres choisir elles-mêmes leur destin.
Après l’expérience céleste, sur la terre, le principe, action – réaction – contre-réaction ne règle rien, car une autre contre-réaction s’enchaîne et prolonge les problèmes. La vie sur la terre n’est plus organisée sur les bases et les valeurs de bonté approuvées par Dieu depuis le péché commis par Adam et Eve, le premier couple humain formé par Dieu. Frappé par la malédiction divine, le couple humain a été confronté à une vie devenue dure et implacable, dans tous les sujets qui la constituent. La nature entière s’est mise à transmettre comme un miroir l’image de la méchanceté héritée du diable le nouveau maître imposé au couple pécheur. Cette méchanceté n’était pas identifiée par les anges célestes qui ne voyaient en Satan qu’un avis personnel que certains parmi eux allaient jusqu’à partager. Et c’est donc pour clarifier la situation que Dieu a créé la terre et ses habitants afin que la méchanceté du diable prenne une forme évidente bien concrète. Et cette démonstration s’est allongée sur 6000 années, mais sur ce total seuls les 2000 dernières années ont témoigné de la méchanceté d’un diable devenu furieux depuis la victoire de Jésus-Christ sur le péché et la mort. C’est pour souligner ce changement de comportement du diable que Dieu donne en Jésus-Christ dans sa Révélation, dans Apocalypse 12:7 à 12, son information concernant l’expulsion du ciel du diable et de ses congénères et leur repli sur la terre : et le verset 12 nous dit : « C'est pourquoi réjouissez-vous, cieux, et vous qui habitez dans les cieux. Malheur à la terre et à la mer ! Car le diable est descendu vers vous, animé d'une grande colère, sachant qu'il a peu de temps. » La victoire de Jésus-Christ a prononcé la sentence de mort du diable et de ses démons : ils perdent l’accès au royaume céleste de Dieu et sont contraints par Dieu à être confinés sur la terre, sur laquelle, ils mourront deux fois, comme leurs victimes humaines : la première fois au retour de Jésus-Christ, la seconde fois pour le jugement dernier à la fin du septième millénaire au cours duquel, dans le ciel, les rachetés élus et Jésus-Christ les jugeront tous, individuellement, cas par cas.
Trompé par la naissance de Jésus-Christ prise comme base du temps, j’avais cependant déjà compris que le temps donné au diable était de 2000 ans soit, le temps couvert par le dernier tiers des 6000 ans du péché terrestre ; et mes calculs construisaient la date 1994 qui était l’an 2000 de la vraie date de la naissance de Jésus-Christ. Depuis 2018, prenant pour base la mort de Jésus, ces 2000 ans s’achèveront à la fin de l’année 2029 qui vient et le printemps de l’an 2030 sera l’heure du « Troisième malheur » rattaché à la « septième trompette » selon Apocalypse 8:13 : « Je regardai, et j'entendis un aigle qui volait au milieu du ciel, disant d'une voix forte: Malheur, malheur, malheur aux habitants de la terre, à cause des autres sons de la trompette des trois anges qui vont sonner ! »
Ainsi, depuis leur installation sur la terre, les démons ont révélé leur méchanceté en faisant commettre par les êtres humains des choses abominables que les quatre premières trompettes représentent dans Apocalypse 8. Je les rappelle : Invasions barbares, persécutions papales romaines, Guerres de Religions sanglantes, et « Terreur » révolutionnaire française de 1793. Tous ces massacres ne sont rien en comparaison des « trois dernières trompettes » selon ce que dit le verset 13 d’Apocalypse 8 qui nous offre un repère historique pour définir le temps concerné : « l’aigle », le symbole dominateur du régime impérial français de Napoléon 1er et ses héritiers soit, l’année 1806 de son sacre. Cette date vient donc après la date 1793 rattachée à la quatrième trompette. L’interprétation est ainsi solidement confirmée.
Pour les habitants de la terre, le « malheur » va s’intensifier après le règne de Napoléon 1er. Et c’est ainsi que la prophétie nous conduit en 1843, l’année que Dieu choisie pour soumettre les chrétiens protestants des USA et de l’Europe à ses épreuves de foi « adventistes ». Car le sujet a pris une importance internationale entre les dates 1828 et 1873 construites par les 1290 et 1335 jours prophétisés dans Daniel 12:11-12. Cependant, c’est seulement sur le sol américain que les annonces du retour de Jésus pour 1843 et 1844 se sont accomplies.
Le « premier malheur » vient donc en « cinquième trompette » frapper le protestantisme américain et européen dès le premier jour du printemps 1843. Et ce « malheur » est confirmé dans Apocalypse 3 :1, par le message de « Sardes », dans lequel Jésus dit au protestantisme : « Tu passes pour être vivant, et tu es mort ». Mais ce « malheur » s’étend ensuite à l’adventisme apostat à partir de 1993, date de la fin des « cinq mois » cités dans Apocalypse 9:5-10, et qui représentent réellement 150 ans. Sous ce regard, la « cinquième trompette » prend bien l’aspect d’un « premier malheur » au titre de son importance, car elle retire la grâce du Christ à des millions de protestants et d’adventistes qui espèrent et croient être sauvés. Cette première importance est justifiée par le fait que ce jugement divin expose les coupables à la « seconde mort » du jugement dernier.
Vien ensuite le « second malheur » rattaché à la « sixième trompette » décrite dans Apocalypse 9:11 à 21. Cette fois la mort donnée aux victimes est la première mort provoquée par la guerre humaine. Il faut relever le lien et la continuité des 5ème et 6ème trompettes. Dieu prend pour cible de sa révélation, les humains occidentaux longtemps christianisés par héritages traditionnels, catholiques, premièrement, puis protestants, principalement aux USA. Depuis Daniel 7:7, Dieu cible principalement l’Europe symbolisée par « dix cornes » sur lesquelles, une onzième « petite corne » représentant le papisme catholique romain vient dominer à partir de l’année 538. Son règne despote lié à celui de la monarchie française qui le soutient, devait durer 1260 années prophétisées sous les formes « un temps, des temps et la moitié d’un temps, quarante-deux mois, et mille deux-cent soixante jours » dans Daniel et Apocalypse. Et ce règne despote a pris effectivement fin en 1798 année où le pape Pie VI a été arrêté et conduit et mis en prison à Valence, la ville où je vis et sers le Dieu de vérité YaHWéH, Micaël, Jésus-Christ. Malade, le pape est mort dans sa prison l’année suivante, en 1799. C’est alors qu’est apparu Napoléon 1er et son symbole, l’aigle impérial.
Pour révéler à son prophète ce que représente le « second malheur » de la « sixième trompette », Dieu lui présente dans Apocalypse 11 :7, la description et l’évocation de la « quatrième trompette » ; ce qui annonce un renouvellement du même type de cette première forme du « malheur » destructeur de l’humanité. Car la « quatrième trompette » s’est accomplie par la mise en action de la mort mécanique donnée par l’utilisation de la guillotine inventée à l’époque par le docteur Guillotin qui l’a présentée au roi Louis XVI, sa future victime, qui l’a adoptée. Un génocide de classe a été ainsi accompli pendant une année, jour pour jour de juillet 1793 et Juillet 1794. Il est donc nécessaire de comprendre les causes qui ont conduits à ces actions terribles sur la terre de France car elles sont aussi celles qui vont conduire l’humanité actuelle au génocide de la « sixième trompette » qui vient.
Je reprends donc le principe d’analyse : action – réaction – contre-réaction évoqué au début de ce message.
Action : incitée par le régime papal catholique romain, la monarchie a cruellement fait souffrir des gens injustement. Ce comportement injuste a produit la haine de la religion qui, un temps contenue par peur des représailles a fini par éclater lorsque la ruine a ajouté à cette injustice la privation de la nourriture pour le peuple affamé.
Réaction : le peuple n’a plus peur des représailles royales parce qu’il se sait condamné à mourir de faim. Dans ce cas, mourir pour mourir, autant le faire en risquant le tout pour le tout. Et la haine longtemps contenues éclate sous la forme de la Révolution française du 14 Juillet 1789 à Paris, l’action principale retenue car en vérité la révolution a commencé auparavant à Grenoble, chef-lieu de l’Isère, un département mitoyen de la Drôme où je vis.
Comparons ces données à notre actualité.
Après les 29 années de croissances économiques, en France, en 1974 s’est produit le choc pétrolier dont le pays ne s’est jamais remis. Puisque c’est à partir de cette année que la France s’est endettée envers les investisseurs étrangers du capitalisme mondial originellement anglo-américain. La dette nationale actuelle atteint après les dépenses inconsidérées faites par le jeune et inexpérimenté Emmanuel Macron, la hauteur abyssale de 3600 milliards d’Euros. Et parallèlement, les choix faits par ses prédécesseurs ont privé le pays de ses emplois, en tuant ses propres entreprises pour favoriser la construction européenne au profit de l’Allemagne, et au profit de la Chine devenue le pays fournisseur de tous les pays de la terre, depuis son entrée dans l’OMC. En conséquence, la situation actuelle de la France est désastreuse sur le plan financier, mais à cela un autre « malheur » s’est ajouté depuis le 22 Février 2022 : ayant décidé de soutenir la cause ukrainienne, le président Macron a fait de la France, la cible de la colère de la Russie ; et étant financièrement ruinée et endettée, la France est incapable de soutenir une guerre contre cette Russie que Dieu a conduit à se préparer pour punir l’arrogance et la trahison des peuples faussement chrétiens européens.
Avant la quatrième trompette, sous la monarchie, les seigneurs aristocrates imposaient leur puissance basée sur leurs énormes richesses, aux pauvres gens dont la survie dépendait d’eux. Aujourd’hui, en septembre 2025, cette situation est renouvelée. Car ayant abandonné la vie dans les campagnes en choisissant de vivre dans des villes où se présentaient les offres d’emploi de l’industrie, les habitants de ces villes se retrouvent aujourd’hui victimes du chômage causé par la disparition ou presque de cette industrie ; ceci à cause des mauvais choix faits par les élites politiques élues par le peuple français. Il a renversé la monarchie pour devenir démocrate, mais se trouve désarmé, quand il conviendrait de renverser la démocratie qui a trahi ses objectifs humanistes. C’est pourquoi, la France actuelle éclate en autant de représentations que son nombre de français et de françaises. Car en démocratie, chacun juge les choses selon son avis personnel qui défend toujours son intérêt personnel. Selon le principe « l’union fait la force », des unions rassemblent dans des partis politiques des gens qui partagent plus ou moins les mêmes idées et surtout, les mêmes intérêts.
La révolution française a bien réussi à mettre fin aux privilèges des aristocrates monarchistes mais elle les a remplacés par les privilèges des classes financières républicaines et le malheur humain de l’heure trouve sa source dans cette domination de l’argent incarné par le « Dollar » américain. L’Amérique, ce pays d’où vient l’amertume des peuples, ce pays où l’argent est roi, seigneur et maître, et étalon mondial. Ce pays dans lequel les riches défendent leurs privilèges accrochés à leurs valeurs comme le pendu l’est à sa corde. Et nous avons dans notre actualité la confirmation de ce jugement dans la décision du président américain Donald Trump de ruiner toujours plus les pays concurrents étrangers auxquels, renversant les règles précédentes du libre échange imposées par ses prédécesseurs, il taxe les importations étrangères ; ce qui remet en cause, dans ces pays, les équilibres économiques et leur prospérité.
Traduit en clair le nom devenu populaire « maga » qui signifie « make again great america » soit, rendre de nouveau grande l’Amérique, signifie parallèlement, ruiner les autres pays pour s’enrichir et dominer politiquement sur eux. L’Amérique nouvelle actuelle révèle à tous sa soif expansionniste et dominatrice universaliste. Mais peu de gens prennent conscience de ce projet funeste pour l’humanité entière. C’est mon privilège de serviteur de Dieu de comprendre ces choses, parce que mon analyse de la vie tient compte du jugement caché dans la pensée de Dieu, notre tout-puissant Père, notre Créateur.
Le pouvoir de l’argent a offert à l’Amérique des USA sa domination hégémonique terrestre actuelle qui en fait la première puissance guerrière sur toute la terre. Mais en 2025, la puissance et l’autorité de l’Amérique est contestée et remise en cause par des pays concurrents fortement peuplés et développés techniquement. Car il est à relever, que le vin nouveau n’est supporté et conservé que dans des outres neuves comme Jésus l’a enseigné. Et sur le plan technique, il en est de même, car la vieille Europe est une outre usagée qui n’est plus capable de recevoir le vin nouveau. Les pays du tiers-monde sont sortis de leur abaissement et ils constituent à l’image de l’Inde et de la Chine de nouveaux géants ambitieux économiquement et politiquement.
Dieu a programmé l’affaiblissement de l’Europe occidentale pour mieux la livrer à la destruction de la « sixième trompette » qui lui apporte son « second malheur » de manière imminente devant nous. La domination tyrannique de l’argent a abouti à la ruine et l’appauvrissement des peuples quelle regroupe sous son alliance de l’Union Européenne. En France, deux partis ont représenté, en théorie seulement, les riches et les pauvres sous l’aspect politique : droite et gauche. Mais la droite est loin d’être moralement droite, et la gauche défend des valeurs qui la rendraient plus droite que la droite. Car l’esprit du partage est dans la pensée de Dieu une norme qu’il approuve et encourage chez ses élus qui reconnaissent en Jésus-Christ, son offre de salut et ses valeurs divines bien supérieures aux valeurs humanistes des partisans de la gauche politique.
Une droite qui n’est pas droite et une gauche qui n’est qu’à moitié gauche, tel est l’aspect qui représente la situation du peuple français. Et les journalistes et les hommes politiques interrogés sur les ondes utilisent constamment l’expression « les Français disent ceci, les Français disent cela, les Français pensent ceci ou cela », bref, de quels Français parlent-ils ? Car être Français signifie avoir une opinion personnelle et seul le temps électoral permet de mesurer le taux des avis exprimés par la participation au vote. Or, déjà, depuis des décennies, ayant compris avant les autres, la mystification politique de la « 5ème République », près de 50 % des Français refusent de participer à un jeu de dupe. Les gagnants restent et seront toujours, les plus riches, parce que les plus influents. Et les pauvres resteront et seront toujours de plus en plus pauvres. En sorte que la gouvernance des démocraties produit le même fruit hideux que celui qu’a produit la monarchie et son régime aristocrate. Ce constat mérite d’être relevé car il constitue un élément de la démonstration voulue par Dieu qui a dit à l’humanité entière par la bouche de Jésus-Christ : « sans moi vous ne pouvez rien faire », dans Jean 15:5 : « Je suis le cep, vous êtes les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure porte beaucoup de fruit, car sans moi vous ne pouvez rien faire. » Et avec l’aide de Jésus-Christ, les valeurs célestes de Dieu réussissent à instaurer le bonheur mais, uniquement pour les créatures qui partagent son sens des valeurs. C’est pourquoi ces valeurs divines ne peuvent pas être instaurées sur la terre actuelle dominée par la puissance du péché incarnée par l’injustice des riches. Et en conséquence, la terre actuelle doit rester l’image du péché et subir son châtiment, la destruction, jusqu’à sa recréation par Dieu au début du huitième millénaire éternel.
L’injustice de la monarchie a produit la
colère révolutionnaire et je relève que dans notre actualité une énorme tension
soulève des groupes humains rassemblés par le partage de leur opinion pour
défendre les valeurs communautaires multiethniques occidentales. Et là encore,
ces pensées apparaissent aux USA, le pays de tous les paradoxes, puisque
premier pays fondé sur le rassemblement d’ethnies multiples. Mais ne nous y
trompons pas, ce ne fut pas le résultat d’un choix, mais celui d’une situation
qui s’est imposée d’elle-même. Des occidentaux sont venus s’installer sur une
terre arrachée au indigènes qui la peuplaient jusqu’à leur arrivée. La création
des USA repose donc déjà sur une action injuste imposée par les plus forts du
moment : les Occidentaux anglais et européens. La cohabitation des ethnies
s’est imposée malgré les esprits racistes de certains immigrés blancs
occidentaux. Car l’époque justifiait l’esclavage des Noirs africain. Et il a
fallu beaucoup de temps, pour que les Noirs américains installés dans ce pays
contre leur gré, obtiennent l’égalité légale des droits des Blancs. Mais la loi
humaine ne change pas l’esprit humain, et les gens racistes sont restés
racistes, de même qu’un léopard ne peut enlever les taches de sa peau. La
tension entre Noirs et Blancs n’a jamais disparu et les populations blanche et
noire ont adopté une vie communautaire, vivant côte à côte plus qu’ensemble.
Des heurts de plus en plus fréquents ont fait des morts, de plus en plus
nombreux dans ce pays où les pauvres s’enrichissent uniquement par le trafic de
la drogue beaucoup plus rémunérateur que les salaires proposés aux ouvriers et
aux employés du commerce et de l’industrie. Notre temps moderne se différencie
de celui de la Révolution française en ce que s’ajoute aujourd’hui, les
rivalités ethniques reproduites, après les USA, même dans les pays européens.
Et ce critère n’est pas le moindre, car ces différences ethniques sont aussi
marquées par des différences religieuses incompatibles entre elles :
Juive, chrétienne, musulmane, les trois religions qui revendiquent la
bénédiction du Dieu créateur. Si les deux premières ont connu une légitimité
historique successive, il n’en est rien de la troisième, l’islam, que Dieu n’a
permis que pour la dispute, la controverse, et l’affrontement guerrier pour châtier
le catholicisme et le protestantisme européen.
L’expérience vécue par les USA a été reproduite en Europe, en Angleterre et en France les deux pays colonisateurs principaux de l’Europe. Le même mélange ethnique obtenus après la décolonisation a reproduit le racisme contenu dans les peuples envahis. Mais ce racisme est légitime et naturel puisqu’il est la conséquence de la remise en cause d’un ordre international établi par Dieu : les Blancs chez eux en Europe et dans leur nation, les Noirs chez eux en Afrique, les Musulmans en Arabie et au Maghreb, les Asiatiques en Asie…etc. Seul le respect de ce principe pouvait éviter les sentiments racistes. Et l’évangélisation des nations étrangères ne donnait droit à aucune colonisation de pays étrangers. Et ce sont ces colonisations qui ont préparé et provoqué les accueils de l’immigration venue envahir à notre époque depuis 1962, le sol français des anciens colons ; et il en a été de même pour l’Angleterre envahie par les habitants de l’inde et la Belgique, l’ancien colon du Congo africain belge.
Dans le pays américain où tout commence, avant d’être reproduit en Europe, cette semaine un homme de 30 ans activiste en faveur de Donald Trump a été tué au cours d’un meeting organisé, pour qu’il s’adresse à des centaines de jeunes rassemblés pour l’entendre. L’assassinat politique ne fait aucun doute et il confirme la dégradation lente mais constante de la cohabitation du peuple américain dans lequel la vente des armes est libre et légale. Je n’oublie pas que la leçon prophétique donnée par Dieu prophétise un temps insurrectionnel comparable à celui qui a caractérisé la Révolution française. Et je pense que cette horrible chose va entrer en accomplissement déjà en premier, aux USA, le modèle imité en toute chose par les Européens maudits par Dieu avant les Américains.
Jésus-Christ a dit : « Je suis le chemin, la vérité, et la vie ». Nous n’avons retiré de ces paroles qu’une partie seulement de ce qu’elles signifient : le plus évident en donnant au mot vie, le sens de vie éternelle. Mais ces paroles ne se limitent pas à cela, car ce que Jésus nous dit c’est que personne ne peut sans lui comprendre ce qu’est la vie. Dans Jean 1:4, l’Esprit nous dit au sujet de la Parole de Dieu : « En elle était la vie, et la vie était la lumière des hommes ». Cette vie qui est en Jésus-Christ, incarnation de cette Parole divine, est bien celle qui se développe sur la terre des hommes. Alors que signifie, dans son application, ce verset « Je suis le chemin, la vérité et la vie » ? Jésus nous redit : « sans moi vous ne pouvez rien faire » et dans ce rien se trouve la compréhension de ce qui se vit sur la terre. Dans la révélation que son ministère terrestre, apporte se trouve la démonstration de l’existence du monde maléfique démoniaque contre lequel, Jésus et ses témoins ont constamment mis en garde les nouveaux disciples qui entraient dans son Assemblée spirituelle bénie. Et il faut l’admettre, sans la connaissance de cette vie invisible parallèle, personne ne peut comprendre et interpréter les faits et les événements qui s’accomplissent. Dans l’ancienne alliance, le diable a été rarement évoqué, mais à l’inverse, Jésus le cite, le démasque, et rend concrète son existence maléfique. Dans les trois religions du monothéisme, le diable est essentiellement oublié ou mal interprété, il n’est présent que chez le concurrent religieux. Et les affrontements des religions, juive, chrétienne, et musulmane masquent la nature du vrai combat qui oppose Dieu au diable et ses démons. Le diable ne combat sa vérité, étant lui-même le père du mensonge selon Jésus-Christ.
Quand ils cherchent à comprendre les causes de leurs problèmes terrestres, les gens sans Dieu ne voient les faits mis en action par les êtres humains. Leur analyse est donc celle d’un œil myope presque aveugle. En conséquence, il leur est impossible de trouver l’explication et le remède pour régler leur problème, s’il n’est pas trop tard pour agir et changer les choses.
Or, pour l’Europe occidentale, il est clairement trop tard. Elle a été préparée par Dieu, qui a répandu sur elle une paix trompeuse qui l’a conduite vers sa ruine et son impréparation guerrière, étant destinée à être livrée à son ennemie la Russie. Car, le choix de soutenir l’Ukraine n’avait que ce but : faire de la Russie, l’ennemi des « dix cornes » européennes infidèlement chrétiennes par leur héritage religieux papal romain.
Pour être convaincu de ces choses, l’intérêt pour la parole prophétique biblique divine est indispensable. Cet intérêt n’a donc rien de facultatif pour Dieu et ses élus rachetés. Cet intérêt est le fruit logique de l’attachement à la cause défendue par Dieu qui veut que ses élus s’engagent à ses côtés en pleine connaissance de cause. Et le seul moyen d’entrer dans cette connaissance c’est de partager avec lui, la connaissance de tous ce qu’il met en œuvres et fait accomplir. Car la faute relevable chez toutes les fausses religions, donc, frappées par sa malédiction, consiste à imputer à Dieu des œuvres du diable et inversement imputer au diable des œuvres réellement divines. Eclairés par l’Esprit auteur des prophéties qui s’accomplissent, les élus peuvent clairement identifier les œuvres de Dieu mais aussi, celles du diable et de ses démons.
En application concrète je propose cet exemple.
Dans notre actualité, le monde politique constate avec inquiétude l’augmentation constante de la violence pratiquée par des jeunes issus de l’immigration musulmane. Que disent à ce sujet les spécialistes, les avocats, les psychologues ? Il faut apprendre à cette jeunesse, dès l’école, les règles qui régissent la vie collective. Il faut les punir mais aussi faire tout ce qui est possible pour les rééduquer. Ces gens instruits et diplômés n’ont rien compris. Certains de ces enfants issus de l’immigration éprouvent de la haine pour la France dans laquelle ils sont nés. Parce que leur aspect physique et mental témoigne de leur véritable origine, et qu’ils ne se sentent pas chez eux, sur la terre des gens qui ont colonisé la terre de leurs pères. De plus, cette haine sert d’appui, pour s’enrichir par la délinquance qui exacerbe la haine contre le policier et l’ordre français qu’il représente. Ce fruit de violence conséquence d’une cohabitation insupportée a toujours existé et les gens politiques ne voulaient pas faire face à ce problème qui n’a de nouveau que sa forte extension. Mais là encore, pour comprendre la cause de cette intensification de la violence, il faut lire l’Apocalypse de Jésus-Christ qui prophétise la libération des démons à l’heure où doit s’accomplir la « sixième trompette », selon Apocalypse 9:14 : « …et disant au sixième ange qui avait la trompette : Délie les quatre anges qui sont liés sur le grand fleuve Euphrate. » je rappelle que ce « fleuve Euphrate » désigne symboliquement l’Europe occidentale des « dix cornes », placée comme le fleuve chaldéen, sous la domination maudite d’une ville nommée « Babylone », mais d’une « Babylone » symbolique qui désigne, dans Apocalypse 17:5, la Rome catholique et papale romaine : « Sur son front était écrit un nom, un mystère : Babylone la grande, la mère des impudiques et des abominations de la terre. »
La montée de la violence, tant aux USA qu’en Europe occidentale n’est donc que la conséquence de l’accomplissement d’un projet prophétisé par Dieu dans Apocalypse 7:1 à 3 :
V. 1 : « Après cela, je vis quatre anges debout aux quatre coins de la terre ; ils retenaient les quatre vents de la terre, afin qu'il ne soufflât point de vent sur la terre, ni sur la mer, ni sur aucun arbre. »
Le contexte du récit est celui de 1843. « Retenir les vents » signifie « retenir la violence » guerrière qui a opposé les religions protestante et catholique. L’arbre désigne l’être humain isolé individuel.
V. 2 : « Et je vis un autre ange, qui montait du côté du soleil levant, et qui tenait le sceau du Dieu vivant ; il cria d'une voix forte aux quatre anges à qui il avait été donné de faire du mal à la terre et à la mer, et il dit : »
C’est dans ce verset que Dieu prophétise son projet de livrer la terre et ses habitants à l’action destructrice des démons répandus dans notre univers symbolisé par le chiffre « 4 » de l’expression « quatre anges ». Mais là encore, les mots « terre » et « mer » ciblent les religions protestante et catholique que Dieu compare à des « bêtes » dans Apocalypse 13:1 et 11. En évoquant le « sceau du Dieu vivant », l’Esprit présente son sabbat du septième jour que ne respectent pas les cibles de sa colère symbolisées par « la terre » protestante et « la mer » catholique citées dans ce verset.
V. 3 : « Ne faites point de mal à la terre, ni à la mer, ni aux arbres, jusqu'à ce que nous ayons marqué du sceau le front des serviteurs de notre Dieu. »
L’ordre donné par Dieu est formel et doit être accompli. Il ne concerne que le combat final de la « sixième trompette » ou Troisième Guerre Mondiale qui a un caractère religieux contrairement aux deux Guerres Mondiales précédentes. Et déjà entre l’Occident chrétien protestant et catholique combattu par l’orthodoxie russe, nous avons bien, une opposition religieuse qui n’existait pas dans les guerres de 1914-1918 et 1939-1945. Les causes des affrontements étaient civiles et profanes. En fait, c’est Dieu qui attribue à la Troisième Guerre Mondiale une motivation religieuse, car il fait s’affronter les trois religions monothéistes que sont, le judaïsme ; le protestantisme, l’anglicanisme, le catholicisme, et l’orthodoxie du christianisme ; et l’islam. Pour les élus avertis par ce message, le déclenchement de la « sixième trompette » signifie que l’œuvre du « scellage » des élus est achevée ; et donc, que Jésus est prêt de revenir. Dieu confirme ainsi la date du printemps 2030 révélée pour dater son retour glorieux, salvateur pour ses élus, mais aussi, destructeur pour ses ennemis célestes et terrestres.
Sur la terre, dans nos sociétés occidentales, la montée de la violence témoigne donc de l’accomplissement de l’ordre donné par Jésus-Christ : « Délie les quatre anges qui sont liés sur le grand fleuve Euphrate. » ce constat de violence confirme l’identité européenne occidentale du fleuve symbolique nommé « Euphrate ». Et je relève que, subtilement, Dieu a donné à ces deux noms, Euphrate et Europe, les mêmes deux premières lettres E et U qui représentent l’actuelle Europe Unie, ou Union Européenne. Et par ce nom d’origine grec et son gros héritage culturel grec, la déesse Europa présente bien l’image du péché que Dieu rattache à la domination grecque dans ses prophéties imagées de Daniel 2, 7 et 8.
L’accomplissement du « second malheur » mérite donc toute l’attention des élus qui attendent leur délivrance au retour de Jésus-Christ. Et je le rappelle, le « malheur » annoncé par Dieu n’est pas pour ses élus mais pour ses ennemis terrestres des trois religions qui l’ont trahi en transgressant les conditions de ses saintes alliances : le judaïsme, le christianisme protestant et catholique, et l’orthodoxie.
C’est Dieu qui a lui-même fait exister la religion catholique et ses péchés afin de juger les hommes qui approuvent ses normes religieuses conformes au paganisme qui l’a précédée. Dieu a présenté aux êtres humains d’innombrables choix devant lesquels il les a placés. En sorte qu’il juge les choix humains et non les formes des représentations de ces choix. Le parcours de la vie d’un élu consiste à avancer en évitant les obstacles qui se présentent sur sa route et la vie est remplie d’obstacles qui peuvent causer sa perte. Dans un aveuglement total, des gens instruits et diplômés, sortant de l’ENA ont fait, en France, des choix dangereux en ne tenant pas compte de l’échec de l’expérience coloniale. Ceci prouve que l’intelligence et l’instruction sont deux choses très différentes que l’humanisme aveugle associe injustement. Mais il se peut que la cause de ces mauvais choix soit encore pire, parce que ceux qui les ont faits ont agi, pleinement conscients des conséquences que leurs choix allaient porter, mais pas dans l’immédiat ; ce qui voulait dire qu’ils n’en subiraient pas eux-mêmes les conséquences. Et je pense pouvoir dire que le Général de Gaulle était dans cet état d’esprit car il redoutait l’accueil en France des « Harkis », les collaborateurs algériens de l’armée française. Et il n’avait pas tort de redouter cette chose qui a permis l’installation de l’islam sur la terre de France et de recréer la cohabitation insupportée sur son sol. Dieu ne fait qu’exploiter ces erreurs humaines qui conduisent des peuples à en assujettir d’autres. Et toutes ses actions provoquent des réactions d’hostilité et des désirs de vengeance. En sorte que la méchanceté humaine construit son futur châtiment. Et Dieu a confirmé ce principe par lequel il révèle son sens de la parfaite justice, en disant dans Apocalypse 13:10 : « Si quelqu'un mène en captivité, il ira en captivité ; si quelqu'un tue par l'épée, il faut qu'il soit tué par l'épée. C'est ici la persévérance et la foi des saints. » Ce verset peut être très mal compris et mal interprété, car en dépit de l’apparence, Dieu n’encourage pas l’usage de l’épée, mais au contraire, il met en garde les vrais saints qu’il reconnaît pour siens contre l’usage des armes ; ceci, parce que celui qui tue par l’épée doit être lui-même tué par l’épée. Celui qui veut vivre doit rester entièrement pacifique et ne jamais utiliser une arme quelconque pour défendre sa vie ou détruire celle d’un autre quand il est attaqué ou menacé de l’être. Et Dieu a prophétisé à ses derniers saints qu’ils auraient à agir ainsi dans le contexte final de la dernière épreuve de foi terrestre précédant et provoquant l’intervention directe de Jésus-Christ pour son glorieux retour.
Mais avant cette épreuve finale, nous allons être confrontés à la guerre civile, la plus détestable et éprouvante des guerres, parce que l’ennemi se trouve au milieu de nous, caché dans l’anonymat de sa pensée, ne se révélant que dans l’action violente imparable. Il en fut ainsi pendant le temps de la « Terreur » révolutionnaire de 1793 donnée en exemple par l’Esprit de Jésus-Christ dans Apocalypse 11:7 sous le nom symbolique de « la bête qui monte de l’abîme ». Celle de 1793 a en commun avec celle de notre temps le désintérêt et le rejet de la religion. Dans cet état d’esprit, l’être humain se transforme en « bête » carnassière. Perdant toutes ses valeurs humanistes, il ne lui reste plus que l’instinct de conservation qui le conduit à tuer pour ne pas être tué. Et quand tout le monde raisonne de cette manière, l’humanité se suicide dans un génocide suggéré par le mot « abîme » par lequel Dieu désigne la terre formée par l’eau dans son état originel, sans aucune forme de vie, dans Genèse 1:2 : « La terre était informe et vide : il y avait des ténèbres à la surface de l'abîme, et l'esprit de Dieu se mouvait au-dessus des eaux. » Par ce symbolisme, Dieu prophétise la destruction finale de l’humanité terrestre qui sera due à l’influence culturelle de la pensée athée des libres penseurs qui grignote la vraie foi chrétienne, la transforme et la rend infidèle, sournoisement, insidieusement mais, sûrement. La libre pensée athée et la science humaine érodent les vraies valeurs religieuses divines que le protestantisme et l’adventisme devaient, successivement, représenter, défendre, et justifier devant toute l’humanité dispersée sur la terre. Mais à l’inverse, ces religions officielles ont été les victimes séduites par ceux qu’elles devaient diriger vers le salut divin. La science soutient les théories évolutionnistes que les chrétiens reçoivent dans l’enseignement scolaire laïc. En conséquence, ils ne sont plus capables de croire au pouvoir créateur unique et exclusif de Dieu. Or, mon action le prouve constamment, seule la foi au Dieu créateur révélé par la sainte Bible considérée comme étant sa Parole, permet de donner 6000 ans au temps de l’histoire terrestre ; durée par laquelle, la date du retour de Jésus-Christ est identifiable. Et je précise que sur ces 6000 ans, l’homme ne peut dater que les actions humaines accomplies après le temps du déluge d’eau qui a effacé et transformé l’aspect terrestre entier qui existait avant lui. Aussi quand la science attribue plus de 6000 ans à des faits ou des éléments, elle ment et témoigne de sa soumission au diable, le père du mensonge qui l’inspire comme il a inspiré tous les docteurs fondateurs des fausses doctrines religieuses terrestres.
Evolutionnisme et créationnisme sont les deux pensées antagonistes qui caractérisent l’humanité de notre temps. Et ces deux conceptions différencient les USA restés créationnistes des Européens devenus évolutionnistes ; cette idéologie ayant germé dans l’esprit de l’anglais Charles Darwin, en terre anglicane ; la religion catholique sans le pape, héritage souillée de l’abominable roi Henri VIII, bestial et meurtrier.
M61- Le juge inique
Qui est donc ce juge inique dont je fais aujourd’hui le thème de mon message ? Je te laisse deviner qui est désigné. Mais sache que ce titre lui va très bien et qu’il est très justement mérité. Il profite honteusement d’une situation qui place ses plaignants dans une situation très inconfortable. Pour lui, tout est bon et prétexte pour apporter plus d’argent à son pays. Là, je vois qu’un nom se précise dans ta pensée, et bien oui ! C’est de lui que je parle : le président américain, Donald Trump. J’aurai pu encore prolonger ce jeu mais le sujet est si grave que je le reprends sous un aspect beaucoup plus sérieux. Car Donald Trump est l’image incarné du juge inique dénoncé par Jésus-Christ : par chance pour Dieu, la vraie justice ne l’intéresse pas. Et la chose tombe bien, car c’est de ce spécimen d’homme que Dieu a besoin pour une œuvre particulière. Comme le président Macron qu’il affectionne, il est cynique et ne cache pas son esprit mercantile. De plus, sur la scène mondiale, il tient en cette heure le rôle du juge auquel on demande de régler le problème qui conduit la Russie et l’Ukraine à se combattre cruellement. Il est inique, mais loin d’être stupide, il donne des torts à tous les pays concernés. En 2013-2014, en Ukraine, la mouvance nazie a agressé la culture russe en renversant par un putsch son président russophile légitime. ; en 2022 ; Joe Biden, son prédécesseur a encouragé le président Zelensky à combattre l’attaque russe en lui donnant des armes ; et derrière ce choix, les Européens de l’U.E. se sont rangés aux côtés de Joe Biden en offrant eux aussi des armes, des munitions et de l’argent pour la cause de l’Ukraine. Il n’a jamais caché qu’il reprochait aux Occidentaux d’avoir trop avancé sur les possessions russes reconnues au traité de Yalta en 1945. Oui, le président Trump est conscient de toutes ces choses et devrait logiquement dire aux Européens et à l’Ukraine clairement et simplement : « Vous avez semé le vent, récoltez donc la tempête ». Mais bien qu’il reconnaisse les torts du camp occidental, la situation alléchante le conduit à monnayer son soutien au camp occidental dont son pays est le dominateur.
Alors que le camp européen s’inquiète de l’entrée de quelques drones désarmés dans l’espace aérien de la Pologne, Donald Trump vient d’adresser en ce jour du sabbat 13 Septembre 2025 une lettre à l’OTAN qui soutient la cause de l’Ukraine. Dans cette lettre il demande aux Européens de cesser d’acheter du pétrole russe avant d’obtenir de lui qu’il prenne des sanctions contre la Russie. Car, aussi paradoxale que soit la chose, certains pays européens consomment encore du gaz russe tout en approuvant les sanctions économiques adoptées contre la Russie. Donald Trump dénonce là, logiquement, un paradoxe anormal. Mais s’il exprime cette exigence, c’est pour leur vendre son pétrole et son gaz, quatre fois plus cher que l’offre russe. Le juge inique est intéressé et profite de la situation pour tenter d’augmenter la richesse de son pays. Mais la chose a peu de chance de réussir et peut-être que c’est ce qu’il cherche à obtenir, car à cette exigence, il ajoute celle de voir les Européens s’unir à lui dans son combat économique mené contre la Chine ; ceci, en imposant des taxes aux importations chinoises arrivant en Europe. Là, les Européens ressemblent à une pomme de terre qui tombe dans une machine à éplucher, car visiblement les mesures exigées par Donald Trump ne peuvent que ruiner complètement l’U.E. devenue totalement dépendante des importations chinoises qui arrivent en chaînes régulières constantes sur des cargos porte-containers qui débarquent leur cargaison dans le port Hollandais de Rotterdam.
C’est clair, par ces exigences, auxquelles les Européens ne peuvent consentir, Donald Trump a trouvé le moyen de se débarrasser du problème ukrainien et européen. « Ce n’est pas ma guerre, c’est celle de Joe Biden », répète-t-il à qui veut l’entendre, depuis son élection et même avant.
Voici maintenant pourquoi Donald Trump incarne spirituellement le juge inique cité par Jésus-Christ.
Donald Trump n’est religieux que par tradition. Il a vécu sa vie, absorbé dans des soucis mercantiles qui l’ont rendu très riche en dépit de plusieurs faillites. Etant devenu un homme public après une activité télévisée, il s’est retrouvé soutenu par des partis politiques républicains évangélistes et catholiques. Des gens construits à l’image du calvinisme genevois pour lesquels devenir riche constitue la preuve de la bénédiction de Dieu. Et malheur à celui qui oserait les contredire, car l’idée leur plait fortement parce qu’elle les rassure. En leur époque les aristocrates catholiques trouvaient dans la cause royale et le papisme cette même valeur rassurante.
Dans un premier temps, et sous son premier mandat présidentiel qui est seulement de quatre ans aux USA, Donald Trump profitait du soutien des gens religieux sans donner lui-même de l’importance à la religion ; il avait la sienne, le mercantilisme qui reproduit aujourd’hui l’ancien culte du dieu Mamon ; le dieu païen de l’argent et de la richesse. Il est resté ainsi le même jusqu’à ce jour, où une balle tirée contre lui a éraflé son oreille dans un meeting politique organisé en plein air. Dès ce jour, il s’est regardé comme un être particulièrement protégé par Dieu. Et c’est là, sa seule relation qu’il a avec lui, car il n’étudie pas la sainte Bible, et ne s’intéresse pas à son contenu. Mais l’expérience vécue est devenue la base de sa croyance en son existence divine. C’est une œuvre qui fait sa foi et non la vraie foi qui fait les bonnes œuvres préparée par Dieu. Il prend ainsi l’image de ce christianisme protestant américain qui partage avec lui cette trompeuse conception de la religion chrétienne.
L’homme était déjà autoritaire, mais depuis avoir été miraculé par Dieu, son assurance s’est encore renforcée. Désormais, il se croit protégé et ne peut que réussir dans tout ce qu’il entreprend. Dans l’erreur totale, croyant que Dieu ne peut qu’offrir la paix, il est convaincu de gagner sa place au paradis en obtenant la paix sur toute la terre. Sa convoitise du prix Nobel de la paix ne fait que confirmer son espérance de salut offert à l’homme qui apporte la paix. En lisant les Evangiles, il comprendrait que le seul homme réellement béni pour avoir apporté aux élus la paix de Dieu a été Jésus-Christ lui-même. Mais il s’agit bien de la paix entre Dieu et ses élus rachetés et non de la paix entre les hommes impies apostats. Là encore, ses illusions, qui finiront en désillusion, s’expliquent par son ignorance du contenu de la sainte Bible sur laquelle il a néanmoins posé sa main en faisant serment à la nation, à l’heure de son élection présidentielle, comme tous ses prédécesseurs. Mais la vérité divine n’est pas écrite sur la couverture de la sainte Bible mais à l’intérieur, dans toutes ses pages.
Donald Trump est donc pour tous aujourd’hui l’image de cette religion chrétienne très superficielle qui prend individuellement la forme que chacun veut. L’homme moderne accepte que d’autres pensent différemment de lui, mais ce qu’il ne supporte pas c’est que ses idées soient remises en cause. Et c’est là, le secret du prolongement de l’alliance œcuménique dans laquelle cohabitent les religions les plus opposées au sujet de leurs doctrines ; ce qui les rend réellement incompatibles entre elles. Toutes celles qui entrent dans cette alliance y trouvent leur intérêt ; celui d’être reconnues officiellement. Et en premier, après le sort que Dieu lui a fait subir, le catholicisme romain avait un grand besoin d’être reconnu ; d’où son organisation de l’alliance œcuménique qui à défaut d’entente doctrinale fait taire les reproches pour obtenir une paix religieuse trompeuse pour tous les coupables associés.
Dans le symbolisme biblique le récit de la création cite dans l’ordre : « l’abîme, la terre, la mer ». Dieu donne dès ce récit des origines une importance au mot « terre » qui désigne à la fois le nom de la planète créée et le nom de son sol sec émergé. J’ai relevé que cet ordre est toujours respecté quand ils apparaissent dans l’Apocalypse de Jésus-Christ. La « terre » prend ainsi l’aspect d’une île de vie placée entre deux symboles mystérieux, le premier désignant par le mot abîme l’absence totale de vie et le second, « la mer », désignant un milieu marin hostile pour l’être humain. Et dans Apocalypse 17:8, Dieu rappelle la succession historique des noms « abîme et mer » en disant : « La bête que tu as vue était, et elle n'est plus. Elle doit monter de l'abîme, et aller à la perdition. Et les habitants de la terre, ceux dont le nom n'a pas été écrit dès la fondation du monde dans le livre de vie, s'étonneront en voyant la bête, parce qu'elle était, et qu'elle n'est plus, et qu'elle reparaîtra. » L’expression « Elle doit monter de l'abîme, et aller à la perdition » donne à la bête qui monte de la mer une origine rattachée au symbolisme de « l’abîme ». Par ce subtil message, l’Esprit révèle le statut païen de la religion catholique papale romaine concernée. C’est pour lui, le moyen de révéler qu’il ne l’a jamais reconnue pour son Eglise chrétienne. En montant de « l’abîme », elle monte de « la perdition » pour finir dans « la perdition ». Puisque le mot « abîme » symbolise l’absence de vie qui est la conséquence et le fruit final de la « perdition ».
L’énigme présentée par l’Esprit cible le contexte historique de la grande lumière qui m’a été donnée d’expliquer depuis l’année 1982. Entre 1982 et 2025, comme le dit l’énigme, « la bête qui monte de la mer », catholique papale romaine, « n’est plus » ayant été rendue inoffensive par l’action de « la bête qui monte de l’abîme » accomplie par la Révolution française entre 1789 et 1798. « La bête reparaîtra » sous l’égide du protestantisme apostat américain symbolisé par « la bête qui monte de la terre » dans Apocalypse 13:11.
Dès l’origine, Dieu prend le nom « terre » pour porter l’expérience de son plan du salut, et à ce titre, le sol sec qui reçoit la vie humaine est un élément béni et positif. Sauf que, par le péché, la terre du sol occupé par l’homme est maudite par Dieu, de même que la mer, le ciel et tout ce qui y vit. Nous voyons ainsi que le mot « terre » devient le symbole de deux statuts spirituels opposés : elle est bénie ou maudite. En symbole du protestantisme, on retrouve ces deux phases de son histoire ; « la terre » est bénie conditionnellement jusqu’en 1843, où éprouvée par les tests prophétiques adventistes, elle est rejetée et maudite par Dieu. Et les élus adventistes sélectionnés reçoivent un nouveau symbole ; celui des « douze tribus scellées » dans Apocalypse 7.
L’importance donnée par Dieu au mot « terre » est ainsi justifiée, puisque seule la religion protestante a été reconnue par Dieu entre 1170 et 1843. On ne trouve en Occident, avant 1170, depuis l’an 313, que ténèbres et paganisme christianisé. Le jugement que je porte se fonde uniquement sur les données révélées dans les prophéties de Daniel et Apocalypse. Car Dieu reste perpétuellement, le seul Maître absolu de son jugement au cours de toute l’histoire terrestre.
Nous devons bien comprendre que le jugement de Dieu se fonde sur la lumière révélée à ses élus en chaque époque, et la nôtre, la dernière responsabilise particulièrement les êtres humains à cause de l’abondante lumière qu’il m’a été donnée de présenter, en premier à l’église adventiste institutionnelle, puis en dissidence après ma radiation, dans des conférences locales que j’ai organisées en 1992, dans ma ville de Valence et sur les sites internet créés dans les années 2014-2015.
La lumière divine est magnifique et elle donne à ceux qui l’aiment une expérience de partage avec Dieu, de son jugement et de ses actions punitives, unique et indescriptible. Le Dieu de bonté a donné les preuves de sa compassion pour ses créatures, et maintenant en 2025, il s’active pour préparer le châtiment de l’ingratitude des masses humaines dignes de la mort qu’il va leur donner. C’est maintenant une question de jours ou de mois, pour que le drame éclate pour les populations européennes. Sur les ondes, l’expression « Guerre Mondiale » est formulée par de nombreuses bouches de gens dont les cerveaux ignorent les causes réelles spirituelles ; ils ignorent donc le plus important qui concerne le destin de leur propre vie.
Les juges iniques sont jugés par des gens encore plus iniques qu’eux. Et en témoignent les propos incohérents tenus sur les plateaux des chaînes télévisées nationales et privées par les élites françaises journalistes, et gens politiques. Mr Poutine et Mr Trump sont jugés de la même manière. Ils sont cités comme des menteurs et cependant on déclare à leur sujet qu’ils font toujours ce qu’ils disent qu’ils vont faire. Le cas est grave docteur, mais il est désespéré.
Pourquoi mentiraient-ils d’ailleurs, alors qu’il gouverne avec autorité et puissance bien réelle autant l’un que l’autre. Avec l’arrogance européenne habituelle héritée de l’ethnie romaine, des consultants expriment leur mépris pour la Russie dont le PIB est très inférieur à celui des Européens. Ces gens oublient que les salaires du pays sont proportionnels à leur PIB ; ce qui signifie que l’armement produit par la Russie est beaucoup moins cher que celui que construisent les Occidentaux. C’est ce qui explique la capacité de la Russie à produire énormément d’armes et de munitions pour assumer les dépenses de sa guerre menée contre l’Occident caché derrière l’Ukraine. Le camp du mensonge n’est pas en Russie mais bien en Occident où la cause ukrainienne est défendue comme si l’Ukraine était déjà un pays membre de l’OTAN ou de l’Europe. Or, ce n’est pas le cas, l’Ukraine est un pays de l’Est et c’est à ce titre que Mr Poutine ne se résout pas à la voir rejoindre le camp occidental. C’est la raison pour laquelle il a donné à sa guerre actuelle le nom « Opération Spéciale ». Mais celle-ci a vocation à prendre la forme d’une guerre totale directement avec les pays européens. La génération actuelle ne donne pas de valeur au traité de Yalta signé en 1945, et à l’époque la Crimée était une propriété russe. Et ce n’est pas sans raison qu’en 2014, Mr Poutine a annexé la Crimée où se trouve la ville de Yalta.
Nos menteurs occidentaux, conformes aux juges iniques, accusent le président de la Russie Mr Poutine, d’avoir prémédité depuis longtemps sa reconquête des territoires passés à l’Occident depuis 1991 année de la fin de la Russie soviétique. Il n’en est rien, car en accédant au pouvoir, Vladimir Poutine a eu à régler le désordre chaotique politique et économique instauré sous la présidence de son prédécesseur Mr Eltsine. D’une main de fer nécessaire, il a mâté et rendus soumis les oligarques qui s’étaient emparés des entreprises, des richesses et des services nationaux. Et les Russes lui sont restés redevable et reconnaissants d’avoir ramené l’ordre dans leur pays. C’est pourquoi, les Russes ne réagissent pas comme les Occidentaux américains et européens pour lesquels seul, le mot liberté, glorifié par une haute statue érigée dans la baie de New-York, compte et captive leur esprit, et motive leur comportement.
L’occidental est incapable de comprendre l’esprit de soumission des peuples russes. Ils sont restés depuis 1917 sous la gouvernance du dictateur Joseph Staline et le régime socialiste communiste soviétique. Entièrement coupé de Dieu, la religion étant interdite, l’homme russe n’a vécu que dans la crainte et la vraie peur motivée par la condamnation à mort et l’enfermement des Goulags, peines risquées à tout moment sur une simple fausse dénonciation. Ce type de chose me rappelle l’expérience vécue en France révolutionnaire entre Juillet 1793 et Juillet 1794, retenue par les historiens comme temps de la « Terreur ». L’Occidental doit comprendre que la Russie n’est sortie de la « Terreur » rouge dans laquelle elle est entrée en 1917, qu’en 1991, et ceci, pour découvrir une « Terreur » blanche, anarchique et libertaire à laquelle Vladimir Poutine a mis fin.
Ayant lui-même condamné les erreurs du soviétisme, Mr Poutine a lié des liens commerciaux avec les Européens par des accords trouvés avec la chancelière allemande Angela Merkel originaire de l’Allemagne de l’Est libérée en première depuis le traité de Yalta. Le gaz russe vendu peu cher a permis à l’Allemagne de s’enrichir considérablement, d’autant plus que l’interdiction de se réarmer, lui faisait économiser énormément d’argent que les autres pays, comme les USA, l’Angleterre et la France, devaient dépenser et prévoir dans leur budget national. Ces choses expliquent en partie la réussite économique de l’Allemagne. Mais en observant la situation internationale mondiale actuelle je relève avec gène les choses suivantes.
Lors de la Seconde Guerre mondiale, vaincue militairement rapidement, la France a signé un armistice avec Adolph Hitler le « führer » nazi de l’Allemagne. Elle a été ainsi dirigée par un gouvernement vichyste collaborateur jusqu’à sa libération en 1944 par le général de Gaulle et ses alliés américains et anglais. A cette époque le nazi était chassé, jugé et condamné. Cependant, déjà en 1944 et 1945, les USA ont accueilli « bras ouverts » les cerveaux scientifiques nazis avec lesquels ils ont pu mettre au point, la terrible bombe atomique qui a détruit deux villes japonaises contraignant ainsi le japon à capituler sans condition.
Placée au-dessus de tous les pays de la terre, l’Amérique s’est mise à produire par son énorme industrie militaire des biens de consommation, sans cesse améliorés et renouvelés. Elle a fourni ainsi les premiers tracteurs aux agriculteurs européens mais aussi, le pesticide chimique DDT qui a commencé à tuer la nature. Cette description de l’action américaine n’a fait que se prolonger jusqu’à nous, sauf que le fournisseur de tête est maintenant, la Chine que les USA ont fait entrer dans l’OMC. Ce que je constate c’est que des générations de consommation ont fait oublier le danger nazi. Ce qui explique l’aveuglement européen actuel envers la présence officiel du groupe nazi Azov en Ukraine. La question réponse que je pose est donc, l’Occident entier est-il donc lui-même devenu nazi ? La France autrefois en tête pour les rechercher et les juger a été séduite par l’Allemagne qui l’a fait s’engager dans la construction de l’U.E. Et qui a pris pour toute l’Europe l’initiative personnelle et première, de soutenir l’Ukraine ? Mme Ursula Von Der Layen, la présidente allemande de la commission européenne.
Il est donc l’heure de définir ce qu’est le nazisme sans se tromper et peut-être qu’il peut prendre des formes différentes selon l’époque. Car celui auquel nous faisons référence est né dans l’esprit d’Adolph Hitler et il ne fut que le fruit porté par ses expériences de vie personnelles. Aujourd’hui, d’autres expériences de vie peuvent produire un nazisme différent. Dans ce cas, qu’est-ce que le nazisme ? C’est le pouvoir d’imposer à tout un peuple les idées d’un seul homme. Et cette définition que je propose place sous le nazisme tout pouvoir dictatorial absolu. En Occident, nous n’en sommes pas encore là, de même que la Russie et les USA, mais la tendance progresse dans ce terrible sens. Et je pense que Dieu a voulu désigner ce retour du nazisme, dans son message de la « sixième trompette » d’Apocalypse 9, car par les symboles, « des lions et des têtes », il insiste sur la force des dirigeants ou chefs d’Etat, qui prennent part au conflit centré sur l’Europe occidentale.
Dans la liberté actuelle, des mouvements d’humeurs soulèvent des foules de gens frappés dans leur prospérité économique, aux USA, en Angleterre, et en France. Ces soulèvements vont s’intensifier parce que la situation va se dégrader de plus en plus ; si bien que les dirigeants politiques vont devoir prendre des mesures de plus en plus autoritaires et brutales. De plus, je relève que l’hostilité actuelle des Européens envers Israël va donner à ce nazisme nouveau une grande ressemblance avec l’ancien.
La Russie avait en 2022 de fortes raisons de refuser de voir l’Ukraine rejoindre le camp de l’Europe occidentale. En 1991, son expérience douloureuse de la liberté a produit chez elle, un retour refuge vers la pensée religieuse comme ce fut le cas en France après le génocide de la « Terreur 1793 ». Cette leçon nous est donnée par Dieu dans Apocalypse 11:11, où nous lisons : « Après les trois jours et demi, un esprit de vie, venant de Dieu, entra en eux, et ils se tinrent sur leurs pieds ; et une grande crainte s'empara de ceux qui les voyaient. » Nous devons comprendre que la reproduction de l’action de la Révolution française en Russie y produit à partir de 1917, le même processus de conséquences. Et c’est aussi le cas depuis 1991où le chaos anarchiste meurtrier a traumatisé les esprits du peuple russe. Leur regard s’est tourné vers le ciel, et les anciens dirigeants de l’URSS se sont eux-mêmes convertis et ont fait revivre la religion orthodoxe russe. En 2022, Vladimir Poutine et le pope Kiril, tous deux, ex agent du KGB, ont témoigné publiquement de cette conversion. Ce retour vers la religion a accentué la différence entre la Russie et l’Occident où, inversement, la religion perdait ses adeptes et disparaissait remplacé par des valeurs humanistes qui renversaient toutes les valeurs morales bibliques divines en établissant légalement ; je cite : la vie multiethnique, le féminisme, l’homosexualité et ses dérives LGBT.
En assistant à cette dérive morale occidentale, les populations russes avaient de bonnes et excellentes raisons de vouloir garder l’Ukraine comme frontière, ce qui est la signification de son nom, pour les protéger de leur influence maléfique. Bien sûr, les Occidentaux ne sont pas prêts à reconnaître la condamnation divine de leur état moral, mais c’est précisément la raison pour laquelle, ils découvrent jour après jour, la puissance de la Russie qu’ils ont eu grandement tort de sous-estimer dès le 24 Février 2022.
Que peut-on attendre de la part des « juges iniques » occidentaux ? Rien, sinon qu’ils prolongent leurs actions iniques.
Le regard sur Apocalypse 11 me conduit à découvrir une nouvelle perle spirituelle. Car, dans Apocalypse 11, Dieu décrit la Révolution française tout en la présentant au titre de Troisième Guerre Mondiale symbolisée par sa « sixième trompette ». Or, dans ce message se trouve citée la durée de « trois jours et demi » qui désigne 3 ans et six mois réels. Où situer ces 3 ans et 6 mois dans les deux accomplissements prophétisés ? Entre 1789 et 1798, le temps fort vient en 1793 avec le temps de la « Terreur » qui dure une année de Juillet 1793 à Juillet 1794. On peut placer cette durée de 3 ans et 6 mois, de 1792, l’année de l’abolition de la royauté, à 1795, le début du Directoire. « La bête qui monte de l’abîme » ayant pour but de symboliser la « quatrième » et la « sixième trompette », la durée des « trois jours et demi », concerne autant l’époque révolutionnaire que la nôtre où cette période indique la durée totale de la « sixième trompette » que Dieu prophétise de la sorte, après calcul, du 7 Août 2025 au Vendredi 17 Janvier 2029. Ce calcul repose sur la valeur symbolique de l’année de 12 mois de 30 jours déjà confirmée pour les 1260 années du règne papal persécuteur situé ainsi entre les années 538 et 1798. Et les « trois jours et demi » de la « sixième trompette » représentent cette fois, 1260 jours réels. Non prophétisée mais constatée, une première période de 1260 jours, précédant les 1260 jours de la « sixième trompette », vient de s’accomplir. Cette première durée de 1260 jours a commencé avec la guerre de l’Ukraine. Ce qui situe le début des « trois jours et demi » constatés, au 24 Février 2022 ; ils se sont achevé le 6 Août 2025. Aussi la date du 7 Août doit être prise pour début de la deuxième durée de 1260 jours qui couvre le temps de la « sixième trompette » dont la fin viendra le Vendredi 17 Janvier 2029. A cette date, Dieu aura puni l’outrage subi le 22 Décembre qui fut en 1992, la date de ma cinquième conférence organisée dans cette année, sous le nom « la Révélation de la Septième Heure ». Commençant à 20 heures, à 22 heures, personne ne s’était présenté à cause de la préparation de la fête de Noël, la conférence a donc été abandonnée. La situation spirituelle de l’humanité occidentale de l’époque, a été ainsi révélée dans cette ville test de Valence de la France où je vis et sers Jésus-Christ, le « Roi des rois et Seigneur des seigneurs » odieusement méprisé par les multitudes.
Que s’est-il passé le 6 Août 2025 ou dans sa proximité ? La réponse est bien au-dessus de tout ce que je pensais obtenir, car en fixant, cette date du 6 Août 2025, Jésus-Christ l’authentifie par trois signes complémentaires :
1er signe : Le 6 Août 2025 est un mercredi, le jour de la crucifixion de Jésus-Christ.
2ème signe : Dans notre calendrier, le 6 Août 2025 est le jour de la Transfiguration de Jésus-Christ. Moment où pour ses trois apôtres, Pierre, Jacques et Jean, sur la montagne, Jésus a pris l’apparence glorieuse divine qu’il aura à son retour au printemps 2030. Moïse et Elie, image des élus morts ressuscités et des élus restés vivants enlevés au ciel, sont apparus en leur présence. Faisant allusion à la scène de sa transfiguration, Jésus avait dit dans Matthieu 16:28 : « Je vous le dis en vérité, quelques-uns de ceux qui sont ici ne mourront point, qu'ils n'aient vu le Fils de l'homme venir dans son règne. » Je précise que c’est Dieu qui organise toute chose, dont l’aspect donné par les Catholiques à notre calendrier usuel national. C’est lui qui a fait placer la transfiguration sur la date du 6 Août 2025 selon son programme préparé d’avance.
3ème signe : Depuis 1945, début des 2 périodes successives de 40 années de paix en Europe, le 6 Août est la date anniversaire de la destruction d’Hiroshima par la première bombe nucléaire lâchée par un bombardier américain. Par ce signe Jésus authentifie l’entrée dans le temps « temps de la fin » ; celui de la grande destruction nucléaire qui va « tuer le tiers des hommes » vivant dans l’Europe occidentale ciblée par la « sixième trompette » d’Apocalypse 9:13. Ce signe du châtiment nucléaire doit être relié au choix catholique qui a fait du 6 Août, chaque année sa fête de la « transfiguration » du Christ. Et ce lien est d’autant plus justifié que le catholicisme papal romain est la cible de la destruction nucléaire de la « sixième trompette » ; Paris, capitale de la France et « fille aînée de l’église » catholique est directement visée par sa désignation symbolique sous les noms « Sodome et Egypte » dans Apocalypse 11:8 : « Et leurs cadavres seront sur la place de la grande ville, qui est appelée, dans un sens spirituel, Sodome et Égypte, là même où leur Seigneur a été crucifié. »
Ainsi, par ces trois signes, Jésus annonce le châtiment nucléaire réservé aux Occidentaux qui méprisent sa mort et l’annonce de son retour soit, son ministère terrestre et son retour glorieux, ses deux « adventus ».
Je retiens aussi le fait que depuis la date du traité de Yalta, le 4 Février 1945, 80 années se sont écoulées soit, 2 fois 40 ans, le nombre symbolique de l’épreuve de foi. En Août 2025, la situation de l’Ukraine s’est aggravée sous la pression russe constante. Apparemment, Dieu confirme mon annonce d’une longue guerre de « sept ans » étalée entre 2022 et 2029. Je l’avais axée sur l’année 2026 jusqu’à présent (La manne : Tome 2 page 395). Or, la prise en compte des « trois jours et demi » impose la date du 7 Août 2025. Et ce qui impose encore plus cette date, c’est la présence d’une « semaine » de « sept ans ». Le 6 Août 2025 marque la fin des « trois jours et demi » précédents constatés et non cités dans la prophétie. La date finale du 6 Août prophétise la guerre nucléaire de la « sixième trompette » qui succède à cette première moitié de semaine prophétique. La « sixième trompette » ne commence que le 7 Août 2025 et doit s’achever le Vendredi 17 Janvier 2029. Toujours en Août 2025, le président Trump a été sollicité par l’Ukraine et ses soutiens européens pour intervenir auprès du président Poutine afin d’obtenir, de lui, la paix. Les Européens se sont encore plus impliqués dans le conflit dans leur soutien officiel donné à l’Ukraine, si bien qu’en Septembre, la Russie déclare officiellement être combattue par l’OTAN et être en guerre contre elle. Et déjà avant cela, la France a été déclarée cible principale de la Russie. De plus, en début Septembre, le président Trump vient d’imposer aux Européens ses conditions, inacceptables pour eux, pour adopter des sanctions fortes contre la Russie. Ils se retrouvent donc seuls face à la Russie et ses alliés. Toutes ces choses marquent un grand changement pour la situation des Européens ciblés par la juste colère divine. Des incursions de drones russes dans les espaces otaniens constituent les prémices du proche grand affrontement de la « sixième trompette » et comme toujours les échanges de mots de haine ne font que précéder les échanges des coups meurtriers.
L’esprit du nazisme est apparu sous divers aspect au court de l’histoire humaine, et déjà, dans la Rome républicaine conquérante chez laquelle se trouve la devise « LEX DURA LEX », la loi est dure mais c’est la loi. Le nationalisme romain conquérant était exalté et il motivait les décisions prises par les riches sénateurs. La Rome impériale a prolongé ces valeurs et on les retrouve dans le régime papal à partir de 538. Mais dans la pensée des multitudes, le nazisme est spécifiquement caractérisé par sa chasse aux Juifs que les nazis allemands ont tenté d’exterminer à partir de 1942. Or, qu’étaient ces nazis allemands et autres ? Avant tout, des gens normaux, pas plus monstrueux que les masses européennes d’aujourd’hui. Et la « shoah » que l’humanité actuelle juge monstrueuse et abominable n’a été que la conséquence d’un châtiment spécifique que le grand Dieu Créateur Jésus-Christ a voulu infliger à son peuple Juif qui a témoigné en l’an 30 de son infidélité en rejetant avec haine, son messie salvateur, Jésus-Christ. Pour rappeler à l’humanité, la malédiction de ce peuple Juif, Dieu a organisé le régime allemand nazi fondé par Adolph Hitler qui a fait d’eux la cible de leur commune « fureur ». Les nazis étaient, comme Dieu, attachés à la pureté de leur race qu’ils nommaient aryenne. Et à l’époque, avant eux, le nationalisme de droite a donné le fascisme italien instauré par Bénito Mussolini. L’Europe actuelle est très différente de ces régimes qui l’ont précédée. En premier, parce que les pays qu’elle regroupe dans l’U.E. acceptent de sacrifier leur indépendance nationale en se soumettant aux directives européennes. C’est en tout cas, la condition de l’adhésion, mais à ce sujet rien n’est gagné. En effet, il a été facile de réunir des pays désireux de profiter de la prospérité économique de l’Europe occidentale originelle composée au début de seulement six pays de l’Ouest européen. Mais dans notre actualité, où l’affrontement contre la Russie se précise de jour en jour, la fidélité des pays membres est mise à l’épreuve. Et devant le danger, il est facile de prévoir l’éclatement de l’alliance européenne que Daniel 2 révèle concerner des gens « non unis entre eux ».
La désunion concerne tous les sujets capables de dresser les humains les uns contre les autres. Et notamment, en situation de ruine intensifiée par l’aide donnée à l’Ukraine, la rivalité des classes riches et laborieuses est réveillée. Ceci, d’autant plus que la longue durée du régime capitaliste libéral a creusé entre les riches et les pauvres des abîmes de profondeurs vertigineuses. Le capitalisme a enrichi les actionnaires mondiaux au détriment des travailleurs et de leur pays. Cette injustice est devenue la norme obligée en Occident et son fruit est la ruine des pays européens qui étaient les plus riches, ponctionnés pour subventionner les pays pauvres accueillis, les nouveaux concurrents. Et je remercie Dieu de me donner raison, quand je dis que les pays n’ont pas d’amis, mais que des concurrents, car le comportement de Donald Trump témoigne de cette chose. Et il en est de même ainsi dans les relations hypocrites des nations membres de l’U.E.
Comment pourrait-il en être autrement, dans une société occidentale dominatrice constituée de « juges iniques » ? « Juges », parce que nous avons la liberté de juger notre prochain par ses œuvres, et « iniques » parce que l’iniquité est le fruit du péché hérité par toute l’humanité, aujourd’hui, entièrement séparée de Dieu. Or, le fruit principal porté par un juge inique, c’est l’injustice qui est cause d’un maximum de souffrances pour les êtres humains. Et notre monde occidental infidèlement chrétien est grandement responsable des problèmes qui l’assaillent aujourd’hui. Exemple : A Reims, deux jeunes gens de 27 et 29 ans, deux frères originaires de l’île de Mayotte, ont été arrêtés, soupçonnés d’avoir « passé à tabac » un policier sans uniforme, en fonction de surveillance, porteur de vêtements civils. Sous condition qu’ils soient bien les coupables, ces jeunes peuvent dire aux Français : « Vous êtes venus chez nous imposer vos règles, nous faisons de même chez vous ». Car elle est là, la cause de toutes les injustices : la colonisation qui fut elle-même la conséquence de l’injustice esclavagiste. Et nos sociétés occidentales reproduisent toutes ce modèle qui a traversé le temps et que promeut le capitalisme anglo-américain. Qu’est-ce qui justifie de mal payer le travailleur besogneux et de privilégier dans l’outrance, le salaire des blouses blanches et grises des patrons et des actionnaires associés ? L’injustice inspirée par Satan et ses démons depuis le début de l’humanité maudite. La vie humaine, ne nécessite-t-elle pas les mêmes besoins pour tous les êtres humains ? En fait, les patrons profitent de l’avantage d’obtenir, pour une seule offre d’emploi, de multiples candidatures et selon l’injustice du régime capitaliste ; ce qui est rare est cher ; et les ouvriers en paient le prix, en devant accepter les conditions imposées par celui qui présente l’offre du précieux emploi recherché. Ce régime ne fait que prolonger celui de l’esclavage, un peu amélioré par les exigences syndicales. Je peux ainsi dire que les drames qui vont embraser l’humanité ont tous humainement pour cause, l’injustice qui a conduit des hommes à jouir de privilèges refusés aux autres, et à exploiter l’homme, au lieu d’en faire un heureux collaborateur qui a droit à sa légitime part dans le travail qu’il accomplit.
Ainsi le monde va payer collectivement les excès du régime capitaliste beaucoup plus durement que le prix payé par la chute du communisme en Russie.
Nous sommes donc entrés depuis le 7 Août 2025 dans les « trois jours et demi » d’Apocalypse 11:9, qui concernent la seconde partie de la « semaine » de 7 années de guerre continuelle.
Les Occidentaux sont trop égoïstes pour penser à se mettre à la place des autres ; ce qui relève de l’altruisme. Et c’est ce qui explique leurs faux raisonnements. Depuis le 24 Février 2022, ils croient pouvoir s’abriter derrière leurs propres règles pour justifier que leur aide donnée à l’Ukraine ne les rend pas cobelligérants de sa guerre. Cependant, ils ont en face d’eux, pour ennemie, la Russie qui ne reconnaît pas leurs règles puisqu’elle veut imposer les siennes à l’Ukraine et à l’OTAN. Ils auraient dû comprendre depuis longtemps que cette aide allait les conduire vers le pire qu’ils redoutaient : l’affrontement direct entre l’OTAN européen et la Russie. Il faut relever que peu de jours avant le 24 Février 2022, la Russie avait organisé de grandes manœuvres militaires sur sa frontière avec l’Ukraine, or en date des 15 et 16 Septembre 2025, des manœuvres identiques se déroulent pour une semaine, sur le sol de la Biélorussie ; les armées russe et biélorusse y participent. Et la Russie en profite pour exposer aux regards des observateurs de l’OTAN américains et européens, ses impressionnants missiles « Iskander » volant à près de 7000 km/h, quasiment indestructibles en envoi multiple groupé. Et ce ne sont pas les seuls, car la Russie dispose de tout un panel de missiles adaptés pour des utilisations différentes ; et surtout, elle dispose de ses terribles bombes nucléaires nommées « Tsar Bomba » dont le diamètre de destruction est de 500 kilomètres. Tremble Paris, car l’une d’elles t’est réservée, selon que Dieu te nomme symboliquement « Sodome », dans Apocalypse 11:8.
La longue « semaine » de guerre finale de « sept ans » confirme l’importance que Dieu donne à la « semaine » de « sept jours » depuis sa création de la terre. La première venue du Messie a été prophétisée dans Daniel 9:27, sur le modèle d’une « semaine » de jours prophétiques soit, sur sept années. Et cette guerre finale de sept années constitue la réponse de Dieu envers le mépris témoigné pour son offre de salut aux pécheurs humains. En fait, dans la comparaison des deux « semaines » concernées, la mort de Jésus, accomplie « au milieu de la semaine » sainte pascale et « au milieu d’une semaine » d’années, le 3 Avril de l’an 30, correspond à la fin des « 1260 jours » de la guerre russo-ukrainienne soit, le 6 Août 2025 ; et le jour suivant, le 7 Août 2025 marque le début des « 1260 jours » de la « sixième trompette ». J’ai commencé à témoigner au nom de la « Révélation de la Septième Heure », et me voici, témoignant maintenant de l’accomplissement d’une guerre prolongée sur « sept années » dont la moitié est maintenant accomplie depuis le 6 Août 2025. Ces « sept années » précèdent le temps de la dernière épreuve de foi réservée aux humains survivants ; épreuve en laquelle « les derniers fléaux de la colère de Dieu » frapperont « les adorateurs de la bête » catholique et ceux « de son image » protestante.
Dans Apocalypse 11, les versets 2 et 3 citent les durées prophétiques « quarante-deux mois », et les « mille deux-cent soixante jours » qui représentent les « trois ans et demi » prophétiques du règne despote papal; durée citée sous l’aspect « un temps, des temps et la moitié d’un temps » dans Daniel 7:25 et Apocalypse 12:14. Cette figure symbolique est donc reprise pour prophétiser les derniers « trois jours et demi » qui prophétisent les « trois ans et demi » réels de la grande destruction finale accomplie par la « sixième trompette », du 7 Août 2025 au 17 Janvier 2029 ; selon mes calculs.
Ce message ne donne pas la date suggérée par l’expression citée dans Apocalypse 9:15 : « Et les quatre anges qui étaient prêts pour l'heure, le jour, le mois et l'année, furent déliés afin qu'ils tuassent le tiers des hommes. » L’expression citée souligne le caractère exceptionnel de l’action destructrice mise en œuvre et ne nous donne pas une date qui sera révélée, uniquement par son accomplissement. La semaine de guerre du temps de la fin détermine deux phases guerrières : la première concerne une guerre préparatoire en Ukraine et à Gaza, et la seconde concerne la « sixième trompette ». On peut aussi rattacher chacune de ces deux phases successives aux présidences américaines de Joe Biden, pour la première, et de Donald Trump, pour la seconde. Et là, il faut relever le lien entre son nom Trump et la « sixième trompette » que ce nom « Trump » anglais désigne ; traduit, Mr Trump est Mr Trompette. Tout semble en effet reposer sur son arrivée au pouvoir marquée par une rupture des relations établies avant lui entre l’Amérique et l’U.E. Et si la prophétie fait commencer la « sixième trompette » le 7 Août, c’est parce que ce moment est marqué par sa tentative de régler le problème insoluble qui est cause de la guerre entre l’Ukraine et la Russie. Son échec met fin à l’espoir de paix et contraint les Occidentaux à affronter seuls l’attaque Russe prophétisée par Dieu, dans Daniel 11:40.
Dernière observation : Les 80 ans de paix compris entre 1945 et 2025, représentent deux fois 40 ans ce qui suggère et annonce le doublement des « trois jours et demi » du « temps de la fin ».
Il est possible que la date du 9 Av qui épouvante les Juifs, tant elle a été marquée par des drames les concernant et concernant l’humanité chrétienne, soit marquée la soirée du mercredi 22 Juillet et le Jeudi 23 Juillet en 2026 ; et le Mercredi 11 Août et le Jeudi 12 Août en 2027, par des catastrophes spécifiquement graves. A ces dates il convient d’ajouter, pour 2028, le Lundi 31 Juillet et le Mardi 1er Août ; et pour 2029, le Vendredi 20 Juillet et le Samedi 21 Juillet. En 2025, le 9 Av s’est présenté le Samedi en soirée le 2 Août et le Dimanche 3 Août sans être marqué par une catastrophe particulière.
A noter que deux éclipses totales du soleil sont
annoncées, visibles en Europe, la première, en 2026 pour le Mercredi 12 Août,
et la seconde, pour le Lundi 2 Août 2027. Cette seconde éclipse sera la plus
longue jamais relevée et durera 6 minutes et 23 secondes.
M62- Le Juge Parfait
J’ai eu la surprise, en m’éveillant ce sabbat matin 20 Septembre 2025, inspiré d’un sujet inattendu pour moi. J’avais fait le projet d’écrire un message différent, et l’Esprit m’a conduit à réaliser les choses révélées dans ce message que je présente sous le titre « la Juge Parfait ». Car pour juger des « juges iniques » il faut bien qu’il existe l’autorité suprême d’un « Juge Parfait ». Et c’est pour moi un grand bonheur de savoir que cette justice parfaite du Dieu créateur, l’unique Dieu créateur de toute chose, aura le dernier mot contre tous ses et mes ennemis ; et si je personnalise cette situation, je précise qu’elle concerne aussi tous ses élus rachetés en lesquels Dieu est glorifié et honoré.
On attribue à Dieu beaucoup de noms, de critères et de caractères, et aujourd’hui j’ai envie de le nommer « le Parfait ». Car c’est un sujet sur lequel, il est l’unique et incomparable modèle. Symboliquement, la perfection est désignée par le chiffre « 3 ». Et nous retrouvons ce chiffre 3 dans ses trois rôles successifs qu’il se donne dans son plan du salut des pécheurs humains jugés dignes d’en bénéficier ; il est Père, Fils, et Saint-Esprit soit, Créateur de la vie, victime expiatrice, et reconstructeur des élus rachetés par son sacrifice.
Ce projet salvateur fut magnifiquement mis en scène et révélé par l’expérience d’Abraham, « le père spirituel des croyants » comme on le présente dans les religions monothéistes ; sauf, qu’Abraham fut, lui, réellement, l’ami de Dieu ; et ceci, jusqu’à son dernier souffle de vie.
Dieu révèle son amour de la perfection dans la forme de la structure qu’il donne au sanctuaire hébreu dont les proportions sont de trois tiers. Les deux tiers du lieu saint désignent l’imperfection humaine terrestre et le 3ème tiers cubique du saint des saints ou lieu-très-saint illustre la perfection divine céleste. Mais déjà, le chiffre trois caractérise la perfection de notre dimension terrestre basée sur la mer, la terre et le ciel. Il existe aussi ce verset cité dans Ecclésiaste 4:12 : « Et si quelqu'un est plus fort qu'un seul, les deux peuvent lui résister ; et la corde à trois fils ne se rompt pas facilement. » Et tout ce que Dieu organise a vocation à porter cette solidité. Le goût de Dieu pour la perfection nous est révélé dans tous les aspects sous lesquels il se révèle à ses créatures, ses vis-à-vis libres, mais seulement pour choisir de l’aimer et le servir ou de ne pas le faire.
Ce matin, Dieu m’a fait réaliser que sa perfection est également révélée de manière auditive par ses lois musicales. Et là, sachant que beaucoup de gens ne connaissent pas les lois musicales, je vais devoir donner des explications. Les voix humaines et les instruments de musique produisent des sons construits par des vibrations mécaniques, chez l’homme, ses cordes vocales, et dans les instruments des cordes, le souffle, où la vibration d’une mince lame de bois appelée anche. Les sons varient selon trois lois concernant le timbre, la fréquence, et la puissance. Tout son émis repose sur ces trois choses. Dans le domaine musical, selon les pays, des normes différentes sont adoptées, mais en Europe la musique repose sur un enchaînement de « sept » notes qui sont « do ré mi fa sol la si » et la huitième nommée octave redouble la première à une hauteur de fréquence doublée. Le son ressemble donc à la construction de la semaine composée elle-aussi de sept éléments successifs qui sont ensuite renouvelés.
Dans son plan du salut Dieu donne au quatrième jour central, un rôle fondamental rattaché à l’œuvre expiatrice du rachat de ses élus ; ce jour central étant notre Mercredi dans le vrai temps établi par Dieu. Or, dans sa prophétie de Daniel 9:27, nous lisons dans la partie du verset qui concerne la mort de Jésus-Christ : « Il fera une solide alliance avec plusieurs pour une semaine, et durant la moitié de la semaine il fera cesser le sacrifice et l'offrande ;… » Dans ce code prophétique biblique où les jours désignent des années réelles, la mort de Jésus est située « trois ans et six mois » après son baptême, ce qui place sa mort au printemps, au milieu de sept années qui commencent et finissent en Automne. La mort de Jésus est ainsi placée sur le temps charnière du Mercredi 3 Avril 30, précédée et suivie par « trois ans et six mois » soit selon le code prophétique qui donne à l’année 360 jours seulement, la configuration suivante : 360 + 360 + 360 + 180 ; ce qui totalise « 1260 » jours suivis d’une autre période de « 1260 » jours inversés, la première période couvrant le temps d’un Automne au Printemps et la seconde, commençant au Printemps et finissant en Automne. Cette configuration délivre un message dont le point culminant repose sur le printemps et la mort, et la résurrection de Jésus-Christ qui lui sont rattachées. La première période délivre le message de la mort vers la vie et la seconde, celui de la vie vers la mort. Car, originellement, le message de la « 70ème semaine » de Daniel 9 est adressé à la nation juive à laquelle la mort du messie est annoncée comme une offre de vie éternelle qui va de jour en jour se réduire jusqu’à disparaître à l’Automne de l’an 33 en lequel la « 70ème semaine » prophétisée s’est achevée.
La conséquence du message délivré par cette configuration de la « 70ème semaine » de Daniel 9:27 est l’annonce que sa fin va marquer la fin du temps de grâce nationale de l’Israël charnel héritier de la descendance charnelle d’Abraham. Et paradoxalement, l’offre de vie fait naître la nouvelle alliance présentée aux élus païens par l’apôtre Pierre et l’apôtre Paul dans la suite du temps.
Dans le message précédent, Dieu a révélé l’existence d’une semaine d’année comprise entre le 24 Février 2022 et le 17 Janvier 2029. Le 24 Février 2022, la Russie est intervenue en Ukraine pour la dissuader de rejoindre le camp occidental européen et otanien. Il me paraît donc logique d’attribuer cette date du 17 Janvier 2029 comme marquant le temps de la fin des nations européennes rebelles envers la Russie et rebelles envers Dieu lui-même. La Russie instrument de sa colère sera alors elle-même à son tour détruite par les bombes atomiques des USA. On sera alors très proche de la fin du temps de grâce offerte à l’humanité païenne. Et cette fin du temps de grâce débutera au moment où la loi dominicale sera adoptée, promulguée, et entrée en application.
Dans l’usage que Dieu en fait dans tous les cas où la semaine prophétique de 1260 jours +1260 jours est évoquée, les actions concernant le début et la fin sont inversées dans l’absolu. En l’Automne 26, la nation juive est reconnue par Dieu et en Automne 33, elle ne l’est plus. Le jugement de Dieu est tombé et a été appliqué sans que quiconque le sache sur la terre. L’œuvre accomplie par Jésus n’a été comprise que par les explications qu’il a données à ses élus après sa résurrection. Il a fallu attendre que les choses soient accomplies pour qu’elles soient comprises, par ceux que Dieu a choisis pour les éclairer. Or, en 2025, nous les bénis de Dieu, nous avons vécu la même chose, ne comprenant que le 17 Septembre, l’existence de la date qui marque la fin de la première moitié de la dernière semaine prophétique soit, la date du 6 Août 2025 avec toute sa sinistre signification. Ainsi, en situation centrale de la semaine concernée, l’offre présentée par Dieu n’est pas la vie comme dans Daniel 9:27, mais la mort des pécheurs coupables. Et le processus du jugement de Dieu est le même dans les deux semaines. Les coupables trouvés en état de mort spirituelle au début de la semaine finissent cette semaine dans le même état de mort spirituelle et dans l’attente de leur châtiment divin. Celui des Juifs est venu en 70 avec les Romains chargés de « détruire la ville sainte Jérusalem et la sainteté » religieuse qui la caractérisait, et après le 17 Janvier 2029, celui des coupables de la nouvelle alliance va venir avec le châtiment des « sept derniers fléaux de la colère de Dieu » prophétisé dans Apocalypse 16.
Les deux semaines de chacune « 2520 jours » ciblent successivement l’ancienne alliance puis la nouvelle alliance.
Ceci étant dit et expliqué, je reprends ma démonstration de l’aspect prophétique porté par les lois musicales.
En Europe, les « sept » notes s’enchainent en continuité et constitue une gamme. L’ordre des notes respecte des intervalles successifs composés de tons et de demi-tons qui reproduisent dans le cas de la gamme nommée majeure, la configuration « trois jours et six mois ». Se succédant avec un intervalle d’un ton, les notes « Do Ré Mi » sont suivies de la note « Fa » marquée par un demi-ton. Et après cette note « Fa », la configuration précédente est renouvelée par les notes « Sol La Si » jusqu’à la note « Do » de l’octave supérieure de la note « Do » de base. La gamme musicale fonctionne exactement comme les « sept jours » de la « semaine », renouvelés de sept en sept.
Il est intéressant de relever que cet ordre, qui prend la note « Do » pour base de sa gamme majeure, est strictement européen. Car les Américains et les Anglais retiennent eux la note « La » qu’ils nomment « A ». En conséquence, leur gamme de sept notes est représentée par les lettres « A B C D E F G » ; ceci, en conservant les tons et les demi-tons de la gamme européenne ce qui donne à cette gamme un son triste qui la fait nommer : « mineure ». Et cette tristesse est due à la présence d’un demi-ton situé entre la deuxième et la troisième note, les notes B et C qui désignent les notes européennes Si et Do. Ce principe musical américain ne respecte pas l’ordre de la semaine prophétique utilisée par Dieu dans sa sainte Bible, bien que dans la pratique musicale, ils utilisent eux-aussi la gamme majeure européenne qui débute pour eux sur la note « C ». Cette différence entre l’Amérique et l’Europe est à relever car elle prouve que l’Europe est bien la cible de la dernière semaine prophétique du programme préparé par Dieu.
Le clavier d’un piano, d’invention européenne, permet de visualiser, par les touches blanches, les sept notes de la gamme majeure nommée « Do ». Les touches noires indiquent des demi-tons intermédiaires qui coupent les intervalles d’un ton des touches blanches. Ces demi-tons sont appelés « chromatiques » pour les différencier, des demi-tons dit « diatoniques » trouvés entre les notes Mi et Fa et Si et Do de la gamme Do des touches blanches. Le clavier d’un piano ou d’un orgue permet donc de reproduire par ses touches blanches l’image de la succession « trois jours et un demi-jour » dont le modèle de référence reste la « 70ème semaine » de Daniel 9:27.
Dieu a trouvé bon de donner au règne papal un temps prophétisé par « 1260 jours » prophétiques représentant 1260 années réelles. Par cette action, il met en comparaison la situation spirituelle du règne papal avec le statut spirituel moribond de l’ancienne alliance juive aux cours des « 1260 jours » situés entre l’Automne 26 et le printemps de l’an 30. Si Dieu n’a jamais reconnu la religion catholique romaine et papale pour son Eglise, il reste que c’est lui qui a voulu son existence et qui lui a donné pour rôle de persécuter ses saints infidèles. Nous devons donc différencier le clergé dominateur du reste des membres qui représentent les saints que Dieu accuse d’infidélité envers lui, et ceci, depuis l’année 313 ; année où par la paix religieuse offerte par l’empereur romain Constantin 1er, la foi chrétienne a apostasié.
Dans cette période de 1260 années réelles, les « saints » chrétiens ont partagé avec les Juifs de l’an 26, une attitude rebelle et infidèle, dans un contexte de grandes ténèbres et d’incompréhension religieuse que la religion protestante et la religion adventiste officielle, ont l’une et l’autre reproduites au temps où Dieu les a éprouvées. L’image de ces « 1260 jours ou années » concerne dans tous les cas, un temps qui s’achève par la condamnation divine officielle des coupables concernés ; en 1798, le pape Pie VI est arrêté et mis en prison à Valence où il est mort l’année suivante. Mais en 1798, Dieu condamne également la libre pensée qui a établi en France l’athéisme national qu’il nomme « la bête qui monte de l’abîme », dans Apocalypse 11:7 ; ceci, pour la guerre menée, après le catholicisme monarchique, contre la vérité établie dans sa sainte Bible, symbolisée par ses « deux témoins » ; détail intéressant et utile qui confirme la valeur du témoignage de l’ancienne alliance, le premier des « deux témoins » cités.
J’ai pu constater dans la vision que j’ai vécue au printemps 1975, combien le son était pour Dieu une forme donnée à sa perfection. Car l’extase vécue a été provoquée par une vibration sonore qui m’a totalement envahi dans une progression lente impulsée par la croissance de cette intensité sonore. Ce son reproduisait celui d’un orgue sur une note maintenue dans un timbre sonore très large composé de sons graves et en même temps très aigus. A l’époque j’étais déjà musicien et Dieu m’avait déjà inspiré en 1973, les paroles et la musique du chant intitulé « On ne croit plus en rien ». Je peux comprendre ainsi aujourd’hui, que par sa vision donnée en 1975, Dieu m’a annoncé son projet de me conduire vers cette perfection que j’ai toujours admirée dans son œuvre créée et révélée dans son témoignage biblique.
Aujourd’hui, en ce sabbat du 20 Septembre, j’écris ce message qui témoigne de mon intérêt pour sa perfection divine qui prend de jour en jour des formes et des aspects surprenants. Et toute la révélation prophétique biblique témoigne de cette perfection divine que Dieu veut faire partager à ceux qu’il aime parce qu’ils l’aiment. Dans la prophétie la perfection constitue une clé qui ouvre l’intelligence et la compréhension de l’élu qui la lit. Dans Daniel, cette perfection apparaît par la reprise d’un même survol de l’histoire dans les trois chapitres 2, 7, et 8. La compréhension repose sur leurs enseignements parallèles et complémentaires qui apparaissent uniquement en les superposant. Le même principe concerne dans Apocalypse, les chapitres 2 et 3, 6 et 7, et 8 et 9, traitant dans cet ordre, des « Lettres, des Sceaux, et des Trompettes ».
Pour les élus rachetés, la perfection n’est pas un luxe, mais une nécessité, une exigence de Jésus-Christ, le modèle incarné de la perfection divine invisible.
Chez ses saints, la perfection est relative à la forme de l’épreuve à laquelle Dieu les soumet. Ainsi dans le message de « Sardes », Dieu dit aux Protestants qui méprisent les annonces prophétiques de William Miller, dès la première en 1843 : « Je n’ai pas trouvé tes œuvres parfaites devant mon Dieu ». Cette imperfection ne cible pas encore la pratique du dimanche, mais le mépris pour une annonce prophétique biblique du retour de Jésus-Christ, pour laquelle « les œuvres parfaites » consistent, pour un élu, à se réjouir de cette annonce et à se mettre à étudier sérieusement les arguments qui la justifient afin de croire en cette annonce avec certitude ; car Dieu condamne le doute.
En 1991, l’adventisme institutionnel a commis la même faute, ayant reproduit le même désintérêt et mépris pour mon annonce du retour de Jésus-Christ pour l’année 1994. Et c’est ce témoignage indigne de gens qui se disent adventistes qui a conduit Jésus-Christ à les vomir « collectivement » en 1994.
A la fin de chacune des sept lettres adressées à ses serviteurs chrétiens, Jésus-Christ dit : « Que celui qui a des oreilles entende ce que l'Esprit dit aux Églises ! » cette phrase renouvelée vient rappeler aux lecteurs de la Bible que Jésus met en évidence dans ses prophéties des événements sur lesquels il révèle son jugement et dont seuls, les vrais élus tiennent compte pour éviter de tomber dans des fautes déjà identifiées et condamnées par lui. Le principe est simple : ce que Dieu condamne un jour, il le condamne toujours. C’est ce que prouve la leçon révélée en 1843 et 1844 dans les deux épreuves adventistes suscitées par Dieu par le témoignage des annonces de William Miller. Le mépris témoigné par les faux Protestants dans ces deux épreuves adventistes, mépris condamné par Dieu, condamne le même comportement des adventistes officiels de 1991 jusqu’à 1994, date où il les a officiellement rejetés.
La perfection exigée par Dieu de ses élus prend la forme d’un comportement logique et cohérent avec leur espérance d’être sauvés par lui. Cette perfection reste possible à l’échelle humaine et ne dépasse pas les capacités humaines. Les élus rachetés ne peuvent qu’être des gens entiers qui investissent leur âme entière dans leur attachement au Dieu sauveur. Et là encore, la vie de Jésus-Christ nous est présentée comme étant le parfait modèle que tout élu doit reproduire dans sa propre personnalité.
C’est l’œuvre inspirée par le diable et ses démons qui a réussi à faire croire à des gens superficiels inconstants que le salut du Christ était et est encore pour eux. Dès après ma naissance, le sujet religieux m’est apparu comme l’explication de la vie. Et je n’ai jamais réussi à croire au salut étiquette des multitudes. Dieu m’a protégé contre cette trompeuse et odieuse fausse vérité ou vrai mensonge. Ainsi le plan du salut préparé par Dieu est d’une simplicité enfantine. Ce qui le rend complexe est la présentation de nombreux messages religieux mensongers qui lui donne un aspect obscur plein de contradictions.
Ma compréhension spirituelle a toujours été que le salut repose moins sur la doctrine religieuse que sur la nature humaine de la créature ; car quiconque aime réellement la vérité, ne peut que la suivre et se soumettre à ses nécessités. La doctrine divine est alors suivie et honorée en réaction logique naturelle. Dans ce cas, la Révélation prophétique divine permet à Dieu de justifier la bénédiction qu’il offre à ceux qui s’en montrent dignes par l’intérêt témoigné concrètement pour elle. Et à l’inverse, il peut condamner et rejeter ceux qui la méprisent. Dieu et sa parole prophétique révélée ne font qu’un, mépriser l’un consiste à mépriser l’autre.
Contrairement à ce que croient des multitudes de faux chrétiens, la foi ne consiste pas uniquement à croire que Jésus-Christ est mort pour nos péchés. La foi concerne tout ce qui est en relation avec Dieu, dans sa sainte Bible ou dans les lois qui régissent la vie dans sa création terrestre. Ayant tout créé, notre Père céleste prend position sur tous les sujets de l’existence. Et en Juge Parfait Jésus-Christ a maudit les riches parce que leurs richesses les rendent idolâtres et insensibles à la vérité divine. Dans cette malédiction spécifique, Jésus a révélé la cause principale de l’incrédulité humaine qui va se prolonger jusqu’au temps de son retour. Mais l’exception existe et se présente dans le personnage de Job dont l’expérience montre qu’il était plus attaché à Dieu qu’à ses richesses. Mais les Job sont rares et il faut se méfier des cas exceptionnels signalés dans la sainte Bible. J’ai souvent entendu des gens prendre pour référence le briguant crucifié avec Jésus qui lui demanda de se souvenir de lui quand il viendra dans son royaume. On a donc pris souvent cet exemple, pour justifier le fait que le salut peut être obtenu à la toute dernière extrémité de l’existence terrestre. Mais ceux qui raisonnent ainsi, ne tiennent pas compte du fait qu’il a reconnu le Messie à l’heure de sa mort, ce que même ses apôtres n’ont pas fait à ce moment-là. Ce briguant a identifié Jésus en tant que Messie en se basant uniquement sur les témoignages qu’il avait entendus se répandre à son sujet. Et je le rappelle, Jean-Baptiste, en personne, témoin visuel et auditif de la bénédiction du Père céleste pour son baptême, a osé demander à Jésus s’il était bien celui qui devait venir. Ce qui a conduit Jésus à le présenter comme le pire exemple d’absence de foi de son temps. Là encore, le verdict du Juge Parfait a été prononcé ; et la tête de Jean-Baptiste est tombée à la demande de la séduisante Salomé fille de l’illégitime épouse du roi Hérode.
De la même manière, les élus éclairés par Jésus le 17 Septembre 2025 apprennent du Juge Parfait que le 6 Août 2025, il a jugé et condamné l’Union Européenne et ses habitants à subir le châtiment des bombes atomiques vers la fin des « trois ans et demi » commencés après cette date, soit, le 7 Août 2025.
Le jugement de Dieu est parfait parce que celui qui juge est lui-même parfait et qu’il ne partage son jugement avec personne. Il sélectionne seul ses élus qui sont à ce titre les seuls bénéficiaires de son rôle d’avocat. Car il faut bien comprendre le sens des déclarations trouvées dans la sainte Bible et beaucoup sont trompés par ces expressions que des gens indignes s’approprient en se trompant eux-mêmes ; agissant ainsi, ils se condamnent à la plus terrible désillusion finale.
Nous lisons en effet dans 1 Jean 2:1 : « Mes petits enfants, je vous écris ces choses, afin que vous ne péchiez point. Et si quelqu'un a péché, nous avons un avocat auprès du Père, Jésus Christ le juste. »
Il ne faut pas isoler ce verset de ceux qui le suivent, pour comprendre le message délivré par l’Esprit qui inspire les paroles tenues par l’apôtre Jean. Mais déjà, celui qui parle ainsi est l’apôtre que Jésus aimait particulièrement pour la fidélité constante qu’il lui témoignait en honorant toute la vérité divine. De plus le contexte du temps où Jean écrit ces choses n’est en rien comparable à notre époque. Les premiers chrétiens, dont il est un modèle après Jésus-Christ, respectaient dans sa perfection toute la sainte doctrine de la vérité dans laquelle leur origine juive les avait formés. Ils gardaient fidèlement le sabbat comme un privilège qui témoignait de leur lien réel avec Dieu en Jésus-Christ. Depuis cette parfaite conception religieuse que Dieu nomme dans Apocalypse 14 :6 : « l’Evangile éternel », des doctrines ténébreuses sont venues transformer en mensonges la vérité divine originelle. Voici encore ce que dit Jean et que peuvent mal interpréter ceux qui lisent ces choses :
Verset 2 : « Il est lui-même une victime expiatoire pour nos péchés, non seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier. »
Attention, quand Jean cite les péchés du monde entier il veut dire que Dieu va sélectionner des élus trouvés dans le monde entier. Mais il est facile de tordre le sens de cette expression pour lui donner le sens d’un salut global obtenu par tous les pécheurs du monde entier. Le salut est présenté par Dieu comme une offre mais il est assorti de conditions auxquelles seuls les élus répondent.
Verset 3 : « Si nous gardons ses commandements, par là nous savons que nous l'avons connu. »
Ce message de vérité dissipe les doutes que les versets précédents pouvaient susciter.
Verset 4 : « Celui qui dit : Je l'ai connu, et qui ne garde pas ses commandements, est un menteur, et la vérité n'est point en lui. »
Par ces paroles, l’Esprit condamne l’hypocrisie des religions catholiques et protestantes héritières des dogmes païens grecs et romains. Le changement du jour du repos que « Dieu a sanctifié au septième jour » est un péché commis volontairement par l’autorité impériale qui l’a instauré, et papale qui l’a conservé et fait honorer par les faux chrétiens catholiques. Le « Dimanche », qui a été, après son adoption du 7 Mars 321, justifié tardivement par les Catholiques et les Protestants pour rendre gloire à la résurrection de Jésus-Christ, n’est resté pour lui, en Père, que le péché païen de l’observance du repos du premier jour dédié au « Soleil Invaincu », sa créature, stupidement divinisée par les humains trompés, inspirés par « le père du mensonge », le diable et ses démons. Comme beaucoup d’Adventistes sincères que Dieu a approuvés depuis 1843, j’ai adopté pour ma bénédiction le repos du septième jour choisi et béni par Dieu qui l’a sanctifié dès le septième jour de sa création du monde. « Le repos du sabbat du septième jour » n’est donc pas une exclusivité juive charnelle et nationale. Son origine en fait un signe d’appartenance à Dieu que chaque créature choisit d’honorer ou pas, en toute liberté, mais avec toutes les conséquences portées par ces deux choix opposés.
Verset 5 : « Mais celui qui garde sa parole, l'amour de Dieu est véritablement parfait en lui : par là nous savons que nous sommes en lui. »
« Celui qui garde sa parole » ; une expression que des foules de gens revendiquent indignement ; car que signifie « garder sa parole » ? Le mot est au singulier, mais il représente le contenu entier de la sainte Bible. Garder sa parole signifie tenir compte de tout ce que Dieu dit dans cette sainte Bible au cours de ses deux alliances successives qui ne se contredisent pas, mais s’améliorent et se complètent pour porter à sa perfection le plan du salut préprogrammé par Dieu. La veille de sa mort, Jésus a présenté par le jus de raisin symbolique, son sang qui a été versé pour valider les pardons obtenus provisoirement jusqu’à lui par des expiations animalières. Sa mort a aussi mis fin aux fêtes juives ordonnées par Dieu, parce qu’elles prophétisaient sa venue et ses conséquences. Mais ce sont là, les seuls changements apportés par la nouvelle alliance établie sur Jésus-Christ. Tout l’enseignement de la sainte Bible qui reste après ces changements est exigible par Dieu de tous ses élus rachetés.
Verset 6 : « Celui qui dit qu'il demeure en lui doit marcher aussi comme il a marché lui-même. »
Je ne saurai mieux dire et ne peux que confirmer et approuver la clarté de cette phrase qui condamne de manière certaine tous les chrétiens hypocrites qui font de la foi en Christ, une étiquette trompeuse.
Il est écrit aussi dans Jean 5:24 : « En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole, et qui croit à celui qui m'a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie. »
Le message est agréable, mais là encore, beaucoup de gens se l’approprient à tort. Car il ne s’applique qu’aux vrais élus sélectionnés par Dieu parmi tous « les appelés » que Jésus dit nombreux, en précisant que Dieu trouve parmi eux, « peu d’élus » dans Matthieu 22:14 : « Car il y a beaucoup d'appelés, mais peu d'élus. »
Tel est le jugement du « Parfait Juge ».
Mais sa justice parfaite est entravée par des initiatives humaines telles que les alliances passées entre les nations. Car, depuis Babel, Dieu a divisé les peuples par des langues, dans le but évident de les séparer. Et cette séparation lui permettait d’imposer à tous les peuples sa justice parfaite qui consistait à favoriser ou pas les récoltes alimentaires de chaque peuple selon son comportement. Et quand la chose était nécessaire, une famine terrible pouvait exterminer un peuple entier condamné par Dieu ; je précise, une famine ou l’un des multiples moyens par lequel Dieu pouvait exercer sa justice punitive.
Or, en notre époque, les nations s’unissent pour former de grands groupes qui échangent et communiquent ensemble. Et si un pays est frappé par la faim, les OMG internationales et l’ONU lui apportent la nourriture permettant sa survie. Du fait de ces aides humanitaires, les punitions divines ne sont plus vues comme elles devraient l’être ; et même, Dieu disparaît dans ces actions terribles, car l’homme peut toujours trouver une cause terrestre pour expliquer les malheurs de toutes sortes. Aussi, à ce stade de l’évolution terrestre, il ne reste à Dieu qu’à détruire l’humanité qui ne se laisse plus contrôler par lui.
C’est donc à ce titre de Juge Parfait, parce que le Dieu Parfait se fait Juge, qu’en Jésus-Christ, Dieu vient de révéler le 17 Septembre à ses bien-aimés rachetés le projet qu’il a mis en œuvre depuis le 7 Août 2025. Et le verdict ainsi subtilement prononcé n’en est pas moins terrible, puisqu’il prophétise la destruction des coupables juifs et chrétiens par le feu nucléaire que la guerre conventionnelle va précéder au cours des trois ans et six mois placés depuis le 7 Août 2025 ; ce qui porte la fin de cette durée de temps au Vendredi 17 Janvier 2029 ; la dernière année de la vie humaine sur la terre selon l’ordre de Dieu : du début du printemps à la fin de l’hiver.
M63- Le monde en Septembre
Certains faits de l’actualité politiques me conduisent à rédiger ce message. Le 22 Septembre 2025, à l’ONU, le président Macron a officiellement déclaré que la France reconnaît l’existence d’un Etat Palestinien. Je rappelle le contexte de cette prise de décision du président français. Dans la journée qui venait de s’écouler, les médias français avaient mis en valeur le ministre de l’intérieur Mr Bruno Retailleau. Le président était depuis quelques temps lâché par les Médias et visiblement ce régime ne lui convient pas. C’est donc pour attirer leur attention sur lui que soudainement, irrité en plus par l’inefficacité de ces démarches auprès de Benyamin Netanyahou, le premier ministre Israélien, il a lancé sa décision de reconnaître l’Etat Palestinien. Et la chose a été efficace, puisque dans la soirée, tous les médias rapportaient la surprenante nouvelle. Cette décision ne sera pas sans conséquences. Car je relève que le président Macron s’engage officiellement pour cette reconnaissance de l’Etat Palestien que Mr Trump n’approuve pas et qui ne peut que le contrarier, lui qui apporte son soutien à Israël. Je vois donc deux effets possibles pour cette déclaration française. Le premier est d’accentuer la séparation des USA et de l’Europe, et le suivant est d’exciter l’impatience des Palestiniens qui entendent des paroles jamais suivies d’effets. Les déclarations faites par les uns et les autres ne peuvent avoir aucun effet dans la mesure où c’est le Dieu tout-puissant qui organise le temps destructeur de sa « sixième trompette » engagée depuis le 7 Août 2025.
On signale des incursions de drones et, tout de suite, le responsable est désigné : la Russie. Je trouve que les Européens ont la mémoire courte et qu’ils n’ont rien retenu des leçons de la Deuxième Guerre Mondiale dans laquelle pour justifier l’invasion de la Pologne, un commando Allemand a attaqué une station radio allemande. La ruse a joué et peut encore jouer un grand rôle pour provoquer une guerre totale entre les pays. En fait qui pousse les forces de l’OTAN à s’engager dans sa guerre contre la Russie depuis trois ans et demi ? L’Ukraine. Déjà, un commando ukrainien a détruit secrètement le gazoduc Russe qui alimentait l’Allemagne et d’autres pays européens. L’Ukraine reçoit chaque jour des centaines de drones russes dont certains peuvent, pour des causes diverses, tomber sans exploser sur le sol de l’Ukraine et être récupérés intacts ou être réparés selon les dommages. Je suis convaincu que dans l’ombre, les Ukrainiens sont prêts à tout faire pour obtenir l’engagement de l’OTAN contre la Russie et manipuler les opinions occidentales en plaçant la responsabilité sur la Russie ; et leur destruction du gazoduc russe justifie cette possibilité. Lancer des drones russes pour susciter des réactions des pays de l’OTAN est parfaitement dans le style d’action des Ukrainiens, d’autant plus qu’ils sont devenus des maîtres, dans cette technique des drones.
Cependant, le principe « pas vu pas pris » favorise encore toutes les manigances, et les manipulations des masses, de leurs dirigeants et de leurs élites politiques. Car le désir de paix exprimé sur les Médias par le président de l’Ukraine n’est pas sincère. Il a adopté la position du président Trump qui recherche et voudrait, lui, réellement imposer la paix. Mais l’Ukrainien ne souhaite rien d’autre qu’obtenir un engagement militaire complet de l’Amérique avec lui pour détruire la Russie ; ce qui serait pour lui la certitude de la paix et, au minimum, le retour de l’Ukraine à ses frontières originelles.
Ce mois de Septembre apporte des faits majeurs, tels que la décision prise par Mr Trump de ne pas prolonger sa démarche de paix auprès de Mr Poutine qui a déclaré qu’il n’y avait pour la Russie aucune alternative à la poursuite de la guerre. Réagissant comme un amoureux éconduit, le président Trump a encouragé l’Ukraine à poursuivre son combat avec l’aide européenne qui lui fournira des armes achetées à l’Amérique. En image, comme Ponce Pilate, il s’est lavé les mains et souhaite bonne chance aux belligérants.
Dans la semaine qui vient de s’écouler, un fait divers vient de témoigner du fait que les démons célestes retenus sont relâchés par Dieu et ses saints anges. En effet un jeune garçon de 14 ans a frappé au couteau sa professeure de musique âgée de 60 ans. Quand la police est intervenue pour l’appréhender, il s’est frappé lui-même de plusieurs coups avec son couteau. Ce garçon était connu comme étant bizarre selon les élèves qui le connaissaient. Or, ce type de comportement bizarre n’est que le symptôme qui caractérise des créatures possédées par les démons rebelles célestes qui agissent en eux et par eux. Victime de leur incrédulité, les Occidentaux sont combattus par des ennemis d’autant plus redoutables qu’ils ne croient pas à leur existence. Là, est la vraie faiblesse du combat humain car le mal est dans leurs esprits, actif et ignoré. Là encore, se trouve la cause des mauvaises relations humaines et des peuples de toute la terre. Le président Trump dirige une puissante nation terrestre mais il reste la marionnette manipulée par Dieu et le diable parce qu’il doit favoriser le désastre de la « sixième trompette », alors qu’il ne souhaite qu’établir la paix sur la terre. La stratégie du Dieu tout-puissant est étonnante ; il n’y a que lui qui puisse provoquer la guerre par un désir de paix. Mais c’est bien le cas, car c’est ce refus américain de s’engager militairement en Ukraine qui va favoriser l’offensive menée sous peu par la Russie contre les forces européennes de l’OTAN.
Aujourd’hui Vendredi 26 Septembre 2025, interrogé au sujet de la réaction de la Russie si l’un de ses avions était pris en faute de violation de l’espace aérien de l’OTAN et qu’il était abattu, l’ambassadeur de la Russie a déclaré : ce sera la guerre.
Ainsi, cette déclaration venant après celle du président Macron partisan de monter dans l’escalade pour faire peur à la Russie, le processus qui conduit vers le fatal affrontement se construit étape par étape. Il suffira donc de détruire un seul avion russe pour déclencher la grande offensive de cet « ours » que dans son dépit amoureux, Donald Trump a suggéré qu’il n’est peut-être qu’un « tigre de papier ». Mais que vaut l’appréciation d’un commerçant devenu président des USA ? Toutefois, cette moquerie peut donner à la Russie vexée un désir offensif qui lui manque encore et que Dieu prophétise en disant dans Ezéchiel 38:3-4: « Tu diras : Ainsi parle le Seigneur, YaHWéH : Voici, j'en veux à toi, Gog, Prince de Rosch, de Méschec et de Tubal ! Je t'entraînerai, et je mettrai une boucle à tes mâchoires ; je te ferai sortir, toi et toute ton armée, Chevaux et cavaliers, tous vêtus magnifiquement, troupe nombreuse portant le grand et le petit bouclier, tous maniant l'épée ; » Comme beaucoup de gens et d’officiers européens arrogants, Mr Trump sous-estime la force guerrière de la Russie, parce qu’elle ne parvient pas à prendre le reste des terres des oblasts déjà conquis. Or, la guerre menée contre l’Ukraine est particulière en raison du déséquilibre de l’armement des deux nations. L’Ukraine n’a rien, et la Russie a tout, mais ce qu’elle a n’est pas adapté pour combattre sur une ligne frontale de terres qu’elle veut récupérer en bon état pour les occuper. Dans le cas contraire, l’usage du napalm et des bombes incendiaires à fragmentation écraserait la résistance ukrainienne et détruirait ses tranchées et ses positions de tirs cachées dans les bosquets et les forêts. C’est avec de telles armes que la Russie a détruit la ville de Marioupol au début du conflit. Mais il est aussi vrai que l’aviation russe est plus vulnérable aujourd’hui qu’à l’époque. Dans son offensive portée contre l’OTAN et l’U.E., la Russie n’utilisera pas ses armées de la même manière car il ne s’agira plus de « l’opération spéciale » menée contre des frères rebelles traîtres envers l’alliance de l’Est, mais néanmoins, des frères slaves.
La motivation de cette guerre ne sera pas la conquête des terres mais l’écrasement de l’arrogance occidentale. Et les armes utilisées seront les sous-marins, les navires, les avions de chasse et les bombardiers dont le Mig-31 qui vole à trois fois la vitesse du son qui est de 1200 km/h.
Le Jeudi 25 Septembre 2025, Les juges du tribunal financier de Paris a rendu sa réponse concernant le jugement de l’affaire lybienne de l’ex président français Nicolas Sarkosy. Faute de preuve concrète concernant l’argent reçu du Colonel Kadhafi, se basant sur des constatations qui confirment une démarche par ses deux collègues, le tribunal a condamné l’ex président au motif « d’association de malfaiteurs ». Pour ce délit il vient d’être condamné à 5 ans de prison avec exécution provisoire ; ce qui fait réagir tous ses soutiens médiatiques. Toutes les chaînes info, et en France il y a en a quatre, font de ce sujet le thème de leur débat. Il est vrai que la condamnation à la prison d’un ancien président de la 5ème République est un fait nouveau.
Mon regard spirituel sur ce sujet me porte à voir là, une intervention divine spécifique. Car autant Dieu est juste autant ce président s’est montré injuste et traître envers les électeurs français qui l’ont élu. Il est dissimulateur et a pris le risque d’enfreindre la loi française en utilisant le nom Paul Bismut et un téléphone à carte forfaitaire anonyme pour obtenir des renseignements de son avocat, allant jusqu’à tenter de manipuler une personne influente.
Son mandat présidentiel a été marqué par trois actions décevantes.
La première : ce fut sa déclaration de passer au « Karcher » la banlieue pour la « débarrasser de sa racaille ». Et il n’a rien fait dans ce sens.
La seconde : ce fut de faire adopter par l’assemblée législative par le traité de Lisbonne, la Constitution européenne rejetée par le vote du peuple français consulté légitimement à ce sujet. Il a trahi ainsi, les Français, la France et la République française.
La troisième : il a attaqué la Lybie du colonel Kadhafi alors que celui-ci se présentait comme protecteur de la France contre l’islamisme terroriste intégriste qu’il combattait à l’Est de son pays. Avec l’Angleterre il a frappé l’armée de Kadhafi jusqu’à ce qu’il soit tué par ses adversaires.
Son mandat présidentiel a été calamiteux et a témoigné de la malédiction divine qui pesait sur la nation France et sa population. Car les présidents qui lui ont succédés ont prolongé et amplifié ses décisions destructrices ; ceci jusqu’à Emmanuel Macron, le jeune homme ambitieux qui avouait, lui-même, n’avoir ni expérience ni maturité, mais dont l’action a démontré le cynisme et l’entêtement autiste. La malédiction divine est aujourd’hui confirmée étant devenue évidente par la situation financière catastrophique du pays endetté de quelques 3600 milliards d’Euros et l’incapacité de sa gestion politique à cause de l’impossibilité de construire une majorité présidentielle. Mais la malédiction de la France est un héritage séculaire qui remonte à sa première monarchie, au temps de son premier roi Clovis 1er, responsable du soutien militaire donné au régime papal de Rome.
M64- Sanctifié un jour, sanctifié toujours
J’ai déjà traité le sujet de la sanctification dans mes messages, mais uniquement dans le sens de sa perfection divine. Ceci me conduit à reprendre aujourd’hui ce thème sous l’angle de sa signification complète.
Nous lisons dans Hébreux 12:14 : « Recherchez la paix avec tous, et la sanctification, sans laquelle personne ne verra le Seigneur. »
L’Esprit ne dit pas dans ce verset que la sanctification permet de voir le Seigneur, subtilement, il nous la présente comme étant indispensable pour le voir. En fait qu’est-ce que la sanctification ? En synthèse des exemples donnés dans la sainte Bible est sanctifié tout ce que Dieu sanctifie ; qu’il s’agisse d’hommes, de biens, et de vases et autres ustensiles sacrés utilisés pour le service de Dieu.
Après la sanctification du sabbat du septième jour, sanctifié au repos, le meilleur exemple de sanctification est celui des vases utilisés pour le service religieux du sanctuaire hébreu. Pour avoir ignoré l’existence de leur sanctification, après avoir utilisé de manière profane les vases d’or du service hébreu, le roi Beltshatsar, petit-fils du roi Nébucadnetsar, fut tué la nuit-même de son forfait. Dieu le livra à Darios le Mède avec sa ville Babylone. Avant qu’il meure une main mystérieuse a écrit sur un mur les mots chaldéens traduits par : compté, compté, pesé, divisé. Ce roi païen venait de commettre un sacrilège qui nous permet de comprendre ce qu’est la sanctification des hommes ou des vases. Ainsi se justifie le titre de ce message : sanctifié un jour ; sanctifié toujours.
Tout ce que Dieu déclare être saint est sanctifié pour toujours. Mais pour un être humain, être saint ne signifie pas être parfait, parce que l’homme est sanctifié par la chose sanctifiée qu’il touche. Alors que la perfection dépend elle de son état mental et de son comportement soit, de ses œuvres.
Ce qu’Hébreux12:14 nous exhorte à rechercher est donc la conformité à la sanctification prescrite par Dieu. Car seule, cette conformité permettra de voir le Seigneur. Et cette sanctification constitue la vérité dont Jésus-Christ présente en sa chair et son esprit, le modèle parfait, humain et divin. C’est l’imitation de ce modèle qui nous est présenté qui doit ainsi être recherchée par les vrais élus rachetés par Jésus-Christ. Sous cette norme, ils sont alors jugés dignes de la grâce présentée en Jésus-Christ et peuvent être sauvés par son sacrifice expiatoire.
La sainte Bible est sanctifiée par Dieu puisqu’elle présente sa parole, ses ordonnances, ses préceptes, ses commandements et ses lois.
Il existe donc une autre sanctification de fait qui ne conduit pas au salut à cause de la désobéissance volontaire humaine. L’être humain se sanctifie lui-même par le choix de revendiquer le titre de serviteur du Dieu vivant, l’unique Dieu créateur. Le modèle donné en exemple dans l’histoire humaine est le peuple hébreu nommé Israël comme son patriarche Jacob que Dieu renomma Israël ; ce qui signifie : vainqueur avec Dieu. Mais vainqueur un jour ne l’est pas toujours alors que sanctifié un jour l’est toujours. Et la sainte Bible confirme cette vérité, en nommant « saints » le peuple qu’il châtie pour sa désobéissance jusqu’à sa destruction.
Dès le livre de Daniel, l’Esprit confirme la persistance de la sainteté de fait en citant deux types de saints. Il dit dans Daniel 7:18 : « mais les saints du Très Haut recevront le royaume, et ils posséderont le royaume éternellement, d'éternité en éternité. »
Cette précision, « les saints du Très Haut » désigne les vrais élus rachetés par le sang de Jésus-Christ.
Versets 21-22 : « Je vis cette corne faire la guerre aux saints, et l'emporter sur eux, jusqu'au moment où l'ancien des jours vint donner droit aux saints du Très Haut, et le temps arriva où les saints furent en possession du royaume. »
Dans ce verset « la guerre est faite aux saints », les justes et les injustes. Mais le salut n’est obtenu que par les « saints du Très-Haut ».
Verset 25 : « Il prononcera des paroles contre le Très Haut, il opprimera les saints du Très Haut, et il espérera changer les temps et la loi ; et les saints seront livrés entre ses mains pendant un temps, des temps, et la moitié d'un temps. »
Là encore, les premiers « saints » cités sont « les saints du Très haut » ; les Rome impériale et papale les persécutent à ce titre, tandis que les seconds, « livrés » à la domination papale romaine, ne sont que « les saints » maudits pour leur désobéissance, étant les héritiers des mensonges catholiques romains.
Verset 27 : « Le règne, la domination, et la grandeur de tous les royaumes qui sont sous les cieux, seront donnés au peuple des saints du Très Haut. Son règne est un règne éternel, et tous les dominateurs le serviront et lui obéiront. »
Je relève le fait que chaque fois qu’il est question du salut obtenu, l’Esprit précise : « les saints du Très Haut ».
Il en est de même dans Daniel 8:13 :
« J'entendis parler un saint ; et un autre saint dit à celui qui parlait : Pendant combien de temps
s'accomplira la vision sur le sacrifice perpétuel et sur le péché
dévastateur ? Jusques à quand le sanctuaire la sainteté et l'armée
seront-elles foulées ? »
Dieu met en scène deux « saints » dont les rôles vont être révélés dans Daniel 12:5 : « Et moi, Daniel, je regardai, et voici, deux autres hommes se tenaient debout, l'un en deçà du bord du fleuve, et l'autre au delà du bord du fleuve. » Il s’agit de deux « hommes » concernés par la sanctification divine à l’heure de la sanctification réalisée par les épreuves de foi adventistes de 1843 et 1844. Les vainqueurs obtiennent la pratique du sabbat du septième jour, restaurée au titre de signe de leur sanctification reconnue par Dieu.
Les épreuves de foi adventistes s’achèvent en faisant deux camps opposés dans l’absolu : les vainqueurs et les vaincus soit deux types de sainteté qaui ont pour signe d’identification le dimanche romain pour la fausse sainteté et le repos sabbatique du septième jour pour la vraie sainteté, mais seulement jusqu’en 1994, date où ce seul repos sabbatique ne suffit plus pour désigner la vraie sainteté ; ceci, parce que les vrais élus doivent se distinguer par leur intérêt pour la parole prophétique présentée comme base d’une nouvelle épreuve adventiste en cette date 1994. En ne reproduisant pas le témoignage d’amour pour la vérité prophétique démontré par ses pionniers en 1843 et 1844, l’adventisme institutionnel de 1991-1994 se disqualifie lui-même envers Jésus-Christ qui le « vomit » selon Apocalypse 3:16 : « Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n'es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche. ».
Au fil du temps, les aspects des saints se sont multipliés. Les premiers ayant été les Juifs de l’ancienne alliance. Après eux, d’autres saints, chrétiens cette fois, ont contribué à rendre encore plus confus le plan salvateur de Dieu.
Dans ses révélations, l’Esprit distingue les faux saints de l’institution catholique romaine papale qui les domine. C’est pourquoi, il cible toujours la ville de Rome, historiquement, successivement impériale puis papale. Il la désigne sous le nom symbolique de « Babylone la grande » en raison de sa grande ressemblance avec la « Babylone » chaldéenne païenne en laquelle sa gloire a été révélée par la venue de son peuple saint déporté en punition collective nationale. C’est là, la raison de cette comparaison : les saints vrais et faux habitent dans les deux Babylone. Mais alors que Nébucadnetsar, le roi de la « Babylone » païenne, s’est converti au vrai Dieu sans que son peuple se convertisse, le roi papal présente un aspect mensonger de la religion chrétienne. Le nom « Babylone » reste donc synonyme de paganisme condamné par Dieu ; ce qui le conduit à exhorter ses élus à « sortir du milieu d’elle » selon Apocalypse 18:4 : « Et j'entendis du ciel une autre voix qui disait : Sortez du milieu d'elle, mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés, et que vous n'ayez point de part à ses fléaux. » Et je rappelle que le nom « Babylone » signifie : là où est Bel, le diable, Satan. L’invitation à « sortir d’elle » est donc plus que justifiée.
La religion catholique romaine est dominée par son chef papal. Elle se donne pour but de reproduire la forme de la domination juive de l’ancienne alliance et c’est ce que Dieu révèle et dénonce dans Apocalypse 11:2 : « Mais le parvis extérieur du temple, laisse-le en dehors, et ne le mesure pas ; car il a été donné aux nations, et elles fouleront aux pieds la ville sainte pendant quarante-deux mois. » Qui sont ces « nations » qui « fouleront aux pieds la ville sainte pendant quarante-deux mois » ? Les nations chrétiennes infidèles qui foulent aux pieds la véritable sainteté divine et ceux qui la représentent pendant tout le règne papale de 1260 années réelles soit, entre 538 et 1798.
Maintenant, en notre temps du 30 Septembre 2025, une autre interprétation littérale de ces faits va concerner la ville sainte juive nommée Jérusalem. Car le contexte actuel est celui de la « sixième trompette » qui a commencé le 7 Août 2025 et va s’achever par les derniers échanges nucléaires le 18 Janvier 2029.
En fait, plusieurs accomplissements successifs sont évoqués dans ce chapitre à cause de la répétition et la reproduction des situations établies.
La première interprétation cible le règne papal de 1260 années à la fin duquel s’est présenté l’athéisme français de « la bête qui monte de l’abîme ». Mais depuis 1843, les chutes spirituelles successives des protestants puis des adventistes apostats ont reproduit une guerre menée contre les « deux témoins » bibliques de Dieu. Et en second accomplissement, nous sommes entrés dans le temps de la nouvelle « bête qui monte de l’abîme » désignée cette fois par la Troisième guerre mondiale de la « sixième trompette ». Or, notre actualité le prouve, Israël et sa ville sainte Jérusalem tiennent un rôle majeur dans la tension internationale actuelle. Et puni pour son incrédulité, Israël reste encore aujourd’hui un peuple saint qui vit dans une ville sainte puisque la sainteté ne disparaît que dans la destruction du sujet sanctifié.
Il ressort de tout cela, que les accomplissements prophétiques sont à la fois littéraux et spirituels. Le 29 Septembre 2025, aux USA, Donald Trump a convaincu Benjamin Netanyahou, le premier ministre israélien, de mettre fin au conflit de Gaza selon un plan qu’il a présenté. Ce projet n’a aucune chance de tenir dans le temps parce qu’il s’oppose par son désir de paix au désir de mort exprimé par Jésus-Christ dans sa « sixième trompette ». De plus le projet présenté exige l’acceptation des conditions imposées par les combattants du Hamas palestinien, et tout autant par les fanatiques juifs sionistes. Ce qu’il faut relever dans cette initiative, c’est la croissance de l’engagement personnel de Donald Trump qui veut à tout prix imposer la paix partout où il y a la guerre. Et l’espérance de paix que fait naître ce nouveau projet va encore plus « irriter les nations » de la terre, quand son échec programmé va être constaté. Et ce destin est prophétisé dans Apocalypse 11:18 : « Les nations se sont irritées ; et ta colère est venue, et le temps est venu de juger les morts, de récompenser tes serviteurs les prophètes, les saints et ceux qui craignent ton nom, les petits et les grands, et de détruire ceux qui détruisent la terre. »
La sainteté du peuple juif est marquée dans sa chair par le signe charnel de la circoncision ordonnée par Dieu à Abraham. La sainte Bible témoigne qu’il a circoncis ses deux fils, l’aîné Ismaël et le plus jeune, Isaac. La conséquence est que la descendance d’Ismaël aujourd’hui convertie à l’islam, est une autre forme religieuse de la fausse sainteté. Et ce qui est à relever, c’est que les prophéties bibliques de Daniel et Apocalypse ne mettent en scène que les peuples juifs, chrétiens et musulmans. Car dans Daniel 11:40, le « roi du midi » est musulman, de même le « roi du septentrion » russe est, lui, chrétien et orthodoxe, dominateur déjà dans son pays sur des peuples musulmans.
Mais ces fausses saintetés partagent le statut spirituel des Juifs que Jésus révèle clairement dans son Apocalypse en disant à leur sujet, à ses serviteurs fidèles : « Je connais ta tribulation et ta pauvreté (bien que tu sois riche), et les calomnies de la part de ceux qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui sont une synagogue de Satan. » Apocalypse 2:9. Ce statut spirituel est confirmé dans Apocalypse 3:9 : « Voici, je te donne de ceux de la synagogue de Satan, qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui mentent ; voici, je les ferai venir, se prosterner à tes pieds, et connaître que je t'ai aimé. »
Dans les révélations prophétiques, Dieu ne nomme ou n’évoque ni la Chine ni l’Inde malgré leurs énormes populations terrestres. Il ne cible que les nations où la foi monothéiste est entrée et plus ou moins pratiquée. Mais le chemin qui mène au ciel passe uniquement par la foi au sacrifice volontaire de Jésus-Christ, « l’agneau de Dieu qui ôte les péché du monde », mais encore, que ceux des élus sélectionnés par Dieu lui-même. Ce sont là les seuls vrais « saints du Très Haut ».
Comme l’encre indélébile, la sainteté est ineffaçable et permanente. Mais il en est de même de la liberté qui est un principe pour lequel Dieu a créé l’homme. La liberté n’est donc pas l’exception mais la norme de la vie que Dieu veut offrir à ses élus rachetés par Jésus-Christ.
D’une manière générale, l’humanité ne comprend pas ce principe de la liberté, parce qu’elle l’analyse dans le mauvais sens. Elle prend l’esclavage comme norme de base et pense pouvoir arracher et construire une liberté idéale qui va offrir à l’humanité le bonheur et le nirvana objets de tous les fantasmes les plus divers. La base étant fausse, le résultat final ne peut qu’être faux.
Seule la foi révélée par Dieu permet d’analyser la liberté dans le bon sens. Pour Dieu cette liberté est indispensable pour sélectionner ses élus ; de plus, seule la liberté permet à ses adversaires et ses ennemis de s’identifier par leurs œuvres, pour ce qu’ils sont réellement. L’histoire humaine est une longue continuité de 6000 ans d’œuvres humaines produites par leur liberté incessamment perdue puis retrouvée, et de nouveau perdue, et encore, retrouvée…etc. La liberté pose le problème de la poule et l’œuf de l’interrogation posée par Christophe Colomb. Qui a été créé en premier, l’œuf, ou la poule ? La foi éclairée répond avec certitude : la poule. Et je précise que l’œuf avait besoin d’elle pour être fécondé. Et de même, l’humanité se trompe en croyant qu’elle fait avancer et croître la liberté alors qu’elle la restreint au fil du temps.
Ainsi, sortant de l’esclavage monarchique et catholique papal romain, la population française s’est offerte au prix d’un terrible bain de sang monarchiste et religieux, une liberté entière absolue dans laquelle l’interdit était l’ennemi et son idéologie qui justifiait ses privilèges de classe.
Le despotisme étant écrasé, la vie collective des révoltés a imposé l’établissement de règles et de lois qui ont eu pour effet de restreindre la liberté conquise, obtenue jusque là. Et de République en République, la France n’a toujours pas réussi, dans la cinquième, a construire le régime idéal. La vie collective rend nécessaire des restrictions de liberté selon la définition que les Républicains lui ont donnée : La liberté des uns s’arrête là où elle gêne celle des autres. Sur une base égalitaire absolue, ce principe peut fonctionner ; mais la France républicaine a perdu son égalitarisme depuis sa Deuxième République et son régime reposant sur une confrontation perpétuelle de deux chambres législatives, l’Assemblées de députés et celle du Sénat, prolonge le combat des deux classes opposées que sont les pauvres et les riches. Et ces différences se sont atténuées avec le temps qui a favorisé l’élection de députés de plus en plus riches. La cause des vrais pauvres est donc très mal défendue.
Avec ses propres inconvénients et faiblesses, la France républicaine avait jusqu’en 1970 environ l’avantage d’avoir conservé son indépendance. Mais la mise en œuvre de l’union européenne lui a fait perdre ce dernier avantage. A ses propres lois nationales, se sont ajoutées les lois européennes qui prévalent sur elles. Des lois de confort et de sécurité étouffent la liberté des gens et paradoxalement, les mêmes élites dirigeantes construisent des cohabitations multiethniques dont les conséquences sont la croissance de la délinquance, de l’insécurité, et de la criminalité.
Ainsi rêvant d’une liberté idéale, les Occidentaux se retrouvent en liberté presque surveillée comme c’est déjà le cas en Chine, et comme ce fut le cas dans les pays de l’Est. Et c’est aussi le cas pour la sainteté construite par les humains ; désirant obtenir le statut de la sainteté, ils se retrouvent aujourd’hui frappés par l’inévitable malédiction de Dieu en Jésus-Christ.
Confirmant les annonces de l’apôtre Paul dans sa lettre à Thimothée, la jeunesse actuelle est rebelle, non seulement envers ses parents, mais aussi, envers les autorités des services des gendarmes et de la Police. Des jeunes attaquent les gendarmes, les pompiers, les médecins. Voici l’explication de ces actions : un vrai fils du pays France peut contester l’autorité, mais ne peut pas l’attaquer. Et l’attaque contre ces autorités nationales ne peut être portée que par un ennemi de la nation. Or, dans leur raisonnement humaniste, les élites politiques et judiciaires ne sont pas prêtes à comprendre que des enfants issus de l’immigration étrangère, et principalement maghrébine, peuvent être devenus des ennemis mortels. Cependant, cette leçon a été donnée par l’histoire qui témoigne du soulèvement constant des descendants héritiers contre les ennemis de leurs pères.
Dieu savait si bien que ce principe est inévitable, qu’il n’a pas hésité à ordonner et à mettre en action l’extermination de la population de la terre de Canaan dont les œuvres abominables étaient inguérissables.
En ce Jeudi 2 Octobre 2025, tous les Occidentaux subissent les conséquences de leurs fausses conceptions de la sainteté et de la liberté. Authentique fruit de l’égoïsme orgueilleux du diable, l’idéologie capitaliste a ruiné les peuples et sur-enrichi une classe financière dominante. L’adoption d’internet est la clé de cette situation. Au cours de l’histoire, les serfs ont servi les seigneurs et les maîtres, les ouvriers ont enrichi les patrons, et regroupés en syndicats, les ouvriers ont enrichi les actionnaires dispersés sur toute la terre. Séduits par les prêts des fonds de pension américain, des patrons ont été ruinés et leurs entreprises ont été revendues par ces fonds de pension aux plus offrants de leurs concurrents étrangers.
Depuis 1945, la France a connu deux périodes successives opposées ; la première étant celle des « trente glorieuses » soit, des trente années de son relèvement économique et de son infrastructure, ses ruines de guerre, et son économie. Ces trente années se sont achevées en 1975. Et si l’on tient compte du fait que la France fut libérée entièrement dès 1944, cette trentième année cible l’année 1974 en laquelle son économie a subi une brutale augmentation du prix de la vie de 40 % à cause du « choc pétrolier ». L’année 1974 a été celle du début de l’endettement national de la France. En 1976, à la demande de Mr Martin Bouygues entrepreneur de l’habitat soutenu par le parti gaulliste de droite, sous la présidence de Mr Valéry Giscard d’Estaing, Mr Jacques Chirac a fait adopter par l’Assemblée législative la loi du regroupement familial des immigrés étrangers en 1976. Le choc arabe a pris donc au même moment ces deux formes : indépendance et prise de possession par les émirats arabes des terres et des gisements de pétrole et de gaz, et la mise en route de l’installation permanente de l’islam dans la France métropolitaine. Les années 1974 et 1976 sont donc fondamentales pour comprendre le processus qui a construit la situation française actuelle. En fait, ce qui était supportable dans l’opulence économique et financière est devenu insupportable et destructeur dans le temps de la ruine actuelle partagée par toute la population française.
Pour l’humanité rebelle, le résultat final obtenu est le même pour la religion et pour la vie civile profane. Refusant le modèle de vie religieuse parfait démontré par la vie exemplaire de Jésus-Christ, l’humanité finit victime des escrocs religieux qui ont prospéré à ses dépens. Egalement, refusant la norme de la vraie liberté égalitaire, les mêmes gens finissent ruinés par les escrocs financiers qui se sont enrichis à leurs dépens.
C’est donc uniquement dans la norme de la vraie sainteté parfaite que l’homme peut trouver et obtenir la norme parfaite de la liberté égalitaire qui ne peut être que limitée, mais, volontairement et en connaissance de cause et de nécessité.
Dans l’actualité mondiale, cette semaine, la France a arraisonné un cargo de la flotte fantôme russe lors de son passage en face de Saint-Nazaire. Il a été soupçonné d’être à l’origine de l’apparition de drones dans le ciel nocturne du Danemark. Les dirigeants européens se sont réunis et ont décidé d’entraver, par divers moyens, la libre circulation de quelques 600 à 1000 cargos transporteurs du pétrole russe. Là encore, le dictat des lois occidentales imposé à des nations qui ne reconnaissent pas cette autorité, ne peut que provoquer la colère des pays entravés, la Russie et ses clients mondiaux. La Russie va donc devoir prendre des mesures pour sécuriser, par une surveillance militaire appropriée, les cargos qui transportent sa production de pétrole et de gaz : l’escalade vers le drame s’accentue.
M65- Le grand désenchantement
Pendant 80 ans, en France, le problème qui a dominé a été celui de la juste répartition des salaires. Alors que le pays était en forte croissance économique et financière régulières et que l’offre d’emploi était supérieure à la demande, les ouvriers obtenaient, par des grèves, les augmentations de salaire et de confort social qu’ils réclamaient de la part de leurs patrons. Mais la hausse de salaire consentie était immédiatement reportée sur le prix de vente des produits fabriqués et des services vendus. En conséquence, le prix de la vie augmentant, au bout de quelques temps une nouvelle grève s’imposait. La vie industrielle était ainsi soumise à une escalade permanente qui donnait à l’argent et aux monnaies nationale un pouvoir d’achat de plus en plus réduit. Plus le salaire augmentait, plus le pouvoir d’achat et la capacité de vendre se réduisaient.
Ce type d’escalade aurait pu durer encore très longtemps, car rien ne justifiait son arrêt. La situation était la même dans tous les pays de l’Europe occidentale soumis aux mêmes normes de vie. Cependant, l’escalade a été stoppée, parce que la situation professionnelle s’est inversée en France à partir de l’année 1981 où la construction européenne a pris une extension durable. En se livrant aux règles européennes, la France a été confrontée à une concurrence redoutable. Son économie était victime de lourdes charges que sa concurrente, l’Allemagne de l’Ouest n’avait pas. Le régime français très social prenait en charge une immigration musulmane maghrébine et africaine, alors que ses emplois disparaissaient. Car l’intérêt européen lui faisait fermer ses usines parce qu’elles produisaient pour un coût supérieur à l’offre étrangère. En premier, l’industrie textile s’est effondré victime des importations asiatiques. Puis ce fut le tour de la sidérurgie qui tua l’emploi de l’Est de la France, et l’entrée de la Chine dans l’OMC a achevé cette destruction en remplaçant toutes les productions françaises incapables de soutenir sa concurrence.
En 1930, le génial Charlie Chaplin a réalisé un film qui tourne en dérision la production en chaîne industrielle, le titre étant : « les temps modernes ». Les gags somptueusement exagérés présents dans ce film présentaient néanmoins prophétiquement les grands excès négatifs des « temps modernes » robotisés à l’extrême. Longtemps le travail à la chaîne a été critiqué à juste raison pour son caractère abêtissant producteur de malades mentaux, bons clients des psychiatres et des psychologues. En effet, en créant la terre et ses habitants, Dieu n’a pas créé l’homme à son image pour en faire un robot humain asservi à des taches répétitives abrutissantes. Pour punir son péché, Dieu a livré l’homme à la rude activité agricole qui restait néanmoins favorable à sa santé physique et mentale. En entrant dans « les temps modernes », l’humanité allait construire le cadre de sa destruction finale, et ce cadre était l’industrialisation de la vie humaine. Ainsi, depuis 1850 environ soit, après 1843, l’année où la foi protestante de l’Amérique a été testée et jugée avant d’être livrée au diable, le destin final funeste s’est engagé en posant les bases de la vie industrielle. La machine à vapeur, puis l’électricité ont créé les humains robotisés contraints d’agir dans une cadence imposée. En inventant ses machines mécaniques, l’être humain s’est livré aux cadences imposées par des engrenages auxquels il doit obéir. Charlie Chaplin était bien un prophète sans le savoir, puisque dans une scène de son film, il est littéralement avalé par les engrenages de la machine sur laquelle il travaille.
Le travail est donc devenu rebutant, parce qu’il est devenu extrêmement désagréable. Et le besoin croissant de main d’œuvre a produit de grandes villes où se trouvaient les nouveaux emplois. La possibilité d’obtenir un salaire fixe a conduit les êtres humains à se livrer aux patrons des usines qu’ils ont ainsi enrichis et dont ils sont devenus entièrement dépendants. Un cycle infernal a ainsi construit une classe dirigeante riche et puissante qui s’est prolongée et transmise par ses héritiers jusque vers 1990. L’emploi industriel étant devenu nécessaire pour vivre, les ouvriers ne pouvaient que critiquer les normes les plus désagréables de certaines activités, mais le pire des emplois restait nécessaire et donc utile et légitimé.
L’humanité actuelle n’avait pas imaginé qu’il y avait pire que le pire des emplois ; c’est l’absence des emplois. Avec l’entrée de la Chine dans l’OMC, les entreprises françaises et autres ont mis fin à leurs activités, les unes après les autres. Et ce tissu industriel avait été tissé lentement au cours de plus de 150 années, progressivement, au gré des inventions successives humaines. Le résultat obtenu aujourd’hui est un grand désenchantement que je suis peut-être le seul et le premier à réaliser, parce qu’en dehors de moi et de mes frères et sœurs en Christ, les autres gens conservent encore, mais vainement, ce qu’ils ignorent, l’espérance d’un redressement de la mauvaise situation internationale et nationale actuelle. Car le dicton le dit : « Tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir ». Mais cet espoir n’est pas raisonnable, et ils ne le savent pas. Selon des informations médiatiques, les dirigeants européens sont convaincus qu’ils seront en guerre contre la Russie en 2030. Leur estimation repose sur leur évaluation de la capacité militaire de la Russie disent-ils, sujet sur lequel ils se trompent totalement. Ils se sont trompés depuis 2022 en croyant que la Russie pouvait être contrainte à renoncer à son projet concernant l’Ukraine. Et ils se contredisent constamment au sujet de Mr Poutine, le disant tour à tour, menteur, peureux, et chef mafieux, calculateur et despote. Pourtant je ne relève dans son action et ses paroles rien qui traduise la peur des forces occidentales de l’OTAN. Et au sujet de la date 2030 en laquelle ils estiment que la Russie pourrait les attaquer, je crois qu’ils ferment tous les yeux devant l’effroyable risque qu’il lance son attaque contre eux bien avant cette date. Cette position ne vise qu’à éviter d’effrayer les populations européennes sur lesquelles ils ont tous, collectivement, attiré la colère russe. En réalité, s’ils évoquent cette date 2030, c’est pour laisser croire qu’ils disposent de 5 ans pour se préparer pour affronter la Russie. Aussi, ce qu’il faut comprendre dans leurs paroles, c’est qu’ils espèrent tous que la Russie voudra bien attendre 5 ans avant de les attaquer : ceux qui parmi eux croient à l’existence de Dieu ou se souviennent brutalement de son existence doivent lui adresser leurs prières dans ce sens. Mais même dans ce cas, il est trop tard pour éviter le pire : la guerre nucléaire est officiellement annoncée depuis le Mercredi 6 Août 2025, date anniversaire du 6 Août 1945 où la première bombe atomique américaine a détruit la ville japonaise d’Hiroshima et ses 70 000 habitants. Or, les bombes nucléaires actuelles sont jusqu’à mille fois plus puissantes que cette première bombe. Et les dernières paroles adressées par le chef russe aux élites politiques occidentales sont : « Ne nous provoquez pas ! Jamais ! ». Il rappelle aussi que les choses finissent mal pour ceux qui osent le faire.
Les dirigeants occidentaux sont pris en tenaille par deux choses qu’ils redoutent et qui sont paradoxales : ils craignent d’apparaître peureux devant les populations européennes et redoutent que leurs propos et leurs actions arrogantes irritent de trop le camp russe. Certains, comme le président français Macron, dont l’orgueil est le plus fort, font des déclarations arrogantes, pour ne pas perdre la face devant les journalistes qui les interrogent publiquement. C’est donc leur orgueil qui alimente constamment l’escalade irritante fatale.
Sur toute la terre, il y a d’énormes besoins de produits de toutes sortes que des usines robotisées produisent en grandes quantités. Mais cette production a un prix qui, aussi bas soit-il, reste encore trop élevé pour certains êtres humains qui n’ont rien ou pas assez pour la payer. La surproduction devient cause elle-aussi d’un grand désenchantement. Car la mécanique bien graissée de la vie occidentale est aujourd’hui grippé et elle se bloque. L’absence d’emploi, crée le chômage et l’aide sociale qui l’accompagne, et ces dépenses sont portées par un nombre de travailleurs de plus en plus réduit. Les difficultés du pouvoir d’achat freinent le comportement consommateur des Français et l’Etat voit ses revenus diminuer au moment où ses besoins financiers augmentent pour répondre à ses multiples problèmes. Pas de doute à avoir, le Titanic européen ne peut éviter de couler tant ses cales sont envahies par des eaux destructrices.
Le président russe, Vladimir Poutine, traite avec humour, l’accusation que portent contre lui, les dirigeants et les médias européens, au sujet des mystérieux drones qui apparaissent le soir dans le ciel des aérodromes du Danemark, de la Pologne, et dernièrement, à Berlin en Allemagne. Certains se limitent à soupçonner la Russie d’être derrière ces faits, mais étant tous aveuglés par Dieu, personne ne pense à soupçonner l’Ukraine, bien que l’Allemagne a prouvé que des ressortissants ukrainiens aient été responsable de la destruction du gazoduc russe « Nord-Stream 1 » qui alimentait l’Allemagne pour son usage industriel et domestique privé. Il est évident que les dirigeants ou des ressortissants du peuple ukrainien tente de forcer la main des Européens pour les contraindre à engager leurs armées dans leur combat contre la Russie. Et je relève que le premier qui s’exprime en accusant la Russie est toujours son ennemi, Volodymyr Zelensky, quelques soient les faits. L’aveuglement des nombreux peuples européens ne peut avoir qu’une cause surnaturelle que la Bible désigne dans 2 Thessaloniciens 2:11-12 : « Aussi Dieu leur envoie une puissance d'égarement, pour qu'ils croient au mensonge, afin que tous ceux qui n'ont pas cru à la vérité, mais qui ont pris plaisir à l'injustice, soient condamnés. » Dans le passé, pour avantager son peuple Israël, Dieu a aveuglé l’esprit de ses ennemis au point de les faire s’entretuer entre eux, sans qu’il ait à agir lui-même. Mais cette « puissance d’égarement » peut aussi désigner l’instrument humain séducteur lui-même, dans l’ère chrétienne, le régime papal de Rome, et dans l’actualité, le président de l’Ukraine à l’œuvre depuis le 24 Février 2022. En faveur de cette interprétation, je relève que dans Daniel, un message analogue nous dit, dans Daniel 7:25: « les saints seront livrés …», et dans Daniel 8:12 : « l’armée fut livrée … » ; et « livrés » par qui et à qui ? Par Dieu, et au régime papal catholique romain en 538. Et dans le domaine de la séduction, celle qu’a démontrée le jeune président Zelensky est exemplaire : en témoignent ses multiples interventions télévisées adressées aux élites politiques de tous les pays occidentaux et retransmises sur toutes les ondes médiatiques.
Le grand désenchantement s’incarne particulièrement dans le personnage du nouveau président américain Donald Trump qui renverse tout ce que son pays a mis en œuvre avant sa présidence actuelle. La mondialisation du commerce libre détaxé a été imposée par ses prédécesseurs. Dans son retour à la présidence, Donald Trump restaure la protection de sa nation en imposant des taxes à tous ses concurrents mondiaux. La guerre de l’Ukraine a été encouragée par le président précédent Joe Biden. Là encore, revenant au pouvoir, Donald Trump, change l’engagement américain dans l’OTAN et retire sa force militaire, laissant les Européens seuls face à la Russie et ses alliés. Mais depuis son échec de paix espérée auprès de la Russie, il est prêt à vendre aux Européens toutes les armes qu’ils voudront bien lui acheter pour les donner à l’Ukraine. Donald Trump n’est pas un stratège militaire et il reste le commerçant devenu le président de la plus puissante nation de la terre. A ce titre, tel le « roi soleil » français, il est sollicité et flatté par ses alliés qui rivalisent entre eux, pour obtenir de lui quelques avantages particuliers, multipliant les formes d’une évidente dépendance économique et politique.
Comblé de richesses par sa profession, Donald Trump convoite le prix « Nobel » de la paix, déjà obtenu par le président Noir, Obama. Ce désir tourne à l’obsession. Et pour un homme aussi puissant, malheur à qui entrave son avancée vers l’obtention de ce prix Nobel de la paix. Le grand désenchantement que Dieu lui prépare va produire la destruction nucléaire finale. Ce disciple de la paix peut devenir extrêmement furieux et il peut prendre les décisions guerrières les plus extrêmes. Il est donc bien, l’homme qui prendra la décision de détruire la Russie par le feu nucléaire, lorsque celle-ci, aura détruite l’Europe et sa concurrence « arrogante ».
La « bête qui monte de la terre » d’Apocalypse 13:13, apparaîtra alors, pour accomplir les œuvres que Dieu lui a préparées, afin d’organiser la dernière épreuve de foi adventiste terrestre.
Dans le temps du sabbat du 4 Octobre 2025 soit, au soir du vendredi 3 Octobre, les palestiniens du groupe Hamas ont répondu affirmativement à l’ultimatum que le président Trump leur a adressé. Mais, la mise en œuvre du règlement du conflit va rencontrer des difficultés, car le Hamas accepte, mais en présentant des exigences non conformes aux conditions imposées par le plan américain. Le 7 Octobre prochain, deux ans se seront écoulés depuis le raid meurtrier du Hamas dans le Sud du territoire israélien. Hélas pour Mr Trump et tous ceux qui désirent la paix, il faut compter sur les fanatiques des deux camps du Hamas et des Israéliens, hostiles à cette paix forcée par l’Amérique, pour compliquer la situation, voire, l’empirer. Et pour leur part, les fanatiques israéliens peuvent provoquer ce pire en s’en prenant aux mosquées élevées sur le mont du temple hébreu détruit, dans Jérusalem, ou encore, en intensifiant la violence contre les Palestiniens de la Cisjordanie. Car, en dépit des souhaits humains, l’heure n’est pas à la paix, mais au contraire, elle est à la préparation des affrontements internationaux mondiaux. Dieu l’a confirmé à ses élus, ses prophètes, en leur faisant découvrir la date du Jeudi 7 Août 2025 à laquelle les « 3 ans et demi » soit, les 1260 jours de la « sixième trompette » ont commencé.
La grande mobilisation actuelle en faveur de la paix, alors que Dieu construit la guerre, donne sens à ce verset qui dit, dans 1 Thessaloniciens 5:3 : « Quand les hommes diront : Paix et sûreté ! Alors une ruine soudaine les surprendra, comme les douleurs de l'enfantement surprennent la femme enceinte, et ils n'échapperont point. » Je sais que ce verset concerne le contexte du vrai retour du Christ soit, le contexte de la dernière épreuve de foi adventiste. Cependant, une double interprétation est possible, car les situations spirituelles des contextes de la « sixième et de la septième trompette » sont très ressemblantes. Dans les deux cas, l’espérance de paix est énorme et évidente. En fait, ce sujet de la paix désirée est fondamental. Et il est probable que Dieu va laisser ses ennemis humains avancer très loin dans cet objectif, ceci, au point de les amener à croire qu’ils ont gagné et obtenu la paix que Donald Trump veut obtenir sur toute la terre. Les règlements des deux guerres menées en Ukraine et à Gaza peuvent donc être réglés et obtenus mais seulement pendant un temps très court ; juste le temps de créer l’illusion de la victoire de la paix. Mais immédiatement après ce temps illusoire, la guerre internationale reprendra dans toute son ampleur, en Europe et dans le monde entier.
Dans le plan de Dieu, l’expérience européenne et mondiale de la « sixième trompette » prophétise le grand désenchantement qui sera vécu universellement par les rebelles des derniers jours marqués par la « septième trompette ». Aussi quand Jésus-Christ paraîtra dans son indescriptible et inimitable gloire céleste divine, « une ruine soudaine les surprendra, comme les douleurs de l'enfantement surprennent la femme enceinte, et ils n'échapperont point. »
A la fin du septième millénaire, pour la deuxième « résurrection » réservée aux méchants rebelles, un dernier grand désenchantement est réservé. Ce sera alors que s’entendront « les pleurs et les grincements de dents » prophétisés par Jésus-Christ dans Matthieu 8:12, 13:42, 13:50, 22:13, 24:51, 25:30 et dans Luc 13:28.
Dans l’histoire humaine passée, la désillusion a été éprouvée par l’Israël de Dieu selon qu’il est écrit dans Jérémie 8:15 et 14:19 : « As-tu donc rejeté Juda, Et ton âme a-t-elle pris Sion en horreur ? Pourquoi nous frappes-tu sans qu'il y ait pour nous de guérison ? Nous espérions la paix, et il n'arrive rien d'heureux, un temps de guérison, et voici la terreur ! » A la lumière de ce texte, l’homme actuel apprend que Dieu « ne change pas », comme il l’affirme lui-même dans Malachie 3:6 où il a dit : « Car je suis YaHWéH, je ne change pas ; et vous, enfants de Jacob, vous n'avez pas été consumés. » Et je souligne, dans Jérémie 14:19, ce mot « terreur » qui caractérise, tout particulièrement, la « quatrième trompette » d’Apocalypse 8 présentée comme le « second malheur » qui désigne réellement sa seconde forme de la « sixième trompette » décrite dans Apocalypse 9 et dans laquelle nous sommes entrés depuis le Jeudi 7 Août 2025 : la nouvelle « terreur » est donc devant nous ; elle vient châtier l’impiété des populations européennes infidèlement chrétiennes.
M66- La dérive monarchique
Dans le message précédent, j’ai comparé le président Donald Trump au « roi soleil », le Louis XIVème du nom sous le régime duquel, la persécution des Protestants français a atteint son apogée. Le palais de Versailles qu’il a fait bâtir par l’architecte Le Nôtre est devenu célèbre dans le monde entier. Mais dès sa réalisation, il a fait des envieux parmi les têtes couronnées de l’Europe qui ont à leur tour plus ou moins reproduit le modèle.
Le soir même où j’ai comparé Donald Trump à Louis XIV j’ai appris par une chaîne info de la télévision française qu’à Washington, dans la Maison Blanche présidentielle, des travaux intérieurs étaient mis en œuvre pour répondre au désir du président Trump. Le « bureau ovale » présidentiel a reçu une décoration luxueuse faite d’or ; ce qui change considérablement son aspect. Et la salle de bal intérieure a été agrandie et décorée dans un style beaucoup plus luxueux. Elle pouvait recevoir quelques 600 convives et va pouvoir en recevoir 900. Voilà ce qui arrive quand un homme commerçant richissime parvient à se faire élire président.
Depuis le début de son histoire, l’Amérique des USA est dirigée depuis cette Maison Blanche située à Washington et ses locataires momentanés vivaient dans un grand confort sans tomber dans un luxe extrême. Ils se considéraient comme étant des serviteurs représentant de leur peuple. Comment expliquer ce brutal et soudain changement auquel nous assistons ? Pour répondre à cette question, nous devons survoler les faits accomplis dans les huit années qui viennent de s’écouler. De plus, la réponse n’est pas uniquement trouvable aux USA, mais principalement, en France.
Là, depuis des décennies, le président français s’installe dans le palais de l’Elysée ; une demeure héritée des fastes monarchiques. La décoration est très luxueuse et après la monarchie, la France républicaine a connu la domination impériale de Napoléon 1er Bonaparte. Favorisant le développement d’un style mobilier et vestimentaire dit « impérial », Napoléon s’est installé dans la richesse et le luxe. Et après lui, ce goût pour le luxe a été conservé et les riches du pays ont rapidement repris le contrôle de sa politique en créant la chambre des sénateurs, des gens politiques non élus par le suffrage universel du vote du peuple. Ils représentent la nouvelle richesse venue remplacée les anciens seigneurs de l’ancien régime monarchique. Cependant, la décision finale appartient à la chambre des députés élus par le peuple. Les sénateurs sont élus à vie et dans la chambre des députés si de nouveaux noms apparaissent, d’autres noms subsistent de génération en génération. Avec le temps, la République reproduit sous sa cinquième Constitution, l’image de cet ancien régime monarchique qui était avant la révolution représenté par la Noblesse, le Clergé, et le Tiers-Etat. Le changement principal qui est à relever est la disparition du clergé qui n’est plus officiellement représenté maintenant mais qui était bien présent sous le nom MRP au début de la 5ème République. Sa disparition témoigne de la croissance du désintérêt religieux des habitants français originaires du pays. Le régime de la laïcité est en cause, car la haine éprouvée par certains laïcs humanistes a, comme un levain, fait lever toute la pâte jusqu’à produire la nation laïque actuelle.
Le général Charles de Gaulle, marqué par un héritage familial de la noblesse, a occupé dignement le palais de l’Elysée qu’il quittait volontiers chaque fin de semaine pour regagner son château personnel situé à Colombey-les-Deux- Eglises. Là, il s’est retiré et s’est éteint après avoir perdu le soutien populaire. Ses successeurs sont venus s’installer les uns après les autres dans ce palais de l’Elysée dans lequel ils ont été changés en se retrouvant dans un luxe extrême et en étant doté du pouvoir extrême offert par la 5ème Constitution de la République présentée par le général de Gaulle. A vivre comme un prince, l’homme finit par se comporter comme un prince. Et ces deux critères que sont le pouvoir et le cadre de vie sont responsables de la dérive monarchique de la présidence française. On peut relever le fait que tous les présidents élus sous la 5ème République sont de riches héritiers des professions libérales, principalement des avocats et parmi les élus socialistes, après l’avocat François Mitterrand, des diplômés de l’ENA, l’Ecole Nationale de l’Administration. On compte trois présidents spécialisés dans la finance, porteurs d’une malédiction particulière : Successeur du général, Georges Pompidou est mort avant le terme de son mandat présidentiel, son successeur Valery Giscard d’Estaing subit le choc pétrolier de 1974, et le troisième est Emmanuel Macron, le président actuel en poste depuis 2017.
Le soir de son entrée officielle dans la présidence de la France, Emmanuel Macron choisit de se présenter au peuple de Paris dans le cadre du Louvre, l’actuel musée qui fut le palais des Rois français. Si ce choix témoigne de son goût favorable à la monarchie, je relève que ce choix prophétise la fin désastreuse de son règne présidentiel qui finira sous l’égide du musée. Mais, le Louvre n’est pas seulement devenu un musée, car depuis François Mitterrand on y entre par l’entrée de la Pyramide de verre qui a été construite sur la place située devant le palais. Et ce symbole du péché égyptien est venu confirmer le destin tragique de Paris dont Dieu a fait la cible de sa colère et qu’il va faire détruire par une bombe atomique russe dans le temps de la « sixième trompette » compris entre le Jeudi 7 Août 2025 et le Vendredi 17 Janvier 2029. Les « trois ans et demi » de cette « sixième trompette » ont été précédés par les « trois ans et demi » de la guerre russo-ukrainienne couvrant le temps compris entre le Jeudi 24 Février 2022 et le Mercredi 6 Août 2025.
Elu en 2017, le jeune président Macron a reçu avec tous les honneurs dus à son rang, le président Trump invité pour le défilé de la fête nationale du 14 Juillet. Dès cette rencontre, le président américain et le président français ont fraternisé et Donald Trump a découvert le faste monarchique dans lequel le jeune président français évoluait. Il a aussi beaucoup apprécié le défilé militaire et en a récemment instauré un à Washington tant l’idée l’a séduit. Il a pu admirer le faste séduisant de Versailles dans lequel le président français offre des diners somptueux à ses invités étrangers. Bref, ses voyages en Europe, lui ont fait rencontrer des rois et des reines qui vivent dans un luxe suprême. La vieille Europe est encore marquée par ses héritages séculaires des temps où les monarques et les seigneurs vivaient dans des palais luxueux sans cesse améliorés et adaptés à la mode du temps. De jour en jour, il apparaît que Donald Trump et Emmanuel Macron partagent le goût de la vie monarchique ; autant l’un que l’autre ; ce qui favorise leur entente.
Il y a longtemps que les journalistes français sont conscients de la dérive monarchique du régime républicain français, mais le peuple ne proteste pas contre cette chose et finalement tout le monde se tait à ce sujet. Cependant, ce président Macron se différencie énormément des présidents qui l’ont précédé. Il est très jeune pour l’emploi quand il est élu en 2017, et ses discours forcenés le rendent même un peu inquiétant. Il a cependant la chance d’être mis en concurrence avec la députée du Front National, Marine le Pen, héritière d’un parti politique haï, détesté et redouté par la population française victime d’une propagande acharnée semée par les partis de gauche et de droite qui se relaient au pouvoir. Ainsi, cette même situation le favorise en 2017 et en 2022. On a entendu dire par certains que face au Front National, même une chèvre serait élue. Mais droit dans ses bottes, le jeune président n’entend pas ce point de vue et veut rester convaincu d’avoir été choisi et élu par le peuple français. Sa jeunesse et son caractère personnel, visiblement cynique et très injuste, mais aussi ambitieux, entêté et orgueilleux, réserve au peuple français bien des surprises peu agréables. Mais relever ces choses permet de comprendre que si les hommes ne l’ont pas réellement choisi, ce n’est pas le cas de Dieu qui a voulu le donner pour président à la France laïque républicaine qui l’outrage constamment depuis des siècles et l’outrage de plus en plus depuis 1968 ; l’année où la jeunesse s’est révoltée en scandant des slogans et brandissant des pancartes sur lesquelles on lisait : « ni dieu ni maître » ; « il est interdit d’interdire ». Certains d’entre eux sont entrés plus tard en politique et ils ont fait de la France ce qu’elle est devenue : un pays ruiné, endetté, rebelle, désuni et multiethnique pour son malheur. J’ai souvent entendu dire par les députés et les ministres socialistes diplômés de l’ENA que l’immigration musulmane était une richesse pour la France et pas un problème. Ils auront dans quelques temps l’occasion de maudire leur position quand cette dite richesse s’engagera dans une lutte mortelle contre le pays qui a colonisé et soumis leurs pères. Ce genre de propos devient plus rare mais certains les tiennent encore malgré le témoignage rendu par les groupes islamistes du GIA, Al-Qaïda et Daesh. Mais pourquoi s’étonner ? Pharaon s’est-il remis en question, alors que les fléaux de Dieu le frappaient ainsi que son peuple et ses animaux ? Non, et bien eux non plus, ils ne se remettent pas en question, étant endurcis de cœur et d’esprit.
En France, la journée du Lundi 6 Octobre 2025 a été marquée par un fait exceptionnel : Le nouveau premier ministre nommé par le président Macron a présenté sa démission après environ 14 heures d’activité, le temps d’une seule nuit. Après avoir publié les noms des ministres de son gouvernement Mr Sébastien Lecornu a appris que Mr Bruno Retailleau son ministre de l’intérieur reconduit était démissionnaire. Plusieurs raisons ont été évoquées pour justifier cette démission : la première de ces raisons est qu’il a appris la nomination de Mr Bruno Lemaire sans avoir été averti. Or, ce Mr Lemaire était ministre de l’économie du premier gouvernement dissout avec la dissolution de l’Assemblée législative. Cet homme du parti LR avait déjà trahi ses partenaires et le peuple français, car avant la dissolution de l’assemblée il avait la connaissance de l’endettement abyssal du pays et en a gardé le secret à cause des élections. Ce qui fut aussi le cas du socialiste Pierre Moscovici, le gardien de la Cour des Comptes. La deuxième raison est que Mr Retailleau a réalisé que Mr Macron manipulait le gouvernement formé, et il ne peut plus supporter cette idée et exige maintenant un statut de cohabitation ; ce qui libère le premier ministre de sa soumission au président de la République.
Lorsque je regarde ces choses, je ne vois que des comportements normaux et légitimes dans chaque acteur concerné. Le président seul déroge à ses devoirs à cause de la haine qu’il voue aux deux partis politiques opposés à l’extrême, de droite et de gauche. Se plaçant au centre, le président et ses idées ne sont pas majoritaires. Et les élections lui ayant été défavorables, son devoir eut été de prendre pour premier ministre un homme choisi dans l’un des deux camps arrivés en tête. Mais son affect de haine pour les deux, le pousse à rechercher désespérément son premier ministre dans cette pensée centrale.
J’ai déjà souvent évoqué cette chose, mais je dois encore la rappeler et lui apporter des preuves bibliques. Des hommes normaux, instruits et diplômés sont devenus incapables de s’entendre pour adopter dans le compromis des décisions nécessaires pour la survie du pays France. Je réalise que Dieu reproduit actuellement, en France, ce qu’il a fait aux habitants de la tour de Babel construite par le roi Nimrod. Dernièrement, dans un discours, Donald Trump a présenté son réquisitoire contre la France, dénonçant son immigration incontrôlée et les conséquences qui en résultent. Après lui, Vladimir Poutine, en a fait autant, reprenant les propos tenus par Donald Trump ; voilà au moins un sujet sur lequel ils sont d’accord. Ces déclarations pleines de bon sens transmettent la pensée de Dieu qui les partage et les inspire. Et ces déclarations sont immédiatement suivies d’effets visibles relevables dans la France. Le rassemblement humain était la faute commise à Babel et par idéologie humaniste, la France est devenue le siège d’une pensée humaniste universaliste. A Babel, Dieu a rendu confuse la relation humaine en créant pour la première fois, des langues différentes. En ce début d’Automne, en France, Dieu aveugle les esprits de gens qui parlent la même langue, et il obtient les mêmes effets qu’à Babel, car ils ne se comprennent plus.
La confusion va sans cesse s’intensifier et
porter des conséquences dans tous les pays européens et même aux USA. La France
est située géographiquement au centre du monde et au centre de l’Europe
occidentale. Sa puissance est historiquement indéniable et ses rois ont tenus
des rôles de premiers plans tout au long de l’ère chrétienne. Mais cette gloire
était trompeuse car elle cachait la malédiction divine qui pesait lourdement
sur elle. Et la cause de cette malédiction était logiquement religieuse. Clovis
1er, le premier roi des Francs originaires de la Belgique actuelle a
soutenu par les armes la religion catholique romaine papale choisie par Dieu
pour punir, par sa dureté, l’infidélité chrétienne due à la déformation de la
doctrine apostolique de l’Evangile éternel. Sans ce soutien des rois Francs, le
régime papal catholique romain n’aurait pas pu subsister. Et il est important
de bien comprendre que ces choses ont été voulues par Dieu, non pour bénir, mais
pour maudire la religion catholique et ceux qui se réclament d’elle. Cette
explication est prophétisée dans Daniel 8:12 : « L'armée fut livrée avec le sacrifice
perpétuel, à cause du péché ; la corne
jeta la vérité par terre, et réussit dans ses entreprises. » Par
le mot « vérité », l’Esprit désigne la Parole de Dieu écrite, sa
sainte Bible « jetée par terre »
soit, renversée et remplacée par un ouvrage nommé « missel » dans
lequel sont écrits divers récits de la sainte Bible mais pas son contenu
complet, tel que Dieu l’a fait écrire successivement par des Juifs et des
Chrétiens authentiques, les apôtres de Jésus-Christ. Nous trouvons dans
Apocalypse 2:10, une durée prophétique de « dix
jours » soit, dix ans réels, dont le terme marque la date 313 du début
de l’apostasie chrétienne : « Ne
crains pas ce que tu vas souffrir. Voici, le diable jettera quelques-uns de
vous en prison, afin que vous soyez éprouvés, et vous aurez une tribulation de dix jours. Sois
fidèle jusqu'à la mort, et je te donnerai la couronne de vie. » Si ces
dix ans de persécution chrétienne sont cités dans la révélation divine de
Jésus-Christ c’est parce que ce sont les derniers dix ans de fidélité
apostolique obtenue par Dieu. A cette date 313, le nouvel empereur romain,
Constantin 1er, met fin aux persécutions exercées sur les Chrétiens
par son célèbre décret signé à Milan. Après cette date, le christianisme non
persécuté va produire en masse de fausses conversions qui vont le changer et le
rendre païen et ténébreux. Et profitant de son prestige de ville impériale,
Rome va offrir à sa communauté chrétienne, une influence supérieure aux autres
communautés dispersées dans l’empire romain. Pour autant Constantin délaisse
Rome et préfère vivre à Milan puis à Constantinople, beaucoup plus tard prise par
les Turcs qui l’appelleront Istanbul ; et avant Constantin, son nom était
Byzance.
La compréhension de la prophétie de Daniel et Apocalypse repose sur un principe très simple : Dieu condamne le mépris manifesté envers sa sainte Bible qui représente symboliquement ses « deux témoins » mis en scène dans Apocalypse 11:3 : « Je donnerai à mes deux témoins le pouvoir de prophétiser, revêtus de sacs, pendant mille deux cent soixante jours. »
Ce verset est d’une grande richesse spirituelle, car il confirme l’importance que Dieu donne au témoignage des « deux » alliances successives parce qu’elles sont inséparables et complémentaires. Ensuite, le choix de Dieu, de donner à la Bible persécutée une durée de temps prophétique de « mille deux cent soixante jours » soit, « mille deux-cent soixante » années réelles, reprend la durée du ministère terrestre de Jésus-Christ qui a été de « mille deux cent soixante jours » réels. Dieu met en comparaison les deux ministères de la Bible et de Jésus-Christ parce qu’il est venu en Christ poursuivre et « accomplir » pleinement le plan de salut que sa sainte Bible enseigne, en paroles et en images de multiples manières. La sainte Bible et Jésus-Christ sont, ainsi, mis au même niveau et les conséquences de leur mépris par les hommes seront aussi châtiées et punies de la même manière. Le message biblique est comme une langue étrangère céleste qu’il est donné seulement aux vrais « saints » de comprendre. Et ces vrais « saints » sont logiquement ceux qui honorent, autant l’un que l’autre, Jésus-Christ et la sainte Bible qui porte son témoignage au titre de « Père ».
En Occident, les gens ne sont pas conscients de l’immense privilège qui leur est donné de pouvoir lire individuellement la sainte Bible dans laquelle Dieu parle directement à chacune de ses créatures. Les gens se pressent pour voir ou entrevoir des célébrités terrestres aussi éphémères que l’insecte qui porte ce nom. Et paradoxalement, ils méprisent le Livre des livres inspiré par le « Roi des rois et Seigneur des seigneurs » qui tient leur vie et leur destin entre ses mains puissantes douces ou rugueuses selon le comportement de ses créatures.
La foi est un don de Dieu. C’est vrai, mais ce don est conditionné et offert à ses créatures qui font preuve d’intelligence, tout au long de leur vie. Et le devoir d’intelligence est un devoir que toute créature libre a envers elle-même, en priorité. Des multitudes de gens qui ne parlent pas la langue de Dieu font reposer leur engagement spirituel sur un zèle appliqué à la recherche de nouvelles âmes à convertir. A ces personnes, Jésus-dit : « Médecin, guérit-toi toi-même », avant de chercher à guérir les autres.
En effet, depuis l’an 313, la foi chrétienne est devenue aussi confuse que la vie dans Babel après la multiplication des langues. Sans l’appui biblique, chacun avait sa propre version de la religion chrétienne dont l’enseignement a été plus tard monopolisé par la religion catholique romaine. Au XVIème siècle, la publication de la Bible entière n’a été profitable qu’aux seuls élus de Dieu de l’époque soit, très peu de gens. L’histoire retient le témoignage de combats féroces que se sont livrés des fanatiques catholiques et protestants. Et la langue religieuse s’est encore élargie avec les différents courants du Protestantisme. Ainsi bien que séparés par des frontières réelles, les faux chrétiens ont reproduit une tour de Babel spirituelle qui prend aujourd’hui pour nom : « alliance œcuménique », patronnée par le catholicisme papal romain. Les membres de cette alliance ne parlent pas la même langue spirituelle mais trouvent juste de s’associer malgré tout. Ce comportement injustifiable les identifie comme cibles de la juste colère divine. Et à ce sujet, la sainte Bible présente dans Ezéchiel 9, une leçon qui est sur le point de s’appliquer pour punir cette Babel spirituelle faussement chrétienne.
Avant d’étudier Ezéchiel 9, des leçons préalables sont à relever dans Zacharie 11. Dans ce chapitre, Dieu résume ses expériences terrestres successives des deux alliances. Et il met en scène le processus qui conduit à la destruction les rebelles humains qui le méprisent, je retiens ici les versets suivants :
Verset 7 : « Alors je me mis à paître les brebis destinées à la boucherie, assurément les plus misérables du troupeau. Je prix deux houlettes : j'appelai l'une Grâce, et j'appelai l'autre Union. Et je fis paître les brebis. »
Verset 8 : « J'exterminerai les trois pasteurs en un mois ; mon âme était impatiente à leur sujet, et leur âme avait aussi pour moi du dégoût. » que je traduis par : « J’éliminerai les trois pasteurs en un mois et mon âme sera lassée d’eux et même, eux se sont lassé de moi »
Verset 9 : « Et je dis : Je ne vous paîtrai plus ! Que celle qui va mourir meure, que celle qui va périr périsse, et que celles qui restent se dévorent les unes les autres ! »
Dans Apocalypse 22:11, Jésus-Christ présente un message très ressemblant : « Que celui qui est injuste soit encore injuste, que celui qui est souillé se souille encore ; et que le juste pratique encore la justice, et que celui qui est saint se sanctifie encore. » Je rappelle que ce verset confirme les mots « sainteté justifiée » du verset 14 de Daniel 8, comme il m’a été donné de le rectifier. Ce message qui informe d’une fin de grâce est ainsi rattaché à mon ministère dans l’époque où l’adventisme institutionnel a été « vomi », soit, jugé et rejeté par Jésus-Christ ; ceci depuis l’année 1994.
Verset 10 : « Je pris ma houlette Grâce, et je la brisai, pour rompre mon alliance que j'avais traitée avec tous les peuples. »
La grâce citée ici désigne la grâce collective et individuelle qui cesse d’être proposée par Dieu aux pécheurs terrestres. Cette fin du temps de grâce est traitée dans Apocalypse 15. Et elle précède le temps des « sept derniers fléaux de la colère de Dieu », thème d’Apocalypse 16.
Verset 14 : « Puis je brisai ma seconde houlette Union, pour rompre la fraternité entre Juda et Israël. »
Venant après la fin du temps de grâce, cette action qui crée la désunion dresse les humains les uns contre les autres. Pour illustrer cette action finale, l’Esprit prend pour support les tribus juives de Juda et Israël dont la désunion et la séparation après le roi Salomon sont un exemple historique de référence.
La leçon donnée dans Zacharie nous présente le mode du jugement de Dieu qui s’applique individuellement et collectivement. Quand l’entité jugée est condamnée par Dieu, sa grâce cesse et elle est suivie par le fruit de la malédiction de la désunion. Ce processus a été appliqué à l’institution adventiste en 1991, à Valence, où après ma radiation officielle à cause de mon témoignage pour Jésus, des actes de violence ont été constatés dans le temple, entre les frères adventistes locaux pour des raisons injustifiables indignes ; mais de la sorte, la malédiction divine a pris une forme concrète, que leur alliance avec le Protestantisme a officialisée et confirmée en 1995.
Le principe concerne collectivement la France au sujet de laquelle, je sais maintenant, que la grâce du Christ a cessé depuis le 6 Août 2025 et nous constatons en ce 8 Octobre 2025, concrètement, la fin de l’union des gens politiques. Depuis longtemps, je présente la France comme un phare mondial, siège des « droits de l’homme et du citoyen », première nation moderne qui s’est libéré du joug despote des monarques. L’importance donnée à son prestige international a conduit ses élites politiques à détruire son potentiel économique. La France n’aura été qu’une idéologie humaniste pour laquelle elle se sera laissé mettre en faillite. Ignorant Dieu et ses droits suprêmes, elle récolte ce qu’elle a semé. Repoussant sa bénédiction, elle s’est condamnée à subir sa malédiction qui vient sous la forme de l’aveuglement et des mauvais choix. Le résultat est sous nos yeux, la désunion est d’autant plus forte que la configuration des partis des députés est bloquée et que la crise politique française s’effectue sous les regards des organismes prêteurs d’argent, de plus en plus inquiets.
Ils ont bien raison de s’inquiéter, et à ce jour, ils gardent encore l’espoir que la crise sera résolue. Or, ce ne sera pas le cas, car au contraire, la crise qui frappe la France va mettre en danger jusqu’au clash, la communauté européenne entière. L’Euro, adopté en monnaie commune, est comme la corde qui relie entre eux les alpinistes. Et quand le premier « dévisse », c’est toute la cordée qui le suit qui tombe à son tour.
Dans l’actualité, le sujet de l’âge de la retraite dresse les partis de gauche contre ceux de droite. Sur ce sujet, la France se distingue par son financement des retraites par le principe de la répartition, contrairement aux autres pays qui les financent par le principe de la capitalisation. Ce dernier modèle majoritaire est originaire des USA où se trouvent les sièges des sociétés qui capitalisent les cotisations des retraites. Ce sont ces sociétés que l’on nomme « fonds de pensions ». Elles font fructifier les dépôts de leurs clients en faisant des prêts présentés à taux d’usure soit, environ 16 %. Or beaucoup de ces prêts ont été placés en France et en Europe. Si bien que la ruine qui frappe la France va produire un effet domino et entraîner dans la crise, l’Europe et les USA. Car si les emprunts des fonds de pensions américains ne sont pas remboursés, ce sont les versements des retraites des travailleurs américains qui vont cesser, pour leur malheur. Les USA ont ainsi construit leur richesse en exploitant les autres nations de la terre se trouvant au sommet d’une pyramide financière. Quand les fondements de cette pyramide s’écroulent, le sommet tombe avec eux.
L’opposition gauche droite au sujet de la retraite s’explique très bien. Les gens de droite sont en faveur de la capitalisation parce qu’ils gagnent beaucoup plus que leurs besoins vitaux et placent leur surplus dans des actions financières gérées par ce type de société gestionnaire du capital. Qui a intérêt à ce que les travailleurs partent en retraite le plus tard possible ? Ceux qui paient ces retraites dans tous les pays, excepté en France soit, les sociétés qui capitalisent ces fonds de pensions.
Le système par répartition appliqué en France était idéal et socialement, juste. Sauf qu’il nécessite une activité professionnelle très développée constante et croissante. Celui qui travaille finance le retraité actuel. Le drame qui frappe la France aujourd’hui est la conséquence de la destruction des emplois provoquée par le remplacement des productions françaises par celles de la Chine. L’action achetée en bourse a remplacé l’investissement dans la production industrielle et ce choix a préparé la ruine que nous constatons aujourd’hui soit, bien trop tard pour rattraper les conséquences de cette séduction de l’argent facile boursier.
Dans l’histoire américaine, « la ruée vers l’or » est un événement très célèbre. De l’or étant découvert à l’Ouest du pays dans les montagnes Rocheuses, de tous les pays du monde des gens se sont lancés dans l’aventure espérant avoir une part dans ces filons d’or. Depuis qu’internet a été mis à la disposition des gens sur toute la terre, les plus riches se battent pour trouver l’investissement le plus rentable parmi toutes les offres ; ils se ruent sur les sites financiers comme des essaims d’abeilles attirées par le nectar et le pollen des fleurs. Ces parasites se nourrissent et se gavent des richesses produites par des travailleurs de plus en plus frustrés, et les écarts entre leur part et celle des travailleurs deviennent ignobles et injustes. Mais cette injustice est la conséquence de leur mépris témoigné pour Dieu, leur Créateur, qu’ils le reconnaissent ou non.
Ces écarts de richesse reproduisent la situation de la France révolutionnaire désireuse d’abolir les privilèges des anciens aristocrates aujourd’hui mondialement restaurés. L’attitude monarchique du président Macron illustre bien cette image historique et la ruine qui frappe aujourd’hui sa nation rend la situation actuelle encore plus conforme à ce modèle. Les mêmes causes engendrent les mêmes effets, et le trop plein d’injustice imputable à cet ancien jeune banquier suscite la colère vengeresse des gens frustrés, victimes de sa politique autoritaire autiste. Le « second malheur » qui frappa la France à partir du 14 Juillet 1789, est en train de reprendre forme dans notre actualité et les jours qui viennent vont être marqués par des excès de colère prévisibles, parce que justifiés.
La France a été finalement vaincue par son adversaire, sa concurrente bien plus riche qu’elle et beaucoup plus puissante : l’Amérique qu’elle a aidée à prendre son indépendance. Et en retour, l’Amérique a fini par lui faire perdre son indépendance défendue par le général de Gaulle. En créant l’Europe, ses successeurs se sont lié les mains en se soumettant à des accords dont ils sont devenus esclaves. Et pour confirmer cette perte d’indépendance, en 2007, le président Sarkozy a fait réintégrer la France qui a ainsi retrouvé sa place dans l’OTAN dirigée par les USA. Dès lors, la France leur était soumise. Le vassal a plié les genoux devant son suzerain qui ponctionne depuis longtemps ses profits.
M67- La malédiction divine et les derniers outrages
La malédiction divine ne se voit pas ; elle se discerne.
Les gens sans Dieu ne voient dans la vie qu’un enchaînement de choses dont on peut trouver les causes humaines terrestres en les analysant. La vie spirituelle est un plus dont l’être humain réussit facilement à se passer en l’ignorant totalement ou plus ou moins. C’est pourquoi je compare cette vie spirituelle au souffle de la vie humaine. Qui pense à la nécessiter de respirer sur la terre ? Uniquement les gens qui souffrent d’un problème respiratoire ou ceux qui rendent leur dernier souffle à l’heure de leur mort. L’homme traverse sa vie en respirant constamment sans y donner la moindre attention ; excepté quand, à cause de la fatigue momentanée, il a peine à reprendre son souffle normal, détendu et régulier. Cette insouciance respiratoire est si vraie qu’il ne voit aucun inconvénient à obstruer ses poumons en respirant la fumée de ses cigarettes, cigares, ou pipes qui le détruisent lentement mais sûrement.
Cette maltraitance de ses propres organes le détruit aussi sûrement que son insouciance spirituelle. Et il serait très avantageux pour lui d’en prendre conscience. Il pourrait ainsi découvrir le véritable sens des malheurs qui l’accablent et le font souffrir.
Dans notre actualité de ce jour du 9 Octobre 2025, le jeune monarque républicain qui dirige la France vient de prendre la décision de faire entrer la dépouille de Robert Badinter au Panthéon de Paris. Il y entrera au soir de cette journée. Je rappelle que Robert Badinter est ce ministre de la justice du gouvernement socialiste qui, sous la présidence de François Mitterrand, l’avocat, a fait adopter par l’assemblée législative de France, l’abolition de la peine de mort. L’homme en question, juif de surcroît, a incarné dans cette initiative, un modèle type de l’humanisme rebelle que tous les humanistes ont salué et honoré. Les derniers honneurs rendus en ce jour témoignent de la persistance de ce soutien. On lui doit aussi, la dépénalisation de l’homosexualité ; il est donc aussi à l’origine des dérives sexuelles encouragées et de plus en plus protégées, aujourd’hui, depuis la présidence de François Hollande de 2012 à 2017.
Personne parmi ceux qui approuvent son entrée au Panthéon ne réalise la force de l’outrage qui est aujourd’hui commis contre le grand Dieu créateur, en France et au nom de l’humanisme spirituellement aveugle. Et je dois rappeler ce verset qui explique la cause d’une telle arrogance humaine : Esaïe 55:8-9 : « Car mes pensées ne sont pas vos pensées, et vos voies ne sont pas mes voies, dit YaHWéH. Autant les cieux sont élevés au-dessus de la terre, autant mes voies sont élevées au-dessus de vos voies, et mes pensées au-dessus de vos pensées. »
Les pensées humaines rebelles ne sont pas seulement éloignées de celles de Dieu ; elles sont fondamentalement opposées dans l’absolu aux siennes. En effet, en tant que Créateur de la vie, Dieu a puni le péché par la peine de mort. Et il a prescrit pour tout son Israël le devoir de punir mortellement certaines fautes humaines qu’il juge abominables. Il a dit dans Deutéronome 2:16-17 : « Celui qui mérite la mort sera exécuté sur la déposition de deux ou de trois témoins ; il ne sera pas mis à mort sur la déposition d'un seul témoin. La main des témoins se lèvera la première sur lui pour le faire mourir, et la main de tout le peuple ensuite. Tu ôteras ainsi le mal du milieu de toi. » C’est un ordre qu’il adresse à son peuple, voulant lui éviter, que le corps entier périsse à cause d’un membre gangréné. Sous ce regard intelligent divin, la peine de mort est une nécessité vitale. Ce fut d’ailleurs au nom de ce principe que le sacrificateur Caïphe proposa de faire tuer Jésus-Christ par les Romains, selon Jean 11:50 : « vous ne réfléchissez pas qu'il est dans votre intérêt qu'un seul homme meure pour le peuple, et que la nation entière ne périsse pas. »
Dans notre actualité, c’est la faute commise par un seul homme nommé Badinter qui va faire périr la nation France entière ou presque. Car ce qui touche à la mort touche à une prérogative divine exclusive au sujet de laquelle il s’est exprimé et a donné ses ordres. Et ceux qui ignorent ses ordonnances et ses commandements subissent les conséquences désastreuses de leur désobéissance. Le mal s’est développé et les a soumis à sa domination tyrannique ; ceci au point que la France est devenue actuellement ingouvernable.
Mais il y a encore plus grave dans cette attaque portée contre la peine de mort. La mort est l’entité pour laquelle, la dimension terrestre a été créée par Dieu après la vie céleste des anges. Elle n’a été rendue possible que parce que Dieu a souverainement abaissé l’homme en dessous des anges, en limitant ses capacités, avant et bien davantage après le péché. Le point culminant est atteint quand on réalise que cette dimension terrestre a été créée pour permettre à Dieu d’offrir en Christ sa vie humaine à la mort expiatoire, dans le but de racheter la condamnation qui pesait sur ses élus. En abolissant la peine de mort, Robert Badinter et ses soutiens humanistes ont dévalorisé le sacrifice mortel de Jésus-Christ. Car c’est Dieu lui-même qui a exigé au nom de sa vraie justice, sa propre mort en Jésus-Christ. Abolir la peine de mort revient à effacer la leçon d’amour donnée par Jésus-Christ. Et en agissant ainsi, les rebelles humanistes proclament avec arrogance leur droit à la vie quel qu’en soit le prix.
Mais ce que nos rebelles français ignorent, c’est que ce probable dernier outrage va recevoir de Dieu rapidement une réponse sanglante et cinglante. Car le 6 Août dernier, Jésus a libéré les mauvais anges, afin que « le tiers des hommes soit tué », selon Apocalypse 9:15 : « Et les quatre anges qui étaient prêts pour l'heure, le jour, le mois et l'année, furent déliés afin qu'ils tuassent le tiers des hommes. » ; ceci, en Europe et premièrement, en France, la cible principale de la colère de Dieu, dont les honneurs rendus en ce jour à Robert Badinter sont l’une des causes. Mais ces outrages ne font que confirmer la nature abominable de Paris, la ville que Dieu symbolise par les noms « Sodome et Egypte » dans Apocalypse 11:8.
Le fait que Robert Badinter était juif aggrave son cas, car sa décision a été prise en tant que ministre de la justice républicaine française qui a osé s’opposer à la norme de la justice céleste du grand Dieu créateur. La malédiction juive, la première de l’histoire religieuse, est ainsi confirmée car elle a entraîné la France dans sa chute, après l’avoir contaminée.
En France il existe ce dicton : « Heureux comme un Juif en France ». Cela n’a pas été toujours le cas, mais le scandale de l’affaire Dreyfus devait être racheté. Et la France s’est rachetée en offrant aux Juifs le statut de Français authentiques que seul le temps de la collaboration avec l’Allemagne nazie a contredit dans le pire extrême. Profondément touchée par la « shoah » organisée par les nazis, la population de la France a longtemps défendu la cause juive. La situation a changé depuis l’installation massive en France des populations immigrées maghrébines musulmanes qui ont fait des Juifs leur ennemi numéro un, à cause de leur retour sur leur ancienne terre nationale et leur remplacement des Palestiniens. De plus, le remplaçant était juif et non musulman, et la vieille guerre qui opposait Ismaël à Isaac a recommencé dès 1948. La guerre actuelle qui détruit Gaza n’est que le prolongement de cette opposition religieuse de principe.
Parmi tous les Israéliens, on trouve les dangereux « sionistes ». Ce sont des Juifs religieux qui interprètent mal les annonces faites par les prophètes de la sainte Bible. Le zèle juif pour la sainte Bible devient dans ce cas particulièrement dangereux pour toute l’humanité. Car selon eux, le Messie des Ecritures ne peut venir que si le temple hébreu de Jérusalem est reconstruit. Et je comprends très bien la raison de cette opinion. Ils s’appuient sans doute sur ce texte cité dans Malachie 3:1 : « Voici, j'enverrai mon messager ; il préparera le chemin devant moi. Et soudain entrera dans son temple le Seigneur que vous cherchez ; et le messager de l'alliance que vous désirez, voici, il vient, dit YaHWéH des armées. »
Pour ces Juifs qui ne reconnaissent pas Jésus-Christ, ce verset reste à s’accomplir, et dans ce cas, effectivement, selon la lettre écrite, le temple doit être rebâti pour que le Seigneur y entre. C’est là que je souligne l’importance de la malédiction divine qui empêche les humains de comprendre le sens réel des annonces prophétiques bibliques.
La prophétie de Malachie 3:1 a été entièrement accomplie par le ministère terrestre de Jésus-Christ qui est effectivement entré dans le temple de Jérusalem pour en chasser les vendeurs ignobles et indignes pour lesquels les services du rituel des sacrifices n’était qu’un bon moyen de s’enrichir. On se souvient de ces paroles que son zèle divin provoqua selon Matthieu 21:13 : « Et il leur dit : Il est écrit: Ma maison sera appelée une maison de prière. Mais vous, vous en faites une caverne de voleurs. » Marc 11:17 précise pour sa part : « Et il enseignait et disait : N'est-il pas écrit : Ma maison sera appelée une maison de prière pour toutes les nations ? Mais vous, vous en avez fait une caverne de voleurs. » Et en effet il est écrit dans Esaïe 56:7 : « Je les amènerai sur ma montagne sainte, et je les réjouirai dans ma maison de prière ; leurs holocaustes et leurs sacrifices seront agréés sur mon autel ; car ma maison sera appelée une maison de prière pour tous les peuples. »
Pourquoi j’insiste sur ces trois témoignages bibliques ? Parce qu’ils sont différents et que je remarque que pour sa part, Matthieu a oublié que Jésus a précisé « pour toutes les nations » (ou les peuples) ; or, une telle idée ne devait pas être appréciée par un peuple juif qui répugnait à partager sa gloire avec des étrangers. Dans le projet de Dieu annoncé par Esaïe, l’autel cité allait être remplacé par la croix du supplice de Jésus-Christ. Cette annonce est typiquement messianique et décrit une situation finale en laquelle Dieu a détruit ses ennemis.
Le fait est que Jésus-Christ est bien entré dans son temple avec zèle et indignation, mais qu’étaient donc la signification et la valeur de ce temple construit d’un assemblage de grosses pierres et de charpente en bois ? Une maison, un abri, dans lequel Dieu avait choisi de s’installer, caché et isolé dans le lieu très saint masqué par un voile. Et là où il était censé se trouver, il était représenté par des reliques saintes conservées à travers les âges : l’arche du témoignage, le coffret sacré contenant les deux tables de la loi, le bâton d’Aaron, le rouleau de Moïse, l’Omer de manne et au-dessus de l’arche, l’autel du propitiatoire. Parallèlement, dans sa dimension céleste, Dieu gardait toutes ces choses sous son regard, les privilégiant dans sa pensée et dans son cœur. Car ces choses matérielles résumaient tout son plan du salut construit sur sa grâce en Christ.
En s’incarnant en Jésus-Christ, Dieu a apporté le vrai sens du mot temple, Jésus ayant comparé son corps à un temple. Et quel temple ! Un temple de la plus haute sainteté parfaite imaginable. Je rappelle ici des éléments d’une étude que j’avais faite à ce sujet. Le parvis du temple était l’image symbolique du corps physique soit de la chair. Le tabernacle composé par deux pièces séparées par un voile représentait l’esprit humain auquel Dieu veut apprendre son plan du salut entièrement prophétisé par les éléments placés dans les deux pièces. La première pièce accessible constamment pour l’homme illustre la vie religieuse de la première alliance. Et la deuxième pièce prophétise la vie divine céleste et les conditions établies par la nouvelle alliance instaurée par la mort expiatoire de Jésus-Christ ; ce que la fête du « jour des expiations » prophétisait une fois dans l’année au 10ème jour du septième mois. Avec la mort de Jésus-Christ le rôle prophétique du temple de Jérusalem cessa et Dieu le fit détruire par les soldats romains très irrités, en 70.
Avant même cette destruction du temple de pierre, l’Esprit de Dieu avait inspiré à l’apôtre Paul l’image d’un temple spirituel qui symbolisait la nouvelle construction spirituelle que constituait l’Eglise de Jésus-Christ. L’apôtre Paul décrit ce symbole dans Ephésiens 2:20-21-22 : « Vous avez été édifiés sur le fondement des apôtres et des prophètes, Jésus Christ lui-même étant la pierre angulaire. En lui tout l'édifice, bien coordonné, s'élève pour être un temple saint dans le Seigneur. En lui vous êtes aussi édifiés pour être une habitation de Dieu en Esprit. » C’est donc en révélant ces choses que Jésus-Christ révèle la signification de l’ancien temple de pierre élevé à Jérusalem, en premier, par le roi Salomon. Il remplaçait ainsi le tabernacle démontable et transportable construit par les Hébreux au temps de Moïse.
Dans la première pièce, à gauche se trouvait le chandelier à sept branches symbole de l’Esprit de Dieu qui vient éclairer spirituellement son serviteur fidèle. A droite se trouvait une table basse sur laquelle étaient posés chaque jour douze pains non levés de proposition, symbole du corps de Jésus-Christ qui le donnera en nourriture spirituelle pour édifier ses élus rachetés. Le nombre douze concernant le nombre « des tribus, des apôtres et des tribus scellées », a son sens en Jésus-Christ, en lequel se réalise l’union de l’homme symbolisé par le chiffre 5 et la nature divine symbolisée par le chiffre 7. Le lieu saint est ainsi associé au chiffre 5, le chiffre de l’homme et le lieu très saint est rattaché au chiffre 7, le chiffre de Dieu et de sa sanctification. Au fond de la première pièce, situé devant le voile qui interdit l’accès au lieu très saint, se trouve l’autel des parfums qui illustre la relation de l’homme avec Dieu par le moyen des prières ; une relation qui n’est possible qu’à travers le voile séparateur qui représente à la fois Christ et le péché. Ce voile a deux faces. Sa face humaine permet le contact avec l’homme héritier du péché, et sa face divine est conforme au symbolisme divin du lieu très saint. La mort de Jésus-Christ ayant satisfait la justice divine, la relation de Dieu et des élus est devenue possible et se prolonge dans le temps. A noter que le nouveau temple spirituel n’est décrit dans Apocalypse 21, que sur ces aspects extérieurs : « douze fondements, des murs et douze portes ». Les deux phases du premier temple préparaient et aboutissaient à la conformité spirituelle des élus rachetés révélée par Jésus-Christ. La réconciliation étant obtenue et accomplie, dans la nouvelle alliance, les symboles extérieurs prophétisent les phases historiques successives de l’évolution de la religion chrétienne : doctrine parfaite au temps des apôtres, symbolisé par les « douze fondements » ; puis de nouveau parfaite à partir de 1844, avec « l’adventisme du septième jour » symbolisé par les « douze portes ».
Je reviens sur notre actualité française et je fais remarquer que la soudaine décision du président Macron de faire entrer Robert Badinter au Panthéon a été prise, comme je l’ai plusieurs fois relevé, dans des moments où la situation échappe à son contrôle. Ce fut déjà le cas dernièrement pour sa décision de reconnaître l’Etat palestinien. C’est pour lui le moyen de restaurer son autorité présidentielle. Selon une image sportive : « il botte en touche » pour détourner l’intérêt de la population des problèmes politiques bloqués et le diriger vers un autre sujet dans lequel il se donne le beau rôle. Et je ne doute pas que, comme pour ses premiers débats télévisés, il va encore réussir à séduire une population que Dieu et le diable lui ont livrée, afin que les gens séduits et le séducteur lui-même partagent le même funeste destin.
Des signes confirmant la malédiction divine sont discernables dans le fait que la France a changé successivement la durée de sa présidence qui était de « 7 années et que le président Jacques Chirac a fait réduire à 5 ans. Le chiffre 7 symbole de la sanctification a été ainsi abandonné et remplacé par le chiffre 5 symbolique de l’homme. Autre signe, basé sur le chiffre 17 symbole du jugement divin, Paris était découpé en 20 arrondissements et un nouveau découpage lui en donne 17. Egalement, la France et son outre-mer était partagée en 26 régions, elle n’en compte maintenant plus que 17. Ces changements signalent le jugement caché de Dieu qui constate l’évolution constante du pays France dans le mal qui la domine de plus en plus. Et à un certain niveau, il organise ces changements de numéros qui révèlent spirituellement l’aggravation de son constat et sa condamnation. Qui, en dehors des élus éclairés par Dieu, penserait à donner à des chiffres concernant l’organisation d’une vie républicaine laïque un sens spirituel révélant un jugement divin ? Personne, évidemment. Et surtout pas les grands théologiens diplômés et reconnus par les multitudes séduites et trompées.
Dieu notre créateur s’intéresse pourtant aux choses infimes tout autant qu’aux grandes. Tout ce qui compose notre dimension terrestre repose uniquement sur des associations d’atomes, le plus petit des éléments simples de sa création terrestre. Et Dieu contrôle chacun de ces atomes que je préfère ne pas compter…à cause de leur nombre hors de l’échelle humaine.
Aujourd’hui, le Vendredi 10 Octobre 2025, j’ai la surprise d’apprendre que 17 têtes dirigeantes de groupes et partis politiques, ont reçu par mail, à 2 heures 50 du matin, leur convocation à l’Elysée par le président Macron. Le rendez-vous est fixé pour ce vendredi à 14 heures 30. Les deux partis extrêmes de la représentation des députés soit, La France Insoumise et le Rassemblement national n’ont pas été convoqués. Ce nombre 17 donne à ce rendez-vous de la dernière chance encore le caractère d’un jugement divin.
Depuis son élection pour sa première présidence, le jeune président s’est trouvé mis en concurrence avec Marine le Pen, l’ancienne présidente du Front National renommé depuis Rassemblement National. Notre président caractériel autiste, cynique et injuste ne se contraint pas au faux semblant. Sa détestation du RN est connue et il l’assume. Ainsi, la crise politique qui frappe actuellement le législatif français repose entièrement sur sa personnalité. Il refuse de tenir compte du résultat obtenu aux élections législatives de 2024 suite à sa dissolution de l’assemblée. Le nouveau résultat a intensifié les preuves de son rejet par la majorité des Français. Selon la Constitution de la 5ème République, il doit accepter ce résultat et donner la gouvernance du pays selon le régime de la cohabitation accepté en leur temps par tous ses prédécesseurs. Mais incapable de se mettre en retrait, il insiste en nommant pour premier ministre des hommes favorables pour ses idées restés dans son camp ou proches de lui. Et c’est là que l’homme spirituel discerne l’œuvre divine, le résultat du suffrage populaire a eu pour résultat la mise en concurrence de trois blocs politiques opposés ; en sorte qu’aucun groupe n’ayant obtenu la majorité absolue, le président trouve là, une excuse pour ne pas remettre la gouvernance du pays à un parti qui lui est opposé.
La France a expérimenté 5 Républiques depuis la Révolution française. Avec la 5ème, les politiciens français ont cru avoir trouvé le régime idéal stable et durable. Dieu leur apprend aujourd’hui que tout dépend de lui et uniquement de lui. Le principe de trois oppositions est sa signature ; celle de sa perfection appliquée contre ses ennemis qui le frustrent de sa légitime gloire. Dieu donne là, la preuve qu’il n’existe aucun régime idéal parfait sur la terre actuelle du péché. Son influence au niveau des esprits humains lui permet d’obtenir tous les résultats qu’il veut souverainement obtenir. Tout être humain qui ne reconnait pas et ne se soumet pas à sa divine volonté est livré aux démons et au diable qui sont les puissances d’égarements qui obscurcissent les facultés intellectuelles de leurs victimes.
Ainsi restant totalement invisible, Dieu nous donne par ses œuvres les preuves de son existence et de son activité éternelle.
M68- L’Occident mensonger
Le mensonge a pour père, le diable selon Jésus-Christ. Et ce diable a proposé à Jésus de lui donner tous les royaumes du monde s’il consentait à l’adorer. Cette révélation biblique est très importante pour comprendre ce qu’est le statut spirituel des différents peuples de la terre ; et bien sûr, en premier, dans ce camp occidental qui a dominé la terre et a asservi beaucoup de peuples auxquels les pays chrétiens occidentaux ont enlevé, leur liberté.
Après l’expérience vécue et révélée par Jésus-Christ, il ne fait aucun doute que la domination mondiale des nations dites chrétiennes formées depuis l’Europe a été due à cette soumission au diable et ses démons. Et c’est ce qu’en Jésus-Christ, le grand Dieu créateur, notre divin Père, veut faire savoir à ses enfants, ses élus bien-aimés.
A l’origine de tous les mensonges, se trouve, le mensonge religieux qui est l’œuvre du diable. Il s’est opposé au Dieu créateur en cherchant à faire partager ses idées rebelles aux anges célestes créés par Dieu. Quand Dieu a créé la terre et les hommes qui la peuplent, il a réussi à leur faire perdre la gloire éternelle que Dieu leur avait donnée. Et depuis la victoire de Jésus-Christ contre lui, le péché et la mort, son action s’est prolongée, intensifiée par les sentiments de haine du condamné à mort en sursit que ce changement a fait de lui. C’est pourquoi, Jésus déclare dans Apocalypse 12:12 : « C'est pourquoi réjouissez-vous, cieux, et vous qui habitez dans les cieux. Malheur à la terre et à la mer ! Car le diable est descendu vers vous, animé d'une grande colère, sachant qu'il a peu de temps. »
Ce verset porte deux fois le nombre « 12 » qui représente la double nature du Christ, divine soit, « 7 » et humaine soit, « 5 ». Ce principe divin spirituel fait de ce verset un message de première importance. Et ce jugement est justifié, car en premier, après la victoire de Jésus-Christ, Dieu veut dire à ses élus que les conditions de vie établies sur la terre vont être mises en œuvre par des activités démoniaques inspirées à des agents humains. Et si les démons et le diable restent, comme Dieu, invisibles, il n’en est pas de même des agents humains qu’ils utilisent. Et c’est par le symbole des « dix cornes » que Dieu désigne l’Europe et par les « sept têtes », la ville de Rome que Jésus dénonce comme étant le « trône de Satan » dans Apocalypse 2:13 : « Je sais où tu demeures, je sais que là est le trône de Satan. Tu retiens mon nom, et tu n'as pas renié ma foi, même aux jours d'Antipas, mon témoin fidèle, qui a été mis à mort chez vous, là où Satan a sa demeure. »
L’attention des élus étant dirigée par Dieu, sur Rome, le témoignage historique confirme son rôle de siège religieux chrétien occupé par ses papes successifs jusqu’à notre époque actuelle. Ce siège est donc à la fois « le trône de Satan » et celui des papes qui présentent ses mensonges religieux. Logiquement, le régime papal séduit des multitudes de gens qui ne sont que superficiellement religieux et qui se disent catholiques, comme ils se disaient, avant l’ère chrétienne, adorateurs païens de la religion Celte. Pour beaucoup de gens, la religion n’est qu’un héritage transmis de génération en génération, de siècle en siècle. Pourtant ce mot religion les engage terriblement, parce que ce mot vient du latin « religare » qui signifie : relier. Il est donc suprêmement important de savoir individuellement « avec qui » nous sommes « reliés ». Seuls des gens insensés peuvent sous-estimer une telle interrogation. Mais précisément, la terre est peuplée de gens insensés qui se croient intelligents et se leurrent eux-mêmes, par leur jugement. Les élus de Jésus-Christ doivent donc accepter la situation telle qu’elle s’impose à eux et se contenter de pouvoir apprécier le partage d’une lumière prophétique divine qui leur est exclusivement réservée. Car l’élection d’un élu ne dépend que partiellement de lui. Dans sa divinité, Dieu est le seul qui peut juger toutes ses créatures et connaître ainsi leur nature réelle. Son esprit décide de donner sa lumière ou une puissance d’égarement.
A la base du mensonge religieux, le diable se donne le but de déformer le vrai caractère de Dieu. Il tente souvent vainement de masquer son amour, sa justice et sa compassion. Et à ceux qui découvrent son amour dans les Evangiles, il présente Dieu comme un être bon jusqu’à la bêtise. Or, le vrai caractère du Dieu créateur est parfaitement équilibré sur deux plateaux que sont l’amour et la justice, deux valeurs inséparables complémentaires. Cette tentative de déformer son caractère est le tout premier mensonge que le diable présente aux êtres humains. Et déjà, dès le commencement, ce fut la cause de son succès remporté sur Eve à laquelle il suggéra que Dieu était mesquin et égoïste et qu’il voulait garder pour lui seul, « la connaissance du bien et du mal ». Cette déformation est donc bien, le tout premier mensonge chronologiquement et en valeur.
Ensuite, pour confirmer cette déformation du caractère de Dieu, le diable organise des religions dont les valeurs sont conformes à ces déformations. Il multiplie ces représentations qui déforment le caractère de Dieu en poussant à l’engagement religieux des créatures que Dieu lui abandonne et lui livre.
La religion, la vraie, ne fut pratiquée que par Jésus-Christ et les onze sur les douze apôtres qu’il avait sélectionnés pour lui servir de témoins oculaires et auditifs. C’est sur ces 12 témoignages que d’autres élus se sont engagés à leur tour dans la vraie foi dont le terme s’achevait souvent dans le martyre imposé par la cruauté du diable et de ses agents humains.
Après le temps des apôtres et de leurs successeurs fidèles, dans sa stratégie guerrière menée contre Dieu, le diable a monopolisé la religion chrétienne en lui donne la forme conforme à sa volonté personnelle. La grande leçon donnée par Dieu dans ses révélations prophétiques de Daniel et Apocalypse concerne le maintien des valeurs païennes impériales dans la Rome religieuse papale. Et c’est pourquoi, le catholicisme romain a justifié le système injuste qui justifie le riche et écrase le pauvre. Ce principe d’origine païenne a caractérisé toutes les dominations royales et républicaines jusqu’à nos jours. Ce sont des valeurs romaines, pratiquées et justifiées par les Romains, depuis la fondation de Rome.
L’histoire de France témoigne que cet héritage romain a été transmis dans toutes les dynasties monarchiques du pays. Et les Révolutionnaires de 1789, n’ont pas réussi à faire abandonner et disparaître définitivement les privilèges des riches, très vite rétablis dans l’empire de Napoléon 1er Bonaparte et les différentes Républiques qui lui ont succédées. Or, la vie terrestre produit des fruits moraux que Dieu organise souverainement. D’une manière systématique et naturelle, toute chose existe en deux versions opposées dans l’absolu. La lumière est l’opposé des ténèbres ; le chaud, celui du froid et sur le plan moral, l’égoïsme est l’opposé de l’altruisme et ces deux fruits moraux ont produit dans le dernier siècle de l’histoire terrestre, dans cet ordre, le capitalisme et le communisme son opposé absolu.
Je vais faire ici une déclaration étonnante et détonante, mais c’est une importante vérité qui doit être connue et reconnue : Jésus-Christ a été le premier Communiste de l’histoire humaine, ainsi que son Eglise apostolique, car la première nature religieuse formée par le Saint-Esprit à la Pentecôte était conforme à cette norme « communiste » selon Actes 4:32 : « La multitude de ceux qui avaient cru n'était qu'un cœur et qu'une âme. Nul ne disait que ses biens lui appartenaient en propre, mais tout était commun entre eux. » Tu aurais tort de croire que le communisme n’est qu’un choix politique, car les élus de Jésus-Christ l’ont honoré en premiers. Et ils n’ont fait que prolonger la norme de vie adoptée par les apôtres dirigés par Jésus-Christ, le divin Maître qui a voulu laver les pieds de ses serviteurs.
En face de ce « communisme » mis en œuvre dans sa perfection, le diable a placé des régimes capitalistes qui exaltent des valeurs égoïstes ignobles par lesquels leur exploitation des gens pauvres et simples est justifiée. Le diable s’est employé à avilir ce principe de vie nommé « communisme » en le détachant de Dieu, en Russie, en 1917. Cette année comporte le nombre 17, nombre du jugement de Dieu. Qui a-t-il jugé dans cette Russie de 1917 ? La religion orthodoxe pratiquée par le Tsar Nicolas II, sa famille, et son peuple. Or, cette religion orthodoxe reproduisait les valeurs héritées de l’église catholique papale romaine qui justifiait déjà avant elle l’écrasement des pauvres par les riches. La révolution bolchevique était due à l’exaspération de gens mis en servage qui ne voyaient Dieu qu’à travers le témoignage injuste de la religion orthodoxe de leur Tsar. Victimes aveugles de ce témoignage injuste, les révolutionnaires ont rejeté ensemble, leur Tsar, sa religion et son Dieu, ignorant que le vrai Dieu n’était pas représenté par leur religion orthodoxe. Ils sont tombés dans le piège que le diable leur avait tendu et sont devenus athées, et plein de haine envers la religion.
En Occident, le catholicisme avait produit le même effet sur les révolutionnaires français. Par la monarchie catholique, les méchantes valeurs du diable étaient imputées injustement au vrai Dieu. Et il n’est donc pas étonnant que ceux qui avaient souffert par des exactions sensées être justifiées par Dieu aient choisi de rejeter leur roi, sa religion et leur Dieu.
Ces explications prouvent qu’aucun sujet de la vie n’échappe au jugement religieux que tout homme sage porte, en suivant les conseils donnés par Jésus-Christ, dans Matthieu 7:15 à 17 et tout au long de son ministère terrestre : « Gardez-vous des faux prophètes, qui viennent à vous sous des vêtements de brebis, et qui au dedans sont des loups ravisseurs. Vous les connaîtrez par leurs fruits. Cueille-t-on des raisins sur des épines, ou des figues sur des ronces ? » Paradoxalement, Jésus commence par dire dans le verset 1-2 : « Ne jugez point, afin que vous ne soyez point jugés. Car on vous jugera du jugement dont vous jugez, et l'on vous mesurera avec la mesure dont vous mesurez. » Par cette interdiction de juger, Jésus condamne les instances judiciaires organisées par les gens religieux, dont les tribunaux de l’inquisition catholique papale vont en leur temps être le pire exemple. Car, ce type de jugement est suivi par une condamnation et un châtiment corporel souvent mortel et cruel ; et le pire de la chose, pour de fausses raisons de manière injustifiée. L’apôtre Jacques reprend cette mise en garde en disant, dans Jacques 3:1 : « Mes frères, qu'il n'y ait pas parmi vous un grand nombre de personnes qui se mettent à enseigner, car vous savez que nous serons jugés plus sévèrement. »
Ainsi, l’homme sage juge chaque chose de la vie pour son édification personnelle et sa protection mentale et morale. Et la vie ne fait que produire des fruits par lesquels il peut identifier les œuvres divines et les œuvres du diable. Mais pour discerner les œuvres des deux puissances, la connaissance de la sainte Bible est indispensable, car c’est par elle que Dieu révèle ses valeurs ; et tout ce qui les contredit et les attaque vient du diable. Il n’est donc pas étonnant que ce dernier ait profité des traductions des textes bibliques originaux pour y glisser quelques mauvaises traductions qui déforment la norme de la vérité divine révélée originelle.
L’unique moyen de ne pas tomber dans ces pièges diaboliques, que constituent les mauvais comportements religieux, reposait sur la lecture personnelle de la sainte Bible qui ne se limite pas à révéler l’amour bien réel du Dieu créateur ainsi que les normes de sa justice, mais aussi, qui révèle les pièges diaboliques dans ses prophéties bibliquement codées.
La religion prend des aspects complexes quand on entre dans les détails de la doctrine biblique divine. Mais la condition de notre liaison, relation, religion, avec Dieu repose sur quelque chose d’extrêmement simple qui sort de nous, qui émane de notre nature personnelle, qu’est l’attirance. Personne ne saurait dire pourquoi, il aime ou elle aime, ceci ou cela. Mais ce qui est certain, c’est que le résultat repose sur l’attirance éprouvée pour le sujet qui attire. La vie est construite sur des lois inexplicables que l’on constate sans pouvoir leur échapper. L’amour pour le bien ou pour le mal dépend de notre nature personnelle individuelle, et nous sommes tous depuis le premier ange créé par Dieu, des êtres uniques. Et puisque nous sommes uniques, seul Dieu peut identifier parmi toutes ses créatures celles qu’il juge dignes de vivre éternellement dans sa compagnie. C’est donc pour faire distinguer ses élus des autres créatures que Dieu présente ses propres valeurs, par des principes, des lois, des ordonnances, des préceptes, et des commandements, toutes choses prescrites dans sa sainte Bible appelée la « parole de Dieu ». Ces choses n’existent que pour que ceux, qui se soumettent à elles avec joie parce qu’elles viennent de lui, soient identifiés comme étant ses élus.
Les ordonnances divines permettent aussi à Dieu de révéler le statut rebelle des multitudes d’êtres qui trop attachés à leur liberté obstinément refusent de la réduire en reconnaissant leur devoir de lui obéir ; à lui, le Dieu Esprit qui les a créés par le principe de la reproduction humaine mise en œuvre. Et en opposé absolu, ceux qui lui obéissent révèlent leur statut d’élus.
Sous la conduite de Dieu mon esprit a découvert l’importance d’analyser les choses dans le bon sens. Car longtemps, j’ai regardé le repos du sabbat comme le moyen de me relier au Dieu créateur qui l’a instauré. Ce n’est que depuis l’année 2018 environ, que j’ai compris que le raisonnement devait être inversé. Ceci, parce que le sabbat est présenté par Dieu comme un signe qu’il donne et non comme un signe que l’homme choisit. Selon Jésus, le sabbat a été fait pour l’homme et non l’homme pour le sabbat. Il a ainsi donné un exemple de renversement de raisonnement qui enseigne que Dieu donne sa priorité à la vie humaine bien au-dessus de ses doctrines religieuses qui restent cependant légitimes et utiles. L’avantage de la vérité établie religieusement par Dieu est que tout ce qu’il organise et instaure a une juste raison de l’être ; ce qui ne caractérise pas les doctrines des fausses religions dans lesquelles on retrouve des prescriptions injustifiées et souvent absurdes. Mais une fausse religion repose obligatoirement sur des mensonges caractérisés par l’injustice et la stupidité.
Suivons le chemin tracé par le mensonge dans l’histoire. Sa première forme trouvée dans l’alliance juive est le rejet du Messie Jésus de Nazareth crucifié au titre de roi des Juifs. Et à ce sujet, la Bible témoigne que les chefs religieux juifs demandèrent à Ponce Pilate de ne pas écrire Jésus roi des Juifs mais de préciser qu’il avait dit être le roi des Juifs. Le Procurateur romain refusa et imposa sans qu’il s’en doute, la forme que Dieu voulait. La vérité était ainsi écrite et témoignait de la messianité de Jésus-Christ. Mais le mensonge juif diabolique a pris forme sous l’accusation de le présenter comme un usurpateur ; ceci, en dépit du témoignage des bonnes œuvres que le peuple lui reconnaissait. A ce moment, ceux qui avaient la vraie foi en eux, ne se sont pas laissés influencer par ce faux et injuste jugement porté par les chefs religieux. Mais ils n’étaient pas nombreux, parce que la majorité écrasante des Juifs n’avait pas l’amour de la vérité et le mensonge le plus gros et le plus évident porté contre Jésus de Nazareth ne les a pas choqués ni interpellés. Le diable trouve ainsi dans la nature des humains la nature favorable à l’adaptation à ses valeurs et ses desseins injustes et mensongers. Ce rejet du vrai Christ de Dieu a attiré sur eux sa colère et la rupture complète de son ancienne alliance. C’est pourquoi, Jésus ne cache pas le jugement qu’il porte sur les Juifs en disant à leur sujet dans Apocalypse 2:9 : « Je connais ta tribulation et ta pauvreté (bien que tu sois riche), et les calomnies de la part de ceux qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui sont une synagogue de Satan. » Le but de Dieu qui justifie cette claire et évidente condamnation du peuple Juif héritier d’Abraham, d’Isaac et de Jacob est de faire savoir aux chrétiens qui lisent la sainte Bible au temps de la fin, que l’alliance sainte passée avec lui n’est pas éternelle mais soumise à l’épreuve de la vérité. Aussi, malgré les siècles et les siècles de leur héritage religieux, le refus du Christ a été condamné par Dieu au point de rompre son alliance. Cette condamnation révélée met en garde tous ceux qui se réclament du salut de Jésus-Christ au nom d’un héritage religieux séculaire. Soumis à leur tour à l’épreuve de la vérité, leur échec portera la même conséquence, le même rejet par Dieu, la même rupture d’alliance. Et il m’est aujourd’hui facile de comprendre que cette leçon était adressée aux adventistes traditionalistes qui n’ont ni su la relever, ni en tirer profit, et qui, en conséquence, ont reproduit les erreurs commises par les juifs incrédules entre 1980 et 1994, le temps de mon activité prophétique parmi eux.
Il est très facile de produire ces erreurs fatales, puisqu’il suffit de ne pas avoir en soi l’amour de la vérité pour être rejeté et condamné par Dieu. Or, depuis les Juifs, la religion se prolonge par le principe de l’héritage accepté au titre de tradition. Et quand je dis « la religion » au singulier, c’est parce que la vraie et la fausse religion se transmettent de la même manière par l’héritage de la tradition.
Pour échapper à ce principe, Jésus a dit « on ne met pas du vin nouveau dans de vieilles outres ». C’est pourquoi, pour porter ses nouvelles dernières lumières, Jésus-Christ m’a utilisé depuis 1980, l’année où, âgé de 36 ans je suis devenu adventiste par mon premier et unique baptême. Né dans une famille paternelle protestante et maternelle de la libre pensée, l’amour de la vérité était en moi, et j’ai voulu connaître l’histoire du christianisme depuis son commencement jusqu’à l’époque de la Réforme protestante. Le rôle primordial de la sainte Bible était fondamentalement écrit dans ma pensée. Et sa lecture dirigée par l’Esprit m’avait préparé pour une énorme remise en cause de l’héritage traditionnelle. Car je ne voyais pas dans la pratique religieuse des chrétiens protestants le respect de ce que la sainte Bible enseigne encore aujourd’hui et perpétuellement, jusqu’au retour glorieux de Jésus-Christ qui reviendra le jour du printemps de l’année 2030.
Dès lors que la vie religieuse humaine se construit sur le mensonge religieux, sa forme civile légitime le mensonge sur tous les sujets qu’elle représente. Cette humanité mensongère ne nie pas l’existence du mensonge, elle se contente de légitimer son existence et sa pratique, acceptant l’idée que toute chose a son contraire absolu, comme la vérité et le mensonge ou, le jour et la nuit.
Ce que l’être humain non spirituel a de la peine à concevoir c’est l’idée d’une vie dans laquelle chaque chose n’a plus son contraire absolu. Pourtant cette utopie est la norme que le Dieu créateur va donner à la vie éternelle qu’il offre à ses élus trouvés et jugés dignes de la recevoir. Car les 6000 années de l’expérience terrestre ont pour but d’identifier tout ce que Dieu appelle « mal » en vue de l’éliminer à terme entièrement, en conservant uniquement ce qu’il nomme « bon » ou « bien ». Dans l’éternité, les êtres bons devenus éternels ne trouveront plus en face d’eux un être méchant ; les méchants ayant été identifiés et anéantis dans le feu du jugement dernier. Sur la nouvelle terre, selon Apocalypse 21:1, il n’y aura plus de « mer », parce que le corps céleste reçu par les élus ne dépendra pas d’une teneur en eau ; il ne dépendra pas non plus de l’actuel besoin de respirer de l’air : « Puis je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre ; car le premier ciel et la première terre avaient disparu, et la mer n'était plus. » Le verset 25 précise encore : « Ses portes ne se fermeront point le jour, car là il n'y aura point de nuit. » Un état lumineux constant aura remplacé l’alternance nuit – jour actuelle.
La vie divine élimine les contraires absolus préjudiciables et reconnus néfastes. Dieu ne conserve de l’expérience terrestre que ce qui produit le bonheur : une vie de partage succède à une vie égoïste. Il peut enfin offrir à ses élus assoiffés de justice, ce qu’ils ont tant espéré obtenir de lui. Ce qui est jugé utopique par les êtres humains naturels sera mis en œuvre par le Dieu créateur pour lequel rien n’est impossible et dont l’imagination est infinie, totalement illimitée.
Mais je reviens notre humanité mensongère actuelle, pour dévoiler les formes de ses mensonges.
En France, la situation de crise politique actuelle est entièrement due à sa perte d’indépendance et son passage sous les directives des autorités européennes. La championne de l’indépendance et de la liberté a été capturée et mise dans les chaînes de la servitude. Le diable l’a domptée et il a préparé sa ruine. Les partisans de l’union européenne promettaient le succès, la paix et la prospérité de tous les membres de l’Union. Mensonges ! Car en 2022, l’Europe a pris parti pour l’Ukraine contre la Russie qui va bientôt la détruire avant de disparaître elle-même. Dans le temps, l’Europe n’a fait que grossir en accueillant de nouveaux membres toujours plus pauvres qui devaient être aidés par des subventions européennes financées par les pays de moins en moins riches ; les fondateurs du projet européen. En multipliant ses mensonges et ses intrigues, l’administration de l’U.E. a voulu faire rêver les populations européennes occidentales et en 2025, la vérité s’impose, le rêve se transforme en cauchemar, la ruine est là, le désordre est là, l’insécurité nationale et internationale sont là, dans une situation de crise politique insoluble. Les peuples ont été trompés comme les enfants auxquels on apprend à obéir en les menaçant de ne pas obtenir du père Noël les cadeaux désirés. Et les peuples ainsi manipulés sont restés sages et dociles, acceptant sans rechigner tous les changements apportés à leur existence, comme quelque chose d’inévitable de manière fataliste mais restant optimistes. Quiconque parlait contre l’Union Européenne était regardé comme un ennemi de la paix. Etje vais ici mettre en comparaison deux choses qui réagissent de la même manière : la conquête sociale et la conquête du pouvoir européen.
La conquête sociale obtenue doit son succès à la lutte des classes ouvrières représentées par différents syndicats dont l’efficacité était et reste proportionnelle au nombre de leurs membres adhérents. La lutte continuelle permettait seule de retenir les avantages acquis. Mais, en créant l’U.E., la production française a été sacrifiée et, se réduisant de plus en plus, le nombre des travailleurs ne parvenait plus à imposer ses idées au patronat de plus en plus apte à imposer les siennes. L’Europe est donc responsable de la perte d’efficacité de la lutte ouvrière. Mais il faut tenir compte du fait que ces choses sont changées et mises en place sur de longues décennies, progressivement et insidieusement, ce qui explique que les victimes actuelles ignorent les causes de leur ruine découverte ou réalisée que récemment.
Le même principe de lutte a opposé des Français jugés fanatiques, en raison de leur attachement national, aux partisans de la construction de l’U.E. Dans un aveuglement coupable, les Français se sont laissé séduire par l’idéologie européiste. Le vieux rêve de l’entente universelle a toujours animé les esprits des républicains français ; ceci, depuis Napoléon 1er Bonaparte qui a tenté d’unifier sous sa domination les royaumes européens de l’époque. Une Europe sans frontière faisait rêver dans les années 80 et en 2025, cette absence de frontière fait cauchemarder mes contemporains. Car les frontières non contrôlées laissent passer des émigrés clandestins indésirables et peu souhaitables, car ils viennent remplis de haine prélever dans la délinquance leur part des richesses des habitants du lieu. Et les causes de cette haine sont historiques, politiques ou religieuses, ou simplement la conséquence de la jalousie excitée par la convoitise. Les gens sages n’ouvriraient pas un réfrigérateur bien rempli devant un groupe d’immigrés affamés ; cependant, c’est ce que font les autorités européennes. Le fait est que pour protéger la France des conséquences de l’abandon de son indépendance, il aurait fallu que les partisans de cet abandon trouvent en face d’eux, un puissant soutien donné à la défense de cette indépendance française. Mais ce ne fut pas le cas, car au contraire, le parti F.N., qui au titre de Front National militait contre la dépendance européenne, était diabolisé, par tous les partis rejetés aujourd’hui par les Français. Ceux qui portent la culpabilité de la ruine actuelle de la France ont fini par être discrédités auprès des électeurs, mais hélas pour tous, bien trop tard, quand le mal fait à la France est inguérissable.
La cause de cette haine du nationalisme se trouve dans la chronologie de l’histoire humaine, car la guerre mondiale de 39-45 est entièrement due aux trois nationalismes agressifs de l’époque : Italien, Allemand, et Japonais. Il a donc été facile au diable de marquer les esprits des contemporains d’une phobie nationaliste qu’ils ont transmis à leurs descendants, leurs héritiers, de génération en génération, comme la religion et les différentes formes de l’idéologie. Et afin que la leçon soit bien entendue et retransmise, des milliers de livres ont été écrits dans de nombreuses langues pour rappeler et enseigner cette phobie présente jusque dans les jeunes générations.
Le nationalisme français a donc été vaincu et la France a perdu sa précieuse totale indépendance. Le nationalisme a-t-il donc disparu ? Nullement, car il s’est simplement déplacé de l’échelle nationale à l’échelle européenne qui défend son unité comme une nation le faisait contre une autre nation. Actuellement, les nations de l’U.E. entrent en concurrence mondiale contre d’autres groupes de nations de la terre. L’affrontement n’oppose plus des nations indépendantes mais des blocs de nations unifiées par des accords et des traités. Et ce changement d’échelle ne fait que préparer la Troisième Guerre Mondiale dans laquelle ces groupes géants vont s’affronter créant ainsi des nombres de victimes jamais atteints auparavant. Et je le rappelle, Dieu se donne jusqu’à la Pâque juive de l’an 2030 pour anéantir l’humanité pécheresse rebelle indigne de sa grâce présentée au nom de Jésus-Christ ; soit, 2000 ans jour pour jour, depuis sa mort expiatoire du 3 Avril 30. Conformément au programme annoncé par Jésus-Christ, les élus seront enlevés au ciel, 13 jours plus tôt, le jour même de son retour fixé au jour du printemps 2030, soit le 20 Mars 2030. Ce programme est conforme à l’enseignement révélé dans Matthieu 24:22 : « Et, si ces jours n'étaient abrégés, personne ne serait sauvé ; mais, à cause des élus, ces jours seront abrégés. » Seul ce texte indique la vraie chronologie des faits. Car dans Matthieu 13:30, Jésus semble dire le contraire : « Laissez croître ensemble l'un et l'autre jusqu'à la moisson, et, à l'époque de la moisson, je dirai aux moissonneurs : Arrachez d'abord l'ivraie, et liez-la en gerbes pour la brûler, mais amassez le blé dans mon grenier. » Ce verset peut être facilement mal interprété en contredisant l’enseignement précédent. Mais ce que Jésus veut dire à ses élus, c’est que leur présence sur la terre au milieu de leurs ennemis sera nécessaire jusqu’à leur condamnation à mort soit, « quand la force du peuple saint sera entièrement brisée » comme l’annonce Daniel 12:7 : « Et j'entendis l'homme vêtu de lin, qui se tenait au-dessus des eaux du fleuve ; il leva vers les cieux sa main droite et sa main gauche, et il jura par celui qui vit éternellement que ce sera dans un temps, des temps, et la moitié d'un temps, et que toutes ces choses finiront quand la force du peuple saint sera entièrement brisée. » je rappelle les clés de ce verset : 1ère étape : fin des 1260 années du règne papal romain soit, 1798. 2ème étape : fin de 6000 années de sélection d’élus au printemps 2030. Dieu ne regroupe pas ici ces deux étapes marquées par la persécution de ses saints fidèles sans raison. Car l’une après l’autre, en leur époque, « la bête qui monte de la mer » et « la bête qui monte de la terre » mènent un même combat contre les saints du Dieu très-haut. Mais seul le contexte final rend possible l’extermination des derniers vrais saints de Jésus-Christ dont la force serait alors entièrement réellement brisée si Jésus ne paraissait pas pour les sauver.
Dans Matthieu 13:30, Jésus veut révéler la différence du sort qui est réservé à « l’ivraie » au sujet de laquelle il dit « liez-la en gerbes pour la brûler », et du « blé » qu’il veut accueillir dans son royaume céleste : « amassez le blé dans mon grenier ». La séparation de « l’ivraie » et du « blé » s’effectue par l’épreuve de foi qui condamne « l’ivraie » et justifie le « blé ». La « liaison en gerbes » désigne l’épreuve de foi préparatoire des faux chrétiens punis par Dieu. A l’opposé, « le blé » symbole des vrais saints fidèles est récompensé.
La chronologie de l’avènement final de Jésus-Christ est révélé par l’apôtre Paul dans 1 Thessaloniciens 4:15 à 18 : « Voici, en effet, ce que nous vous déclarons d'après la parole du Seigneur: nous les vivants, restés pour l'avènement du Seigneur, nous ne devancerons pas ceux qui sont morts. Car le Seigneur lui-même, à un signal donné, à la voix d'un archange, et au son de la trompette de Dieu, descendra du ciel, et les morts en Christ ressusciteront premièrement. Ensuite, nous les vivants, qui seront restés, nous serons tous ensemble enlevés avec eux sur des nuées, à la rencontre du Seigneur dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur. Consolez-vous donc les uns les autres par ces paroles. » Il n’est pas question ici du sort réservé aux rebelles du moment.
Pourquoi Paul dit-il « nous ne devancerons pas ceux qui sont morts » ? Tout simplement parce que sa révélation divine n’est pas encore déformée par l’adoption tardive du dogme de l’immortalité de l’âme du philosophe grec Platon. La croyance primitive des apôtres tenait compte de ces paroles tenues par Jésus-Christ qui rappelle les paroles dites par Dieu, dans Matthieu 22:32 : « Je suis le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac, et le Dieu de Jacob ? Dieu n'est pas Dieu des morts, mais des vivants. » Ces paroles de Jésus-Christ les protégeaient contre les fausses doctrines conçues par les païens. Aujourd’hui, il ne tient qu’à nous de reproduire leur confiance en Dieu, en sa parole dite et sa parole écrite.
La reconnaissance du dogme païen de l’immortalité de l’âme est une glorification du mensonge particulièrement nuisible pour la foi des chrétiens. Ils se rendent, de la sorte, coupables d’une action abominable injustifiable que Dieu a toute raison de condamner sévèrement. Les brebis de Jésus-Christ ne peuvent pas, en même temps, se désaltérer dans la source de Dieu et dans la source du diable, son ennemi. Dieu ne supporte pas la concurrence et il le révèle en disant dans Matthieu 6:24 : « Nul ne peut servir deux maîtres. Car, ou il haïra l'un, et aimera l'autre; ou il s'attachera à l'un, et méprisera l'autre. Vous ne pouvez servir Dieu et Mamon. » Mais le dogme de l’immortalité n’est pas imputable à « Mamon » mais au diable ; ce qui renforce la condamnation divine.
Au fil du temps, avec le développement de la technologie, des inventions humaines ont donné en grand rôle au son électrifié, et après les caméras vidéos analogiques, les images numériques ont envahi la vie occidentale. La production d’images créées par l’I.A. est arrivée à un tel point de précision, que l’image perd sa valeur de témoin indiscutable. C’est l’inconvénient du dit « progrès ». Le mensonge entre dans tout ce que l’homme fait, depuis, sa parole, dans ses écrits, ses sons électroniques, et ses images virtuelles. Et je suis convaincu que le progrès détruit finalement plus qu’il ne construit ; ce que les savants optimistes n’avaient pas envisagé. Car le changement impulsé par le progrès détruit l’équilibre qui le précède et je prends cette image pour décrire notre temps : l’homme monte un escalier et après chaque marche franchie, la marche inférieure disparaît pulvérisée. Sur quoi repose alors cet escalier qui n’est pas l’échelle de Jacob ?
Le mensonge est le fondement de toute la vie occidentale, on le trouve dans ses droits d’exploiter des hommes et des peuples comme dans son organisation du temps qui est extrêmement prophétique. Nous avons tous pris l’habitude de nommer la fin de semaine par son expression anglaise le « week-end ». Cette norme n’est pas insignifiante car elle remet en cause le temps de la semaine organisé et ordonné par Dieu dès la création du monde. Concernant le samedi et le dimanche, ce week-end consacre l’ordre humain donné à la semaine, ordre dans lequel le premier jour devient le septième jour. Il se trouve que subtilement, Dieu fait témoigner les hommes du triste destin qu’il leur réserve. Car celui qui prend le premier jour pour le septième témoigne qu’il ne sera pas prêt pour accueillir Jésus-Christ quand il reviendra au vrai septième jour de l’ordre divin. Cette pratique apparemment civile témoigne en réalité d’un statut religieux rattaché aux vierges folles de la parabole des dix vierges enseignée par Jésus-Christ. Cette adoption du terme « week-end » prend la forme d’un signe par lequel Dieu marque les gens que son retour surprendra parce qu’ils l’attendaient plus tard ou n’étaient simplement pas préparés pour sa venue glorieuse.
Il existe donc deux manières de compter le temps ; celle de Dieu et celle des hommes qui remonte à l’année 1981. D’un coup, l’humanité a décidé de décaler d’un jour l’ordre de la semaine. Ce qui apparaît plus clairement dans le calendrier anglo-américain : Sunday (dimanche) ; Monday (Lune) qui en Europe est devenu Monday, Tuesday, Thursday, Wednesday, Friday, Saturday, Sunday. Dans cet ordre européen, la semaine commence en jour de la lune et finit en jour du soleil. Le décalage apparaît ainsi dans toute son illégitimité car à l’origine, les païens romains placèrent les jours de la semaine, dans l’ordre suivant : 1- Le jour du soleil ; 2- le jour de la Lune ; 3- le jour de Mars ; 4- le jour de Mercure ; 5- le jour de Jupiter ; 6- le jour de Vénus ; 7- le jour de Saturne soit, le jour du sabbat du Dieu créateur. Pour les Juifs la chose était encore plus simple : Jour un ; jour deux ; jour trois ; jour quatre ; jour cinq ; jour six ; jour sept et sabbat.
Le jour du retour de Jésus-Christ est programmé par Dieu pour le début du septième millénaire que le jour septième du sabbat prophétise. Le départ des élus pour le ciel est comparable à la montée dans un train qui conduit au ciel. Il importe donc de se présenter à la bonne heure pour faire partie du bienheureux voyage. Ceci implique donc la nécessité d’adopter l’horaire utilisé par le chef du train et donc de donner au sabbat la septième place qui lui revient de droit divin.
M69- L’Economie
L’Economie n’est pas une science réservée à des gens diplômés et qui l’enseigne au titre de « professeur ». Un homme vient de recevoir le prix Nobel de l’Economie. Que signifie cette chose ? Simplement que cet homme est inventif et qu’il vient de proposer à ses semblables une tactique économique qui les séduit parce qu’elle leur plait. Et pourquoi leur plait-elle ? Parce qu’elle est conforme à leurs valeurs existentielles.
Si j’étais le président d’un pays, je confierai le ministère de l’Economie à un excellent joueur d’Echec. Ceci, parce qu’en Economie, comme au jeu d’Echec, celui qui joue doit protéger son jeu en découvrant le jeu de son adversaire. De la même manière, le champion du jeu du Tennis-Ball est celui qui parvient, à la fois, à bien diriger ses envois de balle et à ne pas rater les balles envoyées par son partenaire. Et tous ces exemples que je présente ont une chose en commun. Deux forces et volontés indépendantes s’affrontent sans que l’une puisse agir sur l’autre, ni prévoir ce que l’autre va faire. Ces images illustrent les conditions de la vie humaine devenue féroce depuis le péché d’Eve et Adam. Avec le péché est apparue l’adversité ; celle du sol, celle du climat, celle du prochain, celle de l’être aimé, celle de l’ennemi, celle du moi égoïste qui résiste et ne veut pas mourir, même dans les eaux du baptême.
Mais un bon Econome ne doit pas être seulement habile et avoir de bons réflexes, il doit aussi avoir le caractère de Jésus-Christ ou l’approcher.
L’humanité produit dans ses écoles des multitudes de forme d’Economie. Il est faut et mensonger de penser que le modèle de l’Economie occidentale soit le meilleur et l’unique modèle digne d’être appliqué. Et je tiens pour preuve de ces propos, qu’il existe en Occident des modèles économiques très différents selon les idées politiques et morales des gens qui les représentent. Un professeur d’Economie de « gauche » va favoriser l’aspect social de sa gestion ; à l’opposé, le professeur de « droite » favorise la classe des riches dite libérale.
Tous ces modèles fonctionnent, mais sous une condition indispensable : la totale indépendance nationale protégée par des frontières contrôlées et des taxes douanières. A l’intérieur de ces frontières, la part du pauvre peut être améliorée en limitant la cupidité et l’avarice des riches. Une telle nation indépendante peut prospérer bien qu’étant en concurrence avec d’autres modèles dont elle doit impérativement se protéger.
Avec mes 81 ans passés, j’ai connu la France quand elle présentait ce modèle, jouissant d’une totale indépendance. Son modèle social était dû à une forte représentation communiste influencée par l’URSS. Le général de Gaulle avait tenu à rendre la France indépendante envers les USA auxquels il a réglé une lourde dette de guerre. La réelle indépendance de cette France obligeait le pays à produire lui-même tout ce dont il avait besoin, en agriculture, en industrie, et dans tous les domaines, civils et militaires. La base d’une bonne Economie est très simple : un pays doit produire pour pourvoir à ses besoins, exporter le surplus, et importer ce qu’il ne sait pas ou ne peut pas produire. Et en dehors de cette règle, les choix de l’Economie interne favorisent les riches ou les pauvres. Pour que chaque membre de la société ne soit pas lésé, l’esprit de justice et d’équité doit animer ses dirigeants en chef et ses députés.
A l’extérieur de cette nation France indépendante, tous les peuples occidentaux sont restés redevables aux USA qui installent chez eux des camps militaires sensés les protéger. En réalité ils y font prospérer leur culture économique du capitalisme. Seule, la France résiste à cette influence capitaliste des USA, comme l’Astérix gaulois résiste à César dans la célèbre série française de la bande dessinée. Pour décrire ce qu’est le capitalisme je ne trouve pas d’autre comparaison que la « loi de la Jungle » qui veut que le plus fort dévore le plus faible. Et je crois sincèrement, que Dieu a créé la terre africaine pour illustrer ce message. Aujourd’hui la Jungle n’est plus en Afrique, elle est aux USA. Car celle de l’Afrique continue de concerner des animaux féroces, alors qu’aux USA, ces bêtes féroces sont humaines, très loin de l’image originelle de Dieu.
En 1843 et 1844, la religion protestante sous ses diverses formes et groupes a été éprouvée par Dieu et livrée au diable et ses démons. En conséquence, le diable œuvre depuis ces dates pour lui livrer les peuples du monde, comme il l’avait proposé à Jésus-Christ, juste avant son baptême. Or, en raison de son apparence religieuse chrétienne, cette conquête ne peut pas être obtenue par la guerre. Et dans Apocalypse 13 la bête dominante de la fin du monde est illustrée par un « agneau », l’image de Jésus-Christ, porteur de « deux cornes » qui désigne la religion protestante majoritaire et la religion catholique minoritaire que la terre américaine porte et représente en notre temps de la fin. Après le symbole de l’agneau l’Esprit impute à l’Amérique des USA, le symbole du « dragon » car elle parlera comme lui selon le verset 11 : « Puis je vis monter de la terre une autre bête, qui avait deux cornes semblables à celles d'un agneau, et qui parlait comme un dragon. »
Il faut suivre cette clé que l’Esprit nous montre : pour décrire l’état d’esprit de l’Amérique des derniers temps, il suffit de relever les paroles déjà imputées au dragon, dans ce chapitre 13 et ailleurs. Nous sommes depuis le 6 Août 2025 dans le temps où ce comportement de dragon apparaît aux USA dans les propos tenus par Donald Trump dont l’orgueil démesuré éclate aux yeux de tous les habitants de la terre. L’Amérique est la bête qui parle comme le dragon au sujet de laquelle il est dit :
Verset 4 : « Et ils adorèrent le dragon, parce qu'il avait donné l'autorité à la bête; ils adorèrent la bête, en disant : Qui est semblable à la bête, et qui peut combattre contre elle ? »
Ses adorateurs disent à son sujet : « Qui est semblable à la bête, et qui peut combattre contre elle ? » Ces paroles expriment la reconnaissance de la puissance mondiale financière et militaire, qu’après le temps des monarchies catholiques européennes, les USA incarnent sans contestation possible, en 2025.
Verset 5 : « Et il lui fut donné une bouche qui proférait des paroles arrogantes et des blasphèmes ; et il lui fut donné le pouvoir d'agir pendant quarante-deux mois. »
Là encore, le double accomplissement impute ce verset aux USA. Donald Trump profère déjà des paroles arrogantes quand il déclare son intention d’établir la paix sur la terre, mais aussi quand il pense être un instrument béni par Dieu pour mener à bien ses œuvres. Ignorant que Jésus a déclaré : « Malheur à vous riches », ce milliardaire américain ose croire à sa bénédiction.
Et le temps de « quarante-deux mois » de la « sixième trompette » peut lui aussi permettre de lui imputer, en second accomplissement, les « quarante-deux mois » de ce verset, prophétiques pour la première bête, et littéraux, pour Donald Trump.
Verset 6 : « Et elle ouvrit sa bouche pour proférer des blasphèmes contre Dieu, pour blasphémer son nom, et son tabernacle, et ceux qui habitent dans le ciel. »
Je relève déjà l’analogie de ce verset avec
Daniel 8:10-11 : « Elle s'éleva
jusqu'à l'armée des cieux, elle fit
tomber à terre une partie de cette armée et des étoiles, et elle les foula.
Elle s'éleva jusqu'au chef de l'armée,
lui enleva le sacrifice
perpétuel, et renversa le lieu
la base de son sanctuaire. »
Ces critères sont autant imputables aux USA protestants qu’au catholicisme romain européen. Les deux religions blasphèment contre Dieu dont le nom Jésus-Christ est blasphémé parce qu’ils se réclament de lui et de son salut malgré leur indignité. Ce blasphème en forme de mensonge renouvelle la faute des Juifs que Jésus accuse de mentir en revendiquant leur judaïté dans Apocalypse 2:9 et 3:9 ; « son tabernacle » soit, sa demeure céleste et terrestre que représente son Eglise, son Elue ; et « ceux qui habitent dans le ciel » : cette expression peut être traduite par « les citoyens du royaume des cieux » soit, le nom par lequel Jésus désigne ses vrais rachetés que les deux « bêtes » persécutent tour à tour, en leur temps.
Ma première interprétation de ce verset reste valable et Dieu dénonce les fausses interprétations catholiques et protestantes de la vie céleste dans laquelle ils mentent en évoquant l’existence du paradis, des enfers ; et pour les seuls catholiques, un purgatoire imaginaire. Les saints canonisés par le catholicisme ne sont pas reconnus par Jésus-Christ qui également ne reconnaît plus les protestants depuis 1843, et les adventistes apostats depuis 1994.
L’Amérique est donc parfaitement identifiable à cet « agneau » qui parle comme « un dragon ». Et le temps pour passer de l’un à l’autre de ces deux comportements opposés se situe globalement entre 1843 et 2030 et plus spécifiquement entre le 7 Août 2025 et le 17 Janvier 2029 ; le temps de la « sixième trompette ». Et le temps du « dragon » persécuteur concerne la période située entre le 18 Janvier 2029 et le 20 Mars 2030 jour de l’enlèvement des élus par l’intervention de Jésus-Christ ; et pour les rebelles, le 3 Avril 2030, veille de la Pâque juive de l’année 2030, sera le jour de leur extermination. Le temps des « sept derniers fléaux de la colère de Dieu » devrait commencer en Juillet 2029 et finir le 3 Avril 30, par « le septième » de ces fléaux représenté par une pluie de pierre de « grêle » selon Apocalypse 16:21 : « Et une grosse grêle, dont les grêlons pesaient un talent, tomba du ciel sur les hommes ; et les hommes blasphémèrent Dieu, à cause du fléau de la grêle, parce que ce fléau était très grand. »
Entre l’agneau et le dragon, les USA devaient séduire les peuples européens, l’Europe étant le berceau de leur origine. Et là, se trouvait en Europe, cette France à laquelle les USA se sont sentis longtemps redevables à cause de l’aide en armes donnée par le roi Louis XVI aux insurgés américains entrés en lutte contre la Couronne anglaise, pour obtenir leur indépendance.
Dans la suite du temps, à leur tour, les Américains sont venus deux fois au secours de la France en guerre contre l’Allemagne. Mais déjà, à la seconde fois, en 1944, le secours américain était moins chaleureux. Car, la Seconde Guerre Mondiale avait réveillé un géant endormi qui prenait conscience de son énorme puissance. C’est d’ailleurs bien la construction des navires, des avions, des véhicules, des tanks et des armes qui a dopé l’industrialisation du pays. Contrairement à 1914-1918, où des combattants américains volontaires sont venus se battre en France contre l’Allemagne, en 1941 et jusqu’en 1945, les USA ont dû combattre plusieurs ennemi dans le Pacifique et en Europe. Il est vrai que le continent américain se trouve situé entre les deux grands océans de la terre, l’énorme Pacifique et le moindre, Atlantique. Cet emplacement donne aux USA une vocation à dominer la terre. Mais elle doit pour atteindre ce but asservir de puissants concurrents, la Chine, l’Inde, la Russie et l’Europe.
En position dominante depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale, les USA se sont lancés à la conquête de toutes les nations de la terre, mais leur Economie capitaliste s’est heurtée à la résistance de l’Economie communiste russe, puis chinoise. Profitant de la paix mondiale, les Américains ont engagé des tractations avec la Chine communiste pour lui proposer un accord basé sur le double système communiste et capitaliste. En fait, les investisseurs américains étaient prêts à financer en Chine des industries chargées de produire pour eux, avec du personnel chinois et sous les conditions chinoises, des produits exportables dans le monde entier. Les salaires chinois étaient, à cette époque de mise en route, quelques 50 fois, inférieurs aux salaires occidentaux. Les profits obtenus étaient abyssaux et personne en Europe ou aux USA ne pouvait concurrencer des prix de vente aussi bas. Dans ce partenariat, les Américains ont donné à la Chine toutes les avancées de leur technologie, et aujourd’hui, 20 ans plus tard, la Chine, l’élève, devance le maître, dépassant le potentiel constructif et inventif des USA. Dans le même temps, incapable de résister aux importations chinoises, l’Europe est affaiblie ayant perdu son exclusivité productrice des hautes technologies. Les unes après les autres les grandes sociétés européennes ont dû pour survivre se délocaliser en Chine.
C’est alors que l’alliance européenne est devenue un piège pour ses pays membres. Car, ayant perdu et renoncé à son indépendance, mon pays, la France a été incapable de résister à l’argent facile obtenu par l’achat d’actions boursières et l’investissement direct sur internet. Une sorte de folie s’est emparée des dirigeants nationaux tournés vers ces échanges boursiers. La destruction des emplois ne les préoccupait pas. Car sous l’influence du capitalisme conquérant, chacun faisait confiance au marché qui allait tout régler après quelques soubresauts momentanés. C’est ce qui arrivait aux USA depuis longtemps, des entreprises fermaient et d’autres s’ouvraient dans d’autres secteurs plus favorisés. La confiance et l’optimisme sont deux éléments qui caractérisent les êtres humains. Quand ils regardent derrière eux, ils voient des décennies et des siècles de vie secoués par des drames, mais l’humanité leur a survécu, et cette pensée les anime encore aujourd’hui, en ce Jeudi 16 Septembre 2025.
Pourtant, il est temps aujourd’hui de réaliser que l’optimisme est une sorte d’aveuglement et qu’il est très préjudiciable, parce que Dieu ayant mesuré le temps, vient l’heure où l’optimisme n’est plus raisonnable, parce que le projet de Dieu révélé le contredit et le condamne. C’est donc dans un tel état d’aveuglement d’optimisme que la France s’est dénudée, laissant détruire en 20 ans une immense partie de l’infrastructure de sa production industrielle nationale construite sur plus de 60 ans.
Face à un tel désastre, il me faut ajouter que la France n’est pas comme les USA peuplés de gens habitués à la dureté de la vie et son extrême fragilité. Aux USA, la ruine et la fortune se côtoient, et le caractère aventureux des Américains favorise leur adaptation aux revers de fortune de leur existence. Mais ce n’est absolument pas le cas, en France, où les habitants subliment la stabilité et la sécurité, et surtout, la protection sociale nationale. Or, depuis l’échec constaté des législatives de 2024 qui ont intensifié sa minorité au parlement, le jeune président Macron redoute une nouvelle consultation électorale du peuple qui aurait été la mesure la plus légitime qu’il aurait dû prendre quand le temps d’une année prévu par la constitution pour renouveler le vote populaire s’est écoulé. Refusant le risque de retrouver un RN renforcé par le vote du peuple, il a donc prolongé la crise politique en imposant successivement quatre « premier ministre » dont les trois premiers ont été rejetés par l’assemblée. En ce jour le quatrième vient d’échapper de justesse à deux motions de censure.
La démocratie française offre ainsi une image pitoyable de sa forme actuelle. La bonne Economie ne peut fonctionner que si elle est soutenue par une bonne politique. Or, en France, la démocratie est en lambeaux. Aux avantages sordides recherchés tour à tour par la droite et la gauche affairiste s’est ajouté l’orgueil personnel de la troisième voix centriste; celle du président Macron et de ses députés parlementaires. Les difficultés apparues dans notre démocratie sont dues à une dérive constante du sens donné au mot démocratie. A l’origine, le modèle est né en Grèce, à Athènes. Chaque habitant de la ville représentait une voix dans une complète égalité avec tous ses concitoyens. Ce principe a été conservé uniquement en Suisse où la population vote publiquement à main levée pour toutes les propositions faites par les députés et le gouvernement. Dans ce type idéal de démocratie, chaque individu se représente lui-même avec ses idées personnelles, son caractère individuel, et ses intérêts particuliers. Rejetant ce modèle, la France a déformé l’aspect de la démocratie, étant influencée par son héritage révolutionnaire déjà constitué de blocs regroupant des classes humaines différentes, le petit peuple, les commerçants et les professions libérales, les patrons, et les financiers. Je l’ai souvent dit, mais la France est restée marquée par l’opposition des classes. Et dans ses Républiques, la chambre du Sénat témoigne du contrôle des riches ; un contrôle permanent et persistant sur les décisions prises par les députés élus directement par le peuple. Dans l’année qui vient de s’écouler, des Sénateurs non élus par le peuple ont été appelés comme ministres. Et le président est en droit d’appeler à cette fonction de ministre tout personnage jugé capable de tenir un poste ministériel. L’examen de cette 5ème République fait apparaître une incroyable ressemblance à l’ancien régime monarchique. Le roi nommait lui-aussi qui il voulait aux différents postes de son gouvernement sans rendre des comptes à personne. Sous son habillage républicain, la 5ème République est un régime autocrate qui laisse croire au peuple qu’il garde le pouvoir. Mais la situation actuelle le prouve, il n’en est rien. Le pouvoir est entre les mains et dans les décisions prises par le locataire de l’Elysée, qui est aujourd’hui responsable d’une menace de guerre russe et de la ruine financière de la France ; les deux choses étant d’ailleurs aussi reliées.
En organisant ces choses, le grand Dieu créateur, donne la preuve que la démocratie, ou ce qui est vendu sous ce nom, ne solutionnent pas les problèmes relationnels humains. Le principe majoritaire n’étant plus possible, c’est le principe démocrate qui s’écroule, comme un ballon percé. Bref ! Le gouvernement actuel sauve sa peau ; la bataille parlementaire va pouvoir se prolonger…
L’Economie nationale devrait être à l’image de la vie d’un foyer familial. Les deux utilisent les mêmes mots : budget, salaire, dépense, économie, profit ou dette. Aussi, la première chose que je relève, c’est la trahison des élites politiques qui a causé l’endettement français depuis l’année 1974 ; actuellement de 3400 milliards d’euro, dont un aggravement brutal de 1000 milliards d’Euro par le seul président Macron en poste depuis 2017. Cette trahison est la conséquence d’une dégradation morale de ces élites politiques qui ont laissé sombrer l’Economie française ; ce qu’elles ne font pas pour leur famille ou leur propre vie. La moralité humaine est en cause et celle-ci s’est développée avec l’augmentation de la prospérité et de la richesse individuelle. L’amour de l’argent est la racine de tous les maux dit la sainte Bible et parmi ces maux se trouve l’aveuglement et le comportement hypocrite. Et quand ce type de gens dirige un pays pendant 50 ans, le résultat est celui de l’actuelle France.
Dieu a placé dans sa création la vie animale qui a précédé la création de l’homme. Je pense que Dieu a créé ces multitudes de vies animales pour adresser par elles des leçons aux êtres humains. Dans chaque espèce, famille et race, dans leur vie, les animaux ont un comportement particulier qui les caractérise. Et j’ai déjà cité ce monsieur Jean de la Fontaine qui en premier ou en second après les Chinois, a eu la sagesse de relever leur particularité. Que de leçons sont à retirer de leurs existences ! Celle du coucou est particulièrement édifiante. Ce gros oiseau place son gros œuf au milieu des œufs du nid d’un oiseau quatre à cinq fois moins gros que lui. Ne remarquant pas la différence anormale de la taille de ce gros œuf, les petits oiseaux le couvent avec leurs propres œufs. Puis vient le jour ou les œufs éclosent et le petit du Coucou sort de sa coquille dans une taille quatre fois plus grande que les autres œufs. Les parents s’épuisent pour le nourrir délaissant leurs propres œufs qui finissent par mourir. Cette description est pour moi une parabole dans laquelle l’islam, la religion musulmane, tient le rôle de l’œuf du coucou. Je te laisse méditer la chose. La vie des abeilles nous donne l’image d’une vie collective exemplaire et j’ai appris dans un document télévisé que chaque abeille est polyvalente. Elles sont toutes successivement nourrices des larves, guerrières, et butineuses. Leur polyvalence assure l’égalité et élimine le risque d’affrontement entre elles. Elles se mettent toutes au service de la reine quatre à cinq fois plus grosse et grande qu’elles parce qu’elle est nourrie de la gelée royale produite par une reine dès son état de larves. La vie des animaux ne change pas et n’évolue pas. L’animal est donc un modèle de stabilité qui condamne la dégradation morale des êtres humains modèles d’instabilité et de corruption. Cette dégradation est lente mais constante, chaque année ceux qui naissent iront plus loin dans le mal que ceux qui sont nés un an avant eux. Et pour chaque enfant mâle ou femelle nouveau-né, la norme légitimée est celle qui prévaut dans le monde où il naît.
L’Economie a sa première application dans notre vie individuelle, car nous avons tous à satisfaire les besoins vitaux de notre corps physique et de notre esprit le siège de notre intellect. Gérer notre âme n’est pas si différent que gérer un pays et cette comparaison est heureuse et justifiée parce qu’elle témoigne de l’indispensable indépendance. Chaque créature gère sa propre vie et elle profite ou subit les conséquences de sa bonne ou mauvaise gestion. C’est la raison pour laquelle le malheur a frappé la France quand elle a renoncé à son indépendance. Et individuellement c’est encore notre indépendance qui nous donne notre liberté de choisir de servir Dieu ou de ne pas le faire ; mais là encore, ces choix portent leurs conséquences.
Chaque serviteur de Dieu devient son économe, car il doit apprendre à bien gérer les biens spirituels que Dieu lui confie. Et Jésus confirme la chose en présentant dans Matthieu 25:14 à 30 sa « parabole des talents ». La leçon enseignée est que Jésus-Christ donne des talents à ses serviteurs, mais seuls ses élus les font fructifier. Cette particularité qui caractérise ses élus repose sur le fait que leur foi est constamment nourrie par Dieu et ce verset d’Osée 4:6 confirme la différence qui fait l’élu ou l’appelé : « Mon peuple est détruit, parce qu'il lui manque la connaissance. Puisque tu as rejeté la connaissance, je te rejetterai, et tu seras dépouillé de mon sacerdoce ; puisque tu as oublié la loi de ton Dieu, j'oublierai aussi tes enfants. »
Le modèle économique adopté par les peuples reflète et révèle l’état d’esprit de sa population. A ce sujet, le modèle français est loin d’être le pire et dans les années 60 à 70, il était selon moi, le meilleur, parce que bien équilibré. L’influence du parti communiste fortement représenté permettait de limiter les excès du parti de droite gaulliste qui était au pouvoir. La situation a brutalement changé en 1981, avec l’arrivée au pouvoir de l’avocat François Mitterrand dont les origines de droite extrême étaient remplacées par un choix socialiste dit « de gauche ». Ce nouveau centre bourgeois a cannibalisé le parti communiste qui s’est littéralement fondu en lui. L’homme a réussi à séduire les travailleurs en se présentant comme le nouveau chef de file de la gauche française, il fut ainsi l’inventeur de l’union des « gauche » alors que son parti socialiste était très réduit et qu’il rassemblait à l’origine, essentiellement, des petits patrons, des commerçants et des professions libérales. Les excès de dureté de ses débuts avaient fait place à une bonhommie très humaniste. Il s’est montré soucieux de plaire à la jeunesse montante très revendicative de libertés nouvelles, et comme le nom de son parti politique l’indique, il a favorisé le soutien social. Sous sa gouvernance, la France est devenue encore plus laïque et les élites politiques ont totalement ignoré le danger représenté par l’islam envahisseur favorisé depuis la loi du regroupement familial, votée et adoptée en 1976, par Jacques Chirac, le premier ministre de la présidence de Valéry Giscard d’Estaing. Dès lors, le destin funeste de la France allait se construire et se confirmer année après année, jusqu’au temps fixé pour le drame.
En 1974 et 1976, l’Economie française subit deux coups de butoir dont les conséquences vont changer sa situation durablement. Les deux coups sont reliés aux arabes musulmans. En 1974, la gestion du pétrole étant reprise par les pays arabes, en France, le choc pétrolier renchérit le prix de la vie de 40 %. Et en 1976, la France installe sur son sol, l’islam musulman incompatible avec l’esprit français laïc. Les premiers immigrés, alors en petit nombre, deviennent assez rapidement, responsables d’actions de délinquance, mais les autorités françaises ferment les yeux sur ces choses au nom d’un slogan devenu célèbre : « touche pas mon pote ». Comme Israël en Egypte, la population musulmane se multiplie rapidement car l’islam relie la bénédiction de Dieu avec le nombre d’enfants mis au monde. Alors que pour des raisons économiques, les français d’origine limitent entre un et quatre le nombre de leurs enfants, les familles musulmanes ne les limitent pas et peuvent atteindre 11 à 14 enfants voire davantage. Ma comparaison avec Israël en Egypte permet de comprendre la raison pour laquelle Dieu fait accomplir cette chose : le but est la dispute, et à terme la destruction de la France, la cible de sa colère.
Après 1945, sous la direction du général de Gaulle la France a manifesté son désir d’indépendance envers les Américains et revenant au pouvoir en 1958, le général a obtenu cette indépendance totale en remboursant la dette de guerre fixée par eux. Le général a commencé à poser les bases d’une union entre la France et l’Allemagne et cette union a lentement pris forme et c’est en 1981 que François Mitterrand a fraternisé avec le chancelier Elmut Köhl. Le marché commun a pris forme réunissant six pays européens auxquels les Anglais se sont joint plus tard. Dans cette alliance, la France a perdu son indépendance, et son économie qui fonctionnait bien dans l’indépendance a rencontré des problèmes de concurrence entre les pays de l’union dont les niveaux de vie étaient très différents. Mais les monnaies nationales de chaque pays limitaient les problèmes de cette concurrence. Toutefois, en première, formée par les USA selon leur modèle économique purement capitaliste, l’Allemagne a su très vite exploiter ces différences de niveaux de vie et de niveau des salaires des travailleurs. Elle a été la première à délocaliser sa production en faisant fabriquer ses produits au Portugal ; à l’époque, le pays le plus pauvre de l’union, mais aujourd’hui, très équilibré et prospère.
Ici je vais encore faire une comparaison avec la vie spirituelle. Nous ne pouvons vivre notre foi de manière intègre qu’en restant entièrement libre et indépendant individuellement. Les devoirs envers Dieu ne permettent aucun compromis en faveur d’une créature. L’indépendance totale reste donc une règle religieuse et une règle économique. C’est pourquoi, en renonçant à son indépendance, la France a mis le doigt dans un engrenage qui l’a avalée en entier.
Les règles imposées dans l’union favorise l’achat et la vente des produits vendus les moins chers dans l’offre du marché. Individuellement, le consommateur choisit de payer le moins cher possible les biens qu’il achète. Mais agissant ainsi, il prive son pays, et favorise le pays producteur et le pays exploiteur de ces produits. L’Economie prend ainsi un rôle pervers qui conduit les peuples à détruire leur propre prospérité ; de même, qu’en religion, le compromis accepté avec la religion concurrente tue l’intégrité de la foi. Et en milieu clos européen, l’Allemagne a beaucoup profité de l’Union, parce qu’elle a beaucoup exploité ses travailleurs les moins payés. De la sorte, elle aurait dû subir en conséquence, une forte augmentation du chômage de ses propres travailleurs. Mais cela ne s’est pas produit, parce qu’en entrant dans l’OMC, la Chine devait être équipées d’une multitude de machines automatiques pour ses fabrications en séries dans ses usines. Et c’est elle, l’Allemagne qui a bénéficié de la fabrication de ces produits industriels hautement sophistiqués dont elle est la plus performante dans toute l’Europe. La France a subi constamment les conséquences de cette supériorité allemande industrielle qui ne faisait que croître alors qu’en France l’industrie ne faisait que diminuer.
La France n’existe aujourd’hui que par son héritage d’un prestige historique. La première république des temps moderne a marqué son temps et l’histoire. Mais en 2025, ce n’est plus qu’une coquille vide. L’aspect extérieur est extrêmement trompeur, car au regard humain, la vie humaine y est encore marquée par le confort de la vie moderne. Mais cette vie apparente trompeuse est une vie à crédit car une lourde dette de 3400 Milliards d’Euro pèse sur elle. C’est à ce prix qu’elle conserve son apparence de réussite et de puissance. Le crédit inventé par les Américains permet quand il peut être remboursé rapidement de passer un cap difficile. Mais si ce remboursement n’est pas possible ou trop difficile, le crédit est une « descente aux enfers » qui consume l’espérance de l’emprunteur, et la propriété des biens.
Dans l’alliance européenne, la France n’a pas prospéré comme ses élites politiques l’espéraient. Et face aux difficultés qui se présentaient à lui, le président actuel Emmanuel Macron a organisé la France en plusieurs grandes régions sur lesquelles il a déchargé les problèmes portés par l’Etat. L’unité nationale des Français est ainsi brisée, mais il peut maintenant surfer au-dessus de la vague du mécontentement, laissant aux présidents des régions la charge de régler les problèmes qui les touchent. Cependant, ces régions restent soumises aux règles nationales et aux règles européennes, donc aux deux chambres législatives nationales et européennes. La République française est donc plus innégale que jamais, car les régions ne sont pas égales et n’ont pas les mêmes chances. Par contre, elles font toutes faces aux mêmes problèmes de chômage, et d’insécurité, jusque dans les campagnes longtemps épargnées.
L’Economie est entre les mains de Dieu une arme redoutable. Par elle, il donne la prospérité et par elle il donne la ruine. Et aussi vrai qu’ « on juge un arbre à son fruit », on peut juger un pays et ses élites politiques à leur type d’Economie. Celui que représentent les USA est horrible, cynique, froid, mortel, tant il exalte l’égoïsme et la dureté qui reproduisent en nos jours le modèle de l’ancienne Rome républicaine conquérante rigide comme « le fer » et insatiable. Les paroles du roi Salomon citées dans Ecclésiaste 1:9 sont ainsi confirmées : « Ce qui a été, c'est ce qui sera, et ce qui s'est fait, c'est ce qui se fera, il n'y a rien de nouveau sous le soleil. » A l’opposé des USA, le modèle français se veut généreux et social. Il était donc humainement bien meilleur que celui de l’Amérique, mais pris dans la concurrence capitaliste européenne, il n’avait aucune chance de triompher : la loi des riches s’est toujours imposée aux pauvres, depuis la domination de la Rome républicaine, de la Rome impériale, et de la Rome papale. Et bien sûr, dans la concurrence mondiale, ses chances étaient encore moins grandes.
Si l’on regarde une carte du monde, on peut relever que la puissance finale des nations terrestres est proportionnelle à leur taille, leur dimension, leur étendue. Et entre les deux géants américains et russes, l’Europe est aussi petite et faible qu’elle apparaît sur la carte. Ce qui signifie que Dieu a voulu prophétiser la situation finale du monde par l’aspect donné aux continents de la terre entière. La densité élevée de l’Europe témoigne de son ancienneté en Occident seulement. Car, en Orient, la Chine et l’Inde représentent à elles seules trois milliards d’êtres humains qui sont devenus les derniers ouvriers des usines qui équipent le monde. Je relève de même, que l’hémisphère Nord a été privilégié par rapport à l’hémisphère Sud pour porter la vie et l’histoire humaine qui a connu un développement important en Egypte et en Israël, les deux pays de l’histoire de l’ancienne alliance. Ces deux pays se trouvent sur la ligne de partage du Nord et du Sud de la mer Méditerranée qui constitue la véritable ligne qui sépare spirituellement ces deux points cardinaux. Et ces deux pays représentent aussi deux religions opposées. Pour l’Egypte, l’islam et pour Israël, le judaïsme et le christianisme qui va naître à partir de lui et caractériser l’Occident septentrional. Or, c’est aussi vers le Nord que l’aiguille aimantée de la boussole pointe. Et le mot septentrion qui représente le Nord, porte la racine sept, le chiffre de Dieu. Toutes ces choses prouvent que Dieu a donné au Nord un rôle important supérieur aux autres directions cardinales. J’ai aussi relevé que le septentrion est présenté dans la sainte Bible comme une source d’apparition de vision divine comme dans Ezéchiel 1:4 : « Je regardai, et voici, il vint du septentrion un vent impétueux, une grosse nuée, et une gerbe de feu, qui répandait de tous côtés une lumière éclatante, au centre de laquelle brillait comme de l'airain poli, sortant du milieu du feu. » Mais le septentrion est principalement la source d’où vient le malheur ; exemple : Jérémie 4:6 : « Élevez une bannière vers Sion, Fuyez, ne vous arrêtez pas ! Car je fais venir du septentrion le malheur et un grand désastre. »
Dans les prophéties bibliques, le malheur vient souvent du septentrion sur Israël pour les deux raisons suivantes : 1- Israël est situé sur la base du septentrion spirituel historique. 2- Israël n’est accessible que par le Nord ou le Sud étant bordé à l’Ouest par la mer Méditerranée et à l’Orient, par un grand désert aride hostile, stérile et peu franchissable. Ceci justifie la venue de ses ennemis du côté du septentrion où sont dispersés les grands peuples de l’ancienne alliance, les Chaldéens, les Mèdes et les Perses, mais aussi après eux, les Grecs dont le terrible Antiochos IV Epiphane, et enfin, les Romains.
Du fait de l’inclinaison de 23 degrés de l’axe de la terre, pour l’été de l’hémisphère Nord, la zone la plus exposée au soleil, à 90 degré, cible le Sahara algérien. Et la ligne de l’équateur doit attendre nos Automnes et nos Printemps pour recevoir à son tour cette puissance solaire maximale. Mais Dieu a donné une prédominance à l’hémisphère Nord qu’il partage par la mer Méditerranée. Ainsi les peuples qui vivent à son Sud ou Midi sont désignés comme roi ou peuple du Midi ; et de la même manière les peuples vivant aux Septentrion de la mer, sont les rois et peuples du Septentrion. Mais l’histoire prophétique concernant globalement ce septentrion, l’Esprit désigne la Russie en précisant dans Ezéchiel 38:6 : « Gomer et toutes ses troupes, la maison de Togarma, à l'extrémité du septentrion, et toutes ses troupes, peuples nombreux qui sont avec toi. »
Je profite de cette citation pour confirmer par ce verset d’Ezéchiel 38:4 ce que l’actuel président russe Vladimir Poutine montre par son comportement : « Je t'entraînerai, et je mettrai une boucle à tes mâchoires ; je te ferai sortir, toi et toute ton armée, chevaux et cavaliers, tous vêtus magnifiquement, troupe nombreuse portant le grand et le petit bouclier, tous maniant l'épée ; » En effet, selon Donald Trump, le président Poutine se dit désireux de faire la paix bien qu’il signale la nécessité de régler de nombreux problèmes pour la rendre possible. La Bible confirme sa sincérité, et nous devons donc accepter le fait que c’est bien Dieu qui fait obstacle à la paix souhaitée par tous les hommes impliqués ou concernés par le conflit ukrainien et celui de Gaza, loin d’être terminé, qui implique Israël.
Ainsi, en dépit des affirmations mensongères des Européens et de l’Ukraine, le président Poutine ne met pas toute sa force dans la guerre menée contre l’Ukraine à laquelle il a tenu à donner le nom « Opération spéciale ». Son objectif militaire actuel n’est que de ramener l’Ukraine ou sa partie orientale dans le giron russe. Seulement, Dieu a un autre avis à ce sujet, et il obtiendra satisfaction en faisant accomplir ce qu’il a prophétisé dans Daniel 11:40 à 45 ; Ezéchiel 38 et 39 ; Zacharie 12 et 14:2 : « Je rassemblerai toutes les nations pour qu'elles attaquent Jérusalem ; la ville sera prise, les maisons seront pillées, et les femmes violées ; la moitié de la ville ira en captivité, mais le reste du peuple ne sera pas exterminé de la ville. » Ces versets prophétisent la « sixième trompette » d’Apocalypse 9:13 à 21. Alarmé par le risque d’escalade, le président russe a contacter le président Trump au sujet d’éventuelles livraisons de missiles Tomahawk demandés par l’Ukraine. Il lui a demandé de ne pas le faire au risque de créer une escalade qui détériorerait les relations russes et américaines. Ce n’est que la peur d’ouvrir une guerre mondiale nucléaire qui l’a conduit à réagir ainsi, et non la peur de la guerre conventionnelle qu’il veut prolonger jusqu’à atteindre son but. Les deux chefs sont convenus d’une rencontre à Budapest, capitale de la Hongrie problématique pour l’U.E. qui doit « avaler son chapeau » par ce choix imposé par Donald Trump le maître incontesté de la situation internationale actuelle. Le pays le plus riche de la terre fait ainsi plier devant lui ses alliés occidentaux, mais la Russie, c’est autre chose, un autre esprit, une autre mentalité, et un autre jugement qui condamne les valeurs immorales occidentales.
Et c’est son Economie revigorée par les taxes douanières imposées à tous les pays qui lui permet d’agir et d’imposer son autorité aux victimes de ses alliances capitalistes.
M70- La France humiliée et pillée
Ce dimanche matin, du 19 Octobre 2025, entre 9h30 et 9h37, à Paris, le Musée du Louvre a été l’objet d’un cambriolage d’une audace rare. Le fait mérite d’être souligné car son analyse est très édifiante. L’entrée dans le musée, s’effectue par l’entrée dans une pyramide de verre placée devant le Louvre. De ce fait, toute l’attention des touristes se concentre sur cette pyramide de verre. Les systèmes de sécurité sont aussi concentrés dans l’intérieur du palais, dans les différentes galeries et salles du musée. A l’époque où les esprits humains construisent leur sécurité sur des caméras vidéo gérées par l’informatique numérique, le vol commis contre ce coffre-fort des trésors culturelles français et mondiaux a été réalisé selon la méthode moyenâgeuse de l’attaque menée contre les châteaux-forts contre les murs desquels l’attaquant dressait des échelles qui montaient jusqu’aux créneaux défendus par des soldats. Dans le cas du Louvre, ce n’est pas une échelle qui a été utilisée, mais un véhicule de déménagement équipé d’une nacelle élévatrice. Ce véhicule a été amené par les quatre voleurs et ils l’ont garé, au-dessous de la fenêtre de la salle ciblée pour le vol. Cette salle se trouve sur la face droite du Louvre exposée au quai de la Seine. Cet endroit reste désert le stationnement étant interdit le long du palais. Le vol a été commis en 7 mn, un cycliste qui passait a assisté au cambriolage et a appelé la Police. Deux voleurs sont montés par l’élévateur, ils ont scié des barreaux protecteurs avec des disqueuses sans fil, ont brisé la fenêtre, sont entrés dans la pièce nommé salle Apollon et ont brisé les vitres qui protégeait des bijoux exceptionnels de l’histoire française monarchique et impériale. Ils ont dérobé 9 bijoux et sont repartis sur deux puissants scooters. Une couronne a été retrouvée sur le sol, probablement tombée dans le départ précipité des quatre voleurs.
Dans le temps où nous sommes entrés soit, celui de la sixième trompette, je crois pouvoir dire que ce vol vient confirmer la malédiction qui pèse sur la France et que ce vol audacieux vient confirmer la croissance extrême de la délinquance dont souffrent tous ses habitants victimes des choix politiques et sociaux des élites politiques françaises successives. Ce « casse », modèle du genre, confirme la liberté donnée aux démons sur l’ordre de Jésus-Christ. Le pillage dont souffrent individuellement depuis longtemps les Français frappe, cette fois, la France et ses élites, humiliées par le fait subi.
Après l’incendie de sa cathédrale Notre Dame de Paris le Lundi 15 Avril 2019, ce cambriolage du Louvre prend un retentissement mondial. Le musée a été immédiatement fermé et il est encore resté fermé ce lundi 20 Octobre 2025 au grand désarroi des touristes qui font de la visite du Louvre, un élément essentiel de leur passage à Paris. Détail à relever, après enquête, la police a découvert que le véhicule monte-charge utilisé par les « Casseurs » a été volé dans le Val d’Oise dans une commune nomme « Louvres » ; que Dieu est grand et subtil !
Dans cette affaire mystérieuse la question qui vient spontanément aux lèvres, est : qui a osé commettre un tel outrage ? Je crains que nous n’ayons pas rapidement la réponse ; si toutefois nous devons l’avoir. Car les hypothèses sont nombreuses, mais ce qui est sûr, c’est que les quatre voleurs ont agi comme un commando décidé à mener à bien son opération. Ce qui prend la forme d’un pillage, même réduit vu le nombre d’exécutants, porte une valeur symbolique indéniable dans ce temps où l’actualité est partagée par tous les habitants de la terre ou presque, partout où ils se trouvent. L’apôtre Paul disait « nous sommes en spectacle aux hommes et aux anges », et nous le sommes encore plus aujourd’hui à cause du progrès technique. Et ce que je trouve de particulièrement humiliant pour la France et le monde actuel, c’est cet assaut mené contre une façade et l’introduction par une fenêtre en étage élevé. Tous les services de sécurité modernes basés sur la technologie numérique sont contournés et trouvés inutiles et incapables d’empêcher une telle opération qui reposait sur une extrême rapidité pour réussir, car le poste de police était assez prêt du lieu du vol.
Sur notre terre, qui apprécie la valeur des bijoux, des pierres précieuses, des diamants, des perles, et de l’or ? Ces bijoux ont été créés à la demande de grands souverains qui riches eux-mêmes favorisaient les riches et la fausse religion catholique romaine. J’entends Jésus-Christ dire à travers ce fait : « Malheur à vous, riches ». Ensuite, la salle cambriolée porte le nom « Apollon » nom que Jésus cite pour désigner le diable et qui signifie le destructeur, dans Apocalypse 9:11 : « Elles avaient sur elles comme roi l'ange de l'abîme, nommé en hébreu Abaddon, et en grec Apollyon. » Or, depuis son premier roi nommé Clovis, les monarques, les empereurs et les présidents qui ont dirigé la France sont autant de serviteurs du diable, le Destructeur en chef. Et je rappelle que Paris est ciblée par Jésus-Christ qui la nomme Sodome et Egypte dans Apocalypse 11:8 : « Et leurs cadavres seront sur la place de la grande ville, qui est appelée, dans un sens spirituel, Sodome et Égypte, là même où leur Seigneur a été crucifié. » C’est bien de Paris qu’il s’agit et non de Jérusalem, comme l’expression « la même ou leur Seigneur a été crucifié » peut le faire croire. Car Dieu compare les deux haines manifestées contre Jésus-Christ, à Jérusalem en l’an 30 et à Paris en 1793, où les Bibles étaient brûlées en autodafés. Le libre penseur Voltaire osait nommer Jésus-Christ, « l’infâme ». Qui était l’infâme des deux ? Voltaire était d’autant plus coupable, qu’il sut protester contre l’accusation portée contre le protestant Callas accusé injustement d’action adultère commise envers ses enfants. Comment cet homme pouvait-il justifier le juste humain et insulter le juste divin et humain ? Par pure et simple incrédulité rebelle digne de l’être insoumis qu’il était. Quelle excuse peut présenter un homme quand il condamne le Dieu miséricordieux compatissant à cause de la méchanceté de gens qui se réclament visiblement injustement de lui ? Ceux qui agissent encore aujourd’hui comme Voltaire partagent avec lui sa culpabilité.
Le mini pillage du Louvre de ce dimanche, le jour maudit par Dieu instauré depuis le 7 Mars 321 où l’empereur romain Constantin 1er a fait de son « jour du soleil » païen le jour de repos imposé dans tout l’empire romain, confirme la malédiction de l’adoption de ce premier jour en remplacement du repos du septième jour sanctifié par Dieu depuis sa création terrestre.
Ce mini pillage ne fait que prophétiser des pillages beaucoup plus grands que Dieu réserve à la France républicaine laïque et rebelle. Le pillage est la punition que Dieu réserve à son peuple devenu infidèle. En premier, Israël en fut victime, selon les avertissements donnés par Dieu dans Ezéchiel 26:25, en parallèle avec notre « quatrième trompette » qui est à l’origine du laïcisme actuel français depuis l’année 1793, le « cinquième avertissement » dit : « Je ferai venir contre vous l'épée, qui vengera mon alliance ; quand vous vous rassemblerez dans vos villes, j'enverrai la peste au milieu de vous, et vous serez livrés aux mains de l'ennemi. »
Ensuite, en parallèle avec notre actuelle « sixième trompette » commencée le 7 Août 2025, son « sixième avertissement » de Lévitique 26:30 dit : « Je détruirai vos hauts lieux, j'abattrai vos statues consacrées au soleil, je mettrai vos cadavres sur les cadavres de vos idoles, et mon âme vous aura en horreur. » je relève le lien évident qui relie le Louvre, sa pyramide de verre, et l’obélisque de la place de la Concorde dédié au soleil divinisé nommé « Râ » ou « Ré » par les Egyptiens ; ce qui vaut à Paris d’être nommée symboliquement par Dieu « Sodome » et « Egypte ». Le châtiment réservé à Paris ne peut donc à ce titre qu’être d’une ampleur exemplaire que le nom « Sodome » suggère fortement : « le feu du ciel » que reproduit de nos jours le feu nucléaire maîtrisé par les grandes puissances terrestres humaines.
L’humiliation de la France est méritée et elle ne peut pas être évitée, parce que celui qui veut l’humilier est le grand Dieu créateur, l’Esprit qui porte et contrôle tout ce qui vit et qui est. Les incrédules tentent de justifier leur incrédulité en évoquant le fait que Dieu est invisible. C’est vrai ! Mais c’est pour leur enlever ce prétexte que Dieu est venu sur la terre dans la chair sous le nom glorieux de Jésus de Nazareth dont les Evangiles et les épîtres de la nouvelle alliance expliquent clairement la justification de sa naissance, son ministère et sa mort volontaire. C’est l’existence de la sainte Bible et des deux témoins successifs de son alliance qui condamne aujourd’hui leur prétendue incrédulité qui est en réalité, le refus de se soumettre à la volonté divine.
Ce mardi 21 Octobre 2025, un fait rarissime humilie encore mondialement la France. Le président de la France entre 2007 et 2012, Nicolas Sarkozy, entre dans la prison de la Santé, à Paris. Après des années de combats en justice, les juges des affaires financières l’ont condamné, sans s’appuyer sur des preuves, mais sur des évidences d’intentions. Dans la justice humaine, les gens malins et habiles peuvent faire le mal sans laisser des preuves. La justice s’est donc doté du droit de condamner quand un faisceau de présomptions est suffisamment convainquant dans leur jugement. Le président proteste de son innocence et un cercle familial entouré de nombreux amis soutient sa position. Les médias français font de ce fait la « une » de leur journée. Et cette situation est favorable à un jugement de valeur que chacun peut porter sur la France et ses élites politiques et médiatiques ; deux frères siamois inséparables.
En France, deux cent ans et plus après la Révolution française, une gouvernance républicaine reproduit les normes de l’ancien régime monarchique. La 5ème République a grandement favorisé cette reproduction en donnant au chef de l’Etat une puissance et des droits abusifs. A une époque, sous cette 5ème République, les députés se sont auto-graciés quand la justice a condamnés pour des dépassements de budget illicites, de nombreux partis politiques représentés à la chambre législative. Qui peut contrôler le chef d’une nation qui dispose du pouvoir quasi absolu ? Les hommes le craignent et lui obéissent aveuglément. Il ne reste donc que Dieu pour le faire et le rendre possible. Car si les preuves pour l’accuser manquent, les actions connues qui lui sont imputées présentent un homme sans scrupule, rompu aux exercices et épreuves judiciaires étant lui-même professionnellement un avocat d’affaire. Or, la justice humaine repose sur l’intervention de gens nommés avocat dont le travail consiste à faire de gens coupables des gens jugés innocents et relaxés par les tribunaux. Il dispose pour cela, des textes de lois porteurs de contradictions ou d’imprécisions qu’ils réussissent à exploiter. Ainsi, comme la lettre de la loi divine, la lettre de la loi humaine condamne ou justifie.
La loi humaine reflète la moralité des gens qui promulguent les lois soit, les députés. Je relève particulièrement ce changement révélateur de la loi injustifiable qui fait que l’homme soupçonné par la justice bénéficie du statut de « présumé innocent ». Je précise que l’adoption de ce principe a été légiférée parce que de plus en plus de gens politiques, députés, ministres et aujourd’hui président, ont été concernés et mis en accusation par les autorités judiciaires. Je suis étonné de voir avec quelle facilité ce dogme a été accepté par les médias qui auraient pu dénoncer cette pantomime politique qui déshonore, réellement, la France, ses élites, et son peuple entier, devant la face des autres nations de la terre. La France remet en cause son respect de la logique pour favoriser des privilèges de la classe politique. Ce jeu est dangereux et tiendra un rôle à l’heure des affrontements populaires internes qui viennent comme ce fut le cas en 1791 et jusqu’à Napoléon 1er Bonaparte.
Ce sujet me donne l’occasion d’exalter la justice divine, admirable, parce qu’elle est réellement parfaite. Et ce qui la rend parfaite, c’est que Dieu est à la fois, le législateur, le juge, l’avocat et la victime expiatoire. Sa loi est parfaitement juste et justifiée, car toutes ses ordonnances ont une sage raison d’exister. Son rôle de Juge s’appuie sur des textes de loi mais aussi sur une démonstration de vie révélée par son ministère terrestre en Jésus-Christ. Son rôle d’avocat ne profite qu’à des coupables réellement repentants qui produisent le fruit de repentance. Ces coupables sauvés sont ses élus rachetés par son sang versé au pied du Golgotha. Dieu dit dans Exode 34:6-7 : « Et YaHWéH passa devant lui, et s'écria: YaHWéH, YaHWéH, Dieu miséricordieux et compatissant, lent à la colère, riche en bonté et en fidélité, qui conserve son amour jusqu'à mille générations, qui pardonne l'iniquité, la rébellion et le péché, mais qui ne tient point le coupable pour innocent, et qui punit l'iniquité des pères sur les enfants et sur les enfants des enfants jusqu'à la troisième et à la quatrième génération ! »
Ce dernier verset reprend en partie le texte du deuxième des dix commandements de Dieu. Toute l’humanité est coupable par son héritage du péché originel, mais Dieu fait la différence entre la culpabilité héritée et la culpabilité de la méchante nature rebelle irrécupérable. Ses élus pèchent par faiblesse contrairement au rebelle qui pèche par arrogance et volonté d’insoumission. Dieu ne fait pas d’exception de personne et ses exigences sont les mêmes pour toutes ses créatures humaines. Le modèle de référence est la loi de Moïse et son incarnation parfaite révélée par Jésus-Christ. Pour sauver ses élus, Jésus de Nazareth a vécu sans jamais pécher depuis sa naissance, et dès l’âge de douze ans, il avait conscience de sa mission terrestre engagée à l’âge de 31 ans en l’Automne 26. La veille du jour de la Pâque de l’an 30, il a offert sa vie parfaite en sacrifice, en livrant son corps à la flagellation puis la crucifixion romaines, volontairement, pour expier à leur place, les péchés de ses élus, ses rachetés fidèles. Voilà le type de juge qu’est le Dieu créateur YaHWéH, Micaël, Jésus-Christ qui juge les pensées, et sonde les cœurs et les esprits de toutes ses créatures.
Combien la justice humaine paraît injuste et minable après un tel exemple ! La différence repose principalement sur l’imperfection humaine qui ne se fie qu’à ce que ses yeux constatent. Et qui construit sa justice en opposant deux avis opposés, systématiquement opposés. Ce qui est inique dans ce système c’est l’acceptation du principe que l’avocat de la défense est autorisé à défendre le coupable endurcis irrécupérable. Il dispose pour obtenir cet injuste résultat de plusieurs moyens, le ton autoritaire qui impressionne les jurés, le vice de forme, et le faux témoignage. Aux USA, modèle du genre, la justice obtenue est une question d’argent et de richesse du prévenu accusé. Des sommes énormes sont consacrées à rémunérer des avocats pour d’innombrables recours en justice, pour des raisons futiles injustifiées. En France, le modèle américain tend à être reproduit de plus en plus. La vraie justice ne devrait pas reposer sur l’opposition de l’avocat de la défense et du juge accusateur nommé le procureur. La vraie justice devrait être confiée à des gens dont l’équilibre mental et moral permet un jugement équilibré. De tels juges doivent être capables de tenir compte des témoignages à charge et des témoignages qui innocentent un accusé présumé « coupable », sans quoi il ne serait pas conduit devant des juges. La conception de l’avocat de la défense est le fruit d’une perversion humaine. Dans la sainte Bible, Moïse a commencé par rendre lui-même, seul, la justice jusqu’à ce que son beau-père Jéthro lui conseille de nommer 70 juges. Il n’y avait pas d’avocat de la défense parmi eux, et leur jugement devait tenir compte des faits et rien que des faits, avec déposition de témoins ou pas.
La forme de la justice appliquée en France, mais aussi aux USA et d’une manière générale en Occident est entachée par le rétablissement de privilèges offerts aux gens les plus riches et les plus influents. Pourrait-il en être autrement dans un régime républicain qui revendique son rejet de Dieu ?
Le ressenti de l’injustice a été cause de la grande Révolution française de 1789, dans un temps de grande pauvreté dû aux guerres menées par le roi Louis XIV et aux gaspillages des dépenses du roi pervers Louis XV. Le pauvre Louis XVI n’était pas prioritaire pour monter sur le trône, mais la mort de l’héritier a changé son destin. Et c’est sur lui que la colère populaire amoncelée est retombée. A son époque, les classes ne se mélangent pas, les riches côtoient les riches et les pauvres sont exploités comme des animaux. Les paysans ne mettaient pas un pied dans les châteaux luxueux du Seigneur du lieu et ils ne voyaient pas comme aujourd’hui le luxe raffiné dans lequel leur maître évoluait, vêtu et rassasié à souhait. Ce fut d’ailleurs en entrant dans la luxueuse demeure de la marquise de Lamballe, que la colère populaire parisienne fit tomber la sa tête, la deuxième avant une longue série ; la première étant celle du « gouverneur de la Bastille », le marquis de Launay. Aujourd’hui, la différence est affichée et personne ne peut ignorer ce qu’est le luxe des gens fortunés actuels. L’injustice est ressentie par des gens de plus en plus pauvres qui regardent vivre des riches de plus en plus riches. Les conditions du soulèvement et des affrontements se reconstruisent ainsi de jour en jour.
Lorsque je donne à ce message le titre « la France pillée », je reste dans la conformité au programme prophétisé par Dieu car nous retrouvons dans la « sixième trompette » débutée le 7 Août dernier, en renouvellement, la concentration des cinq premières trompettes dont la première a consisté à livrer l’Europe Romaine au pillage commis par les peuples nordiques barbares, puis des peuples orientaux dont le célèbre chef des Huns nommé Attila, qui proclamait agir sur l’ordre de Dieu et revendiquait le surnom de « fléau de Dieu ». Apocalypse 8:7 confirme totalement ce témoignage historique : « Le premier sonna de la trompette. Et il y eut de la grêle et du feu mêlés de sang, qui furent jetés sur la terre ; et le tiers de la terre fut brûlé, et le tiers des arbres fut brûlé, et toute herbe verte fut brûlée. »
Décodé, ce verset signifie : « Dieu lança son premier avertissement. Et il y eut dévastation et des destructions mêlées de sang humain qui furent imposées par Dieu et accomplies sur la terre ; le tiers de l’Europe occidentale fut incendié et le tiers des forêts fut brûlé, et toute herbe verte fut brûlée ». Cette description confirme la célèbre devise d’Attila qui disait : « Là où mon cheval passe, l’herbe ne repousse pas ». Dans la « sixième trompette » ce rôle d’Attila sera tenu par les armées russes orthodoxes et musulmanes comme le prophétise Ezéchiel 38:11-12-13 : « Tu diras : Je monterai contre un pays ouvert, Je fondrai sur des hommes tranquilles, En sécurité dans leurs demeures, Tous dans des habitations sans murailles, Et n'ayant ni verrous ni portes; J'irai faire du butin et me livrer au pillage, Porter la main sur des ruines maintenant habitées, sur un peuple recueilli du milieu des nations, ayant des troupeaux et des propriétés, et occupant les lieux élevés du pays. Séba et Dedan, les marchands de Tarsis, et tous leurs lionceaux, te diront : Viens-tu pour faire du butin ? Est-ce pour piller que tu as rassemblé ta multitude, pour emporter de l'argent et de l'or, pour prendre des troupeaux et des biens, pour faire un grand butin ? »
Ces versets d’Ezéchiel prophétisent l’invasion d’Israël par les Russes et leurs alliés de l’Est. Les chapitres 38 et 39 ciblent essentiellement le peuple Juif revenu sur sa terre nationale après sa longue dispersion parmi les nations de la terre. Ces révélations éclairent et développent l’annonce cité dans Daniel 11:41 où il est écrit à son sujet : « Il entrera dans le plus beau des pays, et plusieurs succomberont ; mais Édom, Moab, et les principaux des enfants d'Ammon seront délivrés de sa main. » Alors que Daniel révèle l’attaque de la Russie menée contre l’Europe occidentale chrétienne infidèle, Israël et l’Egypte, de son côté Ezéchiel présente l’attaque russe portée contre Israël puni encore pour son rejet du Messie Jésus de Nazareth. Déjà, son retour sur sa terre nationale a été la consolation offerte aux survivants de la « shoah » par les USA.
Dans Ezéchiel 38 et 39, Dieu annonce principalement le châtiment de la Russie représentée ici par le nom « Gog » et dans Daniel 11:40 à 45, par le titre de « roi du septentrion » détruit sur les montagnes d’Israël selon le verset 45 : « Il dressera les tentes de son palais entre les mers, vers la glorieuse et sainte montagne puis il arrivera à la fin, sans que personne lui soit en aide. » Et selon Ezéchiel 38:21-22 : « J'appellerai l'épée contre lui sur toutes mes montagnes, dit le Seigneur, YaHWéH ; l'épée de chacun se tournera contre son frère. J'exercerai mes jugements contre lui par la peste et par le sang, Par une pluie violente et par des pierres de grêle ; je ferai pleuvoir le feu et le soufre sur lui et sur ses troupes, et sur les peuples nombreux qui seront avec lui. »
Ezéchiel 39 : 2 à 5 confirme qu’Israël sera le lieu de la destruction de l’armée russe : « Je t'entraînerai, je te conduirai, je te ferai monter des extrémités du septentrion, et je t'amènerai sur les montagnes d'Israël. J'abattrai ton arc de ta main gauche, et je ferai tomber les flèches de ta main droite. Tu tomberas sur les montagnes d'Israël, toi et toutes tes troupes, et les peuples qui seront avec toi; aux oiseaux de proie, à tout ce qui a des ailes, et aux bêtes des champs je te donnerai pour pâture. Tu tomberas sur la face de la terre, car j'ai parlé, dit le Seigneur, YaHWéH. » Le verset 6 élargit les cibles de la colère divine : « J'enverrai le feu dans Magog, et parmi ceux qui habitent en sécurité les îles ; et ils sauront que je suis YaHWéH. » Ce message éclaire le mystère des « nouvelles effrayantes » de Daniel 11:44 : « Des nouvelles de l'orient et du septentrion viendront l'effrayer, et il partira avec une grande fureur pour détruire et exterminer des multitudes. » ; « Magog » est le pays du « roi du septentrion ». « Le feu » nucléaire est envoyé dans « Magog » soit, en Russie, par les USA, que Dieu utilise pour accomplir sa volonté.
Dans Ezéchiel 39:23-24, Dieu confirme la malédiction qui frappe Israël : « Et les nations sauront que c'est à cause de ses iniquités que la maison d'Israël a été conduite en captivité, à cause de ses infidélités envers moi ; aussi je leur ai caché ma face, et je les ai livrés entre les mains de leurs ennemis, afin qu'ils périssent tous par l'épée. Je les ai traités selon leurs souillures et leurs transgressions, et je leur ai caché ma face. »
Le retour des Juifs en Palestine est prophétisé dans Ezéchiel 39:25 à 29 : « C'est pourquoi ainsi parle le Seigneur, YaHWéH : Maintenant je ramènerai les captifs de Jacob, j'aurai pitié de toute la maison d'Israël, et je serai jaloux de mon saint nom. Alors ils oublieront leur opprobre, et toutes les infidélités qu'ils ont commises envers moi, lorsqu'ils habitaient en sécurité leur pays, et qu'il n'y avait personne pour les troubler. Quand je les ramènerai d'entre les peuples, quand je les rassemblerai du pays de leurs ennemis, je serai sanctifié par eux aux yeux de beaucoup de nations. Et ils sauront que je suis YaHWéH, leur Dieu, qui les avait emmenés captifs parmi les nations, et qui les rassemble dans leur pays ; Je ne laisserai chez elles aucun d'eux, et je ne leur cacherai plus ma face, car je répandrai mon esprit sur la maison d'Israël, dit le Seigneur, YaHWéH. »
Selon Ezéchiel 39:12 à 14, pendant « sept mois » les habitants d’Israël enterrerons les cadavres de l’armée russe : « La maison d'Israël les enterrera, afin de purifier le pays ; Et cela durera sept mois. Tout le peuple du pays les enterrera, et il en aura du renom, le jour où je serai glorifié, dit le Seigneur, YaHWéH. Ils choisiront des hommes qui seront sans cesse à parcourir le pays, et qui enterreront, avec l'aide des voyageurs, les corps restés à la surface de la terre; Ils purifieront le pays, et ils seront à la recherche pendant sept mois entiers. » Cette durée de « sept mois » devrait donc commencer après le 17 Janvier 2029 et s’achever en Août de la même année. Puis le gouvernement universel formé par les USA accomplira les œuvres prophétisées dans Apocalypse 3:10 et 13:13 à 18, concernant la dernière épreuve de foi universelle : « Parce que tu as gardé la parole de la persévérance en moi, je te garderai aussi à l'heure de la tentation qui va venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants de la terre. »
M71- Quand tombent les murs
Les murs ont toujours eu deux rôles opposés : ils séparent et protègent.
Quand les choix politiques et économique de la Russie soviétique et des USA ont été clairement identifiés comme étant incompatibles et même ennemis, le camp Russe s’est isolé derrière un mur virtuel qu’on a appelé le « rideau de fer ». Mais ce mur a aussi pris une forme bien littérale en forme de pierres et de béton commencé dans la ville de Berlin où il a séparé physiquement l’Allemagne de l’Est de celle de l’Ouest. Cette nouvelle situation a reçu le nom du « temps de la guerre froide », celui où chacun reste chez soi et n’empiète pas la vie de l’autre. Le communisme résistait farouchement à l’option capitaliste de l’Ouest. Dans le temps, les deux camps se sont développés et la ligne de séparation marquée par le mur de Berlin mérite toute notre attention, parce que cette proximité réelle des deux sociétés porte un témoignage très utile pour comprendre notre situation actuelle. Dans Berlin-Ouest, le capitalisme a produit son fruit d’individualisme et de prospérité. Ses habitants sont devenus de grands consommateurs de produits utiles et inutiles, selon le rythme imposé par l’inventivité humaine, sans frein et illimitée dans le camp de l’Ouest. Dans Berlin-Est, de hauts immeubles surplombaient le mur de séparation et leurs occupants assistaient à cette débauche consommatrice des gens de l’Ouest ; ce qui suscitait chez eux le désir de passer à l’Ouest. Certains ont réussi à franchir le mur, mais d’autres y ont laissé leur vie, inutilement, abattus par les « vopos », les gardiens de la frontière de la RDA (ou DDR).
En y réfléchissant aujourd’hui, je me dis quelle regrettable erreur ! Pourquoi vouloir retenir des gens contre leur gré et leur choix personnel ? Et puis la réponse vient : pour ne pas rendre encore plus fort le camp de l’ennemi. Je comprends alors que seul, Jésus-Christ pouvait se permettre de dire à ses apôtres selon : « et vous les douze vous ne voulez pas aussi partir avec eux ? » La guerre qui a éclaté en Ukraine est la conséquence du passage à l’Ouest d’une partie de la population russe en 1991, lorsque la Russie était en lambeaux, en crise politique et économique. Cette prise de liberté est venu grossir le camp Ouest, et ce succès l’a conduit à l’arrogance et à prendre le risque d’irriter la Russie. Et quand je retire cette leçon, je me dis : bénis sont les murs de séparation, car ils permettent d’éviter les confrontations directes des camps opposés.
Le rideau de fer n’était pas seulement la ligne d’une frontière, il était aussi inscrit dans l’esprit des deux populations opposées : individualisme contre collectivisme, richesse individuelle contre richesse de l’Etat, orgueil individuel contre humilité collective, soif insatiable de liberté contre satisfaction dans la soumission au régime directeur, consommation exacerbée contre l’accession au minimum utile. Et sur le plan religieux les deux camps se valaient : faux christianisme contre communisme athée. Dans une telle situation, Dieu ne pouvait que construire et préparer les conditions qui se sont réalisées à partir du 24 Février 2022, date de l’entrée des armées russes sur le sol de l’Ukraine. Les deux camps étant maudits par lui, il les a dressés l’un contre l’autre, ouvrant ainsi le temps de la grande destruction finale.
Mais le mur de Berlin n’est pas pour rien dans cette affaire, car si sa construction a bien changé la vie humaine européenne, sa destruction en 1989 a eu de fâcheuses conséquences. Car le mur protecteur a disparu alors que le mur séparateur construit dans les esprits humains a subsisté et s’est prolongé. La disparition du mur de béton a donné aux Occidentaux l’illusion que les problèmes relationnels humains étaient réglés. Sûrs et confiants que leur régime occidental était le meilleur et le plus souhaitable, ils ont naïvement ou aveuglément pensé que la Russie, puis tous les pays de la terre, allaient pouvoir se rassembler dans un partage de grande consommation universelle. J’ai suivi ces derniers jours à la télévision un film de l’Allemagne de l’Est dans lequel une jeune femme suit son compagnon quand il passe à l’Ouest, mais elle n’apprécie pas son style de vie et finalement revient seule en Allemagne de l’Est. Ce film m’a préparé pour la rédaction de ce message. Car il n’y a pas que la religion qui sépare les êtres humains ; des multitudes de paramètres entrent en cause. La vie humaine est à la fois très simple et d’une extrême complexité graduée sur une échelle illimitée. Et bien sûr cette caractéristique concerne dans la sainte Bible, la parole écrite de Dieu dont la lettre tue, car seul l’esprit la vivifie par l’Esprit saint de Dieu.
Depuis que le mur de Berlin est tombé, les populations se mélangent, mais seulement dans les apparences, car chacun reste dans son esprit ce qu’il est, ce qu’il aime, ce qu’il approuve, ce qu’il conteste, ce qu’il déteste. Aussi sans erreur possible, je peux affirmer que la chute du mur de Berlin porte les mêmes conséquences que le rassemblement des humains dans la tour de Babel construite par le roi Nimrod, dans le jour où Dieu les a séparés par des langues parlées différentes. Car la différence n’est plus seulement dans les langues mais elle est aussi dans les esprits qui apprécient des valeurs idéologiques, politiques, économiques, culturelles et religieuses, différentes ; choses auxquelles chacun de nous est attaché, par ses origines et son héritage ethnique. Notre monde occidental actuel reproduit la confusion de Babel en la portant à son extrême niveau. Et la guerre qui a éclaté en Ukraine n’est que la conséquence de cette extrême confusion. Sa durée atteindra 4 ans le 24 Février 2026 qui vient, et les observateurs européens médiatiques se désolent de voir ce conflit se prolonger sans que les deux chefs opposés réussissent à le faire cesser. Mais pourquoi devrait-il cesser, puisqu’en donnant des armes à l’Ukraine, ils alimentent le feu qui peut grâce à eux se prolonger. Leur détermination est totale et se ressemble d’autant plus que les deux camps sont originellement russes et représentent des Russes libérés entrés en guerre contre des Russes soumis. Une petite minorité de véritables ukrainiens originels a récupéré à son compte une majorité d’habitants russophones désireuse de liberté enviée aux habitants européens occidentaux. L’indépendance ukrainienne n’est que le prétexte qui cache le désir de la liberté totale et que dans un régime quasi anarchiste, les russophones ont expérimenté et apprécié depuis 1991, malgré l’insécurité et l’instabilité gouvernementale pendant toute cette période.
L’homme rebelle est ainsi fait, il préfère la liberté dans l’insécurité que la soumission dans la sécurité. Tu peux ainsi avec moi, mieux comprendre pourquoi l’histoire humaine a donné la construction de la statue de la liberté qui trône sur son haut piédestal dans la baie de New-York ; une statue construite et offerte aux Américains par les Français, cette statue étant une réplique de l’idole Astarté. Ce symbole parle autant que l’obélisque de Paris et sa pyramide du Louvre. Et le problème de cette liberté c’est qu’elle exclut Dieu le créateur de toute vie. Car la liberté est appréciée par tous, athées, chrétiens, juifs, musulmans…etc ; la différence est dans ce qui lui est rattaché. En serviteurs de Dieu, je le remercie, pour la liberté qu’il me donne à l’égard du péché contre lequel sa sainte loi me protège, par la médiation salvatrice du Seigneur Jésus-Christ. Car c’est en Jésus que Dieu est venu présenter le vrai sens du mot liberté qu’un mur d’incompréhension transforme en conception libertaire. Son serviteur Paul, nous dit dans 1 Corinthiens 6 :12 et 10 :23 : « Tout m'est permis, mais tout n'est pas utile ; tout m'est permis, mais je ne me laisserai asservir par quoi que ce soit. » ; « Tout est permis, mais tout n'est pas utile ; tout est permis, mais tout n'édifie pas. » Paul nous donne ici la définition de la vraie liberté qui est celle que l’être humain s’impose par sa propre volonté, son analyse religieuse morale et sa réflexion ; La bonne liberté « édifie », dit-il, et il est vrai que Dieu regarde ses créatures comme des temples saints, ou souillés, selon les cas. Cette comparaison à un temple nous rappelle que nous construisons notre personnalité au gré de nos expériences faites dans l’avancée de nos vies.
En construisant la nouvelle idole de la jalousie nommée « Liberté », l’inventeur lui a donné l’apparence d’une femme portant sur sa tête une couronne de sept pointes symbolisant des rayons solaires, symbole de la religion chrétienne solaire et son bras droit brandit un flambeau, tandis que son bras gauche replié tient un livre, symbole du savoir intellectuel de la libre pensée apparue en France. En fait, c’est Dieu qui a inspiré la forme donnée à cette statue riche en symboles extrêmement révélateurs. En 1876, l’offre de la statue de la liberté aux Américains par la France portait un message spirituel transmis par Dieu : comme on passe un relais, il transférait la culpabilité des « dix cornes » européennes en l’imputant à son tour à l’Amérique, à l’époque, encore très protestante. Dès lors, l’Europe devait diminuer, et les USA devaient croître en devenant le chef du camp occidental. Associé à Gustave Eiffel, le constructeur de la Tour Eiffel, le sculpteur Frédéric Bartholdi fut le concepteur de cette statue offerte aux Américains à l’occasion du centenaire de leur indépendance, en 1876. Les 7 rayons solaires transmettaient aux USA la culpabilité du culte religieux du premier jour, nommé « dimanche » dans les pays européens latinisés, et « Sunday » soit, jour du soleil, en Amérique et en Angleterre. Le symbole européen des « dix cornes » s’étendait dès lors officiellement aux USA. Quant au « flambeau », il dénonce la concurrence faite à Jésus-Christ par le principe de la liberté idolâtrée selon que le « flambeau » désigne Jésus-Christ, « l’agneau » de Dieu dans Apocalypse 21:23-24 : « La ville n'a besoin ni du soleil ni de la lune pour l'éclairer ; car la gloire de Dieu l'éclaire, et l'agneau est son flambeau. Les nations marcheront à sa lumière, et les rois de la terre y apporteront leur gloire. » Selon ces paroles, Dieu a réellement vu dans New-York, la Nouvelle York, une prétention à représenter la Nouvelle Jérusalem que sa prophétie Apocalypse prophétise et décrit. Et cette pensée divine est confirmée par l’espérance créée par l’instauration de ce « monde nouveau » ou « nouveau monde » découvert et repeuplé par les Européens, et principalement par les Anglais. C’est aux USA que se sont développées de multiples groupes et sectes religieux dont les « Témoins de Jéhovah », dont la Bible porte le nom de traduction du « monde nouveau », et les Mormons de Joseph Smith. Mais c’est aussi, aux USA, que Dieu est venu organiser ses deux épreuves adventistes de 1843 et 1844 ; en sorte que les USA sont devenus à partir de ces deux dates, l’authentique « flambeau » de Dieu, étant à cause de cette présence adventiste le dernier territoire du monde encore porteur de sa miséricorde jusqu’en 1994. Et en 2001, en faisant détruire les deux tours jumelles du « World Trade Center », par les terroristes islamistes « d’Al-Qaïda », Dieu a confirmé la fin de ce rôle de « flambeau » du Christ, mais pas celui de « flambeau » de la liberté libertaire et libertine.
Après l’offre de la statue de la Liberté, les relations américaines et européennes ont pris une forme religieuse avec l’alliance œcuménique proposée par l’église catholique papale romaine.
Tous les symboles que je viens d’évoquer permettent de lire dans la vie le statut spirituel que Dieu attribue aux sujets concernés ; moyen par lequel il révèle son jugement à ses élus attentifs et éclairés. Et le constat relevé vient confirmer la leçon transmise par les prophéties bibliques complémentaires citées dans Daniel et Apocalypse, deux livres inspirés par Dieu sur une fin d’alliance. Car en dépit des apparences trompeuses, Daniel a vécu les dernières heures de l’ancienne alliance dont la fin véritable fut marquée par la destruction de Jérusalem en l’an – 586. Ce ne fut pas la fin officielle de cette première alliance qui s’est prolongée jusqu’à l’automne de l’an 33 soit, trois ans et six mois après la mort expiatoire de Jésus-Christ. Mais en – 586, Israël avait déjà prophétisé, par son apostasie, son comportement futur lorsqu’il a été directement confronté au Christ sauveur, lui-même. Il s’est montré aussi sourd et aveugle envers le témoignage du Messie qu’il l’avait fait pour les témoignages donnés par le prophète Jérémie avant et pendant les trois déportations à Babylone. Daniel et Ezéchiel sont les deux figures prophétiques de ce temps des déportations ; Daniel est à Babylone auprès du roi chaldéen Nébucadnetsar, tandis qu’Ezéchiel, venu dans la seconde déportation, se trouve à Suse, parmi les captifs hébreux retenus par les rois Perses.
Dans toutes ces leçons bibliques, Dieu rappelle l’utilité de la séparation, car toutes les apostasies relevées dans l’histoire sont causées par l’influence venue de l’étranger porteur d’une culture et une religion différente. Selon sa personnalité individuelle chacun de nous est plus ou moins vulnérable et influençable. De plus les sentiments éprouvés envers les êtres peuvent fortement favoriser leur influence sur nous. On résiste plus facilement aux gens qui nous déplaisent qu’à ceux qu’on aime. Et pour résister à cette loi naturelle, les élus de Dieu doivent élever des murs protecteurs virtuels dans leur esprit. Personne ne cherche autant à séparer les êtres humains que Dieu qui ne trouve son intérêt à rassembler que ses seuls élus. Seule la méditation réalisée dans l’amour de la vérité permet aux élus de comprendre le juste intérêt que Dieu tire en séparant les hommes. Pour un être normal, il est difficile de comprendre pourquoi sa liberté doit être limitée. Et connaissant cette difficulté humaine, Dieu a tout fait pour lui présenter des leçons qui justifient ce sage choix peu apprécié par l’homme naturel. L’expérience vécue à Babel a été la première de ces leçons. L’entente humaine favorisait la relation humaine qui se développait au détriment de Dieu, de plus en plus oublié par ses créatures. Or, depuis le commencement, Eve en a payé le prix, l’être humain vit sous l’influence de Dieu ou celle des démons diaboliques. En se détournant de Dieu, l’être humain est gagné et inspiré efficacement par les mauvais anges qui lui suggèrent de commettre des choses mauvaises. Sous leur influence, le mal ne fait que croître jusqu’à atteindre un niveau si grand que Dieu ne peut que détruire les coupables, ce qu’il a fait avec les eaux du déluge au temps de Noé. Cette situation insupportable s’est renouvelé de multiples fois, toujours marquée par une destruction des coupables, individuellement et collectivement, en tant que ville ou pays entier. Mais l’homme s’habitue à tout et il ne relève plus des témoignages qui devraient l’interpeler et le ramener sur la bonne voie. Il s’évertue donc à abattre les digues, à détruire les murs, qui le protègent spirituellement et physiquement. Car la mauvaise relation peut conduire à la mort, l’imprudent abusé. Par exemple, il existe un mur de séparation spirituel qui sépare la religion de l’islam de celle du christianisme aux multiples formes. Sans entrer dans des détails nombreux, ce mur de séparation repose sur la reconnaissance du salut offert exclusivement par Dieu, au nom de Jésus-Christ qui s’est présenté au titre de prophète, mais qui était plus qu’un simple prophète, étant l’incarnation de Dieu, le Créateur de toute vie. Le nom de Mahomet ne saurait donc lui être comparé, n’étant que celui d’un simple homme porteur d’une mission de séparation. Dieu reste son inspirateur pour rassembler sous son nom, Mahomet, des multitudes de gens idolâtres vivants en Orient. Il a préparé de cette manière une ethnie belliqueuse dont il a prophétisé le caractère très entêté et rebelle, dans Genèse 16:12, par l’image d’un « âne sauvage » donc, utile pour frapper cruellement la fausse religion catholique romaine et le protestantisme héritier de sa malédiction. Et pour intensifier au maximum la haine entre les deux camps, il a fait ordonner les Croisades conduites par les Croisés responsables de terribles massacres injustifiées de populations musulmanes. Pour ajouter une nouvelle dose à cette haine, il a placé momentanément les peuples musulmans sous la tutelle colonialiste des pays chrétiens. Ainsi bien haineux et irrités, ces peuples musulmans sont aujourd’hui prêts à régler leurs anciens comptes, en vidant leur haine sur les populations des pays chrétiens.
Ce mur de séparation a pris une forme réelle bien visible dans tous les attentats commis par des terroristes islamistes depuis le GIA en 1995, et après lui, le groupe Al-Qaïda en 2001 et le Califat DAESH en 2015. Le danger de l’islam repose sur la détermination d’une minorité de Musulmans intégristes qui sont résolus à contraindre leurs coreligionnaires plus modérés et moins fidèles, installés en France et en Europe, à purifier leur pratique de l’islam. De jeunes gens sont fanatisés et trompés, et ils ne craignent pas la mort, croyant au paradis et ses délices sexuels que leur promettent le Coran et de vieux imams qu’ils révèrent. Les mouches ne sont pas attirées par le sel mais par le sucre et le vinaigre. Et ce que ces jeunes Musulmans n’ont pas compris, c’est qu’avant d’accepter de mourir pour Dieu, il faut apprendre à savoir vivre pour lui, et pour sa vérité qui fait seule sa gloire. En grande majorité musulmane, la cause palestinienne est assez différente, en ce qu’elle a pour mobile une cause nationaliste. Et je vais ici, prendre le risque d’éclairer ce sujet douloureux bien incompris par les Occidentaux mais aussi par les Orientaux.
Au titre de chrétien vivant en France et bénéficiaire d’une compréhension spirituelle éclairée par Dieu, je comprends le désarroi du peuple palestinien victime, depuis 1948, du retour des Juifs dans leur terre nationale devenue depuis leur dispersion mondiale, la Palestine. Et à ce sujet, peu importe, le statut officiel de cette terre sur laquelle des Arabes nomades élevaient des troupeaux selon leur style de vie. Pour eux, une injustice a été commise par l’autorité puissante des USA et des Européens qui ont imposé leur décision de redonner aux Juifs la terre qu’ils occupaient avant que les Romains les en chassent.
Dans le message précédent, j’ai cité ces messages du prophète Ezéchiel qui confirment la volonté de Dieu de ramener les Juifs sur leur ancienne terre nationale. Mais ces textes n’attribuent pas ce retour à leur bénédiction ; loin de là, Dieu les rassemble de nouveau pour une ultime punition qu’Ezéchiel et Daniel prophétisent de manière complémentaire. Car ils ne sauraient retrouver la bénédiction de Dieu qu’en reconnaissant leur péché d’incrédulité témoigné envers lui en Jésus-Christ. Et sans ce fruit de repentance, pour eux, il n’y a pas de pardon possible. La malédiction de Dieu frappe donc en même temps, les USA comme chrétiens infidèles, les Juifs comme modèle d’incrédulité, et les musulmans palestiniens qui ne reconnaissent pas en Christ le Messie porteur d’un salut exclusif. Le refus de connaître et partager le juste jugement de Dieu produit un mur d’incompréhension qui prend l’apparence de souffrance et d’injustice pour les victimes de ce retour des Juifs en terre « sainte ». après qu’elle ait été réellement marquée par une expérience de sainteté particulière depuis l’entrée des Hébreux après leurs 40 années de séjour dans le désert de l’Arabie, jusqu’à la première venue du Christ ou Messie Jésus-de Nazareth.
Seuls, les gens habités par la vraie foi acceptent de se soumettre à la volonté de Dieu. Or, personne n’a présenté aux Palestiniens la situation sous cette explication, et héritiers de l’islam, ils ne voient que l’injustice commise par des hommes occidentaux et non par la volonté du Dieu créateur suprême. Un mur virtuel obstrue leur entendement et ils restent inconsolables. Et ce comportement contraste beaucoup avec cet islam connu longtemps comme l’exemple de l’acceptation de la fatalité et de la résignation de la « soumission », qui est la traduction du mot « islam » ; ce que traduisait la célèbre formule « Inch Allah » soit, « Dieu l’a voulu ». Je comprends donc, que dans leur ignorance, ces victimes d’une injustice humaine et divine, voient dans les combattants du groupe « Hamas » des résistants qui s’opposent avec haine à l’occupation israélienne. Et je comprends également que Dieu obtient ce qu’il a voulu obtenir en faisant de ce retour des Juifs en Palestine un sujet majeur de discorde internationale qui ne peut porter que de graves conséquences mondiales.
Nos sociétés actuelles, reproductions de Babel, subissent sur leur sol les effets de ces problèmes à cause de la présence de tous les groupes opposés qu’elles ont accueillis. Et à ce sujet, la France est en tête du modèle, copié cependant sur le rassemblement universel des populations américaines, le premier de l’histoire chrétienne. La France agit en ce qui la concerne au nom de son laïcisme humaniste et à ce titre, elle est restée aveugle au sujet du danger religieux, bien que son histoire soit porteuse de nombreuses leçons édifiantes. Mais ce n’est pas l’histoire qui dirige les pays, ce sont des hommes et des femmes pour lesquelles la religion est devenue un sujet secondaire abandonné au libre choix individuel, selon le principe laïc du Concordat instauré par Napoléon 1er Bonaparte. Et en écrivant ces choses, l’Esprit m’invite à citer ce verset de Daniel 12:10 : « Plusieurs seront purifiés, blanchis et épurés; les méchants feront le mal et aucun des méchants ne comprendra, mais ceux qui auront de l'intelligence comprendront. » Il explique clairement, la fatalité divine à laquelle personne ne peut échapper ; et ceci, en toute parfaite justice, selon qu’il est écrit dans Matthieu 25:29 : « Car on donnera à celui qui a, et il sera dans l'abondance, mais à celui qui n'a pas on ôtera même ce qu'il a. »
Ainsi, les murs d’incompréhension resteront partout là où ils méritent de rester et seul le regard spirituel éclairé par Dieu au nom de Jésus-Christ peut traverser ces murs et les identifier sans se tromper. Ceux que Jésus éclaire aujourd’hui de son admirable et enviable lumière expérimentent une situation qu’il a connue pendant son ministère terrestre au cours duquel il était entouré de gens incapables de partager sa compréhension des choses spirituelles. De même aujourd’hui, ses vrais serviteurs qu’il bénit abondamment, sont, eux aussi, entourés de gens qui ne comprennent pas le sens des maux qui les frappent. Et comme Jésus, ils souffrent de la frustration de ne pas être compris par leur entourage familial et leurs contemporains ; en cause, des murs invisibles gravés dans les esprits.
Dans son aveuglement, le monde politique et médiatique considère les outrances cruelles du groupe Hamas du 7 Octobre 2023 comme du terrorisme digne d’être condamné, parce qu’ils prennent parti pour la présence d’Israël imposée par les USA et l’ONU majoritaire en 1948. Mais en agissant ainsi, ils justifient une injustice bien réelle commise au détriment du peuple palestinien. En France, dans la jeunesse, cette injustice crie si fortement que dans une université à Paris, des jeunes justifient et approuvent l’action menée par le Hamas contre Israël, l’occupant de leur Palestine. Il faut toute la lumière divine pour juger cette situation et comprendre les réactions de tous ceux qui sont concernés par cette injustice commise par Dieu au nom de sa justice divine.
En France, encore, des murs de séparations se sont élevés entres les élites politiques et médiatiques et les simples citoyens. Et je tiens à relever le signe de la malédiction qui pèse sur mon pays et qui consiste à voir toutes ses initiatives se transformer en malédiction. Et l’actualité en donne une preuve évidente que je ne peux que citer. Désirant appliquer une justice égale pour tous, la justice financière vient de conduire en prison l’ancien président de la France du quinquennat de 2007 à 2012, nommé Nicolas Sarkozy. Hélas dans la forme donnée à cet emprisonnement assorti de conditions très spéciales, la justice démontre le contraire de ce qu’elle voulait représenter. Ce régime spécial déplait et irrite les citoyens qui se font de l’égalité une autre image, étant désireux d’une vraie justice égalitaire absolue. Et dans la Bible, Dieu présente le roi Nébucadnetsar comme un exemple type de ce désir de l’absolu. Il en a témoigné quand il a exigé de ses sages qu’ils lui donnent l’explication de son songe : on est sage et intelligent ou on ne l’est pas, et dans ce second cas, se dire sage est un mensonge et une tromperie qu’il était prêt à punir de mort. En France, la vraie justice a été appliquée au roi Louis XVI jugé et exécuté comme un simple citoyen en toute justice et égalité de droits humains. En France, la vie actuelle témoigne d’un irrespect total de cette égalité révolutionnaire originelle et prouve au contraire la conservation de l’esprit des privilèges rétablis après ce temps révolutionnaire. Et la France d’aujourd’hui discrédite le slogan de ses trois valeurs nationales, « liberté, égalité, et fraternité », toutes transgressées et reniées dans les actes. Aussi je ne doute pas qu’en réalisant la chose, les amoureux inconditionnels de la vraie justice ne tarderont pas à l’exiger de gré ou de force, au prix d’affrontements meurtriers et sanglants. Et je le pense d’autant plus que nous sommes entrés dans le temps de la « sixième trompette » depuis le 7 Août 2025 ; celui dans lequel le « second malheur » prophétisé dans Apocalypse 11:14 doit renouveler l’image de la révolution française de 1789 : « Le second malheur est passé. Voici, le troisième malheur vient bientôt. » La cible révolutionnaire de 1789 est désignée et identifiée par le verset 7 où il est dit : « Quand ils auront achevé leur témoignage, la bête qui monte de l'abîme leur fera la guerre, les vaincra, et les tuera. » A noter, que les « deux témoins » des deux alliances divines bibliques « achèvent leur témoignage » au moment de la venue de Louis XVI sur le trône de la France. Jusqu’à cette époque, la Bible a été persécutée et attaquée par la haine des Catholiques du royaume, mais ils ne l’ont pas « tuée ». Alors que l’athéisme national révolutionnaire apparu après Louis XVI a « tué » les « deux témoins » de Dieu jusqu’à ce que « sa crainte » soit réveillée et renouvelée selon le verset 11 : « Après les trois jours et demi, un esprit de vie, venant de Dieu, entra en eux, et ils se tinrent sur leurs pieds ; et une grande crainte s'empara de ceux qui les voyaient. » Dieu annonce ainsi que l’athéisme fait plus de mal à sa cause que le mensonge catholique romain. Les descriptions présentées dans les versets 7 à 11 vont connaître en France un second accomplissement entre notre temps et le retour final de Jésus-Christ. La longue nourriture laïque de la France a bien fini par « tuer », de nouveau, la foi placée sur les « deux témoins » bibliques de Dieu, selon le constat que chacun peut faire aujourd’hui, en ce Jeudi 23 Octobre 2025 jour qui suit la date anniversaire du 22 Octobre 1844, en lequel la religion protestante est entièrement devenue pour Dieu « morte » selon Apocalypse 3:1 : « Écris à l'ange de l'Église de Sardes : Voici ce que dit celui qui a les sept esprits de Dieu et les sept étoiles : Je connais tes œuvres. Je sais que tu passes pour être vivant, et tu es mort. » Mais cette date est aussi l’anniversaire du 22 Octobre 1991, en laquelle les adventistes apostats ont adopté la décision de rejoindre l’alliance protestante, confirmant ainsi, par leurs œuvres, leur abandon par Dieu en 1994.
M72- L’Alpha et l’Oméga : une clé divine
Jésus-Christ dit à ses serviteurs, ses esclaves, dans Apocalypse 1:8 : « Je suis l'alpha et l'oméga, dit le Seigneur Dieu, celui qui est, qui était, et qui vient, le Tout Puissant. »
A la fin de sa révélation, Jésus confirme ce message dans Apocalypse 22:13 où il nous donne la signification de l’expression précédente : « Je suis l'alpha et l'oméga, le premier et le dernier, le commencement et la fin. ».
Ces deux versets révèlent à eux seuls, le principe de la révélation divine qui est enseignée par ce verset cité dans Ecclésiaste 7:8 : « Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement ; mieux vaut un esprit patient qu'un esprit hautain. » ce verset attribue à la fin des choses une valeur supérieure à celle de leur commencement ; il s’agit là d’une clé fondamentale qui révèle la norme du jugement de Dieu.
Pourquoi, Dieu dirige-t-il l’attention de ses élus vers la fin ? Parce qu’il détient seul, exclusivement, le pouvoir de dire ce que sera la fin, et ceci pour la bonne raison qu’il va l’organiser lui-même. Cette exclusivité fait de lui, le Dieu suprême et Dieu ne se laisse pas enlever ce sujet de gloire qui lui appartient sans partage avec quiconque. Il le dit et se plaît à juste titre et importance, à le répéter de multiples manière mais déjà clairement dans ce verset d’Esaie 44:7 : « Qui a, comme moi, fait des prédictions (Qu'il le déclare et me le prouve !), depuis que j'ai fondé le peuple ancien ? Qu'ils annoncent l'avenir et ce qui doit arriver ! » Et encore, dans Esaïe 42:9 : « Voici, les premières choses se sont accomplies, et je vous en annonce de nouvelles ; avant qu'elles arrivent, je vous les prédis. »
Le but de ces prédictions divines est révélé dans Jean 14:29 : « Et maintenant je vous ai dit ces choses avant qu'elles arrivent, afin que, lorsqu'elles arriveront, vous croyiez. » Les annonces prophétisées par Dieu vont révéler la vraie foi de ses serviteurs bien-aimés parce qu’agissant ainsi, ils prouvent leur attachement à sa personne. Ses serviteurs doivent attendre avec patience le temps choisi par Dieu pour faire accomplir selon son programme les choses annoncées dans ses prophéties bibliques.
Le bon sens permet de comprendre que la prophétie exige une vraie foi des élus quand vient le temps de leur accomplissement. Et c’est là que le verbe « attendre » prend tout son sens et que l’Esprit met en valeur dans ce verset de Daniel 12:12 : « Heureux celui qui attendra, et qui arrivera jusqu'à mille trois cent trente-cinq jours ! » C’est dans cette « attente » que la vraie foi est révélé chez ses derniers serviteurs « adventistes » dont le nom latin « adventus » signifie avènement. Celui qui attendra sera dans l’attente du retour du Christ annoncé historiquement, trois fois à titre de tests de foi sélectifs avant la dernière attente basée non sur des calculs utilisant les données prophétisées dans Daniel et Apocalypse, mais sur une inspiration divine directe imposée par la sagesse du raisonnement en synthèse de la Révélation biblique entière. Cette synthèse conduit à reconnaître que le projet terrestre sélectif de Dieu s’allonge sur 6000 ans au cours desquels en l’an 4000, Jésus-Christ a offert sa vie en sacrifice expiatoire, rachetant ainsi, les fautes commises par ses vrais élus sélectionnés au cours des 6000 ans. Ayant pu retrouver dans les calendriers juifs, la date exacte de la mort de Jésus-Christ soit, le Mercredi 3 Avril 30, le retour de Jésus est fixé mathématiquement pour le 3 Avril 2030. Mais confirmant son annonce d’un temps abrégé dans Matthieu 24:22 (Et, si ces jours n'étaient abrégés, personne ne serait sauvé ; mais, à cause des élus, ces jours seront abrégés.), c’est 13 jours plus tôt que Jésus revient pour marquer par le premier jour du printemps, le 20 Mars 2030, l’entrée des élus dans le septième millénaire prophétisé pendant 6000 ans, par le repos sanctifié du septième jour au septième jour de la création terrestre.
Ce sujet de l’attente implique énormément de choses qui font la différences entre la vraie et la fausse foi. Car celui qui attend, le fait parce qu’il s’est laissé avertir par une annonce à laquelle il fait confiance. Celui qui attend n’est pas pour Dieu comparable à une personne qui attend le prochain train dans la gare sans savoir à quelle heure il va arriver. Dieu donne au verbe « attendre » un sens précis, l’attente à laquelle il fait allusion se base sur des précisions qu’il a révélées à ses prophètes, et qu’il a fait écrire dans ses prophéties bibliques.
En effet, tout lecteur de la sainte Bible apprend par la bouche de Jésus-Christ son projet de revenir sur la terre pour prendre avec lui ses élus rachetés, les vivants et les ressuscités. Mais cette donnée ne suffit pas pour définir celui qui attend, car en plus de cette donnée biblique, Dieu fait connaître et partager ses divins secrets concernant le temps de son retour à ses seuls vrais élus qu’il sélectionne, met à part, donc, sanctifie. Et ce qu’il leur donne en partage prend le nom de « témoignage de Jésus » dans Apocalypse 19:10 : « Et je tombai à ses pieds pour l'adorer ; mais il me dit : Garde-toi de le faire ! Je suis ton compagnon de service, et celui de tes frères qui ont le témoignage de Jésus. Adore Dieu. Car le témoignage de Jésus est l'esprit de la prophétie. »
Ce verset comporte toutes les leçons nécessaires : en premier Dieu dénonce l’adoration de la créature qu’il impute aux deux religions héritières du catholicisme papal romain ; l’orthodoxie, l’anglicanisme et les divers courants du protestantisme. A l’opposé les vrais élus adorent exclusivement Dieu et ils lui donnent gloire, répondant à son exigence imposée depuis le printemps 1843 et l’Automne 1844 ; une exigence basée sur Daniel 8:14 confirmée dans Apocalypse 14:7 : « Il disait d'une voix forte : Craignez Dieu, et donnez-lui gloire, car l'heure de son jugement est venue ; et adorez celui qui a fait le ciel, et la terre, et la mer, et les sources d'eaux. »
Je reprends ce verset d’Apocalypse 19 :10
que je me permets de rectifier pour retrouver le sens du verbe grec originel
choisi par l’Esprit : « Et je
tombai à ses pieds pour l'adorer ; mais il me dit : Garde-toi de le faire ! Je
suis ton compagnon de service, et celui de tes frères qui ont le témoignage de
Jésus. Adore prosterne-toi
devant Dieu. Car le témoignage de Jésus est l'esprit de la prophétie. »
Cette prosternation devant Dieu porte deux sens : la position physique du
corps humain qui s’agenouille, la face contre terre pour les uns ou les yeux
dirigés vers le ciel, ou encore les yeux clos ; et la prosternation
mentale que seul Dieu évalue dans chacune de ses créatures et dont il trouve la
norme qu’il aime exclusivement chez ses élus dignes de sa grâce et de son
salut. C’est alors que la relation établie entre Dieu et ses vrais élus rend
possible des échanges, des partages d’opinion et de sentiments que ce verset
nomme « l’esprit de prophétie ».
Celui-ci désigne la capacité de partager avec la pensée de Dieu, les clés de
ses codes d’information concernant sa parole, des expressions, des images, par
lesquelles il révèle ses projets secrets concernant l’avenir de ses élus
jusqu’à la fin du monde et sa recréation terrestre finale.
Il y a dans Daniel 12 :13 un message qui vient éclairer le sens du verset 12 précédent : Verset 12 : « Heureux celui qui attendra, et qui arrivera jusqu'à mille trois cent trente-cinq jours ! » Verset 13 : « Et toi, marche vers ta fin ; tu te reposeras, et tu seras debout pour ton héritage à la fin des jours. » Ce verset 13 cite des notions typiquement adventistes : le temps de l’héritage sera celui du retour en gloire de Jésus-Christ. Et jusqu’à ce retour, désignant le vrai statut de la première mort humaine, Dieu le désigne comme « un repos », ce qui caractérise le « septième jour sanctifié » nommé « sabbat ». Cette comparaison est riche d’implications, car elle décerne au repos du sabbat le sens d’une anticipation hebdomadaire de la vie qui sera partagée avec Dieu dès le commencement du septième millénaire. Or la première mort est le type préfigurateur de la « seconde mort » prophétisée depuis Apocalypse 2:11 : « Que celui qui a des oreilles entende ce que l'Esprit dit aux Églises : Celui qui vaincra n'aura pas à souffrir la seconde mort. » Et si Dieu utilise le mot « repos » pour évoquer la première mort, c’est parce que cette première mort précède un temps de résurrection pour toutes les créatures humaines mortes créées par Dieu. Contrairement à cette première mort, « la seconde mort » conduit les coupables à l’anéantissement complet et définitif de leur âme, soit leur être entier, corps et esprit. Le message cité dans Daniel 12:13 est repris et suggéré dans Apocalypse 14:13 : « Et j'entendis du ciel une voix qui disait : Écris : Heureux dès à présent les morts qui meurent dans le Seigneur ! Oui, dit l'Esprit, afin qu'ils se reposent de leurs travaux, car leurs œuvres les suivent. » Le moment ciblé par ce verset (dès à présent) fait référence, à la date 1843 comprise entre 1828 et 1873 les dates de la fin des durées des 1290 et 1335 jours de Daniel 12:11 et 12.
Ces deux durées qui définissent les dates 1828 et 1873 marquent respectivement, dans l’ordre, « le commencement et la fin » du temps des deux premiers tests d’amour et de confiance pour la parole prophétique biblique divine.
Pour qui ces deux dates sont-elles importantes et vitales ?
1828 : cette date marque le début d’une épreuve de foi qui vient cribler la religion protestante universelle dont Jésus a prophétisé, pour 1843, la « mort » spirituelle, dans Apocalypse 3:1 en lui disant : « Écris à l'ange de l'Église de Sardes : Voici ce que dit celui qui a les sept esprits de Dieu et les sept étoiles : Je connais tes œuvres. Je sais que tu passes pour être vivant, et tu es mort. » En lançant ses deux annonces successives du retour de Jésus pour le printemps 1843 et l’automne 1844, Jésus présente aux chrétiens protestants un message nouveau soit, selon son langage spirituel, un « vin nouveau ». Et confrontés à ce « vin nouveau », les « vieilles outres » protestantes, par tradition et héritage, se montrent incapables de porter le « vin nouveau », comme les Juifs à l’heure de son ministère terrestre.
1873 : Cette date marque la fin du temps des épreuves adventistes et fixe l’heure de la grande bénédiction des pionniers de « l’église » institutionnelle « adventiste du septième jour ». Ce temps institutionnel de bénédiction divine allait être limité entre 1873 et 1994 qu’Apocalypse 3:7 et 3:14 marque par deux messages opposés dans l’absolu. Réellement fondée aux USA en 1863, l’église a reçu de Jésus une mission universelle depuis une assemblée organisée en 1873, et c’est cette date que Dieu choisit pour bénir sa dernière institution religieuse universelle adventiste du septième jour. Convaincus de ne plus rien avoir à craindre, les héritiers de cet adventisme se sont laissé gagner par l’esprit de tradition que Dieu a condamné jusqu’à les « vomir » en 1994, après un dernier test de démonstration de leur désintérêt pour l’annonce du retour de Jésus-Christ que je leur ai présentée, en datant sa venue pour l’année 1994.
Dans la construction prophétique, 1873 ne marque pas le début de l’adventisme qui se présente, conformément à Daniel 8:14, en 1843, mais seulement, l’heure du commencement de son expérience universelle qui est commune aux deux dernières églises nommées « Philadelphie et Laodicée » d’Apocalypse 3:7 et 14. La base de la structure du montage prophétique est révélée par un pré-découpage des chapitres de tout le livre Apocalypse dont les dates 1843-1844 constituent les dates charnières dans Apocalypse 3:1 pour le thème des « sept lettres ; 7:1 pour le thème des « sept sceaux » ; 9:1, pour le thème des « sept trompettes ».
Le principe « commencement et fin » est utilisé par Dieu dans Daniel 9:27 pour révéler l’heure de la mort expiatoire du messie Jésus : « Il fera une solide alliance avec plusieurs pour une semaine, et durant la moitié de la semaine il fera cesser le sacrifice et l'offrande ; …» Je ne retiens volontairement que la première phrase de ce verset, car la seconde ne concerne plus Jésus-Christ, mais la fausse religion chrétienne papale romaine dont l’action malfaisante est prophétisée comme devant se prolonger jusqu’à la fin du monde. De plus, la traduction est très déformée et irrespectueuse des mots hébreux du texte original. Dieu prophétise « une semaine » dont le milieu sera marqué par la mort de Jésus, le seul événement qui justifie la cessation de la pratique des rites sacrificiels animaliers. Déjà il faut le relever, cette « semaine » s’est accompli doublement en jour-année prophétique conforme aux « 70 semaines » prophétisées soit, 7 années réelles, mais aussi, en jours réels au titre de semaine pascale de l’an 30.
La date centrale est, au printemps, le mercredi 3 Avril 30. Le « commencement » se situe dans l’automne 26 et la « fin », dans l’automne de l’an 33. Dans les données prophétiques bibliques Dieu place au centre, « d’un commencement et d’une fin », les deux dates des printemps 30 et 1843. L’an 30, dans Daniel 9:27 ; l’an 1843, dans Daniel 12:11-12. Ces deux dates centrales sont masquées et seulement suggérées dans les deux cas et leur importance est cependant, fondamentale. Cette importance n’apparaît que par une analyse de synthèse complète de toute la construction du livre écrit par le prophète Daniel.
Sur le même principe « commencement et fin », une semaine d’année a été organisée par Dieu et doit s’accomplir entre le 24 Février 2022 et le 17 Janvier 2029. Au milieu de ces sept années nous trouvons les dates « de fin et de commencement » des deux demi-semaines prophétiques, les 6 et 7 Août 2025. Dieu dirige ainsi l’importance du calcul sur la date du 6 Août qui révèle ce que sera la fin de la semaine, soit, ce qui arrivera le 17 Janvier 2029. La clé de l’interprétation est dans la date du 6 Août 1945, en laquelle la ville japonaise a été désintégrée par la bombe nucléaire lâchée sur elle par un bombardier américain. Dans Apocalypse 13:13, l’Esprit désigne le feu nucléaire comme « un feu descendant du ciel » : « Elle opérait de grands prodiges, même jusqu'à faire descendre du feu du ciel sur la terre, à la vue des hommes. » Bien que ressemblante, l’expression « du feu du ciel » n’est pas « un feu du ciel » envoyé par Dieu directement sur les pécheurs coupables dans Apocalypse 20:9 : « Et ils montèrent sur la surface de la terre, et ils investirent le camp des saints et la ville bien-aimée. Mais un feu descendit du ciel, et les dévora. » Cette scène concerne le jugement dernier qui s’accomplira à la fin du septième millénaire, sur la terre actuelle, sur laquelle, en deuxième résurrection, Dieu aura ressuscité les pécheurs rebelles juifs et chrétiens et les autres catégories humaines non graciées.
Le principe commencement et fin est proposé par Dieu dès Genèse 1 et Genèse 2. Genèse 1 évoque les six premiers jours de la semaine de la création, et pour sa part, Genèse 2 présente le septième jour que Dieu sanctifie pour des raisons prophétiques progressivement révélées par mon ministère prophétique commencé en 1980 ; et proposé à l’institution adventiste, « tiède » et sans saveur pour Jésus-Christ, jusqu’en Novembre 1991, date de ma radiation. L’an 1994 est passé sans que Jésus revienne, mais en 1995, signe de son vomissement par Jésus, l’adventisme a fait officiellement alliance avec la fondation protestante. Le centre des sept jours de la création est marqué par le quatrième jour, traité dans les versets 14 à 19 de Genèse 1, dont il faut relever l’importance. Nous lisons :
Verset 14 : « Dieu dit : Qu'il y ait des luminaires dans l'étendue du ciel, pour séparer le jour d'avec la nuit; que ce soient des signes pour marquer les époques, les jours et les années ; »
Au quatrième jour, Dieu choisit de se mettre lui-même en retrait, en remplaçant sa lumière directe personnelle, par des lumières artificielles projetées par des astres placés dans le ciel. Leur rôle consiste à marquer les époques, les jours et les années. Ils anticipent ainsi nos horloges actuelles et vont permettre aux hommes d’établir des datations d’événements importants ou pas. Et pour l’homme auquel Dieu va donner 6000 ans pour effectuer sa sélection d’élus, compter le temps devient absolument nécessaire. Pour honorer les sabbats du septième jour, l’alternance jour et nuit est le seul moyen proposé par la nature créée par Dieu.
Relevons le fait qu’en ce quatrième jour, Dieu prend pour sujet le ciel ; ce qui donne à ce quatrième jour un lien avec la vie éternelle céleste finale mais aussi déjà, et surtout, cette création et organisation céleste révèle les oppositions que Dieu rencontre dans le ciel dans la communauté des anges célestes.
Verset 15 : « et qu'ils servent de luminaires dans l'étendue du ciel, pour éclairer la terre. Et cela fut ainsi. »
Dieu prophétise la dépendance humaine des inspirations venues du ciel. Bien qu’en rebelle, l’incrédule choisit d’ignorer cette vérité, sur la terre, aucun être humain n’échappe à l’influence des esprits célestes bons ou mauvais. C’est du ciel que viennent le bien et le mal, les deux camps opposés étant rivaux et actifs auprès des êtres humains. Et c’est seulement en se mettant sous l’influence de l’inspiration de Dieu que les élus peuvent croître dans la connaissance de Dieu et de ses révélations bibliques.
Verset 16 : « Dieu fit les deux grands luminaires, le plus grand luminaire pour présider au jour, et le plus petit luminaire pour présider à la nuit; il fit aussi les étoiles. »
Pourquoi deux astres principaux de tailles visuelles humaines identiques, car beaucoup plus éloigné de la terre, le soleil a la même taille pour l’œil humain que la lune ? Parce que, dans la création de Dieu toute chose existe en forme opposée absolue, et Dieu a en opposé absolu, le diable, Satan, l’ange rebelle, le premier créé par Dieu en vis-à-vis. Relève que, respectant l’énorme taille réelle du soleil, Dieu le désigne en tant que « le plus grand luminaire » alors qu’il est pour l’homme le plus lumineux. La présidence imputée au soleil et à la lune est une image des présidences détenues par Dieu et le diable ; Dieu préside au jour, et le diable préside à la nuit.
Verset 17 : « Dieu les plaça dans l'étendue du ciel, pour éclairer la terre, »
Par cette action, Dieu disparaît remplacé par le soleil, sa créature. Et ce soleil va devenir un piège pour les idolâtres, car ils vont rapidement le considérer comme un dieu digne d’être adoré et servi. Ce sera le cas des multiples dynasties égyptiennes et de bien d’autres religions jusqu’au catholicisme romain et ses héritières.
Dieu accepte la concurrence du diable et des démons qui le suivent dans sa rébellion. L’homme devra apprendre à discerner l’origine de ses inspirations, et de ses propres pensées, sachant qu’elles viennent de Dieu ou du diable, et plus rarement de lui-même. Mais la lumière divine ne viendra que de Dieu lui-même.
Verset 18 : « pour présider au jour et à la nuit, et pour séparer la lumière d'avec les ténèbres. Dieu vit que cela était bon. »
Ce verset révèle le sens spirituel des astres créés par Dieu en nommant le jour, lumière et la nuit, ténèbres. Ces termes évoquent la lutte engagée entre le camp du bien et le camp du mal.
En ce quatrième jour, dont le chiffre « 4 » symbolise la norme universelle, Dieu révèle à ses élus, la problématique qui se posait à lui, à l’heure de sa création terrestre et de ce fait, la raison pour laquelle il l’a créée. Le problème qu’il devait solutionner était celui de la rébellion d’un groupe de ses créatures angéliques créées libres comme l’a été après elles, l’être humain sur la terre. Sa solution sera la séparation qui sera à terme définitive, indiscutée et approuvée par les élus survivants célestes et terrestres. La lumière vaincra les ténèbres et il suffit de comparer le soleil, image symbolique de Dieu, avec la lune, image symbolique du diable, pour en être convaincu. Il n’est donc pas étonnant que portant son regard sur cette fin heureuse et victorieuse, Dieu juge « bon » ce qu’il a créé.
Verset 19 : « Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le quatrième jour. »
Le « quatrième jour » se présente au milieu de la semaine de sept jours qui prophétise aussi, les 7000 ans de l’histoire du péché céleste et humain. Ce sera à la fin du quatrième millénaire que Jésus va se présenter pour son ministère terrestre, de manière précise, 3 ans et 6 mois avant le début du cinquième millénaire. 13 jours après le printemps du cinquième millénaire, Jésus a offert sa vie en sacrifice expiatoire pour racheter les péchés commis par ses seuls élus ; les autres conservent la culpabilité de leur péché dont le salaire est la mort. Or, la foi au salut fondé sur Jésus-Christ sera le principe par lequel Dieu procédera à la séparation des deux camps symbolisés par le soleil et la lune. C’est donc vraiment en ce quatrième jour que Dieu écrit dans le ciel, son programme du salut, universel comme le symbolise le chiffre « 4 ». La grande leçon spirituelle étant inscrite dans le ciel, les cinquième et sixième jours suivants, Dieu prolonge sa création terrestre. Et toutes les choses créées dans la mer, dans l’air et sur la terre sèche ont une signification symbolique proposée au discernement de l’homme spirituel, l’élu bien-aimé de Dieu en Jésus-Christ.
Le temps de la sélection des élus est lui-même de 6000 ans que l’on peut diviser en deux fois 3000 ans, mais aussi en 3 fois 2000 ans ce que la naissance d’Abraham et sa vie spirituelle de serviteur et prophète de Dieu favorise. Dans ce découpage nous retrouvons les proportions du sanctuaire hébreu composé de deux pièces dont les proportions sont 2 tiers + 1 tiers. Les deux premiers tiers concernent le cinquième et le sixième millénaire. Et Jésus a offert sa mort au début du cinquième. Son retour glorieux s’accomplira au début du septième millénaire, au printemps 2030 soit, 2000 ans après sa mort moins 13 jours. Et dans le sanctuaire hébreu, le début du septième millénaire correspond au tiers consacré au lieu très saint ; ce qui confirme son symbolisme de la vie céleste du royaume de Dieu où les élus auront été rassemblés par Jésus-Christ lors de son retour glorieux. Dans ces images prophétiques nous devons comprendre que la mort de Jésus-Christ accomplie réellement le 3 Avril 30 est anticipée et imputée dès le premier péché commis par Eve et Adam pour lesquels elle est symbolisée par l’animal pur tué par Dieu et dont la peau vient couvrir la nudité d’Adam et Eve.
Il existe encore d’autres exemples de ce découpage du temps par Dieu en deux phases représentant « le commencement et la fin ».
L’ancienne alliance construite sur Abraham s’allonge sur deux mille ans et constitue le « commencement » du plan du salut préparé par Dieu. Ce temps est consacré à la préparation au niveau de l’instruction des appelés candidats pour l’élection divine. Car c’est là, le véritable statut des Juifs héritiers des promesses faites à Abraham, mais ces promesses ont été faites sous condition de fidélité envers Dieu. C’est pourquoi, je peux rattacher cette première alliance à l’instruction de la « loi de Moïse » et des écrits des prophètes.
La nouvelle alliance, qui représente la norme de « la fin », est construite sur la mort rédemptrice de Jésus-Christ. Jésus n’enseigne en fait rien de nouveau, car il se contente de rappeler les exigences réelles de la loi de Moïse transgressée continuellement par les sacrificateurs et le clergé religieux de son époque et depuis longtemps. Son enseignement est composé essentiellement de reproches adressés aux religieux apostats et aux riches égoïstes. Ses œuvres humaines et divines parfaites irritent les religieux jaloux de son succès populaire. Et l’expérience de son ministère terrestre présente la norme de tout ce qui va s’accomplir sur la terre, après lui, jusqu’à la fin du monde. C’est ainsi que son ministère inaugure les valeurs appliquées jusqu’à la « fin ».
Dans Apocalypse 11:3, les « deux témoins » bibliques de Dieu représentent donc bien respectivement pour l’ancien, « le commencement » et pour le nouveau, « la fin ».
Je passe maintenant au sujet actuel de la vie française. Et là encore, je retrouve les conséquences d’un « commencement » suivi par une « fin » d’autant plus dramatique, qu’avec le temps des excès abyssaux ont été réalisés, sans que personne ne cherche à les limiter. Selon des spécialistes, le salaire des patrons est passé de 1 à 50 à, aujourd’hui, 1 à plusieurs centaines. Et le passage du commerce en mondialisation a favorisé cet abus devenus aujourd’hui pour la minorité de ceux qui en profite, une chose normale. C’est pourquoi, désireux aujourd’hui de remettre en cause ce privilège des riches, les députés de la gauche française souhaite voir adopter par le gouvernement « illégitimé », la taxe Zucman qui propose de taxer à 2% les riches qui disposent d’un patrimoine de cent mille Euro par an. Cette petite mesure est bien faible pour rattraper des décennies d’enrichissements égoïstes injustes. Mais aussi mineure qu’elle soit, les droites françaises la refusent, témoignant ainsi du dégât accompli par des années sans réaction. Les riches se comparent les uns les autres, et se comparant aux patrons américains des nouvelles technologies qui exploitent l’internet et ses activités commerciales, leurs gros salaires leur apparaissent vraiment réduits. Ces patrons devraient apprendre à porter leur regard vers le bas et non vers le haut, mais le monde sans Dieu ne pouvait que produire ce fruit d’égoïsme que Jésus a condamné pendant sa vie terrestre.
Dans la journée, j’apprends un projet de vente de 400 canons français « César » aux USA séduits par la qualité de ce produit. Et à cette occasion, le coq « corbeau » de la fable confirme sa sensibilité à la flatterie, tant il est aveuglé par son esprit de prestige national, car la proposition exige que la construction devra être réalisée sur le sol américain par les Américains. La France renouvelle son erreur déjà faite au sujet d’un TGV ou un métro construit par l’acheteur. Et on s’étonne en France, que l’emploi disparaît ! Ce transfert de technologie révèle l’incroyable vulnérabilité de la France politique et industrielle vaniteuse. Si le temps devait se prolonger, ce qui n’est pas le cas, les canons César seraient vendus par les USA, plus par les Français.
Ce comportement français est inscrit dans ses gènes et le fabuliste « Jean de la Fontaine » l’a rendu célèbre avec sa fable « le corbeau et le renard ». Le corbeau est donc irrémédiablement stupide et vaniteux, sans possibilité de changer de nature. Et s’il se retrouve aujourd’hui ruiné et confus c’est parce que ses amis européens et américains se régalent en mangeant le fromage qu’il tenait fièrement dans son bec, jusqu’à ce qu’il le lâche pour chanter en réponse à ceux qui le flattaient pour sa belle voix. Quelle divine mais profane prophétie ! En 1945 et après, la langue française était la langue internationale diplomatique. Où est passée la voix de la France en 2025 ? Elle est remplacée par la langue anglaise jusque dans l’Union Européenne, et sa monnaie nationale, le franc, a été remplacée par l’Euro. Sa richesse industrielle est détenue par des actionnaires dispersés sur toute la terre. Il ne lui reste plus que l’apparence des pays riches puisqu’elle est terriblement endettée et grandement improductive. L’image de sa « fin » est loin de l’image de son « commencement ».
En prenant la date 1945 pour « commencement » des 80 années de paix, de commerce et de productions industrielles dont l’année actuelle 2025 marque « la fin », la date centrale est 1985. A cette date la France est gouvernée sous l’égide de la rose, la fleur symbolique de l’amour, par le parti socialiste dont le secrétaire François Mitterrand est devenu président des Français depuis 1981.
Ce symbole de l’amour résume toute l’évolution de la politique socialiste. Et déjà, l’abandon des tabous sexuels qui allaient provoquer la pire perversion sexuelle de l’ère chrétienne, étape par étape. La liberté donnée à la pornographie devait aller jusqu’à justifier les mariages homosexuels selon l’exigence du président socialiste François Hollande élu en 2012 ; d’un François à un autre, la France est tombée dans l’ignoble et l’abomination. Mais ce n’est pas tout, car en 1985, la France connaît une grande transformation ayant accueilli depuis 1976 de nombreuses familles de travailleurs maghrébins immigrés ; et les premières délinquances apparaissent sans que l’autorité politique intervienne pour maîtriser la situation. En conséquence, l’unité française est brisée, et la liberté des vrais Français va se réduire de jour en jour pour s’adapter à la liberté donnée aux familles musulmanes que la politique socialiste veut protéger, en présentant l’immigration comme un plus culturel. C’est pourquoi, il est utile de réaliser ce que les Français doivent en 2025 à ce plus culturel : 1995, attaque islamiste du GIA du RER de Paris ; de multiples rébellions de jeunes musulmans qui ont mis à feu des quartiers et des entreprises ; Le massacre des dessinateurs humoristes du journal satyrique Charlie Hebdo ; le massacre du Bataclan, et les égorgements d’un prêtre par un islamiste isolé et celui de Samuel Paty, un professeur d’histoire, égorgé dans la rue en sortant de son collège par un jeune tchéchène indigné par les caricatures de Charlie Hebdo, présentant des images obscènes concernant le prophète Mahomet. A ces choses il convient d’ajouter les conséquences de la création européenne qui a favorisé la ruine de la France, livrée dans le même temps à l’invasion des productions chinoises. Et avec la bénédiction de l’U.E., la France a sacrifié sa production industrielle en faveur de l’Allemagne et de la Chine. Et aujourd’hui j’entends sur les chaînes télévisées des économistes renommés imputer notre ruine à des excès de dépenses publiques. Que font-ils de l’impact de l’abandon des entreprises nationalisées qui enrichissaient l’Etat et des délocalisations réalisées en faveur de la Chine ou d’autres pays européens plus pauvres, donc plus rentables ? La politique suivie a permis aux riches de devenir cent fois plus riches et aux pauvres d’être encore plus pauvres. Quant à la France, elle n’est plus que l’ombre d’elle-même en dépit de sa civilisation et d’un armement moderne, sophistiqué, mais incapable de combattre au-delà de trois semaines. C’est ainsi qu’il faut comprendre que les économistes réputés sont au service de l’idéologie capitaliste sur laquelle ils construisent leurs raisonnements. La population française est victime d’une escroquerie organisée par ceux qui profitent des injustices du système capitaliste copié sur le modèle anglo-américain. Avant le temps de son intolérance religieuse, la « bête » occidentale s’est révélée sous l’idéologie de son capitalisme lucratif destructeur.
M73- Les démons sont déliés
Voici que j’attends patiemment depuis les années 80 de voir s’accomplir cette libération des démons que Jésus-Christ prophétise dans le message de sa sixième trompette de l’Apocalypse. Je précise que je sais que ce nom Apocalypse signifie Révélation comme le présente la langue anglaise et américaine. Mais je fais le choix volontairement de conserver ce nom énigmatique qui porte un caractère du secret qu’il mérite pleinement. Car le rôle de cette prophétie est d’être comprise en Révélation par les élus approuvés par Jésus-Christ, mais de rester hermétique pour les autres êtres humains. Et pour eux, cette prophétie reste la terrifiante Apocalypse. Et à ce sujet, je pense que dans leurs pires cauchemars ils restent en-dessous de ce que sera l’accomplissement du jugement de Dieu qui les concerne. Approcher de Dieu, c’est approcher l’extrême dans tous les sens imaginable. En Dieu, l’amour et la haine touchent à l’extrême. Et l’histoire humaine qui est derrière nous, témoigne de ces excès par les œuvres du Christ et celles de ses ennemis cruels à souhait, au long des siècles.
Je donnais à la libération des démons un aspect marqué par de grands changements brutaux du genre déclaration et action de guerre. Et Ô surprise ! Rien de tout ce que j’attendais. Le Seigneur m’apprend en fin Septembre que la « sixième trompette » a commencé le 6 Août 2025. Les voies du Seigneur sont bien réellement impénétrables car notre tendance humaine et de porter nos regards en priorité sur la fin des choses et non sur leur commencement. Alors que les petits ruisseaux font les grandes rivières et les fleuves qui se jettent dans la mer, nous sous-estimons les petits débuts, oubliant cette leçon donnée par la nature. Et de même toute rivière a à son origine une source. Et pour la « sixième trompette », la source est la date du 7 Août 2025 qui se présente 1704 années + 6 mois après le 7 Mars 321, jour de l’adoption du « jour du soleil » comme jour du repos hebdomadaire qui a remplacé le sabbat du septième jour sanctifié par Dieu. Ce jour 7 est donc relié avec le « sceau du Dieu vivant » symbolisé par le chiffre « 7 ». Et je le rappelle, c’est déjà le 7 Décembre 1941, que la base américaine de Pearl-Harbour a été attaquée par l’aviation japonaise qui a pu ainsi couler plusieurs gros navires de la Navy américaine de l’époque. Cette action marqua le début de l’entrée en guerre des Américains contre le Japon et cette guerre a pris fin le 6 Août 1945, par le lâcher d’une bombe atomique sur la ville d’Hiroshima puis sur celle de Nagasaki. La guerre américaine du Pacifique s’est donc prolongée du 7 Décembre 1941 au 6 Août 1945 soit, pendant 3 années et 8 mois, à deux mois près, le temps des 3 ans et 6 mois que doit durer prophétiquement la « sixième trompette ». Les deux événements sont apparemment reliés au niveau de la culpabilité envers Dieu qui châtie après la première Guerre Mondiale de 1914-1918 pour la deuxième fois, l’honneur injustement donné au « jour du soleil » le premier jour que la langue anglaise rend évident en portant le nom « Sunday ». De plus, en 1941, les USA sont porteurs de la malédiction héritée depuis les épreuves adventistes de 1843 et 1844.
La culpabilité des Protestants américains est supérieure à celle des catholiques européens, parce que les Protestants ont librement accès à la sainte Bible sur le sol américain. Ils sont donc spécifiquement visés par la colère de Dieu en 1941. Et son choix du 7 Décembre porte deux messages : le premier, le choix du « 7 », concerne le septième jour abandonné illégalement selon la loi divine de Moïse. Et le second, le mois de Décembre marque faussement la fin de l’année, alors que son nom même lui attribue la dixième position des 12 mois de l’année. Pour des chrétiens qui se réclament du Dieu de vérité inspirateur de la sainte Bible, l’acceptation de ces incohérences mensongères est hautement condamnable et le 7 Décembre 1941, le Dieu créateur irrité l’a fait savoir de manière violente et tragique. Cette expérience vécue par l’Amérique va se reproduire avec la « sixième trompette » pour les mêmes causes : le mépris de l’ordre naturel instauré par Dieu par le saint sabbat du septième jour et le mépris de l’ordre reposant sur les saisons qui place le début de l’année au jour de l’équinoxe du printemps. Animée d’un esprit diabolique, l’humanité rebelle a été utilisée par le diable en personne pour renverser l’ordre établi par Dieu, sur tous les sujets qui le concernent et attaquent son autorité. Mais le plus subtil et difficile à comprendre, c’est que son activité est entièrement voulue et programmée par Dieu lui-même. Car dans son projet de séparation du camp lumière d’avec le camp ténèbres, Dieu a tout intérêt à rendre les fruits des deux camps clairement évidents. C’est au fruit que l’arbre est jugé selon les paroles tenues par Jésus-Christ dans Matthieu 7 :15 à 17 et jusqu’au verset 20 : « Gardez-vous des faux prophètes. Ils viennent à vous en vêtement de brebis, mais au dedans ce sont des loups ravisseurs. Vous les reconnaîtrez à leurs fruits. Cueille-t-on des raisins sur des épines, ou des figues sur des chardons ? Tout bon arbre porte de bons fruits, mais le mauvais arbre porte de mauvais fruits. » Jésus porte son jugement sur les vrais et les faux prophètes car c’est sur leur action que la société humaine se divise. Le sujet des faux prophètes est pour lui et pour tout être vivant, fondamental et le plus important. Car le faux prophète prend aussi la forme du libre penseur qui décrète son athéisme, il n’est pas que religieux et adorateur du vrai Dieu créateur. Le faux prophète enseigne le bouddhisme, le shintoïsme ou toute autre forme religieuse païenne philosophique autre que celle du vrai Dieu créateur unique et suprême.
Il va de soi que le danger le plus évident se trouve sous l’étiquette chrétienne. Car plus le modèle présenté est proche du modèle exigé sans répondre pour autant à ses exigences, plus il est difficile de l’identifier. Jusqu’en 1844, ce modèle était celui du protestantisme, mais aujourd’hui en 2025 et depuis 1994, le vrai faux est adventiste du septième jour. C’est pourquoi, Dieu a organisé officiellement en 1995 leur alliance avec les protestants abandonnés au diable par lui depuis 1843-1844. Dieu rassemble ceux qui se ressemblent dans son camp lumière comme dans le camp ténèbres.
Dès l’année 1995, un lâcher partiel de démons a été rendu visible par l’attaque des commandos islamiste du GIA qui ont commis un attentat public retentissant dans le métro du RER de Paris. Ce signe précurseur annonçait la forme de la grande opposition et du grand affrontement meurtrier qui va s’accomplir dans le temps de la « sixième trompette » aujourd’hui commencée depuis le 7 Août dernier. Pour mieux comprendre l’accomplissement de cette sixième trompette je vais prendre l’image d’une locomotive qui doit tirer de nombreux lourds wagons. Le démarrage est très lent et nécessite énormément d’énergie, puis le convoi s’ébranle, et peut accélérer sa vitesse très progressivement, jusqu’à atteindre sa vitesse maximale favorisée par le poids et l’inertie des wagons attelés. Le lâcher des démons se traduit par un engagement nouveau de gens qui prennent des risques pour commettre des actions délinquantes ou de violence. En France, pays ciblé par Dieu, ces actions se multiplient et j’ai peine à les relever toutes. Mais la crise politique qui prive le pays de stabilité prépare des affrontements brutaux qui vont opposer les pauvres aux riches devenus insupportablement égoïstes et à la fois très dépendants de la concurrence mondiale à laquelle ils sont confrontés. Les capitaux et les patrimoines des riches sont investis et prennent la forme d’entreprises ou de constructions mobilières. D’autres investissent en bourse et font fructifier à l’étranger et plus rarement en France parce que moins rentable, leur capital financier. Comment l’Etat doit-il se comporter envers chacun de ces cas si différents ? La question ne se poserait pas si le laxisme des dirigeants français n’avait pas favorisé l’enrichissement injuste d’une partie de sa population, aggravant ainsi la pauvreté de l’autre partie frustrée. Et la malédiction de cet écart abyssal de richesse est due au changement politique et économique qui reposait sur des entreprises nationalisées qui enrichissaient l’Etat au lieu d’enrichir égoïstement des gens privés ; ceci, pour obéir aux consignes ordonnées par les autorités de l’U.E. favorable au système capitaliste libéral adopté par l’Allemagne occupée et formée par les USA depuis 1945.
En ce jour du mardi 28 Octobre 2025, on signale des exactions commises contre la SNCF. Des dégâts ont été faits pour voler du fil de cuivre par ceux que j’appelle, la « cinquième colonne » des ennemis de la France installés sur son sol. Et je me dis que ce genre d’actions peut se multiplier, la France disposant d’un réseau ferré de 28 000 km. Il est donc facile pour ses ennemis de déstabiliser la vie intérieure du pays évidemment incapable d’empêcher de telles actions.
Après le vol des bijoux exposés au musée du Louvre, dont deux des quatre voleurs ont été identifiés et arrêtés, sans que les bijoux soient retrouvés, cette destruction frappant la SNCF ne prédit rien de bon. Car la vie en France repose sur son infrastructure de voies ferrées, d’autoroutes et de routes empruntées par les travailleurs pour se rendre sur le lieu de leur emploi.
Dans toute la France, localement, traités en faits divers qui ne remontent pas au premier plan de la nation, de multiples méfaits accomplis par des étrangers haineux rendent la vie des Français douloureuse et souffrante depuis des décennies. Les ethnies étant très mélangées, dans le cadre de la « sixième trompette », les plus irrités agiront dans la violence encouragée par les démons relâchés. Pour autant, les élites politiques auront beaucoup de peine à reconnaître que l’accueil de l’islam avec le regroupement familial rendu légal en 1976 était une erreur fatale, parce que dans leur incrédulité, ils ne voudront pas condamner globalement l’islam entier, pensant que seule une minorité agissante cause les problèmes. Le regroupement familial a favorisé l’actuelle prise en charge des immigrés victimes du chômage national. La sagesse divine juge la chose très différemment, car la minorité peut agir qu’à cause de l’accueil accepté pour les bons et les méchants. Et si l’ethnie entière n’avait pas été accueillie, la minorité agissante ne serait pas en mesure d’agir. Dans sa sagesse suprême, Dieu adopte les mesures nécessaires qui lui permettent d’obtenir le résultat souhaité. Ainsi, pour donner la terre de Canaan à son Israël, il a exterminé les Cananéens qui l’occupaient et y vivaient depuis de longues générations et depuis Abraham, quatre générations selon la précision du texte biblique. Pourquoi cette précision ? Parce que cette extermination est conforme à l’avertissement donné par Dieu dans son deuxième commandement : Exode 20:5: « Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point ; car moi, YaHWéH, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punis l'iniquité des pères sur les enfants jusqu'à la troisième et la quatrième génération de ceux qui me haïssent, »
Il est sûr que les trois ans et six mois écoulés depuis le 24 Février 2022 ont fait apparaître des divisions provoquant des haines croissantes entre le camp Occidental et le camp russe, et c’était là le but donné par Dieu à cette guerre préliminaire. Depuis le 7 Août 2025, l’intervention de Donald Trump déterminé à imposer la paix en Ukraine et à Gaza et à éteindre tous les feux d’affrontements donne à la situation une hauteur maximum à la tension internationale. Simplement, parce qu’il représente la cible principale du programme de Dieu.
Il est vrai que le cadre de la sixième trompette est le sol européen occidental, car Dieu va utiliser la Russie pour détruire les nations européennes des dix cornes de Daniel 7:7 et Apocalypse 17:3. Mais à la faveur de ce conflit mondial, Dieu offre à l’Amérique des USA, excroissance de l’Europe, l’opportunité d’atteindre son objectif qui est de diriger avec ses seules valeurs les survivants de la guerre, comme la guerre menée contre le Japon le lui a permis en 1945, en utilisant déjà, et pour la première fois, l’arme atomique contre son ennemi de l’heure. Avec la croissance de la haine, les préjugés et les rè-gles de la guerre vont voler en éclats. L’humanité va devenir féroce et elle va accepter comme Dieu de ne pas faire de différence entre les civils et les militaires ; les deux étant de plus en plus visiblement impliqués dans le choix de la guerre. Et de la sorte, la guerre accomplit le jugement de Dieu auquel civils et militaires doivent rendre des comptes pareillement.
L’homme de la paix que veut être Donald Trump devient de plus en plus agressif, visiblement agacé par la résistance de la Russie qui en ce soir annonce l’imminente prise de la ville ukrainienne du Donbass nommée Pokrovsk qu’elle combat depuis une année. Ce message est de nature à irriter encore plus Donald Trump, car les avancées des victoires Russes écartent les possibilités des négociations qu’il veut voir s’engager entre la Russie et l’Ukraine. Actuellement, en voyage en Asie, il rencontre des alliés, aux Philippines et les Japonais et doit visiter la Chine qu’il aimerait détacher de la Russie. Ce probable nouvel échec sera très dur pour lui et nous verrons ce que cela produira au niveau de ses décisions. Je pense qu’il tournera sa colère contre le trafique de la drogue transportée par des canots rapides partant du Venezuela dirigé par le président Maduro qui lui est très hostile. Une guerre entre Américains et Vénézuéliens est possible et probable.
En ce mercredi 29 Octobre, le grand Dieu créateur qui s’est nommé lui-même YaHWéh m’a offert une perle que je m’empresse de te faire partager. C’est devant le camion de mon fromager que l’expérience s’est déroulé. Me présentant la note de 26 Euros, il me dit : « Comme la Drôme », et je lui réponds : « C’est aussi le nombre du nom de Dieu hébreu « Yod Hé Wav Hé » dont la somme des lettres chiffrées totalise le nombre 26 ». Un homme qui se tenait près de moi ajouta : « Oui, et c’est le seul nombre qui est précédé par un carré et qui est suivi par un cube ». Cette explication m’a tout de suite enthousiasmé et je l’ai chaleureusement remercié. Ensuite méditant sur la chose en revenant du marché vers mon domicile, j’ai réalisé que le carré en question était « 5 fois 5 » et le cube qui suit le nombre 26 est 27 soit, « 3 fois 3 fois 3 ». Dieu place ainsi son nom entre la surface et le cube, les deux dimensions utilisées en géométrie par lesquelles il décrit la nouvelle Jérusalem dans Apocalypse 21:16 : « La ville avait la forme d'un carré, et sa longueur était égale à sa largeur. Il mesura la ville avec le roseau, et trouva douze mille stades ; la longueur, la largeur et la hauteur en étaient égales. » Le verbe mesurer signifie juger, évaluer, estimer et Dieu prend pour symboles le nombre douze mille dont la signification repose sur l’équation suivante : (5 + 7) x 1000 que je traduis par « homme + Dieu et sanctification) x en multitudes ; ce qui désigne les élus sanctifiés rachetés par Jésus-Christ. Le nombre symbolique de l’homme est le chiffre 5. Le carré 25 soit, 5 x 5, représente l’homme terrestre qui vit sur la surface plane de la terre dans la perfection humaine soit, la surface dont la forme parfaite est le carré soit, la forme géométrique que Dieu donne au lieu très saint du sanctuaire qu’il fait construire par Moïse. Le chiffre 3 symbolise la perfection et le nombre 27 obtenu par 3 x 3 x 3 désigne la perfection en trois dimensions qui est celle du cube ; et qui est aussi la norme de la « Nouvelle Jérusalem » bâtie sur Jésus-Christ et à son image ; en lui sont rassemblées, la perfection humaine (5x5) et la perfection divine du cube (3x3x3). Ce message révèle l’extraordinaire sainteté du nom de Dieu : YaHWéH, dont les quatre consonnes Yod Hé Wav Hé sanctifient son nom, en sanctifiant de manière unique, son nombre « 26 » soit, Y=10 + Hé=5 + W=6 + H=5. Dieu se glorifie ainsi de deux manières : par son nom YaHWéH, 25 (26) 27 ; et par son nom Jésus-Christ en lequel il est homme et Dieu soit, 5 + 7.
Pour moi, cette nouvelle information reçue en ce jour est un cadeau du ciel. Et recevoir cette perle, un mercredi, jour où le Seigneur Sauveur s’est fait crucifier ajoute à sa valeur.
Sur toute la terre occidentale, les vols se multiplient on signale des vols d’objets sacrés précieux dans les églises catholiques et les musées provinciaux dans tous les pays de l’U.E. Partout, le mélange ethnique produit ses effets funestes. Car le problème du déracinement des peuples, c’est la possibilité que certains enfants d’immigrés n’approuvent pas le choix de leurs parents de venir vivre en France, et ils peuvent dès lors ressentir de la haine envers ce pays qui reste pour eux un pays étranger perverti détesté. C’est ce qui s’est accompli dans le cas de jeunes gens musulmans qui s’engagent dans les luttes islamistes depuis 1995. La longue paix prolongée jusqu’en 1995 a été un piège dans lequel l’humanisme aveugle occidental est tombé. La paix a favorisé l’immigration qui n’a fait que croître dans le temps. A un niveau fatal, Dieu peut dresser les ethnies les unes contre les autres, en les poussant à se combattre ; ceci d’autant plus que ses consignes données à Israël lui ordonne de préserver sa pureté ethnique. La désobéissance fruit du mépris pour ses avertissements est payée très cher par le coupable ; et dans le temps de la fin, elle est payée par sa mort. Car, Dieu a fait d’Israël un modèle dont l’expérience relatée dans la sainte Bible présente des avertissements adressés à tous les hommes réellement « intelligents ».
Depuis l’élection de Donald Trump, les conventions diplomatiques observées jusqu’à son second mandat présidentiel sont abandonnées et plus respectées par lui. Le monde est devenu la scène d’un théâtre sur laquelle la vedette star s’exprime ouvertement dans un naturel grossier et irrespectueux envers ses homologues politiques. Sûr de sa puissance économique et militaire, il toise avec arrogance tous ses interlocuteurs. Mais ce que je sais c’est que Dieu lui réserve une épreuve très désagréable, car il va échouer dans son désir d’instaurer la paix, et il vouera à la Russie une grande haine momentanément contenue, attendant l’heure favorable pour l’exprimer de la pire des manières.
Et aujourd’hui en ce matin du jeudi 30 Octobre 2025, un événement va sans aucun doute être relié à la libération des démons. En France, les députés viennent d’adopter par 185 voix contre 184 la dénonciation des accords d’Evian signé en 1968 entre la France et l’Algérie. Ce fait va avoir des conséquences énormes et finir par causer une nouvelle guerre entre les deux pays. La haine algérienne difficilement contenue va trouver là, l’occasion favorable pour s’exprimer par la violence. Le résultat du vote, on ne peut plus resserré, puisque reposant sur une seule voix, va remettre en cause les nombreux privilèges donnés aux immigrés algériens par rapport aux autres immigrés du Maghreb, de l’Afrique noire et des autres pays anciennement colonisés par la France. Le président Macron ayant voulu favoriser sa relation avec le Maroc, avait intensifié la haine algérienne, l’Algérie et le Maroc ayant entre eux des relations conflictuelles pour une dispute territoriale. Des immigrés clandestins de plus en plus nombreux sont venus en France de ces pays du Maghreb et particulièrement de l’Algérie. Ils viennent grossir une population musulmane hostile au style de la vie occidentale libertaire qu’ils jugent non sans raisons dépravée et immorale. Je rappelle, à ce sujet que l’un des voleurs des bijoux du Louvre est d’origine algérienne et ce n’est là que la confirmation de la nocivité de l’accueil des Algériens après les accords de 1968 aujourd’hui même, dénoncés et supprimés à la demande de 185 députés, alors que la majorité exigée était de 185 voix.
De son côté, le président russe Vladimir Poutine a présenté tour à tour deux armes nucléaires exclusives propulsées par un moteur nucléaire. L’une est aérienne, l’autre est maritime et consiste en une sorte de drone nucléaire porteur d’une charge atomique de cent mégatonnes, capable de déclencher un tsunami de 500 mètres de haut qui peut recouvrir l’Angleterre. Depuis la Chine, le président Trump a ordonné aux services américains concernés, de procéder à des essais nucléaires réels. Ainsi, chaque jour, le futur usage de ces armes destructrices terrifiantes se renforce et se confirme.
En pure illusion, un vote des députés condamne le viol au niveau du non- consentement de la femme. Et si je dis, en pure illusion, c’est parce que le viol est commis par des gens insensibles aux textes des lois ; les violeurs agissent par instinct animal aussi, disons que ceux qui seront pris seront plus sévèrement condamnés. Mais le sujet est extrêmement révélateur de l’illusion que les humanistes font reposer sur leurs textes juridiques. Et je rappelle qu’ayant rejeté la justice gratuite apportée par Jésus-Christ, les Juifs apostats ont donné une grande importance au Talmud qui tente de rassembler en forme de livre, toutes les situations auxquelles les Juifs s’exposent dans leur existence ; ceci, dans le but de prévenir la faute du péché condamné par Dieu dans la « loi de Moïse ». Tout ceci en vain, car en rejetant Jésus-Christ, ils ont déjà commis le plus gros péché qui peut être accompli sur la terre.
Je viens d’apprendre l’intention du gouvernement français d’augmenter le nombre des avocats. Ceci prouve que les lois ne guérissent pas des maux mais ne font que les recenser et les révéler. Il en a été de même de la « loi de Moïse », et son rôle consiste bien comme le dit l’apôtre Paul à révéler la faute du péché sans le guérir ni l’empêcher selon Romains 7:7-8 : « Que dirons-nous donc ? La loi est-elle péché ? Loin de là ! Mais je n'ai connu le péché que par la loi. Car je n'aurais pas connu la convoitise, si la loi n'eût dit : Tu ne convoiteras point. Et le péché, saisissant l'occasion, produisit en moi par le commandement toutes sortes de convoitises ; car sans loi le péché est mort.» La loi n’était, à elle seule, pas capable d’empêcher le péché, mais elle proposait le pardon de Dieu par le rite sacrificiel, et la punition, qui pouvait aller jusqu’à prendre une forme mortelle. Si le rite sacrificiel anticipait le pardon obtenu par la mort salvatrice de Jésus-Christ, au contraire, les lois civiles actuelles ne prévoient pas le juste pardon miséricordieux et elles sont donc condamnées à devoir juger des coupables de plus en plus nombreux. Car la faiblesse de la loi repose sur le fait que pour fonctionner, elle exige le consentement de ceux qui la reconnaissent. Les civilisations humanistes s’illusionnent quand elles croient que la loi a un pouvoir dissuasif ; ce n’est vrai que pour une majorité de gens craintifs qui ne prennent pas le risque de trop désobéir. Le drame qui frappe nos sociétés vient de minorités rebelles que rien ne peut dissuader, ni la loi, ni la prison, ni la mort.
Et en évoquant ces choses, je touche le sujet qui explique la situation guerrière qui se développe depuis le 24 Février 2022 et pour être encore plus vrai, depuis l’écroulement de la Russie dans les années 90, cause des émancipations et des prises d’indépendance des pays contrôlés par la Russie depuis le partage de Yalta de 1945 : Allemagne de l’Est, Roumanie, Pologne, Pays-Baltes et le pas de trop vers la Russie, l’Ukraine. L’U.E. s’est édifiée sous la protection des USA, et elle a organisé son tribunal qu’elle prétend « international » qui n’est cependant reconnu que par elle et quelques autres petits pays. C’est ainsi, qu’au nom de ses lois, elle a condamné l’intervention russe en Ukraine, mais son jugement n’a aucun effet sur la Russie qui ne reconnaît ni son tribunal international ni les règles de ses lois. Depuis 1945 le continent européen a été coupé en deux zones d’influence américaine côté Ouest et russe côté Est. La superficie de ces zones d’influence capitaliste ou communiste est devenue fondamentale dans la concurrence engagée entre les deux camps. Avec le temps et la prospérité croissante, les Occidentaux ont perdu de vue l’importance de ce paramètre que constitue la surface de la zone de chacun des camps. La liberté occidentale, a comme le péché, séduit des peuples de l’Est qui ont saisi l’occasion offerte en 1990 de quitter le camp russe de l’Est. Mais pour la Russie, le rétrécissement de sa zone d’influence a pris, en 2013, au putsch qui a renversé en Ukraine le président russophile élu, un niveau insupportable qui l’a conduite à intervenir avec son armée sur le sol ukrainien le 24 Février 2022 qui marque le début de la « semaine » de 2520 jours (1260 + 1260) dont la date centrale des 6 et 7 Août 2025 a marqué le début de la « sixième trompette ».Les Russes ont toujours été des gens fiers de l’immensité de leur pays, c’est pourquoi, le rétrécir n’était pas une bonne idée. Sans pour autant agresser militairement la Russie, les Occidentaux ont commis la faute d’accueillir ceux qui la quittaient, et en armant l’Ukraine rebelle, ils sont devenus les ennemis de la Russie et ils vont devoir payer chèrement le prix de ce choix aux conséquences sous-estimées..
Les grands et officiels déplacements des chefs d’Etat occidentaux rappellent ceux qui ont précédés les deux grandes guerres mondiales. Dans la même hypocrisie, les chefs puissants se rencontrent et semblent fraterniser, mais demain ils vont s’affronter, la haine dans l’esprit et dans le cœur comme des bêtes féroces excitées par les esprits invisibles des démons libérés par Dieu.
M74- Liberté
La liberté c’est la vie, car la vie n’est construite que sur la liberté. De l’animal jusqu’à l’homme, il n’y a que la liberté.
Quand la France républicaine a lancé son slogan national « liberté égalité fraternité », elle n’a fait que redécouvrir un principe fondamental de la vie créée par Dieu, le glorieux YaHWéH.
Liberté : parce que depuis son sevrage, le petit né dans l’espèce des mammifères devient indépendant et totalement libre. Sa liberté le confronte aux risques mortels que la vie libre comporte. Et l’espèce animale confirme la pratique de la « loi du plus fort » qui depuis le péché humain, mange et dévore le plus faible dont il fait son aliment. Dans ce sens, la liberté ne protège personne, au contraire, elle expose au danger tout le monde. Les premiers Révolutionnaires ont témoigné de ce principe, puisque devenus les plus forts, ayant renversé la monarchie, le roi, la reine, le clergé catholique et les aristocrates de la France ont été sauvagement décapités par un bourreau anonyme mécanique : la guillotine. Cette sauvagerie humaine est si comparable à celle des animaux que Dieu nomme ce régime sanglant, dans Apocalypse 11:7, « la bête qui monte de l’abîme » soit, le régime qui organise le dépeuplement de la terre, selon ce que le mot « abîme » représente dans Genèse 1:2.
Egalité : Là encore qui sont plus égaux
que les nourrissons qui dépendent du lait maternel ? A ce sujet, l’homme
et l’animal sont aussi égaux, mais déjà même à ce niveau, la concurrence entre
les petits nés, favorise les plus forts au détriment des plus faibles qui en
meurent. Déjà à ce stade, l’inégalité apparaît. Les uns sont forts et
agressifs, les autres sont faibles et vulnérables ; les uns sont
téméraires, les autres sont prudents et craintifs. Et pour les êtres humains,
l’inégalité est encore plus grande, car les uns naissent riches, les autres
naissent pauvres ; les uns sont doués pour les études, les autres ne sont
pas doués pour cette chose, et ne peuvent vivre que par des emplois manuels
hautement, mais injustement, disqualifiés. Entre 1789 et 1798, l’illusion de
l’égalité a, pour un cours temps, favorisé le regroupement d’une force
contraignante, nommée « la bête qui monte de l’abîme »,
que Dieu a suscitée afin de punir le régime coalisé de la monarchie et du
papisme catholique romain dont le règne cruel et injuste de « 1260 »
années est, lui-aussi, comparé par Dieu à « la bête qui monte de la mer » dans Apocalypse 13:1.
L’humanité est, par naissance, totalement marquée et programmée pour l’inégalité. Dans la masse des vies créées, l’immense majorité ne vient au monde que pour partager sa perdition finale. Et seule une petite minorité que Dieu désigne toujours comme « le reste d’Israël » obtiendra la vie éternelle, qu’il offre au nom de la mort expiatoire de Jésus-Christ.
L’égalité proclamée est donc restée un mythe, car même au temps de la Révolution, elle n’existait pas tant la situation était chaotique. L’égalité nécessite la paix et l’équilibre pour être instaurée. Mais l’humanité a toujours été et reste dans des rapports conflictuels qui empêchent de l’adopter et de l’appliquer dans tous les temps.
Fraternité : Si l’on tient compte du fait que nous descendons tous d’Adam et Eve, alors oui, nous sommes tous des frères nés des mêmes parents. Mais que signifie le mot frère ? Dès le commencement, la sainte Bible témoigne que Caïn, l’aîné, a tué son jeune frère nommé Abel. Dieu met donc en garde ses créatures contre la prétendue « fraternité ». En réflexe d’opposition à la norme biblique divine, les Communistes russes ont substitué au mot frère, le mot camarade. C’était et reste le moyen de confirmer le refus de Dieu et de ses révélations. Car se dire « frères », c’est reconnaître implicitement être les enfants d’un même couple originel. Les Révolutionnaires de 1789 ne sont pas allés jusqu’à nier ce principe de la reproduction humaine, mais en honorant la déesse « raison », ils ont résolument voulu, eux-aussi, se libérer de Dieu ; en grande partie, parce qu’ils lui attribuaient les injustices commises par la monarchie catholique et la religion catholique papale romaine.
Un dicton le rappelle, « on ne choisit ni son père, ni sa mère, ni ses frères et sœurs ». Là se trouve la cause des mésententes familiales. Car la famille est à elle seule, une cellule qui représente la vie du monde dans lequel elle est reproduite actuellement à des milliards d’exemplaires. En donnant la vie à leurs enfants, les parents sont une image du Dieu créateur lui-aussi binaire, Esprit illimité et en corps céleste, le Chef des anges nommé Micaël, lequel a pris momentanément, l’apparence du corps terrestre nommé Jésus-Christ. Dans une famille, les frères et sœurs entrent en concurrence. Ils sont rivaux pour obtenir ce qu’ils désirent obtenir de leurs parents. Et si deux enfants désirent la même chose, la fraternité vole en éclat, et la lutte prend la forme de la jalousie car l’un ou l’autre ressort de ce combat frustré et amer. Les parents sont incapables d’échapper à leurs propres sentiments qui favorisent, l’un, l’autre ou l’une. Et dans son injustice naturelle, chaque parent favorise l’enfant qui lui témoigne le plus d’intérêt ou d’affection. Mais s’agit-il vraiment d’injustice ? L’enfant frustré le ressent comme une injustice, mais n’est-il pas pour quelque chose dans cette réaction des parents ? Nos natures sont très différentes et nos besoins le sont aussi. Mon frère était plus affectueux envers ma mère que moi, car j’étais moins sensible et plus indépendant ; aussi, je n’ai jamais souffert des manifestations de sa préférence qui était cependant continuellement clairement manifestée. Mais je peux comprendre que lorsque plusieurs enfants éprouvent le même besoin de l’affection de l’un ou l’autre ou des deux parents, la lutte engendre de grandes et profondes souffrances.
Cette situation expérimentée dans la vie terrestre ne fait que reproduire ce qui se produit au niveau spirituel dans notre relation avec le Dieu créateur, notre véritable Père. En fait, mon manque de sensibilité humaine terrestre a favorisé mon intérêt pour mon Père céleste. Dieu et les parents terrestres sont donc en concurrence, étant aussi désireux l’un que les autres d’obtenir l’amour de l’enfant créé, l’enfant né.
Les trois valeurs « liberté, égalité, fraternité » sont utopiques parce que le principe de la liberté rend à lui seul impossible l’égalité et la fraternité.
Dans notre époque, actuellement, la chambre des députés de la France, comme le Sénat américain, apporte une évidente démonstration de cette utopie. Le budget national doit être voté pour que la France et les USA prolongent leur existence et leur action. Concernant la France, il se trouve que Dieu a décidé de mettre fin à sa gouvernance arrogante dite laïque. J’ai la surprise de découvrir le moyen par lequel il fait accomplir son dessein. La 5ème République a longtemps fonctionné depuis 1958 sur la norme de sa Constitution qui donnait aux députés présidentiels une majorité absolue constante. Longtemps, cette représentation a été binaire, la gauche ouvrière contre la droite patronale. La droite a gardé le pouvoir jusqu’en 1981 où le parti socialiste l’a remplacée. Cette croissance du parti socialiste a avalé le parti communiste et de la sorte, le partage binaire s’est prolongé.
En toute logique, le vrai partage d’une population est trinitaire, composé d’une gauche, d’un centre, et d’une droite. Sous le Gaullisme, le centre est resté très réduit, d’où des alternances au pouvoir des partis de droite et de gauche, lesquels soumis aux normes imposées par la gouvernance européenne, ont été contraintes à appliquer des mesures politiques et sociales très ressemblantes. Jusqu’en 2022, le président élu a bénéficié d’une majorité absolue qui a protégé la gouvernance du pays. Et en 2022, année déjà marquée par la malédiction de la guerre engagée en Ukraine, les élections législatives ont enlevé au président Macron sa majorité de députés. Et le résultat du vote a mis en concurrence trois groupes sensiblement égaux en nombre et d’accords sur rien. Le Dieu créateur signe ainsi son action, rappelant qu’il incarne en Jésus-Christ, une perfection symbolisée par le chiffre « 3 ». Sa perfection divine agit et immobilise la députation de la population de la France dont il a fait sa cible dans toute son histoire.
Ce qui arrive en France dans la chambre des députés attire l’attention de tous les pays du monde qui regardent avec étonnement et curiosité, la crise qui paralyse le pays depuis une année. Je le rappelle, dans son histoire, la France a été imitée et admirée et la situation actuelle est à l’inverse de celle qui a prévalu entre 1789 et 1798. Dieu décrit l’admiration pour la République adoptée en France en ces termes, dans Apocalypse 11:10 : « Et à cause d'eux les habitants de la terre se réjouiront et seront dans l'allégresse, et ils s'enverront des présents les uns aux autres, parce que ces deux prophètes ont tourmenté les habitants de la terre. »
En évoquant des « présents », Dieu pense à des choses précises qui ont sens dans son message. Et ce terme « présents » donne à ces cadeaux une valeur par leur présence, mais une présence que Dieu n’apprécie pas du tout, et qu’il condamne fortement. Et c’est le cas de l’obélisque de Louxor donné à la France en 1836 par le vice-roi d’Egypte Méhémet-Ali. Et si Dieu cible particulièrement « l’Egypte » dont il nomme symboliquement Paris au verset 8, c’est parce qu’en abandonnant Dieu, le créateur de la vie, les penseurs et les élites de la France ont dirigé leur intérêt vers l’égyptologie, et c’est ainsi qu’entreprenant des fouilles en Egypte, ils ont rempli en France, le musée du Louvre ; ce qui donne un sens spirituel au vol des bijoux survenu le dimanche matin du 19 Octobre 2025, le « jour du soleil » honoré par l’obélisque égyptien. Et en 1876, à son tour, la France a offert aux USA, la statue de la Liberté en forme d’Astarté, la nouvelle idole de la jalousie qui irrite Dieu. De la sorte, la France reconnaissait les USA comme le premier pays qui a conquis sa liberté. A la fin du verset Dieu dit : « parce que ces deux prophètes ont tourmenté les habitants de la terre. » Les « tourments » dont il est question désignent deux choses différentes : la première est la menace des « tourments » subis lors de la « seconde mort » réservée aux grands coupables religieux rebelles à l’heure du jugement dernier qui viendra en fin du septième millénaire. Mais la seconde vise les « tourments » injustement imposés par le catholicisme romain et son tribunal de l’inquisition papale qui a conduit les humains à rejeter Dieu au nom duquel ces choses injustes et cruelles étaient appliquées. Les spectateurs européens qui assistaient à la libération de la France de ces outrances religieuses avaient donc de bonnes raisons de se réjouir et de l’imiter dans cette démarche. Cependant, le témoignage de la sainte Bible a condamné ce rejet de Dieu parce que les Evangiles témoignent de sa bonté, de son amour, et de sa compassion pour les pécheurs que nous sommes tous par héritage d’Adam et Eve.
L’heure actuelle inverse cette situation, et si les nations portent aujourd’hui encore leur regard sur la France, cette fois, ce n’est que pour s’inquiéter et s’angoisser à l’idée que le pays le mieux armé et équipé de l’Europe pourrait sombrer dans une guerre civile. C’est pourquoi, j’interprète la crise française actuelle comme le fruit de la vengeance de Dieu qui n’a pas oublié, le mépris manifesté envers sa sainte Bible et sa personne, depuis la Révolution jusqu’à notre époque, à cause de la « liberté » conquise entre 1789 et 1798.
L’angoisse suscitée par le désordre politique français est d’autant plus justifiée que de jour en jour, les Européens réalisent qu’ils sont menacés par la colère de la Russie qui s’impose contre l’Ukraine, et de plus, ils savent maintenant que l’Amérique ne s’engagera pas dans une guerre contre la Russie pour les soutenir. Le pire qu’il redoute est donc de voir la France tomber dans une guerre civile interne qui les privera de toute protection militaire. Et le pire est ce que Dieu a le plus de raison, que jamais auparavant, de favoriser, vu l’heure de son programme. C’est pourquoi, le blocage politique actuel ne devrait pas obtenir de réponse satisfaisante. Dans la chambre des députés, deux valeurs opposées partagent trois blocs inconciliables. A droite, les députés sont arcboutés pour préserver le droit à la richesse intouchable. A gauche, les députés refusent que l’endettement français soit payé par les pauvres et les travailleurs. Au centre, les députés sont divisés et partagés au sujet des mesures à défendre et un groupe central représente l’ancienne majorité présidentielle.
La crise politique est arrivée en 2024 et l’accroissement de la dette de la France était ignorée jusqu’à la publication des chiffres faite après les élections législatives. Sous la pression de l’U.E., la nécessité de réduire cet endettement qui a atteint 3400 milliards d’Euros est révélée, rappelée et connue de tous. Et c’est la répartition de la prise en charge de cette dépense qui cause aujourd’hui les propositions du gouvernement et les disputes de ceux qui les refusent ou les contestent. Car de plus, aucune majorité absolue n’ayant été obtenue aux législatives de 2024, aucun parti politique a obtenu la légitimité de former un gouvernement. Je relève le fait que la loi interdisant de nouvelles élections avant un délai d’une année, le devoir du président aurait dû le conduire à organiser de nouvelles législatives dès le délai écoulé soit, en 2025. Mais celui-ci, dans la crainte de perdre encore plus de députés, a écarté cette logique et légitime consultation du peuple électeur. Il s’est entêté et a ainsi préféré nommer quatre premier-ministre successifs dont les trois premiers ont été censurés, prolongeant ainsi la crise politique française. Les Français lui doivent donc, successivement, leur future destruction par la Russie et la crise actuelle qui détruit leur capacité à se défendre. Il est donc sage de relever que son élection a eu lieu en 2017, le nombre 17 étant symbolique du jugement de Dieu. C’est lui, le grand Dieu créateur qui, pour la mener à sa perte, a livré la France républicaine rebelle et laïque, à la présidence d’un jeune homme au caractère ambitieux et entêté, « immature » et « inexpérimenté » selon ses propres propos, nommé Emmanuel Macron.
Ce que la France vit actuellement démontre le fruit que sa conception de la liberté peut produire, parce qu’elle rencontre des limites que Dieu lui impose. Car la liberté est le sujet sur lequel la liberté républicaine et la liberté divine entrent en lutte étant très différentes et opposées l’une envers l’autre.
La liberté républicaine conduit l’homme à rejeter Dieu, parce qu’elle n’accepte aucune limite. Et à ce sujet, le camp des députés de la droite française dont le sigle L R signifie Les Républicains, après de nombreux autres noms, apparaissent comme le modèle type de l’égoïsme des gens riches défendu au nom du libéralisme. Dans la seconde chambre politique, celle du Sénat, ils sont majoritaires et défendent becs et ongles tous les privilèges acquis par les riches. Les sénateurs ne sont pas élus par le peuple, mais par des notables, donc déjà, par des gens riches. Mais heureusement, cette chambre n’a pas la décision finale et elle ne peut que modifier par des amendements les propositions présentées par les députés. La puissance de l’influence des « riches » de la France témoigne de leur mépris pour les valeurs exaltées par Dieu, car dans son ministère terrestre Jésus a dit, selon Luc 6:24-25 : « Mais, malheur à vous, riches, car vous avez votre consolation ! Malheur à vous qui êtes rassasiés, car vous aurez faim ! Malheur à vous qui riez maintenant, car vous serez dans le deuil et dans les larmes ! »
Ces choses sont sur le point de s’accomplir, après des décennies de réussites et d’insouciance des riches égoïstes et incrédules. Car la richesse dont ils disposent encore aujourd’hui, et qu’ils refusent de voir réduire, a été obtenue au nom des règles injustes sur lesquelles le libéralisme capitaliste s’est construit.
Dans le prolongement de la racine du mot liberté, nous avons de nombreux mots qui dérivent de lui : libéralisme, libertaire, libertin, chacun ayant son sens particulier. Et concernant le mot libéralisme le suffixe « isme » rattaché au mot liberté, donne à ce mot la forme d’une religion pratiquée par des gens qui adorent la liberté. L’adventisme désigne ceux qui placent leur intérêt dans « l’adventus », mot latin qui désigne en français, l’avènement de Jésus-Christ, son second avènement. De même, le Communisme rassemble des gens qui construisent leur vie sur le partage et la mise en commun, des biens et de toute chose.
En plus du libéralisme soit, de l’adoration de la liberté, les riches sont aussi capitalistes et soutiennent le capitalisme, ils témoignent ainsi de leur adoration religieuse du capital. Les députés de la droite française démontrent actuellement en France leur attachement à leurs richesses quasi religieux et ils ne font que confirmer mes propos.
Sur les plateaux des chaînes info privées détenues par de richissimes personnes, la propagande des riches est constamment défendue par les journalistes sélectionnés pour ce critère et par des invités triés favorables aux thèses des riches. C’est à la liberté que les peuples doivent cette propagande qui lave les cerveaux des téléspectateurs. Car les pauvres, eux ne disposent pas d’une énorme fortune personnelle pour s’offrir ce moyen de propagande si efficace ; il ne leur reste que la télévision nationale, si ses gérants sont disposés à les inviter sur ses plateaux. Il est ainsi facile de le comprendre, entre les riches et les pauvres, la lutte est inégale, ce qui confirme la nature mythique de la prétendue « égalité » du régime républicain français. Et je rappelle ces paroles du célèbre comique satyrique français nommé Coluche qui disait : « Mais y’en a qui sont plus égaux que les autres ».
Sur les plateaux j’entends des choses incroyables dites par les bouches de gens sans scrupule ni aucune gêne. Justifiant l’injustice de leur insolente richesse ils osent accuser les pauvres de jalousie. Il ne s’agit pas de jalousie mais de soif de justice, car le surplus des riches n’est que le profit obtenu au détriment des pauvres gens exploités, dont la part est réduite à presque rien. Quand un homme peut gagner en un jour ce que son prochain ne gagnera pas au cours de toute sa vie, la situation devient si insupportable que Dieu intervient pour y mettre une fin définitive. Et si cette situation a pu atteindre ce niveau, c’est parce que Dieu a favorisé la longue paix instaurée entre 1945 et 2022. Et nous ne devons pas oublier qu’il a créé la terre pour organiser la démonstration de la méchanceté diabolique qui anime l’humanité rebelle actuelle. En 2025, la démonstration a largement atteint le niveau qu’il attendait pour ordonner le massacre de gens qui doivent être tués dans l’accomplissement de sa « sixième trompette ». Le drame est en route et va connaître son développement jusqu’au niveau prophétisé par Dieu.
Elu en 2017 et réélu en 2022, le président Macron a été victime d’une chute brutale de popularité qui est apparue dans les élections législatives de 2024, soit, au terme de 7 années depuis son élection de 2017. Là encore, par ce chiffre 7, Dieu signe son action. Ses deux élections ont été rendues possibles en raison de la chute des partis politiques affairistes socialistes et ceux de la droite. Je les nomme affairistes car, pour eux, la politique n’est que le moyen de contrôler les marchés du pays. Et, en 1976, la création de la loi du regroupement familial des travailleurs immigrés maghrébins musulmans demandée par le richissime Martin Bouygues, ami personnel du premier ministre de l’époque et futur président nommé Jacques Chirac, en donne un évident témoignage. Un jeune maire socialiste m’a dit en 1981, « et oui maintenant à nous les marchés ». Je juge donc ces gens sur des témoignages que j’ai personnellement constatés et entendus. Et le résultat est aujourd’hui devant nos yeux ; sous la conduite de gens affairistes, le pays a été livré aux étrangers, ceux des concurrents européens et ceux qui se sont installés en France pour y vivre et qui sont aujourd’hui en charge à cause de la réduction des emplois.
Le malheur vient de loin car Dieu le prépare longtemps à l’avance. En artiste potier, il le moule, le façonne et le fait venir sur ses ennemis. Il faut remonter aux années 50 et 60 pour trouver le Front National fondé par Jean-Marie Le Pen. Comme son nom l’indique le parti est farouchement nationaliste et à ce titre, il s’oppose à l’abandon de l’indépendance exigé par l’engagement européen en construction. Tous les autres partis privilégiant des relations humanistes en faveur de cette Union Européenne font alors du FN un parti diabolisé dont on fait un épouvantail. A ce moment, les Français voient leurs élites politiques vendre à l’Europe leur « liberté » sacrée obtenue au prix du sang. Et cette longue préparation des esprits a permis en 2017 l’élection du jeune Macron préféré à Marine Le Pen présidente du Front National hérité de son père. Pour Dieu, le Front National n’aura été que le moyen qui a favorisé, au titre d’épouvantail repoussoir, l’élection de l’instrument par lequel le malheur doit frapper la France. Elu, il crée le parti nommé « En Marche » qui allait plus tard devenir « La République En Marche » et aujourd’hui « Renaissance ». Ces changements continuels de nom visent à faire oublier les conséquences désolantes des politiques précédentes accomplies. Il faut tromper l’électeur car c’est le seul moyen de se maintenir aux commandes du pouvoir. A son tour, pour une raison différente de réelle ouverture, le F N est devenu le R N soit, le Rassemblement National qui, croissant légèrement, ne rassemble guère plus qu’avant. Quant au parti du président Macron, ses noms successifs témoignent de son instabilité chronique. Le parti se cherche et tente de se distinguer dans un centre multiforme. Le nom « En Marche » devait donner de l’espérance en proposant une nouvelle politique. Ensuite, le nom « La République En Marche » apporte la précision d’une revendication républicaine que le comportement dictateur du jeune président pouvait faire perdre de vue, et ceci depuis son choix du Louvre, l’ancienne demeure des rois de France, dont il choisit le cadre pour se présenter en président élu aux Français en 2017. De plus, le nom La République En Marche suggère un pas en avant mais qu’y a-t-il après la République ? La Dictature, et il semble bien que ce jeune homme soit entré en politique dans l’intention d’imposer son opinion dans tous les sujets comme un dictateur. Il se rêvait en empereur mais ne suscite que la peur d’une ruine qu’il a provoquée et intensifiée. Il n’a donc que peu de chose en commun avec la République. En dernier le nom « Renaissance » a été adopté pour le contexte d’une chute du soutien populaire ; ce qui prête à croire que le président espère comme un phénix renaître de ses cendres.
C’est à la liberté qu’en France nous devons l’apparition d’une jeunesse capricieuse et rebelle en Mai 1968. Et c’est sous sa gouvernance que le déclin français s’est produit quand la France avait besoin d’être protégée contre l’esprit capitaliste insufflé par les USA. Aujourd’hui, la France ressemble beaucoup à son modèle américain mais elle se distingue encore de lui par sa conservation de sa politique sociale. Cependant, cette norme sociale est aujourd’hui menacée par les exigences des partis de droite décomplexés qui défendent la cause patronale victime de la concurrence mondiale stupidement acceptée dans l’espérance de faire de gros, d’énormes profits. La liberté née aux USA en 1776, a été conquise par les Français entre 1789 et 1798 puis, les uns après les autres, tous les régimes monarchistes européens sont devenus parlementaires et certains ont été remplacés par des Républiques. De ce fait, l’Occident entier est devenu démocrate. Et tous partagent l’idolâtrie de l’adoration de la liberté qui est responsable de la montée de l’égoïsme qui provoque des divorces à la chaîne, parce que l’être humain se montre incapable de fidélité. Tel il est envers Dieu, tel il est envers son prochain.
Face à ces constats désastreux, en Dieu se trouve la vraie, la pure, liberté. La Sainte Bible, sa divine parole écrite présente sa loi et ses commandements qui garantissent la possibilité de la vie heureuse et protégée. Les restrictions de liberté qu’il impose à ses élus doivent être reçues et comprises comme des limites protectrices comme le rail qui borde l’autoroute ou le parapet qui longe les routes sinueuses bordées par des ravins vertigineux. Dans sa sagesse infinie, Dieu sait que la vie collective ne peut qu’être bornée et limitée, et c’est encore lui, qui définit les normes de ces limites dans tous les domaines, moraux, alimentaires, sanitaires, dans leurs applications civiles et religieuses.
C’est au nom de la liberté que des gens expérimentent diverses drogues dont ils deviennent atrocement dépendants. En recherche de sensations nouvelles, ils passent d’une drogue à une autre et ne s’appartiennent plus, et dans leur délire ils sont capables de tout pour satisfaire leur besoin de leur dose d’expédiant. Dans cet état, les esprits démoniaques les manipulent comme des marionnettes. Où est donc passée leur sacrosainte liberté ? Elle a fait d’eux des esclaves menés à la mort.
Sachant ces choses, Jésus-Christ est venu apprendre aux hommes ce qu’est le chemin et les normes de l’authentique liberté que l’apôtre Paul définit si bien en disant dans 1 Corinthiens 6:12 : « Tout m'est permis, mais tout n'est pas utile ; tout m'est permis, mais je ne me laisserai asservir par quoi que ce soit. »
Beaucoup de produits moins nocifs que la drogue ont néanmoins des effets qui créent la dépendance. C’est le cas de la nicotine, de la caféine, du chocolat, du thé, de la viande rouge sanguine, et des sodas américains bien connus composés de caféine et de cola dont les feuilles sont mâchées par une population de l’Amérique du Sud. Rendre le consommateur dépendant assure la richesse du fabriquant pour longtemps.
M75- La victoire du mal
Dès son apparition et son développement dans le ciel, dans le royaume de Dieu qui n’est pas de notre dimension terrestre, la rébellion du premier ange créé renommé, par Dieu, Satan et le diable, a séduit et rassemblé de nombreux anges qui partageaient ses idées. Ils ont été les premières créatures qui désiraient s’affranchir de l’obéissance au Dieu créateur. Satan a rapidement compris que beaucoup d’anges allaient le suivre. Et pour comprendre ce qui s’est accompli dans le royaume de Dieu, il suffit de regarder ce que nous voyons s’accomplir sur la terre au cours des 6000 ans réservés par Dieu pour sélectionner ses rachetés élus.
Dans le message précédent, j’ai pris pour sujet la liberté, et dans ce message, c’est encore le désir de liberté que je présente comme responsable de toutes les rébellions depuis la première, celle des mauvais anges qui ont suivi Satan. Comment une créature angélique, comme lui, a-t-elle pu croire que sa rébellion pourrait réussir et que Dieu s’adapterait à la norme exigée par ses créatures ? La réponse est dans l’amour de Dieu que tous ses anges depuis le premier, ont bénéficié, jusqu’au jour où le péché s’est formé en lui. Satan était le chef des anges et tous lui obéissaient comme il obéissait lui-même à Dieu. Il est arrivé un temps dans lequel, la pensée que cet ordre réduisait sa liberté est venue en lui, comme il l’a dit à Eve à travers le serpent, selon Genèse 3:5 : « mais Dieu sait que, le jour où vous en mangerez, vos yeux s'ouvriront, et que vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le mal. » Dans cet échange, Satan exprime ce qu’il pense lui-même, car il expérimente déjà lui-même cette liberté dont il s’est emparé. Au moment où il parle à Eve, Satan est encore plein d’espoir de voir sa cause triompher et que Dieu sera contraint de s’adapter. Il raisonne déjà comme le font les hommes dans nos sociétés dans lesquels la majorité emporte la décision. Il est important de comprendre que Satan et ses partisans cohabitent avec toutes les créatures célestes créées par Dieu jusqu’à la victoire de Jésus-Christ où ils seront expulsés de la dimension céleste, selon Apocalypse 12:8 : « mais ils ne furent pas les plus forts, et leur place ne fut plus trouvée dans le ciel. »
L’expérience terrestre en témoigne, la quasi-totalité des êtres créés par Dieu ne supporte pas d’avoir à obéir. Et dans le royaume céleste de Dieu, les anges ont réagi comme eux, avant eux. Sur la terre, la nécessité de détruire l’humanité par les eaux du déluge, en épargnant seulement 8 personnes, a confirmé la future et finale victoire du mal. Cette victoire du mal est prophétisée par Dieu dans Daniel 12:7 où l’ange Gabriel dit à Daniel : « Et j'entendis l'homme vêtu de lin, qui se tenait au-dessus des eaux du fleuve ; il leva vers les cieux sa main droite et sa main gauche, et il jura par celui qui vit éternellement que ce sera dans un temps, des temps, et la moitié d'un temps, et que toutes ces choses finiront quand la force du peuple saint sera entièrement brisée. »
Les élus bien-aimés de Dieu en Jésus-Christ ne doivent donc pas s’illusionner sur la chance de voir le bien triompher, du moins, jusqu’à l’intervention finale de Jésus-Christ.
Sur la terre, l’humanité a toujours été en recherche d’améliorations de la qualité de la vie pensant trouver dans cette voie, le vrai bonheur partagé par tous. Sous l’inspiration des démons célestes, les êtres humains se sont engagés dans des idéologies et des fausses religions promettant toutes le bonheur terrestre et pour les religions, le bonheur céleste obtenu par l’entrée au paradis.
L’attitude des gens faussement religieux est tragiquement trompeuse, car les démons leur font adopter un comportement obéissant envers leurs différentes doctrines. Et cependant, nul n’est plus rebelle qu’eux. Ils en témoignent dans leur comportement dans leur vie privée. Ils se montrent durs, impatients, susceptibles, vindicatifs, agressifs et violents. De plus, ils mentent facilement pour défendre leurs intérêts multiples. Etant inspirés par les démons, ils ne sont pas retenus ou persécutés par eux. Bien que pour intensifier la confusion, le diable fasse de faux martyrs parmi eux de temps à autres. Le seul critère qui permet de les identifier est réellement unique car il repose sur la manière dont ils réagissent quand ils sont confrontés à la vérité révélée dans la sainte Bible. Seule, la vérité biblique permet de démasquer le mensonge porté par des faux religieux possédés et inspirés par les démons. Ce principe fait de la sainte Bible l’élément le plus important mis à la disposition de l’homme par Dieu. Seule la sainte Bible délivre le mode d’emploi permettant de construire avec Dieu une relation qui conduit l’élu au salut.
Beaucoup de faux chrétiens détiennent une sainte Bible et la lisent, mais ne mettant pas en pratique tout ce que Dieu y prescrit et exige, entre leurs mains, la sainte Bible ne reste qu’un alibi religieux que son jugement condamne. Et le premier qui les jugera comme Dieu, c’est l’apôtre Paul qui dit dans Romains 2:12-13 : « Tous ceux qui ont péché sans la loi périront aussi sans la loi, et tous ceux qui ont péché avec la loi seront jugés par la loi. Ce ne sont pas, en effet, ceux qui écoutent la loi qui sont justes devant Dieu, mais ce sont ceux qui la mettent en pratique qui seront justifiés. »
Peu de gens lisant la Bible comprennent le sens de ces paroles dites par l’apôtre Paul, aussi vais-je éclairer clairement ce qu’il nous dit, inspiré par l’Esprit divin de Jésus-Christ.
« Tous ceux qui ont péché sans la loi périront aussi sans la loi »
Ceux qu’il dit « sans la loi » sont les Chrétiens pour lesquels le pardon de Dieu repose sur Jésus-Christ dont le sang versé constitue le sang de la nouvelle alliance. Or, pour être jugés pécheurs, il faut que la loi transgressée les condamne. Et si la loi les condamne, c’est parce qu’elle reste la norme de la justice exigée par Dieu de la part des Chrétiens comme elle l’a été de la part des Juifs, avant Christ.
« et tous ceux qui ont péché avec la loi seront jugés par la loi »
Paul parle des Juifs qui n’avaient pour moyen de pardon que les sacrifices animaliers prescrits par la « loi de Moïse » avant que Jésus-Christ se présente.
Dans les deux cas cités par Paul soit, les Juifs avant Christ et les Juifs après Christ, l’obéissance à la « loi de Moïse » reste exigée par Dieu, le mot « loi » est cité quatre fois.
Et c’est bien à des Chrétiens romains qu’il adresse ce message qui reste donc encore justifié en notre époque proche de la fin du monde. Dans Actes 15: 19 à 21, l’apôtre Jacques dit aux païens convertis au Christ : « Car, depuis bien des générations, Moïse a dans chaque ville des gens qui le prêchent, puisqu'on le lit tous les jours de sabbat dans les synagogues. Mais, qu'on leur écrive de s'abstenir des souillures des idoles, de l'impudicité, des animaux étouffés et du sang. Car, depuis bien des générations, Moïse a dans chaque ville des gens qui le prêchent, puisqu'on le lit tous les jours de sabbat dans les synagogues. »
La lettre adressée par Jacques ne fait que résumer quelques interdits bibliques importants et ne peut en aucun cas se substituer à la « loi de Moïse » entière. Il rappelle aux païens convertis qu’ils pourront découvrir cette « loi de Moïse » en se rendant chaque sabbat dans des synagogues juives, le seul lieu où la « loi de Moïse » est lue et enseignée, car le livre de la sainte Bible n’existait pas encore n’ayant été répandu qu’au XVIème siècle, quand l’imprimerie par presse a été inventée.
Il est important de savoir que Dieu n’a été glorifié pleinement par ses premiers élus chrétiens que jusqu’en 313, année marquée par l’apostasie religieuse du christianisme à cause des changements doctrinaux adoptés par les Chrétiens qui n’étaient plus persécutés pour leur foi. Dieu n’a retrouvé sa gloire que par l’obéissance de Pierre Vaudès dit « Valdo » en 1170. Comme un précurseur de la perfection doctrinale biblique finale adventiste, il a mis scrupuleusement en pratique tout ce que prescrit la loi de Moïse au sujet de l’alimentation, de la vie sanitaire, et des commandements de Dieu dont le sabbat du septième jour, fidèlement appliqué par lui et ses adeptes connus en tant que « Vaudois » du Piémont italien. Après leur témoignage, les ténèbres du catholicisme papal ont fait oublier cette perfection religieuse. Et au XVIème siècle, les Réformés protestants n’ont pas reproduit ce modèle de fidélité. Cependant au prix de leur vie, ils ont résisté à l’enseignement catholique qui tenait pour vain la mort expiatoire de Jésus-Christ. Les ténèbres enseignaient que les pécheurs devaient expier eux-mêmes la culpabilité de leur péché par divers moyens, l’achat des « indulgences » ou l’expiation par des punitions corporelles.
Les Réformés ont restauré le salut basé sur la grâce proposée par Dieu au nom du rachat des péchés obtenu par la mort expiatoire de Jésus-Christ. Mais ils ont ignoré leur devoir de mettre en pratique la « loi de Moïse », honorée par les premiers chrétiens. C’est pourquoi, dans Apocalypse 2:24-25, Dieu délivre un message qui confirme l’imperfection doctrinale des Protestants en leur disant : « A vous, à tous les autres de Thyatire, qui ne reçoivent pas cette doctrine, et qui n'ont pas connu les profondeurs de Satan, comme ils les appellent, je vous dis : Je ne mets pas sur vous d'autre fardeau ; seulement, ce que vous avez, retenez-le jusqu'à ce que je vienne. »
Les Protestants les plus fidèles ont pu bénéficier de la grâce du Christ provisoirement jusqu’en 1843, la date en laquelle le décret divin prophétisé dans Daniel 8:14 est entré en application. Mais depuis le XVIème siècle, la grâce n’a été accordé qu’aux Protestants restés fidèles jusqu’à la mort, l’emprisonnement, ou la peine des galères dans lesquelles ils laissaient le plus souvent leur vie.
Ce n’est que frustré, que Dieu a néanmoins sauvé des élus dont les œuvres religieuses étaient loin d’être conformes à celles que pratiquaient les premiers chrétiens. Et cette frustration justifie le fait qu’il ignore le temps de la Réforme dans toute sa révélation donnée au prophète Daniel dans laquelle il ne prophétise que sur le début du christianisme et sa fin vécue sous la forme de la norme « adventiste du septième jour ». Dieu ne retient que les époques où, sanctifié au repos hebdomadaire, son saint sabbat du septième jour a été honoré.
Entre 313 et 1843, le mal a été victorieux. On ne peut qu’être étonné par le niveau que la patience de Dieu peut atteindre. Et ce n’est donc que pour préparer la restauration complète de sa lumière à partir de 1843, que Dieu a organisé au XVIème siècle la Réforme protestante connue sous le nom de l‘Eglise Réformée soit, l’assemblée des saints réformés. Et très logiquement une œuvre de « réforme » vise à restaurer des vérités oubliées, déformées et transformées. Le contexte du XVIème siècle était cruel et agressif et peu favorable à la recherche de l’étude approfondie de la « loi de Moïse » et l’attention des élus de l’époque s’est portée essentiellement sur Jésus-Christ et la grâce que sa mort leur offre. Dieu avait lui-même prophétisé ce temps de préparation doctrinalement imparfait comme nous l’avons vu dans Apocalypse 2:24-25 où il dit : « Je ne mets pas sur vous d’autre fardeau » ; ce qui implique l’idée que d’autres fardeaux vont être exigés par lui, plus tard avant son retour glorieux final. Et c’est le décret de Daniel 8:14 qui fixe le temps de cette exigence divine par le terme des « 2300 soir-matin » cités dans ce verset. Et ses deux traductions historiques successives, qui marquent le début (1843) et la fin des attentes adventistes (1994), traduisent la volonté de Dieu d’achever la Réforme inachevée que ce soit par la forme, « 2300 soir-matin et le sanctuaire sera purifié », un message adressé aux protestants, ou par la seconde que Dieu m’a fait découvrir en 1991, dans le texte hébreu original : « 2300 soir-matin et la sainteté sera justifiée », un message adressé cette fois aux « adventistes du septième jour » sanctifiés selon Daniel 8:14.
Au XVIème siècle, l’œuvre de la Réforme a pris la forme d’une lutte profane portée par un alibi religieux. Car, des gens hostiles au régime monarchique catholique romain soumis aux papes sont entrés en luttes guerrières contre lui. Et ces gens qui confondaient la politique et la religion dans les deux camps ont fait mourir inutilement, dans des combats meurtriers, beaucoup de créatures victimes de leur haine. Ce temps de la Réforme est un temps de grande confusion, car les saints de l’heure ont du christianisme qu’une idée partielle mais néanmoins fondamentale, la mort expiatoire de Jésus-Christ. Les nombreuses leçons de vie données par Jésus et révélées par les Evangiles ont été ignorées, et la sainte Bible, elle-même, a été l’objet d’une sorte d’idolâtrie, pour les saints eux-mêmes. Il était plus important pour eux de la posséder que de la comprendre. Et de nos jours, c’est souvent le cas, car la sainte Bible dort dans la table de nuit ou sur une étagère ou dans un placard, ou encore dans la bibliothèque parmi les livres du monde. Dieu juge les cœurs et les pensées des êtres humains et il a su sélectionner parmi tous les héritiers de la Réforme, ceux qui étaient dignes de son salut ; comme il le fait toujours au long des 6000 ans réservés pour cette sélection.
Mais, le zèle guerrier de certains protestants a créé la confusion dans les esprits humains qui ont tenu pour héros, des êtres qui vendaient cher le prix de leur vie ; contredisant de la sorte les ordres donnés par Jésus-Christ lui-même dans Matthieu 16:24-25 : « Alors Jésus dit à ses disciples : Si quelqu'un veut venir après moi, qu'il renonce à lui-même, qu'il se charge de sa croix, et qu'il me suive. Car celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui la perdra à cause de moi la trouvera. » Les Huguenots (signifiant en allemand ligue armée) des Cévennes (ou Camisards) devenus célèbres pour leur combats sanglants contre les ligues catholiques, correspondent-ils à ce modèle décrit par Jésus-Christ ? Visiblement, non. Et après avoir dit ces choses, à l’heure de son arrestation au jardin de Gethsémani, Jésus a demandé à ses apôtres de ceindre leurs épées, et Pierre l’utilisa, coupant l’oreille de Malchus le serviteur du temple. Selon que l’Esprit nous dit dans Matthieu 26:52 : « Alors Jésus lui dit : Remets ton épée à sa place; car tous ceux qui prendront l'épée périront par l'épée. » Cette leçon est confirmée dans Apocalypse 13:10 : « Si quelqu'un mène en captivité, il ira en captivité ; si quelqu'un tue par l'épée, il faut qu'il soit tué par l'épée. C'est ici la persévérance et la foi des saints. »
L’ignorance des leçons données par Jésus-Christ a eu pour conséquence de légitimer un comportement faussement religieux extrêmement trompeur, car il a séduit beaucoup de gens et encore aujourd’hui, la quasi-totalité des Américains qui revendiquent la religion protestante. Dans un temps de persécution, la peur de la mort limite les engagements pour la vérité divine ; mais en temps de paix, rien ne les limite, et la religion prend ainsi un caractère superficiel qui irrite Dieu, qui voit son nom et sa gloire être ainsi méprisés. Le sens même du baptême par immersion est incompris et déformé. Car le recouvrement du corps entier par l’eau signifie que le baptisé meurt à lui-même. Il accomplit ainsi ce que Jésus a dit : « Si quelqu'un veut venir après moi, qu'il renonce à lui-même » ; mais le baptisé doit aussi entendre et comprendre ce que Jésus a dit ensuite : « qu'il se charge de sa croix, et qu'il me suive ». En temps de paix, ce port de notre croix doit se traduire par un engagement et un zèle illimité au service de Jésus-Christ. La cause du Dieu de vérité doit passer au-dessus de toute autre cause humaine. Et c’est parce que l’exigence divine à ce sujet est très élevée, que le nombre des élus reste un faible reste alors que les appelés se présentent en multitudes ; selon les paroles de Jésus citées dans Matthieu 22:14 : « Car il y a beaucoup d'appelés, mais peu d'élus. »
Quelle consistance ces faux lecteurs de la sainte Bible donne t-ils à Dieu, leur Créateur ? Car, les Protestants, et après eux les adventistes apostats, ont bien reconnu la sainte Bible au titre de « Parole de Dieu écrite ». Pensent-ils avoir le droit de trier dans sa parole ce qui est important et ce qui ne le serait pas ? Et pourrait-il seulement exister des choses dites par Dieu sans importance ? Les œuvres qu’ils pratiquent répondent à leur place, pour eux, à ces questions qui démasquent la foi des gens hypocrites. En 1843 et 1844, les protestants ont tenu pour négligeable l’annonce du retour glorieux de Jésus-Christ et ensuite, le respect du quatrième des dix commandements de Dieu concernant le repos du sabbat du septième jour. Et à leur tour, entre 1991 et 1994, les adventistes apostats ont méprisé une dernière lumière divine venant éclairée en totalité les prophéties bibliques de Daniel et Apocalypse. En 1994, l’apostasie de la dernière institution chrétienne instaurée aux USA en 1863 a donné à ce christianisme l’aspect de confusion totale sous lequel il se présente à tous en ce Lundi 3 Novembre 2025. Dieu n’est aujourd’hui représenté par aucune église institutionnelle mais la lumière que je présente, améliorée jour après jour, est le gage de ma sanctification pour un service prophétique auquel, par vision, il m’a appelé à œuvrer pour lui. Et je peux ainsi témoigner qu’il met en pratique ce principe cité dans Amos 3:7 : « Car le Seigneur, YaHWéH, ne fait rien sans avoir révélé son secret à ses serviteurs les prophètes. » Et ce sublime privilège me conduit à comprendre des secrets cachés dans les mystérieuses prophéties bibliques codées. En sorte que les événements qui s’accomplissent dans le monde prennent pour moi un sens divin que l’humanité ignore. Ma connaissance du retour de Jésus-Christ pour le printemps 2030 fait toute la différence : mon avenir est limité et fixé, leur avenir ne l’est pas et leur faux espoir les trompe et les perd.
Oui, en Novembre 2025, le mal triomphe sur toute la terre et ceux qui n’ont pas su utiliser le temps de la paix pour chercher Dieu et construire avec lui une relation amoureuse durable vont disparaître et devenir poussière ; les derniers disparaîtront après le jour du printemps 2030, dans des règlements de compte sanglants ; les séducteurs religieux seront massacrés par leurs victimes folles de colère. Et quand ces massacres se produiront, les rachetés élus seront entrés dans l’immortalité offerte par Jésus-Christ, tous rassemblés dans le royaume céleste de Dieu.
Le mal est entré dans toutes les religions officielles et institutionnelles et dans les groupes dissidents multiples qui sont sortis d’elles. Mais chaque groupe a sa propre conception de ce que le mal représente. En règle générale pour beaucoup de ceux-ci, le mal est chez ceux qui les contredisent. Et pour eux, le mal est dans ce qui agresse l’être humain ; ils montrent par là, qu’ils ne sont en vérité que des rassemblements de gens humanistes, alors que le mal qui compte, c’est celui qui est fait à Dieu lui-même.
Au XVIème siècle, seuls les vrais chrétiens savaient pourquoi ils étaient prêts à accepter le martyr, car ils avaient clairement identifié la norme diabolique de l’enseignement religieux catholique qu’ils nommaient « profondeurs de Satan » comme Dieu le rappelle dans Apocalypse 2:24. Le mot « profondeurs » fait allusion à l’enfer catholique souterrain hérité des Grecs qui concerne, selon Dieu, le « puits de l’abîme » cité dans Apocalypse 9:1-2 : « Le cinquième ange sonna de la trompette. Et je vis une étoile qui était tombée du ciel sur la terre. La clef du puits de l'abîme lui fut donnée, et elle ouvrit le puits de l'abîme. Et il monta du puits une fumée, comme la fumée d'une grande fournaise ; et le soleil et l'air furent obscurcis par la fumée du puits. »
Subtilement, « la fumée » citée désigne la « fumée des parfums » soit les prières catholiques adressées à Dieu, selon Apocalypse 5:8 et 8:5. En 1843, les religions protestantes s’associent à leurs prières partageant leur condamnation par Dieu. Cette gigantesque intox religieuse catholique et protestante rend confuse la religion du vrai Dieu, « le soleil » noyé dans le flot religieux dispersé par le diable dans « l’air », le symbole de son domaine et de sa puissance, selon Ephésiens 2:1-2 : « Vous étiez morts par vos offenses et par vos péchés, dans lesquels vous marchiez autrefois, selon le train de ce monde, selon le prince de la puissance de l'air, de l'esprit qui agit maintenant dans les fils de la rébellion. »
Les vrais élus se distinguent des faux chrétiens en ce qu’ils identifient le mal dans les attaques portées contre Dieu, contre sa vérité, et seulement en dernier, contre ses saints élus. Car le mal est avant toute autre chose, le combat que le diable menteur soutient contre le Dieu de la vérité.
Le mal commis contre Dieu n’est proclamé que si ses serviteurs sont capables de l’identifier. Et depuis la Révolution française, personne n’en était plus ni digne ni capable.
Prévoyant ce temps, Jésus parle à ce sujet dans Luc 19:39-40 : « Quelques pharisiens, du milieu de la foule, dirent à Jésus : Maître, reprends tes disciples. Et il répondit : Je vous le dis, s'ils se taisent, les pierres crieront ! » Prends conscience que depuis la sortie d’Israël du pays d’Egypte, Dieu a constamment fait amonceler des pierres pour servir de témoignage historique. Douze pierres furent élevées au milieu de la mer Rouge sur le fond sec du couloir tracé par Dieu, puis plus tard, ce fut au milieu du Jourdain pour l’entrée d’Israël au pays de Canaan. Cette annonce de Jésus-Christ trouve sa parfaite application dans la France post-révolutionnaire et particulièrement dans la grande et prestigieuse place de la Concorde actuelle de Paris sa capitale. Je rappelle que les noms successifs donnés à cette place qui longe la Seine, le fleuve qui traverse Paris, racontent l’histoire de la France. Elle s’appelait la place Louis XV et sur un piédestal, une grande statue représentait Louis XV sur un cheval. Sous Louis XVI est venue la Révolution française et la place a reçu le nom de place de la Révolution ; moment où elle a accueilli la guillotine tombeuse des têtes royales, des aristocrates et des prêtres catholiques de l’ancien régime, puis ce fut la place de la liberté, et sous Napoléon 1er, elle est devenue la place de la Concorde. Et c’est en 1836, que sous le roi Louis-Philippe, le piédestal du roi Louis XV a porté l’obélisque de Louxor offert par l’Egypte. Et cette pierre ne crie pas, elle hurle, tant son symbolisme est fort et révélateur. Mais elle hurle uniquement dans les esprits « qui ont des oreilles pour entendre ce que l’Esprit dit aux églises », selon l’expression utilisée sept fois dans Apocalypse 2 et 3. Les dimensions de l’obélisque portent un message : 27 m de long et 1,70 m de côté à sa base carrée. Et sur toutes ses faces des messages gravés en hiéroglyphes exaltent la gloire des grands pharaons, Ramsès II et III, adorateurs du dieu solaire nommé « Ra ou Ré ». Le nombre 27 soit, 33 désigne la perfection des perfections. Ici, cette perfection prétend dépasser celle de Dieu dont le nom a pour nombre « 26 ». Et le nombre 17, symbole du jugement de Dieu, apparaît au carré dans sa base.
Autrefois, dans les écoles, les instituteurs coiffaient les mauvais élèves d’un bonnet d’âne qui témoignait contre eux auprès des autres élèves de la classe. Dieu a agi de la même manière en faisant apporter au milieu de la place de Paris ce symbole du péché égyptien que représente son obélisque pointé vers le ciel comme un défi lancé au Dieu créateur. Alors que ses disciples ignoraient qu’ils péchaient contre Dieu en honorant le repos du premier jour consacré à l’adoration païenne du soleil divinisé, Dieu construisait sur la place de la Concorde, en image réelle, son accusation contre ce péché. Mais, l’obélisque n’était pas seul pour parler pour Dieu, car le nom Concorde était pour lui une autre abomination. Ce terme glorifie encore de nos jours l’alliance injustifiée entre « Jézabel » et ceux qu’elle persécutait sans raison quand la monarchie la soutenait. Ce nom Concorde ne fait que rappeler l’abandon de la vraie religion par les protestants restés en France et ceux qui avaient migré vers l’Amérique des USA. Il rappelle odieusement une alliance humaine conclue au détriment du Dieu créateur et sauveur. Ainsi, depuis Napoléon 1er Bonaparte, empereur des Français, l’organisateur de ce Concordat, cette abomination s’est prolongée jusqu’à nos jours dans une paix maudite interrompue momentanément pour la guerre de 1870-1871, pendant les deux guerres mondiales de 1914-1918 et 1939-1945, et récemment depuis le 24 février 2022.
Toujours à Paris, au milieu de la place de « l’Etoile », sur laquelle convergent douze larges avenues prenant l’image de rayons solaires, l’Arc de Triomphe construit par Napoléon 1er sur un monticule surélevé crie aussi et exalte la gloire du soleil divinisé. Comme au temps des Romains, cet édifice de pierres glorifie les conquêtes du régime du péché républicain. Le nom « Etoile » parodie le symbolisme religieux prophétique et ce mot désigne encore ici, comme dans Genèse 1:15, « ceux qui éclairent la terre », mais dans le cas de Paris, d’une lumière républicaine qui n’est que ténèbres et péché. Il est important de comprendre que c’est par les conquêtes de Napoléon 1er que les pays européens sont en grande partie devenus républicains ou des monarchies parlementaires. De plus, l’arc de triomphe est d’origine romaine et sa construction à Paris, impute à cette ville, la culpabilité de la Rome républicaine païenne conquérante, l’autre image du péché de l’histoire humaine.
Aux USA, dans sa mégalomanie, Donald Trump envisage la construction d’un arc de triomphe qui ne ferait que consacrer les conquêtes républicaines du mal capitaliste auquel ce pays a converti et livré tous les pays de la terre, la Chine comprise bien qu’ayant conservé en partie seulement, pour son peuple, le régime communiste. Toutefois, un pays a résisté : la Corée du Nord.
N’espérons donc pas voir le monde se convertir et revenir à Dieu pour honorer sa vérité, car cela ne se produira jamais. Jusqu’à la fin, le mal ne fera que croître, jusqu’à ce que « la force du peuple saint soit entièrement brisée », selon Daniel 12:7.
M76- Esclave du péché et du marché
PDans les célèbres fables de Jean de la Fontaine, Dieu nous donne des leçons de bon sens. Elles ont été publiées dans un contexte historique où la lecture de la sainte Bible était interdite et condamnée par les galères, l’emprisonnement, et la torture. Dieu ne pouvait parler aux hommes que par le moyen des fables dispensées par des hommes dont l’esprit subtil était apprécié même par le roi « soleil », Louis XIV. Jean Molière a fait de même, en composant des pièces théâtrales dans lesquels il dénonçait les travers de la société hypocrite des aristocrates flatteurs soumis au puissant monarque.
J’ai déjà évoqué la fable du « corbeau et du renard », et aujourd’hui, je prends pour sujet, « le lièvre et la tortue ». Je résume cette fable pour ceux qui ne la connaissent pas. Une course est engagée entre un lièvre et une tortue. Le fabuliste compare et choisit volontairement deux animaux dont la vitesse de déplacement est différente à l’extrême. Ce que l’auteur montre dans cette fable c’est la conséquence du mépris que le plus grand témoigne envers le plus petit. Le lièvre sachant son indéniable avantage, bon prince aveugle, laisse la tortue partir devant lui, car en quelques sauts, il compte arriver au but avant elle. Cependant, il passe trop de temps à jouer, à batifoler, et même à se reposer, et quand enfin, il se décide à courir vers le but, il est trop tard, car la tortue est parvenue au but avant lui. Et la fable finit par cette leçon : « rien ne sert de courir, car il faut partir à point ». Un autre dicton populaire dit : « le temps perdu ne se rattrape jamais ». Je suis sûr que nous avons tous expérimenté à un moment de notre vie, les conséquences de ces deux leçons. Mais, ce qui est vrai pour la vie profane l’est encore plus pour la vie spirituelle. Et dans la sainte Bible, Dieu nous dit dans Proverbe 22:6 : « Instruis l'enfant selon la voie qu'il doit suivre ; et quand il sera vieux, il ne s'en détournera pas. » C’est en effet, quand il est dans sa phase de construction que l’enfant a besoin d’un tuteur spirituel qui lui donne des valeurs morales approuvées par Dieu. Et quand ce tuteur a manqué, il est souvent trop tard pour redresser ce qui est tordu.
Notre époque ressemble beaucoup à l’époque de Louis XIV, car dans les années 80, le comédien humoristique sarcastique nommé Coluche se moquait et insultait les Français tout au long de ses sketches ; et son public français l’applaudissaient et l’appréciaient. L’art scénique médiatisé permet ainsi d’applaudir des insultes qu’individuellement personne ne supporterait. Mais le plus tragique, c’est que ceux qui riaient quand il les insultait ne comprenaient pas l’urgent besoin de changer leurs comportements. Un miroir leur jetait à la figure leurs défauts et leurs travers, mais ils ne savaient que rire de leur tragique situation. Leurs défauts n’ont fait que croître avec le temps, car il était déjà trop tard. Le fruit porté par des êtres humains séparés de Dieu ne pouvait qu’être désastreux et empirer avec le temps. On peut ainsi comparer nos 80 années de paix obtenue depuis 1945 jusqu’en 2025 comme ce temps pendant lequel Dieu a frappé l’Egypte par dix plaies consécutives ; en cause, l’endurcissement du Pharaon de l’époque. Et pour les temps modernes, l’endurcissement progressif des nations occidentales depuis 1843, l’année à partir de laquelle, par le décret anticipé de Daniel 8:14, Dieu a durci son jugement en exigeant la restauration de toute sa vérité doctrinale, de toutes ses lois morales, alimentaires, sanitaires et la pratique du repos du sabbat du septième jour. L’humanité s’est montré aussi sourde et aveugle que les antédiluviens du temps de Noé, en sorte qu’elle évolue en notre époque comme eux, avant d’être noyés par les eaux du déluge. Dans Genèse 18, Dieu rappelle l’expérience terrible vécue par les habitants de la vallée de Sodome et Gomorrhe. Pour eux aussi, il était trop tard car ils étaient totalement endurcis et ils étaient devenus incapables de changer de comportement.
Aujourd’hui, les rachetés élus bénis par Dieu sont les nouveaux Noé ou Lot confrontés à des masses humaines formatées dans la liberté du péché. Les yeux fixés sur Jésus et sa lumière prophétique, je vis en France, en Europe dont l’Union regroupe des pays qui sont les dernières Sodome et Gomorrhe.
La crise politique qui étrangle la France actuellement offre aux Français la possibilité de rechercher et d’identifier l’origine de sa ruine financière. L’explication est dans les fables, « le lièvre et la tortue », « le corbeau et le renard », et « la cigale et la fourmi ».
Comme le corbeau de la fable, les Français sont trop soucieux de préserver le prestige de leur nation France. Et en conséquence, ils sont victimes des flatteurs. Au titre de pays des « droits de l’homme », la France bénéficie d’un grand rayonnement international que sa ruine actuelle remet en question. La France est la victime de deux renards qui sont les USA et l’Allemagne. Son ancienne prospérité reposait sur sa totale indépendance. Elle a pu ainsi longtemps résister aux pressions exercées par le capitalisme anglo-américain, mais son désir d’Europe Unie lui a fait perdre cette précieuse indépendance. En entrant dans l’Union Européenne, ce capitalisme conquérant l’a convertie à ses valeurs. Et la France s’est soumise à l’ordre imposé par les USA à tous leurs alliés occidentaux. En entrant dans l’U.E. la France a perdu sa tête. En maintenant quand possible ses valeurs sociales, la France est devenue la proie du capitalisme destructeur d’emploi. Car la règle de l’enrichissement consiste à réduire l’emploi autant que possible en obtenant un même rendement avec moins d’employés. Les politiques de droite reprochent constamment aux socialistes leur décision d’avoir porté le temps journalier du travail de 40 à 35 heures. Et cette accusation est contredite par le fait que les observateurs spécialisés ont relevé que le rendement du travail est resté le même. Cette décision socialiste fut prise à cause de la montée du chômage ; la mesure était donc logique car elle permettait de partager les emplois disponibles. Mais la cause de ce chômage n’a pas été identifiée et n’a donc pas été évitée. En réalité, une concurrence imbattable est venue de l’Asie, depuis le Japon, puis la Corée du Sud et de manière écrasante en dernier, de la Chine. Pendant l’époque du « marché commun » européen, entrée dans l’union, l’Angleterre a servi de canal qui a favorisé les importations des produits asiatiques produits et diffusés par la ville chinoise de Hong-Kong jusqu’au temps de son retour à la Chine. L’économie de l’Angleterre a été florissante car elle inondait les pays européens de ses produits asiatiques. Dans un aveuglement coupable, les dirigeants des pays européens n’ont vu que le côté favorable de cette fourniture asiatique beaucoup moins chère que ce que leur pays occidentaux produisaient. Un cercle vicieux a dès lors démarré ; plus on achetait ces produits importés, moins on avait besoin de produire les mêmes choses localement. C’est donc sur des années que la déconstruction de la production européenne a été progressivement attaquée et détruite. Et c’est l’entrée de la Chine dans l’OMC, qui a porté à l’Europe, le coup de grâce. Les dernières grandes sociétés des industries technologiques ont délocalisé en Chine leur production, les unes après les autres. Mais ce sont aussi les Américains eux-mêmes qui étant les instigateurs de cette concurrence chinoise ont vu leurs emplois se délocaliser vers la Chine. L’enrichissement des plus riches d’entr’eux qui investissaient leur fortune dans ce nouvel Eldorado était obtenu au détriment de la population américaine locale.
Voici que Dieu m’a réveillé ce matin du Jeudi 6 Novembre 2025, en mettant dans ma pensée de nouvelles choses concernant précisément cette puissante Amérique nommée Etats-Unis. Cette pensée nouvelle est le jugement que Dieu porte sur ce pays depuis sa construction à partir de 1620, date de l’arrivée des premiers migrants européens venus sur le célèbre navire nommé le « May Flower ». En fait, ce qui est nouveau, c’est de comprendre que par cette arrivée, Dieu préparait déjà la « bête qui monte de la terre » dans Apocalypse 13:11 : « Puis je vis monter de la terre une autre bête, qui avait deux cornes semblables à celles d'un agneau, et qui parlait comme un dragon. » Déjà, chose nouvelle, les deux cornes sont attribuées à l’agneau ce sont donc deux religions protestantes ; ce que l’histoire confirme et désigne sous les religions anglicane et calviniste, les deux pires modèles de la religion protestante. L’anglican parce que le May Flower transportait des Anglicans réfugiés en Hollande. Puis le calvinisme parce que de nombreux autres Protestants français et allemands sont venus se réfugier sur le sol américain. Le jugement que Dieu porte sur ces deux religions est justifié par leurs fondateurs originels : Henri VIII, l’assassin de ses épouses pour l’anglican, et Jean Calvin le cruel et orgueilleux genevois, matérialiste et cupide, fondateur du calvinisme. Voilà donc, « les deux cornes de l’agneau », deux cornes déjà maudites par Jésus-Christ auquel il reprochait déjà le fait de « parler comme le dragon » catholique persécuteur et meurtrier. Dès le commencement, la ressemblance de cet agneau avec le dragon ne reposait pas que sur ses paroles, elle était prouvée par ses actions meurtrières impitoyables qui ont construit sa croissance territoriale et sa puissance grandissante au fil des années de son histoire. En fait, ce que Dieu me fait partager aujourd’hui, c’est que la religion protestante a produit des vrais chrétiens uniquement pendant les époques où ils étaient persécutés par les ligues catholiques royales, en Europe. Ce raisonnement est confirmé par la leçon donnée dans Apocalypse 2 où la bénédiction de Dieu, dédiée aux chrétiens de l’époque Smyrne, époque qui couvre le temps des persécutions infligées par l’empereur romain Dioclétien et sa tétrarchie impériale entre 303 et 313, est suivie par l’accusation de l’adultère spirituel désigné par le nom « Pergame » de la troisième époque prophétisée. La leçon nous dit que la vraie foi disparaît quand les persécutions religieuses cessent. Ainsi, la venue en Amérique offrait aux immigrés la paix religieuse mais en même temps l’apostasie de l’adultère spirituel qu’elle favorise.
Dans son histoire, l’Amérique témoigne d’une grande sauvagerie peu conforme à l’idéal de Jésus-Christ revendiqué pour son modèle. Au lieu de convertir, elle anéantit progressivement toutes les populations indigènes originelles de peau rouge cuivré ; un aspect plus conforme à celui d’Adam, dont le nom signifie le « rouge », que la blancheur européenne parfois laiteuse.
Les Etats-Unis de l’Amérique du Nord se sont formés après l’indépendance obtenue par les guerres menées contre la Couronne anglaise. Ce pays n’a pas connu de guerres sociales. Et ceci pour la simple raison d’une sélection naturelle de ses habitants. Le calvinisme protestant considère l’enrichissement financier comme une bénédiction divine, bien que Jésus ait dit : « Malheur à vous, riches ». Quant à la religion anglicane, elle vient de reconnaître le papisme duquel Henri VIII, son fondateur, ne s’est affranchi que pour justifier ses adultères meurtriers. De ces faits résultent les USA actuels représentant une sélection terrestre des gens les plus avides, les plus durs, les plus aventuriers, et donc les moins conformes au caractère de « l’agneau ». La séduction et la tromperie des masses humaines qui vivent sur la terre atteignent donc leur apogée.
Les chiffres parlent : les épreuves adventistes de 1843 et 1844 ont concerné environ 30 000 personnes dispersées sur le grand territoire américain et seules 50 personnes ont été sélectionnées par Dieu pour en faire les pionniers de sa dernière église institutionnelle nommée « église adventiste du septième jour ». or la population de l’époque était déjà de plusieurs millions d’individus immigrés. Les différents drapeaux successifs représentant les Etats-Unis témoignent de leur continuelle croissance. Leur bannière étoilée comptait au début seulement 13 étoiles ; une pour chaque Etat. Ce symbole « d’étoile » confirmait une vocation religieuse missionnaire au titre de disciples de Jésus-Christ revendiquant le droit « d’éclairer la terre » en son nom, selon Genèse 1:6. Cependant, dans sa révélation de l’Apocalypse, dans la lettre adressée à ses serviteurs de l’époque nommée symboliquement « Sardes », Jésus-Christ dénonce ce faux christianisme auquel il dit : « tu passes pour être vivant, et tu es mort ». Le symbole des « étoiles » concerne particulièrement l’Amérique protestante, puisque dans cette époque de 1843-1844, Jésus se présente comme étant « celui qui tient les sept étoiles dans sa main droite ».
Or, Joël dit Jean, mon frère de service en Christ, m’a fait découvrir un détail concernant la position des « étoiles » qui figurent sur le drapeau américain constamment depuis le début. Toutes les étoiles à cinq branches ont leur pointe dirigée vers le bas, ce qu’ignorant cette chose, j’ai moi-même appliqué quand j’ai construit le tableau concernant l’Apocalypse sur lequel seules les étoiles de Smyrne et Philadelphie ont leur pointe dirigée vers le haut en signe de leur bénédiction divine. Toutes ces choses confirment que l’Amérique a été créée par Dieu pour porter l’amertume et sa malédiction à la terre entière et tous ses habitants depuis l’arrivée du « May Flower » jusqu’au retour final de Jésus-Christ qui viendra au jour du printemps 2030.
Le titre donné à ce message est « esclave du péché et du marché ». Tous ces mots trouvent sens dans l’expérience américaine. Déjà, le sujet de l’esclavage a été la cause de la terrible guerre de Sécession vers 1865. Et cette guerre a démontré l’intransigeance des habitants de ce pays qui ont lutté à mort pour conserver leur unité nationale, alors que le pays aurait pu se diviser en deux camps. De 13 à l’origine, les USA rassemblent aujourd’hui 51 Etats soit, 51 étoiles toutes aussi maudites par Dieu les unes que les autres. Car leurs habitants sont tous esclaves du marché qui décide de l’enrichissement convoité ; et ceci, au nom de la sacrosainte liberté. Des êtres humains justifient et appliquent ainsi entre eux la loi de la Jungle qui régit la vie des animaux. Ce type d’humanité est simplement monstrueux. Ceci, parce que la sainte Bible le confirme, Dieu a créé l’homme à son image, en le dotant de l’intelligence, de la sensibilité, de l’émotion et de sentiments ; toutes choses et valeurs que la loi du marché américain ignore. Et conformément à sa vocation missionnaire, le pays de l’Amertume a converti à sa religion du marché tous les pays européens, les pays arabes orientaux et les pays asiatiques.
Voici ce que Dieu pense au sujet de la richesse matérialiste :
1 Timothée 6:9-10 : « Mais ceux qui veulent s'enrichir tombent dans la tentation, dans le piège, et dans beaucoup de désirs insensés et pernicieux qui plongent les hommes dans la ruine et la perdition. Car l'amour de l'argent est une racine de tous les maux ; et quelques-uns, en étant possédés, se sont égarés loin de la foi, et se sont jetés eux-mêmes dans bien des tourments. Pour toi, homme de Dieu, fuis ces choses, et recherche la justice, la piété, la foi, la charité, la patience, la douceur. »
En Jésus-Christ, Dieu nous dit aussi dans Matthieu 6 :19 à 21 :
« Ne vous amassez pas des trésors sur la terre, où la teigne et la rouille détruisent, et où les voleurs percent et dérobent ; mais amassez-vous des trésors dans le ciel, où la teigne et la rouille ne détruisent point, et où les voleurs ne percent ni ne dérobent. Car là où est ton trésor, là aussi sera ton cœur. »
Outre cet amour de l’argent, les USA anglicans et calvinistes ont témoigné d’un désir constant de croissance et de puissance. Ils ont ainsi conquis au Sud-ouest des terres habitées par des populations hispaniques arrachées au Mexique. En conséquence, le catholicisme est entré dans l’union et son influence n’y a fait que grandir. En même temps, cette alliance contre nature permet à Dieu de prouver l’infidélité des « deux cornes de l’agneau » religieuses protestantes originelles soit, l’anglican et le calvinisme. Cette leçon permet de comprendre le sens de l’alliance de l’adventisme apostat avec le protestantisme officiel en 1995.
J’ai appris par un document télévisé, que la fête d’Halloween était d’origine irlandaise, comme le président actuel des USA, Donald Trump. Ce sont donc des émigrés irlandais qui ont apporté avec eux en Amérique cette fête ténébreuse qui glorifie les sorcières et les sorciers soumis aux démons célestes. Cet héritage du paganisme européen est venu témoigner lui-aussi de l’état spirituel de ce pays qui brandit la Bible au jour de l’élection présidentielle et honore les démons et le diable le reste du temps des années.
En adoptant en Europe le principe capitaliste qui consiste à faire du pays un paradis fiscal, l’Irlande et Halloween obtiennent du diable la richesse et la réussite qu’il avait proposées à Jésus-Christ. Et son influence maléfique a ruiné, entre autres, la France, convertie à son tour à la ténébreuse célébration d’Halloween.
La France laïque se trouve confrontée à un témoignage qu’elle ne peut comprendre à cause de sa nature irréligieuse. Sur l’île d’Oléron, le Mercredi 5 Novembre à partir de 9 heures, un homme de 35 ans, français d’origine, s’est radicalisé disant avoir reçu d’Allah sa mission. Utilisant sa voiture, il a percuté plusieurs personnes qu’il est venu chercher à gauche de la route, parce que faisant du jogging l’une d’elle courait face au véhicule qui venait vers elle. En plusieurs lieux il a percuté des piétons faisant parmi eux deux blessés graves et davantage de blessés dont le pronostic n’est pas engagé. Criant « Allah Akbar », il a tenté de mettre le feu à sa voiture qui contenait une bouteille de gaz, mais les policiers l’ont capturé vivant. Des écrits religieux musulmans ont été retrouvés dans sa voiture et dans son domicile, attestant ainsi la validité de la déclaration de sa conversion à l’islam récente individuelle.
Ce fait divers n’est pas aussi divers qu’il y paraît, car nous avons là, une preuve concrète de la libération des mauvais anges capables de convertir à l’islam, et sa cause, n’importe quel être humain non protégé par Dieu en Jésus-Christ dont la protection exige qu’il l’en juge digne ; ce qui rend la chose très rare. Mais le fait n’est pas vraiment nouveau, car les plus impitoyables des islamistes du groupe DAESH étaient déjà de jeunes français d’origine et blancs de peau. La différence avec ce nouveau cas de l’île d’Oléron, c’est que nous savons que depuis le 7 Août 2025, date qui a marqué le début de la « sixième trompette », ces conversions meurtrières vont simplement se multiplier sans possibilité de les empêcher. Les démons sont libérés et ils veulent le faire savoir à l’humanité que Dieu leur livre à cause de son incrédulité rebelle. Ne croyant pas à la réalité de Dieu, les autorités policière et judiciaire ne croient pas non plus au diable et ses démons qui séduisent les esprits humains et leur font commettre des vols, des viols, et des meurtres. L’action de ces mauvais esprits célestes ne laisse aucune preuve visible relevable par la justice cartésienne française qui n’entend que le témoignage de l’homme possédé, séduit et manipulé, dont elle refuse de tenir compte ; pauvres gens incrédules dont le combat est perdu d’avance !
Les sociétés esclaves du péché et du marché voient monter la tension entre Donald Trump et Vladimir Poutine sur fond de menace de guerre nucléaire. Les optimistes n’y croient pas et les pessimistes y croient et s’inquiètent. Eclairé par Dieu, je témoigne en homme réaliste que cet usage des armes nucléaires est bien inscrit et prévu dans le programme révélé par Dieu. Ma position repose sur le fait que je connais son intention d’exterminer toute vie humaine sur la terre au terme des 6000 ans prévus pour sa sélection d’élus rachetés par la mort expiatoire de Jésus-Christ, le substitut des vrais élus qui a offert sa vie en sacrifice, pour payer à leur place le prix du rachat de leurs péchés involontaires.
Je ferme ce message par le sujet « esclave du marché », en invitant chacun à relever les conséquences de l’acceptation des échanges dérégulées mondiaux sur la proposition des USA. Finalement, dans le choc des diverses concurrences, les anciens pays riches européens ont été ruinés, la France plus que les autres en raison de sa politique sociale qui la défavorise au sein même de l’U.E.. Ce résultat était prévisible comme le prouve la vie africaine dans laquelle, le « lion » est resté le roi des animaux à travers les siècles. Dans la concurrence mondiale, le plus riche est assuré de gagner et ce plus riche est, depuis 1945, les USA. Eux seuls pouvaient profiter de cette concurrence mondiale étant placés au sommet de la pyramide du commerce mondial. Et lorsqu’il a constaté que le mondialisme appauvrissait son pays, Donald Trump a simplement pris la décision de le protéger par des taxes frontières. Et pour s’être soumis au dictat économique américain, les pays de l’U.E. se retrouvent privés d’emplois ne conservant localement que des emplois non dé localisables dégageant peu de profits. Le projet de Dieu prend forme, les « dix cornes » cibles de sa colère sont ruinées et donc prêtes à être détruite par la Russie dont elles se sont faites les ennemies.
Quand je dis « esclave du marché », je ne fais que nommer la situation réelle des pays occidentaux auxquels les USA imposent que les échanges commerciaux reposent sur des traités et des accords signés qui les engagent. Dans tous les temps et depuis le troc, le commerce international a toujours reposé sur la loi du marché de l’offre et de la demande. Quand l’offre est supérieure à la demande les prix baissent et à l’inverse quand la demande est supérieure à l’offre, ils montent. Mais avant les accords et les traités américains, chaque pays restait libre à tout moment d’acheter ou de ne pas acheter, et c’est ce droit de dire oui ou de dire non, en tout temps, qui donne son sens au mot liberté. C’est pourquoi, désireux d’assurer leur rente régulière, les USA capitaliste enchaînent leurs clients par des engagements signés. C’est cet esclavage commercial qui a conduit la France dans sa ruine actuelle ; par ses accords signés, elle s’est enlevé le droit de dire oui ou non à ses interlocuteurs, ses concurrents européens et ceux du monde.
Cette démarche est semblable au baptême des enfants sur lesquels on place injustement un engagement qu’ils n’ont pas choisi. Et cependant, en grandissant, ces enfants se réclament de cet engagement par lequel ils se sentent liés. Il faut un grand amour de la vérité pour admettre que cette démarche est une escroquerie religieuse héritée du catholicisme romain dont les rites religieux sont tout sauf logiques. Heureusement la sainte Bible est là pour confirmer mes propos, car je lis dans Marc 16:16 : « Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné. »
Qui demande au nourrisson s’il croît avant de le faire baptiser ? Et je le rappelle, baptiser signifie « immerger », et non, recevoir symboliquement quelques gouttes d’eau sur le crâne. Car, en effet, cette immersion symbolise la mort du pécheur baptisé, et personne ne meurt en recevant quelques gouttes d’eau sur sa tête. Du fait de cette nullité du baptême reçu enfant de manière inconsciente et non choisie, chacun doit savoir qu’il est libre vis-à-vis des institutions catholiques ou protestantes qui l’ont baptisé. Tout être humain peut donc, dès qu’il le veut, se tourner vers Dieu et le servir dans sa vérité juive et chrétienne conforme à sa révélation biblique présentée par ses « deux témoins » soit, les saintes écritures de ses deux alliances successives.
Il en est des pays comme des êtres humains individuels ; le salut dépend de la possibilité de dire Oui ou de dire Non. ; Oui à tous ce qu’en Jésus-Christ, Dieu approuve, et Non à tout ce qui le contredit et qu’il désapprouve. C’est cela, la vraie liberté qui conduit au salut ses rachetés élus.
Index
des thèmes traités
Pages Numéros et titres des messages
2 Messages de l’auteur
3 M1- Le réchauffement climatique
9 M2- Le peuplement de la terre
19 M3- Les mensonges religieux
27 M4- Le temps des monstres purificateurs
35 M5- Les répétitions de l’histoire
42 M6- Des coupables inexcusables solidaires
48 M7- L’incarnation du Dieu créateur
55 M8- La concurrence
59 M9- Le bon sens apparaît
65 M10- La perversion du bon jugement
73 M11- Le jugement perpétuel et éternel
82 M12- La crise mondiale du capitalisme
90 M13- Le premier jour
96 M14- L’heure de la confusion
107 M15- Un pays trop loin
114 M16- Le mirage de la paix
121 M17- Toute la gloire du Dieu suprême
127 M18- Les fruits de la malédiction
135 M19- L’Europe divisée
144 M20- Regard spirituel sur le monde de 2025
153 M21- Les nouveaux Romains
161 M22- L’actualité mondiale en fables
164 M23- Le vrai sens des choses
172 M24- Le véritable temps du calendrier de Dieu
180 M25- Devenir citoyen du royaume des cieux
187 M26- La ruine avant la mort
193 M27- Le piège prophétique
198 M28- La vengeance légitimée
209 M29- La morale divine face à l’immorale et amorale humanité
215 M30- Le prix du mépris
222 M31- La divine extase
229 M32- Le messager de la mort
242 M33- L’inversion du sort des derniers élus
246 M34- Le Vivant
254 M35- Sans moi vous ne pouvez rien faire
263 M36- Ce Dieu qui ne change pas
269 M37- Terminator
279 M38- Pas la paix mais l’épée
287 M39- Les questions qui tuent ou délivrent
295 M40- l’aigle royal et la taupe
302 M41- Car le salut vient des Juifs
310 M42- Le rôle de l’intelligence
319 M43- Le bilan des multiples trahisons
327 M44- Les limites d’une démocratie
344 M45- L’Europe entre le marteau et l’enclume
354 M46- Les Empires : du meilleur au pire
363 M47- Cette Création qui nous parle
371 M48- Vers la rupture décisive
377 M49- Qui est réellement Israël ?
384 M50- Les mots dits par les maudits
392 M51- La sentence divine collective
401 M52- A la poursuite de la paix
408 M53- Les fourberies occidentales
416 M54- Les dates historiques
425 M55- Suivre Jésus-Christ : une leçon divine d’amour
434 M56- La perpétuelle justification par la foi
439 M57- La malédiction coloniale
447 M58- Le repos du septième jour
454 M59- Le discernement spirituel
469 M60- Le second malheur vient
479 M61- Le juge inique
491 M62- Le Juge Parfait
499 M63- Le monde en Septembre
502 M64- Sanctifié un jour, sanctifié toujours
509 M65- Le grand désenchantement
514 M66- La dérive monarchique
522 M67- La malédiction divine et les derniers outrages
528 M68- L’Occident mensonger
538 M69- L’Economie
549 M70- La France humiliée et pillée
556 M71- Quand tombent les murs
564 M72- L’Alpha et l’Oméga : une clé divine
573 M73- Les démons sont déliés
581 M74- Liberté
588 M75- La victoire du mal
596 M76- Esclave du péché et du marché
603 Index des thèmes traités
Conseil aux lecteurs
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Moi, Samuel, serviteur inspiré de Jésus-Christ, je remercie et associe à l’élaboration de cette œuvre, mes compagnons, frères et sœurs en Christ qui, par leur aide précieuse et leurs talents individuels favorisent les corrections des fautes d’orthographe, de frappe, et d’erreurs de détails historiques, qui permettent de rendre ce divin enseignement digne du Dieu de vérité qui l’inspire. Ils ont ainsi apporté leur pierre à la construction de cet édifice spirituel. Qu’ils en soient tous éternellement bénis !